Isabelle découvre le sexe pluriel.
Récit érotique écrit par SAM BOTTE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Isabelle découvre le sexe pluriel.
Je travaille comme serveuse dans un restaurant pour payer mes études. Je vois arriver un client qui ne me laisse pas indifférente, grand métis, une trentaine d'années. Mon ex tout craché, c'est certainement pour cela que je ressens une pointe d'excitation en le regardant s'installer. Je ne m'occupe pas de sa table malheureusement, c'est un de mes collègues, cependant je cherche souvent son regard, nous nous adressons des coups d’œil complices avec des sourires. Pourtant, je le vois régler sa note et quitter sa table avec ses amis sans un regard dans ma direction. Je ne termine que dans une heure, c'est donc déçue que je continue mon travail.
En quittant le restaurant vers vingt deux heures trente, j'aperçois une voiture noire qui stationne à l'angle de la rue, elle vient vers moi, je reconnais avec une pointe d'excitation le client qui m'a plu.
- Montez ! Je vous ramène ou vous voulez ?
Je m'installe, le remercie naturellement. Nous ne parlons plus, il roule, je ne réfléchis même pas au fait que je ne lui ai donné aucune adresse où me conduire, je me contente de l'observer. C'est un très bel homme, son visage est parfaitement serein, j'admire son profil puis son torse sous sa chemise. Pour moi, c'est un très beau métis africain.
Il s'arrête sur un parking extérieur, rien de vraiment glauque. Ensuite, nous commençons à discuter.
Après il ne dit plus rien, il ne me demande même pas mon prénom. Hors, il déboutonne son pantalon et en sort son sexe ?
Il est assurément énorme, aussi gros que dans les films pornographiques que nous regardions avec mon ex. Je suis dégoûté d'un coup, il a sorti son énorme bite sous mes yeux, alors qu'il sait que je ne suis pas en couple, pourtant je ne bouge pas. Il empoigne, doucement mais fermement mes cheveux et abaisse ma tête vers sa bite, honteuse je sens une bouffée de chaleur dans mon bas ventre.
Il laisse glisser de la salive sur son sexe, il entrouvre ma bouche avec deux doigts, il me maintient toujours la tête avec son autre main, ensuite il enfonce son énorme bite entre mes lèvres. Je hoquette, elle m'étouffe, mais il appuie de plus en plus fort. Cependant, je ne résiste pas, bientôt il me faut de l'air, il le comprend, sort sa queue de ma bouche, il m'en tapote les lèvres. - C'est bien, soit docile Isabelle, soit sage, c'est bien !
Étrangement ces simples paroles m'excitent, de moi même je reprends son sexe dans ma bouche, pourtant je ne sais pas bien comment m'y prendre, il est bien trop gros, j'ai peur de lui faire mal avec mes dents, je me contente donc de lui lécher et de bien lui sucer le gland. Je commence à sentir une chaleur agréable entre mes cuisses, je me demande si je vais pouvoir profiter de l'expérience de cet homme plus âgé que moi. Je le suce tranquillement en me livrant à des pensées plaisantes quand il me surprend désagréablement.
Il saisit brutalement ma tête de ses deux mains et tente de m'enfoncer sa bite au fond de la gorge avec de violents coups de rein en m'intimant de me laisser faire, je veux hurler, mais son sexe obstrue ma bouche, une violente envie de vomir me prends chaque fois que je sens sa queue s'enfoncer très profondément. Je suis déjà au supplice quand je sens un liquide chaud au fond de ma gorge, ça y est je vomis que je réalise humiliée, je vomis sur sa bite.
Cependant, je l'entends gémir encore et encore. Moi, la bêtasse, je comprends que, non je ne vomis pas, c'est lui qui éjacule puissamment dans ma gorge.
Quand il a fini, il libère ma tête, j'ai des larmes plein les joues à cause de tous mes hauts le cœur, je n'ose rien dire, je n'avais jamais fait ça à mon ex, j'ai bien entendu des filles raconter cette pratique, que je n'ai jamais osé faire, mais je ne regrette pas ce qui s'est passé, surtout que mon string est trempé, ce qui n'arrive pas souvent, car d'ordinaire je ne mouille pas beaucoup. Il essuie les larmes de mes joues, me laisse reprendre mon souffle, il me sourit.
Ensuite, il soulève avec douceur et assurance ma jupe, ce qui laisse apparaître ma petite chatte épilée et humide, il ne la touche même pas.
- Ôtes ton string ma douce, je le ferai bien moi même, mais les sièges avant de l'auto ne correspondent pas au lieu idéal pour se déshabiller mutuellement.
Subjugué, j'obéis, j'observe que lui n'enlève rien.
- Maintenant, enfonce ta chatte sur le levier de vitesse.
- Pardon ?
- Si tu veux que ma bite rentre dans ta petite chatte étroite de jeune fille, il faut que tu commences par ça ?
