Initiation militaire. 7. Le campement.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Initiation militaire. 7. Le campement.
Cette anecdote s'est passée pendant mes classes militaires, donc dans les trois premières semaines de mon arrivée dans le camp.
Le lieutenant m'a initié au plaisir anal, dés la visite médicale, qui a eu lieu au tout début de mon arrivée.
Il a déjà offert mon cul et ma bouche à son ami, le commandant, j'y ai pris beaucoup de plaisir.
Mon régiment doit partir en extérieur pendant deux jours, le but est de nous former à l'exercice du campement. Chacun doit se coltiner un paquetage encombrant, avec une moitié de tente.
Chaque tente se compose de deux moitiés, je vois mes comparses se demander mutuellement s'ils peuvent se joindre avec ceux qu'ils préfèrent.
Puis, vient l'appel, les pelotons se forment, je reconnais le lieutenant qui va prendre la direction de l'entrainement.
Le simple fait de le revoir après nos premiers rapports sexuels, me donnent envie de lui appartenir à nouveau.
Je sais qu'il m'a repéré, et je comprends qu'il reste discret.
Il nous présente cinq autres militaires qui vont l'aider dans cet exercice.
Nous partons au pas, puis en marchant, sur plusieurs longs kilomètres.
Vers 21 h, nous faisons une halte pour monter nos tentes.
Le lieutenant prend la parole.
"Vous allez vous mettre par deux, et monter vos tentes en suivant les indications du sergent D..., ah, il semblerait que vous êtes en nombre impair, pas d'inquiétude, on a une moitié en plus ! Soldat ...! Vous allez dormir seul !".
Je suis étonné qu'il prononce mon nom, je regarde mon copain, on avait prévu de partager notre tente.
Il doit se contenter du seul autre qui n'a pas de partenaire de nuit.
le lieutenant ajoute:
"Les appelés qui seront de gardes sont: ..., et soyez vigilants, le commandant viendra peut-être contrôler que vous ne dormez pas !".
J'entends encore mon nom, je pensais être protégé par ma relation avec mon amant, tant pis.
Chacun cherche un endroit sympa, pour poser sa couche.
Le lieutenant m'appelle et m'impose de monter ma tente à l'écart, mais près de la sienne, en chuchotant:
"Je passe te voir cette nuit ! Ça te fait plaisir ?".
"Oui, j'en ai envie, mon lieutenant !".
Il m'aide au montage, puis il m'annonce que mon tour de garde est de minuit, jusqu'à 3 heures du matin.
Nous nous nourissons avec les rations contenues dans notre paquetage.
Peu à peu, tout le monde se couche, je rentre dans mon duvet, et essaie de dormir un peu avant de partir pour mon tour de garde.
Vers 23 h, ma tente s'ouvre et je vois entrer le lieutenant.
Il se place derrière moi et me demande d'ouvrir mon duvet, il constate que je suis nu à l'intérieur.
"Tu m'attendais, c'est bien !".
"J'aime dormir nu, mon lieutenant ! Mais si ça vous excites c'est encore mieux !".
"Tu sais que j'adore ton cul ! Tends bien tes fesses, je vais t'enculer directement, on a pas beaucoup de temps !".
Il sort son tube de vaseline et m'enduit l'anus de produit.
Son organisation m'étonne !
Sa queue pousse déjà entre mes fesses, je mets ma main entre mes lèvres en le sentant m'écarteler l'œillet.
Même si ce n'est pas la première fois, mon anus n'est pas encore bien habitué aux pénétrations du lieutenant, et la sodomie que j'ai vécu avec le commandant du camp ne m'a pas apporté beaucoup plus d'aisance.
Le plaisir de la sodomie est étrange, il vous submerge par son côté possession extrême de votre cul.
On se sent écartelé analement, mais vous aimez cette sensation, bien sûr, il faut prendre son temps pour laisser l'anus s'habituer à la présence du sexe qui entre en vous, mais cela se passe sans douleur véritable.
C'est cette délicieuse sensation qui me submerge quand mon lieutenant adoré s'enfonce enfin en moi.
Mais qu'est-ce que c'est difficile de ne pas lui montrer que je prends énormément de plaisir avec sa bite.
Il me pilonne de plus en plus vite et profondément.
Il me couvre de mots vulgaires à voix basse en m'enculant, je joui plusieurs fois dans ma main, j'étouffe mes gémissements.
