Instalation de la TNT
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Instalation de la TNT
Avec cette TNT, mon mari a un travail fou pour les réglages, particulièrement les antennes râteaux. Pour les réglages intérieurs les plus faciles et les moins fatiguant, c’est à moi de jouer. Finalement j’aime bien bavarder avec les gens en leur montrant les simples règles à respecter.
Avant d’aller plus loin il faut que je précise que j’aime mon mari avec qui nous avons une entente sexuelle parfaite: j’aime ce qu’il me fait et il aime ce que je lui fait. Nous sommes souvent ouverts à des étreintes avec des amis.
Cet après midi j’ai eu affaire à une cliente particulière. Belle fille de 30 ans, peu pudique puisque je vois pratiquement tout son corps à travers son déshabillé transparent. Je reconnais que ses seins en particulier sont splendides. Les jambes sont sans défauts apparents.
Elle ne me quitte pas d’une semelle. Pourtant le temps de poser le décodeur et le brancher n’est pas bien long. Dès que j’ai fini, elle m’offre un café. Il est déjà servi et son arôme me tente. Nous nous asseyons, elle sur un fauteuil et moi sur le divan face au téléviseur. Etant assise son déshabillé s’ouvre sur les cuisses. Les voir nues change tout: elle sont plus que magnifiques. Je pense que si j’étais un homme je ne résisterais pas à cet appel. Appel, c’est-ce que je pense. En posant sa tasse sur la tablette elle ouvre son vêtement et cette fois je vois ses seins. D’un air machinal elle les caresses doucement. Je regarde toujours et je sens que je suis troublée. Elle m’excite presque de la voir faire. Et elle me parle:
- Vous savez que vous me plaisez beaucoup.
- Ha, bon. Je ne le savais pas.
- Et moi, je vous plait ?
- Je crois oui.
Je ne sais pourquoi j’ai fait cette réponse, d’accord elle me plait sans plus. Je ne suis même pas sure qu’elle ne me plaise que sans plus, elle me plait de plus en plus. Je pourrai même faire des bêtises.
- Si je venais vous embrassai, vous diriez non ?
- Je ne sais pas.
Je réponds faussement, je sais que je ne dirai oui. Je ne dirai même rien, je la laisserai faire.
Pourtant je ne suis pas à jeun de sexe: nous venons de baiser avec mon mari entre midi et deux, comme souvent. J’ai même bien joui quand il me la mise dans le cul.
Je ne réponds rien, alors elle vient très près de moi, elle en perd le peu qu’elle portait, c’est nue maintenant qu’elle pose ses lèvres sur ma bouche. J’ai pu voir en un éclair son pubis rasé alors que je porte toujours ma fourrure d’origine. Sa langue est douce dans ma bouche assoiffée de désir. Je me laisse faire, tellement je prend du plaisir pour un simple baiser.
Ce n’est qu’un baiser, il me donne de l’humidité dans mon intimité. Je ne sais dans quel état je serai si elle va plus loin. Je cède à ce qu’elle veux: Elle me fait lever pour me déshabiller. Me faire déshabiller pour la première fois pas une femme: une expérience inoubliable.
Je ne ressent aucun honte quand elle me prend dans ses bras que nos seins se caressent. Inoubliable également et excitant. Encore plus excitant quand sa bouche vient embrasser mes tétons et les sucer. Pendant qu’elle me caresse les seins, je lui caresse les cheveux. Je n’ose pas lui caresser le corps. Je sais où j’aime que mon mari passe ses mains, mes mains elles ne savent pas où aller sur elle. Elle se baisse toujours: sa bouche m’embrasse le nombril avant d’y mettre un peu la langue. Je sens que je mouille de plus en plus. Enfin elle passe sur ma fourrure. Et arrive le but que j’attends depuis un moment: elle passe sa langue sur le clitoris. Elle écarte mes lèvres intime pour que mon bouton sorte encore plus. Je sens tout sa langue me lécher.
