Intervention brève et saillante…Les jeux sont faits…
Récit érotique écrit par Gouineur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2015 dans la catégorie Plus on est
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Intervention brève et saillante…Les jeux sont faits…
Intervention brève et saillante…Les jeux sont faits…
Ça sert à quoi de pleurer ?
Je viens de passer le cap de mes 38 ballais, je me suis offerte une bouteille de champagne pour moi toute seule.
En plus j’ai perdue mon emploi.
La boîte a fait faillite. 2016 employés de la même enseigne.
Pas un seul repreneur à l’horizon.
Je ne m’empresse pas pour l’instant de trouver un autre poste.
Voilà, deux cousines s’inscrivent chez moi pour faire un stage obligatoire de 14 jours, imposé comme reconversion par une agence de pôle-emploi.
Deux chics nanas 18/20 ans que je voyais seulement aux fêtes familiales, jolis bouille.
Je leurs attribue la chambre d’amis, à droit de l’entrée, à coté la 2ème salle de bain.
Nous sommes à Bordeaux ; l’appartement je l’ai hérité de mes parents.
Au troisième jour, sensé d’être ailleurs, je suis rentrée sur la pointe de mes pieds.
La porte de leur chambre ouverte, j’ai fus surprise par leur étreinte lesbienne houleuse.
Plutôt connue comme une croqueuse de bite, j’étais ébahie par cette scène. J’ai restais figé au pas de la porte, voir ce magnifique cunnilingus qua la plus âgée donnait à la cadette… ébahie par la tendresse qui fusait dans la pièce…surprise les découvrir en lesbiennes…étonnée de tant de remues dans mon bas ventre.
Les gémissements ont été martelant dans ma tête d’hétéro… mais jamais une femme m’avait encore touchée de telle sorte…Il va de soit que j’ai du retenir ma mouille qui commençait à s’écoule au long de mes cuisses.
Entendre ses cris de bonheurs… voir cette beauté de vulve offerte à l’assouvissement.
Des frissons parcouraient mon corps.
L’ainée se caressait, les deux avaient leurs intimités épilées, lèvres charnues…elles clamaient malgré l’emploi, l’innocence pure…une scène de très grande beauté et aphrodisiaque, exaltante…Elles eussent à peine surprises, me découvrant, me faisaient signe d’entrer… elles m’effeuillent à leurs égale, me couchant sur le lit, écartant mes jambes…leurs langues parcouraient mon corps… des nouvelle sensations s’ouvrent à moi… impensable bonheur, une langue chaude s’immisçait dans mon antre…oh mon dieu…j’ai fus portée aux cieux.
Mots inutiles.
L’étreinte angélique, saphique honorant m’accapare… éteignant mon jugement aveugle auparavant … bon dieu, pourquoi m’ai je refusé à un tel bonheur… Pourquoi seulement ? Pourquoi, pourquoi ?
Elles eussent données, transmettre tous les secrets façonnés, anatomie semblable à découvrir, dont seule une femme y parvint…
J’aurai voulu me donner une baffe pour ma stupidité, d’avoir passé 38 ans dans l’ignorance totale … passée à coté cette victoire d’assouvissement ahurissante.
Et cette grandeur de tendresse qui l’accompagne, rien avoir avec une bite cinglante.
Je m’en voulais à mort, ma clapette de vulve a été pourvue par deux bouches savantes, j’ai profitais et laissais aller, mains, langues d’expertes, démonstratrices zélées, avérées…je leurs chantais plaisirs…mon dieu, mon dieu…j’avais le vertige !
Toutes bonnes choses prennent fin un jour. Mes cousines ont fini leurs stages et elles sont parties. Promesses échangées…on va se revoir…c’est sûr !
Quoi qu’il arrive, quelles se marient, quelles aient des enfants…Ma chambres d’amis leurs reste ouvertes…quoi qu’il arrive !
Après mon expérience avec mes démonstratrices, je me suis calmée, mais je cherche un défi tranquillement. Cette fois au masculin ! Je m’y emploi !
Mes attribues féminine mont été mises à durs épreuves, ma façon gourmande de me donner en spectacle, ne restait pas inaperçu.