Je suis encore en plein orgasme anal quand il se lâche enfin en me mordant l'épaule pour jouir dans mon cul sans bruit.
Je passe ma main dans son dos, pour l'attirer plus fort en moi. J'aime ce moment de jouissance entre hommes.
"Hummm, c'était bon encore ! Pascal ! Allez, tu dois bientôt prendre ton tour de garde ! Je te laisse ! Et amuses-toi bien !".
Il fait attention en sortant de la tente et me quitte avec regret.
Comme aucune toilette, n'est possible, je dois conserver le sperme de mon amant dans mon anus.
Je me prépare ensuite pour mon tour de garde, je relève le soldat choisi avant moi.
L'endroit est désert et très sombre, en pleine nature.
Je me sens ridicule avec mon fusil, en pleine nuit, en temps de paix, à déambuler comme un idiot, le cul plein de foutre.
Vers minuit 30, j'entends des pas, un militaire au pas décidé s'approche de moi. je dois prononcer cette phrase idiote:
"Halte là ! Qui va là ?".
L'homme ne réponds pas et continue de s'approcher, puis il demande:
"C'est le commandant ..., présentez-vous !".
Je me mets au garde à vous et me présente:
"Soldat ... mon commandant !".
"Ah ! C'est vous ! Ça tombe bien ! Je vous cherchais !".
Il est tout près de moi et me touche le cul.
"Il va falloir poser tout ça ! On va passer du bon temps, Pascal ! Suivez-moi !".
"Vous pensez qu'on peut , mon commandant ?".
"On est tranquilles ! J'avais envie de vous baiser dans la nature, on a tout prévu avec le lieutenant Robert ...!".
Je le suis, vers des fourrés, éclairé d'une lampe de poche militaire. Il choisit un endroit un peu déboisé, avec un gros rocher sur lequel, il s'appuie pendant que je pose mon fusil et tout ce qui risque de nous encombrer contre un arbre.
En me retournant, je vois qu'il est en train de masturber sa longue queue en m'attendant, il éclaire sa bite avec sa lampe.
"Allez, viens me sucer ! Je veux ta bouche !".
Je m'accroupi devant lui, entre ses jambes, ma main guide sa bite entre mes lèvres.
Ma gorge humide enveloppe son gland profondément.
"Hummmm! Pascal, tu me suces bien, encore ! T'es vraiment doué, mon petit !".
"Vous aimez ? Mon commandant !".
"Ahhhhhhh ! Oui, et je vois que tu aimes vraiment çà aussi ! C'est très bon ! Ne t'arrêtes pas".
Je m'efforce de lui soutirer le plus de gémissements de plaisir possible, plus il gémit et plus je lui dévore la queue avec vice.
"Ahhhh ! Pascal ! Arrêtes ! Je vais jouir !".
"Vous pouvez ! Mon commandant ! Il n'y a pas de souci !".
"Non, je veux t'enculer, moi aussi !".
"Vous aussi, mon commandant ?".
"Oui, je sais que le lieutenant t'a baisé tout à l'heure ! Tiens-toi contre le rocher !".
Il passe derrière moi et me baisse mon pantalon militaire.
Il se baisse, pour plonger sa langue entre mes fesses.
Il me lèche l'anus longuement, apparemment excité de savoir que je venais de me faire prendre.
Je suppose qu'il fait durer son anulingus, pour faire retomber son éjaculation montante due à ma fellation vicieuse.
Il se redresse enfin et pose ses mains de chaque côté de mes fesses.
Il me pénètre doucement, le plaisir me gagne lentement.
Le quinquagénaire est doué et me fait jouir du cul avec maitrise.
Après mon premier orgasme anal, il augmente son rythme et sa lente possession devient une saillie déchainée.
Je joui tellement fort, le moment est si magique, prendre ce plaisir si intense dans cet endroit bucolique, en pleine nuit, avec le commandant du camp, je ne m'y attendais pas.
"Ahhh, j'adore te casser le cul ! Pascal !".
"Ahhhhrrrrrrrrr ! Mon commandant ! Vous le faites si bien ! Je vais encore jouir ! Arhhhhhhhhh !".
Je pense qu'il a du baiser avant de venir, parce qu'il est vraiment endurant !
Il me tourne et me couche sur le sol, pour m'enculer en soulevant mes jambes.
