Innocente Diablesse...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Innocente Diablesse...
Ma directrice de service de l’époque était du genre, comment dire… très strict. Aux cheveux courts, de couleur paille, toujours bien peignés avec soin, lunettes sans montures. Ce jour-là, comme elle le faisait souvent, elle était venue prendre la tension de la salle louée pour une exposition de meubles anciens.
Mais à entendre la discussion virulent qui s’était instauré entre ma directrice et le responsable des lieux ne me mettait en confiance pour la suite de la location. D’ailleurs elle ne mit pas longtemps pour m’informer de sa discorde. Commençant par un gentil : - J’ai un sérieux problème !
- Oui, j’ai cru le comprendre en vous entendant discuter. Répondais-je.
- Il se trouve qu’il y a besoin d’un gardien pour la nuit.
- Et vous n’étiez pas au courant de cela ?
- Non ! Enfin, oui… je reconnais ma responsabilité dans cette affaire, en négligeant le besoin de lire correctement les clauses du contrat.
- Et alors ?
- Et alors je suis dans une merde pas possible. D’ailleurs je cours dans la seconde jusqu’à mon bureau pour essayer de trouver une solution. À plus tard, fit-elle en s’éloignant.
Le responsable, sourire moqueur aux lèvres attendit sagement qu’elle est disparu de sa vue, pour venir à son tour m’exposer sa version. Qui n’était pas trop éloigné de celle de ma directrice. D’ailleurs cette dernière m’invita par téléphone, de bien vouloir me déplacer jusqu’à son bureau, où elle m’attendait debout, adossée à son bureau. Après m’avoir demandé de fermer la porte, elle ôta ses lunettes, braquant ses yeux pâles sur moi, avant de lâcher : - Je suis dans la merde.
- Je suppose que vous n’avez personne pour garder la salle ?
- Exactement, je me suis prise trop tard.
- Je l’avais deviné. Et alors ? Comment on va faire ?
Elle sourit et me regardait en inclinant la tête, comme pour mieux me jauger, un peu comme on regarde un objet avant de se décider à l’acheter.
- Je comptais sur vous pour trouver une solution.
- C’est que là dans l’immédiat, je suis dans l’incapacité de trouver quoi que ce soit.
- Je le comprend bien, mais nous faisons quoi dans l’immédiat ? M’envoya-t-elle.
- Laissez moi un moment pour réfléchir.
- Bien ! Je vous l‘accorde. Je compte sur vous pour nous sortir de cette embarras !
- Je vous tiens au courant. Fis-je en sortant du bureau.
Elle comme moi, savions très bien comment cela allait ce terminer. J’allais une fois de plus me dévouer. Mais le plus délicat était de convaincre ma femme de cet imprévu.
Quand une heure plus tard, ma directrice vint aux nouvelles j’avais tout agencé. Et cela pour son plus grand plaisir.
- Je ne sais comment vous remercier, Alain. Vous m’enlevez là une sacrée épine du pied.
- Mais, je me permets de vous signaler qu’il n’y a rien sans rien. Lui lâchais-je.
- Vous pouvez me demander ce que vous voulez, je serais ingrate de vous le refuser.
- Vraiment tout ?
- Tout ce que vous désirez. M’envoyait-elle sourire aux lèvres.
- J’aurai besoin de mon doudou.
Elle eut d’abord un haussement d’épaules, puis d’une voix haut perchée, elle laissa tomber : - Un doudou ! Alain, vous voulez plaisanter là ?
- Pas du tout, la nuit tombée j’ai besoin de mon fétiche.
- Mais restant sérieux, un doudou ? À votre âge ?
- Il n’y a pas d’âge pour cela, madame.
- Bon que cela tienne, s’il y a une course à faire je me propose de l’effectuer ?
- J’y compte bien.
- Dîtes moi le, je vous dois bien cela.
- Si vous assistez, je ne serais pas contre que vous m’offrez votre petite culotte. Lui lançais-je tout naturellement.
Là elle en perdit son sourire.
- Mais dîtes moi Alain… vous êtes d’humeur très coquin malgré les circonstances ?
- Est-ce que j’ai l’air de plaisanter là.
- Mais… enfin on ne peut pas demander une chose pareille à une femme. Plus-est, étant votre directrice - Et pourquoi, cela ne reste qu’une culotte. Je ne vous demande pas de coucher avec moi… - Encore heureux ! Me coupa-t-elle.
