Invitée à une soirée par son voisin - histoire érotique

Sandra sortit de sa maison et se saisit de sa poubelle pour la déplacer dans la rue en prévision du passage des éboueurs. Arrivée à son portail, elle constata la présence d’une voiture juste devant celui-ci, l’empêchant de passer.
- Putain, fait chier ce connard ! pesta-t-elle à voix haute.

Elle parvint tout de même à faire passer la poubelle sur le côté du portail dans un espace à peine suffisamment large. En essayant de se faufiler, la poubelle heurta à plusieurs reprises la voiture qui la gênait.
- Allez prend ça ! S’exclama-t-elle pour se défouler.

Arrivée sur le trottoir, elle remarqua la présence d’une bonne dizaine de voitures garées de façon plus ou moins sauvage. De la musique s’élevait de la maison voisine, où les propriétaires des voitures semblaient s’être retrouvés pour passer une soirée animée.

Lorsqu’elle eu déposé sa poubelle tant bien que mal où elle pouvait, Sandra décida d’aller dire deux mots à Jean-Pierre, son voisin. Elle remonta l’allée, prit le petit passage entre des arbustes qui menait à la porte d’entrée et sonna sans hésitation.
Personne ne venant ouvrir, elle s’impatienta, râla et sonna à nouveau à deux reprises.

La porte s’ouvrit enfin. Un homme bedonnant d’une cinquantaine d’années fit son apparition. Il fixa la jeune femme. Elle était vêtue d’un jogging, d’un sweat large et de ses chaussons mais Jean-Pierre la trouvait très belle, quelle que soit la tenue qu’elle portait. L’homme s’exclama alors :
- Sandra ! Quel plaisir ! Que puis-je pour vous ?
La jeune femme resta quelques instants un peu interloquée devant son voisin qui ne portait qu’un peignoir alors qu’il recevait des amis.
- Vos amis se sont garés n’importe comment ! Ils bloquent mon entrée ! expliqua la jeune femme courroucée.
- Pardon, ce n’est pas correct. Je leur dirai de faire attention la prochaine fois.

Tandis qu’il s’excusait, sans grande conviction, le regard de Sandra se porta sur le salon en retrait derrière l’épaule de Jean-Pierre. Elle aperçu en partie un homme et une femme nus, en train de faire l’amour. En tendant l’oreille, elle filtra les sons et distingua sans équivoque au milieu de la musique des gémissements de plaisir.

Jean-Pierre se retourna en direction du salon, puis reporta son attention sur la jeune femme au visage pantois puis ajouta, sans gêne et sans cacher ce qu’il se passait :
- J’organise de temps en temps des soirées échangistes avec des amis. Vous êtes la bienvenue si vous le souhaitez, ajouta-t-il avec un sourire.
Sandra le regarda interloquée.
- Ca ne va pas non ! S’offusqua la jeune femme.

Sur ces paroles, elle tourna les talons et partit sans un mot de plus à son voisin. De retour chez elle, elle était toujours sous le choc de ce qu’elle venait de découvrir. Jamais elle n’aurait pensé qu’une telle soirée pouvait se dérouler aussi près de chez elle.
Les images de ce couple nus tournaient en boucle dans sa tête. Les gémissements de plaisir résonnaient en elle.
Plus elle y pensait, plus elle sentait l’excitation monter en elle. A plusieurs reprises, elle se dirigea vers la porte d’entrée, posa la main sur la poignée et fit marche arrière.
Elle était excitée, angoissée mais prise d’une folle envie de découvrir le sexe en groupe, de vivre l’expérience de ces corps qui se mélanges.

Elle se décida pour de bon à y aller mais tandis qu’elle était dans le vestibule de sa maison, elle croisa son reflet dans un miroir.
« Je ne peux pas y aller comme ça ! »

Elle retourna dans sa chambre et se dévêtue. Elle fit une rapide toilette et chercha dans ses tenues la plus adaptée à la soirée. Elle enfila un ensemble de lingerie rouge agrémentée de broderies dorées, se vêtue d’une mini jupe noire fendue sur le côté qu’elle ne mettait jamais car elle la trouvait un peu indécente. Elle enfila un chemisier noir transparent parsemé de motifs floraux qui laissait voir la rondeur de sa poitrine mise en valeur par son soutien-gorge corbeille.
Elle se maquilla rapidement et s’admira dans le miroir, satisfaite. Elle se savait plutôt jolie, un visage harmonieux, de beaux yeux noisettes, d’élégants cheveux châtains ondulés jusqu’aux épaules, une petite bouche aux lèvres généreuses. Elle était satisfaite de son mètre 65, de ses jolies formes, de sa poitrine ni trop petite ni trop grosse, de ses hanches et de ses fesses galbées. Oui, la jeune femme trouva son reflet même diablement sexy !

