Initiation militaire. 12 - Le mess des officiers
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Initiation militaire. 12 - Le mess des officiers
Un jour, mon adjudant-chef me donne la mission de ramener des objets, au mess des officiers (Je ne sais plus lesquels ! Plats et ustensiles de cuisine, empruntés pour un anniversaire, je crois).
"Mais, j'ai pas le droit d'y aller, mon lieutenant !".
"Ca va aller, tu dis que c'est moi qui t'envoie ! Moi j'y vais plus, ils me gonflent tous ces cons de militaires !".
Je souris, c'est vrai qu'il n'est pas comme les autres, et je l'apprécie beaucoup, pour cela !
Je me rend au mess, on me bloque à l'entrée, puis je dis ce que l'adjudant chef m'a précisé, et on me dit d'aller voir le chef des cuisines en passant par le bar des officiers.
Pendant ce temps, énormément d'officiers sortent de l'endroit, qui a l'air de se vider, le repas est terminé.
En passant devant le bar, autour d'une table, je reconnais quelques amants, dont le commandant.
Je passe mon chemin pour donner les objets au chef de cuisine, puis reviens par le bar.
Le commandant, m'attend et me bloque.
"Pascal ? Qu'est-ce que tu fais là ?".
Je lui explique, il comprend, mais me dit tout de suite après:
"Va aux toilettes, je te rejoins !".
"Mon commandant ! Vous êtes sûr ?".
"Vas-y et attends-moi ! Tu m'a donné envie ! Tu penses quand même pas que tu vas t'en sortir comme ça ! C'est derrière toi, au fond à gauche !".
Je me tourne et me rends dans l'endroit qui est assez éloigné, très propre et désert.
Le commandant me rejoint assez vite.
"Entres-là, et baisses ton treillis !".
Il me pousse dans un cabinet.
Je me place au dessus du bidet, avec les fesses nues, il me dévore l'anus un petit moment, en crachant de la salive, puis se redresse et m'enfonce sa longue bite d'une traite, en poussant progressivement.
"Ahhhh ! Putain ! C'est excitant de t'enculer ici !".
"Arhhhh ! Chtttt ! Mon commandant, on va devoir faire vite ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhh ! Mmmmmmmm !".
"T'inquiètes pas, ils ont presque tous partis !".
Je retiens mes gémissements causés par ses assauts brutaux, il me fait jouir puissamment sans discontinuer.
Je lui dis à voix basse, en gémissant.
"Mon commandant ! Je joui, ahhhhhhh !".
Il ne se retient pas de jouir comme à son habitude et se vide dans mon anus, en un peu plus de cinq minutes.
Il se retire et me dit:
"Attends ici, restes comme ça ! Les autres vont venir aussi !".
"Quoi ? Mais !".
Une minute plus tard, un autre de mes amants, entre dans le cabinet et me plante sa queue dans l'anus.
"Salut Gueule d'ange ! Toujours prêt à ce que je vois !".
"Arhhh ! Bonjour Sergent ! Vous aussi, on dirait ! Arhhhhhh !".
Il se déchaine, lui aussi, pressé de jouir vite, il me dit des mots crus à voix basse en me faisant orgasmer encore.
Au moment de jouir, il me demande de me tourner pour l'avaler.
Ses effluves me régalent d'un gout âpre et salé.
Puis il sort, pour prévenir le suivant que c'est son tour.
A nouveau, je prend deux autres orgasmes anaux.
Lui aussi, me fait avaler son foutre chaud, excité par le récit du précédent.
Les deux suivants m'enculent de la même façon, mais se déversent dans mon cul.
Un autre me rejoint et se fait sucer longuement, je ne le connais pas, mais j'adore sa queue épaisse.
Puis, il me défonce le cul en faisant plus de bruit que les précédents.
J'ai du mal à ne pas crier mon plaisir.
Il éjacule en grognant et me plaquant contre le bidet, sa jouissance est bestiale.
Je le rejoins dans l'orgasme, excité par sa domination et sa puissance.