- Alors ! Je ne vois pas là votre indignation. Je vous promets que cela restera entre nous. Je m’engage même à vous la restituer discrètement demain matin.
- C’est que… bafouillait-elle, ce que vous me demandez là et des plus offusquant. Mettez-vous un peu à ma place, je reste tout de même votre supérieure.
- Enfin vous faites bien comme vous le voulez, madame. Mais sachet bien que cela est ma condition pour accomplir la mission qui m’est affectée.
- Vous me tenez là ?
- Pas du tout madame, vous être en droit de refuser.
- Je l’entends bien, mais qu’est-ce qui en reste de notre arrangement ?
- Il vous suffit de trouver une autre personne, voilà tout.
- Facile à dire, et moins à faire. Lâchait-elle avant de garder le silence.
Elle prit le temps de réfléchir avant de reprendre la parole et de lâcher : - Bon, je crois que je n’ai pas le choix ! Je me dois à me plier à
vos exigences. Je pense que vous ne serez pas contre que j’emprunte votre bureau pour me… enfin vous me comprenez. Fit-elle en s’éloignant en me tournant le dos.
- Faite donc, je vous en prie. En posant mon regard sur ses jambes musclées gainées dans un nylon noir avec des effigies. Madame, l’interpelais-je.
- Oui ! Répondit-elle en se retournant.
- Mettez-moi aussi votre collant, s’il vous plaît.
- Vous n’abusez pas trop là ?
- À vous de voir ?
Elle s’abstenait d’en dire plus, disparaissant derrière la porte. Je ne vous cache pas que j’étais sur le moment pas mécontent de moi. Un besoin chez moi de lui rendre la monnaie de sa pièce. Celle d’avoir négliger, de poser mon nom sur le tableau d’avancement.
Inquiet de ne pas la voir revenir, j’allais aux nouvelles, et constater que la pièce était vide. Par contre se tenait sur le bureau, bien en vue, une boule de nylon noir reconnaissant le collant qu‘elle portait. Cela me fit chaud au cœur. Et plus encore, quand je découvris une petite culotte en dentelle noire enfuie à l’intérieur de la pelote, avec un petit mot en cadeau qui disait ceci : « Pauvre type ».
Cela eut pour effet de me faire bien rire.
21H03 J’avais patiemment attendu d’être seul dans la salle pour m’installer confortablement sur un canapé de l‘époque. Profitant de cet instant calme pour m’intéresser au cadeau que m’avait aimablement donner ma directrice. Collant mon nez sur le slip, à l’endroit où la dentelle marquait le pli de la fente. Je pris une profonde inspiration, me grisant de ses arômes. Mon cœur se cogna fortement dans ma poitrine. Je suspectais que la coquine avait pissé dedans, tant le textile était transpirant. Comme mes sens se mirent en alerte en remarquant une traînée brune à un endroit bien spécifique. J’y logeais mon nez. L’odeur était des plus piquante. De m’en faire bourdonner les oreilles. Alors que ma queue devenait de plus en plus douloureuse dans mon slip, à force de se raidir, le téléphone du bureau se fit entendre.
- Oui ! Répondis-je, essouffler après avoir couru jusqu‘à, soit une cinquantaine de mètre.
- Catherine au téléphone. Tout va bien ? Me fit-elle d’une voix sèche.
Je lui fis le topo de tout ce qui s’était déroulé après sa fuite.
- Bien ! Vous avez tout ce que vous voulez. Lâcha-t-elle avec sarcasme.
- J’ai vous et cela me suffit bien.
- Je peux me permettre de vous poser une question ?
- Je vous en prie, faite donc Catherine, je m’efforcerais de bien y répondre. Lui fis-je, devinant très bien où elle allait en venir.
- Pourquoi ?
- Pourquoi quoi ?
- Et bien de cette drôle de demande que je d’écrirais d’un peu spécial.
- Tout bonnement parce que j’aime les odeurs intimes de femme et cela depuis mon plus jeune âge. Et si je peux me le permettre, je vous assure que les vôtres sont au rendez-vous.
J’aurais pu jurer en la connaissant qu’elle rougissait à cet instant précise.
- Une faiblesse chez moi, ajoutai-je, incapable de me contrôler. Quand une femme me plaît il faut qu’à tout prix que je cherche le moyen de m’approprier sa lingerie portée. Cela vous va comme réponse ?
