Insatiable André - histoire érotique

Après ce repas et cette fin de soirée arrosée, je descends rejoindre Jocelyne à la chambre d'ami se situant au sous sol de la maison. Nous passons la nuit chez Nadège et André car le lendemain matin, nous levant à cinq heure et demi pour partir vers leur maison de famille située à la campagne près de Béziers à l'entrée du parc national du Haut Languedoc. Jocelyne me dit qu'elle est fatiguée et elle glisse sous les draps immédiatement. André vient s'enquérir de savoir si tout est en ordre.
Nadège ayant fini la soirée au lit car un peu trop "pompette", nous avons terminé la soirée sagement mais un peu alcoolisé. Je le remercie et il repart aussitôt, je me déshabille et pars dans le cabinet de toilette de la chambre me brosser les dents.

On toque à la porte et André entre avec trois verres et une bouteille d'un digestif doux et bien connu aromatisé à la noix de coco. Il me dit qu'on va boire le verre de l'amitié sans faire trop de bruit, je me rince la bouche et lui dis que je viens de me laver les dents. Jocelyne décline son offre.
Il s'assied sur le lit situé dans l'ange face la porte, c'est une petite chambre qui doit faire 7 ou 8 mètres carrés. Il me demande si je n'ai pas froid, le chauffage fonctionnant très bien car je suis juste en caleçon, je lui réponds que c'est parfait, il me dit qu'il a un peu chaud (je le vois venir). Nous rigolons car ayant arrosé la soirée comme il se doit sans faire d'excès. Nadège et André sont des hôtes qui savent très bien recevoir.
Il commence donc à nous servir et me demande si il peut se mettre à l'aise et que d'ailleurs ce sera fait pour aller se coucher après. Il se déshabille et se retrouve dans la même tenue que moi sauf qu'il porte un slip noir et moi un caleçon bleu ciel. Il bande déjà ce vieux cochon ! Je lui lance "dis donc tu as déjà la barre à ce que je vois" et là étant assis sur le lit, il plie les jambes en les relevant et retire son slip et me sort "tu verras mieux ma barre comme çà". J'éclate de rire et m'approche de lui, il commence à me caresser à travers le caleçon et de l'autre main me tend un verre. Nous trinquons et buvons une gorgée. Jocelyne lui dit qu'elle est trop fatiguée mais que nous pouvons nous amuser et qu'elle regardera la scène en s'endormant. André me dit que c'est doux au palais mais qu'il a envie d'avoir autre chose dans la bouche. Je lui dis qu'il n'hésite pas à se faire plaisir. Il me baisse le caleçon et embouche mon pénis encore mou. Il suce très bien le bougre. Je me mets à genoux sur le lit pour finir allonger sur le lit. Il prend son verre et fait couler quelques gouttes de boisson sur les testicules qu'il lèche dans la foulée me disant qu'il se régale. Il me lève les jambes et sa langue descend jusqu'à l'orifice qu'il humecte en me disant que mon cul est un délice, il remonte vers mes couilles et la bite qui sont déjà trempés. Il est tout rouge, la chaleur dans la chambre, l'alcool et nos ébats le marquent Dédé. Jocelyne nous lance " quelle bande de coquins"Je lui dis de se reposer un peu et lui dis que je vais m'occuper un peu de lui. Je prends son boudin en bouche et joue comme à l'habitude avec le prépuce et le gland que je décalotte à fond et suce avec grande dextérité. Il râle de plaisir, je lui dis de faire moins de bruit et qu'il va réveiller Nadège. Il me dit que ce n'est pas grave et qu'elle pourra se joindre à nous, chose que j'aimerai bien mais qui risque peu d'arriver vu son état d'ébriété de fin de soirée. Je le pompe comme il faut, lui lèche ses grosses bourses, il me dit qu'il ne tiendra pas longtemps, je lui rétorque que ce n'est pas grave, j'accélère et je l'entends râler et me dire qu'il ne va pas tarder à jouir, je sors sa queue et Jocelyne a pris en main son chibre et le branle. Il est à genoux sur le lit et je lui demande ce qu'il pour la suite. Il me demande de me mettre en levrette pour me dit-il "s'astiquer entre mes cuisses et jouir sur ton cul". Je ne suis pas emballé sur l'instant et je lui dis que je n'ai pas envie de prendre une douche. Il fait sa tête de chien battu et demande à Jocelyne d'influer en sa faveur. Jocelyne, baillant, tout en continuant la branlette lui répond de voir çà avec moi. Je lui réponds que c'est moi qui vais me branler entre ses fesses et que je lui dirais quand je jouirai pour qu'il viennent avaler mon foutre.
Je vois sa mine radieuse et il me lance "j'arrive", juste le temps de se mettre en position et qu'au passage Jocelyne me pompe, j'humecte mes doigts et lui passe la salive entre ses cuisses et lui titille l'anus. Je m'accroche à ses anches et je commence à frotter mon chibre entre ses fesses pendant quelques secondes pour l'entendre me dire "astique toi bien jeune homme, je sens ta queue coulisser dans mon cul". Il est heureux et çà s'entend. Nous restons de cinq à dix minutes ainsi et je sens la montée de plaisir et les premiers jets de sperme atterrir sur le bas de son dos.
Je récupère de la main gauche le sperme et me retourne pour le poser sur mon gland encore ruisselant de foutre qu'il avale dans la foulée. Il m'essore et me termine, je jouis tant que je peux m'ayant gardé, d'un sperme épais. Il me le suce jusqu'à que ma queue ne mollisse.
Entre deux Jocelyne a relevé son drap et se doigte devant nous, ses lèvres charnues sont mouillées, je ne peux m'empêcher de venir la lécher.

Maintenant, c'est à lui de jouir me lâche t il. il me rassieds sur le bord du lit et me demande de se mettre à genoux devant lui et le pomper. Je m'occupe comme il faut de son boudin et ses grosses bourses, de temps en temps, il se redresse et vient frotter sa queue sur la miennes.
Ce vieux pervers me dis que je peux me frotter à sa queue et qu'il jouira ainsi.
Il enserre la sienne bien raide et la mienne qui est encore humide de mon précédent largage de foutre entre ses fesse. Dans les minutes qui suit, il jouit sur mon ventre et ma queue. Il est ravi et souffle fort ce brave monsieur, la cinquantaine passée se fait sentir. Je lui prends la queue en bouche pour également l'essorer quelques instant et Jocelyne nous demande si nous pouvons enfin nous reposer. Nos bites rougeâtres baisse pavillon et André nous souhaite une bonne nuit et nous quitte nu comme un ver en oubliant son slip noir sur le lit.