Instant entre rêve et éternité
Récit érotique écrit par AbsintheTrickster [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Instant entre rêve et éternité
Répète après moi et rentre dans mon univers : Jisom Tuex Ico…Jisom Tuex Ico…Jisom Tuex Ico…Maintenant tu es prêt(e) à me lire…
Tu es la comète qui a pénétré mon système solaire, mon équilibre et fait perdre mon orbite. Tes yeux bleus m’ont croisé à la sortie de ce banal parking souterrain reflet du désintérêt que j’éprouve pour ce monde. De la réalité froide, au plus chaud rêve de toi. Belle enfant de Vénus dans cette jolie combinaison moulante, motarde rebelle, engeance disturptive de l’Univers. Tes courbes sont un pêché auquel j’aimerai goûter. Je te lance un regard qui contient tout mon désir et mon envie, tous deux inavouables. Tu le croises ; tu sais. Inconnus, mais déjà sur une longueur d’onde immédiate et commune. Mon esprit et mes pensées sur le plateau d’argent qu’est mon âme. Pas besoin de parler, nous parlons le même langage, incompréhensible à ceux qui l’expriment avec des mots et non leur Être. Tu me souris avec le regard qui dit oui, je prend ta main et je te tire vers moi. Dévoile moi tes belles dents blanches alors que tu ris, de belles étoiles dans tes yeux, qui palpitent. Suis-je désespéré de ne pas t’avoir dans mes bras alors que je ne te connais pas ? Tu me réponds en attirant ma main sur ton visage doux et fin, mais ce sont tes lèvres qui me répondent lorsque tu insère mon doigt entre elles… Ta langue passionnelle enserre mon corps de frissons insondables dans les profondeurs de l’inexprimable… Je suis désarmé par tes charmes, ton regard me glace et me brûle, incandescent.
Attente interminable dans l’escalier de notre désir…qu’il est loin, notre palais des délices. En haut de la tour de l’envie, derrière de lourdes portes qui chutent les unes après les autres à chaque baiser et à chaque arrêt passionné. Je te coinces dans un coin en croyant te surprendre, mais à chaque fois tu m’accueilles dans l’antre de tes cuisses cernées de cuir, comme si tu lisais en moi comme dans un livre ouvert. Chacun de tes regards me déshabille un peu plus, mon être se révèle bien malgré lui. Aucun masque, ne serait-ce qu’un large sourire aux lèvres, que tu t’empresses de mordiller. Laisse moi te caresser et enserrer tes formes voluptueuses entre mes doigts pleins d’envie. J’aurai bien aimé te modeler comme mes fantasmes les plus inavouables, mais tu en es déjà l’inespérée reine, les surpassant de loin, à tes genoux tu les piétines de ta perfection… Malicieuse monarque, impératrice de mon envie lorsque tu souffle à mon oreille tes envies les plus folles, farandole de fantasmes, danse avec moi…
Aurai-je cru que ce soit toi qui pousse la porte de ma chambre pour m’entraîner dans ta toile onirique, belle créature aux regard vermeil ? Surhumaine, comme mon envie, lorsque tu l’enserre dans tes seins. Engeance du Chaos magnifiée, tu commences par la fin avant de t’empresser à retourner au début. Laisse-moi descendre ta fermeture éclair de bas en haut, puisque rien n’est vrai, tout est permis. Le teint de ta peau blanc comme l’innocence, rend un hérétique hommage à ta passion damnée. Avant d’embrasser ta cuisse, me voilà à trouver la perdition dans le creux de ton cou, pendant que épouses la courbure de mon dos de ton délice humide… N’est-ce pas ma nuque que tu mords ? Je n’aurai jamais cru trembler autant… Les monts de tes merveilles, Everests raisonnables, glissent dans ma bouche, je te têtes à la recherche de ta Substance…ton principe véritable qui me permettrait la simple supposition de ce que tu es, alors que tu me fais frissonner en me serrant dans tes bras… Je m’abandonne dans ton regard, quand je te découvre dans ton plus simple apparat. Est-ce la tache dans ton cou qui m’évoque une étoile à 8 branches ? Ta seule réponse est un gémissement quand j’explore l’entrée de ton Univers secret d’une bouche gourmande en quête d’une nouvelle saveur. Ton plaisir luisant qui coule sur mon menton : bénis-moi belle Déesse, car je pèche en sentant tes hanches se tendre comme mon sexe prêt à surgir ! Le voilà découvert par ton intimité ruisselante, ou la douceur tropicale de ta gorge ? Laisse moi me saisir de tes cheveux, les enserrer comme pour m’empêcher de tomber en arrière… Où est-ce peut être toi que j’accompagne dans la chute et l’extase ?