Il ressort sans un mot, puis la porte s'ouvre encore.
C'est le dernier qui me détruit l'anus plus longtemps encore, m'épuisant de plaisir anal.
Pour finir, il m'inonde la gorge de son abondant sperme poivré.
Il m'annonce que je peux partir enfin et me remercie au nom des autres.
En allant vers eux, dans le bar, je réponds à leurs sourires, ils ont bien joui, et c'est grâce à moi, je le sais.
J'espère que cela ne vas pas déplaire à mon amant, le lieutenant, mais j'y crois guère !
Puis je remarque le barman, c'est celui que je ne connaissais pas, il me fait un clin d'œil et me lance:
"Merci, gueule d'ange !".
Le commandant m'impose de m'assoir près de lui.
"Prends ce que tu veux, je te l'offre !".
"Mon commandant ! J'ai pas le droit d'être ici !".
"Et ce qu'on t'as mis dans le cul, tu crois que c'est permis ?".
Les autres rient, je me sens idiot.
"Bon, une bière blonde, mon commandant !".
Le barman vient me servir et s'assoit à mes cotés en prenant une chaise derrière nous.
A part le fait qu'ils me baisent tous, je ne fais qu'écouter leur conversation, ayant peu de chose à leur raconter.
Ils se racontent, parfois à voix basse, des anecdotes sur des jeunes rencontrés dans des bars, toilettes publiques ou autres et quelques jeunes efféminés du camp.
Moins d'une heure après, deux militaires qui ne sont pas du camp, viennent vers nous.
Apparemment, le commandant les connait.
Ils sont là pour la journée, pour un entrainement au tir.
L'un d'eux voit que le barman a posé ma main sur sa queue qui bande encore et m'empêche de la retirer.
"Hummm, c'est une de vos mascottes ! On peut en profiter ? ".
"C'est lui qui décide ! Pascal ? T'en penses quoi ?".
"Oui, Pascal ! T'en penses quoi ? A mon avis, tu dois être une sainte nitouche !". Me demande le gradé.
"Mais vous venez tous de...".
"Ah bon, ils t'ont tous baisé, là, et nous alors ?".
Le commandant me regarde et me demande:
"Allez gueule d'ange ! Emmène les aux toilettes ! Montres leurs ce que tu sais faire ! Que tu n' est pas une sainte nitouche !".
Je trouve cette phrase ridicule, mais je réponds malgré tout:
"Bien, mon commandant !".
Le barman ajoute:
"Je peux les accompagner mon commandant, j'ai encore envie !".
"D'accord,! Prends les clés et vous vous enfermez ! On surveille !".
En marchant, je suis poussé par les fesses par les deux gradés, suivis du barman.
Une fois arrivés, le barman ferme à clef et baisse son pantalon en exhibant sa queue en érection, tout de suite.
"Allez gueule d'ange ! bouffes-moi la bite encore !".
Je m'exécute pendant que les 2 autres se déshabillent entièrement.
"Eh ben Pascal! T'as un cul qui appelle la baise ! Alors c'est toi, gueule d'ange !".
"Oui, Lieutenant !".
Ils se masturbent en me regardant sucer le barman.
Puis je remplace leurs doigts par ma bouche en passant de bite en bite.
Le barman s'écarte et dispose mes vêtements au sol devant les lavabos, puis s'allonge dessus.
"Viens t'empaler sur ma queue, salope !".
Je lui tourne le dos en me baissant progressivement pour poser mon cul au dessus de son gland.
Il me saisit au dessus des fesses et me fait descendre sur lui.
Face à l'appui de son gros gland, l'écartèlement de mon anus cause une flatulence qui fait ressortir le sperme qu'il contient encore, mêlé aux sécrétions anales.
Mon cul s'empale d'un coup sur sa bite.
"Arhhhhhhhhhhhhhh ! C'est bon, Arhhhhhhhhhh !".
"Mmmmmm, il aime ça ! La salope !".
