Insémination Naturelle
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2022 dans la catégorie A dormir debout
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Insémination Naturelle
« Nous n'avons plus de sperme en tube, vous bénéficiez de ce que nous avons à la pression »
« Ce n'est pas la procédure habituelle pour réaliser une insémination artificielle, n'est-ce pas, docteur ? »
« Non madame » confirma le jeune et beau médecin en se positionnant entre ses jambes écartées.
*****
Après avoir défini que M. Martin, le mari, était stérile, un couple sans enfant a opté pour une tentative d'insémination artificielle, à la clinique même qui avait pratiqué les examens. La clinique a vérifié et l'a informée qu'elle serait fertile le lendemain. Mardi, c’était le meilleur jour pour qu'elle soit inséminée.
Lorsque la belle jeune femme s'est présentée seule à la clinique, elle a été accueillie par le jeune et beau médecin qui avait effectué tous les tests la veille, sur elle et sur son mari. Le médecin sourit à la jeune femme et lui demanda d'aller se mettre en petite tenue dans la pièce voisine.
« Docteur, n'avez-vous pas une assistante pour vous seconder ? »
« D’habitude, oui. Mais elle a reçu un appel de l’école disant que son enfant était malade, alors elle s’est précipitée. Mais vous n'avez aucune raison de vous inquiéter, Mme Martin, je peux gérer l'intervention tout seul »
Elle n'était pas trop inquiète par l’absence d’une assistante. Après tout, cet homme était médecin, et il avait été très professionnel, la veille, avec tous les examens qu’il avait pratiqué.
Il l’accompagna dans la pièce voisine, lui demanda de se déshabiller, lui indiqua où ranger ses affaires, et lui donna un tablier d’examen qui se noue dans le dos. Elle détestait ce tablier qui lui laissait les fesses nues. Elle espérait qu’une fois allongée sur la table d’examen, personne d’autre que ce jeune et beau médecin ne viendrait contempler son intimité.
Il lui expliqua qu’une fois prête, elle devra s’allonger sur la table d’examen, mettre ses pieds dans les étriers, et l’attendre tranquillement. En lui disant qu'il serait de retour dans quelques minutes, le médecin quitta la pièce. Mme Martin n’avait qu’une peur, à ce moment-là. Que le jeune et beau médecin ne revienne accompagné de toute une troupe d’étudiants carabins.
Alors que la jeune et belle rouquine de 24 ans se déshabillait, elle pensait à cette procédure étrange, car elle s'était attendue à devoir passer quelques minutes à remplir des formulaires, avant d’être informée de ce à quoi elle devait s'attendre.
Le tablier, noué par trois lacets dans le dos, laissait ses fesses exposées, même en essayant de l'enrouler étroitement autour d’elle. De plus, il était trop court devant et ne couvrait que le haut de ses cuisses, et seulement lorsqu'elle se tenait debout.
En raison de la nature même du tablier, dès qu'elle s'est allongée sur le dos, toutes ses parties intimes ont été exposées. Lorsque la jeune et belle femme s’est allongée sur la table d’examen, les pieds dans les étriers, les jambes écartées, et les fesses orientées face à la porte, elle se sentait très mal à l'aise dans cette situation.
Jamais auparavant, même avec son mari, elle ne s’était exposée ainsi devant un homme. Son gynécologue habituel était une femme, mais aujourd'hui, un homme allait devoir examiner ses parties les plus intimes. Il allait même insérer quelque chose à l'intérieur de son… de sa… pour l'imprégner.
Elle sentait sa chatte qui la picotait d'embarras, mais aussi à cause de la ventilation de la climatisation qui était juste au-dessus d'elle dans le plafond. Elle soufflait une brise fraîche sur elle, directement entre ses jambes écartées. En soupirant, elle ouvrit encore plus grand ses jambes, permettant à l'air frais d'aérer sa chatte fiévreuse. Ce faisant, l'air frais climatisait même son anus, exposé à cause de ses jambes surélevées. La porte s'ouvrit d’un coup. Elle n'a pas eu le temps de corriger sa position, aussi quand le médecin est entré, il l'a vue très exubérante, alors elle a regardé le plafond en rougissant fortement.
Il est resté très professionnel, car il ne s’est pas attardé à regarder le spectacle offert en passant devant la table de travail pour se diriger vers une desserte, où il déposa ses fournitures. Mais il avait bien vu sa chatte entrouverte et luisante de ses jus, encadrée d’une abondante toison rousse, contrastant avec sa peau laiteuse.
