Initiation militaire. Oui mon lieutenant! 1
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Initiation militaire. Oui mon lieutenant! 1
"Allez tout le monde se déshabille !".
C'est la voix d'un militaire qui donne cet ordre, nous sommes en 1981, je fais mes classes et je n'en mène pas large.
Je suis au milieu d'une multitude de jeunes appelés, comme moi, je me sens petit et frêle près des autres.
"Vous enlevez tout ! et vous faites la queue en attendant votre tour !".
Comme à chaque fois que cela m'arrive, j'ai horreur de montrer mon corps aux autres, j'ai peur qu'on se moque de mon petit sexe au repos.
Après quelques minutes, j'entends des murmures derrière moi, je me retourne et vois un gradé qui discute à mon sujet avec les autres bleus.
Tout ce que j'arrive à déceler, c'est ; "Il ne doit pas le savoir ! Je pense !".
Au moment de passer tous les tests, un soldat infirmier regarde mes pieds et me dit :
"Reviens là ! C'est bien ce que je pensais ! Tu es à la limite du pied plat !".
"Eh alors ?".
"Ben, c'est la réforme ! Mec !".
"Ah non, je dois rester ! Il le faut !".
Il me regarde étonné.
"Ok, je te comprends pas, mais c'est limite ! Tu vas souffrir !".
Je passe aux vaccins et reçois mon paquetage, puis alors que je vais me rhabiller, le gradé regarde ma fiche et m'appelle par mon nom.
"Soldat .....! Restez comme ça, suivez-moi, je dois vous poser des questions ! Y a un truc qui ne va pas dans votre dossier !".
Je le suis, dans un dédale de couloirs, en portant mes affaires devant moi, curieux de savoir pourquoi, je dois rester nu.
Je me mets a redouter qu'il me réforme à cause de mes pieds plats.
On entre dans un bureau, il ferme derrière nous et me fait assoir devant le bureau.
Je trouve étrange de devoir rester nu devant lui, mais l'autorité due à son grade, me fait accepter tout ce qu'il veut.
Je remarque la petite plaque avec son nom: Lieutenant Robert T....
"Bon...., qu'est-ce que vous faites là ?".
"Comment ça, mon Lieutenant ?".
"Oui, je vois que vous avez été réformé pour soutien de famille, mais vous avez demandé à annuler cette réforme, pourquoi ?".
"Euh, j'ai frappé mon père, il avait bu et j'ai refusé qu'il me frappe sous l'effet de l'alcool. Il est tombé au sol en me criant qu'il me reniait. Depuis ce jour là, l'ambiance est trop tendue, il fallait mettre de la distance entre nous, mon Lieutenant !".
"Ah, je comprends, pas simple comme situation, mais ça suppose un souci avec l'autorité aussi, je vais devoir contrôler ça !".
Il s'approche et me demande.
"Tous ces tatouages sur vos bras, vous savez ce que ça signifie pour nos psychologues ?".
"Non, mon lieutenant !".
"Vous seriez un homosexuel refoulé, c'est mon avis aussi !".
"Qu.. quoi ? c'est pas vrai ! Non !".
"Penchez vous sur le bureau, je vais vérifier un détail ! Il y a des signes que ne trompent pas!".
"Mon lieutenant ! Non ! Qu'est-ce que vous allez faire?".
"Encore une fois, vous avez un souci avec l'autorité ! Vous voulez un mois de trou ?".
Je me radouci en me soumettant à son autorité, et réponds timidement:
"Non ! Mon lieutenant !".
"Alors ! C'est un ordre ! Obéissez !".
Je me lève du siège et m'allonge nu sur le bureau froid.
Il sort un tube de son tiroir et se place derrière moi. Il m'enduit l'anus généreusement, il insère deux doigts, puis un troisième, au fur et à mesure qu'ils se lubrifient.
Cette pénétration est désagréable, je mords ma main, en sachant qu'il outrepasse ses droits, mais je dois lui obéir.
"J'ai raison ! Vous avez eu des rapports homosexuels, ça se voit !".
"Non, mon lieutenant ! Je vous assure que ce n'est pas vrai ! Ahh !".
"Expliquez-moi ! Alors ! Votre cul est plus ouvert que la normale, vous me mentez !".
