INTERDIT!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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INTERDIT!
J’étais venu chez elle. Corinne une connaissance de travail, pour savoir si ça serait possible de mettre plus de prises de courant dans sa buanderie. Elle m’invite alors de la suivre jusqu’à la laverie. Et tout en m’expliquant ce qu’elle espère de ma part, elle sort machinalement du sèche linge une bonne douzaine de petites culottes féminines multicolores, avec des transparences assez coquines. La diversité de la lingerie est intéressante. J’ai un faible pour la rouge toute en mailles transparentes. Pour aussi une en satin rouge. De même pour l’orange très échancrée, aux contours flottants bordés d’un étroit ruban de dentelles.
-Ma lingerie à l’air de vous plaire ? Je me trompe ?
-Effectivement vous avez bon goût !
-Je vous remercie Alain ! J’aimerais bien que mon mari s’en intéresse autant que vous le faite !
-Il a tort !
-Il y a bien longtemps qu’il ne s’intéresse plus à se que je porte. Voyez-vous quarante années que nous sommes ensemble, alors vous pensez ! Ma lingerie est la dernière de ses préoccupations, comme le devoir conjugal d’ailleurs !
Je crois propice de lui apporter un peu de consolation. Surtout qu’elle est charmante cette Corinne. Alors je lâche :
-Je connais beaucoup d’hommes qui auraient voulu avoir la chance d’avoir une femme sexy comme vous l’êtes Corinne, cela ne vous ennuie pas que je vous appelle Corinne ?
-Je vous en prie. Vous en connaissez personnellement au moins un Alain ?
-Parfaitement, Madame… enfin Corinne. Un qui se porterait même volontaire pour assurer les négligences de votre mari.
-Sachez de vous à moi Alain, que cela me travaille depuis un certain temps. Après tout, on n’a qu’une seule vie et je ne suis pas responsable du manque de libido de mon mari. Alors, je viens de penser que je pourrais proposer à votre connaissance un petit arrangement. Enfin s’il me trouve à son goût. Et qu’il sache que je ne suis pas du genre à forcer la main.
Elle n’attend même pas ma réponse. D’un pas pressé elle se dirige vers la porte d’entrée de la buanderie et la ferme.
-Nous serons de ce côté-là plus tranquille. N’est-ce pas Alain, vous êtes d’accords avec moi ?
-Parfaitement Corinne !
Elle prend place sur la table de travaille, et profite de sa position pour se débarrasser de sa culotte. De couleur jaune pipi. Sa toison est da la catégorie, normale. Pas du tout gênée d’être chatte nue. De l’index, elle m’invite de m’approcher.
Sans qu’elle me le demande, je m’agenouille devant son antre. Un léger parfum de marée s’en échappe. Je m’avance. Ne quittant pas le sexe des yeux de la femme. L’excitation monte très vite au fil des secondes. A un moment je la vois glisser un regard vers le centre de mon corps. Ses grandes lèvres baillent laissant voir le trou rose de la vulve.
-Ça l’air de vous plaire ?
-Ça me plait !
Je me saisis de son pied et le porte jusqu’à ma bouche pour l’embrasser mais aussi pour l’humer. Puis je le lèche. Elle se met à geindre.
Je longe sa jambe de petits baisers, et cela jusqu’à atteindre ses fesses. Du bout de ma langue, je frétille sur son orifice étoilé pendant qu’un doigt fureteur se glisse entre ses lèvres pour taquiner son clitoris sorti de son nid.
Elle rejette sa tête en arrière avec un râle prolongé. Je glisse le bout de ma langue jusqu’au vagin suintant. J’introduis plus bas mon pouce force l’entrée de son anus. Puis ma bouche parcoure son entrejambe. Je mordille les bourrelets les grandes lèvres roses et lisses. La corolle chaude et trempée.
Ma langue pénètre de nouveau. En ressort pour balayer les replis humide de la moule et revient m’enfoncer dans le vagin.
Elle quitte notre monde. Molle et brûlante elle est dans son univers de plaisir.
-Oh !... oui !
Elle écarte les cuisses davantage et pousse en avant son sexe contre ma bouche. Elle a un long râle. Les yeux révulsés. La bouche grande ouverte. Des spasmes rapides secouent tout son corps et par brefs reculs convulsifs. Elle inonde mon visage. Je me redresse.
