Initiation professionnelle
Récit érotique écrit par Harry COVERT [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2006 dans la catégorie Plus on est
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Initiation professionnelle
<p>A 21 ans, j’avais 6 mois de mariage, quand la vie nous propulsa, mon mari et moi, dans une région totalement inconnue de nous deux, la bretagne.
Après quelques vaines recherches d’emploi, nous avons enfin pu recommencer une vie professionnelle. Mon mari comme représentant et moi comme secrétaire.
Quelques jours seulement après ma prise de fonction, j’ai vite compris que dans cette entreprise, le sexe était le grand sujet de conversation. Le directeur avait deux ou trois maîtresses que tout le personnel connaissait. Il les recevait de temps à autre dans son bureau à l’heure de la fermeture des bureaux. C’était de notoriété publique.
Un jour, il avait même pris la précaution de m’en informer sous le ton de la confidence, pour, me dit-il, que je ne fasse pas d’impair.
Le sous-directeur lui, ami d’enfance du directeur, entretenait une liaison avec la secrétaire de direction. Une liaison, le mot est faible, car ils ne se gênaient pas pour avoir des rapports sexuels dans son bureau, rapports dont les échos parvenaient dans le mien au travers de la cloison commune.
Lui est un homme mûr, la soixantaine distinguée, marié mais buveur et grossier, et, je m’en suis aperçu par la suite, totalement incompétent professionnellement.
Elle, 35ans, célibataire, blonde aux yeux bleus, doit mesurer au moins 1m75 et peser dans les 80 à 85 kgs. Malgré ce, elle présente un corps admirablement proportionné dont la poitrine et les fesses sont des atouts particulièrement remarqués. Elle est élégante et parle avec distinction dans un langage choisi, presque précieux.
J’ai appris par la suite que, fille de l’assistance publique, elle avait cependant un bagage intellectuel remarquable sanctionné par plusieurs diplômes, dont un diplôme de gestion en commerce international.
J’ai aussi appris qu’elle se trouvait à ce poste grâce au sous-directeur, ami d’enfance d’un de ses oncles avec lequel il avait fait de la plongée sous-marine.
Cela faisait maintenant presque un an que j’étais dans cette entreprise, et je dois le dire, l’ambiance était très agréable, les rapports entre collègues très amicaux et familiers. Chacun avait à cœur d’accomplir sa tache le mieux possible, dans l’intérêt général, et aussi dans l’intérêt de la prime de fin d’année liée aux résultats financiers.
Quand le sous-directeur, Fernand de son prénom, me demanda de rester un soir, après les heures légales, pour les aider, lui et Jocelyne sa secrétaire, à commencer le bilan de fin d’année, je n’ai pu refuser.
Il était près de 20 heures quand Fernand proposa d’arrêter momentanément pour nous restaurer.
Il avait commandé des pizzas et du vin qu’un livreur avait apporté.
Avant de s’y attaquer, Fernand ouvrit son réfrigérateur et déboucha une bouteille de champagne, pour, dit-il, fêter les excellents résultats de l’entreprise. Peu habituée à boire de l’alcool, les deux coupes absorbées me faisaient un peu tourner la tête. Le couple, lui, ne semblait aucunement perturbé, si ce n’est Jocelyne qui, parce qu’elle avait un peu chaud, retira son petit pull. Nous étions en décembre, le froid était vif, et le chauffage du bureau de Fernand était toujours au maximum, lui travaillant en chemise.
Tout en mangeant nos pizzas, la conversation au début banale, prit une tournure plutôt axée sur le sexe. Habituée maintenant au us et coutumes de la maison, je n’y voyais rien de choquant. Ma collègue et son amant mangeaient et buvaient fréquemment, me servant chaque fois un vin que je croyais devoir absorber, pour parfaire mon intégration au groupe et à l’entreprise.
Le champagne, le vin, et la chaleur du bureau provoquant chez moi des sueurs, j’ai ôté moi aussi mon petit pull. Mon chemisier transparent dévoila mon soutien-gorge qui faisait pigeonner ma poitrine opulente.
Certainement par hérédité, ma mère étant d’origine espagnole, la nature m’avait dotée d’une paire de seins opulente qui nécessitait du 95C.
Plutôt petite de taille, 1m60, brune aux cheveux mi-longs et aux yeux bleus, j’ai toujours attiré le regard des hommes par mon petit corps potelé, mes jolies jambes, et mes petites fesses cambrées et bien charnues. La pratique de la danse pendant plus de dix ans me donnait une démarche lascive parfois bien gênante car provocante.