Choquée, pourtant j'obéis quand même, je me mets à califourchon au dessus du levier, j'ai honte, je me sens ridicule, j’hésite, mais l'énorme claque qu'il m’envoie sur le cul me convint. J'appuie d'abord tout doucement ma chatte sur le levier, faisant rouler mon clitoris sur le pommeau, je sens ma mouille couler sur mes cuisses ainsi que sur le levier, ça m'excite. C'en est trop, j'enfonce d'un coup ma chatte sur le levier, le faisant rentrer jusqu'au bout en poussant un cri de plaisir.
L'homme m'empoigne les fesses, il me fait faire des allées venues brusques sur le pommeau, je gémis de plus en plus fort, je regarde l'énorme bite de cet homme. Je me demande pourquoi est ce que je m’apprête à jouir de cette façon alors qu'une queue gigantesque repose à côté de moi. Puis je ne m'en occupe plus, mes gémissements deviennent des cris, lorsque je sens ma mouille inonder le levier de vitesse, un superbe orgasme me terrasse. L'homme lâche mon cul, c'est fini. Je m'écroule groggy sur le tableau bord de la voiture.
Je reste ainsi un bon moment, pendant ce temps, il me caresse le dos. Je me sors du levier enfoncé dans ma chatte et me rassois sur le siège passager.
- Tu veux dormir chez moi ce soir ?
- Oui. ?
- Alors préviens tes parents.
Il me tend son téléphone, j'appelle ma mère, honteuse d'être si dépendante devant cet homme. Elle m'autorise à dormir chez une copine.
Nous roulons peut-être un quart d'heure, je lui parle du lycée, avant de nous arrêter devant un grand bâtiment, assez chic. Je ne me souviens plus trop comment se sont déroulées les choses ensuite. Nous montons, lorsque nous rentrons, ses amis du restaurant sont déjà là. Ils sont vautrés dans le canapé et ils regardent tous un smartphone. Mon entrée est alors très remarquée. Je ne m'attendais pas à ce qu'il y ait autant de monde. Moussa me présente ses deux copains, Trésor et Malik cependant, il y a aussi d'autres garçons, j'entends des remarques plus ou moins salaces sur ma tenue. Moussa leur fait signe d'être plus discret, hors je n'y prête guère attention, obnubilé par mon beau basané qui s'avance vers moi. Tous les yeux sont pourtant rivés sur moi et cela aurait dû m'interpeller, mais je suis déjà ailleurs, dans les bras de mon homme.
Moussa m'invite à venir m'asseoir sur le canapé. Sur la table, il y a plus de bouteilles d'alcool que d'invités et les joints tournent déjà.
On me sert une vodka orange, on me tend un joint, de nouveau je bois un autre verre. En peu de temps, la tête me tourne. Les gars rient et la musique forte couvrent leurs discussions, malgré tout souvent j'entends mon nom. Je ne comprends pas ce qu'ils disent, mes pensées sont embrumées par l'alcool.
Moussa me prend par la main, il m'aide à me relever. Je le suis docilement, titubant quelque peu. Il pousse la porte d'une chambre et sitôt celle ici refermée, il m'enlace. Je me laisse embrasser tandis que ses mains glissent dans mon dos et sur mes fesses. Il me pousse sur le lit, je sens ses mains dégrafer ma ceinture. Il tire ma jupe, entraînant par la même mon petit string. Ses mains remontent le long de mes cuisses, il les écartent.
Je sens alors sa bouche se poser sur mon sexe et sa langue se mettre à fouiller mon intimité. Je me mets à gémir sous cette caresse, je glisse ma main dans ses cheveux. Je sens mon sexe se lubrifier à chaque coup de langue sur mon clitoris. Il se relève, alors je l'observe du coin de l’œil se déshabiller. Il se rapproche de nouveau de moi et dégrafe mon haut. Les bretelles de mon soutien-gorge glissent de mes épaules, il tire celui-ci vers le bas, faisant jaillir mes seins.
J'entends un bruit de sachet que l'on déchire. Il est entrain de mettre un préservatif. Je le sens alors se positionner entre mes cuisses. Il frotte son sexe contre le mien et s'y enfonce lentement. Une douleur vive me fait pousser un petit cri. Ça y est, Moussa est désormais complètement en moi. Il fait donc de lents va et viens. La douleur fait place à une douce chaleur qui irradie tout mon bas ventre.
Je m'agrippe donc à ses hanches et accompagne chaque mouvement. Il se met à aller et venir avec plus de force et de rythme. Je gémis sous ses coups de reins. Moussa me fait l'amour pendant de longues minutes, il me fait me retourner, il s'agrippe à mes hanches pour me prendre plus fort.
C'est délicieux, même si je n'ai pas trop les idées claires avec l'alcool que j'ai dans le sang, je ressens un plaisir certain à le sentir aller et venir en moi. Il donne un dernier coup de reins et s'immobilise, je sens les spasmes de sa verge en moi. Il est entrain de jouir au fond de ma grotte, ce qui donne le départ de mon orgasme si longtemps retenu. Il se retire et m'embrasse dans le cou.
Il reste un instant contre moi tandis que je somnole. Je le sens se relever, se rhabiller puis quitter la pièce. Je ne réagis pas, reste là allongée, nue.