Et elle raccrochait, sans prendre la peine de répondre. Bip bip bip fit l’écouteur, et cela me fit bien rire.
21H27 Je posais alors le combiné sur son socle pour m’en saisir de nouveau et fis le numéro du bistro de la ZUP.
- Rachid, salut c’est Alain. Salin se trouve près de toi ?
- Je te le passe.
- Houais ?
- Tu aurais une chaude ?
- Houais ! Ça peut ce faire. Pour quand ?
- Tout de suite.
- Tu es où là ?
Je me mis à le mettre au courant des événements.
- Houé, bon… je t’envoie cela.
- Tu m’avances le fric, je n’ai rien sur moi… - Houais, t’occupe…
22H02 L’arrivée de la chaude. Bouchra de son prénom, toute jeune, très brune. Pas très grande, elle avait un corps parfait, des gros seins, des petites fesses bien cambrées.
- Tu veux une pipe ? Me fit-elle.
- Tu rigoles… je veux bien plus qu’une pipe, je veux ton cul.
- Ce n’est pas le même prix… - Ne t’inquiète pas, tu me connais, tu viendras me voir dans la semaine je te donnerais le complément.
- C’est que je n’aime pas trop ce genre de condition.
- Fais-moi confiance, je serais très généreux le temps voulu, tu peux me croire. Répondais-je en déchaussant son pied droit.
Une partie de l’anatomie féminine, qui ne me laisse pas insensible. Aussi sexy et désirable qu’une paire de jambe. Si magistral quand ils se tendent, se contractent et ondulent. Et que chacun de leurs mouvements en rajoute un peu plus à mon émoi.
Néanmoins incapable de résister à la tentation, j’embrassais son pied nu. Je suçais les orteils l’un après l’autre. Passant même la langue entre les petits doigts. Dont les odeurs qui s’en dégageaient, provoquèrent chez moi un accroissement de raidissement de ma queue.
Je plongeais mes mains sous la jupe à la recherche du slip. J’acquits un empiècement poisseux de mouille, qui collait à la vulve. Que je décollais comme un pansement. Faisant glisser l’impalpable sous-vêtement jusqu’aux plus bas de son corps. Elle soufflait d’une voix rauque en levant les pieds l’un après l’autre.
Je l’invitais par la suite, à prendre place sur le divan. Après lui avoir retroussé sa jupe je me contentais d’écarter ses jambes pour nourrir mes yeux. Une belle chatte, toute rose sous ses grandes lèvres bien ourlées, et qu’aucun poil ne couvrait. Sa raie était moite de transpiration. Des senteurs acides s’évaporaient de la raie ouverte. Que je pris la peine de renifler, du haut de la raie, et cela jusqu’à la base du coccyx. Elle avait un cul absolument imberbe. La bordure de l’anus charnu d’un rose sale, était boursouflée.
Je me penchais pour mettre au contact ma bouche avec son sexe odorant. Que je me mis tout de suite à sucer quelques instants avant de porter mon attention sur son anus brun, le mouillant abondamment de salive. Là, je joignis deux doigts, et les approchais jusqu’à toucher la cible. Devinant mon intention, Bouchra se montrait d‘un coup plus rebelle. Il me fallut être perspicace pour pouvoir atteindre enfin mon but. Pour avoir la jouissance de sentir son œillet cédait, s’ouvrir, pour que je puisse glisser mes doigts dans une douce cavité de soie. Elle se fit accueillante, docile. Tout en tétant son bouton je branlais son anus. Sans doute inaccoutumé à ce genre de caresse, elle ne mit pas longtemps à partir dans un orgasme, qui secoua son bassin d’un surprenant soubresaut.
Mon cœur s’emballa, alors que mon sexe se gonflait encore et toujours. Frissonnant au fond de son slip. Se gorgeant de sang et d’émois, se dressant tel un gode, ne cachant plus rien du désir qui m’envahissait.
Je retirais mes doigts pour les porter jusqu’à mon nez. Humant les effluves qui s’en dégager. Tout en portant mon regard sur la corolle mauve dilatée, qui restait évasée. Quelque chose bouillonnait en moi. Quelque chose qui me rendait fou. À m’en faire perdre les pédales, à mettre ma verge à l’air. Je la pris alors comme j’avais tant désiré la prendre, forçant l’entrée de son sphincter d’une poussée d’une rudesse calculée. Elle s’était prêté de son mieux à ma fantaisie. Les doigts crispés sur les coussins, lorsque j’enfouis lentement ma verge dans son trou du cul. Vainquant peu à peu la résistance naturelle des muscles. Elle avait laissé échapper un soupir, avant de lâcher un encourageant : - Bourre-moi… tu entends quoi… bourre-moi !