-Putain quel pied ! Que c’était bon se faire sucer la chatte… encore… j’en veux encore… du même tonneau…
Installer sur le plan de travail, nous nous positionnons tête-bêche. Moi le dos contre le bois, alors que Corinne amène sa vulve au-dessus de mon visage. Me couvrant mon corps du sien, pour atteindre ma verge. Dans cette position, elle entame un léchage du gland. Un long frisson prend naissance dans son sexe se disperse dans tout son corps. A la vitesse du courant. Mais, que écrire, quand sa langue entama une chorégraphie démoniaque. J’eus l’impression que toutes mes entrailles se liquéfiaient.
Alors je m’efforce sans trop de mal, de lui rendre l’appareil. Et très vite suite à mes audacieux coups de langue, une source d’un débit exceptionnel prend naissance au plus profond de son vagin pour jaillir hors de sa vulve, tel un torrent de montagne.
Mon visage est souillé des sécrétions que sa chatte éjecte. Cette étreinte dure assez longtemps. Nous avons même expérimentée ensemble, d’autres positions.
Je l’ai même doigté de plusieurs doigts, tant qu’elle était accueillante. Comme j’ai dilaté un peu plus la rondelle, elle aussi bien imbibé. Elle apprécie visiblement. Ses gémissements sont là pour l’attester. D’ailleurs ce ne sont plus des gémissements qui sortent de sa bouche mais des cris de plaisir.
C’est alors que la porte s’ouvre, et une femme fait son apparition. Corinne crache ma queue et se font en excuse. De mon côté, j’ai la main dégoulinante de sécrétion blanche.
- Corinne je compte sur toi pour que tu m’expliques.
- Je n’ai rien à vous expliqué belle-maman. J’étais en train de me donner du plaisir en attendant l’arrivée de votre fils, quand ce monsieur a fait son apparition. Et comme il était beau et que j’étais tellement excité par mes caresses, que je me suis laissé tenté !
Et là, surprise, la belle-mère, commence à se déshabiller et en un rien de temps, elle est carrément nue. Elle avait une toison de poils poivre et sel.
- Je vais en profiter aussi, si vous le voulais bien ?
Sans perdre de temps elle se saisit de ma verge. Démarrant
un va et vient. La belle-mère se met à califourchon sur ma cuisse. Pressant sa chatte contre ma cuisse. Alors qu’elle avance son sexe à la hauteur de ma bouche. J’y plonge la langue avec délice. Aussi légère que je le peux, faisant connaissance avec tous les trésors. Sa mouille est plus acide que celle de sa belle-fille, plus liquide et d'un goût exquis.
La belle-mère est aussi excitable que sa belle-fille. Elle m'enserrer la tête entre ses cuisses au comble de la jouissance. Puis elle écarte sans aménagement sa bru fille, qui me sucer, pour s’installer sur ma queue.
Sa mouille abondante me facilite le passage qui reste tout de même étroite. Je me penche sur l’un de ses seins, dont j’aspire le mamelon entre mes lèvres. Aussitôt, la belle-mère se cambre comme pour mieux offrir sa poitrine à ma gourmandise. Alors que plus bas, au fur et à mesure de sa chevauchée, elle se dilate.
Nous restons, la belle-mère et moi, un long moment à nous enivrer par le désir. Tout en la maintenant intimement plaquée à moi. J’en profite pour lui malaxer les fesses. Les deux rondeurs se façonnent voluptueusement sous mes doigts. Cela m’apporte un peu plus de bonheur intense. Elle suinte de mouille. Mes cuisses en sont couvertes.
La belle-mère donne l'air d'avoir du mal à respirer. Elle halète bouche ouverte. Soudain elle m'agrippe plus fort. Les yeux grands ouverts se plantent dans les miens. Nous sommes bouche contre bouche. Yeux dans les yeux. Je sens son sexe frémir. Me compactant la queue. Ça dure un long moment, avant qu’elle pousse un cri qui me vrille les tympans.
Au point culminant de son orgasme, je n’ai pour ma part pas encore la chance de jouir. Alors s’être informé de ma situation, la voilà qu’elle repart de plus belle. Pour se tétaniser à nouveau, poussant un cri. Elle jouit comme une folle et m'inonde par la même occasion.
C’est en la besognant vigoureusement que j’aperçois sa petite main potelée se glisser discrètement sur la partie supérieure de son minou, avant de s’animer dans un frottis rapide. Je libère un flot imposant de spermatozoïdes.