Quelques instants plus tard, la porte se rouvre et aussi se referme. Je sens ses mains se poser sur mes cuisses et remonter vers mon entrejambe. Ses doigts glissent sur mes lèvres intimes, elles entrent en moi, il me fait sortir de ma léthargie. Je me cambre davantage, remonte mes fesses pour mieux accueillir la caresse. Ses doigts se mettent à fouiller mon intimité. Ils glissent facilement. Il se redresse, je l'entends se déshabiller. Il me saisit par les hanches, il me tire vers lui. Je me retrouve alors à quatre pattes sur le lit. Une nouvelle fois, j'entends le bruit d'un papier que l'on
déchire. Il enfile un nouveau préservatif.
Il me pénètre brusquement, s'enfonce en moi jusqu'à la garde, il m'arrache un râle de surprise. Il se met ainsi à me baiser à grands coups de reins, il me fait tressauter sur le lit, s'agrippe fermement à mes hanches. Je gémis, j'étouffe mes cris de plaisir dans l'oreiller face à moi. Son sexe tape au fond de mon puits d'amour, ça me procure comme des petites décharges électriques. J'ai l'impression qu'il est plus long que tout à l'heure, cependant je pense que c'est le fruit de mon imagination, car je n'ai connu aucun autre amant que mon ex. Il s'agite encore un moment puis se retire soudain, arrêtant le monté de mon orgasme. Je l'entends alors étouffer un râle, je sens les giclées chaudes de son sperme s'écraser sur mes fesses. Sitôt fait, je l'entends se rhabiller et avant même que je n'ai le temps de dire ouf, j'entends la porte de la chambre se refermer. Je m'écroule sur le lit, morte de fatigue.
Dehors la nuit est tombée, la chambre est désormais plongée dans la pénombre. Alors que je somnole de nouveau, la porte s'ouvre et le filet de lumière me réveille. Je vois une ombre pénétrer dans la chambre puis la porte se referme.
- Oh ? Viens. Que je lui dis en lui tendant la main. J'ai envie de reprendre la montée de mon orgasme interrompue.
Il laisse sa main glisser sur mon dos jusque dans mes cheveux qu'il caresse doucement. J'entends alors le zip de sa braguette ensuite, le bruit de ses vêtements qui glissent à terre. Sa main prend la mienne, il la pose sur son sexe endormi. Je le branle doucement le sentant gonfler entre mes doigts. Je le sens se rapprocher encore et j'ouvre naturellement ma bouche pour l'accueillir. Je me mets à le sucer avec plaisir, le sentant encore grossir dans ma bouche. Cela dure plusieurs minutes jusqu'au moment où je sens son sperme chaud couler dans ma gorge. J'avale son plaisir pour la première fois, chose que je n'ai jamais faite avec mon ex.
Il n'a pas émis un seul son et tandis que je m'essuie la bouche, je vois la porte s'ouvrir et son ombre disparaître, puis revenir vers moi.
- Alors Isabelle, la soirée te plaît ? Me demande Moussa.
- Oh oui ! Tu es incroyable ? Viens contre moi.
- Attends moi ! Je reviens.
Qu'il me répond.
Je l'entends ressortir et quelques secondes plus tard rentrer de nouveau. Il s'allonge contre moi et m'embrasse dans le cou. Je me retourne face à lui, les yeux fermés. Je me sens bien dans ses bras. Il termine de retirer ses vêtements, il me pelote les seins, les comprime et aussi les embrasse. Je sens contre moi son sexe dur de nouveau. Je n'aurais jamais cru qu'un homme pouvait bander et jouir plusieurs fois, en si peu de temps. Je m'en saisis. Il parait encore plus gros que tout à l'heure, car je peine à en faire le tour avec ma main. J'embrasse son torse et descends vers son sexe. J'ouvre la bouche, je l'aspire dans ma gorge. Il m'étouffe, je ne le garde pas longtemps, je peine au niveau de mes mâchoires. Il se redresse alors, il me fait basculer sur le lit. Je sens tout son poids s'écraser sur moi. Il se relève, ensuite je l'entends mettre un préservatif.
J'ouvre les yeux, mais la chambre est désormais complètement dans le noir. Je ne devine qu'une ombre massive au dessus de moi. Son sexe se fraye un chemin dans le mien. Pour la quatrième fois de la soirée, je sens son sexe entrer en moi, c'est encore une nouvelle sensation. J'aime, car à chaque fois les sensations sont nouvelles. Il me fait l'amour lentement et au bout de plusieurs minutes, je sens la remontée de mon orgasme interrompu parcourir mon corps, puis c'est comme une explosion au creux de mes reins. Mon orgasme éclate aussi sans aucune pudeur, je crie ma jouissance.
Mon amant ne s'arrête pas pour autant, il continue ses vas-et-viens tandis que mon corps est secoué de spasmes délicieux. Il finit par s'arrêter, il attrape ma main. Je prends de nouveau son sexe entre mes doigts, je le branle énergiquement au dessus de mon ventre. Le premier jet de sperme s'écrase sur mes seins puis plusieurs autres coulent sur mon ventre.