J’ai pu relever en plein bistro cinq gaillards en train de jouer aux cartes. Je me suis approché d’eux :
- Les jeux sont faits ? Il n’y a rien à boire dans cette boîte les gars !
En disant ça, j’ai tiré la tête du premier dans mes nibards, les autres gueulaient la jalousie.
D’un coup je me vois soulevé et projeté sur la table, les cartes giclaient au sol, ainsi leurs cannettes. Personne d’autre dans la salle, à part le patron. Ça en fait six !
J’ai eu droit aux insultes salasses qui me chauffaient à bloc.
- C’est tout ce que vous avez à dire les loubards, il n’y a pas un vrai mec parmi vous ?
Mon insulte a réussi, les six ont commences à me départager. Mes habilles volaient dans tous les coins de la salle. En une minute, mon corps ainsi libéré de toutes contraintes se voyait devenir leurs nouveaux jeux. Sentir les mains fouilleuses ne faisait qu’aiguiser mon appétit vorace de gourmandises. Chaque nichon départagé entre deux suceurs, un qui se roulait une pelle avec ma langue, un quatrième et cinquième qui se partageait ma grotte à bites et clitoris, le sixième se branchait sur mon p’tit trou. J’ai fus soulevé et masturbé par tous mes orifices, je m’accrochais à deux têtes. Je sais que c’est du délire…du fantasme,…. Eh ben, je l’ai eu. Je l’ai eu par mérite ! Les gaillards m’ont pourvus tous ce qu’on peut s’imaginer. Une main dominatrice s’emparait de la vulve, enfournait la main en entière dans ma cave, un museau embouchait mon clitoris, lui faisait voir toutes les couleurs et l’étriquer du cul en faisait plus que son devoir. On dirait qu’ils étaient en train de me démonter, pièce par pièce. Au bout de trois minutes j’ai chantais une Arie…leurs entrains s’amplifiaient fur et à mesure que j’imitais « la reine de nuit » de la ‘Flute enchantée’…
- Alors, c’est pour quand, faites-moi voir vos flutes, sortez-les…niquez-moi, pauvre imbéciles !
Ils tiraient au sort, celui qui a l’as, était gagnant. J’ai eu le poireau de l’as, oh quel bonheur de se faire repousser la matrice par un chibre bastonneur de taille. Il n’avait qu’à faire ‘schloffe- schloffe’ comme dans du beurre, le marécage était à lui.
J’aurais voulu que les six entre en moi, mais le bon-dieu, ne l’a prévu guère ! Dommage ! De temps à autre, ils mon fait ingurgiter cul-sec un p’tit verre de la grappa pour me rendre plus docile. Eh ben, non, c’était le contraire, j’astiquais deux gourdins à tous de rôle, je les ai sailli, d’autre s’installèrent. Un gars c’est assis sur une chaise, sans ménagement aucun autre qu’un crachat dans la main, il m’épousait l’intestin, un autre pilonnait ma clapette. Personne s’occupait à mettre du latex, il n’y avait pas le temps à perdre.
Le premier qui m’a cinglé se faisait relayer de suite par le prochain. Les bites à branler faisaient le tour. Soudainement on me tire la tête à hauteur de la table, sans demander, un braquemart s’enfilait dans mon gosier, écrasant la luette grave. Ce n’est pas vraiment ma bouche qui a trinquée, mais cette colonne d’une longueur à plus en finir, s’attaquait directement à mon œsophage. L’effluve saillant gigantesque à failli m’étrangler. J’ai fus vite redressé et ré-oxygénée pour leurs assauts puissent continuer.
Oui, mon bonheur fut comblé, mes trois trous ont été abusés, selon mes envies, les plus hallucinantes.
Je suis rentré dans ce bistro malfamé à 14heures. Il est 15heures passés et je n’ai pas encore vu l’hombre la mi-temps arrivée. Le patron, par précaution, avait fermé l’établissement, pas seulement coté public, aussi coté ‘privé’ ! Va savoir à quoi ça sert ! Il a peut-être une bourgeoise qu’il attend de l’autre coté.
Je ne me suis pas trompé de bistro, ça fait quelques jours que je l’observe du coté café en face. Il me fallait des baraques, des costaux pour mon entreprise. Ma cible était bonne, avérant payante !
