Isa
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 290 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Huguette34 ont reçu un total de 3 087 060 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 6 752 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Isa
Les médecins, tous d’accord, pour une fois répètent que mon mari ne pourra plus jamais me satisfaire. Sa maladie est telle qu’il ne pourra plus bander, ni même me satisfaire par manque de désir de sa part. J’adore Jacques comme il m’aime. Nous affectionnions nos étreinte. Comment est-il possible de le laisser sans orgasme et moi avec. Nous en discutons longtemps. Plusieurs solutions s’offrent à nous, la plus simple est que je me transforme en bonne sœur : impossible pour moi de ne plus jouir : je peux me masturber plus souvent comme je le faisais devant lui, mais me branler devant lui qui ne peut plus rien faire, je refuse carrément. Trouver un amant est envisageable, mais comment expliquer mon choix à Jacques. Ou alors trouver une amie sans le lui dire.
Pour l’amant, Jacques est d’accord, à condition que je baise à la maison, dans notre lit. Là, c’est moi qui ne veux pas d’un autre à sa place. Le changement se produit quand je rencontre à nouveau Isa. C’est une copine d’une copine. Oh rien de bien chaud dans nos rencontres hebdomadaires : nous nous occupons de philatélie. Nous sympathisons beaucoup au point qu’elle m’invite un après midi à venir chez elle. Je sens que je vais passer un bon moment à parler encore de timbres. C’est-ce qui se passe au début. En dégustant un thé qu’elle fait parfaitement bien nous bavardons de la pluie et du beau temps. Puis notre conversation nous échappe, elle commence à parler du plaisir qu’elle a avec ses amies. Non pas en parlant, mais en se caressant, bref elle aime les femmes. En avouant son choix, elle me prend une main, la caresse doucement. Je la laisse faire, presque conquise. Elle caresse outre une main, mon autre bras. Elle le monte tellement que je le sens venir contre mes seins. J’en frissonne.
Depuis que je suis privée de baise, je me masturbe souvent, plusieurs fois par jour. J’ai même acheté les godes pour me branler. Et ce matin je n’ai pas eu le temps de prendre mon plaisir. Quand ça m’arrive, je suis en manque toute la journée. Isa reconnait que mon manque non avoué existe:
- Tu as envie de jouir.
- Oui, je ne me suis pas branlée.
- Je vais te le faire
Allez comprendre pourquoi je me suis ainsi offerte à une femme. Isa ne demande pas mieux de me faire tomber dans ses filets. Elle continue à caresser ma poitrine. Je sens mes tétons durcir. Son autre main passe sur mon cou pour m’attirer vers elle et m’embrasser sur la bouche comme le faisait Jacques avant de me baiser.
C’est la première fois que je laisse une femme m’embrasser et me caresser. Je sais que les lesbiennes aiment s’aimer entre elle : là je suis la proie d’une adepte du saphisme pur. Je sais qu’elle veux que je jouisse, mais moi, je ne sais pas comment lui rendre ce qu’elle risque de me faire. Je ne me rend même pas compte que nos langues sont déjà réunies dans le ballet post baise.
Isa ne me laisse pas de calme pour me reprendre. Elle soulève mon haut pour défaire le soutien gorge. Mes seins sont à sa disposition. Elle embrasse les pointes en les faisant presque bander. Une main vient sur ma chatte, à travers le jean. Elle appuie aux endroit sensibles. Je ne m’aperçois que maintenant que je mouille. Il me tarde même qu’elle me touche. Sa science des femmes fait qu’elle défait la fermeture éclair de ma braguette pour passer une main vers mon secret. Elle commence à caresser le clitoris à travers ma culotte.
- Tu en a envie, hein ?
- Oui, caresses moi.
- Non, pas encore, déshabilles toi comme moi.
Elle le fait rapidement, je le fais lentement. J’ai ainsi le temps de voir son corps en détail. Qu’elle belle femme sexy avec ses seins bien durs qui pointent vers le plafond, sa taille fine à coté de la mienne, ses fesses bien rebondies qui attirent les mains baladeuses. Je ne parle pas de sa touffe en forme de cœur qui donne accès à sa chatte que je devine à peine. Elle aussi me regarde en détail. J’ai le tort d’aller lentement, assez pour qu’elle me voit en entier.
