Intimité partagée - histoire érotique

C’est avec un plaisir un peu grisant que je te livre un nouveau petit compte-rendu
d’un petit moment personnel.. Merci, ma très chère lectrice, pour ta lecture
attentive et bienveillante, car c’est un vrai bonheur que de me livrer sans détour à
toi.
Au moment même où je m’installe, je ressens avec force l'idée que je suis sur le point
de te livrer ces instants et cela m’excite et me gêne délicieusement en même temps.
J’ai envie de me sentir mis à nu, regardé, observé.. Cela me donne envie d’être un
peu cru aussi dans mes descriptions..
Mais j'ai envie de commencer.. Mon sexe bande déjà doucement devant moi. Je le
voudrais plus dur et plus raide, alors je le prends sans plus attendre dans mon poing
et le sens durcir dans ma main. Je laisse mon plaisir monter doucement. Je regarde mon
sexe encore doux et tendre se transformer petit à petit en une queue en érection. Mon
gland se découvre et je le vois, au dessus de mon poing, lisse et tentant, ses formes
douces et pourtant si indécentes trahissant mon excitation. Sans bouger ma main, je
resserre un peu mon étreinte et tend ma queue, je la regarde palpiter et transpercer
mon poing en une masturbation immobile. Je voudrais commencer à me caresser à pleine
main, mais j’ai aussi envie de temporiser encore un peu.
Je relâche ma queue et la regarde bander entre mes cuisses. Mon regard se porte sur
mes petites couilles, elles-aussi indécentes sous ma queue en érection. J'écarte un
peu mes jambes et les caresse d’une main enveloppante. Elles roulent doucement sous ma
main pendant que le plaisir monte par longues vagues jusqu'a l'extrémité de mon sexe.
J'éprouve soudain une petite bouffée de honte à l’idée de me décrire dans une telle
situation, mais ma gêne s’accompagne d’une intense excitation qui me pousse à
continuer..Alors j’écarte encore un peu mes cuisses et, dévoilant un peu plus mon
entrejambe, je continue à masser doucement mes couilles en un geste qui ne cache rien
de ma queue, tendue de plaisir juste au-dessus. Puis n’y tenant plus, je remonte ma
main, bien décidé à m’occuper enfin de ma queue…
Mon doigt glisse lentement sur le dessous de mon sexe gonflé, savoure sa dureté et
remonte jusqu’à son extrémité. Je referme mes doigts en forme d’anneau et, sans trop
les resserrer, commence à branler doucement mon gland. Très vite, il irradie d’un
plaisir presque insoutenable à chaque va-et-vient. Je fais varier les mouvements de
mes doigts, insistant parfois sur le dessus lisse et doux, parfois sur les deux petits
lobes en dessous. Je regarde longuement mes doigts fins et familiers monter et
descendre en suivant les formes de mon gland, porté par ma queue devenue rigide.
Mes fantasmes montent aussi puissamment et me font prendre conscience avec délice de
la situation que je te fais partager. Ils me rappellent en permanence que je suis en
train de caresser mon sexe, de me masturber, doucement mais crument, quasiment devant
le regard de ma lectrice.. Ce fantasme s’ajoute au plaisir déjà presque insoutenable
de mes caresses et un flot d’images vient se juxtaposer à celle de ma queue. Je me
laisse emporter par ces images féminines quelques instants. Les scènes qui défilent
dans mon esprit sont si chaudes, si crues et si excitantes qu’elles me font bander
encore plus et me poussent à me caresser encore et encore. Je voudrais te les décrire
mais il me faudrait un texte entier pour cela..
Mon gland est au supplice et je recentre ma main sur la base de mon sexe. Je me
caresse avec un mouvement plus lent et plus ample, sur toute la longueur de ma queue.
Je ressens en même temps toute la douceur de mes caresses et le plaisir cru et intense
de me sentir quasiment exhibé, tenant à la main ma queue raide et en érection. Mmm…
Que c’est bon… Je voudrais continuer à me branler comme cela pendant des heures…..
Je suis envahi d’un plaisir long et sensuel pendant que mon poing coulisse sur ma
queue. Mes doigts suivent chacune de ses formes, qu’ils connaissent si bien. Ils
épousent étroitement tout mon membre lorsque ma main remonte et s’ouvrent légèrement
en passant sur mon gland. Je les laisse effleurer mon gland pendant qu’il vient
doucement glisser dans la paume de ma main. De temps à autre, je perds le contrôle
pendant quelques secondes et ma main accélère aussitôt ses mouvements, masturbant mon
sexe parfois à la limite de la jouissance. Mais je veux me retenir encore un peu tant
c’est agréable.
Malgré mes fantasmes qui me tourmentent, je veux continuer à me branler doucement
comme cela encore un peu. Mes yeux sont rivés sur ma queue, comme pour te donner la
possibilité de me regarder me masturber, de m’imaginer avec la queue dressée dans ma
main. Je regarde le cylindre de mon sexe disparaitre dans mon poing, je regarde mon
gland tendu au-dessus, j’essaie de capter chaque détail pour me sentir totalement mis
à nu. Je vois en arrière-plan mes cuisses bouger au rythme de ma masturbation, et mon
bassin se soulever comme pour pénétrer plus profondément l’orifice qu’est devenue ma
main.
Je sens mes mouvements m’échapper et je me laisse déborder par le plaisir. Je ne
résiste plus au bonheur de me branler avec force. Je suis partagé entre les fantasmes
qui m’envahissent et l’envie de garder mon esprit sur ce sentiment d’être exhibé. Les
images qui me viennent sont terriblement excitantes, mais l’idée de me décrire devant
toi comme cela en tout impudeur me fait elle aussi défaillir de plaisir. Je vois
défiler tout à tour des images de pénétrations anales, et l’image réelle de ma main
masturbant mon propre sexe en mouvements incontrôlés. Mon esprit ne cesse de passer de
l’une à l’autre, et mon sexe se tend encore d’excitation sous les caresses de ma main.
Jusqu’au bout, je reste conscient de ce que je suis en train de faire, conscient que
je me branle désormais sans retenue, conscient que je suis au bord de l’orgasme. Je
voudrais ressentir encore plus l’indécence du moment mais je ne contrôle plus rien, ma
main s’entrouvre et branle à toute vitesse le dessous de mon gland. Je sens venir un
orgasme puissant, porté par mes mouvements et mes pensées. Puis brusquement, je sens
clairement un jet de plaisir traverser ma queue en un éclair et venir gicler de mon
gland en feu. Je m’abandonne à ton regard pendant que l’orgasme me secoue et que des
vagues brulantes envahissent mon gland à chaque poussée. Ma main s’affole et
accompagne chacun de mes jets de sperme, jusqu’aux derniers que je me force à éjaculer
par pur plaisir pour mon gland et pour m’offrir jusqu’au bout au récit. Je
m’immobilise enfin, submergé de plaisir et de honte mêlés, tenant toujours ma queue,
et regrettant un peu, en un ultime fantasme, de ne pas avoir été réellement sous tes
yeux pendant que cet orgasme délicieux me submergeait..