Initiation militaire. 2 - histoire érotique

"Soldat Pascal… ! Le lieutenant T.... veut vous voir, vous stoppez tout, et vous y allez !".
"Oui, adjudant-chef !".
Je monte dans la jeep, à côté du chauffeur, qui m'emmène voir le lieutenant.
Je suis anxieux, c'est la première fois qu'il me fait venir après m'avoir dépucelé, c'est encore frais, puisque c'était la veille.
Ça reste nouveau pour moi, j'en ai envie, mais j'ai encore des scrupules d'hétéro.
Je ne reconnais pas le bâtiment ou il m'a dépucelé.

Le chauffeur me dépose devant l'entrée du vrai bureau personnel du lieutenant et s'en va.
Je tape à la porte.
"Entrez !".
"J'entre et fais mes présentations militaires.

"Soldat… Pascal, au rapport, mon lieutenant !".
"C'est bon, pas de ça entre nous ! Fermez la porte à clef !".
Il s'appuie contre son bureau et fait tomber son pantalon sur ses jambes. Sa grosse bite est pendante, avec son gland déjà apparent.
"Occupez-vous de ça ! Obéissez ! Ne perdons pas de temps ! Vous savez comment faire maintenant !".
Je réponds, en bafouillant, sous l'effet de ma stupeur.
"Euh, je ... Oui, mon lieutenant !".

Je me prosterne à ses pieds et retrouve le plaisir de lui dévorer la queue, mais plus passionnément que la première fois, j'ai jeté mes scrupules à la poubelle.
"Ohhh, vous apprenez vite ! Ouhh ! Ça promet ! Ca a l'air de vous plaire !".
"Merci, oui, mon lieutenant, j'aime ! Mmmmmm".
"Tu as aimé ce qu'on a fait hier ?".
"Mmmm, slllrp ! Oui, mon lieutenant ! Mmmm, j'ai adoré ! J'avais hâte que vous me rappeliez !".
"Tu veux que je t'encule après ?".
"S'il vous plait ! Mon lieutenant ! J'en ai besoin maintenant !".
"Bon, mais tu devras obéir à tous mes ordres ! On est bien d'accord ?".
"Oui, mon lieutenant ! Tout ce que vous désirez !".
" Allez suces-moi bien, encore un petit moment ! J'adore ça !".

Je ne pensais pas que sucer un homme serait aussi excitant et passionnant, entendre ses gémissements de plaisir à chaque coup de langue ou de mouvement de gorge, me comblait de bonheur.
Il me donne des indications, de rythme, de profondeur, me dirige vers ses couilles pour que je les avale, et les lèche de ma langue.
Plus il me guide, et plus, j'aime lui sucer la bite.

"Ouhhhh ! Pascal, T'as l'air d'apprécier ce que tu me fais ! Ahh !".
"Plus que ça, mon lieutenant ! J'adore ! Mmmmm ! Vous me laisserez recommencer, s'il vous plait ?".
"Ben, tu y auras droit à chaque fois que tu viendras ! Ahhhhhhh !".
"Merci, mon lieutenant ! Mmmmmmm".
"Ohhh, arrêtes ! Maintenant ! Tu vas me faire jouir !".
"Il ne faut pas mon lieutenant ?".
"Si, mais il faut d'abord que je t'encule, tu vas baisser ton pantalon de treillis et te tenir là ! Contre ce meuble !".

Il cherche dans son tiroir et prend son tube, il en fait sortir une grosse noisette qu'il dépose au bout d'un de ses doigts.
Il m'enduit l'œillet de ce que je pense être de la vaseline.
Il étale le produit en ciblant l'intérieur de mon anus.
Il se présente derrière moi en me tenant par les fesses, son gland se place idéalement contre mon œillet.

J'aime la sensation de puissance de ses mains sur mes hanches, il me guide vers sa bite, il me domine et cela m'excite.
Je ferme les yeux, pour mieux ressentir cette future pénétration, que j'ai tant désirée, depuis qu'il m'a pris la première fois.
Il pousse fermement contre mon anus, qui s'ouvre doucement.

"Arhhhhh ! Oh ! C'est gros, mon lieutenant ! Mais j'en ai envie ! Arhhhhhhhhhh !".

Patiemment, il parvient a s'enfoncer complètement dans mon anus, il soupire de plaisir en me touchant le fond.
Ses mains se crispent autour de mon corps si frêle, avec sa bite plantée dans mes fesses cambrées et rebondies.

"Mon lieutenant ! Ouhh, qu'est-ce que vous m'avez manqué ! C'est tellement bon ! Arhhhhhhhhh !".
"Tu aimes ma queue, je vois !".
"Ohhh ! Oui, ça rentre plus facilement, on dirait ! Arhhhhhhhhhh !".

