Invitation spéciale - 2
Récit érotique écrit par Rain [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2011 dans la catégorie Plus on est
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Invitation spéciale - 2
23h30. Tout le monde avait l’estomac qui criait famine et alla s’attabler. Le repas fut servit par un homme aux cheveux grisonnant et au ventre bedonnant. Il ne portait pas de masque et apporta chaque plat avec la grâce et la classe d’un majordome de maison de maître. Les discutions restèrent sur le thème de la sexualité et tout le monde participa à la conversation en s’en délectant. Cela faisait longtemps qu’Elisa ne s’était pas sentie aussi bien. Elle était au milieu de parfaits inconnus qui soi-disant savaient qui elle était. Pourtant elle n’avait reconnu aucun timbre de voix et aucune paire de mains. Elle adorait les mains des hommes ! C’était ce qu’elle regardait en premier chez eux. Elle appréciait surtout quand ils attrapaient ses fesses à pleine main en la baisant sauvagement. Cela la rendait toute chose.
A la fin du repas les hommes sirotaient du Cognac et riaient beaucoup. Elisa n’était à côté d’aucune des femmes. Elle avait été placée évidemment en bout de table, une sorte d’invité d’honneur, à qui malheureusement plus personne ne parlait depuis un bout de temps. Elle alluma une cigarette lorsque la femme en mini-jupe se leva et vint s’asseoir sur les genoux d’un des messieurs, croisant ses deux cuissardes dans le dos de la chaise et lui enlaçant le cou. Ils se trouvaient dans la diagonale opposée à Elisa. L’homme recula sa chaise pour que la femme soit plus à l’aise et ils unirent leurs lèvres et leur langue en un langoureux baiser. Tout le monde cessa de discuter et observa le spectacle. A ce moment là, la fille à la robe fendue grimpa sur la table et jeta ses talons aiguilles à terre. Encouragée par les hommes, elle se mit à onduler du bassin et à danser sur la musique rock You really got me des Kinks qui sortait des enceintes. Puis elle dégrafa sa robe et la laissa doucement coulisser le long de ses épaules, tout en cachant sa poitrine avec les mains, ce qui précipita la chute de la robe qui descendit jusqu’à ses chevilles. Elle la jeta négligemment du bout du pied sur un des hommes. Puis elle ouvrit les mains, révélant une belle paire de seins volumineux aux tétons turgescents, et les fit courir jusqu’à son string qu’elle empoigna avec les pouces afin de le retirer. Elle l’envoya sur un homme qui le saisit au vol et le porta à ses narines pour sentir son odeur.
Elisa n’en croyait pas ses yeux ! Ces filles étaient de vraies délurées et cela lui faisait un peu peur, et en même temps, l’excitait pas mal. Elle savait que son entrejambe ruisselait et elle aurait voulu se caresser, enfoncer des doigts dans sa chatte qu’elle avait entièrement rasée dans le bain. La femme sur la table tournait maintenant le dos aux hommes exhibant ses fesses qu’elle écartait des deux mains tout en se dodelinant sur la musique rythmée. Elisa ne pouvait s’empêcher de fixer son pubis lisse tatoué d’une rose en son centre, ainsi que le bijou qui traversé son clitoris : Une boule argentée. Une idée saugrenue lui traversa alors l’esprit. Elle se serait bien vue en train de jouer avec la langue sur ce pubis lisse, puis elle descendrait vers le piercing et l’attraperait avec les dents. Ensuite elle…
Elle venait de se rendre compte que la fille à la mini-jupe avait disparu. Rapidement elle comprit qu’elle était passée sous la table ! Un homme s’était levé et observait la scène en retrait. Avec les dents la blonde fit sauter le bouton du pantalon de l’homme assis et bécota sa verge à travers le caleçon. Sous ce dernier, son sexe enfla et se dressa, tendant le tissu. La fille fit sortir le gland et l’embrassa goulument avant et de le prendre entre les lèvres et le lécher. Le mateur derrière la chaise n’avait pas perdu une miette du spectacle et avait déjà son pénis en main qu’il masturbait. Elisa scrutait l’homme qui se branlait et cela lui donna des envies très coquines. Si elle avait été moins timide, elle serait passée par-dessus la table pour aller voir cette belle bite et celle derrière le caleçon, car celle-là aussi, lui avait aussi paru très grosse.
