Initiation militaire. 4
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Initiation militaire. 4
Je reviens sur cette période d'initiation homosexuelle si riche en sensations pour moi.
Après mon premier gang bang homo, je suis pris de doutes sur ce que je suis.
Les souvenirs de ce que je viens de faire me ramènent aux images des livres pornos de mes grands frères.
Ils montraient des filles subissant des pénétrations multiples et des arrosages de sperme sur tout le corps.
Inconsciemment, si j'avais envie d'être à la place des hommes, je rêvais plus encore d'être la fille.
Je sais que j'ai adoré ces moments d'orgasmes en tous genres, mais l'excitation est retombée, et le remord revient, j'ai honte de moi, pourquoi j'aime autant ça?
À ce moment précis, mon amant militaire me ramène à la caserne.
"Mon lieutenant ! Je peux vous demander quelque chose ?".
"Bien sûr ! Vas-y, Pascal !".
"Vous diriez que je suis un homo ?".
"Oh, tout est relatif, on met les gens dans des cases, il ne faut pas avoir honte du plaisir que tu prends avec ton cul ! C'est même un cadeau, pour moi !".
"Mais, je n'ai jamais été attiré par les garçons, j'aime les filles ! Seulement, je suis encore puceau à ce niveau-là ! J'ai peur de devenir homo !".
"Sois patient, tu vas connaître des filles, c'est sûr ! Tu as le physique pour ça ! Et rassure-toi, ça ne se voit pas que tu aimes aussi les hommes ! Tu n'es pas efféminé ! Même si ton corps est très féminin ! Tu devras vivre deux sexualités, c'est tout ! Au cas où, bien sûr, tu aimes toujours les filles, après ton premier rapport hétéro !".
"Vous êtes sûr ? Mon lieutenant !".
"Oui, mais tu ne prends pas assez de plaisir avec moi et mes copains ?".
"Si, justement, c'est ça qui me fait peur ! C'est trop fort ! Je n'en ai jamais assez !".
"On va faire une expérience !".
Il dégrafe son pantalon et sort sa queue qui bande fermement de nouveau.
Je me baisse pour l'englober presque aussitôt et le pompe goulûment comme une vraie salope.
"Humm, voilà ! Ça confirme ce que je pense depuis le début ! Pourquoi tu m'as sucé ? Je ne te l'ai pas demandé !".
"Parce que j'aime ça ! C'est plus fort que moi, ca m'excite ! Je n'aurais pas dû le faire ?".
"Si, mais ça répond à tes questions ! Pourquoi, tu te priverais des plaisirs du sexe ! Ce n'est pas ça qui définit ce que tu seras dans la vie ! Amuse-toi ! Nos gouts sexuels n'intéressent que ceux qui y participent !".
"Je peux continuer, alors ? Mon lieutenant !".
"Hummm, avec plaisir ! Régales toi ! J'aime bien jouir dans ta bouche aussi !".
Au bout de quelques minutes, il m'honore du peu de sperme que son corps a pu produire après les précédentes éjaculations durant le gang bang.
En rentrant, je m'isole dans les toilettes pour me masturber en me remémorant tout ce que j'ai vécu.
Les conversations des garçons de mon régiment étaient très puériles, ils se traitaient de puceau, pédé, bref un concentré de testostérone, de jeunes cons.
J'étais toujours gêné quand on me demandait, si j'avais déjà baisé, je noyais le poisson en disant oui, ce qui n'était pas faux ! Mais pas avec le sexe qu'ils pensaient ! Et surtout, c'est moi qu'on baisait !
Je passais pour un "planqué" à cause de ma relation avec le lieutenant. Mais tant que personne ne devinait la nature de cette relation, je m'en moquais !
Un matin, j'ai été convoqué par le lieutenant, après la dépose par son chauffeur de jeep, je suis remonté dans sa voiture aux vitres sombres et il m'a emmené chez un autre militaire.
En entrant, je retrouve 4 hommes qui m'ont enculé la première fois, mais aussi 3 autres nouveaux dont 2 légionnaires d'origines étrangères.
Le lieutenant m'ordonne de me mettre nu, et de me coller contre sa cuisse.
Il est assis avec la bite à l'air et se laisse faire pendant que je le suce.