Après une dernière hésitation, elle franchit la porte de sa maison et alla sonner chez son voisin. Quelques minutes s’écoulèrent puis la porte s’ouvrit sur Jean-Pierre dont le visage s’illumina en voyant sa belle voisine magnifiquement apprêtée avoir changé d’avis.
- C’est formidable, vous avez changé d’avis !
- Oui, admit Sandra, un peu mal à l’aise.
- J’en suis ravi ! S’exclama le cinquantenaire avec enthousiasme.

Le cœur de la jeune femme battait la chamade lorsque son voisin l’invita à entrer. Il la guida vers le salon. Les gémissements de plaisir se faisaient de plus en plus forts dans les oreilles de la jeune femme.
Elle se retrouva alors à l’entrée du salon devant une scène qu’elle n’aurait pu imaginer.

Se trouvaient là une bonne vingtaine de personnes, plus d’hommes que de femmes. Elle vit de tout. Des grands, des petits, des jeunes, des plus âgés, des beaux, des quelconques, des queues et des seins de toutes les tailles et de toutes les formes. Des couples, des trios et même un quatuor se donnaient du plaisir au quatre coins de la vaste pièce, allongés sur une table, couchés dans un canapé ou un fauteuil, allongés ou à quatre pattes au sol.

- Surprise ? Demanda Jean-Pierre.
- Oui et non, admit Sandra.

Sans rien ajouter, Jean-Pierre ouvrit son peignoir. Sandra fut face au corps nu de son voisin, de son torse poilu, de son ventre bedonnant et de sa queue de taille modeste qui se dressait doucement.
Elle n’était pas venue pour lui mais pour se mêler à la fête elle devait sans doute passer un moment avec lui.

Sandra s’accroupit et prit en main le sexe de Jean-Pierre. Elle le porta à sa bouche et entama une fellation. Malgré le peu d’attirance qu’elle portait à son voisin, elle sentit doucement l’excitation la gagner. Le lieu, les bruits, les perspectives ou la folie de sa démarche y étaient sans doute pour beaucoup. D’une fellation hésitante, elle passa à une fellation appliquée, soucieuse de donner du plaisir et d’en recevoir.

Un homme d’une quarantaine d’années, plutôt bel homme passa à côté d’eux.
- Tu te fais sucer par qui ? Demanda-t-il, intrigué.
- Par la voisine. Je l’ai invitée à participer tout à l’heure, et elle est venue cette coquine.

Le nouvel arrivant fixa la jeune femme avec désir.
- Tu ne te fais pas chier mon vieux !

Sur ses mots, il s’approcha de Sandra, son sexe tendu près de son visage. La jeune femme garda la queue de Jean-Pierre dans sa main gauche pour continuer à le branler et mit en bouche la queue de Paul. A l’image de ce dernier, elle était bien plus belle que celle de Jean-Pierre, aussi l’excitation de de la jeune se décupla.

A sucer ces deux hommes, Sandra comprit que sa folle soirée ne faisait que commencer !

Au bout d’un moment, Jean-Pierre se recula et s’adressa à l’assemblée.
- S’il vous plaît, votre attention. Je voudrais vous présenter une nouvelle venue parmi nous. Il s’agit de ma voisine qui a choisi de mettre du piment dans sa vie. Elle se nomme Sandra. Je vous propose de faire une séance d’introduction avec elle.

Les différentes personnes cessèrent plus ou moins leur activité, jetant un œil de convoitise vers Sandra.

- Sandra, je t’invite à te mettre au centre de la pièce pour que tout le monde te voit bien.

La jeune femme obéit, avec un mélange d’excitation et de timidité tandis que les activités sexuelles des uns et des autres diminuaient un peu plus.

- Je te propose à te déshabiller complètement pour que tu sois vêtue comme chacun de nous, dit Jean-Pierre avec un rire gras.

Gênée, Sandra commença par retirer son chemisier noir. Elle défit la discrète fermeture éclair de sa jupe et ondula un peu des hanches pour la faire descendre le long de ses cuisses.