Elle ne pensait qu’à une seule chose, en se répétant comme un leitmotiv : « C’est pour le bébé, uniquement pour le bébé, tout pour le bébé »
Elle entendit le bruit d'une fermeture éclair et dirigea son regard vers le jeune et beau médecin. Souriant, le médecin baissait son pantalon. Elle s’est affolée, et elle a laissé tomber ses pieds des étriers.
« Attendez une seconde ! Qu'est-ce qui se passe ici ? » cria-t-elle en regardant, les yeux écarquillés, l'organe qu'il caressait afin de le préparer. Ce n'était pas seulement énorme, mais il avait un prépuce, chose que son mari n’avait pas, et il lui semblait que le gland lui faisait des clins d’œil en apparaissant puis disparaissant comme par magie à chaque battement qu'il lui donnait.
« Vous ne voulez plus être enceinte ? » demanda le médecin.
« Eh bien... oui, mais... » balbutia la jeune femme. Elle ne put terminer sa phrase, hypnotisée par le geste souple du jeune et beau médecin, qui continuait de faire grandir son sexe, bien au-delà de tout ce qu'elle croyait possible auparavant. Bien sûr, elle n'avait pas une grande expérience de la chose, n’ayant vu qu'un seul pénis adulte auparavant, celui de son mari, qui était beaucoup plus petit.
« Eh bien, allongez-vous et posez vos pieds sur les étriers » a répondu le médecin, en ajoutant que ce service sera gratuit pour aujourd'hui. Avec juste un soupçon de séduction sur son visage, elle s'allongea sur la table d’examen, écarta ses jambes, et replaça ses pieds dans les étriers.
« Ce n'est pas la procédure habituelle pour réaliser une insémination artificielle, n'est-ce pas, docteur ? »
« Non madame » confirma le jeune et beau médecin en se positionnant entre ses jambes écartées. « Nous n'avons plus de sperme en tube, vous bénéficiez de ce que nous avons à la pression »
Il la saisit par les hanches, et la fit glisser plus près du bord, pour que ses fesses soient presque dans le vide. Tirée sur la table comme ça, ses jambes repliées vers l'arrière, elle était très ouverte, et très troublée.
Mais il voulait qu'elle soit encore plus accueillante, afin qu'il puisse mieux apprécier celle qu'il était sur le point de fertiliser, alors il utilisait ses doigts pour ouvrir ses lèvres intérieures et, bien sûr, il n'avait pas jugé nécessaire de porter des gants stériles.
Il a commencé par frotter doucement son clitoris entre ses doigts, le tortillant, l’étirant en le pinçant délicatement, et elle a commencé à se tortiller.
« Quand c’est possible, je préfère utiliser la cyprine de la femme pour la lubrification, c’est plus naturel » Elle devenait humide, très humide, mouillée même, et il glissa un doigt pour s’en assurer. Elle était prête. Les premiers sursauts de ses hanches le confirmaient. Quand il a glissé sa bite dans la fente de sa chatte, sa toison rousse l’a encadrée érotiquement, donnant de la luminosité à la scène.
Le jeune et beau médecin était lui aussi excité maintenant, et il frottait son gland dans sa fente pour le mouiller de son jus. Alors qu'elle fermait les yeux, le souffle court, il glissait son pénis de haut en bas, tout le long de sa fente, de son anus jusqu’à son clitoris.
Lorsqu'il montait heurter son clitoris avec, elle gémissait d’une voix rauque. Lorsqu’il descendait caresser son anus, elle se crispait, essayant vainement de resserrer ses magnifiques fesses. Lorsqu’il passait devant l’ouverture de sa chatte, elle sursautait, essayant de le gober au passage.
« Tous les tests ont prouvé que vous êtes fertile Mme Martin, et c’est aujourd'hui le meilleur jour du mois pour tomber enceinte. Vous êtes jeune, en bonne santé, tout ce qui vous manque, c’est une bonne dose de sperme fertile »
Elle soupira de plaisir, lorsqu'en la maintenant ouverte entre ses doigts, il présenta délicatement le bout de sa bite entre ses petites lèvres.
Elle haleta : « Vous êtes si fort. S'il vous plaît, docteur, allez-y doucement »
« Détendez-vous, Mme Martin. Je vous promets que vous serez très satisfaite par cette procédure »
Avec son sexe maintenant intimement positionné, les mains du jeune et beau docteur étaient libres. Il a soulevé la blouse de travail qui couvrait le corps de la magnifique jeune femme, pour se donner un meilleur accès à son corps de déesse. Ses mains ont lentement parcouru le corps offert à sa convoitise, palpant les chairs fermes, caressant la peau douce. Son attention a naturellement été attirée par ses deux magnifiques seins gonflés de vie. Il les massait avec application, en agaçant les tétons dressés, lorsqu’elle l’interrompit brutalement.