Les hommes discutent à mon propos, en se masturbant et commencent à se dévêtir.
Mon lieutenant adoré m'oblige à m'occuper des autres invités, ils font un cercle autour de moi.
"Là, Robert, je crois qu'on a atteint le summum ! On ne trouvera pas mieux que lui ! C'est une vraie salope ! Cette fois, il aime vraiment ça !".
"Oui, je l'adore moi aussi !".
Je passe de queue en queue avec passion et vice, je suis étonné par le troisième inconnu, plus vicieux qui me défonce la gorge avec violence.
Mon amant le calme un peu, et tout rentre dans l'ordre.
Puis l'un d'eux me badigeonne l'anus de gel, et en me gardant plié en deux, me plante profondément son membre très dur, dans le cul.
En quelques assauts frénétiques, il me fait jouir en râlant comme une jeune pute.
Pour plus de facilité, on me place à genoux sur la table du salon, je peux alors plus aisément honorer les queues qui se présentent devant ma bouche pendant qu'on m'encule.
Les orgasmes anaux s'enchaînent, les éjaculations buccales et anales aussi.
Le plus vicieux se déchaîne dans mon cul comme un sauvage, je crie mon plaisir, puis il commence à me frapper violemment sur le cul.
Il me fait mal ! Et il gâche mon plaisir !
Heureusement, il se déverse en moi très vite, abrégeant mes souffrances.
Je retrouve plus de plaisir avec les hommes suivants, ensuite arrive, le moment où tout le monde a joui une première fois.
Je suis rempli et couvert de sperme, je demande la direction de la salle de bain.
Le propriétaire m'indique la direction, je m'y rends et fais couler l'eau, en attendant qu'elle se réchauffe.
Je suis debout avec l'anus qui laisse échapper de l'air et du sperme encore une fois.
Puis, je suis surpris par le plus vicieux qui m'a suivi.
"Qu'est-ce que vous voulez ? Vous voulez vous laver aussi ?".
"Non, je vais te donner ta première douche dorée, mets-toi accroupi dans le bac !".
J'obéis en demandant incrédule :
"Je ne comprends pas !".
Il se place face à moi et m'inonde d'un jet interminable d'urine chaude.
Il m'ouvre la bouche en appuyant sur mon menton, je recrache aussitôt le liquide.
"Voilà, c'est comme ça qu'il faut traiter une pute comme toi !".
Je subis en gémissant de honte, si je parle pour dire non, je risque d'avaler encore sa pisse sans le vouloir !
Quand il a terminé, j'ouvre les yeux et je vois que mon lieutenant a vu la scène, il laisse sortir l'homme et me dit :
"Je sais que tu n'aimes pas ce qu'il vient de faire ! Et il ne sera plus invité, il m'a été imposé par un ami !".
"Non, je n'aime pas ça, ce n'est pas la soumission que j'aime, ni sa violence ! Je n'y prends pas de plaisir !".
"On est d'accord !".
Je me rince soigneusement, il m'embrasse tendrement, puis me laisse faire ma toilette.
Je suis décontenancé par ce baiser et en revenant, je remarque l'absence du vicieux.
Les autres lui ont fait comprendre qu'il devait partir.
Le lieutenant vient de me montrer une forme d'attachement, qui me rassure sur notre relation.
Nous avons fait un barbecue, ensuite, nous avons repris nos jeux entre hommes jusqu'à 17 h, avec de nombreuses poses.
Après quelques sodomies fougueuses, on m'attache contre la table de salon.
Notre hôte se fait aider pour apporter un appareil que je ne peux voir, puis on m'enduit l'anus de gel abondamment.
Je me sens pénétré par un gode vraiment très large.
Après quelques minutes, j'entends le lieutenant qui demande :
"Vas-y allume le !".
En même temps que j'entends le bruit d'un moteur, je me fais baiser le cul par le gode à un rythme soutenu.
Je subis un orgasme anal puissant sous les yeux des hommes qui se masturbent en me regardant.
"C'est bon, petit Pascal ?".
"Arhhhh ! Oui, mon lieutenant ! Arhhhh ! Arhhhh ! Arhhhh !".