L’attention de toutes les personnes présentes était maintenant à son comble. Elle était nouvelle et belle, chacun était curieux. Les regards envieux, désireux sur elle l’excita beaucoup. Elle pivota sur elle-même pour offrir son corps à la vue de tous et se nourrit du regard avide de chaque homme et femme qui la dévorait.

Elle dégrafa son soutien-gorge et dévoila lentement sa poitrine, jolie, ferme. Tout doucement, pour faire prolonger le plaisir et faire monter le désir, elle fit descendre son string rouge le long de ses cuisses. Elle prenait plaisir à être le centre d’attention, à jouer avec ses spectateurs, à se dévoiler. A cet instant, elle savait avec certitude qu’elle ne regrettait pas d’être venue.

A présent nue au milieu de la pièce, elle passait sa langue sur ses lèvres en dévisageant chaque personne. Les hommes caressaient leur queue et les femmes laissaient traîner leur main entre leur jambes ou sur leurs seins. Jean-Pierre s’approcha d’elle et l’invita à s’asseoir dans un fauteuil et dit à l’auditoire :
- Je vous invite à faire connaissance !

Un homme d’une trentaine d’années, quelconque s’approcha d’elle et mit son membre tendu sous ses yeux. Sandra le mit dans sa bouche pour s’en délecter. Un deuxième homme s’approcha à l’opposé du premier afin d’obtenir les mêmes attentions. Un troisième s’approcha de ses jambes serrées et les écarta pour dévoiler son intimité. Il se mit à genoux et se délecta de sa chatte lisse mais trempée.

Au bout d’un moment, le premier homme céda sa place à un autre et ainsi de suite. Sandra comprit que chaque personne dans la pièce viendrait se rassasier de son corps.
Elle suça les queues qui se présentaient à elle, lécha les chattes qui s’offrirent à sa bouche gourmande, accueillit avec plaisir des membres tendus dans son vagin dégoulinant de mouille et laissa avec plaisir les femmes malaxer ses seins ou laper sa vulve excitée.
Et hommes comme femmes la dévorèrent avec avidité jusqu’à la faire jouir, une jouissance extraordinaire qu’elle laissa s’exprimer avec force.

Elle faisait à présent parti des leurs.

Chacun reprit une activité à tout point de la pièce, en couple ou à plusieurs et une cacophonie de gémissement s’éleva à nouveau dans cette antre du plaisir.

Par chance, se dit Sandra, Mickaël, l’homme avec la plus belle queue était resté près d’elle. Alors qu’elle avait son sexe toujours dans sa bouche et que sa langue jouait sur le gland gonflé, l’homme, avec un joli visage, une barbe et des cheveux poivre et sel, se plaça entre ses jambes et enfonça son sexe dans la chatte excitée. Sandra poussa un soupir de plaisir en sentant ce membre large et long s’enfoncer au plus profond de son ventre. La jeune femme ferma les yeux, se laissa envahir par les agréables sensations qui de diffusaient en elle.

Elle se releva et se mit à genoux sur le fauteuil. Son amant de l’instant, la pénétra à nouveau et imprima un agréable mouvement de va-et-vient. Un autre homme, entre deux âges, s’approcha du visage de Sandra et proposa sa queue à sa bouche. La jeune femme ouvrit la bouche et donna du plaisir à cet homme tandis qu’elle en recevait avec un autre.

Au bout d’un moment de plaisir, l’homme qu’elle suçait éjacula dans sa bouche sans qu’il ne la prévienne. Sandra fut surprise mais satisfaite d’avoir fait jouir cet homme et avala avec plaisir tout le sperme qui s’était répandu sur sa langue.

Tandis qu’un autre homme, à l’apparence et à la queue quelconque avait prit la place de l’éjaculateur, le couple à côté d’eux s’approcha.
- On peut se joindre à vous ? demanda Claire, une femme blonde toute fine entre deux âges.
- Avec plaisir, répondit Sandra.

Claire s’allongea sur le canapé et invita Sandra et venir au dessus d’elle pour un 69. Mickaël et le deuxième homme se mirent de chaque côté. Ce dernier pénétra Sandra tandis que Claire sentit la queue de l’autre homme s’enfoncer en elle.

Rapidement les deux femmes se mirent à haleter de plaisir, savourant chacune une queue qui labourait leur chatte et une langue qui excitait leur clitoris qui réclamait une constante attention.
Sandra trouva cet instant divin où les corps s’entremêlent, ne formant plus qu’une entité dévouée au plaisir.
De temps en temps chaque homme sortait son membre et le présentait à la bouche de la femme à proximité. Cette dernière suçait avec gourmandise ce sexe luisant de la mouille de sa partenaire.