Tes cuisses me répondent et m’enserrent. Aurai-je jamais imaginé que pénétrer la création du monde soit aussi extatique ? Ce n’est plus mon corps que tu enveloppes, c’est la passion même, ardente et dure comme mon existence mortelle. Que cherches-tu dans mes yeux, pendant que je te transperce de corps, alors tu me fauche toute raison ? Tes iris se dilatent et je peux le sentir de même dans le creux de tes hanches. Laisse moi faire la course à cheval autour de toutes les planètes de la galaxie…tes fesses en sont de si belles illustrations. Tu es peut être offerte à moi de corps, mais en vérité, tu tiens mon plaisir en laisse, enserré par tes petites lèvres qui pourraient murmurer : « Prends-moi ». Ton esprit est ma prison, mon plaisir ton temple. Et en te ruant sur moi à chaque mouvement, brusque et intense, tu me donnes tort.
Aurai-je sombré dans l’inconscience alors que tu embrasses mes lèvres ? Te voilà face à moi, un grand sourire aux lèvres, insolant. Perdrais-je totalement le contrôle, soumis aux délicieuses ondulations de ton bassin ? Il ne semble n’y avoir aucune limite à la profondeur de ton corps et de ton esprit. Et plus nos corps fusionnent, plus l’instant est magique. Sens-tu aussi les frissons qui assaillent mon corps ? Chaque regard à ta poitrine dévoilée m’extasie un peu plus. De la vie à la mort, sentiment de plaisir absolu, tu m’embrasses pour m’offrir l’absolution. Ton interruption soudaine pour me faire redécouvrir l’antre de tes mots les plus excitants est un délice qui ressemble plus à un dessert gourmand qu’à une mise en bouche appétissante… Je me retiens d’exploser et tu t’en amuses en te délectant de cette frustration sans fermer la bouche…
Reviens sur moi belle amazone, capturer mon âme en t’empalant de nouveau sur la manifestation de mon plaisir et prendre un malin plaisir à te cambrer langoureusement. Attache-moi à la montée de ton plaisir comme un volcan en éruption sensorielle. Oui, c’est ça, ferme les yeux. Tu rentres en transe, m’entraînant dans ta folie. Laisse moi me délecter de nos plaisirs au bord de l’accomplissement total. Ton cri est une délivrance, le supplice de contenir ma pulsion orgasmique est aussi rude que les quelques coups de bassins que j’ose te donner pour que ta jouissance soit totale. Ton regard bleuté et comblé vient quémander, accompagné d’un mordillement de lèvre, que je m’abandonne en toi à de délicieuses vagues de plaisir brûlantes et humides… Comment te résister, alors que tu viens frissonner contre mon corps, m’apportant la chaleur de tes seins et d’un mot doux. Chaque pulsation est un délicieux présent aux profondeurs de ton intimité… Est-ce là ton ventre et la chaleur de ta peau que je sens lorsque vient la dernière vague ? Alors que tu sembles te délecter de frotter ton épiderme ruisselant de mon bonheur entre nos corps unis ? Tu es la perfection incarnée…
Abandonnes-toi dans mes bras. Je t’accueille volontiers et te sers contre moi. Laisse moi te glisser à l’oreille que ma vie ne sera jamais plus la même après avoir connu pareille délectation. Fait moi le plaisir de ton sourire au creux de mon oreille, d’un soupir d’aise, d’une tendresse inégalée, subjugués par nos ébats, en dehors de l’espace et du temps, le temps d’une nuit ou d’une éternité…
Recommençons…