Je l'entends à peine gémir, simplement sa respiration s'accélère. Il se retire du lit, je le vois quitter la pièce. Dans l'embrasure de la porte, tandis que la lumière du couloir m'éblouit, je ne reconnais pas la silhouette de Moussa. J'ai l'impression de voir quelqu'un d'autre, quelqu'un de plus costaud.
Je reprends peu à peu mes esprits, je cherche de quoi m'essuyer, du sperme coule sur ma peau. Alors que la porte s'ouvre de nouveau. Moussa apparaît à contre jour.
- Alors ma belle ? Toujours d'attaque ? Me demanda-t-il.
- OUFF ! J'avoue que tu ne me laisses pas beaucoup de répit.
Il se rapproche de moi et m'embrasse sur la bouche.
- Tu apprécies ta soirée ?
- OH ! Oui, tu es incroyablement résistant, tu m'as fait jouir plusieurs fois ce soir !
Que je lui réponds amoureusement...
- Tu as joui plusieurs fois, mais pas que grâce à moi.
- Comment ça ? Pourquoi tu dis : Pas que grâce à moi ? Je ne comprends pas !
- Tu promets de pas te fâcher ?
Je ne vois pas pourquoi je me fâcherai donc je lui promets.
- Bon ? Après notre premier câlin, tu as aimé les suivants.
- OH ! Oui. C'était très bon !
- Alors, sache que les suivants, ce n'était pas moi !
- Hein ? Quoi tu dis ?
Prise de panique, je me redresse. Les effets de l'alcool se sont estompé d'un coup. Je me rends donc compte que j'ai été dupée, Moussa m'a attiré ici pour que ses copains profitent de moi. Je comprends ainsi l'horreur de la situation. J'ai été abusée par trois autres garçons ce soir. Tandis que j'avais refusé à mon ex un plan à trois.
Moussa tente bien de me calmer, cependant je me mets à le taper de toutes mes forces, je lui crie que c'est un salaud ! Qu'il a profité que je tombais amoureuse de lui, pour me livrer sournoisement à ses copains. Je tente de retrouver mes vêtements, je n'ai plus qu'une idée, fuir ce lieu.
Dans la semi pénombre, je ne retrouve que mon haut et ma jupe, tant pis pour mes sous vêtements.
Il me rattrape avant que je ne sorte de la pièce.
- Ne t'énerves pas isabelle, ce n'est pas comme ci tu n'avais pas aimé ! Tu as pris tellement ton pied plusieurs fois, que tout le monde t'a entendu !
- T'es qu'un salaud ! Vous êtes tous des salauds !
- Ouais ! Bien toi aussi tu es une sacré salope ! Tu as aimé jouir avec nos queues et maintenant tu joues les saintes ni touches !
- Tu m'as trompé, tu as profité de ma faiblesse amoureuse pour abuser de moi !
- Ouais ! Et alors ? Ne me dis pas que ça ne t'a pas plu ! Tu as adoré te faire sauter comme une chienne !
Ce salaud a raison, ce soir, j'ai découvert des plaisirs incroyables que je n'avais connu avec mon ex. C'est la première fois que j'ai joui autant plusieurs fois de suite, cependant ce n'est pas une raison, il n'avait pas le droit de me faire ça !
Moussa me serre dans ses bras. Il est derrière moi, je sens que ce salaud bande contre mes fesses !
- Allez calmes toi ? Tu as bien pris ton pied, nous avons aussi pris le nôtre. Avoues que c'était bon et que tu as aimé ça !
- Le problème n'est pas là. Moi ! Je passe pour quoi maintenant ?
- Pour ma petite pute blanche ! Tu es faite pour le sexe. Je l'ai vu dès que tu es monté dans la voiture.
- Non mais oh ! Ça va pas ! Je suis pas une pute !
- Bien sûr que tu n'es pas une pute ! Mais ? Une fille qui se fait jouir sur le levier de vitesse de la voiture d'un inconnu, a sa première rencontre ! Tu appelle ça comment ? C'est ma voiture, alors ? Tu es ma pute !
Ce salaud a abusé de moi à mon insu ? Il me considère désormais comme sa pute et celle de ses copains.
Je le repousse, mais il continue de me tenir fermement, son sexe ne cesse de grossir contre mes fesses. Il me plaque ainsi contre le mur, avec ses pieds, il écarte mes jambes. Son sexe trouve directement le mien, il me pénètre d'un coup. Une nouvelle vague de chaleur me submerge. Je tente mollement de le repousser, il se met donc à me baiser avec force m'arrachant des râles de plaisir. Malgré moi, la situation m'excite au plus profond de mon être, cette soirée qui m'a transformé de petite ingénue à salope, restera gravé à jamais dans ma mémoire.
Moussa se met à me pilonner avec la régularité d'un métronome. Je le supplie de continuer. Je ne contrôle plus mes sens. Il m'attire sur le lit ou il s'allonge. Je le chevauche de moi même, j'enfonce sa queue au fond de mon puits d'amour. Il plaque ses mains sur mes seins, je retire mon haut. Ainsi il me les triture sans ménagement, agaçant mes tétons durcis.
- Tu veux être ma pute ? Dis moi que tu es ma pute Isabelle ?
Je sens une nouvelle fois un orgasme monter en moi, c'est comme une délivrance lorsqu'il éclate au creux de mes reins.