Je me fais enculer par cette machine, interminablement, je leur demande de l'arrêter, le plaisir est insupportable.
Mais ils sont excités de savoir combien de temps, je vais tenir encore, à me faire éclater l'anus ainsi.
J'ai l'impression d'avoir le cul plein de sperme, tant je sens couler du liquide anal.
Puis mon cul se relâche, le plaisir devient continu, et je me relâche moi aussi, laissant la machine m'enculer encore et encore.
Mon visage est tourné sur le côté, comblé de plaisir, je reçois une éjaculation de sperme sur le dos, ensuite les deux derniers invités ajoutent leurs semences à la première, en insistant sur l'endroit où le gode coulisse dans mon cul. ils utilisent leurs spermes pour lubrifier le gode.
La machine s'arrête enfin, on m'aide à me relever.
Quelque chose dégouline entre mes cuisses, je pense à du sperme.
Mais au bord de la table, au-dessous de mon cul, se trouve une énorme tache visqueuse et blanchâtre.
Le gode noir encore fixé sur la machine est couvert de la même substance.
"Regardes comme tu as mouillé du cul ! Tu as des prédispositions pour ça !".
C'est vrai que j'avais remarqué que je sécrétais des muqueuses anales quand je me baisais avec des objets, mais là, c'était plus que les autres jours.
Mon anus est béant et sursollicité, mon amant m'essuie l'entre jambe avec du Sopalin, et éponge le sperme sur mon dos et mes fesses.
Puis, je m'étale sur le canapé de notre hôte, je suis alors pris de spasmes dans l'anus.
"Mon lieutenant ! je ne sais pas ce qui m'arrive, je ressens encore du plaisir ! Arhhhh !".
Je me contorsionne en constatant que je suis en train de bander, je fais travailler mon sphincter instinctivement. Je contrôle ainsi le plaisir de mon anus, pris de spasmes, qui monte inexorablement jusqu'à me procurer un orgasme anal sans me faire pénétrer, et j'éjacule presque aussitôt ensuite.
Quand mon plaisir retombe, je remarque tous les regards étonnés autour de moi.
"Désolé, mon lieutenant !".
"Au contraire, c'était super ! Gueule d'ange !".
Je me sentais fier de susciter autant de désir chez ces hommes, et de tous les satisfaire sans exception.
La plupart étaient mariés, sauf le lieutenant, qui était un célibataire endurci !
Certains lui rendaient visite à la caserne, en quittant leur poste, et le lieutenant me faisait venir.
Ils m'enculaient dans son bureau à tour de rôle, je bénissais la radio et l'isolation phonique de l'endroit !
Vers la fin, les rumeurs se propageaient.
Un bleu avait poussé la porte sans prévenir et avait surpris le lieutenant qui enculait une jeune recrue, par chance ce n'était pas moi !
Il n'a pas tenu sa langue et la rumeur s'est propagée au fil des mois.
On a commencé à me demander, si je ne faisais pas partie de ses victimes ou amants.
"Allez, t'es sûr qu'il ne t'encule pas ? Ce n'est pas toi, gueule d'ange ?".
"Mais non, n'importe quoi !".
L'étau se resserrai autour de moi, les deux dernières semaines ont été difficiles, les autres se taisaient en ma présence.
Mais les insultes à voix basses étaient courantes.
Je me moquais de tout ça, on n'allait jamais se revoir, tous les mecs de mon régiment allaient retrouver leurs régions ! Je ne risquais rien ! Et j'avais raison, je n'ai jamais revu l'un d'eux ! Mais le lieutenant devait rester lui !
Il m'a dit que l'affaire allait se tasser, il m'a rappelé qu'un de ses invités était le commandant de la caserne et qu'il m'adorait.
Lors de la présentation de départ (la quille !), après le passage chez le colonel, il m'a demandé de venir dans son bureau. Il m'a imposé de le sucer pendant de longues minutes avant de m'enculer.
Comme à chaque fois qu'il avait l'occasion de le faire.
Il m'a souhaité bonne route pour la suite, en disant que c'était dommage que je m'en aille.
J'ai vécu beaucoup de moments excitants durant cette année militaire.