Le barman m'ordonne de le baiser et m'accompagne dans mes mouvements avec son bassin.
Devant le plaisir que je prends, je suis gagné par l'envie de jouir et je m'encule comme un excité sous les mots crus des 3 militaires.
Mais il me faut tout de même 10 minutes pour faire éjaculer le barman qui grogne en se vidant dans mon cul.
"Eh ben ! C'est pas trop tôt ! A nous maintenant !".
Le barman nous laisse, avec la clef.
Ils me mettent en levrette, je suis investi par la bite du lieutenant, pendant que je suce le commandant.
Ils me défoncent des deux cotés, je suis claqué sur les fesses et ma gorge déborde de salive.
"Putain lieutenant ! C'est une bonne pute, celui-là, ils ont de la chance ! Qu'est-ce qu'il est bon a enculer !".
"Arhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh !".
"T'as raison, il gueule comme une chienne ! Il suce bien aussi !".
Le lieutenant va s'assoir sur un bidet de toilettes, je dois me mettre encore à quatre pattes pour le sucer, pendant que le commandant baise mon cul qui sort du cabinet.
Après cinq autres minutes, ils me redressent et me cale debout, contre la rangée d'éviers.
C'est au tour du commandant de me casser le cul, j'enchaine les orgasmes encore.
Ils se remplacent à tour de rôle, sans fin.
C'est le commandant qui craque le premier en me remplissant de son foutre brulant.
Le lieutenant prend la suite pour se branler avec mon cul jusqu'à son explosion à l'intérieur de moi.
Ils me remercient tous les deux, en même temps que je lave leurs bites avec ma bouche.
Ils rangent leurs outils de plaisir et je me fais une toilette sommaire.
Puis je vais vers le groupe qui a diminué, mon commandant discute et apprend aux militaires que je suis l'amant du lieutenant Robert T...
"Je peux y aller mon commandant ?".
"Oui, Pascal, Merci à toi ! Ils ont beaucoup aimé !".
"Ouais, t'as assuré gueule d'ange ! Tu mérites ta réputation ! Je comprends le lieutenant !".
Un frisson d'excitation me gagne. Ces plaisirs inattendus me rendent dingue.
Rentrer avec l'anus rempli et ce fort gout de bite dans la bouche m'excite beaucoup.
J'ai hâte de passer la porte de mon atelier pour me branler !
Mais je n'en ferai rien, et j'ai bien fait !
Je résiste, et reprend mon occupation, la tête pleine d'images perverses.
Une heure plus tard, ma porte s'ouvre.
Le sergent, ami de mon amant, entre, accompagné de son ami légionnaire.
Celui qui possède une queue munie d'une grosse déformation sous le gland.
Je me jette sur la porte pour nous enfermer, et leur dit:
"Il faut que vous m'enculiez, j'en ai trop besoin ! Je veux jouir !".
"Eh ! Gueule d'ange ! Je t'ai jamais vu comme ça ! On va te défoncer, t'inquiètes pas!".
Je me jette à ses pieds pour lui ouvrir la braguette, dès que j'ai sa bite dans la bouche, je cherche la queue du légionnaire avec ma main, en tâtonnant.
"Putain ! Quelle salope ! Ce soir !".
Je leur pompe leur bites avec vice et perversité, un long moment.
Puis je me dresse et me déshabille avec précipitation.
Je les attire vers la grosse caisse ou j'aime me faire prendre.
Je me pose en travers et supplie:
"Allez y, défoncez-moi comme une pute !".
"Putain, il m'excite !" Dit le légionnaire.
Il me remplit la gorge et me baise en gorge profonde.
Le sergent me dévore l'anus et profite de sa lubrification pour me pénétrer.
Une fois qu'il a passé mon œillet, il glisse d'un coup jusqu'au fond de mon cul.
En ressortant il voit qu'il est couvert de foutre.
"Putain Pascal, tu t'es fait enculer déjà ! Salope !".
"Arhhhhhhhh ! Oui, ça m'a excité, je veux encore jouir ! Cassez moi le cul !".