- OUI ! Je suis ta pute ! Je suis tout ce que tu veux !
Je me rends alors compte que cette fois, il n'a pas mis de préservatifs, donc avant qu'il ne jouisse à son tour, je me retire, je me précipite sur son sexe tendu. A quatre pattes sur le lit, je me mets à le sucer, attendant avec impatience qu'il me crache sa semence.
Dans l'excitation, je n'ai pas vu que la porte de la chambre s'est ouverte. Les copains de Moussa sont là à contempler le spectacle. Je sens alors les mains d'un des hommes se poser sur mes hanches et l'instant d'après son sexe me pénètre. Je me laisse baiser sans me retourner pour voir la tête de mon baiseur. La scène excite encore davantage Moussa qui se met à jouir dans ma bouche en plusieurs jets épais que j'avale amoureusement.
Je suis toujours agenouillé pour gober la première bite que se présente, on continue à me lécher, alors que cette fois, c'est mon anus, qui est le centre des attentions. Je subis aussi les assauts répétés de doigts dans ma chatte, ça y est, je ne suis plus moi même, je suis plus celle que je cache en société, je suis la salope de Moussa. Je suce la bite de quelqu'un que je ne connais pas, cependant je le fais avec passion et vigueur. Il me la met au fond de la gorge tout en branlant deux mecs qui sont chauds bouillants, il faut que je les suce aussi, égalité oblige.
Le second a une bite tout à fait différente, plus petit et plus large, elle n'a pas le même goût, tout comme son sperme, néanmoins cela ne m'empêche pas de la bouffer. Le troisième est un bavard, il me dit que je suis une pute, que j'aime la bite tout en m'assénant des petites claques humiliantes, je mouille encore plus et je me soumets. Après quelques minutes de ce traitement, je suis bouleversé par un puissant orgasme, ne peux retenir un cri de jouissance quasi bestial.
J'entends Moussa crier qu'il faut me mettre sur la table. Je suis transportée comme un objet sexuel sur la longue table du salon. On me met sur le dos, on me tend les bras pour que je saisisse deux bites, on m'écarte les cuisses puis on m'enfonce des doigts, une autre bite vient s'inviter dans ma bouche, il est à genoux sur moi. Mon corps ne m'appartient plus, je suis un objet sexuel, je m'offre totalement. Je ne pense même pas à Moussa qui filme sa nouvelle pute au milieu de sept mâles qui ne se sentent plus. Je me sens incomplète, je ressens une sensation de manque, il faut que je les sente en moi.
Oui, je dis sept, car d'autre sont venus pendant que l'ont été dans la chambre. J'aimerais demander à celui qui me doigte de me la mettre une bonne fois pour toute ? Hors, on baise ma bouche et le sperme m'empêche presque de respirer ce qui ne me dérange pas du tout en réalité.
L'inconnu du dessus laisse place à quelqu'un d'autre, j'ai le temps d'avaler, le second est plus doux, il choisit de me tourner la tête pour qu'il se serve de moi debout à côté de la table. Je branle toujours deux mecs qui ne sont pas à chaque fois les mêmes.
Ah, c'est bon, il me la met enfin, je mouille comme pas possible, je me dilate sous les coups violents de celui-ci. Je tressaille à chaque pénétration, bringuebalée, je suis une salope. Ils passent tous à la suite dans ma chatte, tous différents. Certains réclament une sodomie, ce mot résonne dans ma tête, je veux enfin me sentir complète et totalement remplie. Il me transporte par terre, Moussa, hurle pour se faire entendre, qu'il faut se mettre sur le canapé.
Tout le monde obéit au cameraman, moi, toute seule sur le carrelage froid, je les vois tous m'attendre, je marche à quatre pattes d'une manière féline jusqu'à eux. Je les regarde droit dans les yeux, je m'agenouille sur le canapé, quatre s'assoient sur le dossier, je les suce à la suite pendant qu'on me doigte le cul violemment alors qu'on me met un objet froid dans la moule, je ne sais pas ce que c'est et je m'en fous. J'aperçois mon Moussa tourner autour du canapé, immortalisant cette autre soirée de déchéance sexuelle.
Un d'eux interrompt tout le monde pour se mettre sous moi et me mettre sa bite dans ma grotte. Je change de bite, je suce désormais Moussa qui me fixe et à qui je retourne le regard. Il me traite de chienne. Une fessée vient s'abattre sur ma fesse droite, puis un bruit de crachat dont je ne remarque même pas les particules humides sur mon cul, je sais que c'est le signal de départ. Il me l'enfonce dans le cul doucement jusqu'à passer la barrière.
Il la ressort, il réitère l'opération quelques fois avant de me bourrer littéralement le cul, ça y est, je suis complète, ou presque, il me manque toujours quelque chose, je ne suis pas encore rassasiée, mais ça je n'y pense pas, car je ne suis pas vraiment capable de penser en ce moment. Tous passent par mon cul, seule condition, s'ils veulent passer du cul à la chatte, je les nettoie avec la langue.