Je me souviens qu'un participant de nos parties, m'a reconnu alors qu'il entrait dans mon atelier sur le camp.
"C'est toi la pute du lieutenant ?"
Je me fige en entendant cette phrase.
"Euh, excuse-moi, je ne voulais pas dire ça comme ça ! C'est Pascal, c'est ça ?".
"Oui ! Caporal-chef !".
"Repos ! Pas de ça entre nous ! On a baisé ensemble ! N'oublie pas !".
"Je m'en souviens bien mon cap... Euh désolé !".
"Dis-moi, si on profitait de l'occasion ! C'est possible, tu crois ?".
"Ici ? Ben à part vous, je n'attends personne, mais on va devoir être prudent quand même !".
Il se colle contre la porte, qu'il ferme à clef pendant que je place un panneau contre la seule vitre qui offre une vue sur nous.
Il m'attend avec le pantalon sur les pieds, je m'accroupis devant lui.
"Oui, c'est ça ! Putain, je pense souvent à toi, ça tombe bien ! Suce-moi comme l'autre fois ! J'adore ta bouche".
Je pense au lieutenant et je ne sais pas s'il va être d'accord avec cet écart dans notre relation.
Mais j'aime trop ça pour refuser cette opportunité.
Je me délecte de sa queue, plus il gémit, plus je suis excité et deviens goulu.
"Arhhhh, stop, je veux plus ! Relève-toi !".
Il me tourne puis me baisse mon treillis, il me dévore l'anus très longuement, après il pointe son sexe très long pour m'enculer enfin.
"Ahhh ! Caporal-chef, c'est bon !".
Il m'encule comme il a su le faire la première fois, avec fougue et bien profondément.
Il me fait jouir du cul, il aime me voir étouffer mes râles dans mon bras.
"Putain, j'adore t'enculer ! Ton plaisir est communicatif, tu es une belle petite salope ! Pascal ! Je sais où te trouver maintenant !".
Ses assauts continuent leurs effets destructeurs de mon cul en me faisant orgasmer encore, jusqu'à son éjaculation.
On partage notre contentement mutuel d'avoir succombé à l'envie de baiser.
C'est clair, on se sent mieux après !
Je remonte mon pantalon militaire, il fait de même, puis me donne une mission qui concerne mon travail sur le camp.
À peine cinq minutes, après, un homme du rang entre, on a échappé au pire ! J'ai néanmoins peur qu'il reconnaisse l'odeur de sexe anal qui règne dans l'atelier.
"Bon, ... vous me faites ça au plus tôt, c'est pressé !".
"Oui Caporal-chef !".
Quand j'ai retrouvé le lieutenant, j'ai osé lui parler de cet écart :
"Mon lieutenant ! Je dois vous avouer quelque chose !".
"Ah bon ? Qu'est-ce que c'est ?".
"J'ai eu la visite du Caporal-chef S... Et... Il m'a reconnu, on n'a pas résisté, il... Il m'a... enculé dans mon atelier, vous m'en voulez ?".
"Oh non ! Au contraire, il ne faut pas te gêner de baiser sans moi ! Profites en le plus possible, sois discret, c'est tout ! C'était bon ?".
"Très bon ! Oui".
"Bien ! Raconte-moi pendant que tu me suces !".
Cette anecdote lui a donné l'idée de dire aux participants de nos orgies, qu'ils pouvaient solliciter mes services dans mon atelier en restant discrets.
Pour un puceau, j'avais fait mon chemin, au bout de six mois, j'avais entre vingt et trente rapports sexuels par mois, parfois plusieurs par jour.
Le surnom de gueule d'ange commençait à circuler dans le camp.
C'était un nouvel amant du lieutenant, déjà homo assumé, amoureux et jaloux qui a fait courir le bruit de l'existence, d'un appelé qui était une vraie salope pour les gradés du camp.
J'ai compris à la longue que c'était moi ! Puisque mes amants m'appelaient comme ça, quand ils me baisaient.
Puis le lieutenant s'est fait surprendre avec le jeune homo, il était jaloux de ma relation avec mon initiateur, qui a cessé de le baiser ensuite.
Après mon premier gang bang homo, je suis pris de doutes sur ce que je suis.