"Euh...".
"Répondez! Il faut obéir !".
"J'ai honte ! J'ose pas le dire ! Je... J'aime... m'enfoncer des objets ! Mon lieutenant !".
"Ahhh ! Tout s'explique ! Depuis longtemps ?".
"Depuis mes 8 ou 10 ans, mon Lieutenant ! Peut être avant, je sais plus !".
"Bon, on va vous aider alors ! Je vais régler ça !".
Il passe devant moi et se défait la braguette pour me présenter une bite épaisse plus longue que la normale.
"Vous allez me mettre en forme et je m'occuperai de votre cul après".
"Qu'est-ce que vous voulez dire, mon Lieutenant ?".
"Tu vas me sucer! Et ensuite, je vais te la mettre dans le cul ! Tu comprends ça?".
"Mais ! J'ai jamais fait ça ! J'aime les filles ! Mon lieutenant !".
"Allez ! Fais comme tu peux, tu vas aimer ça, tu verras ! Sois doux comme pour un baiser avec une fille !".
Il pointe son sexe devant ma bouche, il force le passage, je me retrouve avec son gros gland entre les lèvres, malgré moi, je trouve cela très agréable, il a raison, j'aime la chaleur de sa bite.
Au gré des mouvements, je me surprends à utiliser ma langue pour le lécher pendant qu'il glisse dans ma gorge.
La scène me renvoie aux images que j'ai pu voir, des femmes avec la gorge empalée sur des gros sexes.
Il me revient également, une anecdote avec un ami de mon grand frère qui plaisantait en me demandant de le sucer, mon frère a ri, au lieu de me protéger.
Il ne s'est rien passé, mais le traumatisme est resté.
A présent, je m'aide de ma main, pour mieux le sucer. Je suis gagné par une excitation incontrôlable, sa queue est gonflée et sa dimension m'impressionne.
J'ai du mal a en faire le tour avec mes doigts, je n'ose pas penser qu'il va s'enfoncer en moi, la forme de son gland épais qui glisse entre mes lèvres, ma langue et mon palais, pour allez s'écraser au fond de ma gorge, m'excite énormément.
Je n'arrive pas a contrôler une forte érection qui devient gênante, je me soulève un peu du bureau, pour que ma bite puisse trouver assez de place entre mon ventre et le meuble sous moi.
"Tu aimes me faire ça ?".
"Oui, mon lieutenant ! Mais c'est la première fois ! Je ne sais pas si, je le fais bien !".
"Je m'en doutais ! Je repère les petits pédés comme toi de très, très loin ! Allez continues de me lécher la bite ! T'es doué !".
Je suis puceau et malgré mon attirance pour les filles, je ne regrette pas que ma première fois se passe avec un homme, je suis excité par ses gémissements de plaisir et je veux aller au bout de cet instant délicieux.
Au bout de 10 minutes de fellation, il quitte ma bouche et dépose encore du produit gras entre mes fesses.
Son gland commence son écartèlement, je porte mon bras devant ma bouche pour le mordre.
"Ca va bien se passer ! Vous allez voir !".
Tout est nouveau pour moi, ce jour là, même ses mains qui sont agrippées à mes hanches pour guider sa bite vers mon anus me ramènent à cette réalité: je vais me faire prendre par un autre homme, moi le puceau hétéro !
C'est nouveau aussi, cette poussée naturelle contre mon anus, cela me change des objets inertes et froids sur lesquels, je m'empale.
L'écartèlement causé par sa tentative de pénétration me fait gémir, mais j'aime la chaleur de sa queue.
"Arhhhh ! Mon lieutenant ! C'est gros, j'ai pas l'habitude !".
"Mais non, vous verrez, après, vous me demander d'aller plus vite et plus fort, vous verrez !".
Son gland passe mon œillet en m'arrachant un râle étouffé, il sort de mon anus et admire son sexe, ainsi que ma collerette qui s'ouvre.
En revenant entre mes fesses, je le sens me pénétrer d'une traite en force jusqu'à sentir son ventre contre moi.
"Arhhhhhhhhhhh, mon lieutenant !".
Il ne se soucie pas de moi et entame un mouvement ample et lent.