C'est alors le défilé de bites dans ma bouche ainsi que dans ma moule trempée. Les sept hommes me baisent une bonne partie de la nuit, ils se relayent pour me faire jouir. Je ne suis plus qu'un objet sexuel dans leurs mains, je deviens en l'espace de quelques heures la petite pute blanche de Moussa comme ils aiment me le dire.
Je suis là, nue, jambes écartées et encore l'esprit embué par un orgasme.
Je décide alors de me rhabiller rapidement et de fausser compagnie à ses baiseurs. Qui sait s'ils n'allaient pas la faire sauter par d'autres copains.
- Mais où sont mes sous vêtements ?
- Ah, on les garde. Si tu veux les récupérer, il faudra qu'on se revoie. Tiens, je rentre mon 06 dans ton portable. Et comme photo de contact, je mets ma bite ! S'esclaffe Moussa, tout en prenant une photo de son engin avec mon portable.
Je remets ma jupe et mon haut, je récupère mon portable et quitte mes amants d'un soir.
En se hâtant vers chez moi, je n'en reviens pas de rentrer nue sous ma jupe et surtout pleine du sperme de types que je ne connaissais pas il y a encore trois heures !
Heureusement pour moi, mes parents dorment à mon arrivée. Je me précipite à la salle de bains pour prendre une douche et se débarrasser de l'odeur de sperme et de stupre qui se dégage de moi. Vraiment, je ne pensais pas être comme ça.
Mais qu'est ce que c'était bon!
Moussa sait maintenant qu’il a à sa disposition une petite pute docile et soumise, prête à tout pour le satisfaire et satisfaire ses moindres désirs.
Dire que mon ex m'a laissé tomber parce qu'il trouvait que j'étais trop prude, pas assez dévergondé à son goût.
En quittant le restaurant vers vingt deux heures trente, j'aperçois une voiture noire qui stationne à l'angle de la rue, elle vient vers moi, je reconnais avec une pointe d'excitation le client qui m'a plu.
- Montez ! Je vous ramène ou vous voulez ?
Je m'installe, le remercie naturellement. Nous ne parlons plus, il roule, je ne réfléchis même pas au fait que je ne lui ai donné aucune adresse où me conduire, je me contente de l'observer. C'est un très bel homme, son visage est parfaitement serein, j'admire son profil puis son torse sous sa chemise. Pour moi, c'est un très beau métis africain.
Il s'arrête sur un parking extérieur, rien de vraiment glauque. Ensuite, nous commençons à discuter.
Après il ne dit plus rien, il ne me demande même pas mon prénom. Hors, il déboutonne son pantalon et en sort son sexe ?
Il est assurément énorme, aussi gros que dans les films pornographiques que nous regardions avec mon ex. Je suis dégoûté d'un coup, il a sorti son énorme bite sous mes yeux, alors qu'il sait que je ne suis pas en couple, pourtant je ne bouge pas. Il empoigne, doucement mais fermement mes cheveux et abaisse ma tête vers sa bite, honteuse je sens une bouffée de chaleur dans mon bas ventre.
Il laisse glisser de la salive sur son sexe, il entrouvre ma bouche avec deux doigts, il me maintient toujours la tête avec son autre main, ensuite il enfonce son énorme bite entre mes lèvres. Je hoquette, elle m'étouffe, mais il appuie de plus en plus fort. Cependant, je ne résiste pas, bientôt il me faut de l'air, il le comprend, sort sa queue de ma bouche, il m'en tapote les lèvres. - C'est bien, soit docile Isabelle, soit sage, c'est bien !
Étrangement ces simples paroles m'excitent, de moi même je reprends son sexe dans ma bouche, pourtant je ne sais pas bien comment m'y prendre, il est bien trop gros, j'ai peur de lui faire mal avec mes dents, je me contente donc de lui lécher et de bien lui sucer le gland. Je commence à sentir une chaleur agréable entre mes cuisses, je me demande si je vais pouvoir profiter de l'expérience de cet homme plus âgé que moi. Je le suce tranquillement en me livrant à des pensées plaisantes quand il me surprend désagréablement.
Il saisit brutalement ma tête de ses deux mains et tente de m'enfoncer sa bite au fond de la gorge avec de violents coups de rein en m'intimant de me laisser faire, je veux hurler, mais son sexe obstrue ma bouche, une violente envie de vomir me prends chaque fois que je sens sa queue s'enfoncer très profondément. Je suis déjà au supplice quand je sens un liquide chaud au fond de ma gorge, ça y est je vomis que je réalise humiliée, je vomis sur sa bite.
Cependant, je l'entends gémir encore et encore. Moi, la bêtasse, je comprends que, non je ne vomis pas, c'est lui qui éjacule puissamment dans ma gorge.
Quand il a fini, il libère ma tête, j'ai des larmes plein les joues à cause de tous mes hauts le cœur, je n'ose rien dire, je n'avais jamais fait ça à mon ex, j'ai bien entendu des filles raconter cette pratique, que je n'ai jamais osé faire, mais je ne regrette pas ce qui s'est passé, surtout que mon string est trempé, ce qui n'arrive pas souvent, car d'ordinaire je ne mouille pas beaucoup. Il essuie les larmes de mes joues, me laisse reprendre mon souffle, il me sourit.