"Si il n'y a que ça pour te faire plaisir !".
Il s'accroche à mes épaules et m'assène de grands coups de queues violents.
Je joui en râles étouffés sur la grosse bite du légionnaire.
Le sergent m'aime beaucoup et il fait tout pour tenir sa promesse.
Il est venu pour m'enculer, mais il aime me faire plaisir en retenant son éjaculation.
Il me fait orgasmer encore et encore. Puis il propose à son ami de m'enculer à son tour, il est au bord de la jouissance.
La queue du légionnaire m'écartèle à nouveau les parois anales.
Il coulisse de plus en plus vite, et fort.
Mes yeux se révulsent, tant je prends mon pied.
Il me tourne sur le dos et me plante encore son gros et long pieu dans le cul.
Je me fais baiser en gorge profonde avec la tête en arrière par le sergent.
Ils se lâchent en me couvrant de mots vulgaires.
Le légionnaire me détruit inlassablement, pendant un temps interminable.
Je sens ma queue se gonfler sous l'effet pervers de sa déformation pénienne, sur ma prostate.
Je me dégage de la bite du sergent pour gémir.
"Arhhhhhhhhhh ! Oui c'est ça que je veux ! Arhhhhhhhhhhhh ! Encore!".
Puis ma gorge subit à nouveau les assauts du sergent.
Je bande alors très fermement, le légionnaire m'attrape par la queue pour s'en servir d'appui.
J'explose alors d'un long râle étouffé en expulsant tout mon sperme, au rythme des assauts violents du légionnaire.
Il me décalotte avec ses doigts à chaque fois qu'il me défonce l'anus avec sa grosse bite.
Le sergent explose à son tour, j'ai un effet de régurgitation en recevant son foutre brulant dans la gorge.
Je suis toujours soumis à la pénétration violente du militaire qui m'encule, le plaisir devient uniquement anal à présent.
J'avale le jus chaud du sergent qui s'est arrêté pour éjaculer longuement dans ma bouche.
Je ressens alors la crispation du légionnaire qui s'active encore davantage en gueulant des insultes à mon égard.
Il explose lui aussi, il se couche sur moi, son souffle fort et chaud m'excite.
"Arhhhhhhhhhhhh ! Putain, salope ! J'ai rarement joui aussi fort dans un cul ! Arhhhhhhhhhhh !".
"Arhhhhhhhhhhhh ! Oui, vas -y ! Vides toi ! Arhhhhhhhhhhh ! Tu m'as bien fait jouir ! Arhhhhhhh !".
Puis arrive le calme, après la grosse tempête sexuelle.
Nous sommes tous les trois, étourdis par le plaisir.
"Putain ! Gueule d'ange ! Tu nous as tué ! Mais c'était trop bon !".
"Ah, ouais ! Super bon !" Ajoute le légionnaire.
"Pour moi aussi, c'était bon ! J'avais besoin d'éjaculer en me faisant détruire le cul ! Merci de l'avoir fait !".
"On recommence quand tu veux !".
"Pas de souci, mais là, j'ai eu mon compte ! Vous deux et les 9 autres dans les chiottes du mess des officiers, c'est beaucoup pour aujourd'hui !".
"Ah ouais ! Carrément dans les chiottes du mess ! Ca, je crois que c'est jamais arrivé !".
"Bon, vous étiez venu pour ça ?".
"Oui, mais on a eu plus que ce qu'on voulait ! Merci Pascal !".
"De rien, c'est toujours un plaisir, et encore plus aujourd'hui, merci sergent !".
Ils m'aident à me relever, je me nettoie de mon propre sperme, puis je m'essuie l'anus et le tour de la bouche.
Ils me quittent avec un grand sourire. Je me sens mieux, libéré de mon besoin d'éjaculer, une simple masturbation m'aurait frustré.
Mais je suis pris d'une grosse fatigue soudaine, je m'assoie sur une chaise et m'appuie sur mon établi, puis tombe dans un profond sommeil.