A la vue de ma poitrine encore plus visible que sous mon pull, j’ai eu droit immédiatement à des compliments, et Jocelyne, d’un air salace, dit qu’elle voulait en voir plus, aussitôt approuvée par le sous-directeur.
Ayant certainement perdu mon self-control et ma pudeur, et toujours pour rester dans l’ambiance créée, j’ai suggéré à Jocelyne de le faire elle-même.
Sitôt dit, sitôt fait, la secrétaire se leva, enleva son chemisier et son soutien-gorge, et nous offrit ses seins certes énormes, mais parfait et d’une tenue que je ne soupçonnais pas vue leur taille.
Ce qui sautait immédiatement aux yeux, c’étaient ses aréoles foncées et ses mamelons d’une taille inhabituelle. Des petits doigts de nourrisson.
-C’est à toi maintenant ! dit de suite Fernand en me montrant du doigt
J’étais prise au piège, et devant mon hésitation, c’est Jocelyne qui dégrafa mon chemisier et ôta mon soutien-gorge, dévoilant mes seins aux yeux de tous.
-Oh les filles, vous me faites bander ! s’exclama Fernand
-Tu as des seins splendides ! dit Jocelyne en enveloppant mon sein gauche de sa main droite, tout en titillant le téton
Penchée vers moi, j’avais sa poitrine sous les yeux, à quelques centimètres, et l’envie de la caresser se fit très forte.
J’ai avancé une main, et lui pris un sein. Aussitôt son téton se durcit et se mit en érection. C’était spectaculaire et très troublant. On aurait dit un petit sexe.
Enhardie par ma réaction, elle prit ma bouche pour me donner un baiser brûlant, nos langues se mêlant furieusement.
J’étais dans un état second et très excitée, ayant perdu toute retenue.
Ah non ! dit Fernand, et moi je ne joue pas petites salopes ?
Il s’approcha de nous, braguette ouverte, le sexe tendu.
-Qui en veut ?
Jocelyne se redressa, un sourire aux lèvres, et devant nous entrepris de se mettre entièrement nue.
Pendant ce bref instant de déshabillage, le sous-directeur pris ma main droite et la posa sur son sexe. C’est là que j’ai découvert la taille de l’engin. Mon mari, pourtant bien monté, aurait eu des complexes. C’était quasiment une fois et demie la taille moyenne, tant par la longueur que par le diamètre.
Devant ma réaction de surprise, Fernand dit tout haut, dans un éclat de rire gras
-Tu sais petite, Jocelyne s’en régale avec le cul qu’elle a !
Jocelyne, justement, s’était mise en action.
Ayant retiré vêtements et sous-vêtements à son amant, il était lui aussi complètement nu. A genoux devant lui, elle se mit à le sucer lentement, augmentant tout naturellement son érection.
La scène et les bruits de succion m’avaient mise en transes, et glissant ma main sous ma jupe, je me suis mise à me caresser en cambrant les reins.
N’ayant rien perdu de mes gestes, Fernand se retira de la bouche de sa maîtresse, et me prenant par un bras il me dit :
-Allez, à poil toi aussi, montre-nous ton petit cul !
Et joignant le geste à la parole, il fit glisser ma jupe et retira mon slip.
-Mais c’est une petite merveille Jocelyne, viens voir çà !
Ils venaient de découvrir mon sexe entièrement épilé, selon le désir de mon mari.
Alors tout s’enchaîna très vite.
Fernand me prend à bras le corps, me dépose sur son bureau, me renverse sur le dos, écarte mes cuisses et de sa langue épaisse, il s’introduit entre mes lèvres intimes.
Jocelyne, en même temps, m’embrasse à pleine bouche tout en caressant mon ventre qui commence à onduler sous les caresses.
Puis elle s’attaque à mes seins, les caressant et en suçant les tétons.
Fernand introduit sa langue comme un sexe, allant et venant lentement, pendant que sa main titille mon clitoris. Puis, c’est sa langue qui remplace sa main, et de ses lèvres il l’aspire fortement. Je défaille de plaisir et ondule de tout mon corps.
Jocelyne veut elle aussi participer au festin. Prenant la place de son amant, elle me prodigue les mêmes caresses, tout en ayant introduit un doigt entre mes fesses qu’elle parcoure de haut en bas et de bas en haut. Le plaisir et si intense que j’ai mon premier orgasme.
Pendant ce temps, le sous-directeur, placé derrière Jocelyne penchée entre mes cuisses, la pénètre en levrette.
Abandonnant mon corps, les deux compères s’éloignent du bureau et Fernand prend place dans un fauteuil de direction pendant que sa maîtresse s’agenouille devant lui.