Je me baigne dans la nostalgie. Oui, il ya de quoi d’écrire ses mémoires. Mon aventure saphique est bien ancrée dans ma tête. J’en ai envie d’une nouvelle. Puisque j’ai été initiée en pluriel…il n’y a que ça !
J’ai la vue sur une voisine –petite bombasse- brune, divorcée sans enfants, 1m70, bien proportionnée, beau visage, il me semble très chaude, vue son regard qui plonge chaque fois dans mon décolleté quand je la croise. Apparemment sans attaches.
Il faut dire que mes lo-loches pèsent à un seul bien 4/5 kg sur une balance ; elle a à peine un peu moins, mais bien droit.
Maintenant que je suis ouvert à gouiner… elle, pour moi c’est acquit.
Mais il me faut de l’accompagnement ! Il me faut la jeunesse !
Je vais roder un peu dans le quartier de l’université…à l’internationale, oui !
Une suédoise peut-être…et une Latina, ça me plairai !
J’ai trouvé une étudiante, mais qui s’avérait « gagnante » pour arrondir ses fins de mois. Belle prestation…mais je ne veux pas claquer mes économies pour cela. Elle m’a donnée le mobile d’une portoricaine lesbienne, la vingtaine.
J’ai téléphonée, elle m’a demandée mes mensurations, en est d’accord de passer à l’essaie, fin de semaine.
En rentrant, je tombe sur ‘cette fameuse voisine’. On prend l’ascenseur ensemble, ses yeux rivés sur mes nichons. J’ai pris sa tête et j’ai plongé son visage dans mes atouts bustier.
Comme j’avais prédis, affaire réglé, elle me suit dans l’appartement. Quand elle en est sortie comblée, la ‘Conchita’ m’a laissé l’adresse de sa nièce de son bord : gouine, blonde, coquette, jolie, bon, que 18 ans, quelle chaperonnait. Il faut juste la chercher à 10 km, et à l’occasion ramener, pour les excuses ma ‘Conchita’, s’en occupe. Voilà mon quatuor est constitué.
J’ai l’intension de passer de défi en défi. Ça me convient. Ça me chausse !
Je vais faire de moi une qualité bordelaise appréciée par des connaisseurs/euses, d’un genre de cépage nouveau !
PS : Presque tout est pure fiction, presque…Bises, le Gouineur pour vous divertir
Ça sert à quoi de pleurer ?
Je viens de passer le cap de mes 38 ballais, je me suis offerte une bouteille de champagne pour moi toute seule.
En plus j’ai perdue mon emploi.
La boîte a fait faillite. 2016 employés de la même enseigne.
Pas un seul repreneur à l’horizon.
Je ne m’empresse pas pour l’instant de trouver un autre poste.
Voilà, deux cousines s’inscrivent chez moi pour faire un stage obligatoire de 14 jours, imposé comme reconversion par une agence de pôle-emploi.
Deux chics nanas 18/20 ans que je voyais seulement aux fêtes familiales, jolis bouille.
Je leurs attribue la chambre d’amis, à droit de l’entrée, à coté la 2ème salle de bain.
Nous sommes à Bordeaux ; l’appartement je l’ai hérité de mes parents.
Au troisième jour, sensé d’être ailleurs, je suis rentrée sur la pointe de mes pieds.
La porte de leur chambre ouverte, j’ai fus surprise par leur étreinte lesbienne houleuse.
Plutôt connue comme une croqueuse de bite, j’étais ébahie par cette scène. J’ai restais figé au pas de la porte, voir ce magnifique cunnilingus qua la plus âgée donnait à la cadette… ébahie par la tendresse qui fusait dans la pièce…surprise les découvrir en lesbiennes…étonnée de tant de remues dans mon bas ventre.
Les gémissements ont été martelant dans ma tête d’hétéro… mais jamais une femme m’avait encore touchée de telle sorte…Il va de soit que j’ai du retenir ma mouille qui commençait à s’écoule au long de mes cuisses.
Entendre ses cris de bonheurs… voir cette beauté de vulve offerte à l’assouvissement.
Des frissons parcouraient mon corps.