Sa large bite est dans mon cul jusqu'aux couilles.
Il bouge en moi, amplement et d'un mouvement pas très rapide, afin de m'habituer à sa présence.

"Ouhhhh, mon lieutenant ! C'est trop bon ! Si vous saviez !".
"Ah, je vois que tu y prends gout ! Tu deviens accro ! Tu aimes te faire enculer !".
"Oui, mon lieutenant ! Arhhhh ! Pourquoi j'aime autant ça ? Je ne veux pas être pédé ! Arhhhhhhh !".
"Ne te poses pas de question ! Tu es fait pour ça ! Tu as tout ce qu'il faut pour être une bonne salope !".
"Une salope, mon lieutenant ? C'est humiliant ça !".
"Ca fait partie du plaisir de se faire enculer ! Et tu aimes déjà ça !"
Oui, il a raison, j'ai un peu l'impression d'être une femme soumise, c'est vrai.
J'aime cette soumission, et je me sens redevable de ce plaisir, j'assume donc en lui disant :
"Arhhhhh ! Oui, je suis votre salope ! Merci, mon lieutenant !".

Il augmente le rythme pour me faire comprendre que je suis devenu sa chose, sa femelle.
"T'as vite compris ce que tu étais, salope !".
"Arhhhhhhhhhhh ! Oui, mon lieutenant ! Vous me faites jouir ! Arhhhhhhhhhh ! Dites-moi que vous aimez m'enculer, vous aussi !".
"Oh, oui ! J'aime t'enculer ! Tu peux être sûr de ça ! Ouhhh ! Qu'est-ce que je suis bien ! Tu promets d'être une petite salope pas comme les autres !".

Il s'applique vicieusement à me faire orgasmer, en lui réclamant de m'enculer plus fort.
Puis, il sort de mon cul, et m'ordonne :
"Va t'allonger sur le bureau !".
Je m'étale en lui offrant mon cul.
"Non, sur le dos !".

Je me retourne, il me prend par les cuisses et m'enfonce encore sa grosse queue dans l'anus.
Il reprend son rythme puissant et profond en regardant sa bite qui m'écartèle.
"Arhhhh, mon lieutenant ! C'est bon comme ça, aussi !".
"Ahhh ! Putain ! Ce que c'est bon de t'enculer ! Ohh, ce cul ! Je l'aime !".
"Arhhhhhh ! Vous l'aimez ? Mon lieutenant ! Vous m'enculerez encore alors ? Arhhhhhhhh !".
"Bien sûr ! Tu devras venir souvent ! C'est un ordre ! Tu es à moi maintenant !".
"Merci, mon lieutenant ! Arhhhhhhh !".

Je découvre avec mon cul, ce qu'est l'endurance d'un homme, il me fait jouir plusieurs fois avant d'annoncer son plaisir.
"Viens là ! Retourne-toi !".

Je ne comprends pas pourquoi, il arrête de m'enculer ! Il appuie sur ma tête pour que je le suce.
Sa bite est embuée de muqueuses anales, je le prends au fond de ma gorge, j'ai l'étonnement d'un gout âpre, salé et chaud dans le palais.
Ses gémissements me font réaliser qu'il joui, je reçois donc son éjaculation ? C'est la première fois que cela m'arrive.
Je me mets à bander d'excitation, j'aime recevoir son sperme et l'avaler. J'adore ce gout nouveau, je m'applique à le sucer passionnément pendant qu'il profite de son plaisir.

"Ahhhhhhhhh ! C'est génial ! Ohhh ! Tu n'as plus rien à apprendre ! T'es doué ma petite salope !".
"Merci, mon lieutenant ! Ça vous as plu ?".
"J'ai adoré ! En plus, tu as avalé, sans que je te le demande, c'est bien !".
Il me dit de me rhabiller, puis de m'assoir devant son bureau.
Il se place dans son fauteuil avec la queue pendante et humide au bout du gland.
"Bon soldat ... ! Qu'est-ce que vous avez comme permission de sortie, ce week-end ?".
"Une 48 heures, mon lieutenant !".
"Je vous octroie une 72 heures !".
"Merci, mon lieutenant !".
"Vous revenez quand j'ai besoin de vous ! Ca vous dit que je vous initie au plaisir, d'essayer d'autres jeux ?".
"Oui, j'en ai envie, mon lieutenant ! Je vous fais confiance ! Demandez moi tout ce que vous voulez !".