Je râle de moins en moins, au fil des allers et retours dans mon cul, puis je commence à gémir de plaisir, c'est vraiment meilleur que mes phallus inertes.
"Mon lieutenant, c'est... c'est...".
"C'est quoi, allez, parlez !".
"Ahhhhhhhhhh ! C'est bon ! Encore meilleur que les objets ! Arhhhhhhhhhhh !".
"Vous voyez que j'avais raison !".
Il se déchaine alors comme un dingue, je dois me retenir de ne pas crier, afin que les autres ne comprennent pas que je me fais dépuceler du cul par le lieutenant !
"Oh, .... vous avez un cul de rêve ! Je vais vous le remplir assez vite, je pense ! Vous êtes fait pour vous faire enculer !".
La phrase est un mini choc pour moi, je me fais enculer ! Je ne peux plus revenir en arrière ! Je suis devenu un pédé ! Je refuse cet état de fait, mais j'aime indéniablement me faire enculer ! Et je m'entends lui réclamer:
"Arhhhhhh ! Mon lieutenant ! Oui, enculez-moi plus fort, plus vite ! Oui ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !"
Il me besogne, un bon quart d'heure en me procurant mon premier orgasme anal avec un vrai sexe d'homme.
Puis il annonce :
"Arhhhhh,...je te remplis le cul, petite salope ! Hummmm !".
Je découvre ce moment magique ou un homme est pris de spasmes dans tout le corps parce qu'il déverse en vous toute son éjaculation de sperme, et cette douce sensation d'écoulement profond dans l'anus. Je ne cesserai dès lors de rechercher ce plaisir.
Il s'affale sur moi en finissant de se vider dans mon cul, puis lentement, il se retire et me dit :
"Ca va ? Ca vous a plu ?".
"Euh, je sais pas quoi en penser, j'ai honte, mais j'ai pris énormément de plaisir, plus qu'avec mes objets, j'ai peur d'en avoir besoin maintenant ! Mon lieutenant !"
"Bien, c'est pas un problème, ça ! De temps en temps, je vous ferai venir, il faut entretenir cet anus ! Ca doit pas se refermer ! Il est prometteur. Compris ?".
Incrédule, étonné de cette phrase et troublé d'avoir été enculé en me faisant traiter de petite salope par cet homme, je réponds:
"Euh, oui, mon lieutenant !".
"C'est bien, vous respectez mon autorité, vous faites des efforts ! On garde ça entre nous, c'est un ordre ! Vous aurez aussi quelques privilèges, vous verrez ! Mais il faudra obéir !".
"Oui, mon lieutenant !".
"Rhabillez-vous et rejoignez votre régiment !".
J'ai obéis et rejoins les autres, puis nous sommes rentrés au pas vers nos baraquements.
A chaque fois que mon pied frappait le sol, je sentais le sperme qui cherchait à sortir de mon anus, je n'ai pas pu éviter le pire, et en me rendant aux toilettes, j'ai constaté pour la première fois que mon slip était souillé par le sperme d'un autre homme au niveau de mon anus.
Par chance, cela n'a pas traversé pour tacher mon pantalon.
C'est étrange, et envoutant, ce sentiment qui révèle que votre corps, et votre anus ont servi à soulager le désir pervers d'un autre homme.
Les autres m'ont demandé pourquoi, j'étais resté aussi longtemps avec le lieutenant. Je leur ai parlé de mon histoire de famille et de ma réforme annulée sur ma demande, ils m'ont pris pour un fou, mais d'autres ont compris ma démarche et l'ont respectée.
L'excuse a marché, c'était le plus important !
C'était le début d'une année riche en découvertes, malgré mes réticences d'hétéro, j'étais demandeur de nouvelles expériences avec le lieutenant qui me faisait venir de nombreuses fois. Au cours des premières semaines, il m'initiera à d'autres plaisirs.
J'étais arrivé puceau, et voilà que je me fais baiser plus de 3 fois par semaine, le premier mois, puis plus encore, les mois suivants.
Ma première longue histoire a donc été avec un homme. Pendant presque un an, mes seuls rapports sexuels seront exclusivement homo.
C'est la voix d'un militaire qui donne cet ordre, nous sommes en 1981, je fais mes classes et je n'en mène pas large.