L’ainée se caressait, les deux avaient leurs intimités épilées, lèvres charnues…elles clamaient malgré l’emploi, l’innocence pure…une scène de très grande beauté et aphrodisiaque, exaltante…Elles eussent à peine surprises, me découvrant, me faisaient signe d’entrer… elles m’effeuillent à leurs égale, me couchant sur le lit, écartant mes jambes…leurs langues parcouraient mon corps… des nouvelle sensations s’ouvrent à moi… impensable bonheur, une langue chaude s’immisçait dans mon antre…oh mon dieu…j’ai fus portée aux cieux.
Mots inutiles.
L’étreinte angélique, saphique honorant m’accapare… éteignant mon jugement aveugle auparavant … bon dieu, pourquoi m’ai je refusé à un tel bonheur… Pourquoi seulement ? Pourquoi, pourquoi ?
Elles eussent données, transmettre tous les secrets façonnés, anatomie semblable à découvrir, dont seule une femme y parvint…
J’aurai voulu me donner une baffe pour ma stupidité, d’avoir passé 38 ans dans l’ignorance totale … passée à coté cette victoire d’assouvissement ahurissante.
Et cette grandeur de tendresse qui l’accompagne, rien avoir avec une bite cinglante.
Je m’en voulais à mort, ma clapette de vulve a été pourvue par deux bouches savantes, j’ai profitais et laissais aller, mains, langues d’expertes, démonstratrices zélées, avérées…je leurs chantais plaisirs…mon dieu, mon dieu…j’avais le vertige !
Toutes bonnes choses prennent fin un jour. Mes cousines ont fini leurs stages et elles sont parties. Promesses échangées…on va se revoir…c’est sûr !
Quoi qu’il arrive, quelles se marient, quelles aient des enfants…Ma chambres d’amis leurs reste ouvertes…quoi qu’il arrive !
Après mon expérience avec mes démonstratrices, je me suis calmée, mais je cherche un défi tranquillement. Cette fois au masculin ! Je m’y emploi !
Mes attribues féminine mont été mises à durs épreuves, ma façon gourmande de me donner en spectacle, ne restait pas inaperçu.
J’ai pu relever en plein bistro cinq gaillards en train de jouer aux cartes. Je me suis approché d’eux :
- Les jeux sont faits ? Il n’y a rien à boire dans cette boîte les gars !
En disant ça, j’ai tiré la tête du premier dans mes nibards, les autres gueulaient la jalousie.
D’un coup je me vois soulevé et projeté sur la table, les cartes giclaient au sol, ainsi leurs cannettes. Personne d’autre dans la salle, à part le patron. Ça en fait six !
J’ai eu droit aux insultes salasses qui me chauffaient à bloc.
- C’est tout ce que vous avez à dire les loubards, il n’y a pas un vrai mec parmi vous ?
Mon insulte a réussi, les six ont commences à me départager. Mes habilles volaient dans tous les coins de la salle. En une minute, mon corps ainsi libéré de toutes contraintes se voyait devenir leurs nouveaux jeux. Sentir les mains fouilleuses ne faisait qu’aiguiser mon appétit vorace de gourmandises. Chaque nichon départagé entre deux suceurs, un qui se roulait une pelle avec ma langue, un quatrième et cinquième qui se partageait ma grotte à bites et clitoris, le sixième se branchait sur mon p’tit trou. J’ai fus soulevé et masturbé par tous mes orifices, je m’accrochais à deux têtes. Je sais que c’est du délire…du fantasme,…. Eh ben, je l’ai eu. Je l’ai eu par mérite ! Les gaillards m’ont pourvus tous ce qu’on peut s’imaginer. Une main dominatrice s’emparait de la vulve, enfournait la main en entière dans ma cave, un museau embouchait mon clitoris, lui faisait voir toutes les couleurs et l’étriquer du cul en faisait plus que son devoir. On dirait qu’ils étaient en train de me démonter, pièce par pièce. Au bout de trois minutes j’ai chantais une Arie…leurs entrains s’amplifiaient fur et à mesure que j’imitais « la reine de nuit » de la ‘Flute enchantée’…
- Alors, c’est pour quand, faites-moi voir vos flutes, sortez-les…niquez-moi, pauvre imbéciles !
Ils tiraient au sort, celui qui a l’as, était gagnant. J’ai eu le poireau de l’as, oh quel bonheur de se faire repousser la matrice par un chibre bastonneur de taille. Il n’avait qu’à faire ‘schloffe- schloffe’ comme dans du beurre, le marécage était à lui.