On reprend notre souffle. Corinne attend se moment pour revenir à la charge.
-Je suis désolée belle-maman. J’espère que cela restera entre nous.
Pour toute réponse la belle-mère s’approche de l’évier, sa belle-fille à ses basques. La belle-mère est de dos mais le spectacle, pour ma libido en tous cas, exprime le sommet d’un érotisme torride.
Légèrement fléchie sur ses jambes courtes, le buste incliné vers l’avant, la croupe suffisamment ouverte. Toujours est-il que, comme j’ai encore mon membre bien raide, je fais quelques pas rapides pour lui introduire, avec la plus grande délicatesse, un bout de ma virilité dans son petit trou. Son hurlement me remplit immédiatement de honte.
-Je suis vraiment désolé, je ne sais pas ce qui m’a prit.
-Je dois avouer que je ne m’attendais pas du tout à ce genre de relation. C’est bien la première fois qu’on veut me le fourrer.
Elle se dandine. Remuant le cul dans tous les seins. Elle donne quelques secousses pour m’avale tout en me massant en même temps. Elle fait palpiter sa rondelle autour de ma queue, sans trop bouger. Je soupire d’aise. Je pousse. Donne des coups de reins. Je me sens gros. Je devine que j’ai affaire à une aventurière. C’est l’occasion de lui en donner, elle, novice de ce genre de relation. Balançant mon bassin, d’avant en arrière. Elle râle, proche de l’évanouissement.
- Oui, vas-y ! Souffle-t-elle.
Puis, comme soulé par ses encouragements, j’accélère le rythme de mes coups de reins, à en perdre le souffle. Elle est prise de quelques convulsions de bonheur. Les cris de jouissance de la belle-mère, déclenche mon propre orgasme.
Mon corps s’arque, je pousse un long gémissement rauque, et mon plaisir jaillit dans l’anus avec une force et une impétuosité qui me paraient presque surnaturelles.
-Alors belle-maman, je peux compter sur toi pour ne rien dire ?
- Grâce à toi j’ai eu un mec qui m’a fait vibrer. J’en suis toute retournée. Quel plaisir j’ai pris…
-Alors c’est pardonner ?
-Cela dépend de ton mec…
-Mais ce n’est pas mon mec, je te l’ai expliqué belle maman, c’est une péripétie…
- Et bien débrouille toi avec lui pour qu’il vienne me satisfaire au moins une fois par semaine.
-Ma lingerie à l’air de vous plaire ? Je me trompe ?
-Effectivement vous avez bon goût !
-Je vous remercie Alain ! J’aimerais bien que mon mari s’en intéresse autant que vous le faite !
-Il a tort !
-Il y a bien longtemps qu’il ne s’intéresse plus à se que je porte. Voyez-vous quarante années que nous sommes ensemble, alors vous pensez ! Ma lingerie est la dernière de ses préoccupations, comme le devoir conjugal d’ailleurs !
Je crois propice de lui apporter un peu de consolation. Surtout qu’elle est charmante cette Corinne. Alors je lâche :
-Je connais beaucoup d’hommes qui auraient voulu avoir la chance d’avoir une femme sexy comme vous l’êtes Corinne, cela ne vous ennuie pas que je vous appelle Corinne ?
-Je vous en prie. Vous en connaissez personnellement au moins un Alain ?
-Parfaitement, Madame… enfin Corinne. Un qui se porterait même volontaire pour assurer les négligences de votre mari.
-Sachez de vous à moi Alain, que cela me travaille depuis un certain temps. Après tout, on n’a qu’une seule vie et je ne suis pas responsable du manque de libido de mon mari. Alors, je viens de penser que je pourrais proposer à votre connaissance un petit arrangement. Enfin s’il me trouve à son goût. Et qu’il sache que je ne suis pas du genre à forcer la main.
Elle n’attend même pas ma réponse. D’un pas pressé elle se dirige vers la porte d’entrée de la buanderie et la ferme.
-Nous serons de ce côté-là plus tranquille. N’est-ce pas Alain, vous êtes d’accords avec moi ?
-Parfaitement Corinne !
Elle prend place sur la table de travaille, et profite de sa position pour se débarrasser de sa culotte. De couleur jaune pipi. Sa toison est da la catégorie, normale. Pas du tout gênée d’être chatte nue. De l’index, elle m’invite de m’approcher.