J’ai à la fois envie de ce qu’elle va me faire et d’un bite. J’espère qu’elle a au moins un gode.
Isa profite de ma station debout pour me prendre dans ses bras. Nous sommes pratiquement de la même taille, elle serre ses seins contre les miens. C’est à la fois sexy et bon. Nos pointes se touchent longuement. Elle recommence à m’embrasser. J’apprécie sa langue surtout quand elle me lèche les lèvres. Un main passe entre les fesses. Je la laisse faire en souhaitant qu’elle passe sur le petit trou. Je la tiens par la taille pendant qu’elle explore enfin là où je voulais. Elle caresse l’anus lentement, sans appuyer. Si elle continue elle va me faire jouir. Dommage, elle arrête avant. Son doigt passe sur le périnée, puis lentement, sur la chatte. Elle n’entre même pas dans le vagin, là où j’aime bien avoir une occupation.
Isa continue vers le clitoris. Elle le fait sortir de sa protection, puis lentement elle le caresse. Je tends mon ventre vers elle. J’ai un besoin urgent de jouir. Elle aussi sans doute quand elle prend ma main droite pour que je passe sur son sexe. Elle est mouillée au moins autant que moi. Je glisse facilement dans son piège à jouissance. Je vais directement dans son trou principal. Mon doigt joue à la danse du sabre. Je suis bien obligée d’arrêter pour respecter mon orgasme. Je jouis ainsi d’une femme. C’est bon, différent en plus doux d’une masturbation que peut faire un homme.
Cette fois c’est moi qui l’embrasse. Ma main reprend son travail de branle. Elle se crispe juste au moment où je sens les spasmes dans son vagin. Je suis étonnée de sentir l’effet de mon doigt dans son con.
- Viens allons nous faire du bien dans la chambre.
- Tu me suceras ?
- Bien sur, idiote.
L’idiote va lui monter ce qu’elle sait faire. Je lui défoncerais le cul avec deux ou trois doigts avant de me faire mettre de la même façon.
Elle ouvre le lit, m’y allonge sur le dos. Quand elle se couche elle se met entre mes jambes. Sa langue commence par lécher les orteils, puis en montant les mollets avant de venir entre mes cuisses. Elle lèche l’intérieur d’une jambe avant de descendre sur l’autre jambe. Elle remonte encore une fois, alors que je suis trempée de cyprine. Je crois bien que j’en ai jusqu’au cul. Vite qu’elle vienne sur mon con. Enfin elle le fait. En partie au moins. C’est d’abord mon rectum qui a droit le premier à cette caresse que j’aime tant. Puis, elle lèche le périnée et monte entrer sa langue dans le vagin. Elle s’y incruste longuement. C’est moins gros qu’une bite: le résultat seul compte, elle m’envoie au 7° ciel. Elle change d’endroit en venant plus haut. Elle suce dans sa bouche le clitoris. En le relâchant elle le reprend encore. Associée à un doigt dans le cul sa langue m’envois encore au paradis.
Isa ne me laisse aucun repos, elle se retourne complètement. Je comprends son désir d’un 69. J’aurais préféré la langue de Jacques. Mais en voyant ce sexe de fille près de moi, je me tends pour la lécher moi aussi. Je goûte avant la cyprine qui ressemble à la mienne. Je me mets à la tâche de lui donner du plaisir. Je ne fais que reprendre ce qu’elle m’a fait. J’oubli volontairement l’anus (j’ai peur de l’odeur de déjections) Je trouve que son intérieur est drôlement lisse à coté du mien. Je retrousse ma langue à la recherche de son point G que je trouve difficilement. A partir de là, elle est à ma merci, comme je l’étais un instant avant.
Je ne m’applique qu’à une seule chose : son plaisir. Je dois y réussir largement en la faisant jouir plusieurs fois.
