Initiation militaire. 6 - histoire érotique

Comme j'en parlais auparavant, c'était la semaine ou je vivais chez mon amant militaire.
Dans la matinée, je sors de la douche et il me demande:
"Tu t'es fait un lavement ?".
"Oui, comme d'habitude, pourquoi ?".
"Je t'emmène quelque part, ce sera utile, tu verras !".

Vers 14 heures, nous quittons sa villa pour nous rendre à Marseille.
Après une petite galère pour trouver une place pour se garer, nous marchons vers un quartier très fréquenté et un peu malfamé.
La rue est un peu sale, puis il s'arrête devant un cinéma porno.
Je suis surpris de le voir entrer, mais je dois le suivre.

"Deux places, s'il vous plait !".
Le caissier me dévisage, il devine ma gêne, je me rassure en me disant que je suis inconnu dans la ville.
Je suis mon amant qui pousse une porte épaisse, puis une autre qui forme un sas.
Le son du film me trouble, une jeune fille se fait baiser sauvagement par un apollon.
L'odeur de la salle est très excitante, ça sent le sexe !
En suivant le lieutenant, je scrute les allées sombres. Plusieurs hommes me dévisagent avec envie.
Des gémissements qui ne viennent pas du film résonnent.
Mon amant s'engouffre dans une allée, je m'assoie près de lui.

"Tu est déjà venu dans ce genre d'endroit ?".
"Oui, deux fois, chez moi ! Mais je n'ai pas osé aller plus loin que regarder les films !".
"Le film te plait ?".
"Ca va, il a une belle queue, et la fille est jolie ! Et vous, vous aimez ?".
"C'est sur que je préfère les films homos, mais c'est bien aussi !".

Il ouvre sa braguette et baisse son pantalon.
"Suces-moi, j'en ai envie !".
Je ne me fais pas prier, mes lèvres recouvrent lentement sa grosse verge.
Je lui prodigue de longues caresses buccales avec ma langue ensuite.
J'aime entendre ses gémissements parmi ceux du film, cela ajoute au coté excitant de la situation.

Ma fellation dure plus de cinq minutes, quand je sens qu'on s'assoit à coté de nous.
Je commence à me relever doucement. Mon amant m'appuie sur le visage pour m'enfoncer sur sa bite en disant:
"Non ! Continues ! Fais moi confiance !".
Je devine aux bruits, que l'homme déballe sa queue.
Puis il demande à mon amant:
"C'est bon ? Il te suce bien ?".
"Humm, oui, il est très doué, tu veux en profiter ?".
"Hummmm, oui ! Passes le moi un peu ! j'ai les couilles pleines !".

Le lieutenant me soulève le visage en me disant:
"Fais-moi plaisir, ce sera mon film porno à moi !".
Je le regarde en lui offrant mon plus beau sourire, puis je me tourne pour contempler la queue de l'autre homme.

Il a le type magrébin, la trentaine environ, sa queue foncée et très veinée me fait envie.
Il baisse un peu plus son caleçon pour me permettre de mieux la voir.
Je la prend entre mes doigts tout en me levant de mon siège.
Je me place de l'autre coté pour que mon amant puisse se régaler du spectacle de ma fellation.

Je suis accroupi dans l'allée, ma langue lèche la hampe violacée de l'inconnu.
Il gémit:
"Ohhhh ! C'est bon ça ! Continues !".
J'ouvre mes lèvres pour engloutir son gros gland et le lécher fortement, puis exerce une succion sur le bout de sa bite.
"Oh, putain ! Il suce trop bien !".
Je commence alors un mouvement ample et profond pour faire monter son plaisir.
L'homme gémit longuement en se tortillant le bas ventre.
Sa bite se couvre de ma salive, j'aime sentir le regard de mon amant pendant que je m'applique à faire jouir l'inconnu pendant de longues minutes.
"Oh putain ! Quelle salope ! Ohhhh, il va me faire gicler ! Ahhhhhhhhhh ! Ca vient !".
Le lieutenant lui dit:
"Laisses toi aller ! Il aime avaler ! Il va se régaler avec ton sperme !".
"Arhhhhhhh ! Putain ! C'est génial ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhh!".