« Mais... vous me tripotez les seins ! » s’offusqua-t-elle. Elle avait posé fermement ses mains sur les siennes et, pour le moment, l'empêchait de continuer. « Docteur, je croyais que tout cela était dans le but de m'inséminer, pas de prendre du plaisir dans un acte sexuel »
Pour elle, cela était résolument devenu un acte sexuel, car il avait arrêté sa pénétration dès que le gland avait franchi le sas des petites lèvres. Il maintenait son gland, la partie la plus volumineuse de son sexe, juste à l’entrée de sa chatte, pile à l’endroit où elle était la plus étroite. Dans cette position, il étirait les lèvres intérieures presque au-delà du raisonnable, et il en résultait une étrange combinaison de léger inconfort, et d’agacement mêlé d'exquis plaisir.
« Oui, Mme Martin, mais cette partie de la procédure est plus pour moi que pour vous »
« Pour vous ? Pourquoi ? Je ne comprends pas ? »
« Lors de l’imprégnation de manière naturelle, il est essentiel que le donneur puisse fournir une généreuse portion de sperme. Le fait de toucher vos seins, je peux vous l'assurer, Mme Martin, contribuera à ce que je puisse produire une très généreuse ration de sperme »
« Oh ! Alors, si c’est pour agir à coup sûr, touchez mes seins autant que vous le voulez, Docteur. Je ne souhaite qu’une seule chose, que cette procédure réussisse à coup sûr ! »
Après son acceptation de la manipulation de ses adorables nichons par le jeune et beau docteur, il n’a eu aucun mal à la convaincre de se soulever, afin de lui ôter cette ridicule blouse de travail. Maintenant, il pouvait contempler tout à loisir son sculptural corps de déesse. Aussitôt ses mains libres, il recommença à masser fermement les globes laiteux, en taquinant ses tétons dressés. Encore une fois, il s'abstint délibérément d'aller plus profondément dans son antre serrée.
« Vous formez un merveilleux couple. Envisagez-vous d'allaiter votre bébé ? »
« Oh, oui, Docteur. Je veux que mon enfant ait le meilleur départ dans la vie »
« Je pense qu'aujourd'hui nous allons fabriquer un magnifique enfant »
Il bougeait lentement, comme elle l'avait demandé, et il ne l'avait pénétrée qu'assez peu. Juste assez loin pour engager son gland entièrement dans sa chatte, mais pas plus profond, pour la maintenir en attente. Il le faisait exprès, à la fois pour son plaisir, mais surtout pour éveiller l’appétit sexuel de la jeune femme.
« Mme Martin. Vous êtes tellement serrée. Je dois vous dire que votre corps est parfait, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur. En raison de l'ajustement serré entre nous, et des sensations intenses qui en résultent, ce sera probablement une procédure courte. Je suis désolé de vous l’annoncer »
« Oh Docteur ! Faites ce qu’il faut. Quoi qu'il nous en coûte, faites-le. Même si cela prend un peu plus de temps, je suis d’accord » En disant cela, son regard est brusquement devenu impudique.
« Oui, j'ai l'intention de me retenir, autant que je peux. Plus cela prends de temps, plus la quantité de sperme sera abondante. Et je prendrai soin de faire l'injection bien en profondeur »
Sur ce, il produisit une légère poussée vers l'avant, et elle gémit en le sentant pénétrer bien au-delà de ses petites lèvres, élargissant plus profondément son conduit.
« Oh, Docteur. Je crois que je comprends ce que vous voulez dire en parlant de mettre le fluide bien en profondeur »
Jusqu’à ce jour, la jolie jeune femme ne connaissait rien du sexe. Son mari était incapable de lui procurer de telles émotions. Elle n'avait jamais rien ressenti d’aussi fort, et elle a atteint l'orgasme dès sa première douzaine de coups. C'était censé être une procédure médicale, mais maintenant, le jeune et beau docteur en avait fait sa chose, et elle pantelait sous ses coups de bite puissants.
« Aaaah, Docteur. J’ai joui. C’était merveilleux. Je n'ai jamais été baisée comme ça. Mon mari, mon pauvre mari, ne peut tout simplement pas rivaliser avec vous, avec tout ce que vous me faites ressentir grâce à ce fabuleux gros sexe »
Elle le dévisageait intensément : « Pourriez-vous m'embrasser, juste une fois ? S'il vous plaît ? »
Il se pencha pour l'embrasser, et ce faisant, sa bite pénétra plus profondément, jusqu'au bout, jusqu’à heurter son col de l’utérus, et elle gémit dans sa bouche quand leurs langues s’unirent.
