Initiée par mon beau père
Récit érotique écrit par Marielou [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Initiée par mon beau père
Pour situer la période cela c’est passer en février 1984 dans la banlieue nord de Lyon.
Je venais quelques heures au part avant de revenir l’internat ou je séjournais ou plutôt ou je me refugiais tant les rapports avec ma mère étaient difficiles.
Quelques temps après le décès de mon père, Maman c’etait remis avec un homme Maurice un cinquantenaire venu du monde agricole plutôt bourru. J’avoue que je n’avais aucune empathie pour cet homme qui pour moi élever en citadine voyais en lui celui qui prenait la prenait la place de mon papa.
Donc ce jour j’étais rentrée et après être allée chercher ma petite sœur au collège et préparé le repas comme chaque vendredi soir. J’allais me doucher c’est à ce moment que Maurice arrivait.
Ma sœur occupée à ses devoirs et comme d’habitude enfermée dans sa chambre le casque de Walkman sur les oreilles ne l’avait même pas entendu rentrer, et je pense que c’est pour cela qu’il en profitait.
J etait nue sous ma douche les vapeurs d’eaux ayant embués le miroir, je n’avais pas vue qu’il avait entrouvert la porte qui ne fermait pas à clés et qu’il me regardait. Je descendais de la baignoire et au moment de prendre le drap de bain, c’est là que je le vue au moment où j’allais pousser un cris il entrait et posais sa mains sur ma bouche.
CHuut ! me dit-il. Tu es très belle et tes seins sont bien gros et bien ronds.
C’est vrai ma poitrine etait et est toujours plutôt généreuse. Ne sachant quoi faire je l’écoutais sans bouger sans rien dire.
Il attrapait ma serviette et il commençait à m’essuyer, déposant un baiser sur chacun de mes seins et sur mes lèvres. Puis il se redressait me fit signe de me taire et ressortie.
Je restais la, a me demander ce qu’il venait de se passé et en même temps je sentais de la chaleur et des frissons monter en moi tendis que mes seins c’étaient durcit .
Je finissais de m’essuyer en c’est là que je m’aperçus que je mouillais. Comment ce type que je n’aimais pas, voir même que je détestais pouvait il me faire cet effets.
Je décidais de mettre ma chemise de nuit et d’aller dans ma chambre, jusqu’au retour de maman.
Le lendemain, la journée se passait tranquillement Maurice etait parti pour la journée à Bourg en Bresse s’occuper de sa maison de son potager . Quant à nous Maman pour une fois plutôt de bonne humeur nous avait conduite faire du shopping à Lyon dans un célèbre centre commercial. Mais un évènement allait accélérer les choses Maman etait infirmière dans un centre médical pour personnes âgées et sa cheffe lui demandait d’assurer le service de nuit.
Maurice qui lui aussi etait rentrer en profitait. Maman n’étant pas la et ma sœur ayant demandée a aller dormir chez ca copine qui etait la voisine. Je me retrouvais seule avec lui.
J’étais dans ma chambre allongée sur le ventre à lire un magazine , quand Maurice entrait torse nu et pantalon de pyjama entrait. Bizarrement je n’étais pas surprise je savais qu’il me matait de que cela étais possible.
Il s’assit sur le bord du lit et posait un main sur ma tête. Et me dit : il est temps de faire de toi une femme. Puis il me demandait de me redresser, Je lui Obéie m’asseyant sur mon lit.
Il s ‘approchait et posait sa bouche sur la mienne. Ce n’etait pas mon premier baisé j’avais eu des petits copain mais pas comme ça .
Maurice m’ordonnait maintenant d’ôter ma chemise de nuit. Là encore j’obéi, je n’avais ni peur, ni crainte je me laissais simplement guider.
J’etais nue devant lui, il commençait à me caresser les joues puis les épaules et enfin les seins. Sa bouche et sa langue embrassait et léchait mes teutons qui devenait tout dur. La chaleurs et les frissons comme la précédente fois montaient en moi.
Maintenant alonge toi sur le dos m’ordonnait il. Encore une fois je lui obéie.
Ses mains caleuses paraissaient chaque partie de mon corp sauf mon sexe et fesses.
Puis il enlevait son pantalon, et nu aussi il s’allongeait a coté de moi. Il m’embrassait de nouveau enfonçant sa langue dans ma bouche. Il prit ma main droite et la posait sur sa verge bien droite et bien dure. Il me guidait pour me montre le geste et au bouts de quelque seconde il me lâchait la main je le branlais seule, j’entendais ses soupires, ses petits gémissements. Moi je regardais le plafond sans trop penser a ce que je fessais. Cela ne m’apportait pas Grands chose bien que je trouvais qu’une verge etait plutôt agréable a toucher. Il fini par se tourner sur le coter. Continue me dit-il. Il recommençait à me caresser mais ça mains s’attardait de plus en plus sur mes cuisses. Ecarte m'ordonnait il encore une fois de plus je m’exécutais.