Sans qu’elle me le demande, je m’agenouille devant son antre. Un léger parfum de marée s’en échappe. Je m’avance. Ne quittant pas le sexe des yeux de la femme. L’excitation monte très vite au fil des secondes. A un moment je la vois glisser un regard vers le centre de mon corps. Ses grandes lèvres baillent laissant voir le trou rose de la vulve.
-Ça l’air de vous plaire ?
-Ça me plait !
Je me saisis de son pied et le porte jusqu’à ma bouche pour l’embrasser mais aussi pour l’humer. Puis je le lèche. Elle se met à geindre.
Je longe sa jambe de petits baisers, et cela jusqu’à atteindre ses fesses. Du bout de ma langue, je frétille sur son orifice étoilé pendant qu’un doigt fureteur se glisse entre ses lèvres pour taquiner son clitoris sorti de son nid.
Elle rejette sa tête en arrière avec un râle prolongé. Je glisse le bout de ma langue jusqu’au vagin suintant. J’introduis plus bas mon pouce force l’entrée de son anus. Puis ma bouche parcoure son entrejambe. Je mordille les bourrelets les grandes lèvres roses et lisses. La corolle chaude et trempée.
Ma langue pénètre de nouveau. En ressort pour balayer les replis humide de la moule et revient m’enfoncer dans le vagin.
Elle quitte notre monde. Molle et brûlante elle est dans son univers de plaisir.
-Oh !... oui !
Elle écarte les cuisses davantage et pousse en avant son sexe contre ma bouche. Elle a un long râle. Les yeux révulsés. La bouche grande ouverte. Des spasmes rapides secouent tout son corps et par brefs reculs convulsifs. Elle inonde mon visage. Je me redresse.
-Putain quel pied ! Que c’était bon se faire sucer la chatte… encore… j’en veux encore… du même tonneau…
Installer sur le plan de travail, nous nous positionnons tête-bêche. Moi le dos contre le bois, alors que Corinne amène sa vulve au-dessus de mon visage. Me couvrant mon corps du sien, pour atteindre ma verge. Dans cette position, elle entame un léchage du gland. Un long frisson prend naissance dans son sexe se disperse dans tout son corps. A la vitesse du courant. Mais, que écrire, quand sa langue entama une chorégraphie démoniaque. J’eus l’impression que toutes mes entrailles se liquéfiaient.
Alors je m’efforce sans trop de mal, de lui rendre l’appareil. Et très vite suite à mes audacieux coups de langue, une source d’un débit exceptionnel prend naissance au plus profond de son vagin pour jaillir hors de sa vulve, tel un torrent de montagne.
Mon visage est souillé des sécrétions que sa chatte éjecte. Cette étreinte dure assez longtemps. Nous avons même expérimentée ensemble, d’autres positions.
Je l’ai même doigté de plusieurs doigts, tant qu’elle était accueillante. Comme j’ai dilaté un peu plus la rondelle, elle aussi bien imbibé. Elle apprécie visiblement. Ses gémissements sont là pour l’attester. D’ailleurs ce ne sont plus des gémissements qui sortent de sa bouche mais des cris de plaisir.
C’est alors que la porte s’ouvre, et une femme fait son apparition. Corinne crache ma queue et se font en excuse. De mon côté, j’ai la main dégoulinante de sécrétion blanche.
- Corinne je compte sur toi pour que tu m’expliques.
- Je n’ai rien à vous expliqué belle-maman. J’étais en train de me donner du plaisir en attendant l’arrivée de votre fils, quand ce monsieur a fait son apparition. Et comme il était beau et que j’étais tellement excité par mes caresses, que je me suis laissé tenté !
Et là, surprise, la belle-mère, commence à se déshabiller et en un rien de temps, elle est carrément nue. Elle avait une toison de poils poivre et sel.
- Je vais en profiter aussi, si vous le voulais bien ?
Sans perdre de temps elle se saisit de ma verge. Démarrant
un va et vient. La belle-mère se met à califourchon sur ma cuisse. Pressant sa chatte contre ma cuisse. Alors qu’elle avance son sexe à la hauteur de ma bouche. J’y plonge la langue avec délice. Aussi légère que je le peux, faisant connaissance avec tous les trésors. Sa mouille est plus acide que celle de sa belle-fille, plus liquide et d'un goût exquis.