Je suis revenu le lendemain, le plaisir que l'on a partagé était si fort qu'il en voulait encore, et moi aussi.
Plus il m'enculait, et plus, je devenais un soumis heureux.
Comme il me l'avait prédit, je devais tout accepter.
Après cinq rendez-vous, il me fait appeler à nouveau.

Je suis étonné de voir qu'il est avec un autre militaire, plus gradé que lui, C'est le commandant du camp.
Déçu de ne pas être là pour le sexe, je fais mes présentations usuelles.

"Repos soldat ... ! Asseyez-vous".
"Merci, mon lieutenant ! Vous avez besoin de moi ?".
"Le commandant a un souci, vous devriez pouvoir l'aider ! Mon commandant, je vous le laisse ! Lâchez vous ! Il va vous surprendre !".

Le commandant baisse son pantalon et arbore une queue de belle taille, avec surtout, un gros gland bien dessiné.
"Le lieutenant m'a parlé de certains de vos talents, montrez-moi ce que vous savez faire ! C'est un ordre !".

J'hésite un petit instant, étonné, ce n'est donc pas une relation exclusive entre le lieutenant et moi. Puis je réponds :
"Oui, mon commandant !".

Je me place entre ses cuisses et entreprend de lui montrer comment j'aime sucer la queue du lieutenant, mais en suçant la sienne.

"Ouhhh, Robert ! Il est doué celui-là ! Ouuh c'est bon !".

Je me surprends à innover de plus en plus, je deviens vicieux et pervers, quand j'ai une bite dans la bouche.
Même le fait de sucer un homme devant un autre m'excite énormément.
Je ponctue mes succions par des moments tendres et passionnés, au son de la radio que mon amant a augmenté pour plus de discrétion.
Une dizaine de chansons s'écoulent.

"Arhhhh ! Robert, il va me faire jouir ! Ce petit con ! Arhhhhhhhhhhhhhh !".

Je ne m'attendais pas à ce que la deuxième dose de sperme que j'avalerai, serai celle du commandant du camp.
Ses effluves me remplissent la gorge d'une excitante chaleur salée.
Il est plus doux et abondant que celui du lieutenant.

"Ahhhh ! Oui, avale tout, putain, Robert, j'adore lui remplir la bouche ! Arhhhhhhhh !".
"Je te l'avais dit ! Il aime vraiment ça !".

Le commandant termine de se déverser en me caressant la tête tendrement.

"Ah !, c'était bon, il m'a soulagé, ça va mieux ! Je te le rends Robert ! Tu lui mets un jour de plus, il a bien travaillé !".
"Ok, mon commandant ! Bon ! Petit Pascal ! À nous maintenant !".

Il ouvre son tiroir pendant que je m'étale sur son bureau après avoir baissé mes vêtements.
Le commandant voit mon cul cambré et s'extasie dessus.

"Il a un cul magnifique ! Robert! Je crois que je vais rester pour vous regarder ! J'ai envie de voir ça !".
Le lieutenant donne le tube de vaseline au commandant, qui m'enduit l'anus, alors que la large queue de mon amant pointe son gland.
Je prends mes fesses de chaque main, pour les écarter.

"Il attend que ça, cette salope !" Dit le commandant.
"Oui, c'est dingue comme il aime se faire enculer ! J'adore l'entendre jouir !".

Le lieutenant me pénètre plus aisément à chaque rendez-vous.
Dès qu'il atteint le fond de mon cul, il me baise avec hargne.
Ses assauts sont puissants et profonds, je jouis analement et cérébralement de penser qu'un autre homme me voit, me faire enculer ainsi.
Le lieutenant est toujours aussi endurant, mes plaisirs s'enchainent, il m'encule si longtemps que le commandant bande à nouveau et vient se faire sucer jusqu'à l'éjaculation du lieutenant dans mon cul.

Mon amant est vidé et s'écroule sur la chaise derrière lui.
Le commandant vient derrière moi et m'encule à son tour.
Je suis surpris de la situation, je ne m'attendais pas à me faire enculer par un autre homme. Sa queue est très agréable, surtout son gros gland qui me fait jouir grâce à sa protubérance, en coulissant dans mon anus.

"Arhhhhhhh ! Mon commandant ! Vous aussi, vous m'enculez bien !".
"Oh Robert, je te comprends ! Il a un très bon cul, ce petit jeune !".

Il me défonce avec acharnement, très longtemps, J'ai déjà atteint le point de non-retour en orgasme anal, j'ai l'impression que mon anus n'est plus qu'un trou à bites.
Mon corps porte les traces rougies des cognements de ses cuisses contre mon cul, et également autour des hanches, à cause de ses mains fermes qu'il soulève parfois, puis les claquent sur mon cul pour s'accrocher à nouveau.
Son éjaculation est une délivrance, j'ai trop joui !