Nous nous arrêtons pour nous remettre de nos émotions. Nous nous câlinons comme des amants repus. C’est vrais que nous somme en pleine baise depuis un peu plus de 2 heures.
- Tu es douée pour une première. J’ai envie de toi pour demain et sans doute les autres jours, tu es la meilleure que je connaisse.
- Je reviendras demain après midi, j’ai déjà envie de toi.
En arrivant chez moi, Jacques se demandait où j’étais. J’avoue que je faisais l’amour avec une autre femme. Il en est satisfait.
Pour l’amant, Jacques est d’accord, à condition que je baise à la maison, dans notre lit. Là, c’est moi qui ne veux pas d’un autre à sa place. Le changement se produit quand je rencontre à nouveau Isa. C’est une copine d’une copine. Oh rien de bien chaud dans nos rencontres hebdomadaires : nous nous occupons de philatélie. Nous sympathisons beaucoup au point qu’elle m’invite un après midi à venir chez elle. Je sens que je vais passer un bon moment à parler encore de timbres. C’est-ce qui se passe au début. En dégustant un thé qu’elle fait parfaitement bien nous bavardons de la pluie et du beau temps. Puis notre conversation nous échappe, elle commence à parler du plaisir qu’elle a avec ses amies. Non pas en parlant, mais en se caressant, bref elle aime les femmes. En avouant son choix, elle me prend une main, la caresse doucement. Je la laisse faire, presque conquise. Elle caresse outre une main, mon autre bras. Elle le monte tellement que je le sens venir contre mes seins. J’en frissonne.
Depuis que je suis privée de baise, je me masturbe souvent, plusieurs fois par jour. J’ai même acheté les godes pour me branler. Et ce matin je n’ai pas eu le temps de prendre mon plaisir. Quand ça m’arrive, je suis en manque toute la journée. Isa reconnait que mon manque non avoué existe:
- Tu as envie de jouir.
- Oui, je ne me suis pas branlée.
- Je vais te le faire
Allez comprendre pourquoi je me suis ainsi offerte à une femme. Isa ne demande pas mieux de me faire tomber dans ses filets. Elle continue à caresser ma poitrine. Je sens mes tétons durcir. Son autre main passe sur mon cou pour m’attirer vers elle et m’embrasser sur la bouche comme le faisait Jacques avant de me baiser.
C’est la première fois que je laisse une femme m’embrasser et me caresser. Je sais que les lesbiennes aiment s’aimer entre elle : là je suis la proie d’une adepte du saphisme pur. Je sais qu’elle veux que je jouisse, mais moi, je ne sais pas comment lui rendre ce qu’elle risque de me faire. Je ne me rend même pas compte que nos langues sont déjà réunies dans le ballet post baise.
Isa ne me laisse pas de calme pour me reprendre. Elle soulève mon haut pour défaire le soutien gorge. Mes seins sont à sa disposition. Elle embrasse les pointes en les faisant presque bander. Une main vient sur ma chatte, à travers le jean. Elle appuie aux endroit sensibles. Je ne m’aperçois que maintenant que je mouille. Il me tarde même qu’elle me touche. Sa science des femmes fait qu’elle défait la fermeture éclair de ma braguette pour passer une main vers mon secret. Elle commence à caresser le clitoris à travers ma culotte.
- Tu en a envie, hein ?
- Oui, caresses moi.
- Non, pas encore, déshabilles toi comme moi.
Elle le fait rapidement, je le fais lentement. J’ai ainsi le temps de voir son corps en détail. Qu’elle belle femme sexy avec ses seins bien durs qui pointent vers le plafond, sa taille fine à coté de la mienne, ses fesses bien rebondies qui attirent les mains baladeuses. Je ne parle pas de sa touffe en forme de cœur qui donne accès à sa chatte que je devine à peine. Elle aussi me regarde en détail. J’ai le tort d’aller lentement, assez pour qu’elle me voit en entier.
J’ai à la fois envie de ce qu’elle va me faire et d’un bite. J’espère qu’elle a au moins un gode.