Je reçois mes premières giclées de sperme de la journée, et ce ne sont pas celles de mon amant.
Il est abondant et puissant en gout, sa saveur poivrée m'envahit la gorge.
Je contiens tout ce qu'il éjacule avec patience, puis les sursauts de l'inconnu me préviennent qu'il termine de se vider dans ma bouche enfin.
Il se relâche lentement, je fais remonter ma main en pressant sur sa hampe pour le vider complètement de son jus.

Puis, je me redresse sans ouvrir ma bouche.
L'homme me remercie en précisant qu'il a connu un plaisir immense, puis il nous quitte.

Je retrouve ma place, mon amant se masturbe encore et me demande:
"Montres moi !".
J'écarte mes lèvres pour lui offrir le spectacle de ma gorge pleine de foutre chaud.
"Oh, je t'adore Pascal ! Tu m'excites ! Vas-y ! Avales le !".
J'ingurgite le sperme, en deux gorgées, puis il colle ses lèvres aux miennes dans un baiser fougueux.
Je me colle ensuite contre lui ensuite en regardant le film.
D'où nous sommes, nous avons une vue sur l'entrée des toilettes, il y a beaucoup d'allées et venues.
Les hommes y restent quelques minutes.

Je suis pris d'une envie d'uriner, et j'en informe mon amant.
"Vas-y, et surtout, prends tout le temps dont tu as besoin !".
Je suis étonné de cette phrase, il pense donc que je vais me faire draguer ?
Dans les toilettes, je me colle à un urinoir, j'avais une grosse envie !
Je ne suis pas seul, un homme est à deux emplacements plus loin.
Je ne l'entends pas uriner, par contre, il me regarde avec insistance.
Les mouvements de son bras me révèlent qu'il se masturbe en me matant, puis il se tourne pour me montrer sa bite.
Encore une fois, il est bien membré, surtout en épaisseur.

Voyant que je ne fuis pas, il s'approche et pose ma main sur sa bite.
Je le masturbe avec envie, jusqu'à l'arrivée de deux autres hommes.
J'ai le reflexe d'enlever ma main, mais il est trop tard.
Je me trouve idiot en voyant que les hommes nous rejoignent et déballent leurs queues en m'entourant.

Donc, tous les hommes dans le cinéma sont là pour baiser ! Quel incrédule, je fais !

L'un d'eux exerce une pression sur mon épaule pour m'enfoncer sa grosse bite dans la bouche.
Commence alors, un ballet incessant de léchage de queues, pompage frénétique, gorges profondes.
La porte s'ouvre plusieurs fois, ajoutant de nouveaux venus aux précédents.

On me débarrasse de mon pantalon, un inconnu crache énormément de salive sur mon anus.
Il se relève et me pénètre patiemment, ses premiers assauts sont lents et profonds.
Je gémit mon plaisir en suçant les autres comme je peux.
Puis l'homme s'active et fait monter mon premier orgasme anal.
Il m'entend jouir du cul et se vide en moi, ne pouvant plus résister, plus longtemps.

Un trentenaire magrébin, prend sa place et me défonce avec sa queue très dure et épaisse.
Mes gémissements augmentent en intensité.

Ma gorge reçoit du sperme, je ne m'y attendais pas, j'avale très vite pour pouvoir continuer à contenter les autres inconnus.

On me traite de petite salope, jeune pute et ça m'excite encore davantage.
Les actes s'enchainent, j'avale énormément de foutre.

Les orgasmes anaux m'épuisent, mon cul est débordant de sperme, lui aussi.

Une grosse queue me baise la bouche, c'est mon amant qui s'est décidé à venir voir pourquoi je mettais autant de temps à revenir.
"C'est super Pascal ! Tu as compris ce qu'il fallait faire sans que je te le demande ! Tu te régales?".
"Arhhhh ! Arhhhh ! Arhhhh ! Oui, mon lieutenant !".