Ses doigts caressaient maintenant les lèvres de mon vagin. Mais là je connaissais déjà cette sensation. Mais jusqu’à présent c’est moi qui me la procurais, initier par mon amie Martine qui partageait ma chambre a l’internat. Qui à Bourg en Bresse etait appelé ( l’usine a Salope).
Bref je me mettais à mouiller, il enfonçait un peu ses doigts pour atteindre mon clitoris et le caresser. Je frissonnais j’avais chaud, j’avais froid, Mais putain que c’etais bon.
Bientôt je le retrouvais la tête enfuit entre mes cuisses j’allais connaitre ma premier jouissance sa langue s’enfonçait pour trouver mon clitoris. C’etait divin et je ne tardais pas a gémir et a jouir.
Tu as aimée hein me dit il d un air satisfait . Je ne répondais pas car malgré tous je le détestais toujours.
Il se relevais et m’obligeait à me mettre à genoux devant lui. Puis il me fit ouvrir ma bouche dans laquelle après s’être branler entre mes seins il enfonçait sa queue il me guidait dans cette fellation mais je compris vite je comprenais surtout qu’à ce moment-là c’est moi qui avais le contrôle.
Plus fort me disait il puis il déchargeait dans ma bouche en me demandant d’avaler. Je le suçais encore une minute ou deux puis après avoir attrapé un objet qui s’avérait être un appareil photo qu’il avait accroché au pieds de mon lit et tandis que je le suçais toujours-il pris un polaroid de moi avec sons sexe dans la bouche.
Il me montrait la photo et il nu pas besoin de me le dire cette photo devenais un objet de chantage.
Il remit son pantalon et ressortie de ma chambre sans un mot en secouant la photo.
Mon ressentis à ce moment malgré la haine que j’avais pour lui. J’aurais voulu qu’il aille plus loin. Mais ce n’étais que le Debus
Je venais quelques heures au part avant de revenir l’internat ou je séjournais ou plutôt ou je me refugiais tant les rapports avec ma mère étaient difficiles.
Quelques temps après le décès de mon père, Maman c’etait remis avec un homme Maurice un cinquantenaire venu du monde agricole plutôt bourru. J’avoue que je n’avais aucune empathie pour cet homme qui pour moi élever en citadine voyais en lui celui qui prenait la prenait la place de mon papa.
Donc ce jour j’étais rentrée et après être allée chercher ma petite sœur au collège et préparé le repas comme chaque vendredi soir. J’allais me doucher c’est à ce moment que Maurice arrivait.
Ma sœur occupée à ses devoirs et comme d’habitude enfermée dans sa chambre le casque de Walkman sur les oreilles ne l’avait même pas entendu rentrer, et je pense que c’est pour cela qu’il en profitait.
J etait nue sous ma douche les vapeurs d’eaux ayant embués le miroir, je n’avais pas vue qu’il avait entrouvert la porte qui ne fermait pas à clés et qu’il me regardait. Je descendais de la baignoire et au moment de prendre le drap de bain, c’est là que je le vue au moment où j’allais pousser un cris il entrait et posais sa mains sur ma bouche.
CHuut ! me dit-il. Tu es très belle et tes seins sont bien gros et bien ronds.
C’est vrai ma poitrine etait et est toujours plutôt généreuse. Ne sachant quoi faire je l’écoutais sans bouger sans rien dire.
Il attrapait ma serviette et il commençait à m’essuyer, déposant un baiser sur chacun de mes seins et sur mes lèvres. Puis il se redressait me fit signe de me taire et ressortie.
Je restais la, a me demander ce qu’il venait de se passé et en même temps je sentais de la chaleur et des frissons monter en moi tendis que mes seins c’étaient durcit .
Je finissais de m’essuyer en c’est là que je m’aperçus que je mouillais. Comment ce type que je n’aimais pas, voir même que je détestais pouvait il me faire cet effets.
Je décidais de mettre ma chemise de nuit et d’aller dans ma chambre, jusqu’au retour de maman.
Le lendemain, la journée se passait tranquillement Maurice etait parti pour la journée à Bourg en Bresse s’occuper de sa maison de son potager . Quant à nous Maman pour une fois plutôt de bonne humeur nous avait conduite faire du shopping à Lyon dans un célèbre centre commercial. Mais un évènement allait accélérer les choses Maman etait infirmière dans un centre médical pour personnes âgées et sa cheffe lui demandait d’assurer le service de nuit.