Sandra, respirait de plus en plus fort puis se mit à gémir de plaisir sous les assauts de la queue et la langue de ses amants. L’orgasme fut long et puissant. Claire ne tarda pas à la rejoindre exprimant aussi son plaisir avec force.

Mickaël fit se mettre les deux femmes à genoux sur le canapé. Sandra sentit un liquide froid couler entre ses fesses. Un frisson la parcourut. Elle n’avait jamais pratiqué la sodomie. Mais elle était là pour dépasser ses limites, explorer son corps aussi ne broncha-t-elle pas. Mickaël passa le flacon de lubrifiant à l’autre homme.

Sandra sentit un doigt puis deux s’enfoncer dans son anus et appliquer un va-et-vient. La jeune femme devina que son sphincter s’ouvrait peu à peu. Puis le gland appuya doucement dessus et lentement le membre s’inséra en elle. Elle éprouva quelques douleurs mais qui s’estompèrent vite au premier va-et-vient de son amant. Et doucement, le plaisir monta en elle.

La jeune femme tourna la tête en direction de sa voisine dont le visage se crispait de plaisir sous les puissants coups de rein de son partenaire. Elle se dit qu’ils devaient avoir l’habitude. Heureusement, son amant était tendre aussi elle n’éprouva que du plaisir à cette première sodomie.

Le partenaire de Claire s’arrêta brusquement, sortit sa queue de la femme et se branla au dessus de ses fesses. Dans un râle bestial il répandit des jets de sperme sur le dos et les fesses de Claire.
Quelques minutes plus tard, il fut suivit par Mickaël qui se déchargea à son tour sur le postérieur de sa partenaire.

Les deux hommes s’éloignèrent pour se reposer dans un coin de la pièce tandis qu’une jeune femme d’une trentaine d’années, plutôt quelconques mais aux jolies formes, s’approcha de Claire et Sandra.

Sans rien dire, la nouvelle venue se mit à lécher le sperme qui s’était répandu sur la peau de Claire. Cette dernière se retourna vers la femme qui léchait son dos.
- Estelle, tu es incroyable ! Je suis sûre que tu bois du sperme au petit déjeuner, se moqua Claire.
- Je n’y peux rien, j’adore ça !
Estelle continua de laper en silence les gouttes blanchâtre. Lorsqu’elle eu finit, elle passa à Sandra qui sentit à quelques reprise la jeune femme s’aventurer sur sa vulve en ébullition. Une fois tout le sperme récolté, elle s’assit sur le canapé.


Claire s’approcha du visage de Sandra et l’embrassa à pleine bouche, le baiser était passionné. Tout en dévorant les lèvres de sa partenaire, Claire palpait avec avidité la jolie poitrine qui s’offrait à elle. De divines sensations s’emparaient à nouveau du corps de la jeune femme.

A cet instant deux hommes approchèrent. Un brun d’une trentaine d’années au look hipster couvert de tatouages prit le poignet de Sandra en lui proposant :
- Nous aimerions passer un moment avec toi.
Sandra regarda Claire et cette dernière l’encouragea à les suivre.

La jeune femme se leva et s’éloigna de quelques pas du canapé avec ses nouveaux amants. Les deux homme palpèrent avec envie chaque parcelle du corps de la jeune femme. Les langues se mêlèrent, les mains explorèrent.

Martin, le deuxième homme au corps quelconque et au visage un peu poupin s’allongea au sol. Sa queue dressée était une invitation. Sandra l’enjamba et se mit à genoux sur lui pour le chevaucher en laissant son membre s’enfoncer dans sa chatte en ébullition.

Alors qu’elle commençait à onduler sur le membre dur, d’un coin de l’œil Sandra aperçut Claire et Estelle s’embrasser goulûment et se caresser avec passion. Hugo, le hipster, se plaça derrière la jeune femme qui cessa ses mouvements et sentit le gland lubrifié de son partenaire presser son anus. La queue s’inséra en elle avec facilité, son petit trou ayant été bien dilaté par son précédent amant.

Le trio se mit à bouger en rythme pour offrir du plaisir à chacun. Pour la première fois de sa vie, Sandra avait deux queues en elle. Elle éprouvait des sensations incroyables en sentant les membres bien durs coulisser en elle, sentant à quel point les parois en elles séparant chaque queue étaient fines. La jeune femme haletait, ouvrait grand la bouche pour trouver un second souffle.