Un inconnu le questionne:
"Tu le connais ?".
"Oui ! C'est ma petite pute ! Je lui ai tout appris !".
"Hummm ! Bravo ! T'as de la chance ! Il est super ! Et il encaisse bien pour un jeune !".
"Dis lui ! Il ne le sais pas encore assez ! Il doute de lui !".
"Pascal ? C'est ça ! Ben, t'es fait pour te faire enculer mec ! J'ai rarement vu un jeune jouir du cul aussi fort que toi !".
"Arhhhh ! Merci ! Arhhhh ! Arhhhh ! Arhhhh !".

Les hommes s'enchainent dans mon cul et ma bouche, mon amant se masturbe en me contemplant.
Mes cris de jouissance anale, les éjaculations buccales et anales l'excitent comme un fou.

Lorsque le dernier homme a fini de se vider, il m'entraine dans un cabinet et m'encule comme un forcené.

Je gueule mon nouvel orgasme.
"Mon lieutenant ! Je joui ! Arhhhhhhh ! Je ... Je vous... Arhhhhh ! Je vous aime ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
"Moi aussi ! Pascal, Moi aussi ! Je t'aime comme un fou ! Arhhhhhhhhhhh !".

Nos derniers mouvements sont incontrôlés, on cherche tous les deux à recevoir le plus possible de l'autre.
Il me serre contre lui en se vidant longuement dans mon cul.

"Arhhhhh ! Mon lieutenant ! C'est si bon ! Vous m'en voulez pas d'avoir été si pervers ?".
On se détend peu à peu.
"Non ! Je voulais que tu le fasses ! Tu m'as devancé ! Tu as aimé ?".
"C'était génial ! J'aime le coté imprévu de cette rencontre, on ne contrôle rien !".
"Tu pourras recommencer chez toi, il y a des cinémas pornos dans beaucoup de grandes villes ! C'est là qu'on se retrouve entre mecs !".
"Merci mon lieutenant ! Je vais essayer !".

On retourne nous assoir, je me blottis comme une femelle amoureuse contre lui.
Plus d'une heure après, un homme s'assoit en bout d'allée.

Il fait un signe de la tête à mon amant qui lui répond.
"Vous le connaissez mon lieutenant ?".
"Oui, un peu, on fréquente les mêmes endroits !".
"Ok !".
"Ce serait abuser, si je te demande de lui donner du plaisir, je sais qu'il a une belle queue !".
"Euh ! Avec ma bouche, mon lieutenant ?".
"Fais ce qu'il te demande ! Tu verras !".
"Je ne peux rien vous refuser, vous avez oublié ?".
"Ah, c'est vrai ! Je lui dit de venir alors !".

Il lui fait un signe de la main pour se rapprocher, l'homme réagit très vite.

Dès qu'il est assis près de moi, je pose une main sur sa queue pour le caresser en le regardant, puis je défais le bouton de son jeans et baisse sa braguette.
Je saisis son membre épais et long comme je les aime.

L'homme se soulève pour dégager sa bite et me permettre de le sucer avec avidité.
Je salive énormément sur sa longue bite.
"Oh putain, il suce bien le salaud ! C'est ton mec ?".
"Oui, c'est mon copain, depuis quelques mois ! Il est doué pour son âge ! Pas vrai ? Une vraie petite salope !".

Le lieutenant vient d'officialiser notre relation, je suis donc son petit ami ! Etrange comme sensation pour moi, qui pense être profondément hétéro !

"Ohhh, c'est bon, je la baiserai bien ta petite salope !".
"Allez-y ! Faites comme vous avez envie !".

L'homme se lève et je le suis en souriant à mon amant qui me lance un regard heureux.
L'inconnu nous enferme dans le cabinet et m'encule sauvagement pendant plus de vingt minutes.
Ses cris de jouissance m'affolent au moment ou il se vide en moi, il gémit vraiment plus fort que moi, qui encaisse ses assauts en orgasmant depuis le début.
Il me laisse des marques sur le tour de mes hanches en crispant ses doigts sur ma peau, et en éjaculant sans fin.

Après un long moment de calme, il se recule contre le mur et me dit.
"Putain, jeune ! Tu m'as vidé ! Ohhh, il faut que je demande à mon pote de te baiser encore !".
"Merci, tu vois avec lui !".