J’avance mon bas ventre: pourvu qu’elle ne s’arrête pas là. J’en suis à m’impatienter pour qu’elle me fasse jouir. Elle fait ce qu’il faut, mieux que mon mari. Comment se fait-il qu’une a femme me fasse plus de bien que mon mari qui me connait sur le bout des doigts.
Elle reste avec sa langue sur le bouton, elle passe deux doigts dans ma chatte. Leur allers et venus me font un tel bien que je jouis enfin. Normalement elle devrai arrêter alors qu’elle continue en changeant de place sa bouche qui est sur mon vagin. Elle y entre la langue qu’elle fait tourner lentement. Je gémis et avance encore mon sexe vers elle. Ses doigts aussi sont descendus. Ils sont encore plein de cyprine quand elle les fait tourner autour de l’anus. Mon mari ne m’a jamais fait ça: c’est délicieux. Je le lui demanderai. Elle pose un doigt d’abord et le second ensuite sur mon cul: j’y suis habituée, je force à peine pour l’ouvrir. Elle me sodomise: c’est bon, moins qu’avec la bite de mon époux. Sa façon de faire n’est pas comparable, elle est plus douce.
Je me retiens depuis un bon moment: je n’en peu plus: j’ai un orgasme inconnu de moi.
Elle m’oblige à m’assoir sur le divan, instinctivement j’écarte les cuisses. Cette fois elle peut voir tout mon sexe et mon anus. Elle ne se gêne pas pour regarder. Elle s’assoit à mes cotés. Je me demande qu’elle est la suite.
Elle prend ma main et la met sur sa chatte. Elle veut que je la branle. Je sais le faire pour moi, mais sur une autre ?
Hé bien c’est pareil. J’utilise la bonne main pour la poser en haut de sa chatte. Je descends juste ce qu’il faut pour caresser le bouton. Elle réagit comme moi: elle jouit. Sa bouche revient sur la mienne: c’est moi qui entre ma langue. Il me semble qu’elle a du miel sur sa langue. Je l’embrasse et la masturbe. Qui l’aurait cru il y a peu: je prends du plaisir à branler et embrasser une autre fille.
Tant pis, je vais plus bas, comme elle. Je mets trois doigts dans son vagin. C’est comme si je la baisais. Dès son orgasme amorcé je lui entre deux doigts dans le cul. Elle n’arrête pas de jouir entre les deux.
- Merci de m’avoir donné tout ce plaisir. Si tu est d’accord nous allons nous sucer.
- Je veux bien.
Je sais pour l’avoir vu dans des films porno comment font les filles. Je me couche sur le dos dans l’attente de son corps sur le mien. Je commence par prendre du plaisir quand je sens mes seins sur son ventre et les siens sur le mien. Elle me fait plier les genoux pour pouvoir passer ses mains derrière mes cuisses. Je ne sais trop pourquoi
Je trouve toute son intimité à portée de ma langue. La mienne doit être pareille. Je tire donc ma langue à la recherche d’abord de son gout: c’est une vrai liqueur, même meilleure. Quand à sa chatte une mine de petits endroits à découvrir. Ma langue ne chôme pas un instant: elle n’en a pas le temps. Je tiens à lui rendre tout ce qu’elle me fait et les orgasmes qu’elle me donne.
J’aime par-dessus tout prendre son bouton dans la bouche pour le sucer réellement et non le lécher. J’aime sentir ses spasmes de jouissance.
Elle ajoute un petit rien, elle m’encule encore en me suçant: orgasme garanti.
Nous arrêtons un instant: elle va chercher un gode double. J’en ai bien un dont je me sert souvent devant mon mari qui se branle en me voyant. Là je suis dubitative. Pourtant l’usage est simple. Elle me fait coucher sur le divan, se couche pas loin de mes fesses, enfonce un bout du gode dans mon vagin, s’approche encore de moi pour se le mettre dans le sien. Le reste n’est qu’un question d’aller et venue de sa main qui entraine l’engin dans nos ventres.
Quand je sors de chez elle, elle m’embrasse:
- Tu baises bien, reviens.
- Bien sur demain, ça te vas ?
- Bien sur quand tu veux.