C'est un camarade qui me réveille, inquiet de ne pas me voir avant le repas du soir.
Je suis allé manger, puis je me suis couché jusqu'au lendemain.
"Mais, j'ai pas le droit d'y aller, mon lieutenant !".
"Ca va aller, tu dis que c'est moi qui t'envoie ! Moi j'y vais plus, ils me gonflent tous ces cons de militaires !".
Je souris, c'est vrai qu'il n'est pas comme les autres, et je l'apprécie beaucoup, pour cela !
Je me rend au mess, on me bloque à l'entrée, puis je dis ce que l'adjudant chef m'a précisé, et on me dit d'aller voir le chef des cuisines en passant par le bar des officiers.
Pendant ce temps, énormément d'officiers sortent de l'endroit, qui a l'air de se vider, le repas est terminé.
En passant devant le bar, autour d'une table, je reconnais quelques amants, dont le commandant.
Je passe mon chemin pour donner les objets au chef de cuisine, puis reviens par le bar.
Le commandant, m'attend et me bloque.
"Pascal ? Qu'est-ce que tu fais là ?".
Je lui explique, il comprend, mais me dit tout de suite après:
"Va aux toilettes, je te rejoins !".
"Mon commandant ! Vous êtes sûr ?".
"Vas-y et attends-moi ! Tu m'a donné envie ! Tu penses quand même pas que tu vas t'en sortir comme ça ! C'est derrière toi, au fond à gauche !".
Je me tourne et me rends dans l'endroit qui est assez éloigné, très propre et désert.
Le commandant me rejoint assez vite.
"Entres-là, et baisses ton treillis !".
Il me pousse dans un cabinet.
Je me place au dessus du bidet, avec les fesses nues, il me dévore l'anus un petit moment, en crachant de la salive, puis se redresse et m'enfonce sa longue bite d'une traite, en poussant progressivement.
"Ahhhh ! Putain ! C'est excitant de t'enculer ici !".
"Arhhhh ! Chtttt ! Mon commandant, on va devoir faire vite ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhh ! Mmmmmmmm !".
"T'inquiètes pas, ils ont presque tous partis !".
Je retiens mes gémissements causés par ses assauts brutaux, il me fait jouir puissamment sans discontinuer.
Je lui dis à voix basse, en gémissant.
"Mon commandant ! Je joui, ahhhhhhh !".
Il ne se retient pas de jouir comme à son habitude et se vide dans mon anus, en un peu plus de cinq minutes.
Il se retire et me dit:
"Attends ici, restes comme ça ! Les autres vont venir aussi !".
"Quoi ? Mais !".
Une minute plus tard, un autre de mes amants, entre dans le cabinet et me plante sa queue dans l'anus.
"Salut Gueule d'ange ! Toujours prêt à ce que je vois !".
"Arhhh ! Bonjour Sergent ! Vous aussi, on dirait ! Arhhhhhh !".
Il se déchaine, lui aussi, pressé de jouir vite, il me dit des mots crus à voix basse en me faisant orgasmer encore.
Au moment de jouir, il me demande de me tourner pour l'avaler.
Ses effluves me régalent d'un gout âpre et salé.
Puis il sort, pour prévenir le suivant que c'est son tour.
A nouveau, je prend deux autres orgasmes anaux.
Lui aussi, me fait avaler son foutre chaud, excité par le récit du précédent.
Les deux suivants m'enculent de la même façon, mais se déversent dans mon cul.
Un autre me rejoint et se fait sucer longuement, je ne le connais pas, mais j'adore sa queue épaisse.
Puis, il me défonce le cul en faisant plus de bruit que les précédents.
J'ai du mal à ne pas crier mon plaisir.
Il éjacule en grognant et me plaquant contre le bidet, sa jouissance est bestiale.
Je le rejoins dans l'orgasme, excité par sa domination et sa puissance.
Il ressort sans un mot, puis la porte s'ouvre encore.
C'est le dernier qui me détruit l'anus plus longtemps encore, m'épuisant de plaisir anal.