La fille sur la table se penchait maintenant en avant, sans pour autant oublier de toujours écarter les fesses avec les mains, ouvrant parfois sa vulve devant deux hommes qui s’approchaient de plus en plus. Arrivés à la hauteur de son cul, chacun empoigna une fesse tandis qu’elle persistait à les faire onduler, toujours en rythme avec Iggy Pop qui chantait I wanna be your dog. Un des hommes finit par se coucher sur la table, passant entre les jambes de cette stripteaseuse improvisée afin d’avoir accès à son abricot qu’il titilla de la pointe de la langue en évitant de toucher son piercing. Elle ouvrit sa braguette en retour, extirpa son pénis flasque et le mit dans la bouche alors qu’il prenait de plus en plus de libertés buccales avec sa chatte. Le second jouait avec ses parties charnues qu’il palpait et ouvrait, examinant avec une attention lubrique l’œillet violet tant convoité par la gente masculine. Il faisait passer ses doigts dans la raie des fesses de la brune qui commençait à pousser de petits gémissements. L’autre mec continuait à savourer son entrejambe, la langue frottant contre les lèvres, les dents les mordillant. Il remontait parfois au milieu de la fente mais évitait toujours de toucher au piercing. Celui qui caressait ses fesses y plongea la tête et prit d’assaut son petit orifice qui s’assouplissait sous sa langue de plus en plus aventureuse Elle semblait apprécier la caresse car elle arrêta un instant de sucer l’autre en soixante neuf pour encourager celui qui lui faisait une feuille de rose en hurlant :
« Vas-y bouffe mon petit trou. Lèche-le bien ! »
Puis elle reprit sa pipe, et avala la totalité de son vit, s’étouffant presque.
Elisa, sans s’en rendre compte, pencha la tête, pour regarder sous la table pour y voir la blonde qui administrait une fellation à l’homme assis. Dans cette position, elle ne discernait que la tignasse de la fille, ses fesses fendues par un string. Mais ce qu’elle voulait véritablement mater ? C’était la queue du mec ! Elle lui avait paru vraiment large ! Imposante même ! Mais elle ne l’avait vu qu’à travers le tissu du caleçon ! Elle voulait contempler les veines qui la parcouraient, le gland qu’elle imaginait et souhaitait gros et d’une bonne longueur comme celle de son gode noir que son ex lui avait offert. Au lieu de sortir de sous la table elle se mit à quatre pattes et se dirigea vers le mec qui se faisait sucer. S’il y avait eu quelqu’un derrière elle il aurait pu voir la naissance du galbe de ses fesses, son porte-jarretelle ainsi qu’une partie la ficelle de son sous-vêtement qui fendait son beau cul sous sa robe rouge.
Elisa sortit de l’autre côté de la table, réajusta sa robe, et se rendit compte que le mec qui s’astiquait la colonne s’était approché d’elle, entièrement nu, son sexe en pleine érection qu’il tenait avec ses pognes comme s’il s’agissait d’une lance à incendie. Il était à un mètre d’elle et la fixait dans les yeux, ce qui empourpra les joues d’Elisa qui, malgré le malaise, ne pouvait s’empêcher de mater sa grosse bite remontant au dessus de son nombril. Elle la trouvait splendide, épaisse et longue à la fois, elle l’imaginait au fond de son vagin qui frémissait d’excitation. Il s’avança de cinquante centimètres et reprit sa branlette. Elle devint rouge comme une tomate ce coup-ci et, quand il la saisit par les épaules pour la prendre dans les bras, elle n’y opposa pas la moindre résistance. Elle appréciait le contact de cette grosse queue à travers la robe mais elle aurait aimé sentir sa chaleur contre sa peau nue et non à travers le tissu. Mais déjà l’homme l’embrassait dans le cou, lui mordillait le lobe de l’oreille, et lui chuchota même des propos salaces qu’elle ne comprit pas tout de suite, mais dont elle avait au moins entendu un mot : prendre. Quand il fit tomber les bretelles de sa robe, elle fut sûre du sens de ce verbe et elle se laissa faire comme si elle était dans un rêve érotique qu’elle avait fréquemment quand elle était adolescente. Puis, après lui avoir léché et palpé la poitrine, elle se laissa guider quand il appuya sur sa tête pour qu’elle s’agenouille et s’occupe de son phallus.