Un long silence règne dans le bureau, révélateur d'un moment de récupération nécessaire pour chacun.
Une forte odeur de sexe et de sperme remplit la pièce, c'est très excitant.
Le lieutenant s'est rhabillé depuis un moment déjà.
Ses yeux brillent d'excitation et de fierté, il est visiblement content de ma prestation.
Il admire longuement mon anus béant et coulant de sperme, au milieu de mes fesses rougies.

Le commandant attrape un mouchoir pour se nettoyer la queue, puis la range en remontant son pantalon de gradé, et sort du bureau en disant :
"C'était excellent ! Vous êtes une bonne recrue, Soldat …! Merci Robert !".

Le lieutenant me donne des mouchoirs pour que j'essuie mon anus.
"Tu as assuré, c'est très bien ! Petit pascal !"
"Merci, mon lieutenant ! C'est vrai ? Vous croyez qu'il a aimé jouir avec moi ?".
"C'est sûr ! Et si tu acceptes, tout ce que je te demande, on va aller loin tous les deux !".
"Tout ce que vous voulez mon lieutenant ! J'ai aimé moi aussi !".
"Ca ne t'as pas gêné de baiser avec un autre que moi ?".
"Ben, pas trop, j'ai compris que vous en aviez envie, et je vous ai fait plaisir, mais du coup, j'ai aussi adoré ça ! Merci mon lieutenant ! J'ai jamais autant joui avec mon ... euh!".
"Avec ton cul, oses-dire le mot ! Tu vas t'habituer à tout ça ! Bon ! Qu'est-ce que tu as comme perm ?".
"Je suis bloqué, mon lieutenant !".
"Je te donne une 48 heures ! Ça te va ?".
"Merci, mon lieutenant ! Mais les autres ? Ils vont se poser des questions !".
"J'en fais mon affaire !".
"Merci, mon lieutenant !".
"Tu reviens lundi, après ta journée ! je t'enverrai mon chauffeur !".
"Oui, mon lieutenant !".

Je suis rentré avec son chauffeur, les secousses de la jeep ne m'aidaient pas à contenir le sperme encore dans mon cul.

Le lundi, l'adjudant-chef m'appelle par mon nom et ajoute :
"Le lieutenant T.... veut encore vous voir, vous y allez ! Dépêchez-vous !".
"Oui, adjudant-chef !".
"Vous ! Vous allez encore avoir une perm !".
"Je ne sais pas mon adjudant !".

Quand j'ai eu mon affectation définitive dans un atelier du camp, les choses sont devenues plus simples.
J'aurai deux chefs, un adjudant et un adjudant-chef, que je dois appeler lieutenant, pour le dernier, ce qui m'excitait toujours un peu.
Le simple adjudant ne m'aimait pas beaucoup, il trouvait que j'avais trop de permissions et se posait des questions.
De quoi se plaignait-il, lui aussi me donnait des perms, mais c'est plus pour mes talents d'artisan qu'il utilisait à son compte personnel, comme d'autres gradés.
Mon atelier était plein de travaux en cours qui lui étaient destinés.

Par souci de discrétion, le lieutenant m'a fait venir chez lui, quelques après-midi et après mes heures de présence.
Il a imaginé que ce que faisait l'adjudant pouvait me servir d'excuses, mais les travaux étaient à domicile !
Il a alors imaginé d'autres rencontres pour moi.

Il a aussi varié nos jeux, en me faisant des visites surprises à l'atelier, toujours le matin.
Le plus souvent, je devais le soulager en lui offrant une longue fellation, jusqu'à son déversement de sperme dans ma gorge.
Mais parfois, il m'enculait aussi.

Il est loin le temps où je rentrai, comblé de plaisir, mais aussi honteux de penser qu'un homme avait utilisé mon anus pour se satisfaire.

Mais après tout, quand je m'insérais des mini phallus, étant enfant, je devais bien me douter que je me ferai enculer par un homme, un jour !
Aujourd'hui, c'est fait et c'est encore meilleur que je le pensais ! Mais la pression et le jugement de la société, me donnent un sentiment de honte de moi, si mes parents et mes amis savaient !

Par chance, le fait que je suis devenue la salope du lieutenant, m'a presque empêché de tomber amoureux de lui.
Comme il m'offrait à ses amis, je repoussais mes sentiments naissants, c'était quand même mon premier amant ! Mon attachement est resté sous-jacent, et il me plait de penser que lui aussi ressentait quelque chose pour moi.