Les montées de plaisir et les positions s'enchainent, à sa demande, je lui fais plusieurs fellations au cours de ces ébats.
Il me force à me tenir contre l'arbre pendant qu'il se déchaine dans mon cul, encore et encore en me traitant de salope.
Il se met à gémir plus fort, puis se déverse sans fin dans mon anus.
Je joui une dernière fois avec lui, excité par son éjaculation, tant attendue.
"Ouffff ! C'était génial encore ! J'adore t'enculer Pascal ! Je joui trop bien avec toi !".
"Merci, mon commandant ! Moi aussi, j'ai bien joui ! Vous êtes en forme ce soir !".
"J'avais une grosse envie de ton cul !".
On se rhabille, puis il m'annonce que je vais bientôt être relevé de mon tour de garde, il me reste un peu moins d'une heure.
Je le regarde s'éloigner. A la relève, je regagne ensuite ma tente, épuisé de plaisir, je m'endors aussitôt.
Le lendemain, le lieutenant me demande discrètement, si je me suis bien fais baiser par le commandant.
Je lui raconte nos ébats en révélant la puissance des orgasmes que j'ai vécu.
Je comprends qu'il aime m'offrir aux autres, et je lui permet ce plaisir avec bonheur.
Nous faisons une très longue marche, puis le régiment rentre en fin de journée.
Je retrouve mon lit, épuisé physiquement, mais satisfait sexuellement.
Mes pieds me font mal, comme beaucoup, j'ai des ampoules à cause des chaussures "Rangers" neuves.
Mes souvenirs pervers m'aident à oublier la douleur.
Je suis aussi secrètement heureux de savoir que j'allais retrouver mon amant dans la semaine, et surement le commandant, à l'occasion.
Un copain me demande :
"Putain, ma copine me manque, j'ai envie de baiser ! Ça te manques pas toi ?".
"Euh, ça va !".
Comment pouvait-il deviner que mon lieu de baise, c'était l'armée !
Donc ma sexualité était celle-ci: On me faisait jouir du cul plusieurs fois et je me masturbais seul ensuite, mes éjaculations étaient beaucoup plus intenses, grâce aux sodomies.
Comme tous les autres, j'aimais retourner chez moi et revoir mes potes, mais revenir au camp militaire signifiait aussi retrouver les plaisirs du sexe entre hommes.
Le lieutenant m'a initié au plaisir anal, dés la visite médicale, qui a eu lieu au tout début de mon arrivée.
Il a déjà offert mon cul et ma bouche à son ami, le commandant, j'y ai pris beaucoup de plaisir.
Mon régiment doit partir en extérieur pendant deux jours, le but est de nous former à l'exercice du campement. Chacun doit se coltiner un paquetage encombrant, avec une moitié de tente.
Chaque tente se compose de deux moitiés, je vois mes comparses se demander mutuellement s'ils peuvent se joindre avec ceux qu'ils préfèrent.
Puis, vient l'appel, les pelotons se forment, je reconnais le lieutenant qui va prendre la direction de l'entrainement.
Le simple fait de le revoir après nos premiers rapports sexuels, me donnent envie de lui appartenir à nouveau.
Je sais qu'il m'a repéré, et je comprends qu'il reste discret.
Il nous présente cinq autres militaires qui vont l'aider dans cet exercice.
Nous partons au pas, puis en marchant, sur plusieurs longs kilomètres.
Vers 21 h, nous faisons une halte pour monter nos tentes.
Le lieutenant prend la parole.
"Vous allez vous mettre par deux, et monter vos tentes en suivant les indications du sergent D..., ah, il semblerait que vous êtes en nombre impair, pas d'inquiétude, on a une moitié en plus ! Soldat ...! Vous allez dormir seul !".
Je suis étonné qu'il prononce mon nom, je regarde mon copain, on avait prévu de partager notre tente.
Il doit se contenter du seul autre qui n'a pas de partenaire de nuit.
le lieutenant ajoute:
"Les appelés qui seront de gardes sont: ..., et soyez vigilants, le commandant viendra peut-être contrôler que vous ne dormez pas !".
J'entends encore mon nom, je pensais être protégé par ma relation avec mon amant, tant pis.
Chacun cherche un endroit sympa, pour poser sa couche.
Le lieutenant m'appelle et m'impose de monter ma tente à l'écart, mais près de la sienne, en chuchotant:
"Je passe te voir cette nuit ! Ça te fait plaisir ?".