La voix suppliante décupla ma tension dont le sang battait les tempes jusqu’à m’étourdir. Crispé sur elle, après l’instant de répit nécessaire à calmer ma surexcitation de mes sens, je me mis à bouger, allant et venant, plus loin, plus fort, heurtant à chaque coup ses fesses musclées.
Chaque fois que je m’enfonçais en elle, les reins que je violais sembler se prêter davantage à l’étreinte. Son halètement devenait gémissement, râles, cris cassés au ras de la gorge. Le plaisir ouvrait son corps et je perçais sa croupe sans guère plus d’efforts que je l’eus faits avec une chatte.
Je sentis venir mon orgasme et continuais de la sodomiser, accélérant encore mon rythme. Des sensations délectables m’envahissaient, alors que de son corps en sueur montait jusqu’à mes narines une odeur lourde, épicée. Je me laissais aller, emporté par un âpre plaisir et m’effondrais sur elle, le cœur battant, la tête vide. Et éjaculais… transférant mon jus d’amour dans son cul.
23H10 Le téléphone se mit de nouveau à sonner. Je décrochais.
- Oui ! Répondis-je.
- C’est moi Catherine, ça va ?
- Très bien, merci, grâce à vous.
- Vous allez arrêter avec cela, sinon je lui mets un rapport.
- Bonne idée, je vais vous en établir un. Comme je l’avais jadis fait à un professeur lui remettant une rédaction retraçant la journée du mercredi. Une chaude après-midi si vous voyez ce que je veux dire.
- Je vois… je vois, je n’ai pas besoin d’un dessin.
- Mais que faite vous encore à cette heure là debout.
- Je suis dans mon lit, si vous voulez tout savoir !
- Cela ne dérange pas votre mari ?
- Excusez-moi de ne pas vous avoir préciser que je dormais dans la chambre d’ami.
- Vous faites bien ce que vous voulez. Je n’en demandais pas autant. Pourquoi ne pas venir me rejoindre ?
- Vous ne vous reposez jamais Alain ? Je ne vous connaissez pas autant… - Autant quoi ?
- Rien… - Bon revenant si vous le voulez bien à nos moutons. Que voulez-vous savoir ?
- Je m’inquiète pour vous, voilà tout.
- Il ne faut pas Catherine, je suis dans mon élément ici.
- Et en fait votre femme, elle a pris cela comment ?
- Elle a l’habitude de ses imprévus.
- Et cela ne la dérange pas ?
- Posez lui la question.
- Je m’en garderais bien.
- Aller Catherine, raccrocher et ne vous inquiétez plus pour moi, dormez plutôt, pour être en forme pour demain.
- J’ai du mal à trouver le sommeil ! Je suis tendue à la faute de tous ses événements.
- Une bonne masturbation ça fait retomber la pression.
- Alain vous êtes vraiment intenable.. Bonne nuit tout de même.
Et elle raccrocha.
03H15 Ne tenant plus je me masturbais, tout en humant les pieds du collant de Catherine. Et cela me donnait comme une très grande envie de rédiger un rapport.
ENVIRON VERS LES 04H00 Après en avoir écrit trois feuilles, je mettais assoupi.
07H22 J’ouvrais les pupilles. Mon premier réflexe fut de nouveau de porter la culotte à mes narines. Cherchant du nez l’endroit qui me ferait de nouveau frissonner. Mais pour mon plus grand désarroi la plupart des effluves avaient disparu lors de mes précédents léchages.
08H03 L’arrivée de Catherine. Elle tenait dans la main un pochon. Les yeux brillants, la bouche tendue par un fin sourire forcé.
- Tenez je vous ai emmené des croissants, vous les avez bien mérité. Fit-elle en hachant la tête.
Puis elle se mit à me fixer. Je soutins son regard. Ses yeux étaient calmes. Il y avait un peu de sueur au-dessus de sa lèvre.
- Vous le pensiez réellement ? Me fit-elle, coupant le silence.
- Vous parlez de quoi ? Répondais-je.
- Du conseil pour m’endormir. Me fit-elle plein de malice dans les yeux.
