Isabel me tend un piège pour le plus grand plaisir de Diego.

- Par l'auteur HDS Jay -
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Récit libertin : Isabel me tend un piège pour le plus grand plaisir de Diego. Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Isabel me tend un piège pour le plus grand plaisir de Diego.
J’ouvre la porte de l’appartement et j’entends une porte se refermer. Je dirais deux étages plus bas. Je ferme derrière et pèse sur le bouton d’appel de l’ascenseur. Des pas se font entendre. Il me semble qu’ils sont au moins deux à descendre l’escalier qui mène jusqu’au rez-de-chaussée. La porte de l’ascenseur s’ouvre. J’y entre, pèse sur le zéro et le bouton de fermeture des portes. La descente commence. Quelques secondes plus tard, la course de quatre étages se termine et les portes s’ouvrent. Devant moi, un couple terminant sa descente, apparaît.
Elle le devance. Une femme dans la quarantaine, blonde, plantureuse aux traits hispaniques, enfin je crois. Je dirais 1m70 sur stilettos, sac de plage à l’épaule, portant une maillot minimaliste sous une mante de plage vaporeuse. Elle tourne le coin en direction de la sortie, je sors à peine de l’ascenseur, la laissant passer. Il descend les dernière marches, 1m75 en sandales de plage, maillot hyper ajusté et portant un t-shirt tout aussi seyant laissant deviner un corps sculpté par des heures passées au gym. Il est aussi dans la quarantaine, cheveux en dégradés sel et poivre. Il passe devant et suit sa meuf. Il me sourit au passage.
Je ralentis le pas afin de pas être sur leurs talons. Ils s’avancent dans la rue, direction la plage en passant par le parc avant d’aboutir sur paseo de Las Canteras. Il suit toujours sa gonzesse, un peu en retrait, d’un pas nonchalant, regardant ici et là. Elle, par contre, enfile les pas, les jambes bien tendues, épaules hautes laissant danser sa natte blonde dans son dos. Je décide de les suivre.
Ils s’installent sur la plage nappée de sable beige et noir. Il lui prépare sa chaise longue, puis la sienne. Il enlève son t-shirt dévoilant ses abdos et pectoraux musclés à la perfection sous une peau parfaitement basanée, habituée aux bains de soleil. Elle l’imite. Plie sa mante qu’elle mets dans son fourre-tout, puis détache son haut laissant poindre deux jolies seins bien ronds et fermes, résultat sans doute d’une chirurgie esthétique. Le bas est un simple triangle qui tient par une ficelle bien enfouie entre ses fesses bombées. Ils s‘installent face à la ville d’où le soleil s’est levé quelques heures plutôt.
Je les observe du haut de paseo de Las Canteras. Elle semble si sûre d’elle et lui si attentionné à ses besoins. Quelque chose m’intrigue. Mais, bon, je me casse. Je dois aller au marché.
Je marche vers le nord sur le paseo de Canteras, profitant de cette belle journée ensoleillée. Les gens sont souriants, heureux et courtement vêtus sur cette promenade de bord de mer. Les hommes tout autant que les femmes arborent leurs attributs masculins et féminins sans aucun complexe. Le string est roi, et on privilégie le bronzage intégral. Je regarde les baigneurs sur la plage profiter du beau temps. Des femmes s’enlacent, des hommes s’embrassent. Des couples se caressent discrètement. Personne ne les embête. Merveilleux, me dis-je.
De retour à mon appartement, je dépose mes sacs, range les provisions au frigo et au garde-manger, puis décide de me préparer une salade que j’irai manger sut le toit juste au-dessus de mon appartement où se situe une terrasse.