« Merci Docteur. Maintenant c'est officiel. Vous êtes le meilleur amant de tous les temps »
« Mme Martin, ceci n'est pas une plaisanterie. Il s'agit d'une procédure médicale complexe que j'effectue pour vous. Vous devrez toujours vous en souvenir »
« Oui, Docteur. Excusez-moi pour ma légèreté. Je m'en souviendrai toujours »
Il a commencé à travailler plus vigoureusement sa chatte, se retirant presque complètement, puis poussant en profondeur, tout en préparant la production qu'il avait imaginée pour elle depuis la prise du rendez-vous.
« Oh docteur, vous me faites tellement d’effet. Je suis toute émoustillée. Avez-vous appris tout cela à l'école de médecine ? Je veux dire, comment féconder une femme à l'ancienne peut-être ? »
« Exactement. À l'école de médecine, les étudiants travaillent intensément pour améliorer le processus. J’ai dû faire beaucoup d’expérimentations, avec des étudiantes et des professeures, pour parfaire ma technique. Grâce à cela, nous savons maintenant que la méthode naturelle est préférable dans la plupart des cas, si les deux partenaires sont compatibles, ce qui semble être le cas »
« Oh oui, Docteur. Nous sommes très compatible. Aaaah ! Oui, c’est sûr »
« Maintenant que j'ai préparé votre réceptacle pour ma semence, je vais suivre le reste de la procédure »
Il a continué à pomper de plus en plus vite, de plus en plus fort, la heurtant profondément en la faisant haleter et gémir bruyamment.
« Oh, Docteur. Je sais que vous avez dit que ce n'était pas une partie de plaisir, mais c'est encore bien mieux que ça ! Aaaah, quel pied ! »
« Dans ce cas, Mme Martin, si vous appréciez tellement cette procédure, vos chances d'être imprégnée seront meilleures si vous jouissez en même temps que moi »
« Oh, oui, Docteur. Je veux bien jouir encore. Je jouis presque en continu, vous me rendez folle »
Puis elle le sentit grossir, palpiter et trembler en elle. Il était proche de jouir. Il agrippa fermement ses deux seins, gémit en se bloquant tout au fond d’elle, et elle sentit sa semence jaillir puissamment.
« Oh oui, Docteur. Donnez-moi. Donnez-moi tout ! »
Encore une fois, des myriades d’éclairs explosèrent en elle, et elle jouit intensément en enfonçant ses ongles dans les bras du jeune et beau docteur.
Il resta immobile en elle pendant une minute, puis commença à se retirer lentement en frissonnant.
Aussitôt, elle a retiré ses pieds des étriers, enroulé ses jambes autour du corps du jeune et beau médecin. Enroulant ses bras autour de sa tête, gardant ses lèvres jointes aux siennes, elle lui a donné un baiser profond avec sa langue. Incapable de se libérer de son emprise, le jeune et beau médecin dû se résoudre à partager ce baiser voluptueux.
Visiblement amoureuse, elle finit par relâcher sa prise, et le corps du médecin frissonna en retirant son sexe. Il lui sourit tandis qu'elle déplaçait ses jambes tremblantes pour replacer ses pieds dans les étriers. Elle avait besoin de récupérer, juste une minute ou deux. Malgré la fraîcheur de la salle, ils étaient tous les deux couverts de sueur.
« Mme Martin, je vais vous demander de rester allongée comme ça, avec vos pieds relevés dans les étriers, pendant quelques minutes, et de bien vous relaxer, afin de donner à mon sperme le temps de faire son travail »
Elle lui sourit : « Il y en avait vraiment beaucoup. Ça n'arrêtait pas de pulser, et la puissance des jets m'a fait délirer »
« Oui, c’est bien de cela qu’il s’agit, Mme Martin. Il a été démontré que les chances d'imprégnation sont meilleures si les orgasmes sont simultanés »
« C'était bien la première fois que j'avais un orgasme simultané. Souvent, je n'ai pas d'orgasme du tout »
Il lui souriait en simulant un examen, alors qu’il se contentait d’admirer son adorable vagin, qui avait été distendu, et qui était rouge d'avoir tellement joui.
« Vous voulez dire avec votre mari ? »
« Exactement. Mais avec vous, et ce merveilleux pénis, j’ai eu du plaisir tout le temps »
« Bien, Mme Martin. Cela devrait sûrement faire l'affaire. Dans quelques jours, nous saurons le résultat »
« Docteur » demanda-t-elle timidement « Je préférerais que nous fassions un deuxième essai, maintenant, juste pour être sûrs. Y aurait-il des frais supplémentaires pour d’autres injections ? »
« Ce n'est pas la procédure habituelle pour réaliser une insémination artificielle, n'est-ce pas, docteur ? »
« Non madame » confirma le jeune et beau médecin en se positionnant entre ses jambes écartées.