Tu es la comète qui a pénétré mon système solaire, mon équilibre et fait perdre mon orbite. Tes yeux bleus m’ont croisé à la sortie de ce banal parking souterrain reflet du désintérêt que j’éprouve pour ce monde. De la réalité froide, au plus chaud rêve de toi. Belle enfant de Vénus dans cette jolie combinaison moulante, motarde rebelle, engeance disturptive de l’Univers. Tes courbes sont un pêché auquel j’aimerai goûter. Je te lance un regard qui contient tout mon désir et mon envie, tous deux inavouables. Tu le croises ; tu sais. Inconnus, mais déjà sur une longueur d’onde immédiate et commune. Mon esprit et mes pensées sur le plateau d’argent qu’est mon âme. Pas besoin de parler, nous parlons le même langage, incompréhensible à ceux qui l’expriment avec des mots et non leur Être. Tu me souris avec le regard qui dit oui, je prend ta main et je te tire vers moi. Dévoile moi tes belles dents blanches alors que tu ris, de belles étoiles dans tes yeux, qui palpitent. Suis-je désespéré de ne pas t’avoir dans mes bras alors que je ne te connais pas ? Tu me réponds en attirant ma main sur ton visage doux et fin, mais ce sont tes lèvres qui me répondent lorsque tu insère mon doigt entre elles… Ta langue passionnelle enserre mon corps de frissons insondables dans les profondeurs de l’inexprimable… Je suis désarmé par tes charmes, ton regard me glace et me brûle, incandescent.
Attente interminable dans l’escalier de notre désir…qu’il est loin, notre palais des délices. En haut de la tour de l’envie, derrière de lourdes portes qui chutent les unes après les autres à chaque baiser et à chaque arrêt passionné. Je te coinces dans un coin en croyant te surprendre, mais à chaque fois tu m’accueilles dans l’antre de tes cuisses cernées de cuir, comme si tu lisais en moi comme dans un livre ouvert. Chacun de tes regards me déshabille un peu plus, mon être se révèle bien malgré lui. Aucun masque, ne serait-ce qu’un large sourire aux lèvres, que tu t’empresses de mordiller. Laisse moi te caresser et enserrer tes formes voluptueuses entre mes doigts pleins d’envie. J’aurai bien aimé te modeler comme mes fantasmes les plus inavouables, mais tu en es déjà l’inespérée reine, les surpassant de loin, à tes genoux tu les piétines de ta perfection… Malicieuse monarque, impératrice de mon envie lorsque tu souffle à mon oreille tes envies les plus folles, farandole de fantasmes, danse avec moi…
Aurai-je cru que ce soit toi qui pousse la porte de ma chambre pour m’entraîner dans ta toile onirique, belle créature aux regard vermeil ? Surhumaine, comme mon envie, lorsque tu l’enserre dans tes seins. Engeance du Chaos magnifiée, tu commences par la fin avant de t’empresser à retourner au début. Laisse-moi descendre ta fermeture éclair de bas en haut, puisque rien n’est vrai, tout est permis. Le teint de ta peau blanc comme l’innocence, rend un hérétique hommage à ta passion damnée. Avant d’embrasser ta cuisse, me voilà à trouver la perdition dans le creux de ton cou, pendant que épouses la courbure de mon dos de ton délice humide… N’est-ce pas ma nuque que tu mords ? Je n’aurai jamais cru trembler autant… Les monts de tes merveilles, Everests raisonnables, glissent dans ma bouche, je te têtes à la recherche de ta Substance…ton principe véritable qui me permettrait la simple supposition de ce que tu es, alors que tu me fais frissonner en me serrant dans tes bras… Je m’abandonne dans ton regard, quand je te découvre dans ton plus simple apparat. Est-ce la tache dans ton cou qui m’évoque une étoile à 8 branches ? Ta seule réponse est un gémissement quand j’explore l’entrée de ton Univers secret d’une bouche gourmande en quête d’une nouvelle saveur. Ton plaisir luisant qui coule sur mon menton : bénis-moi belle Déesse, car je pèche en sentant tes hanches se tendre comme mon sexe prêt à surgir ! Le voilà découvert par ton intimité ruisselante, ou la douceur tropicale de ta gorge ? Laisse moi me saisir de tes cheveux, les enserrer comme pour m’empêcher de tomber en arrière… Où est-ce peut être toi que j’accompagne dans la chute et l’extase ?