Ensuite, il soulève avec douceur et assurance ma jupe, ce qui laisse apparaître ma petite chatte épilée et humide, il ne la touche même pas.
- Ôtes ton string ma douce, je le ferai bien moi même, mais les sièges avant de l'auto ne correspondent pas au lieu idéal pour se déshabiller mutuellement.
Subjugué, j'obéis, j'observe que lui n'enlève rien.
- Maintenant, enfonce ta chatte sur le levier de vitesse.
- Pardon ?
- Si tu veux que ma bite rentre dans ta petite chatte étroite de jeune fille, il faut que tu commences par ça ?
Choquée, pourtant j'obéis quand même, je me mets à califourchon au dessus du levier, j'ai honte, je me sens ridicule, j’hésite, mais l'énorme claque qu'il m’envoie sur le cul me convint. J'appuie d'abord tout doucement ma chatte sur le levier, faisant rouler mon clitoris sur le pommeau, je sens ma mouille couler sur mes cuisses ainsi que sur le levier, ça m'excite. C'en est trop, j'enfonce d'un coup ma chatte sur le levier, le faisant rentrer jusqu'au bout en poussant un cri de plaisir.
L'homme m'empoigne les fesses, il me fait faire des allées venues brusques sur le pommeau, je gémis de plus en plus fort, je regarde l'énorme bite de cet homme. Je me demande pourquoi est ce que je m’apprête à jouir de cette façon alors qu'une queue gigantesque repose à côté de moi. Puis je ne m'en occupe plus, mes gémissements deviennent des cris, lorsque je sens ma mouille inonder le levier de vitesse, un superbe orgasme me terrasse. L'homme lâche mon cul, c'est fini. Je m'écroule groggy sur le tableau bord de la voiture.
Je reste ainsi un bon moment, pendant ce temps, il me caresse le dos. Je me sors du levier enfoncé dans ma chatte et me rassois sur le siège passager.
- Tu veux dormir chez moi ce soir ?
- Oui. ?
- Alors préviens tes parents.
Il me tend son téléphone, j'appelle ma mère, honteuse d'être si dépendante devant cet homme. Elle m'autorise à dormir chez une copine.
Nous roulons peut-être un quart d'heure, je lui parle du lycée, avant de nous arrêter devant un grand bâtiment, assez chic. Je ne me souviens plus trop comment se sont déroulées les choses ensuite. Nous montons, lorsque nous rentrons, ses amis du restaurant sont déjà là. Ils sont vautrés dans le canapé et ils regardent tous un smartphone. Mon entrée est alors très remarquée. Je ne m'attendais pas à ce qu'il y ait autant de monde. Moussa me présente ses deux copains, Trésor et Malik cependant, il y a aussi d'autres garçons, j'entends des remarques plus ou moins salaces sur ma tenue. Moussa leur fait signe d'être plus discret, hors je n'y prête guère attention, obnubilé par mon beau basané qui s'avance vers moi. Tous les yeux sont pourtant rivés sur moi et cela aurait dû m'interpeller, mais je suis déjà ailleurs, dans les bras de mon homme.
Moussa m'invite à venir m'asseoir sur le canapé. Sur la table, il y a plus de bouteilles d'alcool que d'invités et les joints tournent déjà.
On me sert une vodka orange, on me tend un joint, de nouveau je bois un autre verre. En peu de temps, la tête me tourne. Les gars rient et la musique forte couvrent leurs discussions, malgré tout souvent j'entends mon nom. Je ne comprends pas ce qu'ils disent, mes pensées sont embrumées par l'alcool.
Moussa me prend par la main, il m'aide à me relever. Je le suis docilement, titubant quelque peu. Il pousse la porte d'une chambre et sitôt celle ici refermée, il m'enlace. Je me laisse embrasser tandis que ses mains glissent dans mon dos et sur mes fesses. Il me pousse sur le lit, je sens ses mains dégrafer ma ceinture. Il tire ma jupe, entraînant par la même mon petit string. Ses mains remontent le long de mes cuisses, il les écartent.
Je sens alors sa bouche se poser sur mon sexe et sa langue se mettre à fouiller mon intimité. Je me mets à gémir sous cette caresse, je glisse ma main dans ses cheveux. Je sens mon sexe se lubrifier à chaque coup de langue sur mon clitoris. Il se relève, alors je l'observe du coin de l’œil se déshabiller. Il se rapproche de nouveau de moi et dégrafe mon haut. Les bretelles de mon soutien-gorge glissent de mes épaules, il tire celui-ci vers le bas, faisant jaillir mes seins.
J'entends un bruit de sachet que l'on déchire. Il est entrain de mettre un préservatif. Je le sens alors se positionner entre mes cuisses. Il frotte son sexe contre le mien et s'y enfonce lentement. Une douleur vive me fait pousser un petit cri. Ça y est, Moussa est désormais complètement en moi. Il fait donc de lents va et viens. La douleur fait place à une douce chaleur qui irradie tout mon bas ventre.