Pour finir, il m'inonde la gorge de son abondant sperme poivré.
Il m'annonce que je peux partir enfin et me remercie au nom des autres.
En allant vers eux, dans le bar, je réponds à leurs sourires, ils ont bien joui, et c'est grâce à moi, je le sais.
J'espère que cela ne vas pas déplaire à mon amant, le lieutenant, mais j'y crois guère !
Puis je remarque le barman, c'est celui que je ne connaissais pas, il me fait un clin d'œil et me lance:
"Merci, gueule d'ange !".
Le commandant m'impose de m'assoir près de lui.
"Prends ce que tu veux, je te l'offre !".
"Mon commandant ! J'ai pas le droit d'être ici !".
"Et ce qu'on t'as mis dans le cul, tu crois que c'est permis ?".
Les autres rient, je me sens idiot.
"Bon, une bière blonde, mon commandant !".
Le barman vient me servir et s'assoit à mes cotés en prenant une chaise derrière nous.
A part le fait qu'ils me baisent tous, je ne fais qu'écouter leur conversation, ayant peu de chose à leur raconter.
Ils se racontent, parfois à voix basse, des anecdotes sur des jeunes rencontrés dans des bars, toilettes publiques ou autres et quelques jeunes efféminés du camp.
Moins d'une heure après, deux militaires qui ne sont pas du camp, viennent vers nous.
Apparemment, le commandant les connait.
Ils sont là pour la journée, pour un entrainement au tir.
L'un d'eux voit que le barman a posé ma main sur sa queue qui bande encore et m'empêche de la retirer.
"Hummm, c'est une de vos mascottes ! On peut en profiter ? ".
"C'est lui qui décide ! Pascal ? T'en penses quoi ?".
"Oui, Pascal ! T'en penses quoi ? A mon avis, tu dois être une sainte nitouche !". Me demande le gradé.
"Mais vous venez tous de...".
"Ah bon, ils t'ont tous baisé, là, et nous alors ?".
Le commandant me regarde et me demande:
"Allez gueule d'ange ! Emmène les aux toilettes ! Montres leurs ce que tu sais faire ! Que tu n' est pas une sainte nitouche !".
Je trouve cette phrase ridicule, mais je réponds malgré tout:
"Bien, mon commandant !".
Le barman ajoute:
"Je peux les accompagner mon commandant, j'ai encore envie !".
"D'accord,! Prends les clés et vous vous enfermez ! On surveille !".
En marchant, je suis poussé par les fesses par les deux gradés, suivis du barman.
Une fois arrivés, le barman ferme à clef et baisse son pantalon en exhibant sa queue en érection, tout de suite.
"Allez gueule d'ange ! bouffes-moi la bite encore !".
Je m'exécute pendant que les 2 autres se déshabillent entièrement.
"Eh ben Pascal! T'as un cul qui appelle la baise ! Alors c'est toi, gueule d'ange !".
"Oui, Lieutenant !".
Ils se masturbent en me regardant sucer le barman.
Puis je remplace leurs doigts par ma bouche en passant de bite en bite.
Le barman s'écarte et dispose mes vêtements au sol devant les lavabos, puis s'allonge dessus.
"Viens t'empaler sur ma queue, salope !".
Je lui tourne le dos en me baissant progressivement pour poser mon cul au dessus de son gland.
Il me saisit au dessus des fesses et me fait descendre sur lui.
Face à l'appui de son gros gland, l'écartèlement de mon anus cause une flatulence qui fait ressortir le sperme qu'il contient encore, mêlé aux sécrétions anales.
Mon cul s'empale d'un coup sur sa bite.
"Arhhhhhhhhhhhhhh ! C'est bon, Arhhhhhhhhhh !".
"Mmmmmm, il aime ça ! La salope !".
Le barman m'ordonne de le baiser et m'accompagne dans mes mouvements avec son bassin.
Devant le plaisir que je prends, je suis gagné par l'envie de jouir et je m'encule comme un excité sous les mots crus des 3 militaires.