*****
Après avoir défini que M. Martin, le mari, était stérile, un couple sans enfant a opté pour une tentative d'insémination artificielle, à la clinique même qui avait pratiqué les examens. La clinique a vérifié et l'a informée qu'elle serait fertile le lendemain. Mardi, c’était le meilleur jour pour qu'elle soit inséminée.
Lorsque la belle jeune femme s'est présentée seule à la clinique, elle a été accueillie par le jeune et beau médecin qui avait effectué tous les tests la veille, sur elle et sur son mari. Le médecin sourit à la jeune femme et lui demanda d'aller se mettre en petite tenue dans la pièce voisine.
« Docteur, n'avez-vous pas une assistante pour vous seconder ? »
« D’habitude, oui. Mais elle a reçu un appel de l’école disant que son enfant était malade, alors elle s’est précipitée. Mais vous n'avez aucune raison de vous inquiéter, Mme Martin, je peux gérer l'intervention tout seul »
Elle n'était pas trop inquiète par l’absence d’une assistante. Après tout, cet homme était médecin, et il avait été très professionnel, la veille, avec tous les examens qu’il avait pratiqué.
Il l’accompagna dans la pièce voisine, lui demanda de se déshabiller, lui indiqua où ranger ses affaires, et lui donna un tablier d’examen qui se noue dans le dos. Elle détestait ce tablier qui lui laissait les fesses nues. Elle espérait qu’une fois allongée sur la table d’examen, personne d’autre que ce jeune et beau médecin ne viendrait contempler son intimité.
Il lui expliqua qu’une fois prête, elle devra s’allonger sur la table d’examen, mettre ses pieds dans les étriers, et l’attendre tranquillement. En lui disant qu'il serait de retour dans quelques minutes, le médecin quitta la pièce. Mme Martin n’avait qu’une peur, à ce moment-là. Que le jeune et beau médecin ne revienne accompagné de toute une troupe d’étudiants carabins.
Alors que la jeune et belle rouquine de 24 ans se déshabillait, elle pensait à cette procédure étrange, car elle s'était attendue à devoir passer quelques minutes à remplir des formulaires, avant d’être informée de ce à quoi elle devait s'attendre.
Le tablier, noué par trois lacets dans le dos, laissait ses fesses exposées, même en essayant de l'enrouler étroitement autour d’elle. De plus, il était trop court devant et ne couvrait que le haut de ses cuisses, et seulement lorsqu'elle se tenait debout.
En raison de la nature même du tablier, dès qu'elle s'est allongée sur le dos, toutes ses parties intimes ont été exposées. Lorsque la jeune et belle femme s’est allongée sur la table d’examen, les pieds dans les étriers, les jambes écartées, et les fesses orientées face à la porte, elle se sentait très mal à l'aise dans cette situation.
Jamais auparavant, même avec son mari, elle ne s’était exposée ainsi devant un homme. Son gynécologue habituel était une femme, mais aujourd'hui, un homme allait devoir examiner ses parties les plus intimes. Il allait même insérer quelque chose à l'intérieur de son… de sa… pour l'imprégner.
Elle sentait sa chatte qui la picotait d'embarras, mais aussi à cause de la ventilation de la climatisation qui était juste au-dessus d'elle dans le plafond. Elle soufflait une brise fraîche sur elle, directement entre ses jambes écartées. En soupirant, elle ouvrit encore plus grand ses jambes, permettant à l'air frais d'aérer sa chatte fiévreuse. Ce faisant, l'air frais climatisait même son anus, exposé à cause de ses jambes surélevées. La porte s'ouvrit d’un coup. Elle n'a pas eu le temps de corriger sa position, aussi quand le médecin est entré, il l'a vue très exubérante, alors elle a regardé le plafond en rougissant fortement.
Il est resté très professionnel, car il ne s’est pas attardé à regarder le spectacle offert en passant devant la table de travail pour se diriger vers une desserte, où il déposa ses fournitures. Mais il avait bien vu sa chatte entrouverte et luisante de ses jus, encadrée d’une abondante toison rousse, contrastant avec sa peau laiteuse.
Elle ne pensait qu’à une seule chose, en se répétant comme un leitmotiv : « C’est pour le bébé, uniquement pour le bébé, tout pour le bébé »
Elle entendit le bruit d'une fermeture éclair et dirigea son regard vers le jeune et beau médecin. Souriant, le médecin baissait son pantalon. Elle s’est affolée, et elle a laissé tomber ses pieds des étriers.