Maurice qui lui aussi etait rentrer en profitait. Maman n’étant pas la et ma sœur ayant demandée a aller dormir chez ca copine qui etait la voisine. Je me retrouvais seule avec lui.
J’étais dans ma chambre allongée sur le ventre à lire un magazine , quand Maurice entrait torse nu et pantalon de pyjama entrait. Bizarrement je n’étais pas surprise je savais qu’il me matait de que cela étais possible.
Il s’assit sur le bord du lit et posait un main sur ma tête. Et me dit : il est temps de faire de toi une femme. Puis il me demandait de me redresser, Je lui Obéie m’asseyant sur mon lit.
Il s ‘approchait et posait sa bouche sur la mienne. Ce n’etait pas mon premier baisé j’avais eu des petits copain mais pas comme ça .
Maurice m’ordonnait maintenant d’ôter ma chemise de nuit. Là encore j’obéi, je n’avais ni peur, ni crainte je me laissais simplement guider.
J’etais nue devant lui, il commençait à me caresser les joues puis les épaules et enfin les seins. Sa bouche et sa langue embrassait et léchait mes teutons qui devenait tout dur. La chaleurs et les frissons comme la précédente fois montaient en moi.
Maintenant alonge toi sur le dos m’ordonnait il. Encore une fois je lui obéie.
Ses mains caleuses paraissaient chaque partie de mon corp sauf mon sexe et fesses.
Puis il enlevait son pantalon, et nu aussi il s’allongeait a coté de moi. Il m’embrassait de nouveau enfonçant sa langue dans ma bouche. Il prit ma main droite et la posait sur sa verge bien droite et bien dure. Il me guidait pour me montre le geste et au bouts de quelque seconde il me lâchait la main je le branlais seule, j’entendais ses soupires, ses petits gémissements. Moi je regardais le plafond sans trop penser a ce que je fessais. Cela ne m’apportait pas Grands chose bien que je trouvais qu’une verge etait plutôt agréable a toucher. Il fini par se tourner sur le coter. Continue me dit-il. Il recommençait à me caresser mais ça mains s’attardait de plus en plus sur mes cuisses. Ecarte m'ordonnait il encore une fois de plus je m’exécutais.
Ses doigts caressaient maintenant les lèvres de mon vagin. Mais là je connaissais déjà cette sensation. Mais jusqu’à présent c’est moi qui me la procurais, initier par mon amie Martine qui partageait ma chambre a l’internat. Qui à Bourg en Bresse etait appelé ( l’usine a Salope).
Bref je me mettais à mouiller, il enfonçait un peu ses doigts pour atteindre mon clitoris et le caresser. Je frissonnais j’avais chaud, j’avais froid, Mais putain que c’etais bon.
Bientôt je le retrouvais la tête enfuit entre mes cuisses j’allais connaitre ma premier jouissance sa langue s’enfonçait pour trouver mon clitoris. C’etait divin et je ne tardais pas a gémir et a jouir.
Tu as aimée hein me dit il d un air satisfait . Je ne répondais pas car malgré tous je le détestais toujours.
Il se relevais et m’obligeait à me mettre à genoux devant lui. Puis il me fit ouvrir ma bouche dans laquelle après s’être branler entre mes seins il enfonçait sa queue il me guidait dans cette fellation mais je compris vite je comprenais surtout qu’à ce moment-là c’est moi qui avais le contrôle.
Plus fort me disait il puis il déchargeait dans ma bouche en me demandant d’avaler. Je le suçais encore une minute ou deux puis après avoir attrapé un objet qui s’avérait être un appareil photo qu’il avait accroché au pieds de mon lit et tandis que je le suçais toujours-il pris un polaroid de moi avec sons sexe dans la bouche.
Il me montrait la photo et il nu pas besoin de me le dire cette photo devenais un objet de chantage.
Il remit son pantalon et ressortie de ma chambre sans un mot en secouant la photo.
Mon ressentis à ce moment malgré la haine que j’avais pour lui. J’aurais voulu qu’il aille plus loin. Mais ce n’étais que le Debus
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bourré de fautes .Dommage
Belle histoire excitante et quel plaisir de se faire sucer et jouir dans la bouche
Très bonne histoire peut être là suite
Histoire excitante comme j'aime mais il doit y avoir une suite...?
Un plaisir mais bordel les fautes d'orthographe à chaque phrase font saigner des yeux.
belle histoir mercie
Tres bien Mai’s son hymen est toujours intact, elle n’est pas encore une femme…
Un plaisir de lecture ; très sensuel et très excitant !!
Merci ; à bientôt pour la suite
Yass
Merci ; à bientôt pour la suite
Yass