-Regarde petite, Jocelyne va me masser !
Enfermant le sexe de l’homme entre ses deux énormes seins, la secrétaire le masturbe, tout en lui suçant le gland.
Quand il se répand dans sa bouche, j’ai vu et compris que Jocelyne avait tout avaler.
-Maintenant qui me fait jouir ! s’exclama Jocelyne
-Toi ma chérie ! me dit-elle
-Prodigue-moi tes caresses !
Je n’avais jamais fait l’amour avec une femme, et ne savais que faire. Elle le découvre rapidement et me dit
-Je vais t’apprendre et tu me feras tout ce que je te ferai !
Couchées sur la moquette du bureau, je lui laisse faire tout ce qu’elle veut, et lui rends caresse pour caresse. Nos corps roulent l’un sur l’autre, nos langues s’enroulent, nos mains nous caressent mutuellement, et le plaisir m’envahit de nouveau.
Fernand qui assiste en spectateur, un verre de whisky à la main, se masturbe lentement
-Jocelyne, fait-lui savourer ta spécialité !
Alors, écoutant ce conseil, et elle me met sur le dos, place mes jambes sur ses épaules, et me pénètre avec un téton qu’elle agite du haut en bas de mes lèvres intimes. J’avais l’impression qu’un petit sexe essayait de me pénétrer.
Cette sensation me fait gémir de plaisir, et n’y tenant plus, je jouis pour la seconde fois de la soirée.
Fernand, ravi du spectacle, se place alors derrière sa maîtresse à genoux
-C’est moi qui vais te faire jouir grosse cochonne ! Ecarte des grosses fesses que je t’encule !
Obéissante, Jocelyne s’exécute d’une main, et sans la moindre précaution, brutalement, Fernand l’encula.
Je vois cet énorme sexe s’activé dans cet orifice dilaté, entre ces fesses impressionnantes auxquelles l’homme est agrippé. Les seins balancent en cadence, j’entends les claques bruyantes qu’il leur applique, je vois les traces rouges qui apparaissaient. Les halètements de l’homme et les petits cris de la femme dans cette position pornographique me mettent de nouveau en transes.
Quand tous les deux, presque en même temps, atteignent leurs jouissances bruyantes, j’ai joui pour la troisième fois en me caressant, couchée sur le dos, les cuisses écartées, le bassin décollé du sol tant je suis cambrée par le plaisir.
Il y a plusieurs suites que je vous raconterai, peut-être !
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Après quelques vaines recherches d’emploi, nous avons enfin pu recommencer une vie professionnelle. Mon mari comme représentant et moi comme secrétaire.
Quelques jours seulement après ma prise de fonction, j’ai vite compris que dans cette entreprise, le sexe était le grand sujet de conversation. Le directeur avait deux ou trois maîtresses que tout le personnel connaissait. Il les recevait de temps à autre dans son bureau à l’heure de la fermeture des bureaux. C’était de notoriété publique.
Un jour, il avait même pris la précaution de m’en informer sous le ton de la confidence, pour, me dit-il, que je ne fasse pas d’impair.
Le sous-directeur lui, ami d’enfance du directeur, entretenait une liaison avec la secrétaire de direction. Une liaison, le mot est faible, car ils ne se gênaient pas pour avoir des rapports sexuels dans son bureau, rapports dont les échos parvenaient dans le mien au travers de la cloison commune.
Lui est un homme mûr, la soixantaine distinguée, marié mais buveur et grossier, et, je m’en suis aperçu par la suite, totalement incompétent professionnellement.
Elle, 35ans, célibataire, blonde aux yeux bleus, doit mesurer au moins 1m75 et peser dans les 80 à 85 kgs. Malgré ce, elle présente un corps admirablement proportionné dont la poitrine et les fesses sont des atouts particulièrement remarqués. Elle est élégante et parle avec distinction dans un langage choisi, presque précieux.
J’ai appris par la suite que, fille de l’assistance publique, elle avait cependant un bagage intellectuel remarquable sanctionné par plusieurs diplômes, dont un diplôme de gestion en commerce international.
J’ai aussi appris qu’elle se trouvait à ce poste grâce au sous-directeur, ami d’enfance d’un de ses oncles avec lequel il avait fait de la plongée sous-marine.
Cela faisait maintenant presque un an que j’étais dans cette entreprise, et je dois le dire, l’ambiance était très agréable, les rapports entre collègues très amicaux et familiers. Chacun avait à cœur d’accomplir sa tache le mieux possible, dans l’intérêt général, et aussi dans l’intérêt de la prime de fin d’année liée aux résultats financiers.