Isa profite de ma station debout pour me prendre dans ses bras. Nous sommes pratiquement de la même taille, elle serre ses seins contre les miens. C’est à la fois sexy et bon. Nos pointes se touchent longuement. Elle recommence à m’embrasser. J’apprécie sa langue surtout quand elle me lèche les lèvres. Un main passe entre les fesses. Je la laisse faire en souhaitant qu’elle passe sur le petit trou. Je la tiens par la taille pendant qu’elle explore enfin là où je voulais. Elle caresse l’anus lentement, sans appuyer. Si elle continue elle va me faire jouir. Dommage, elle arrête avant. Son doigt passe sur le périnée, puis lentement, sur la chatte. Elle n’entre même pas dans le vagin, là où j’aime bien avoir une occupation.
Isa continue vers le clitoris. Elle le fait sortir de sa protection, puis lentement elle le caresse. Je tends mon ventre vers elle. J’ai un besoin urgent de jouir. Elle aussi sans doute quand elle prend ma main droite pour que je passe sur son sexe. Elle est mouillée au moins autant que moi. Je glisse facilement dans son piège à jouissance. Je vais directement dans son trou principal. Mon doigt joue à la danse du sabre. Je suis bien obligée d’arrêter pour respecter mon orgasme. Je jouis ainsi d’une femme. C’est bon, différent en plus doux d’une masturbation que peut faire un homme.
Cette fois c’est moi qui l’embrasse. Ma main reprend son travail de branle. Elle se crispe juste au moment où je sens les spasmes dans son vagin. Je suis étonnée de sentir l’effet de mon doigt dans son con.
- Viens allons nous faire du bien dans la chambre.
- Tu me suceras ?
- Bien sur, idiote.
L’idiote va lui monter ce qu’elle sait faire. Je lui défoncerais le cul avec deux ou trois doigts avant de me faire mettre de la même façon.
Elle ouvre le lit, m’y allonge sur le dos. Quand elle se couche elle se met entre mes jambes. Sa langue commence par lécher les orteils, puis en montant les mollets avant de venir entre mes cuisses. Elle lèche l’intérieur d’une jambe avant de descendre sur l’autre jambe. Elle remonte encore une fois, alors que je suis trempée de cyprine. Je crois bien que j’en ai jusqu’au cul. Vite qu’elle vienne sur mon con. Enfin elle le fait. En partie au moins. C’est d’abord mon rectum qui a droit le premier à cette caresse que j’aime tant. Puis, elle lèche le périnée et monte entrer sa langue dans le vagin. Elle s’y incruste longuement. C’est moins gros qu’une bite: le résultat seul compte, elle m’envoie au 7° ciel. Elle change d’endroit en venant plus haut. Elle suce dans sa bouche le clitoris. En le relâchant elle le reprend encore. Associée à un doigt dans le cul sa langue m’envois encore au paradis.
Isa ne me laisse aucun repos, elle se retourne complètement. Je comprends son désir d’un 69. J’aurais préféré la langue de Jacques. Mais en voyant ce sexe de fille près de moi, je me tends pour la lécher moi aussi. Je goûte avant la cyprine qui ressemble à la mienne. Je me mets à la tâche de lui donner du plaisir. Je ne fais que reprendre ce qu’elle m’a fait. J’oubli volontairement l’anus (j’ai peur de l’odeur de déjections) Je trouve que son intérieur est drôlement lisse à coté du mien. Je retrousse ma langue à la recherche de son point G que je trouve difficilement. A partir de là, elle est à ma merci, comme je l’étais un instant avant.
Je ne m’applique qu’à une seule chose : son plaisir. Je dois y réussir largement en la faisant jouir plusieurs fois.
Nous nous arrêtons pour nous remettre de nos émotions. Nous nous câlinons comme des amants repus. C’est vrais que nous somme en pleine baise depuis un peu plus de 2 heures.
- Tu es douée pour une première. J’ai envie de toi pour demain et sans doute les autres jours, tu es la meilleure que je connaisse.
- Je reviendras demain après midi, j’ai déjà envie de toi.
En arrivant chez moi, Jacques se demandait où j’étais. J’avoue que je faisais l’amour avec une autre femme. Il en est satisfait.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Huguette34
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...