J’aurais voulu que les six entre en moi, mais le bon-dieu, ne l’a prévu guère ! Dommage ! De temps à autre, ils mon fait ingurgiter cul-sec un p’tit verre de la grappa pour me rendre plus docile. Eh ben, non, c’était le contraire, j’astiquais deux gourdins à tous de rôle, je les ai sailli, d’autre s’installèrent. Un gars c’est assis sur une chaise, sans ménagement aucun autre qu’un crachat dans la main, il m’épousait l’intestin, un autre pilonnait ma clapette. Personne s’occupait à mettre du latex, il n’y avait pas le temps à perdre.
Le premier qui m’a cinglé se faisait relayer de suite par le prochain. Les bites à branler faisaient le tour. Soudainement on me tire la tête à hauteur de la table, sans demander, un braquemart s’enfilait dans mon gosier, écrasant la luette grave. Ce n’est pas vraiment ma bouche qui a trinquée, mais cette colonne d’une longueur à plus en finir, s’attaquait directement à mon œsophage. L’effluve saillant gigantesque à failli m’étrangler. J’ai fus vite redressé et ré-oxygénée pour leurs assauts puissent continuer.
Oui, mon bonheur fut comblé, mes trois trous ont été abusés, selon mes envies, les plus hallucinantes.
Je suis rentré dans ce bistro malfamé à 14heures. Il est 15heures passés et je n’ai pas encore vu l’hombre la mi-temps arrivée. Le patron, par précaution, avait fermé l’établissement, pas seulement coté public, aussi coté ‘privé’ ! Va savoir à quoi ça sert ! Il a peut-être une bourgeoise qu’il attend de l’autre coté.
Je ne me suis pas trompé de bistro, ça fait quelques jours que je l’observe du coté café en face. Il me fallait des baraques, des costaux pour mon entreprise. Ma cible était bonne, avérant payante !
Je me baigne dans la nostalgie. Oui, il ya de quoi d’écrire ses mémoires. Mon aventure saphique est bien ancrée dans ma tête. J’en ai envie d’une nouvelle. Puisque j’ai été initiée en pluriel…il n’y a que ça !
J’ai la vue sur une voisine –petite bombasse- brune, divorcée sans enfants, 1m70, bien proportionnée, beau visage, il me semble très chaude, vue son regard qui plonge chaque fois dans mon décolleté quand je la croise. Apparemment sans attaches.
Il faut dire que mes lo-loches pèsent à un seul bien 4/5 kg sur une balance ; elle a à peine un peu moins, mais bien droit.
Maintenant que je suis ouvert à gouiner… elle, pour moi c’est acquit.
Mais il me faut de l’accompagnement ! Il me faut la jeunesse !
Je vais roder un peu dans le quartier de l’université…à l’internationale, oui !
Une suédoise peut-être…et une Latina, ça me plairai !
J’ai trouvé une étudiante, mais qui s’avérait « gagnante » pour arrondir ses fins de mois. Belle prestation…mais je ne veux pas claquer mes économies pour cela. Elle m’a donnée le mobile d’une portoricaine lesbienne, la vingtaine.
J’ai téléphonée, elle m’a demandée mes mensurations, en est d’accord de passer à l’essaie, fin de semaine.
En rentrant, je tombe sur ‘cette fameuse voisine’. On prend l’ascenseur ensemble, ses yeux rivés sur mes nichons. J’ai pris sa tête et j’ai plongé son visage dans mes atouts bustier.
Comme j’avais prédis, affaire réglé, elle me suit dans l’appartement. Quand elle en est sortie comblée, la ‘Conchita’ m’a laissé l’adresse de sa nièce de son bord : gouine, blonde, coquette, jolie, bon, que 18 ans, quelle chaperonnait. Il faut juste la chercher à 10 km, et à l’occasion ramener, pour les excuses ma ‘Conchita’, s’en occupe. Voilà mon quatuor est constitué.
J’ai l’intension de passer de défi en défi. Ça me convient. Ça me chausse !
Je vais faire de moi une qualité bordelaise appréciée par des connaisseurs/euses, d’un genre de cépage nouveau !
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