La blonde continuait la fellation sur l’homme assis qui avait inséré la main droite dans sa minijupe à la recherche de ses fesses. Il aurait voulu pouvoir aller jusqu’à sa petite chatte mais dans cette position il n’y parvenait pas. Il se contenta de faire courir son index dans la raie de ses fesses, mettant parfois le string de côté pour pouvoir triturer son anus. Puis il releva la tête de la fille et l’embrassa, leur langue s’enfouissant au fond de leur bouche. Ensuite, il se releva et passa derrière elle. Il retroussa sa mini-jupe de cuir, écarta son string rouge alors qu’elle prenait appuie sur la chaise. Et il positionna la tête entre ses jambes pour lui rendre sa caresse buccale. Elle avait un goût exquis et, il le lui dit à voix haute. Après quelques légers effleurements de la langue, il plongea la tête entre ses cuisses et commença à titiller l’entrée de sa moule brillante de mouille. Elle avait l’air d’apprécier la gâterie et se mit à gémir doucement.
Celle qui se faisait brouter le minou sur la table poussa un cri de surprise lorsque l’homme derrière elle plaça son chibre contre son anus et en força l’entrée. Le gland venait à peine de passer que la brune lui annonça :
- Vas-y, enfonce ta bite au fond de mon cul, je veux que tu me prennes fort ! Je n’ai pas été sage !
- Tu vas être servie vilaine fille, répondit-il en l’empoignant par les fesses et en se fendant d’un large sourire.
Cela ne le rendit que plus vigoureux et il laissa sortir son gland pour s’empaler à nouveau dans son étroit conduit, mais cette fois-ci, sa queue entra entièrement, ce qui fit crier la fille de surprise et aussi de douleur. Mais la salope semblait apprécier la sodomie et il lui laboura le cul pendant que l’homme couché entre ses jambes dévorait son petit bouton. Elle persistait à lui faire des gorges profondes mais n’allait pas tarder à leur demander de changer de position. Elle avait une petite idée derrière la tête.
L’homme appuyait sur la tête d’Elisa qui, avant de se retrouver à la hauteur de son sexe, ne se priva pas de promener la langue entre ses pectoraux musclés, puis descendit vers son nombril sur lequel elle s’attarda un moment avant d’embrasser son pubis et de faire ensuite remonter sa bouche de la racine des couilles jusqu’à la naissance du gland sans jamais s’en prendre à lui. Il aimait vraiment ce qu’elle lui faisait mais au bout d’un moment il voulut qu’elle suce son gland et comme elle s’arrêtait toujours au-dessous de sa couronne, il saisit sa bite avec la main droite et l’introduisit de force dans l’orifice buccal d’Elisa qui leva ses yeux bleus pales vers les siens tout en avalant la partie convoitée. Son regard azur était empreint d’érotisme et il fut ravi qu’elle le fixe tout en suçotant son gland. Sa bouche était chaude, moite même, et il sentait qu’il allait éjaculer dedans. Il décida donc de se retirer pour s’occuper de sa charmante fellatrice.
- Mets-toi à quatre patte. Ordonna-t-il.
Elle obéit. Il se plaça derrière elle, retroussa sa robe rouge jusqu’à la taille, écarta la ficelle du string trempé de mouille et inséra l’index droit dans sa chatte pendant qu’il s’amusait à taquiner son clitoris de la pointe de la langue. Elisa regardait la femme sur la table qui continuait à bouffer la queue du mec qui lui rendait la pareille alors qu’un autre la sodomisait. De voir des gens baiser autour d’elle ne faisait que grandir son excitation et elle tourna la tête vers l’homme qui maintenant mordillait le clito de la blonde qui venait de prendre appuie sur la chaise. Les sons émis par les deux femmes ainsi que la respiration saccadée des hommes ne firent que croitre encore plus l’excitation d’Elisa qui jouit sous la langue du mystérieux inconnu à grosse bite. Elle était un peu déçue car elle aurait aimé sentir sa pine en elle. Et alors qu’elle allait se redresser, elle sentit le gros sexe écartait ses lèvres et se frayer un passage au fond de son intimité. La sensation était exquise ! Elle se sentait embrochée, remplie, comme quand elle avait inséré pour la première fois son énorme gode noir au fond de son intimité. Il alla et vint quelques petites minutes entre ses jambes, elle, gémissait et pensa pouvoir jouir une seconde fois quand il se retira pour déverser sa semence chaude sur ses fesses. Elle était légèrement désappointée mais n’était en aucun cas au bout de ses surprises.