- Tenez ! C’est le fameux rapport de la nuit… - Merci me fit-elle en s’en saisissant. Je pense que je ne vais pas m’ennuyer.
- Je le pense moi-aussi, Madame…
Mais à entendre la discussion virulent qui s’était instauré entre ma directrice et le responsable des lieux ne me mettait en confiance pour la suite de la location. D’ailleurs elle ne mit pas longtemps pour m’informer de sa discorde. Commençant par un gentil : - J’ai un sérieux problème !
- Oui, j’ai cru le comprendre en vous entendant discuter. Répondais-je.
- Il se trouve qu’il y a besoin d’un gardien pour la nuit.
- Et vous n’étiez pas au courant de cela ?
- Non ! Enfin, oui… je reconnais ma responsabilité dans cette affaire, en négligeant le besoin de lire correctement les clauses du contrat.
- Et alors ?
- Et alors je suis dans une merde pas possible. D’ailleurs je cours dans la seconde jusqu’à mon bureau pour essayer de trouver une solution. À plus tard, fit-elle en s’éloignant.
Le responsable, sourire moqueur aux lèvres attendit sagement qu’elle est disparu de sa vue, pour venir à son tour m’exposer sa version. Qui n’était pas trop éloigné de celle de ma directrice. D’ailleurs cette dernière m’invita par téléphone, de bien vouloir me déplacer jusqu’à son bureau, où elle m’attendait debout, adossée à son bureau. Après m’avoir demandé de fermer la porte, elle ôta ses lunettes, braquant ses yeux pâles sur moi, avant de lâcher : - Je suis dans la merde.
- Je suppose que vous n’avez personne pour garder la salle ?
- Exactement, je me suis prise trop tard.
- Je l’avais deviné. Et alors ? Comment on va faire ?
Elle sourit et me regardait en inclinant la tête, comme pour mieux me jauger, un peu comme on regarde un objet avant de se décider à l’acheter.
- Je comptais sur vous pour trouver une solution.
- C’est que là dans l’immédiat, je suis dans l’incapacité de trouver quoi que ce soit.
- Je le comprend bien, mais nous faisons quoi dans l’immédiat ? M’envoya-t-elle.
- Laissez moi un moment pour réfléchir.
- Bien ! Je vous l‘accorde. Je compte sur vous pour nous sortir de cette embarras !
- Je vous tiens au courant. Fis-je en sortant du bureau.
Elle comme moi, savions très bien comment cela allait ce terminer. J’allais une fois de plus me dévouer. Mais le plus délicat était de convaincre ma femme de cet imprévu.
Quand une heure plus tard, ma directrice vint aux nouvelles j’avais tout agencé. Et cela pour son plus grand plaisir.
- Je ne sais comment vous remercier, Alain. Vous m’enlevez là une sacrée épine du pied.
- Mais, je me permets de vous signaler qu’il n’y a rien sans rien. Lui lâchais-je.
- Vous pouvez me demander ce que vous voulez, je serais ingrate de vous le refuser.
- Vraiment tout ?
- Tout ce que vous désirez. M’envoyait-elle sourire aux lèvres.
- J’aurai besoin de mon doudou.
Elle eut d’abord un haussement d’épaules, puis d’une voix haut perchée, elle laissa tomber : - Un doudou ! Alain, vous voulez plaisanter là ?
- Pas du tout, la nuit tombée j’ai besoin de mon fétiche.
- Mais restant sérieux, un doudou ? À votre âge ?
- Il n’y a pas d’âge pour cela, madame.
- Bon que cela tienne, s’il y a une course à faire je me propose de l’effectuer ?
- J’y compte bien.
- Dîtes moi le, je vous dois bien cela.
- Si vous assistez, je ne serais pas contre que vous m’offrez votre petite culotte. Lui lançais-je tout naturellement.
Là elle en perdit son sourire.
- Mais dîtes moi Alain… vous êtes d’humeur très coquin malgré les circonstances ?
- Est-ce que j’ai l’air de plaisanter là.
- Mais… enfin on ne peut pas demander une chose pareille à une femme. Plus-est, étant votre directrice - Et pourquoi, cela ne reste qu’une culotte. Je ne vous demande pas de coucher avec moi… - Encore heureux ! Me coupa-t-elle.
- Alors ! Je ne vois pas là votre indignation. Je vous promets que cela restera entre nous. Je m’engage même à vous la restituer discrètement demain matin.