Les souvenirs de ce que je viens de faire me ramènent aux images des livres pornos de mes grands frères.
Ils montraient des filles subissant des pénétrations multiples et des arrosages de sperme sur tout le corps.
Inconsciemment, si j'avais envie d'être à la place des hommes, je rêvais plus encore d'être la fille.
Je sais que j'ai adoré ces moments d'orgasmes en tous genres, mais l'excitation est retombée, et le remord revient, j'ai honte de moi, pourquoi j'aime autant ça?
À ce moment précis, mon amant militaire me ramène à la caserne.
"Mon lieutenant ! Je peux vous demander quelque chose ?".
"Bien sûr ! Vas-y, Pascal !".
"Vous diriez que je suis un homo ?".
"Oh, tout est relatif, on met les gens dans des cases, il ne faut pas avoir honte du plaisir que tu prends avec ton cul ! C'est même un cadeau, pour moi !".
"Mais, je n'ai jamais été attiré par les garçons, j'aime les filles ! Seulement, je suis encore puceau à ce niveau-là ! J'ai peur de devenir homo !".
"Sois patient, tu vas connaître des filles, c'est sûr ! Tu as le physique pour ça ! Et rassure-toi, ça ne se voit pas que tu aimes aussi les hommes ! Tu n'es pas efféminé ! Même si ton corps est très féminin ! Tu devras vivre deux sexualités, c'est tout ! Au cas où, bien sûr, tu aimes toujours les filles, après ton premier rapport hétéro !".
"Vous êtes sûr ? Mon lieutenant !".
"Oui, mais tu ne prends pas assez de plaisir avec moi et mes copains ?".
"Si, justement, c'est ça qui me fait peur ! C'est trop fort ! Je n'en ai jamais assez !".
"On va faire une expérience !".
Il dégrafe son pantalon et sort sa queue qui bande fermement de nouveau.
Je me baisse pour l'englober presque aussitôt et le pompe goulûment comme une vraie salope.
"Humm, voilà ! Ça confirme ce que je pense depuis le début ! Pourquoi tu m'as sucé ? Je ne te l'ai pas demandé !".
"Parce que j'aime ça ! C'est plus fort que moi, ca m'excite ! Je n'aurais pas dû le faire ?".
"Si, mais ça répond à tes questions ! Pourquoi, tu te priverais des plaisirs du sexe ! Ce n'est pas ça qui définit ce que tu seras dans la vie ! Amuse-toi ! Nos gouts sexuels n'intéressent que ceux qui y participent !".
"Je peux continuer, alors ? Mon lieutenant !".
"Hummm, avec plaisir ! Régales toi ! J'aime bien jouir dans ta bouche aussi !".
Au bout de quelques minutes, il m'honore du peu de sperme que son corps a pu produire après les précédentes éjaculations durant le gang bang.
En rentrant, je m'isole dans les toilettes pour me masturber en me remémorant tout ce que j'ai vécu.
Les conversations des garçons de mon régiment étaient très puériles, ils se traitaient de puceau, pédé, bref un concentré de testostérone, de jeunes cons.
J'étais toujours gêné quand on me demandait, si j'avais déjà baisé, je noyais le poisson en disant oui, ce qui n'était pas faux ! Mais pas avec le sexe qu'ils pensaient ! Et surtout, c'est moi qu'on baisait !
Je passais pour un "planqué" à cause de ma relation avec le lieutenant. Mais tant que personne ne devinait la nature de cette relation, je m'en moquais !
Un matin, j'ai été convoqué par le lieutenant, après la dépose par son chauffeur de jeep, je suis remonté dans sa voiture aux vitres sombres et il m'a emmené chez un autre militaire.
En entrant, je retrouve 4 hommes qui m'ont enculé la première fois, mais aussi 3 autres nouveaux dont 2 légionnaires d'origines étrangères.
Le lieutenant m'ordonne de me mettre nu, et de me coller contre sa cuisse.
Il est assis avec la bite à l'air et se laisse faire pendant que je le suce.
Les hommes discutent à mon propos, en se masturbant et commencent à se dévêtir.
Mon lieutenant adoré m'oblige à m'occuper des autres invités, ils font un cercle autour de moi.