La brune hurlait maintenant, son cul oscillait sous les assauts sodomites de son partenaire. Sa vulve suintait la cyprine qu’avalait celui qui la régalait de la bouche. Elle allait atteindre le septième ciel. Il fallait qu’elle change de position. Elle décida que parler serait plus pratique et leur annonça :
- Les gars ! J’ai envie de sentir vos queues dans la chatte et le cul. Prenez-moi sans ménagement. Faites-moi jouir.
- Avec joie, dit celui qui lui faisait un cunnilingus.
- Pas de problème patronne, répliqua celui qui l’enculait.
Elle s’embrocha sur le pénis qu’elle avait longuement sucé et l’autre grimpa sur la table et passa de l’autre côté pour reprendre sa sodomie. Cette fois-ci, il entra délicatement dans son rectum. Elisa, après avoir embrassé l’homme qui l’avait fait grimper aux rideaux, jeta un œil dans la direction de la brune et vit la corole de son anus s’ouvrir sous la poussée du gland de son partenaire. Cette vision ranima sa libido et sans savoir ce qu’elle allait faire, elle se précipita vers la blonde qui était maintenant empalée sur la verge de son compagnon qui s’était rassis sur la chaise.
La blonde tournait le dos à Elisa qui voyait la queue du mec disparaitre une seconde à l’intérieur de son abricot pour réapparaitre la suivante quand elle soulevait le bassin. Elle s’agenouilla devant la chaise, et saisit les fesses de la blonde qu’elle caressa tendrement avant de les embrasser, d’abord déposant de chastes baisers avant de finir par des caresses buccales plus appuyées. Puis sans réfléchir, elle descendit vers son intimité et en dégusta l’entrée, lapant aussi la queue du gars par la même occasion. Elle lécha longuement la vulve et le méat du pénis, mais savoura surtout la chatte de la blonde. Elle avait l’impression d’être projetée quinze ans en arrière, la première fois qu’elle avait goûté ses sécrétions vaginales sur le goulot d’une canette de bière avec laquelle elle s’était furieusement pilonnée le minou.
La brune venait d’atteindre l’orgasme. Prise par ses deux orifices, elle s’était laissée chevaucher brutalement, chacun s’enfonçant jusqu’aux couilles dans le conduit qui lui était gentiment proposé. Ils continuèrent à la baiser encore, puis ils sortirent leur sexe et se branlèrent une fraction de seconde, avant de se vider sur son menton et sa gorge, le sperme dégoulinant jusqu’à sa lourde poitrine.
A la fin du repas les hommes sirotaient du Cognac et riaient beaucoup. Elisa n’était à côté d’aucune des femmes. Elle avait été placée évidemment en bout de table, une sorte d’invité d’honneur, à qui malheureusement plus personne ne parlait depuis un bout de temps. Elle alluma une cigarette lorsque la femme en mini-jupe se leva et vint s’asseoir sur les genoux d’un des messieurs, croisant ses deux cuissardes dans le dos de la chaise et lui enlaçant le cou. Ils se trouvaient dans la diagonale opposée à Elisa. L’homme recula sa chaise pour que la femme soit plus à l’aise et ils unirent leurs lèvres et leur langue en un langoureux baiser. Tout le monde cessa de discuter et observa le spectacle. A ce moment là, la fille à la robe fendue grimpa sur la table et jeta ses talons aiguilles à terre. Encouragée par les hommes, elle se mit à onduler du bassin et à danser sur la musique rock You really got me des Kinks qui sortait des enceintes. Puis elle dégrafa sa robe et la laissa doucement coulisser le long de ses épaules, tout en cachant sa poitrine avec les mains, ce qui précipita la chute de la robe qui descendit jusqu’à ses chevilles. Elle la jeta négligemment du bout du pied sur un des hommes. Puis elle ouvrit les mains, révélant une belle paire de seins volumineux aux tétons turgescents, et les fit courir jusqu’à son string qu’elle empoigna avec les pouces afin de le retirer. Elle l’envoya sur un homme qui le saisit au vol et le porta à ses narines pour sentir son odeur.