Pendant que je cuisine, je ne peux m’empêcher de penser à ce couple qui mobilise ma pensée. Me hante. Je ne sais pas pourquoi? Hormis que je la trouve terriblement sexy et lui aussi. Que font deux êtres si physiquement parfaits entre les draps? La domine-elle? Ou est-ce plutôt l’inverse? Mon imagination opte pour la seconde option. Serait-ce un couple ouvert abonné aux sensations fortes dans lequel la sexualité prend beaucoup de place? Une sexualité un peu hors norme qui guide leur rapports amoureux, dont elle est la maître du jeu. J’imagine son amant avec sa belle gueule ramper à ses pieds. L’obéissant. Répondant à ses appels de lui lécher ses stilettos, puis les jambes, caresser ses cuisses tout en étant défendu de se toucher lui-même. Elle lui ordonne de se lever par le bout de sa cravache qui touche le dessous de son menton. Il s’exécute. Il la fixe dans les yeux pendant qu’il se relève. Elle le domine de son regard du haut de ses talons hauts vertigineux, simplement vêtue d’un string et d’un demi-buste en cuir noir luisant. Il se tient devant elle. De sa cravache, elle caresse la coquille de son slip de cuir noir et jaune. Elle passe son doigt dans l’anneau de son large collier de cuir. Le tire vers lui et lui lèche les lèvres avec la pointe de sa longue langue. Il ne doit pas ciller, ni bouger sous peine de châtiment.
Je m’imagine ce couple dans une dynamique de contrôle. Cela m’excite au plus haut point de penser qu’ils peuvent avoir une telle relation. Je finis de cuisiner et décide de partir pour la terrasse afin de me changer les idées et profitez de la vue sur l’océan.
J’ouvre la porte laissant dévoiler la terrasse. Quelle vue magnifique! Je regarde vers l’océan. Une table bistro s’y trouve. Je m’y installe en me disant que je visiterai le reste des installation après mon repas. Quelques instants plus tard un petit chien arrive derrière et me saute sur une jambe pour retenir mon attention. Je le regarde. Il est mignon. Il redescend et fait le tour de la table. Mais d’où vient ce chien? me dis-je. Il repart vers l’arrière et disparaît. Curieux, je me lève pour aller voir d’où il vient. Après avoir passé devant la porte de service qui mène au toit, je tourne à droite et aperçoit une méditerranéenne double dans laquelle le couple de ce matin est confortablement installé.
—Je ne suis désolé, dis-je embarrassé. Je me demandais d’où vient ce chien.
Souriant, la femme s’excusa que Kiko m’ait dérangé, pendant que je me confondais en excuse pour cette intrusion. Elle me répondit que non, il n’y avait pas d’intrusion. La terrasse était pour tous les résidents du complexe de huit appartements. Alors, il n’y avait pas de soucis. C’est sûrement la vue de ces deux amants quasi nus prolongeant leur séance de bronzage qui m’a amené à formuler des excuses. Excuses que la déesse me réitéra pour m’avoir dérangé à cause de la présence de son chien. Je lui dit poliment que cela ne me dérange pas et la remercie avant de retourner à ma table.
J’ai quand même pris le temps de bien les examiner pendant cette courte rencontre. Elle semblait avoir un grand respect pour les autres à sa façon même de s’excuser. Elle trouvait plutôt cocasse, enfin j’en déduis par sa réaction, qu’un nouveau co-locataire fasse sa rencontre en string, les seins nus, couchée auprès de son amant sur un toit. Elle a un corps de rêve, une peau couleur miel, des cheveux d’or, des lèvres charnues que j’aimerais bien voir cerclé mon zob. Son copain ne dit mot pendant cette brève rencontre. Il reste adossé confortablement, un bras derrière la tête, l’autre allongé. Il portait une maillot noir seyant laissant entrevoir une juteuse queue à la vue de cette tache luisante sur son maillot. Aussi, il avait le mamelon droit percé d’un fin anneau.
Troublé par cette rencontre, je rentrai chez-moi pour me changer et aller à la plage.