« Attendez une seconde ! Qu'est-ce qui se passe ici ? » cria-t-elle en regardant, les yeux écarquillés, l'organe qu'il caressait afin de le préparer. Ce n'était pas seulement énorme, mais il avait un prépuce, chose que son mari n’avait pas, et il lui semblait que le gland lui faisait des clins d’œil en apparaissant puis disparaissant comme par magie à chaque battement qu'il lui donnait.
« Vous ne voulez plus être enceinte ? » demanda le médecin.
« Eh bien... oui, mais... » balbutia la jeune femme. Elle ne put terminer sa phrase, hypnotisée par le geste souple du jeune et beau médecin, qui continuait de faire grandir son sexe, bien au-delà de tout ce qu'elle croyait possible auparavant. Bien sûr, elle n'avait pas une grande expérience de la chose, n’ayant vu qu'un seul pénis adulte auparavant, celui de son mari, qui était beaucoup plus petit.
« Eh bien, allongez-vous et posez vos pieds sur les étriers » a répondu le médecin, en ajoutant que ce service sera gratuit pour aujourd'hui. Avec juste un soupçon de séduction sur son visage, elle s'allongea sur la table d’examen, écarta ses jambes, et replaça ses pieds dans les étriers.
« Ce n'est pas la procédure habituelle pour réaliser une insémination artificielle, n'est-ce pas, docteur ? »
« Non madame » confirma le jeune et beau médecin en se positionnant entre ses jambes écartées. « Nous n'avons plus de sperme en tube, vous bénéficiez de ce que nous avons à la pression »
Il la saisit par les hanches, et la fit glisser plus près du bord, pour que ses fesses soient presque dans le vide. Tirée sur la table comme ça, ses jambes repliées vers l'arrière, elle était très ouverte, et très troublée.
Mais il voulait qu'elle soit encore plus accueillante, afin qu'il puisse mieux apprécier celle qu'il était sur le point de fertiliser, alors il utilisait ses doigts pour ouvrir ses lèvres intérieures et, bien sûr, il n'avait pas jugé nécessaire de porter des gants stériles.
Il a commencé par frotter doucement son clitoris entre ses doigts, le tortillant, l’étirant en le pinçant délicatement, et elle a commencé à se tortiller.
« Quand c’est possible, je préfère utiliser la cyprine de la femme pour la lubrification, c’est plus naturel » Elle devenait humide, très humide, mouillée même, et il glissa un doigt pour s’en assurer. Elle était prête. Les premiers sursauts de ses hanches le confirmaient. Quand il a glissé sa bite dans la fente de sa chatte, sa toison rousse l’a encadrée érotiquement, donnant de la luminosité à la scène.
Le jeune et beau médecin était lui aussi excité maintenant, et il frottait son gland dans sa fente pour le mouiller de son jus. Alors qu'elle fermait les yeux, le souffle court, il glissait son pénis de haut en bas, tout le long de sa fente, de son anus jusqu’à son clitoris.
Lorsqu'il montait heurter son clitoris avec, elle gémissait d’une voix rauque. Lorsqu’il descendait caresser son anus, elle se crispait, essayant vainement de resserrer ses magnifiques fesses. Lorsqu’il passait devant l’ouverture de sa chatte, elle sursautait, essayant de le gober au passage.
« Tous les tests ont prouvé que vous êtes fertile Mme Martin, et c’est aujourd'hui le meilleur jour du mois pour tomber enceinte. Vous êtes jeune, en bonne santé, tout ce qui vous manque, c’est une bonne dose de sperme fertile »
Elle soupira de plaisir, lorsqu'en la maintenant ouverte entre ses doigts, il présenta délicatement le bout de sa bite entre ses petites lèvres.
Elle haleta : « Vous êtes si fort. S'il vous plaît, docteur, allez-y doucement »
« Détendez-vous, Mme Martin. Je vous promets que vous serez très satisfaite par cette procédure »
Avec son sexe maintenant intimement positionné, les mains du jeune et beau docteur étaient libres. Il a soulevé la blouse de travail qui couvrait le corps de la magnifique jeune femme, pour se donner un meilleur accès à son corps de déesse. Ses mains ont lentement parcouru le corps offert à sa convoitise, palpant les chairs fermes, caressant la peau douce. Son attention a naturellement été attirée par ses deux magnifiques seins gonflés de vie. Il les massait avec application, en agaçant les tétons dressés, lorsqu’elle l’interrompit brutalement.