- C’est que… bafouillait-elle, ce que vous me demandez là et des plus offusquant. Mettez-vous un peu à ma place, je reste tout de même votre supérieure.
- Enfin vous faites bien comme vous le voulez, madame. Mais sachet bien que cela est ma condition pour accomplir la mission qui m’est affectée.
- Vous me tenez là ?
- Pas du tout madame, vous être en droit de refuser.
- Je l’entends bien, mais qu’est-ce qui en reste de notre arrangement ?
- Il vous suffit de trouver une autre personne, voilà tout.
- Facile à dire, et moins à faire. Lâchait-elle avant de garder le silence.
Elle prit le temps de réfléchir avant de reprendre la parole et de lâcher : - Bon, je crois que je n’ai pas le choix ! Je me dois à me plier à
vos exigences. Je pense que vous ne serez pas contre que j’emprunte votre bureau pour me… enfin vous me comprenez. Fit-elle en s’éloignant en me tournant le dos.
- Faite donc, je vous en prie. En posant mon regard sur ses jambes musclées gainées dans un nylon noir avec des effigies. Madame, l’interpelais-je.
- Oui ! Répondit-elle en se retournant.
- Mettez-moi aussi votre collant, s’il vous plaît.
- Vous n’abusez pas trop là ?
- À vous de voir ?
Elle s’abstenait d’en dire plus, disparaissant derrière la porte. Je ne vous cache pas que j’étais sur le moment pas mécontent de moi. Un besoin chez moi de lui rendre la monnaie de sa pièce. Celle d’avoir négliger, de poser mon nom sur le tableau d’avancement.
Inquiet de ne pas la voir revenir, j’allais aux nouvelles, et constater que la pièce était vide. Par contre se tenait sur le bureau, bien en vue, une boule de nylon noir reconnaissant le collant qu‘elle portait. Cela me fit chaud au cœur. Et plus encore, quand je découvris une petite culotte en dentelle noire enfuie à l’intérieur de la pelote, avec un petit mot en cadeau qui disait ceci : « Pauvre type ».
Cela eut pour effet de me faire bien rire.
21H03 J’avais patiemment attendu d’être seul dans la salle pour m’installer confortablement sur un canapé de l‘époque. Profitant de cet instant calme pour m’intéresser au cadeau que m’avait aimablement donner ma directrice. Collant mon nez sur le slip, à l’endroit où la dentelle marquait le pli de la fente. Je pris une profonde inspiration, me grisant de ses arômes. Mon cœur se cogna fortement dans ma poitrine. Je suspectais que la coquine avait pissé dedans, tant le textile était transpirant. Comme mes sens se mirent en alerte en remarquant une traînée brune à un endroit bien spécifique. J’y logeais mon nez. L’odeur était des plus piquante. De m’en faire bourdonner les oreilles. Alors que ma queue devenait de plus en plus douloureuse dans mon slip, à force de se raidir, le téléphone du bureau se fit entendre.
- Oui ! Répondis-je, essouffler après avoir couru jusqu‘à, soit une cinquantaine de mètre.
- Catherine au téléphone. Tout va bien ? Me fit-elle d’une voix sèche.
Je lui fis le topo de tout ce qui s’était déroulé après sa fuite.
- Bien ! Vous avez tout ce que vous voulez. Lâcha-t-elle avec sarcasme.
- J’ai vous et cela me suffit bien.
- Je peux me permettre de vous poser une question ?
- Je vous en prie, faite donc Catherine, je m’efforcerais de bien y répondre. Lui fis-je, devinant très bien où elle allait en venir.
- Pourquoi ?
- Pourquoi quoi ?
- Et bien de cette drôle de demande que je d’écrirais d’un peu spécial.
- Tout bonnement parce que j’aime les odeurs intimes de femme et cela depuis mon plus jeune âge. Et si je peux me le permettre, je vous assure que les vôtres sont au rendez-vous.
J’aurais pu jurer en la connaissant qu’elle rougissait à cet instant précise.
- Une faiblesse chez moi, ajoutai-je, incapable de me contrôler. Quand une femme me plaît il faut qu’à tout prix que je cherche le moyen de m’approprier sa lingerie portée. Cela vous va comme réponse ?
Et elle raccrochait, sans prendre la peine de répondre. Bip bip bip fit l’écouteur, et cela me fit bien rire.
21H27 Je posais alors le combiné sur son socle pour m’en saisir de nouveau et fis le numéro du bistro de la ZUP.