Elisa n’en croyait pas ses yeux ! Ces filles étaient de vraies délurées et cela lui faisait un peu peur, et en même temps, l’excitait pas mal. Elle savait que son entrejambe ruisselait et elle aurait voulu se caresser, enfoncer des doigts dans sa chatte qu’elle avait entièrement rasée dans le bain. La femme sur la table tournait maintenant le dos aux hommes exhibant ses fesses qu’elle écartait des deux mains tout en se dodelinant sur la musique rythmée. Elisa ne pouvait s’empêcher de fixer son pubis lisse tatoué d’une rose en son centre, ainsi que le bijou qui traversé son clitoris : Une boule argentée. Une idée saugrenue lui traversa alors l’esprit. Elle se serait bien vue en train de jouer avec la langue sur ce pubis lisse, puis elle descendrait vers le piercing et l’attraperait avec les dents. Ensuite elle…
Elle venait de se rendre compte que la fille à la mini-jupe avait disparu. Rapidement elle comprit qu’elle était passée sous la table ! Un homme s’était levé et observait la scène en retrait. Avec les dents la blonde fit sauter le bouton du pantalon de l’homme assis et bécota sa verge à travers le caleçon. Sous ce dernier, son sexe enfla et se dressa, tendant le tissu. La fille fit sortir le gland et l’embrassa goulument avant et de le prendre entre les lèvres et le lécher. Le mateur derrière la chaise n’avait pas perdu une miette du spectacle et avait déjà son pénis en main qu’il masturbait. Elisa scrutait l’homme qui se branlait et cela lui donna des envies très coquines. Si elle avait été moins timide, elle serait passée par-dessus la table pour aller voir cette belle bite et celle derrière le caleçon, car celle-là aussi, lui avait aussi paru très grosse.
La fille sur la table se penchait maintenant en avant, sans pour autant oublier de toujours écarter les fesses avec les mains, ouvrant parfois sa vulve devant deux hommes qui s’approchaient de plus en plus. Arrivés à la hauteur de son cul, chacun empoigna une fesse tandis qu’elle persistait à les faire onduler, toujours en rythme avec Iggy Pop qui chantait I wanna be your dog. Un des hommes finit par se coucher sur la table, passant entre les jambes de cette stripteaseuse improvisée afin d’avoir accès à son abricot qu’il titilla de la pointe de la langue en évitant de toucher son piercing. Elle ouvrit sa braguette en retour, extirpa son pénis flasque et le mit dans la bouche alors qu’il prenait de plus en plus de libertés buccales avec sa chatte. Le second jouait avec ses parties charnues qu’il palpait et ouvrait, examinant avec une attention lubrique l’œillet violet tant convoité par la gente masculine. Il faisait passer ses doigts dans la raie des fesses de la brune qui commençait à pousser de petits gémissements. L’autre mec continuait à savourer son entrejambe, la langue frottant contre les lèvres, les dents les mordillant. Il remontait parfois au milieu de la fente mais évitait toujours de toucher au piercing. Celui qui caressait ses fesses y plongea la tête et prit d’assaut son petit orifice qui s’assouplissait sous sa langue de plus en plus aventureuse Elle semblait apprécier la caresse car elle arrêta un instant de sucer l’autre en soixante neuf pour encourager celui qui lui faisait une feuille de rose en hurlant :
« Vas-y bouffe mon petit trou. Lèche-le bien ! »
Puis elle reprit sa pipe, et avala la totalité de son vit, s’étouffant presque.
Elisa, sans s’en rendre compte, pencha la tête, pour regarder sous la table pour y voir la blonde qui administrait une fellation à l’homme assis. Dans cette position, elle ne discernait que la tignasse de la fille, ses fesses fendues par un string. Mais ce qu’elle voulait véritablement mater ? C’était la queue du mec ! Elle lui avait paru vraiment large ! Imposante même ! Mais elle ne l’avait vu qu’à travers le tissu du caleçon ! Elle voulait contempler les veines qui la parcouraient, le gland qu’elle imaginait et souhaitait gros et d’une bonne longueur comme celle de son gode noir que son ex lui avait offert. Au lieu de sortir de sous la table elle se mit à quatre pattes et se dirigea vers le mec qui se faisait sucer. S’il y avait eu quelqu’un derrière elle il aurait pu voir la naissance du galbe de ses fesses, son porte-jarretelle ainsi qu’une partie la ficelle de son sous-vêtement qui fendait son beau cul sous sa robe rouge.