La belle-mère est aussi excitable que sa belle-fille. Elle m'enserrer la tête entre ses cuisses au comble de la jouissance. Puis elle écarte sans aménagement sa bru fille, qui me sucer, pour s’installer sur ma queue.
Sa mouille abondante me facilite le passage qui reste tout de même étroite. Je me penche sur l’un de ses seins, dont j’aspire le mamelon entre mes lèvres. Aussitôt, la belle-mère se cambre comme pour mieux offrir sa poitrine à ma gourmandise. Alors que plus bas, au fur et à mesure de sa chevauchée, elle se dilate.
Nous restons, la belle-mère et moi, un long moment à nous enivrer par le désir. Tout en la maintenant intimement plaquée à moi. J’en profite pour lui malaxer les fesses. Les deux rondeurs se façonnent voluptueusement sous mes doigts. Cela m’apporte un peu plus de bonheur intense. Elle suinte de mouille. Mes cuisses en sont couvertes.
La belle-mère donne l'air d'avoir du mal à respirer. Elle halète bouche ouverte. Soudain elle m'agrippe plus fort. Les yeux grands ouverts se plantent dans les miens. Nous sommes bouche contre bouche. Yeux dans les yeux. Je sens son sexe frémir. Me compactant la queue. Ça dure un long moment, avant qu’elle pousse un cri qui me vrille les tympans.
Au point culminant de son orgasme, je n’ai pour ma part pas encore la chance de jouir. Alors s’être informé de ma situation, la voilà qu’elle repart de plus belle. Pour se tétaniser à nouveau, poussant un cri. Elle jouit comme une folle et m'inonde par la même occasion.
C’est en la besognant vigoureusement que j’aperçois sa petite main potelée se glisser discrètement sur la partie supérieure de son minou, avant de s’animer dans un frottis rapide. Je libère un flot imposant de spermatozoïdes.
On reprend notre souffle. Corinne attend se moment pour revenir à la charge.
-Je suis désolée belle-maman. J’espère que cela restera entre nous.
Pour toute réponse la belle-mère s’approche de l’évier, sa belle-fille à ses basques. La belle-mère est de dos mais le spectacle, pour ma libido en tous cas, exprime le sommet d’un érotisme torride.
Légèrement fléchie sur ses jambes courtes, le buste incliné vers l’avant, la croupe suffisamment ouverte. Toujours est-il que, comme j’ai encore mon membre bien raide, je fais quelques pas rapides pour lui introduire, avec la plus grande délicatesse, un bout de ma virilité dans son petit trou. Son hurlement me remplit immédiatement de honte.
-Je suis vraiment désolé, je ne sais pas ce qui m’a prit.
-Je dois avouer que je ne m’attendais pas du tout à ce genre de relation. C’est bien la première fois qu’on veut me le fourrer.
Elle se dandine. Remuant le cul dans tous les seins. Elle donne quelques secousses pour m’avale tout en me massant en même temps. Elle fait palpiter sa rondelle autour de ma queue, sans trop bouger. Je soupire d’aise. Je pousse. Donne des coups de reins. Je me sens gros. Je devine que j’ai affaire à une aventurière. C’est l’occasion de lui en donner, elle, novice de ce genre de relation. Balançant mon bassin, d’avant en arrière. Elle râle, proche de l’évanouissement.
- Oui, vas-y ! Souffle-t-elle.
Puis, comme soulé par ses encouragements, j’accélère le rythme de mes coups de reins, à en perdre le souffle. Elle est prise de quelques convulsions de bonheur. Les cris de jouissance de la belle-mère, déclenche mon propre orgasme.
Mon corps s’arque, je pousse un long gémissement rauque, et mon plaisir jaillit dans l’anus avec une force et une impétuosité qui me paraient presque surnaturelles.
-Alors belle-maman, je peux compter sur toi pour ne rien dire ?
- Grâce à toi j’ai eu un mec qui m’a fait vibrer. J’en suis toute retournée. Quel plaisir j’ai pris…
-Alors c’est pardonner ?
-Cela dépend de ton mec…
-Mais ce n’est pas mon mec, je te l’ai expliqué belle maman, c’est une péripétie…
- Et bien débrouille toi avec lui pour qu’il vienne me satisfaire au moins une fois par semaine.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'adore. Dire que je n'ai pas eu le courage de vivre cette situation jusqu'au bout...un regret.. c'est sûr.
Merci pour cette histoire très excitante
Rudy
Merci pour cette histoire très excitante
Rudy
trop fort