- Rachid, salut c’est Alain. Salin se trouve près de toi ?
- Je te le passe.
- Houais ?
- Tu aurais une chaude ?
- Houais ! Ça peut ce faire. Pour quand ?
- Tout de suite.
- Tu es où là ?
Je me mis à le mettre au courant des événements.
- Houé, bon… je t’envoie cela.
- Tu m’avances le fric, je n’ai rien sur moi… - Houais, t’occupe…
22H02 L’arrivée de la chaude. Bouchra de son prénom, toute jeune, très brune. Pas très grande, elle avait un corps parfait, des gros seins, des petites fesses bien cambrées.
- Tu veux une pipe ? Me fit-elle.
- Tu rigoles… je veux bien plus qu’une pipe, je veux ton cul.
- Ce n’est pas le même prix… - Ne t’inquiète pas, tu me connais, tu viendras me voir dans la semaine je te donnerais le complément.
- C’est que je n’aime pas trop ce genre de condition.
- Fais-moi confiance, je serais très généreux le temps voulu, tu peux me croire. Répondais-je en déchaussant son pied droit.
Une partie de l’anatomie féminine, qui ne me laisse pas insensible. Aussi sexy et désirable qu’une paire de jambe. Si magistral quand ils se tendent, se contractent et ondulent. Et que chacun de leurs mouvements en rajoute un peu plus à mon émoi.
Néanmoins incapable de résister à la tentation, j’embrassais son pied nu. Je suçais les orteils l’un après l’autre. Passant même la langue entre les petits doigts. Dont les odeurs qui s’en dégageaient, provoquèrent chez moi un accroissement de raidissement de ma queue.
Je plongeais mes mains sous la jupe à la recherche du slip. J’acquits un empiècement poisseux de mouille, qui collait à la vulve. Que je décollais comme un pansement. Faisant glisser l’impalpable sous-vêtement jusqu’aux plus bas de son corps. Elle soufflait d’une voix rauque en levant les pieds l’un après l’autre.
Je l’invitais par la suite, à prendre place sur le divan. Après lui avoir retroussé sa jupe je me contentais d’écarter ses jambes pour nourrir mes yeux. Une belle chatte, toute rose sous ses grandes lèvres bien ourlées, et qu’aucun poil ne couvrait. Sa raie était moite de transpiration. Des senteurs acides s’évaporaient de la raie ouverte. Que je pris la peine de renifler, du haut de la raie, et cela jusqu’à la base du coccyx. Elle avait un cul absolument imberbe. La bordure de l’anus charnu d’un rose sale, était boursouflée.
Je me penchais pour mettre au contact ma bouche avec son sexe odorant. Que je me mis tout de suite à sucer quelques instants avant de porter mon attention sur son anus brun, le mouillant abondamment de salive. Là, je joignis deux doigts, et les approchais jusqu’à toucher la cible. Devinant mon intention, Bouchra se montrait d‘un coup plus rebelle. Il me fallut être perspicace pour pouvoir atteindre enfin mon but. Pour avoir la jouissance de sentir son œillet cédait, s’ouvrir, pour que je puisse glisser mes doigts dans une douce cavité de soie. Elle se fit accueillante, docile. Tout en tétant son bouton je branlais son anus. Sans doute inaccoutumé à ce genre de caresse, elle ne mit pas longtemps à partir dans un orgasme, qui secoua son bassin d’un surprenant soubresaut.
Mon cœur s’emballa, alors que mon sexe se gonflait encore et toujours. Frissonnant au fond de son slip. Se gorgeant de sang et d’émois, se dressant tel un gode, ne cachant plus rien du désir qui m’envahissait.
Je retirais mes doigts pour les porter jusqu’à mon nez. Humant les effluves qui s’en dégager. Tout en portant mon regard sur la corolle mauve dilatée, qui restait évasée. Quelque chose bouillonnait en moi. Quelque chose qui me rendait fou. À m’en faire perdre les pédales, à mettre ma verge à l’air. Je la pris alors comme j’avais tant désiré la prendre, forçant l’entrée de son sphincter d’une poussée d’une rudesse calculée. Elle s’était prêté de son mieux à ma fantaisie. Les doigts crispés sur les coussins, lorsque j’enfouis lentement ma verge dans son trou du cul. Vainquant peu à peu la résistance naturelle des muscles. Elle avait laissé échapper un soupir, avant de lâcher un encourageant : - Bourre-moi… tu entends quoi… bourre-moi !