"Là, Robert, je crois qu'on a atteint le summum ! On ne trouvera pas mieux que lui ! C'est une vraie salope ! Cette fois, il aime vraiment ça !".
"Oui, je l'adore moi aussi !".
Je passe de queue en queue avec passion et vice, je suis étonné par le troisième inconnu, plus vicieux qui me défonce la gorge avec violence.
Mon amant le calme un peu, et tout rentre dans l'ordre.
Puis l'un d'eux me badigeonne l'anus de gel, et en me gardant plié en deux, me plante profondément son membre très dur, dans le cul.
En quelques assauts frénétiques, il me fait jouir en râlant comme une jeune pute.
Pour plus de facilité, on me place à genoux sur la table du salon, je peux alors plus aisément honorer les queues qui se présentent devant ma bouche pendant qu'on m'encule.
Les orgasmes anaux s'enchaînent, les éjaculations buccales et anales aussi.
Le plus vicieux se déchaîne dans mon cul comme un sauvage, je crie mon plaisir, puis il commence à me frapper violemment sur le cul.
Il me fait mal ! Et il gâche mon plaisir !
Heureusement, il se déverse en moi très vite, abrégeant mes souffrances.
Je retrouve plus de plaisir avec les hommes suivants, ensuite arrive, le moment où tout le monde a joui une première fois.
Je suis rempli et couvert de sperme, je demande la direction de la salle de bain.
Le propriétaire m'indique la direction, je m'y rends et fais couler l'eau, en attendant qu'elle se réchauffe.
Je suis debout avec l'anus qui laisse échapper de l'air et du sperme encore une fois.
Puis, je suis surpris par le plus vicieux qui m'a suivi.
"Qu'est-ce que vous voulez ? Vous voulez vous laver aussi ?".
"Non, je vais te donner ta première douche dorée, mets-toi accroupi dans le bac !".
J'obéis en demandant incrédule :
"Je ne comprends pas !".
Il se place face à moi et m'inonde d'un jet interminable d'urine chaude.
Il m'ouvre la bouche en appuyant sur mon menton, je recrache aussitôt le liquide.
"Voilà, c'est comme ça qu'il faut traiter une pute comme toi !".
Je subis en gémissant de honte, si je parle pour dire non, je risque d'avaler encore sa pisse sans le vouloir !
Quand il a terminé, j'ouvre les yeux et je vois que mon lieutenant a vu la scène, il laisse sortir l'homme et me dit :
"Je sais que tu n'aimes pas ce qu'il vient de faire ! Et il ne sera plus invité, il m'a été imposé par un ami !".
"Non, je n'aime pas ça, ce n'est pas la soumission que j'aime, ni sa violence ! Je n'y prends pas de plaisir !".
"On est d'accord !".
Je me rince soigneusement, il m'embrasse tendrement, puis me laisse faire ma toilette.
Je suis décontenancé par ce baiser et en revenant, je remarque l'absence du vicieux.
Les autres lui ont fait comprendre qu'il devait partir.
Le lieutenant vient de me montrer une forme d'attachement, qui me rassure sur notre relation.
Nous avons fait un barbecue, ensuite, nous avons repris nos jeux entre hommes jusqu'à 17 h, avec de nombreuses poses.
Après quelques sodomies fougueuses, on m'attache contre la table de salon.
Notre hôte se fait aider pour apporter un appareil que je ne peux voir, puis on m'enduit l'anus de gel abondamment.
Je me sens pénétré par un gode vraiment très large.
Après quelques minutes, j'entends le lieutenant qui demande :
"Vas-y allume le !".
En même temps que j'entends le bruit d'un moteur, je me fais baiser le cul par le gode à un rythme soutenu.
Je subis un orgasme anal puissant sous les yeux des hommes qui se masturbent en me regardant.
"C'est bon, petit Pascal ?".
"Arhhhh ! Oui, mon lieutenant ! Arhhhh ! Arhhhh ! Arhhhh !".
Je me fais enculer par cette machine, interminablement, je leur demande de l'arrêter, le plaisir est insupportable.
Mais ils sont excités de savoir combien de temps, je vais tenir encore, à me faire éclater l'anus ainsi.
J'ai l'impression d'avoir le cul plein de sperme, tant je sens couler du liquide anal.