Quand le sous-directeur, Fernand de son prénom, me demanda de rester un soir, après les heures légales, pour les aider, lui et Jocelyne sa secrétaire, à commencer le bilan de fin d’année, je n’ai pu refuser.
Il était près de 20 heures quand Fernand proposa d’arrêter momentanément pour nous restaurer.
Il avait commandé des pizzas et du vin qu’un livreur avait apporté.
Avant de s’y attaquer, Fernand ouvrit son réfrigérateur et déboucha une bouteille de champagne, pour, dit-il, fêter les excellents résultats de l’entreprise. Peu habituée à boire de l’alcool, les deux coupes absorbées me faisaient un peu tourner la tête. Le couple, lui, ne semblait aucunement perturbé, si ce n’est Jocelyne qui, parce qu’elle avait un peu chaud, retira son petit pull. Nous étions en décembre, le froid était vif, et le chauffage du bureau de Fernand était toujours au maximum, lui travaillant en chemise.
Tout en mangeant nos pizzas, la conversation au début banale, prit une tournure plutôt axée sur le sexe. Habituée maintenant au us et coutumes de la maison, je n’y voyais rien de choquant. Ma collègue et son amant mangeaient et buvaient fréquemment, me servant chaque fois un vin que je croyais devoir absorber, pour parfaire mon intégration au groupe et à l’entreprise.
Le champagne, le vin, et la chaleur du bureau provoquant chez moi des sueurs, j’ai ôté moi aussi mon petit pull. Mon chemisier transparent dévoila mon soutien-gorge qui faisait pigeonner ma poitrine opulente.
Certainement par hérédité, ma mère étant d’origine espagnole, la nature m’avait dotée d’une paire de seins opulente qui nécessitait du 95C.
Plutôt petite de taille, 1m60, brune aux cheveux mi-longs et aux yeux bleus, j’ai toujours attiré le regard des hommes par mon petit corps potelé, mes jolies jambes, et mes petites fesses cambrées et bien charnues. La pratique de la danse pendant plus de dix ans me donnait une démarche lascive parfois bien gênante car provocante.
A la vue de ma poitrine encore plus visible que sous mon pull, j’ai eu droit immédiatement à des compliments, et Jocelyne, d’un air salace, dit qu’elle voulait en voir plus, aussitôt approuvée par le sous-directeur.
Ayant certainement perdu mon self-control et ma pudeur, et toujours pour rester dans l’ambiance créée, j’ai suggéré à Jocelyne de le faire elle-même.
Sitôt dit, sitôt fait, la secrétaire se leva, enleva son chemisier et son soutien-gorge, et nous offrit ses seins certes énormes, mais parfait et d’une tenue que je ne soupçonnais pas vue leur taille.
Ce qui sautait immédiatement aux yeux, c’étaient ses aréoles foncées et ses mamelons d’une taille inhabituelle. Des petits doigts de nourrisson.
-C’est à toi maintenant ! dit de suite Fernand en me montrant du doigt
J’étais prise au piège, et devant mon hésitation, c’est Jocelyne qui dégrafa mon chemisier et ôta mon soutien-gorge, dévoilant mes seins aux yeux de tous.
-Oh les filles, vous me faites bander ! s’exclama Fernand
-Tu as des seins splendides ! dit Jocelyne en enveloppant mon sein gauche de sa main droite, tout en titillant le téton
Penchée vers moi, j’avais sa poitrine sous les yeux, à quelques centimètres, et l’envie de la caresser se fit très forte.
J’ai avancé une main, et lui pris un sein. Aussitôt son téton se durcit et se mit en érection. C’était spectaculaire et très troublant. On aurait dit un petit sexe.
Enhardie par ma réaction, elle prit ma bouche pour me donner un baiser brûlant, nos langues se mêlant furieusement.
J’étais dans un état second et très excitée, ayant perdu toute retenue.
Ah non ! dit Fernand, et moi je ne joue pas petites salopes ?
Il s’approcha de nous, braguette ouverte, le sexe tendu.
-Qui en veut ?
Jocelyne se redressa, un sourire aux lèvres, et devant nous entrepris de se mettre entièrement nue.
Pendant ce bref instant de déshabillage, le sous-directeur pris ma main droite et la posa sur son sexe. C’est là que j’ai découvert la taille de l’engin. Mon mari, pourtant bien monté, aurait eu des complexes. C’était quasiment une fois et demie la taille moyenne, tant par la longueur que par le diamètre.
Devant ma réaction de surprise, Fernand dit tout haut, dans un éclat de rire gras
-Tu sais petite, Jocelyne s’en régale avec le cul qu’elle a !