Elisa sortit de l’autre côté de la table, réajusta sa robe, et se rendit compte que le mec qui s’astiquait la colonne s’était approché d’elle, entièrement nu, son sexe en pleine érection qu’il tenait avec ses pognes comme s’il s’agissait d’une lance à incendie. Il était à un mètre d’elle et la fixait dans les yeux, ce qui empourpra les joues d’Elisa qui, malgré le malaise, ne pouvait s’empêcher de mater sa grosse bite remontant au dessus de son nombril. Elle la trouvait splendide, épaisse et longue à la fois, elle l’imaginait au fond de son vagin qui frémissait d’excitation. Il s’avança de cinquante centimètres et reprit sa branlette. Elle devint rouge comme une tomate ce coup-ci et, quand il la saisit par les épaules pour la prendre dans les bras, elle n’y opposa pas la moindre résistance. Elle appréciait le contact de cette grosse queue à travers la robe mais elle aurait aimé sentir sa chaleur contre sa peau nue et non à travers le tissu. Mais déjà l’homme l’embrassait dans le cou, lui mordillait le lobe de l’oreille, et lui chuchota même des propos salaces qu’elle ne comprit pas tout de suite, mais dont elle avait au moins entendu un mot : prendre. Quand il fit tomber les bretelles de sa robe, elle fut sûre du sens de ce verbe et elle se laissa faire comme si elle était dans un rêve érotique qu’elle avait fréquemment quand elle était adolescente. Puis, après lui avoir léché et palpé la poitrine, elle se laissa guider quand il appuya sur sa tête pour qu’elle s’agenouille et s’occupe de son phallus.
La blonde continuait la fellation sur l’homme assis qui avait inséré la main droite dans sa minijupe à la recherche de ses fesses. Il aurait voulu pouvoir aller jusqu’à sa petite chatte mais dans cette position il n’y parvenait pas. Il se contenta de faire courir son index dans la raie de ses fesses, mettant parfois le string de côté pour pouvoir triturer son anus. Puis il releva la tête de la fille et l’embrassa, leur langue s’enfouissant au fond de leur bouche. Ensuite, il se releva et passa derrière elle. Il retroussa sa mini-jupe de cuir, écarta son string rouge alors qu’elle prenait appuie sur la chaise. Et il positionna la tête entre ses jambes pour lui rendre sa caresse buccale. Elle avait un goût exquis et, il le lui dit à voix haute. Après quelques légers effleurements de la langue, il plongea la tête entre ses cuisses et commença à titiller l’entrée de sa moule brillante de mouille. Elle avait l’air d’apprécier la gâterie et se mit à gémir doucement.
Celle qui se faisait brouter le minou sur la table poussa un cri de surprise lorsque l’homme derrière elle plaça son chibre contre son anus et en força l’entrée. Le gland venait à peine de passer que la brune lui annonça :
- Vas-y, enfonce ta bite au fond de mon cul, je veux que tu me prennes fort ! Je n’ai pas été sage !
- Tu vas être servie vilaine fille, répondit-il en l’empoignant par les fesses et en se fendant d’un large sourire.
Cela ne le rendit que plus vigoureux et il laissa sortir son gland pour s’empaler à nouveau dans son étroit conduit, mais cette fois-ci, sa queue entra entièrement, ce qui fit crier la fille de surprise et aussi de douleur. Mais la salope semblait apprécier la sodomie et il lui laboura le cul pendant que l’homme couché entre ses jambes dévorait son petit bouton. Elle persistait à lui faire des gorges profondes mais n’allait pas tarder à leur demander de changer de position. Elle avait une petite idée derrière la tête.
L’homme appuyait sur la tête d’Elisa qui, avant de se retrouver à la hauteur de son sexe, ne se priva pas de promener la langue entre ses pectoraux musclés, puis descendit vers son nombril sur lequel elle s’attarda un moment avant d’embrasser son pubis et de faire ensuite remonter sa bouche de la racine des couilles jusqu’à la naissance du gland sans jamais s’en prendre à lui. Il aimait vraiment ce qu’elle lui faisait mais au bout d’un moment il voulut qu’elle suce son gland et comme elle s’arrêtait toujours au-dessous de sa couronne, il saisit sa bite avec la main droite et l’introduisit de force dans l’orifice buccal d’Elisa qui leva ses yeux bleus pales vers les siens tout en avalant la partie convoitée. Son regard azur était empreint d’érotisme et il fut ravi qu’elle le fixe tout en suçotant son gland. Sa bouche était chaude, moite même, et il sentait qu’il allait éjaculer dedans. Il décida donc de se retirer pour s’occuper de sa charmante fellatrice.