Quelques jours passèrent lors desquels je n’eus aucune occasion de revoir le couple du deuxième. Peu importe l’heure de mes sorties, rien. Je crus qu’il était reparti, les vacances étant terminées jusqu’à ce début de soirée lorsque je revenais de chez le boulanger. En tournant sur la rue notre édifice à logement, je les vois sortir et refermer la porte derrière eux. La femme vêtue d’un legging noire luisant et d’un haut sans manche me faisait dos, tandis que lui, portant jean bleu moulant et un perfecto de cuir me jeta un coup d’œil en tirant sur sa vapoteuse. Il détourne son regard rapidement et suit sa meuf qui à mon grand étonnement venait de faire l’accolade à une belle brunette aux cheveux longs. L’homme imite sa femme et lui fait la bise avant de partir avec les deux femmes. J’entre le code sur le clavier pour déverrouiller la lourde porte d’entrée de l’édifice tout en gardant un œil sur le groupe. Les femmes marchent ensemble devant. Lui, les suit et jette un autre coup d’œil par-dessus son épaule en ma direction. Je baisse les yeux légèrement. Son regard s’attarde et capte le mien en relevant mes yeux trop vite. Puis il disparaît dans la rue.
J’entre dans l’édifice et monte les marches jusqu’à mon appartement. J’ouvre et met le pied sur un papier. Une enveloppe. Tiens la proprio m’a sûrement glissé une note sous la porte, me dis-je. Je la décachète et sors une feuille. C’est une invitation à un apéro sur le toit ce vendredi. Tous les locataires d’appartements de vacances sont invités. Enfin, j’imagine. Sauf que l’invitation ne vient pas de la proprio. Curieux! Ce serait l’initiative d’un vacancier. Ça n’a pas d’importance, me dis-je. J’adore les apéros.
Cela fait bien deux jours que je n’ai vu le joli couple qui occupe mes pensées. En fait, depuis que je l’ai croisé avec cette brunette. C’est presque l’heure. Je sors de la douche et m’apprête à me préparer pour cette soirée apéro. Je me fais un chignon. Avec ma barbe de trois jours, ça me va à ravir. J’opte pour un jean blanc moulant, une chemise noire coupée près du corps et des baskets. J’attrape quelques bracelets au passage et un jonc que je porte au pouce droit. Je consulte ma montre. Il est 18 heures 15. Je me verse une coupe de vin blanc et quitte en direction de la terrasse.
J’ouvre la porte, la pénombre s’installe déjà. Personne à la table bistro. Je tourne vers la droite pour aller de l’autre côté. Les transats et la méditerranéenne sont aussi vides. Curieux! Je croyais que l’invitation était pour 18 :00 et personne ne semble arrivée. Je passe derrière pour aller dans la section sous la marquise où se trouve un salon de détente. Je m’avance et aperçoit la jolie blonde et son amant. Ils sont resplendissants. Elle porte une robe vaporeuse quasi transparente et lui un jean pâle et une chemise bleu ciel super seyants.
—Holà! me lance l’hôtesse avec un sourire ravi de me voir.
—Holà! lui dis-je tout souriant aussi. Je m’appelle Zach.
—Enchantée Zach. Me llamo Isabel.
—Diego! fit l’homme en levant la main en signe de salut
—Merci de l’invitation. Je suis ravi de faire votre connaissance.
—Nous aussi Zach, affirme Diego. On y pensait depuis un certain temps.
—Ah!
—Dès qu’on t’a vu, on s’est dit qu’il fallait trouver une façon de se rencontrer.
—Ah! Bon ! dis-je, étonné.
—Ouais. En fait, on te trouve séduisant, dit langoureusement Isabel.
—Je vous remercie. Euh…
—On aurait une proposition pour toi, lance Isabel en se décroisant la jambe et se levant.
—J’écoute, répondit-je le cœur battant à la fois excité et nerveux.