Au milieu du plaisir qu’elle éprouvait, un homme se posta devant elle et se mit à genoux. Un homme grand et tout fin présentait son sexe devant le visage de la jeune femme. Sandra observa la queue très fine mais très longue. Elle la trouva étonnante. Elle ouvrit la bouche et l’homme s’avança pour mettre son membre dans la bouche de la jeune femme. Avec ses lèvres, sa langue, ses dents elle s’appliqua à donner du plaisir au nouveau venu, malgré tout déconcentrée par les sensations que les deux autres amants provoquaient en elle.

Sandra réalisa qu’elle était avec trois hommes et qu’elle n’en éprouvait que du plaisir. Elle jeta un nouveau coup d’œil vers les deux femmes sur le canapé. Estelle était allongée sur le dos et Claire au dessus d’elle pour un 69 qui semblait offrir beaucoup de plaisir aux deux femmes.

Sandra referma les yeux, savourant les trois queues qui lui prodiguaient un plaisir intense. Les soupirs de plaisir avaient laissé leur place à des gémissements longs et profonds.

L’homme grand et maigre sortit de la bouche de la jeune femme et partit derrière elle. Après quelques instants, les deux partenaires avaient cessé leur mouvements et Sandra sentit Hugo se redresser pour se placer plus au dessus de son dos. Puis un gland se pressa à l’entrée de son vagin, bien collée à la queue de Martin. Elle comprit ce qu’il se passait. Un frisson la parcourut mais ne dit rien, lassant faire ses amants expérimentés. Avec appréhension, elle était à l’écoute de ses sensations. La queue fine glissa le long du membre de Martin pour s’inséra doucement dans son vagin et en quelques instants fut bien au fond.

Les trois hommes se remirent à bouger en rythme, imitée par Sandra. La jeune femme était surprise d’être capable de recevoir deux queues dans son vagin sans en éprouver de gêne. Au contraire, elle prenait beaucoup de plaisir à sentir sa chatte ainsi écartée, dilatée comme jamais. Toutes ses membres dures en elle lui procuraient un plaisir fou qu’elle exprimait avec de forts gémissements.

- Ho putain ! S’exclama Sandra entre deux gémissements.
- T’aime te faire labourer par toutes ces queues !
- Ho oui, gémit-elle

Elle eut à peine répondu qu’un puissant orgasme s’empara d’elle. Les spasmes emplirent son ventre, les muscles de son vagin, de son anus se contractant avec force. Son corps convulsa pendant une bonne minute, secoué par un puissant plaisir.

Les trois hommes continuèrent à la labourer avec énergie jusqu’à ce qu’Hugo se retire en déclarant :
- Je ne suis pas loin.

Il fut imité par ses deux collègues qui se mirent debout l’un à côté de l’autre. Sandra à genoux devant les trois hommes suça et branla les queues pour faire jouir ses amants.
Elle lâcha les 3 sexes tendus et déclara :
- Videz vos couilles sur mes seins.

Les trois hommes se masturbèrent avec énergie, excités de jouir devant cette femme. Hugo fut le premier à décharger d’épais jets de spermes sur la poitrine de Sandra. Martin imita son voisin en répandant sa semence sur la jeune femme. Enfin, la queue fine éjacula une semence liquide qui coula rapidement sur le ventre de la jeune.

Sandra suça encore un peu les trois queues qui lui avaient donné tant de plaisir jusqu’à ce qu’elles ramollissent tandis qu’elle sentait le sperme couler sur ses tétons sensibles ou entre ses seins et glisser sur son ventre.

La jeune femme se releva et alla s’asseoir, la jambes flageolantes, sur le canapé. Sur sa droite, elle avait vue sur les fesses relevées de Claire et en dessous le visage d’Estelle qui s’affairait à dévorer la chatte à proximité.

Sandra passa son index sur son ventre pour récolter du sperme et présenta son doigt à Estelle. Cette dernière cessa de lécher Claire et engloutit le doigt couvert du liquide dont elle raffolait. Sandra offrit à plusieurs reprises son index dégoulinant de sperme.

La jeune femme récoltât à présent de la semence avec son pouce puis appliqua le doigt sur l’anus de Claire qu’elle caressa. Plusieurs fois, Sandra appliqua du sperme sur le petit trou puis après l’avoir un peu titillé, elle enfonça doucement son pouce dans le cul de sa voisine.