Puis mon cul se relâche, le plaisir devient continu, et je me relâche moi aussi, laissant la machine m'enculer encore et encore.
Mon visage est tourné sur le côté, comblé de plaisir, je reçois une éjaculation de sperme sur le dos, ensuite les deux derniers invités ajoutent leurs semences à la première, en insistant sur l'endroit où le gode coulisse dans mon cul. ils utilisent leurs spermes pour lubrifier le gode.
La machine s'arrête enfin, on m'aide à me relever.
Quelque chose dégouline entre mes cuisses, je pense à du sperme.
Mais au bord de la table, au-dessous de mon cul, se trouve une énorme tache visqueuse et blanchâtre.
Le gode noir encore fixé sur la machine est couvert de la même substance.
"Regardes comme tu as mouillé du cul ! Tu as des prédispositions pour ça !".
C'est vrai que j'avais remarqué que je sécrétais des muqueuses anales quand je me baisais avec des objets, mais là, c'était plus que les autres jours.
Mon anus est béant et sursollicité, mon amant m'essuie l'entre jambe avec du Sopalin, et éponge le sperme sur mon dos et mes fesses.
Puis, je m'étale sur le canapé de notre hôte, je suis alors pris de spasmes dans l'anus.
"Mon lieutenant ! je ne sais pas ce qui m'arrive, je ressens encore du plaisir ! Arhhhh !".
Je me contorsionne en constatant que je suis en train de bander, je fais travailler mon sphincter instinctivement. Je contrôle ainsi le plaisir de mon anus, pris de spasmes, qui monte inexorablement jusqu'à me procurer un orgasme anal sans me faire pénétrer, et j'éjacule presque aussitôt ensuite.
Quand mon plaisir retombe, je remarque tous les regards étonnés autour de moi.
"Désolé, mon lieutenant !".
"Au contraire, c'était super ! Gueule d'ange !".
Je me sentais fier de susciter autant de désir chez ces hommes, et de tous les satisfaire sans exception.
La plupart étaient mariés, sauf le lieutenant, qui était un célibataire endurci !
Certains lui rendaient visite à la caserne, en quittant leur poste, et le lieutenant me faisait venir.
Ils m'enculaient dans son bureau à tour de rôle, je bénissais la radio et l'isolation phonique de l'endroit !
Vers la fin, les rumeurs se propageaient.
Un bleu avait poussé la porte sans prévenir et avait surpris le lieutenant qui enculait une jeune recrue, par chance ce n'était pas moi !
Il n'a pas tenu sa langue et la rumeur s'est propagée au fil des mois.
On a commencé à me demander, si je ne faisais pas partie de ses victimes ou amants.
"Allez, t'es sûr qu'il ne t'encule pas ? Ce n'est pas toi, gueule d'ange ?".
"Mais non, n'importe quoi !".
L'étau se resserrai autour de moi, les deux dernières semaines ont été difficiles, les autres se taisaient en ma présence.
Mais les insultes à voix basses étaient courantes.
Je me moquais de tout ça, on n'allait jamais se revoir, tous les mecs de mon régiment allaient retrouver leurs régions ! Je ne risquais rien ! Et j'avais raison, je n'ai jamais revu l'un d'eux ! Mais le lieutenant devait rester lui !
Il m'a dit que l'affaire allait se tasser, il m'a rappelé qu'un de ses invités était le commandant de la caserne et qu'il m'adorait.
Lors de la présentation de départ (la quille !), après le passage chez le colonel, il m'a demandé de venir dans son bureau. Il m'a imposé de le sucer pendant de longues minutes avant de m'enculer.
Comme à chaque fois qu'il avait l'occasion de le faire.
Il m'a souhaité bonne route pour la suite, en disant que c'était dommage que je m'en aille.
J'ai vécu beaucoup de moments excitants durant cette année militaire.
Je me souviens qu'un participant de nos parties, m'a reconnu alors qu'il entrait dans mon atelier sur le camp.
"C'est toi la pute du lieutenant ?"
Je me fige en entendant cette phrase.
"Euh, excuse-moi, je ne voulais pas dire ça comme ça ! C'est Pascal, c'est ça ?".