Il quitte le cinéma, je retourne près de mon amant, qui me dit:
"Eh ben ! Tu l'as bien fait jouir, on vous a entendu d'ici !".
"Je me doute, il a eu l'air d'adorer m'enculer ! Il voudrait recommencer d'ailleurs !".
"On verra, je le ferai peut-être venir chez moi, avec d'autres, si ça te dit !".
"Pourquoi pas, il baise bien ! J'ai beaucoup joui encore ! Aïe ! Ouhhh !".
"Ca ne va pas ? Qu'est-ce qu'il y a ?".
"Ben, il y est allé vraiment fort ! Mon lieutenant ! Il m'a défoncé ! En parlant poliment !".
"Il t'a cassé le cul ! C'est ça que tu n'oses pas dire ?".
"Oui ! Et à cause de notre pause avant ça, mon cul est devenu plus sensible pour une nouvelle sodomie !".
"Bon, on va rentrer ! Ca va te faire du bien !".

En rentrant, dès que cela devient possible, il me demande de le sucer pendant qu'il conduit.

Arrivés chez lui, on prend une douche ensemble, il me fait jouir en m'enculant encore, plus doucement, sans éjaculer, puis il m'emmène dans un restaurant du port de Cassis.
Il me parle des marques et des griffes sur mon cul, je lui précise que c'est son copain du cinéma qui m'a laissé ses traces, mais que j'ai aimé quand même la façon dont il m'a cassé le cul.

Nous rentrons ensuite, il se couche nu et ouvre le drap lorsque je le rejoins, nu moi aussi.
Il nous recouvre ensuite et m'embrasse tendrement.

Il se place au dessus de moi et me pénètre lentement.
"Je vous aime ! Mon lieutenant ! Je suis si bien avec vous ! Mais vous devez comprendre que je ne peux pas vivre avec un homme ! Je n'aurai pas dû vous le dire !".
Il me sourit et répond:
"Moi aussi, je t'aime ! Ne t'inquiètes pas ! Je sais que tu dois vivre ta vie d'hétéro ! Elle aura de la chance, celle que tu rendras heureuse ! Si elle t'aime vraiment, elle acceptera ! Tu devras lui parler de tes besoins, sinon, ta vie seras difficile".

Je l'enserre dans mes bras et nous rejoignons nos lèvres sans fin pendant qu'il bouge en moi.
Nous mettons de la fougue, de la tendresse, de la passion dans nos ébats et dans toutes les positions possibles, pendant presque deux heures durant, jusqu'à notre orgasme commun.

Nous nous crions nos sentiments en jouissant, puis je m'écrase sur lui, épuisé des nombreux orgasmes qu'il vient de m'offrir.
On s'endort ainsi, je le soulagerai ensuite de mon poids pendant la nuit. en me collant contre lui.
Il dort comme un bébé, je le rejoins très vite.

Au petit matin, il me réveille par de nombreux baisers sur le cul.
Puis, il pose un plateau sur le lit avec des croissants et deux longs cafés noirs.
Je m'étire en baillant, j'ai très bien dormi ! Ce qui m'arrive rarement.
Je laisse échapper:
"Ahhhhhhhhhhhh ! Merci mon amour ! Oh pardon !".
"Oh, tu peux, Pascal ! On s'aime après tout ! C'est pas la peine de le nier, moi je le vis bien !".
"Oui, mon lieutenant ! Mais je préfère aussi garder ce rapport officier soldat, ça m'excite plus !".
"Comme tu veux, mon amour !".
"Merci, mon lieutenant !".

On déjeune l'un à coté de l'autre, puis il dit:
"C'était bon hier, j'ai adoré te regarder ! Et toi ?".
"Hummm, oui, mais à un moment, j'en pouvais plus de jouir du cul, j'étais vidé de toute mon énergie !".
"Salope ! Ca te revient vite apparemment !".
"Humm ! Oui !".
"Bon, mon petit Pascal ! Le sergent et le commandant passent cet après-midi, après 16 h, je sais pas si, ils seront seuls, ça te fait plaisir ?".
"Hummm ! Oui, je crois que je vais bien manger à midi ! Je dois reprendre des forces !".