Claire gémissait de plus en plus fort, emportée par la langue qui dévorait sa vulve et ce pouce qui excitait son anus. La quarantenaire poussa un gémissement libérateur, sous la jouissance déferlant dans son corps. Quelques instants plus tard, Estelle jouit à son tour, excitée qu’elle avait été d’entendre l’orgasme de Claire.

Les deux femmes s’assirent, rassasiées à côté de Sandra. Dans la pièce les gémissements se faisaient moins nombreux, beaucoup de personnes étant affalées dans un canapé, un fauteuil, une chaise. Une agréable fatigue avait enveloppé la plupart des participants.

Soudain, une cloche retentit et Jean-Pierre annonça :
- Fellation et cuni !

Sandra se tourna vers Claire qui expliqua :
- Parfois en fin de soirée, il propose aux dernières personnes cherchant encore un orgasme de recevoir une fellation ou un cuni. Et chaque femme ou homme peut être volontaire pour donner du plaisir.

Trois femmes s’allongèrent sur un canapé, jambes écartées tandis que quatre hommes leur faisait face debout à 1 mètre de distance.
Comme prévu, Estelle se précipita et s’agenouilla devant l’un des hommes, toujours prête à se gaver du jus masculin.
Au fur et à mesure, un partenaire se positionnait devant les hommes et les femmes, en attendant à priori un départ.

Sandra hésitait mais finalement se leva. Devant le groupe elle s’interrogea encore. « Une femme ou un homme ? A qui je donne du plaisir ? ».
Finalement, elle s’agenouilla devant Paul, le dernier homme.

Lorsque chaque homme et femme eu un partenaire, la cloche retentit à nouveau.
- Mesdames, Messieurs, faites jouir votre partenaire.

Il s’écoula cinq bonnes minutes avant le premier gémissement de jouissance. Les râles de plaisir succédèrent aux gémissements. D’un coin de l’œil, Sandra vit Estelle recueillir tout le sperme de son homme sur sa langue, ne perdant aucune goutte de la précieuse semence.
Finalement, Paul et Sandra furent les derniers encore en action. Tous les regards de l’assemblée se posèrent sur eux, attentif, attendant la délicieuse délivrance de l’homme.

Sentant son partenaire se raidir, Sandra posa le gland sur la langue et caressa de plus belle ses couilles. Le sperme jaillit, encore abondant pour cette fin de soirée, et recouvrit la langue de Sandra. Quand tout le liquide eût été expulsé des couilles, la jeune femme avala la semence et lâcha la queue.

Sandra s’assit au sol et entendit la musique envahir la pièce pour la première fois depuis trois heures. Tout le monde avait jouit plusieurs fois, prit un plaisir fou avec de multiples partenaires et une délicieuse fatigue s’empara de chaque invité.

Au bout d’un moment, des personnes commencèrent à bouger. Certaines se rhabillèrent, d’autres allèrent chercher, encore nus, à manger ou boire dans la cuisine. Sandra, la passion de son corps s’étant estompée, se rendit alors compte qu’elle avait terriblement soif. Elle alla aussi dans la cuisine et bu un grand verre d’eau.

La jeune femme retourna près de ses vêtements pour se rhabiller. Claire la vit qui semblait chercher quelque chose.
- Tu as perdu quelques chose ? demanda Claire.
- Oui, je ne retrouve plus mon string, répondit Sandra contrariée.
- Ne cherche pas, c’est Jean-Pierre. Il adore conserver des trophées. On a toute perdue un sous-vêtement. N’en met pas auxquels tu tiens trop. Je te laisse imaginer ce qu’il doit faire avec ! ajouta la quarantenaire avec un rire.

Sandra se résigna à abandonner le sous-vêtement qu’elle aimait pourtant. Elle enfila les vêtements restants et décida de prendre congés. A la porte, elle croisa Jean-Pierre :
- J’espère que tu as passé une agréable soirée.
- Oui, c’était… wahou… extraordinaire… cosmique.
- J’en suis ravi. J’espère que tu viendra à notre prochaine réunion.
- Oui avec plaisir ! Répondit la jeune femme avec un réel entrain.
- Je te tiendrai au courant.
- Merci.

Sur ces mots, Sandra sortit de la maison. Jean-Pierre la regarda s’éloigner alors qu’il jouait avec le string de la jeune femme dans la poche de son peignoir.