Je suis au milieu d'une multitude de jeunes appelés, comme moi, je me sens petit et frêle près des autres.
"Vous enlevez tout ! et vous faites la queue en attendant votre tour !".
Comme à chaque fois que cela m'arrive, j'ai horreur de montrer mon corps aux autres, j'ai peur qu'on se moque de mon petit sexe au repos.
Après quelques minutes, j'entends des murmures derrière moi, je me retourne et vois un gradé qui discute à mon sujet avec les autres bleus.
Tout ce que j'arrive à déceler, c'est ; "Il ne doit pas le savoir ! Je pense !".
Au moment de passer tous les tests, un soldat infirmier regarde mes pieds et me dit :
"Reviens là ! C'est bien ce que je pensais ! Tu es à la limite du pied plat !".
"Eh alors ?".
"Ben, c'est la réforme ! Mec !".
"Ah non, je dois rester ! Il le faut !".
Il me regarde étonné.
"Ok, je te comprends pas, mais c'est limite ! Tu vas souffrir !".
Je passe aux vaccins et reçois mon paquetage, puis alors que je vais me rhabiller, le gradé regarde ma fiche et m'appelle par mon nom.
"Soldat .....! Restez comme ça, suivez-moi, je dois vous poser des questions ! Y a un truc qui ne va pas dans votre dossier !".
Je le suis, dans un dédale de couloirs, en portant mes affaires devant moi, curieux de savoir pourquoi, je dois rester nu.
Je me mets a redouter qu'il me réforme à cause de mes pieds plats.
On entre dans un bureau, il ferme derrière nous et me fait assoir devant le bureau.
Je trouve étrange de devoir rester nu devant lui, mais l'autorité due à son grade, me fait accepter tout ce qu'il veut.
Je remarque la petite plaque avec son nom: Lieutenant Robert T....
"Bon...., qu'est-ce que vous faites là ?".
"Comment ça, mon Lieutenant ?".
"Oui, je vois que vous avez été réformé pour soutien de famille, mais vous avez demandé à annuler cette réforme, pourquoi ?".
"Euh, j'ai frappé mon père, il avait bu et j'ai refusé qu'il me frappe sous l'effet de l'alcool. Il est tombé au sol en me criant qu'il me reniait. Depuis ce jour là, l'ambiance est trop tendue, il fallait mettre de la distance entre nous, mon Lieutenant !".
"Ah, je comprends, pas simple comme situation, mais ça suppose un souci avec l'autorité aussi, je vais devoir contrôler ça !".
Il s'approche et me demande.
"Tous ces tatouages sur vos bras, vous savez ce que ça signifie pour nos psychologues ?".
"Non, mon lieutenant !".
"Vous seriez un homosexuel refoulé, c'est mon avis aussi !".
"Qu.. quoi ? c'est pas vrai ! Non !".
"Penchez vous sur le bureau, je vais vérifier un détail ! Il y a des signes que ne trompent pas!".
"Mon lieutenant ! Non ! Qu'est-ce que vous allez faire?".
"Encore une fois, vous avez un souci avec l'autorité ! Vous voulez un mois de trou ?".
Je me radouci en me soumettant à son autorité, et réponds timidement:
"Non ! Mon lieutenant !".
"Alors ! C'est un ordre ! Obéissez !".
Je me lève du siège et m'allonge nu sur le bureau froid.
Il sort un tube de son tiroir et se place derrière moi. Il m'enduit l'anus généreusement, il insère deux doigts, puis un troisième, au fur et à mesure qu'ils se lubrifient.
Cette pénétration est désagréable, je mords ma main, en sachant qu'il outrepasse ses droits, mais je dois lui obéir.
"J'ai raison ! Vous avez eu des rapports homosexuels, ça se voit !".
"Non, mon lieutenant ! Je vous assure que ce n'est pas vrai ! Ahh !".
"Expliquez-moi ! Alors ! Votre cul est plus ouvert que la normale, vous me mentez !".
"Euh...".
"Répondez! Il faut obéir !".
"J'ai honte ! J'ose pas le dire ! Je... J'aime... m'enfoncer des objets ! Mon lieutenant !".
"Ahhh ! Tout s'explique ! Depuis longtemps ?".