"Oui ! Caporal-chef !".
"Repos ! Pas de ça entre nous ! On a baisé ensemble ! N'oublie pas !".
"Je m'en souviens bien mon cap... Euh désolé !".
"Dis-moi, si on profitait de l'occasion ! C'est possible, tu crois ?".
"Ici ? Ben à part vous, je n'attends personne, mais on va devoir être prudent quand même !".
Il se colle contre la porte, qu'il ferme à clef pendant que je place un panneau contre la seule vitre qui offre une vue sur nous.
Il m'attend avec le pantalon sur les pieds, je m'accroupis devant lui.
"Oui, c'est ça ! Putain, je pense souvent à toi, ça tombe bien ! Suce-moi comme l'autre fois ! J'adore ta bouche".
Je pense au lieutenant et je ne sais pas s'il va être d'accord avec cet écart dans notre relation.
Mais j'aime trop ça pour refuser cette opportunité.
Je me délecte de sa queue, plus il gémit, plus je suis excité et deviens goulu.
"Arhhhh, stop, je veux plus ! Relève-toi !".
Il me tourne puis me baisse mon treillis, il me dévore l'anus très longuement, après il pointe son sexe très long pour m'enculer enfin.
"Ahhh ! Caporal-chef, c'est bon !".
Il m'encule comme il a su le faire la première fois, avec fougue et bien profondément.
Il me fait jouir du cul, il aime me voir étouffer mes râles dans mon bras.
"Putain, j'adore t'enculer ! Ton plaisir est communicatif, tu es une belle petite salope ! Pascal ! Je sais où te trouver maintenant !".
Ses assauts continuent leurs effets destructeurs de mon cul en me faisant orgasmer encore, jusqu'à son éjaculation.
On partage notre contentement mutuel d'avoir succombé à l'envie de baiser.
C'est clair, on se sent mieux après !
Je remonte mon pantalon militaire, il fait de même, puis me donne une mission qui concerne mon travail sur le camp.
À peine cinq minutes, après, un homme du rang entre, on a échappé au pire ! J'ai néanmoins peur qu'il reconnaisse l'odeur de sexe anal qui règne dans l'atelier.
"Bon, ... vous me faites ça au plus tôt, c'est pressé !".
"Oui Caporal-chef !".
Quand j'ai retrouvé le lieutenant, j'ai osé lui parler de cet écart :
"Mon lieutenant ! Je dois vous avouer quelque chose !".
"Ah bon ? Qu'est-ce que c'est ?".
"J'ai eu la visite du Caporal-chef S... Et... Il m'a reconnu, on n'a pas résisté, il... Il m'a... enculé dans mon atelier, vous m'en voulez ?".
"Oh non ! Au contraire, il ne faut pas te gêner de baiser sans moi ! Profites en le plus possible, sois discret, c'est tout ! C'était bon ?".
"Très bon ! Oui".
"Bien ! Raconte-moi pendant que tu me suces !".
Cette anecdote lui a donné l'idée de dire aux participants de nos orgies, qu'ils pouvaient solliciter mes services dans mon atelier en restant discrets.
Pour un puceau, j'avais fait mon chemin, au bout de six mois, j'avais entre vingt et trente rapports sexuels par mois, parfois plusieurs par jour.
Le surnom de gueule d'ange commençait à circuler dans le camp.
C'était un nouvel amant du lieutenant, déjà homo assumé, amoureux et jaloux qui a fait courir le bruit de l'existence, d'un appelé qui était une vraie salope pour les gradés du camp.
J'ai compris à la longue que c'était moi ! Puisque mes amants m'appelaient comme ça, quand ils me baisaient.
Puis le lieutenant s'est fait surprendre avec le jeune homo, il était jaloux de ma relation avec mon initiateur, qui a cessé de le baiser ensuite.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très exitant bien écrit pas salace tu tout
Un plaisir vraiment
Un plaisir vraiment
Je me sens chanceux, c'est vrai, même si ma période de puceau a été longue a vivre, 20 ans, c'est tard !
Votre histoire est très excitante, on a envi d’y croire tellement on aimerait retrouver nos jeunes années et se dire qu’il est bon de forniquer tous les jours avec qui on veut