Ce soir mon mari veut, c’est normal me baiser. J’ai un mal de tête qui m’en empêche. C’est vrai que je pense toujours à mon amante.
Avant d’aller plus loin il faut que je précise que j’aime mon mari avec qui nous avons une entente sexuelle parfaite: j’aime ce qu’il me fait et il aime ce que je lui fait. Nous sommes souvent ouverts à des étreintes avec des amis.
Cet après midi j’ai eu affaire à une cliente particulière. Belle fille de 30 ans, peu pudique puisque je vois pratiquement tout son corps à travers son déshabillé transparent. Je reconnais que ses seins en particulier sont splendides. Les jambes sont sans défauts apparents.
Elle ne me quitte pas d’une semelle. Pourtant le temps de poser le décodeur et le brancher n’est pas bien long. Dès que j’ai fini, elle m’offre un café. Il est déjà servi et son arôme me tente. Nous nous asseyons, elle sur un fauteuil et moi sur le divan face au téléviseur. Etant assise son déshabillé s’ouvre sur les cuisses. Les voir nues change tout: elle sont plus que magnifiques. Je pense que si j’étais un homme je ne résisterais pas à cet appel. Appel, c’est-ce que je pense. En posant sa tasse sur la tablette elle ouvre son vêtement et cette fois je vois ses seins. D’un air machinal elle les caresses doucement. Je regarde toujours et je sens que je suis troublée. Elle m’excite presque de la voir faire. Et elle me parle:
- Vous savez que vous me plaisez beaucoup.
- Ha, bon. Je ne le savais pas.
- Et moi, je vous plait ?
- Je crois oui.
Je ne sais pourquoi j’ai fait cette réponse, d’accord elle me plait sans plus. Je ne suis même pas sure qu’elle ne me plaise que sans plus, elle me plait de plus en plus. Je pourrai même faire des bêtises.
- Si je venais vous embrassai, vous diriez non ?
- Je ne sais pas.
Je réponds faussement, je sais que je ne dirai oui. Je ne dirai même rien, je la laisserai faire.
Pourtant je ne suis pas à jeun de sexe: nous venons de baiser avec mon mari entre midi et deux, comme souvent. J’ai même bien joui quand il me la mise dans le cul.
Je ne réponds rien, alors elle vient très près de moi, elle en perd le peu qu’elle portait, c’est nue maintenant qu’elle pose ses lèvres sur ma bouche. J’ai pu voir en un éclair son pubis rasé alors que je porte toujours ma fourrure d’origine. Sa langue est douce dans ma bouche assoiffée de désir. Je me laisse faire, tellement je prend du plaisir pour un simple baiser.
Ce n’est qu’un baiser, il me donne de l’humidité dans mon intimité. Je ne sais dans quel état je serai si elle va plus loin. Je cède à ce qu’elle veux: Elle me fait lever pour me déshabiller. Me faire déshabiller pour la première fois pas une femme: une expérience inoubliable.
Je ne ressent aucun honte quand elle me prend dans ses bras que nos seins se caressent. Inoubliable également et excitant. Encore plus excitant quand sa bouche vient embrasser mes tétons et les sucer. Pendant qu’elle me caresse les seins, je lui caresse les cheveux. Je n’ose pas lui caresser le corps. Je sais où j’aime que mon mari passe ses mains, mes mains elles ne savent pas où aller sur elle. Elle se baisse toujours: sa bouche m’embrasse le nombril avant d’y mettre un peu la langue. Je sens que je mouille de plus en plus. Enfin elle passe sur ma fourrure. Et arrive le but que j’attends depuis un moment: elle passe sa langue sur le clitoris. Elle écarte mes lèvres intime pour que mon bouton sorte encore plus. Je sens tout sa langue me lécher.
J’avance mon bas ventre: pourvu qu’elle ne s’arrête pas là. J’en suis à m’impatienter pour qu’elle me fasse jouir. Elle fait ce qu’il faut, mieux que mon mari. Comment se fait-il qu’une a femme me fasse plus de bien que mon mari qui me connait sur le bout des doigts.