Tes cuisses me répondent et m’enserrent. Aurai-je jamais imaginé que pénétrer la création du monde soit aussi extatique ? Ce n’est plus mon corps que tu enveloppes, c’est la passion même, ardente et dure comme mon existence mortelle. Que cherches-tu dans mes yeux, pendant que je te transperce de corps, alors tu me fauche toute raison ? Tes iris se dilatent et je peux le sentir de même dans le creux de tes hanches. Laisse moi faire la course à cheval autour de toutes les planètes de la galaxie…tes fesses en sont de si belles illustrations. Tu es peut être offerte à moi de corps, mais en vérité, tu tiens mon plaisir en laisse, enserré par tes petites lèvres qui pourraient murmurer : « Prends-moi ». Ton esprit est ma prison, mon plaisir ton temple. Et en te ruant sur moi à chaque mouvement, brusque et intense, tu me donnes tort.
Aurai-je sombré dans l’inconscience alors que tu embrasses mes lèvres ? Te voilà face à moi, un grand sourire aux lèvres, insolant. Perdrais-je totalement le contrôle, soumis aux délicieuses ondulations de ton bassin ? Il ne semble n’y avoir aucune limite à la profondeur de ton corps et de ton esprit. Et plus nos corps fusionnent, plus l’instant est magique. Sens-tu aussi les frissons qui assaillent mon corps ? Chaque regard à ta poitrine dévoilée m’extasie un peu plus. De la vie à la mort, sentiment de plaisir absolu, tu m’embrasses pour m’offrir l’absolution. Ton interruption soudaine pour me faire redécouvrir l’antre de tes mots les plus excitants est un délice qui ressemble plus à un dessert gourmand qu’à une mise en bouche appétissante… Je me retiens d’exploser et tu t’en amuses en te délectant de cette frustration sans fermer la bouche…
Reviens sur moi belle amazone, capturer mon âme en t’empalant de nouveau sur la manifestation de mon plaisir et prendre un malin plaisir à te cambrer langoureusement. Attache-moi à la montée de ton plaisir comme un volcan en éruption sensorielle. Oui, c’est ça, ferme les yeux. Tu rentres en transe, m’entraînant dans ta folie. Laisse moi me délecter de nos plaisirs au bord de l’accomplissement total. Ton cri est une délivrance, le supplice de contenir ma pulsion orgasmique est aussi rude que les quelques coups de bassins que j’ose te donner pour que ta jouissance soit totale. Ton regard bleuté et comblé vient quémander, accompagné d’un mordillement de lèvre, que je m’abandonne en toi à de délicieuses vagues de plaisir brûlantes et humides… Comment te résister, alors que tu viens frissonner contre mon corps, m’apportant la chaleur de tes seins et d’un mot doux. Chaque pulsation est un délicieux présent aux profondeurs de ton intimité… Est-ce là ton ventre et la chaleur de ta peau que je sens lorsque vient la dernière vague ? Alors que tu sembles te délecter de frotter ton épiderme ruisselant de mon bonheur entre nos corps unis ? Tu es la perfection incarnée…
Abandonnes-toi dans mes bras. Je t’accueille volontiers et te sers contre moi. Laisse moi te glisser à l’oreille que ma vie ne sera jamais plus la même après avoir connu pareille délectation. Fait moi le plaisir de ton sourire au creux de mon oreille, d’un soupir d’aise, d’une tendresse inégalée, subjugués par nos ébats, en dehors de l’espace et du temps, le temps d’une nuit ou d’une éternité…
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