Mais il me faut tout de même 10 minutes pour faire éjaculer le barman qui grogne en se vidant dans mon cul.
"Eh ben ! C'est pas trop tôt ! A nous maintenant !".
Le barman nous laisse, avec la clef.
Ils me mettent en levrette, je suis investi par la bite du lieutenant, pendant que je suce le commandant.
Ils me défoncent des deux cotés, je suis claqué sur les fesses et ma gorge déborde de salive.
"Putain lieutenant ! C'est une bonne pute, celui-là, ils ont de la chance ! Qu'est-ce qu'il est bon a enculer !".
"Arhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh !".
"T'as raison, il gueule comme une chienne ! Il suce bien aussi !".
Le lieutenant va s'assoir sur un bidet de toilettes, je dois me mettre encore à quatre pattes pour le sucer, pendant que le commandant baise mon cul qui sort du cabinet.
Après cinq autres minutes, ils me redressent et me cale debout, contre la rangée d'éviers.
C'est au tour du commandant de me casser le cul, j'enchaine les orgasmes encore.
Ils se remplacent à tour de rôle, sans fin.
C'est le commandant qui craque le premier en me remplissant de son foutre brulant.
Le lieutenant prend la suite pour se branler avec mon cul jusqu'à son explosion à l'intérieur de moi.
Ils me remercient tous les deux, en même temps que je lave leurs bites avec ma bouche.
Ils rangent leurs outils de plaisir et je me fais une toilette sommaire.
Puis je vais vers le groupe qui a diminué, mon commandant discute et apprend aux militaires que je suis l'amant du lieutenant Robert T...
"Je peux y aller mon commandant ?".
"Oui, Pascal, Merci à toi ! Ils ont beaucoup aimé !".
"Ouais, t'as assuré gueule d'ange ! Tu mérites ta réputation ! Je comprends le lieutenant !".
Un frisson d'excitation me gagne. Ces plaisirs inattendus me rendent dingue.
Rentrer avec l'anus rempli et ce fort gout de bite dans la bouche m'excite beaucoup.
J'ai hâte de passer la porte de mon atelier pour me branler !
Mais je n'en ferai rien, et j'ai bien fait !
Je résiste, et reprend mon occupation, la tête pleine d'images perverses.
Une heure plus tard, ma porte s'ouvre.
Le sergent, ami de mon amant, entre, accompagné de son ami légionnaire.
Celui qui possède une queue munie d'une grosse déformation sous le gland.
Je me jette sur la porte pour nous enfermer, et leur dit:
"Il faut que vous m'enculiez, j'en ai trop besoin ! Je veux jouir !".
"Eh ! Gueule d'ange ! Je t'ai jamais vu comme ça ! On va te défoncer, t'inquiètes pas!".
Je me jette à ses pieds pour lui ouvrir la braguette, dès que j'ai sa bite dans la bouche, je cherche la queue du légionnaire avec ma main, en tâtonnant.
"Putain ! Quelle salope ! Ce soir !".
Je leur pompe leur bites avec vice et perversité, un long moment.
Puis je me dresse et me déshabille avec précipitation.
Je les attire vers la grosse caisse ou j'aime me faire prendre.
Je me pose en travers et supplie:
"Allez y, défoncez-moi comme une pute !".
"Putain, il m'excite !" Dit le légionnaire.
Il me remplit la gorge et me baise en gorge profonde.
Le sergent me dévore l'anus et profite de sa lubrification pour me pénétrer.
Une fois qu'il a passé mon œillet, il glisse d'un coup jusqu'au fond de mon cul.
En ressortant il voit qu'il est couvert de foutre.
"Putain Pascal, tu t'es fait enculer déjà ! Salope !".
"Arhhhhhhhh ! Oui, ça m'a excité, je veux encore jouir ! Cassez moi le cul !".
"Si il n'y a que ça pour te faire plaisir !".
Il s'accroche à mes épaules et m'assène de grands coups de queues violents.