"Oui, j'en ai envie, mon lieutenant !".
Il m'aide au montage, puis il m'annonce que mon tour de garde est de minuit, jusqu'à 3 heures du matin.
Nous nous nourissons avec les rations contenues dans notre paquetage.
Peu à peu, tout le monde se couche, je rentre dans mon duvet, et essaie de dormir un peu avant de partir pour mon tour de garde.
Vers 23 h, ma tente s'ouvre et je vois entrer le lieutenant.
Il se place derrière moi et me demande d'ouvrir mon duvet, il constate que je suis nu à l'intérieur.
"Tu m'attendais, c'est bien !".
"J'aime dormir nu, mon lieutenant ! Mais si ça vous excites c'est encore mieux !".
"Tu sais que j'adore ton cul ! Tends bien tes fesses, je vais t'enculer directement, on a pas beaucoup de temps !".
Il sort son tube de vaseline et m'enduit l'anus de produit.
Son organisation m'étonne !
Sa queue pousse déjà entre mes fesses, je mets ma main entre mes lèvres en le sentant m'écarteler l'œillet.
Même si ce n'est pas la première fois, mon anus n'est pas encore bien habitué aux pénétrations du lieutenant, et la sodomie que j'ai vécu avec le commandant du camp ne m'a pas apporté beaucoup plus d'aisance.
Le plaisir de la sodomie est étrange, il vous submerge par son côté possession extrême de votre cul.
On se sent écartelé analement, mais vous aimez cette sensation, bien sûr, il faut prendre son temps pour laisser l'anus s'habituer à la présence du sexe qui entre en vous, mais cela se passe sans douleur véritable.
C'est cette délicieuse sensation qui me submerge quand mon lieutenant adoré s'enfonce enfin en moi.
Mais qu'est-ce que c'est difficile de ne pas lui montrer que je prends énormément de plaisir avec sa bite.
Il me pilonne de plus en plus vite et profondément.
Il me couvre de mots vulgaires à voix basse en m'enculant, je joui plusieurs fois dans ma main, j'étouffe mes gémissements.
Je suis encore en plein orgasme anal quand il se lâche enfin en me mordant l'épaule pour jouir dans mon cul sans bruit.
Je passe ma main dans son dos, pour l'attirer plus fort en moi. J'aime ce moment de jouissance entre hommes.
"Hummm, c'était bon encore ! Pascal ! Allez, tu dois bientôt prendre ton tour de garde ! Je te laisse ! Et amuses-toi bien !".
Il fait attention en sortant de la tente et me quitte avec regret.
Comme aucune toilette, n'est possible, je dois conserver le sperme de mon amant dans mon anus.
Je me prépare ensuite pour mon tour de garde, je relève le soldat choisi avant moi.
L'endroit est désert et très sombre, en pleine nature.
Je me sens ridicule avec mon fusil, en pleine nuit, en temps de paix, à déambuler comme un idiot, le cul plein de foutre.
Vers minuit 30, j'entends des pas, un militaire au pas décidé s'approche de moi. je dois prononcer cette phrase idiote:
"Halte là ! Qui va là ?".
L'homme ne réponds pas et continue de s'approcher, puis il demande:
"C'est le commandant ..., présentez-vous !".
Je me mets au garde à vous et me présente:
"Soldat ... mon commandant !".
"Ah ! C'est vous ! Ça tombe bien ! Je vous cherchais !".
Il est tout près de moi et me touche le cul.
"Il va falloir poser tout ça ! On va passer du bon temps, Pascal ! Suivez-moi !".
"Vous pensez qu'on peut , mon commandant ?".
"On est tranquilles ! J'avais envie de vous baiser dans la nature, on a tout prévu avec le lieutenant Robert ...!".
Je le suis, vers des fourrés, éclairé d'une lampe de poche militaire. Il choisit un endroit un peu déboisé, avec un gros rocher sur lequel, il s'appuie pendant que je pose mon fusil et tout ce qui risque de nous encombrer contre un arbre.
En me retournant, je vois qu'il est en train de masturber sa longue queue en m'attendant, il éclaire sa bite avec sa lampe.
"Allez, viens me sucer ! Je veux ta bouche !".
Je m'accroupi devant lui, entre ses jambes, ma main guide sa bite entre mes lèvres.
Ma gorge humide enveloppe son gland profondément.