Je jette un regard rapide à Diego qui tire sur sa cigarette en me fixant droit dans les yeux. Isabel se rapproche de moi tel un félin. Elle plie un genou, s’appuie sur la jambe opposée, dépose une main sur mon épaule et s’avance légèrement pour le susurrer à l’oreille en s’assurant bien que ses lèvres effleurent mon lobe.
—En fait, on se demandait si tu étais partant pour baiser avec nous?
Je tourne mon regard vers Isabel, mes lèvres frôlent les siennes. Elle n’a qu’à les remuer pour m’embrasser. Ce qu’elle fait sous les yeux de Diego qui me fixe toujours d’un regard lascif. Il tire sur sa cigarette une dernière fois, exhale et s’avance vers moi. Je suis troublé, excité. Tout roule très vite dans ma tête. Je comprends sa demande. Mon cerveau ne semble pas y croire.
Je retourne la tête vers Diego cette fois. Isabel toujours accrochée à mon épaule. Il s’arrête devant moi et m’effleure de sa main mon entre jambe. Il me fixe encore les yeux mi-fermés. Je sens son haleine de tabac tant il est près. Isabel descend sa main sur mes fesses. Puis pivote derrière moi. Je la regarde du coin de l’œil. Elle colle sa poitrine contre moi pour mieux me chuchoter à l’oreille.
—Et puis? demande-t-elle avant de déposer un bisou.
La main d’Diego remonte et s’arrête légèrement derrière mon cou qu’il saisit langoureusement. Je retourne la tête vers lui. Nos regards se croisent. Isabel m’enlace. Je sens ses siens pointus presser mes muscles dorsaux. Diego se colle à moi et force sa langue dans l’ouverture de ma bouche qui l’accueille avec volupté.
—Je crois que c’est oui! dit-elle doucement. Chez toi ou chez moi?
Ne pouvant répondre. Ma bouche suçant celle d’Diego, Isabel annonçant que nous descendions au deuxième pour la suite.
Diego se retire. Isabel aussi me jetant un coup d’œil coquin et se mordant la lèvre inférieur.
—Tu viens ? dit-elle, en hochant la tête en direction de la sortie.
Subjugué, je les suis.
Arrivés à l’appartement, Isabel me prend par la main et m’amène dans leur chambre. Elle m’ordonne de ne pas bouger et se met à déboutonner ma chemise en me regardant de son regard perçant. Je dépose mes mains sur ses hanches, mais je me fais rappeler de l’interdit. La chemise tombe au sol, et Isabel glisse doucement ses mains sur mon torse jusqu’à la boutonnière de mon jean qu’elle entreprend d’ouvrir lentement. Ses yeux rivés sur les miens, sa langue dessinant doucement des cercles sur ses lèvres pulpeuses. Mon jean est tel une deuxième peau, et Isabel m’intime de m’en défaire. Puis, elle insère ses index sous la bande supérieure de mon slip, le tire légèrement pour laisser passer ma queue et le descend. Me regardant toujours, la bouche entrouverte, elle saisit mon pénis et se met à répandre le liquide séminale qui s’écoule sur mon gland. Toujours interdit de la toucher, mon corps tremble sous un spasme. Je lève la tête, mon souffle s’accélère. Elle me domine. J’adore.
Diego qui observe la scène s’est, entre temps, déshabillé. Il attend l’appel de sa maîtresse pour entrer en scène. Que fera-t-elle? Lui demander de lui faire l’amour pendant qu’elle me caresse? Je la verrais se faire empaler pendant qu’elle me fait une fellation. Elle couinerait de plaisir. Il la baiserait virilement sous mes yeux. Peut-être me laissera-t-elle lui faire l’amour. Je la pénétrais profondément jusqu’elle me demande de cesser, épuisée. Or, je ne sais ce qui m’attend? Ce qu’elle désire? Ce qui l’anime?