« Mais... vous me tripotez les seins ! » s’offusqua-t-elle. Elle avait posé fermement ses mains sur les siennes et, pour le moment, l'empêchait de continuer. « Docteur, je croyais que tout cela était dans le but de m'inséminer, pas de prendre du plaisir dans un acte sexuel »
Pour elle, cela était résolument devenu un acte sexuel, car il avait arrêté sa pénétration dès que le gland avait franchi le sas des petites lèvres. Il maintenait son gland, la partie la plus volumineuse de son sexe, juste à l’entrée de sa chatte, pile à l’endroit où elle était la plus étroite. Dans cette position, il étirait les lèvres intérieures presque au-delà du raisonnable, et il en résultait une étrange combinaison de léger inconfort, et d’agacement mêlé d'exquis plaisir.
« Oui, Mme Martin, mais cette partie de la procédure est plus pour moi que pour vous »
« Pour vous ? Pourquoi ? Je ne comprends pas ? »
« Lors de l’imprégnation de manière naturelle, il est essentiel que le donneur puisse fournir une généreuse portion de sperme. Le fait de toucher vos seins, je peux vous l'assurer, Mme Martin, contribuera à ce que je puisse produire une très généreuse ration de sperme »
« Oh ! Alors, si c’est pour agir à coup sûr, touchez mes seins autant que vous le voulez, Docteur. Je ne souhaite qu’une seule chose, que cette procédure réussisse à coup sûr ! »
Après son acceptation de la manipulation de ses adorables nichons par le jeune et beau docteur, il n’a eu aucun mal à la convaincre de se soulever, afin de lui ôter cette ridicule blouse de travail. Maintenant, il pouvait contempler tout à loisir son sculptural corps de déesse. Aussitôt ses mains libres, il recommença à masser fermement les globes laiteux, en taquinant ses tétons dressés. Encore une fois, il s'abstint délibérément d'aller plus profondément dans son antre serrée.
« Vous formez un merveilleux couple. Envisagez-vous d'allaiter votre bébé ? »
« Oh, oui, Docteur. Je veux que mon enfant ait le meilleur départ dans la vie »
« Je pense qu'aujourd'hui nous allons fabriquer un magnifique enfant »
Il bougeait lentement, comme elle l'avait demandé, et il ne l'avait pénétrée qu'assez peu. Juste assez loin pour engager son gland entièrement dans sa chatte, mais pas plus profond, pour la maintenir en attente. Il le faisait exprès, à la fois pour son plaisir, mais surtout pour éveiller l’appétit sexuel de la jeune femme.
« Mme Martin. Vous êtes tellement serrée. Je dois vous dire que votre corps est parfait, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur. En raison de l'ajustement serré entre nous, et des sensations intenses qui en résultent, ce sera probablement une procédure courte. Je suis désolé de vous l’annoncer »
« Oh Docteur ! Faites ce qu’il faut. Quoi qu'il nous en coûte, faites-le. Même si cela prend un peu plus de temps, je suis d’accord » En disant cela, son regard est brusquement devenu impudique.
« Oui, j'ai l'intention de me retenir, autant que je peux. Plus cela prends de temps, plus la quantité de sperme sera abondante. Et je prendrai soin de faire l'injection bien en profondeur »
Sur ce, il produisit une légère poussée vers l'avant, et elle gémit en le sentant pénétrer bien au-delà de ses petites lèvres, élargissant plus profondément son conduit.
« Oh, Docteur. Je crois que je comprends ce que vous voulez dire en parlant de mettre le fluide bien en profondeur »
Jusqu’à ce jour, la jolie jeune femme ne connaissait rien du sexe. Son mari était incapable de lui procurer de telles émotions. Elle n'avait jamais rien ressenti d’aussi fort, et elle a atteint l'orgasme dès sa première douzaine de coups. C'était censé être une procédure médicale, mais maintenant, le jeune et beau docteur en avait fait sa chose, et elle pantelait sous ses coups de bite puissants.
« Aaaah, Docteur. J’ai joui. C’était merveilleux. Je n'ai jamais été baisée comme ça. Mon mari, mon pauvre mari, ne peut tout simplement pas rivaliser avec vous, avec tout ce que vous me faites ressentir grâce à ce fabuleux gros sexe »
Elle le dévisageait intensément : « Pourriez-vous m'embrasser, juste une fois ? S'il vous plaît ? »
Il se pencha pour l'embrasser, et ce faisant, sa bite pénétra plus profondément, jusqu'au bout, jusqu’à heurter son col de l’utérus, et elle gémit dans sa bouche quand leurs langues s’unirent.