Je joui en râles étouffés sur la grosse bite du légionnaire.
Le sergent m'aime beaucoup et il fait tout pour tenir sa promesse.
Il est venu pour m'enculer, mais il aime me faire plaisir en retenant son éjaculation.
Il me fait orgasmer encore et encore. Puis il propose à son ami de m'enculer à son tour, il est au bord de la jouissance.
La queue du légionnaire m'écartèle à nouveau les parois anales.
Il coulisse de plus en plus vite, et fort.
Mes yeux se révulsent, tant je prends mon pied.
Il me tourne sur le dos et me plante encore son gros et long pieu dans le cul.
Je me fais baiser en gorge profonde avec la tête en arrière par le sergent.
Ils se lâchent en me couvrant de mots vulgaires.
Le légionnaire me détruit inlassablement, pendant un temps interminable.
Je sens ma queue se gonfler sous l'effet pervers de sa déformation pénienne, sur ma prostate.
Je me dégage de la bite du sergent pour gémir.
"Arhhhhhhhhhh ! Oui c'est ça que je veux ! Arhhhhhhhhhhhh ! Encore!".
Puis ma gorge subit à nouveau les assauts du sergent.
Je bande alors très fermement, le légionnaire m'attrape par la queue pour s'en servir d'appui.
J'explose alors d'un long râle étouffé en expulsant tout mon sperme, au rythme des assauts violents du légionnaire.
Il me décalotte avec ses doigts à chaque fois qu'il me défonce l'anus avec sa grosse bite.
Le sergent explose à son tour, j'ai un effet de régurgitation en recevant son foutre brulant dans la gorge.
Je suis toujours soumis à la pénétration violente du militaire qui m'encule, le plaisir devient uniquement anal à présent.
J'avale le jus chaud du sergent qui s'est arrêté pour éjaculer longuement dans ma bouche.
Je ressens alors la crispation du légionnaire qui s'active encore davantage en gueulant des insultes à mon égard.
Il explose lui aussi, il se couche sur moi, son souffle fort et chaud m'excite.
"Arhhhhhhhhhhhh ! Putain, salope ! J'ai rarement joui aussi fort dans un cul ! Arhhhhhhhhhhh !".
"Arhhhhhhhhhhhh ! Oui, vas -y ! Vides toi ! Arhhhhhhhhhhh ! Tu m'as bien fait jouir ! Arhhhhhhh !".
Puis arrive le calme, après la grosse tempête sexuelle.
Nous sommes tous les trois, étourdis par le plaisir.
"Putain ! Gueule d'ange ! Tu nous as tué ! Mais c'était trop bon !".
"Ah, ouais ! Super bon !" Ajoute le légionnaire.
"Pour moi aussi, c'était bon ! J'avais besoin d'éjaculer en me faisant détruire le cul ! Merci de l'avoir fait !".
"On recommence quand tu veux !".
"Pas de souci, mais là, j'ai eu mon compte ! Vous deux et les 9 autres dans les chiottes du mess des officiers, c'est beaucoup pour aujourd'hui !".
"Ah ouais ! Carrément dans les chiottes du mess ! Ca, je crois que c'est jamais arrivé !".
"Bon, vous étiez venu pour ça ?".
"Oui, mais on a eu plus que ce qu'on voulait ! Merci Pascal !".
"De rien, c'est toujours un plaisir, et encore plus aujourd'hui, merci sergent !".
Ils m'aident à me relever, je me nettoie de mon propre sperme, puis je m'essuie l'anus et le tour de la bouche.
Ils me quittent avec un grand sourire. Je me sens mieux, libéré de mon besoin d'éjaculer, une simple masturbation m'aurait frustré.
Mais je suis pris d'une grosse fatigue soudaine, je m'assoie sur une chaise et m'appuie sur mon établi, puis tombe dans un profond sommeil.
C'est un camarade qui me réveille, inquiet de ne pas me voir avant le repas du soir.
Je suis allé manger, puis je me suis couché jusqu'au lendemain.
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