Elle reste avec sa langue sur le bouton, elle passe deux doigts dans ma chatte. Leur allers et venus me font un tel bien que je jouis enfin. Normalement elle devrai arrêter alors qu’elle continue en changeant de place sa bouche qui est sur mon vagin. Elle y entre la langue qu’elle fait tourner lentement. Je gémis et avance encore mon sexe vers elle. Ses doigts aussi sont descendus. Ils sont encore plein de cyprine quand elle les fait tourner autour de l’anus. Mon mari ne m’a jamais fait ça: c’est délicieux. Je le lui demanderai. Elle pose un doigt d’abord et le second ensuite sur mon cul: j’y suis habituée, je force à peine pour l’ouvrir. Elle me sodomise: c’est bon, moins qu’avec la bite de mon époux. Sa façon de faire n’est pas comparable, elle est plus douce.
Je me retiens depuis un bon moment: je n’en peu plus: j’ai un orgasme inconnu de moi.
Elle m’oblige à m’assoir sur le divan, instinctivement j’écarte les cuisses. Cette fois elle peut voir tout mon sexe et mon anus. Elle ne se gêne pas pour regarder. Elle s’assoit à mes cotés. Je me demande qu’elle est la suite.
Elle prend ma main et la met sur sa chatte. Elle veut que je la branle. Je sais le faire pour moi, mais sur une autre ?
Hé bien c’est pareil. J’utilise la bonne main pour la poser en haut de sa chatte. Je descends juste ce qu’il faut pour caresser le bouton. Elle réagit comme moi: elle jouit. Sa bouche revient sur la mienne: c’est moi qui entre ma langue. Il me semble qu’elle a du miel sur sa langue. Je l’embrasse et la masturbe. Qui l’aurait cru il y a peu: je prends du plaisir à branler et embrasser une autre fille.
Tant pis, je vais plus bas, comme elle. Je mets trois doigts dans son vagin. C’est comme si je la baisais. Dès son orgasme amorcé je lui entre deux doigts dans le cul. Elle n’arrête pas de jouir entre les deux.
- Merci de m’avoir donné tout ce plaisir. Si tu est d’accord nous allons nous sucer.
- Je veux bien.
Je sais pour l’avoir vu dans des films porno comment font les filles. Je me couche sur le dos dans l’attente de son corps sur le mien. Je commence par prendre du plaisir quand je sens mes seins sur son ventre et les siens sur le mien. Elle me fait plier les genoux pour pouvoir passer ses mains derrière mes cuisses. Je ne sais trop pourquoi
Je trouve toute son intimité à portée de ma langue. La mienne doit être pareille. Je tire donc ma langue à la recherche d’abord de son gout: c’est une vrai liqueur, même meilleure. Quand à sa chatte une mine de petits endroits à découvrir. Ma langue ne chôme pas un instant: elle n’en a pas le temps. Je tiens à lui rendre tout ce qu’elle me fait et les orgasmes qu’elle me donne.
J’aime par-dessus tout prendre son bouton dans la bouche pour le sucer réellement et non le lécher. J’aime sentir ses spasmes de jouissance.
Elle ajoute un petit rien, elle m’encule encore en me suçant: orgasme garanti.
Nous arrêtons un instant: elle va chercher un gode double. J’en ai bien un dont je me sert souvent devant mon mari qui se branle en me voyant. Là je suis dubitative. Pourtant l’usage est simple. Elle me fait coucher sur le divan, se couche pas loin de mes fesses, enfonce un bout du gode dans mon vagin, s’approche encore de moi pour se le mettre dans le sien. Le reste n’est qu’un question d’aller et venue de sa main qui entraine l’engin dans nos ventres.
Quand je sors de chez elle, elle m’embrasse:
- Tu baises bien, reviens.
- Bien sur demain, ça te vas ?
- Bien sur quand tu veux.
Ce soir mon mari veut, c’est normal me baiser. J’ai un mal de tête qui m’en empêche. C’est vrai que je pense toujours à mon amante.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
superbe histoire, je me branle a fond ma chatte est toute humide. Bise
Waouw je mouille... faut que je me masturbe.
superbe