Jocelyne, justement, s’était mise en action.
Ayant retiré vêtements et sous-vêtements à son amant, il était lui aussi complètement nu. A genoux devant lui, elle se mit à le sucer lentement, augmentant tout naturellement son érection.
La scène et les bruits de succion m’avaient mise en transes, et glissant ma main sous ma jupe, je me suis mise à me caresser en cambrant les reins.
N’ayant rien perdu de mes gestes, Fernand se retira de la bouche de sa maîtresse, et me prenant par un bras il me dit :
-Allez, à poil toi aussi, montre-nous ton petit cul !
Et joignant le geste à la parole, il fit glisser ma jupe et retira mon slip.
-Mais c’est une petite merveille Jocelyne, viens voir çà !
Ils venaient de découvrir mon sexe entièrement épilé, selon le désir de mon mari.
Alors tout s’enchaîna très vite.
Fernand me prend à bras le corps, me dépose sur son bureau, me renverse sur le dos, écarte mes cuisses et de sa langue épaisse, il s’introduit entre mes lèvres intimes.
Jocelyne, en même temps, m’embrasse à pleine bouche tout en caressant mon ventre qui commence à onduler sous les caresses.
Puis elle s’attaque à mes seins, les caressant et en suçant les tétons.
Fernand introduit sa langue comme un sexe, allant et venant lentement, pendant que sa main titille mon clitoris. Puis, c’est sa langue qui remplace sa main, et de ses lèvres il l’aspire fortement. Je défaille de plaisir et ondule de tout mon corps.
Jocelyne veut elle aussi participer au festin. Prenant la place de son amant, elle me prodigue les mêmes caresses, tout en ayant introduit un doigt entre mes fesses qu’elle parcoure de haut en bas et de bas en haut. Le plaisir et si intense que j’ai mon premier orgasme.
Pendant ce temps, le sous-directeur, placé derrière Jocelyne penchée entre mes cuisses, la pénètre en levrette.
Abandonnant mon corps, les deux compères s’éloignent du bureau et Fernand prend place dans un fauteuil de direction pendant que sa maîtresse s’agenouille devant lui.
-Regarde petite, Jocelyne va me masser !
Enfermant le sexe de l’homme entre ses deux énormes seins, la secrétaire le masturbe, tout en lui suçant le gland.
Quand il se répand dans sa bouche, j’ai vu et compris que Jocelyne avait tout avaler.
-Maintenant qui me fait jouir ! s’exclama Jocelyne
-Toi ma chérie ! me dit-elle
-Prodigue-moi tes caresses !
Je n’avais jamais fait l’amour avec une femme, et ne savais que faire. Elle le découvre rapidement et me dit
-Je vais t’apprendre et tu me feras tout ce que je te ferai !
Couchées sur la moquette du bureau, je lui laisse faire tout ce qu’elle veut, et lui rends caresse pour caresse. Nos corps roulent l’un sur l’autre, nos langues s’enroulent, nos mains nous caressent mutuellement, et le plaisir m’envahit de nouveau.
Fernand qui assiste en spectateur, un verre de whisky à la main, se masturbe lentement
-Jocelyne, fait-lui savourer ta spécialité !
Alors, écoutant ce conseil, et elle me met sur le dos, place mes jambes sur ses épaules, et me pénètre avec un téton qu’elle agite du haut en bas de mes lèvres intimes. J’avais l’impression qu’un petit sexe essayait de me pénétrer.
Cette sensation me fait gémir de plaisir, et n’y tenant plus, je jouis pour la seconde fois de la soirée.
Fernand, ravi du spectacle, se place alors derrière sa maîtresse à genoux
-C’est moi qui vais te faire jouir grosse cochonne ! Ecarte des grosses fesses que je t’encule !
Obéissante, Jocelyne s’exécute d’une main, et sans la moindre précaution, brutalement, Fernand l’encula.
Je vois cet énorme sexe s’activé dans cet orifice dilaté, entre ces fesses impressionnantes auxquelles l’homme est agrippé. Les seins balancent en cadence, j’entends les claques bruyantes qu’il leur applique, je vois les traces rouges qui apparaissaient. Les halètements de l’homme et les petits cris de la femme dans cette position pornographique me mettent de nouveau en transes.
Quand tous les deux, presque en même temps, atteignent leurs jouissances bruyantes, j’ai joui pour la troisième fois en me caressant, couchée sur le dos, les cuisses écartées, le bassin décollé du sol tant je suis cambrée par le plaisir.
Il y a plusieurs suites que je vous raconterai, peut-être !
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