"Hummmm! Pascal, tu me suces bien, encore ! T'es vraiment doué, mon petit !".
"Vous aimez ? Mon commandant !".
"Ahhhhhhh ! Oui, et je vois que tu aimes vraiment çà aussi ! C'est très bon ! Ne t'arrêtes pas".
Je m'efforce de lui soutirer le plus de gémissements de plaisir possible, plus il gémit et plus je lui dévore la queue avec vice.
"Ahhhh ! Pascal ! Arrêtes ! Je vais jouir !".
"Vous pouvez ! Mon commandant ! Il n'y a pas de souci !".
"Non, je veux t'enculer, moi aussi !".
"Vous aussi, mon commandant ?".
"Oui, je sais que le lieutenant t'a baisé tout à l'heure ! Tiens-toi contre le rocher !".
Il passe derrière moi et me baisse mon pantalon militaire.
Il se baisse, pour plonger sa langue entre mes fesses.
Il me lèche l'anus longuement, apparemment excité de savoir que je venais de me faire prendre.
Je suppose qu'il fait durer son anulingus, pour faire retomber son éjaculation montante due à ma fellation vicieuse.
Il se redresse enfin et pose ses mains de chaque côté de mes fesses.
Il me pénètre doucement, le plaisir me gagne lentement.
Le quinquagénaire est doué et me fait jouir du cul avec maitrise.
Après mon premier orgasme anal, il augmente son rythme et sa lente possession devient une saillie déchainée.
Je joui tellement fort, le moment est si magique, prendre ce plaisir si intense dans cet endroit bucolique, en pleine nuit, avec le commandant du camp, je ne m'y attendais pas.
"Ahhh, j'adore te casser le cul ! Pascal !".
"Ahhhhrrrrrrrrr ! Mon commandant ! Vous le faites si bien ! Je vais encore jouir ! Arhhhhhhhhh !".
Je pense qu'il a du baiser avant de venir, parce qu'il est vraiment endurant !
Il me tourne et me couche sur le sol, pour m'enculer en soulevant mes jambes.
Les montées de plaisir et les positions s'enchainent, à sa demande, je lui fais plusieurs fellations au cours de ces ébats.
Il me force à me tenir contre l'arbre pendant qu'il se déchaine dans mon cul, encore et encore en me traitant de salope.
Il se met à gémir plus fort, puis se déverse sans fin dans mon anus.
Je joui une dernière fois avec lui, excité par son éjaculation, tant attendue.
"Ouffff ! C'était génial encore ! J'adore t'enculer Pascal ! Je joui trop bien avec toi !".
"Merci, mon commandant ! Moi aussi, j'ai bien joui ! Vous êtes en forme ce soir !".
"J'avais une grosse envie de ton cul !".
On se rhabille, puis il m'annonce que je vais bientôt être relevé de mon tour de garde, il me reste un peu moins d'une heure.
Je le regarde s'éloigner. A la relève, je regagne ensuite ma tente, épuisé de plaisir, je m'endors aussitôt.
Le lendemain, le lieutenant me demande discrètement, si je me suis bien fais baiser par le commandant.
Je lui raconte nos ébats en révélant la puissance des orgasmes que j'ai vécu.
Je comprends qu'il aime m'offrir aux autres, et je lui permet ce plaisir avec bonheur.
Nous faisons une très longue marche, puis le régiment rentre en fin de journée.
Je retrouve mon lit, épuisé physiquement, mais satisfait sexuellement.
Mes pieds me font mal, comme beaucoup, j'ai des ampoules à cause des chaussures "Rangers" neuves.
Mes souvenirs pervers m'aident à oublier la douleur.
Je suis aussi secrètement heureux de savoir que j'allais retrouver mon amant dans la semaine, et surement le commandant, à l'occasion.
Un copain me demande :
"Putain, ma copine me manque, j'ai envie de baiser ! Ça te manques pas toi ?".
"Euh, ça va !".
Comment pouvait-il deviner que mon lieu de baise, c'était l'armée !
Donc ma sexualité était celle-ci: On me faisait jouir du cul plusieurs fois et je me masturbais seul ensuite, mes éjaculations étaient beaucoup plus intenses, grâce aux sodomies.
Comme tous les autres, j'aimais retourner chez moi et revoir mes potes, mais revenir au camp militaire signifiait aussi retrouver les plaisirs du sexe entre hommes.
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