« Merci Docteur. Maintenant c'est officiel. Vous êtes le meilleur amant de tous les temps »
« Mme Martin, ceci n'est pas une plaisanterie. Il s'agit d'une procédure médicale complexe que j'effectue pour vous. Vous devrez toujours vous en souvenir »
« Oui, Docteur. Excusez-moi pour ma légèreté. Je m'en souviendrai toujours »
Il a commencé à travailler plus vigoureusement sa chatte, se retirant presque complètement, puis poussant en profondeur, tout en préparant la production qu'il avait imaginée pour elle depuis la prise du rendez-vous.
« Oh docteur, vous me faites tellement d’effet. Je suis toute émoustillée. Avez-vous appris tout cela à l'école de médecine ? Je veux dire, comment féconder une femme à l'ancienne peut-être ? »
« Exactement. À l'école de médecine, les étudiants travaillent intensément pour améliorer le processus. J’ai dû faire beaucoup d’expérimentations, avec des étudiantes et des professeures, pour parfaire ma technique. Grâce à cela, nous savons maintenant que la méthode naturelle est préférable dans la plupart des cas, si les deux partenaires sont compatibles, ce qui semble être le cas »
« Oh oui, Docteur. Nous sommes très compatible. Aaaah ! Oui, c’est sûr »
« Maintenant que j'ai préparé votre réceptacle pour ma semence, je vais suivre le reste de la procédure »
Il a continué à pomper de plus en plus vite, de plus en plus fort, la heurtant profondément en la faisant haleter et gémir bruyamment.
« Oh, Docteur. Je sais que vous avez dit que ce n'était pas une partie de plaisir, mais c'est encore bien mieux que ça ! Aaaah, quel pied ! »
« Dans ce cas, Mme Martin, si vous appréciez tellement cette procédure, vos chances d'être imprégnée seront meilleures si vous jouissez en même temps que moi »
« Oh, oui, Docteur. Je veux bien jouir encore. Je jouis presque en continu, vous me rendez folle »
Puis elle le sentit grossir, palpiter et trembler en elle. Il était proche de jouir. Il agrippa fermement ses deux seins, gémit en se bloquant tout au fond d’elle, et elle sentit sa semence jaillir puissamment.
« Oh oui, Docteur. Donnez-moi. Donnez-moi tout ! »
Encore une fois, des myriades d’éclairs explosèrent en elle, et elle jouit intensément en enfonçant ses ongles dans les bras du jeune et beau docteur.
Il resta immobile en elle pendant une minute, puis commença à se retirer lentement en frissonnant.
Aussitôt, elle a retiré ses pieds des étriers, enroulé ses jambes autour du corps du jeune et beau médecin. Enroulant ses bras autour de sa tête, gardant ses lèvres jointes aux siennes, elle lui a donné un baiser profond avec sa langue. Incapable de se libérer de son emprise, le jeune et beau médecin dû se résoudre à partager ce baiser voluptueux.
Visiblement amoureuse, elle finit par relâcher sa prise, et le corps du médecin frissonna en retirant son sexe. Il lui sourit tandis qu'elle déplaçait ses jambes tremblantes pour replacer ses pieds dans les étriers. Elle avait besoin de récupérer, juste une minute ou deux. Malgré la fraîcheur de la salle, ils étaient tous les deux couverts de sueur.
« Mme Martin, je vais vous demander de rester allongée comme ça, avec vos pieds relevés dans les étriers, pendant quelques minutes, et de bien vous relaxer, afin de donner à mon sperme le temps de faire son travail »
Elle lui sourit : « Il y en avait vraiment beaucoup. Ça n'arrêtait pas de pulser, et la puissance des jets m'a fait délirer »
« Oui, c’est bien de cela qu’il s’agit, Mme Martin. Il a été démontré que les chances d'imprégnation sont meilleures si les orgasmes sont simultanés »
« C'était bien la première fois que j'avais un orgasme simultané. Souvent, je n'ai pas d'orgasme du tout »
Il lui souriait en simulant un examen, alors qu’il se contentait d’admirer son adorable vagin, qui avait été distendu, et qui était rouge d'avoir tellement joui.
« Vous voulez dire avec votre mari ? »
« Exactement. Mais avec vous, et ce merveilleux pénis, j’ai eu du plaisir tout le temps »
« Bien, Mme Martin. Cela devrait sûrement faire l'affaire. Dans quelques jours, nous saurons le résultat »
« Docteur » demanda-t-elle timidement « Je préférerais que nous fassions un deuxième essai, maintenant, juste pour être sûrs. Y aurait-il des frais supplémentaires pour d’autres injections ? »
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Pour demander un deuxième essai cela démontre qu’elle a bien aimer cet adultère medical