"Depuis mes 8 ou 10 ans, mon Lieutenant ! Peut être avant, je sais plus !".
"Bon, on va vous aider alors ! Je vais régler ça !".
Il passe devant moi et se défait la braguette pour me présenter une bite épaisse plus longue que la normale.
"Vous allez me mettre en forme et je m'occuperai de votre cul après".
"Qu'est-ce que vous voulez dire, mon Lieutenant ?".
"Tu vas me sucer! Et ensuite, je vais te la mettre dans le cul ! Tu comprends ça?".
"Mais ! J'ai jamais fait ça ! J'aime les filles ! Mon lieutenant !".
"Allez ! Fais comme tu peux, tu vas aimer ça, tu verras ! Sois doux comme pour un baiser avec une fille !".
Il pointe son sexe devant ma bouche, il force le passage, je me retrouve avec son gros gland entre les lèvres, malgré moi, je trouve cela très agréable, il a raison, j'aime la chaleur de sa bite.
Au gré des mouvements, je me surprends à utiliser ma langue pour le lécher pendant qu'il glisse dans ma gorge.
La scène me renvoie aux images que j'ai pu voir, des femmes avec la gorge empalée sur des gros sexes.
Il me revient également, une anecdote avec un ami de mon grand frère qui plaisantait en me demandant de le sucer, mon frère a ri, au lieu de me protéger.
Il ne s'est rien passé, mais le traumatisme est resté.
A présent, je m'aide de ma main, pour mieux le sucer. Je suis gagné par une excitation incontrôlable, sa queue est gonflée et sa dimension m'impressionne.
J'ai du mal a en faire le tour avec mes doigts, je n'ose pas penser qu'il va s'enfoncer en moi, la forme de son gland épais qui glisse entre mes lèvres, ma langue et mon palais, pour allez s'écraser au fond de ma gorge, m'excite énormément.
Je n'arrive pas a contrôler une forte érection qui devient gênante, je me soulève un peu du bureau, pour que ma bite puisse trouver assez de place entre mon ventre et le meuble sous moi.
"Tu aimes me faire ça ?".
"Oui, mon lieutenant ! Mais c'est la première fois ! Je ne sais pas si, je le fais bien !".
"Je m'en doutais ! Je repère les petits pédés comme toi de très, très loin ! Allez continues de me lécher la bite ! T'es doué !".
Je suis puceau et malgré mon attirance pour les filles, je ne regrette pas que ma première fois se passe avec un homme, je suis excité par ses gémissements de plaisir et je veux aller au bout de cet instant délicieux.
Au bout de 10 minutes de fellation, il quitte ma bouche et dépose encore du produit gras entre mes fesses.
Son gland commence son écartèlement, je porte mon bras devant ma bouche pour le mordre.
"Ca va bien se passer ! Vous allez voir !".
Tout est nouveau pour moi, ce jour là, même ses mains qui sont agrippées à mes hanches pour guider sa bite vers mon anus me ramènent à cette réalité: je vais me faire prendre par un autre homme, moi le puceau hétéro !
C'est nouveau aussi, cette poussée naturelle contre mon anus, cela me change des objets inertes et froids sur lesquels, je m'empale.
L'écartèlement causé par sa tentative de pénétration me fait gémir, mais j'aime la chaleur de sa queue.
"Arhhhh ! Mon lieutenant ! C'est gros, j'ai pas l'habitude !".
"Mais non, vous verrez, après, vous me demander d'aller plus vite et plus fort, vous verrez !".
Son gland passe mon œillet en m'arrachant un râle étouffé, il sort de mon anus et admire son sexe, ainsi que ma collerette qui s'ouvre.
En revenant entre mes fesses, je le sens me pénétrer d'une traite en force jusqu'à sentir son ventre contre moi.
"Arhhhhhhhhhhh, mon lieutenant !".
Il ne se soucie pas de moi et entame un mouvement ample et lent.
Je râle de moins en moins, au fil des allers et retours dans mon cul, puis je commence à gémir de plaisir, c'est vraiment meilleur que mes phallus inertes.
"Mon lieutenant, c'est... c'est...".
"C'est quoi, allez, parlez !".