Isabelle se baisse. Sa langue touche doucement mon méat et cueille du sperme qui coule le long de ma verge. Elle l’empoigne solidement et me caresse les bourses de l’autre main. Elle dépose ses délicieuses lèvres sur mon gland qui finit par disparaître dans sa bouche aux lèvres rouges luisantes. Puis, se l’enfonce dans la gorge. Je suis en transe de plaisir et tente de lui prendre la tête. Mais Diego me l’empêche. Il m’attrape les mains et les joint derrière mon dos. Il me bande les yeux pendant qu’Isabel continue sa fellation divine. Mon corps est soudainement secoué par des spasmes de jouissance. J’essaie de me retenir. Isabel l’a deviné et se relève pour furtivement me voler un bisou. Elle goûte le sperme.
Elle fait signe à son amant de lui amener son butin pendant qu’elle s’adosse confortablement contre la tête de lit. Diego me guide pour que je monte sur le lit, par le pied et m’installe à quatre pattes devant Isabel. Pourrais-je enfin la toucher? Je meurs d’envie de lui lécher la vulve dégoulinante, de prendre son clitoris entre mes lèvres pour le titiller avec le pointe de ma langue. J’avance vers elle. Je sais que je suis près. Diego semble monter dans le lit derrière moi. Je suis à la fois excité et insécure de ne pas savoir. J’ai perdu mes repères. La main d’Isabel me caresse une joue et le cou. L’autre me touche un mamelon qui durcit instantanément. Je suis près du but, me dis-je. Après tant d’attente, je vais pouvoir goûter au fruit défendu. Or, je sens plutôt la queue de Diego chauffer ma raie. Ses mains se déposent doucement sur mes hanches. Il me presse contre lui. Je me relève un peu. Surpris. Isabelle prend mes avant-bras et me rabaisse jusqu’à ce que mes mains touchent le matelas de nouveau.
—Diego va te féconder. Je veux le voir te démonter avec son gros zob et t’entendre le supplier de te baiser, m’annonce-t-elle.
Le sang me glace soudainement. J’essaie de décoder ce qui m’arrive. Mais, sans plus attendre, Diego me saisit fermement les hanches et pousse son gland contre mon sphincter qui cède. Il pousse encore et enfonce son énorme pénis en moi me laissant bouche bée et aphone. Il se retire un peu et m’enfonce de nouveau jusqu’à sentir ses testicules frappés mon plancher pelvien. Je relaxe un peu. Sachant que je ne pourrais me défaire de son emprise, il commence à me pomper lentement et régulièrement. Je retrouve la voix et émets des couinements, bien malgré moi.
—C’est ça mon Loup! Lamine-le lentement. J’adore quand tu le fais gémir. Tu aimes mon amour?
—Oui ma reine. Il est chaud et son joli fion est bien serré.
—Et toi Zach? Tu es si joli à voir. Tu aimes?
—Ahh! Ahh! Ahhhh! répondit-je sous les assauts répétés de l’amant d’Isabel.
—Il aime Diego. Tu entends. Je ne me doutais pas que tu étais gay? Tu as une gueule si virile.
—Han! Han! Hum! Je ne suis…Ahh! Ouuhh!
—Pas nécessaire de répondre. À te voir jouir, c’est évident. N’est-ce pas Diego?
—Il est une merveille à baiser. Merci ma reine pour ton offre.
J’essaie de me relever pour m’extraire cette gigantesque queue qui me fore le cul sans merci. Mais Diego passe ses larges bras musclés sous mes aisselles et me serre contre lui. Je sens sa chaude haleine contre ma joue. Il halète de plaisir. Je tente une autre manœuvre. Mais, il me serre plus fort contre lui avec le résultat que sa queue s’enfonce plus profondément en moi me soutirant un cri de jouissance sans conteste. J’abdique. Son emprise est trop forte et mon corps est épuisé par cette sodomie des plus jouissives. Je tourne la tête vers l’arrière pour indique que je me rends. Il me vole un baiser. Je lui en retourne un en quémandant sa langue cette fois.
—Gozar muchacho! me souffle-t-il à l’oreille.
À suivre

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