La voix suppliante décupla ma tension dont le sang battait les tempes jusqu’à m’étourdir. Crispé sur elle, après l’instant de répit nécessaire à calmer ma surexcitation de mes sens, je me mis à bouger, allant et venant, plus loin, plus fort, heurtant à chaque coup ses fesses musclées.
Chaque fois que je m’enfonçais en elle, les reins que je violais sembler se prêter davantage à l’étreinte. Son halètement devenait gémissement, râles, cris cassés au ras de la gorge. Le plaisir ouvrait son corps et je perçais sa croupe sans guère plus d’efforts que je l’eus faits avec une chatte.
Je sentis venir mon orgasme et continuais de la sodomiser, accélérant encore mon rythme. Des sensations délectables m’envahissaient, alors que de son corps en sueur montait jusqu’à mes narines une odeur lourde, épicée. Je me laissais aller, emporté par un âpre plaisir et m’effondrais sur elle, le cœur battant, la tête vide. Et éjaculais… transférant mon jus d’amour dans son cul.
23H10 Le téléphone se mit de nouveau à sonner. Je décrochais.
- Oui ! Répondis-je.
- C’est moi Catherine, ça va ?
- Très bien, merci, grâce à vous.
- Vous allez arrêter avec cela, sinon je lui mets un rapport.
- Bonne idée, je vais vous en établir un. Comme je l’avais jadis fait à un professeur lui remettant une rédaction retraçant la journée du mercredi. Une chaude après-midi si vous voyez ce que je veux dire.
- Je vois… je vois, je n’ai pas besoin d’un dessin.
- Mais que faite vous encore à cette heure là debout.
- Je suis dans mon lit, si vous voulez tout savoir !
- Cela ne dérange pas votre mari ?
- Excusez-moi de ne pas vous avoir préciser que je dormais dans la chambre d’ami.
- Vous faites bien ce que vous voulez. Je n’en demandais pas autant. Pourquoi ne pas venir me rejoindre ?
- Vous ne vous reposez jamais Alain ? Je ne vous connaissez pas autant… - Autant quoi ?
- Rien… - Bon revenant si vous le voulez bien à nos moutons. Que voulez-vous savoir ?
- Je m’inquiète pour vous, voilà tout.
- Il ne faut pas Catherine, je suis dans mon élément ici.
- Et en fait votre femme, elle a pris cela comment ?
- Elle a l’habitude de ses imprévus.
- Et cela ne la dérange pas ?
- Posez lui la question.
- Je m’en garderais bien.
- Aller Catherine, raccrocher et ne vous inquiétez plus pour moi, dormez plutôt, pour être en forme pour demain.
- J’ai du mal à trouver le sommeil ! Je suis tendue à la faute de tous ses événements.
- Une bonne masturbation ça fait retomber la pression.
- Alain vous êtes vraiment intenable.. Bonne nuit tout de même.
Et elle raccrocha.
03H15 Ne tenant plus je me masturbais, tout en humant les pieds du collant de Catherine. Et cela me donnait comme une très grande envie de rédiger un rapport.
ENVIRON VERS LES 04H00 Après en avoir écrit trois feuilles, je mettais assoupi.
07H22 J’ouvrais les pupilles. Mon premier réflexe fut de nouveau de porter la culotte à mes narines. Cherchant du nez l’endroit qui me ferait de nouveau frissonner. Mais pour mon plus grand désarroi la plupart des effluves avaient disparu lors de mes précédents léchages.
08H03 L’arrivée de Catherine. Elle tenait dans la main un pochon. Les yeux brillants, la bouche tendue par un fin sourire forcé.
- Tenez je vous ai emmené des croissants, vous les avez bien mérité. Fit-elle en hachant la tête.
Puis elle se mit à me fixer. Je soutins son regard. Ses yeux étaient calmes. Il y avait un peu de sueur au-dessus de sa lèvre.
- Vous le pensiez réellement ? Me fit-elle, coupant le silence.
- Vous parlez de quoi ? Répondais-je.
- Du conseil pour m’endormir. Me fit-elle plein de malice dans les yeux.
- Tenez ! C’est le fameux rapport de la nuit… - Merci me fit-elle en s’en saisissant. Je pense que je ne vais pas m’ennuyer.
- Je le pense moi-aussi, Madame…
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