"Ahhhhhhhhhh ! C'est bon ! Encore meilleur que les objets ! Arhhhhhhhhhhh !".
"Vous voyez que j'avais raison !".
Il se déchaine alors comme un dingue, je dois me retenir de ne pas crier, afin que les autres ne comprennent pas que je me fais dépuceler du cul par le lieutenant !
"Oh, .... vous avez un cul de rêve ! Je vais vous le remplir assez vite, je pense ! Vous êtes fait pour vous faire enculer !".
La phrase est un mini choc pour moi, je me fais enculer ! Je ne peux plus revenir en arrière ! Je suis devenu un pédé ! Je refuse cet état de fait, mais j'aime indéniablement me faire enculer ! Et je m'entends lui réclamer:
"Arhhhhhh ! Mon lieutenant ! Oui, enculez-moi plus fort, plus vite ! Oui ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !"
Il me besogne, un bon quart d'heure en me procurant mon premier orgasme anal avec un vrai sexe d'homme.
Puis il annonce :
"Arhhhhh,...je te remplis le cul, petite salope ! Hummmm !".
Je découvre ce moment magique ou un homme est pris de spasmes dans tout le corps parce qu'il déverse en vous toute son éjaculation de sperme, et cette douce sensation d'écoulement profond dans l'anus. Je ne cesserai dès lors de rechercher ce plaisir.
Il s'affale sur moi en finissant de se vider dans mon cul, puis lentement, il se retire et me dit :
"Ca va ? Ca vous a plu ?".
"Euh, je sais pas quoi en penser, j'ai honte, mais j'ai pris énormément de plaisir, plus qu'avec mes objets, j'ai peur d'en avoir besoin maintenant ! Mon lieutenant !"
"Bien, c'est pas un problème, ça ! De temps en temps, je vous ferai venir, il faut entretenir cet anus ! Ca doit pas se refermer ! Il est prometteur. Compris ?".
Incrédule, étonné de cette phrase et troublé d'avoir été enculé en me faisant traiter de petite salope par cet homme, je réponds:
"Euh, oui, mon lieutenant !".
"C'est bien, vous respectez mon autorité, vous faites des efforts ! On garde ça entre nous, c'est un ordre ! Vous aurez aussi quelques privilèges, vous verrez ! Mais il faudra obéir !".
"Oui, mon lieutenant !".
"Rhabillez-vous et rejoignez votre régiment !".
J'ai obéis et rejoins les autres, puis nous sommes rentrés au pas vers nos baraquements.
A chaque fois que mon pied frappait le sol, je sentais le sperme qui cherchait à sortir de mon anus, je n'ai pas pu éviter le pire, et en me rendant aux toilettes, j'ai constaté pour la première fois que mon slip était souillé par le sperme d'un autre homme au niveau de mon anus.
Par chance, cela n'a pas traversé pour tacher mon pantalon.
C'est étrange, et envoutant, ce sentiment qui révèle que votre corps, et votre anus ont servi à soulager le désir pervers d'un autre homme.
Les autres m'ont demandé pourquoi, j'étais resté aussi longtemps avec le lieutenant. Je leur ai parlé de mon histoire de famille et de ma réforme annulée sur ma demande, ils m'ont pris pour un fou, mais d'autres ont compris ma démarche et l'ont respectée.
L'excuse a marché, c'était le plus important !
C'était le début d'une année riche en découvertes, malgré mes réticences d'hétéro, j'étais demandeur de nouvelles expériences avec le lieutenant qui me faisait venir de nombreuses fois. Au cours des premières semaines, il m'initiera à d'autres plaisirs.
J'étais arrivé puceau, et voilà que je me fais baiser plus de 3 fois par semaine, le premier mois, puis plus encore, les mois suivants.
Ma première longue histoire a donc été avec un homme. Pendant presque un an, mes seuls rapports sexuels seront exclusivement homo.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
toutes vos histoires ont rempli mes jours et mes nuits de caresses, d auto dilatation avec des grosses courgettes et bien sur ceci en cachette.
Merci merci merci
à votre disposition je suis en ile de France et je me déplace dans toute la france
Merci merci merci
à votre disposition je suis en ile de France et je me déplace dans toute la france
Merci pour vos commentaires !
J’adore
Belle histoire