- Mets-toi à quatre patte. Ordonna-t-il.
Elle obéit. Il se plaça derrière elle, retroussa sa robe rouge jusqu’à la taille, écarta la ficelle du string trempé de mouille et inséra l’index droit dans sa chatte pendant qu’il s’amusait à taquiner son clitoris de la pointe de la langue. Elisa regardait la femme sur la table qui continuait à bouffer la queue du mec qui lui rendait la pareille alors qu’un autre la sodomisait. De voir des gens baiser autour d’elle ne faisait que grandir son excitation et elle tourna la tête vers l’homme qui maintenant mordillait le clito de la blonde qui venait de prendre appuie sur la chaise. Les sons émis par les deux femmes ainsi que la respiration saccadée des hommes ne firent que croitre encore plus l’excitation d’Elisa qui jouit sous la langue du mystérieux inconnu à grosse bite. Elle était un peu déçue car elle aurait aimé sentir sa pine en elle. Et alors qu’elle allait se redresser, elle sentit le gros sexe écartait ses lèvres et se frayer un passage au fond de son intimité. La sensation était exquise ! Elle se sentait embrochée, remplie, comme quand elle avait inséré pour la première fois son énorme gode noir au fond de son intimité. Il alla et vint quelques petites minutes entre ses jambes, elle, gémissait et pensa pouvoir jouir une seconde fois quand il se retira pour déverser sa semence chaude sur ses fesses. Elle était légèrement désappointée mais n’était en aucun cas au bout de ses surprises.
La brune hurlait maintenant, son cul oscillait sous les assauts sodomites de son partenaire. Sa vulve suintait la cyprine qu’avalait celui qui la régalait de la bouche. Elle allait atteindre le septième ciel. Il fallait qu’elle change de position. Elle décida que parler serait plus pratique et leur annonça :
- Les gars ! J’ai envie de sentir vos queues dans la chatte et le cul. Prenez-moi sans ménagement. Faites-moi jouir.
- Avec joie, dit celui qui lui faisait un cunnilingus.
- Pas de problème patronne, répliqua celui qui l’enculait.
Elle s’embrocha sur le pénis qu’elle avait longuement sucé et l’autre grimpa sur la table et passa de l’autre côté pour reprendre sa sodomie. Cette fois-ci, il entra délicatement dans son rectum. Elisa, après avoir embrassé l’homme qui l’avait fait grimper aux rideaux, jeta un œil dans la direction de la brune et vit la corole de son anus s’ouvrir sous la poussée du gland de son partenaire. Cette vision ranima sa libido et sans savoir ce qu’elle allait faire, elle se précipita vers la blonde qui était maintenant empalée sur la verge de son compagnon qui s’était rassis sur la chaise.
La blonde tournait le dos à Elisa qui voyait la queue du mec disparaitre une seconde à l’intérieur de son abricot pour réapparaitre la suivante quand elle soulevait le bassin. Elle s’agenouilla devant la chaise, et saisit les fesses de la blonde qu’elle caressa tendrement avant de les embrasser, d’abord déposant de chastes baisers avant de finir par des caresses buccales plus appuyées. Puis sans réfléchir, elle descendit vers son intimité et en dégusta l’entrée, lapant aussi la queue du gars par la même occasion. Elle lécha longuement la vulve et le méat du pénis, mais savoura surtout la chatte de la blonde. Elle avait l’impression d’être projetée quinze ans en arrière, la première fois qu’elle avait goûté ses sécrétions vaginales sur le goulot d’une canette de bière avec laquelle elle s’était furieusement pilonnée le minou.
La brune venait d’atteindre l’orgasme. Prise par ses deux orifices, elle s’était laissée chevaucher brutalement, chacun s’enfonçant jusqu’aux couilles dans le conduit qui lui était gentiment proposé. Ils continuèrent à la baiser encore, puis ils sortirent leur sexe et se branlèrent une fraction de seconde, avant de se vider sur son menton et sa gorge, le sperme dégoulinant jusqu’à sa lourde poitrine.
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