Je m'agrippe donc à ses hanches et accompagne chaque mouvement. Il se met à aller et venir avec plus de force et de rythme. Je gémis sous ses coups de reins. Moussa me fait l'amour pendant de longues minutes, il me fait me retourner, il s'agrippe à mes hanches pour me prendre plus fort.
C'est délicieux, même si je n'ai pas trop les idées claires avec l'alcool que j'ai dans le sang, je ressens un plaisir certain à le sentir aller et venir en moi. Il donne un dernier coup de reins et s'immobilise, je sens les spasmes de sa verge en moi. Il est entrain de jouir au fond de ma grotte, ce qui donne le départ de mon orgasme si longtemps retenu. Il se retire et m'embrasse dans le cou.
Il reste un instant contre moi tandis que je somnole. Je le sens se relever, se rhabiller puis quitter la pièce. Je ne réagis pas, reste là allongée, nue.
Quelques instants plus tard, la porte se rouvre et aussi se referme. Je sens ses mains se poser sur mes cuisses et remonter vers mon entrejambe. Ses doigts glissent sur mes lèvres intimes, elles entrent en moi, il me fait sortir de ma léthargie. Je me cambre davantage, remonte mes fesses pour mieux accueillir la caresse. Ses doigts se mettent à fouiller mon intimité. Ils glissent facilement. Il se redresse, je l'entends se déshabiller. Il me saisit par les hanches, il me tire vers lui. Je me retrouve alors à quatre pattes sur le lit. Une nouvelle fois, j'entends le bruit d'un papier que l'on
déchire. Il enfile un nouveau préservatif.
Il me pénètre brusquement, s'enfonce en moi jusqu'à la garde, il m'arrache un râle de surprise. Il se met ainsi à me baiser à grands coups de reins, il me fait tressauter sur le lit, s'agrippe fermement à mes hanches. Je gémis, j'étouffe mes cris de plaisir dans l'oreiller face à moi. Son sexe tape au fond de mon puits d'amour, ça me procure comme des petites décharges électriques. J'ai l'impression qu'il est plus long que tout à l'heure, cependant je pense que c'est le fruit de mon imagination, car je n'ai connu aucun autre amant que mon ex. Il s'agite encore un moment puis se retire soudain, arrêtant le monté de mon orgasme. Je l'entends alors étouffer un râle, je sens les giclées chaudes de son sperme s'écraser sur mes fesses. Sitôt fait, je l'entends se rhabiller et avant même que je n'ai le temps de dire ouf, j'entends la porte de la chambre se refermer. Je m'écroule sur le lit, morte de fatigue.
Dehors la nuit est tombée, la chambre est désormais plongée dans la pénombre. Alors que je somnole de nouveau, la porte s'ouvre et le filet de lumière me réveille. Je vois une ombre pénétrer dans la chambre puis la porte se referme.
- Oh ? Viens. Que je lui dis en lui tendant la main. J'ai envie de reprendre la montée de mon orgasme interrompue.
Il laisse sa main glisser sur mon dos jusque dans mes cheveux qu'il caresse doucement. J'entends alors le zip de sa braguette ensuite, le bruit de ses vêtements qui glissent à terre. Sa main prend la mienne, il la pose sur son sexe endormi. Je le branle doucement le sentant gonfler entre mes doigts. Je le sens se rapprocher encore et j'ouvre naturellement ma bouche pour l'accueillir. Je me mets à le sucer avec plaisir, le sentant encore grossir dans ma bouche. Cela dure plusieurs minutes jusqu'au moment où je sens son sperme chaud couler dans ma gorge. J'avale son plaisir pour la première fois, chose que je n'ai jamais faite avec mon ex.
Il n'a pas émis un seul son et tandis que je m'essuie la bouche, je vois la porte s'ouvrir et son ombre disparaître, puis revenir vers moi.
- Alors Isabelle, la soirée te plaît ? Me demande Moussa.
- Oh oui ! Tu es incroyable ? Viens contre moi.
- Attends moi ! Je reviens.
Qu'il me répond.
Je l'entends ressortir et quelques secondes plus tard rentrer de nouveau. Il s'allonge contre moi et m'embrasse dans le cou. Je me retourne face à lui, les yeux fermés. Je me sens bien dans ses bras. Il termine de retirer ses vêtements, il me pelote les seins, les comprime et aussi les embrasse. Je sens contre moi son sexe dur de nouveau. Je n'aurais jamais cru qu'un homme pouvait bander et jouir plusieurs fois, en si peu de temps. Je m'en saisis. Il parait encore plus gros que tout à l'heure, car je peine à en faire le tour avec ma main. J'embrasse son torse et descends vers son sexe. J'ouvre la bouche, je l'aspire dans ma gorge. Il m'étouffe, je ne le garde pas longtemps, je peine au niveau de mes mâchoires. Il se redresse alors, il me fait basculer sur le lit. Je sens tout son poids s'écraser sur moi. Il se relève, ensuite je l'entends mettre un préservatif.
J'ouvre les yeux, mais la chambre est désormais complètement dans le noir. Je ne devine qu'une ombre massive au dessus de moi. Son sexe se fraye un chemin dans le mien. Pour la quatrième fois de la soirée, je sens son sexe entrer en moi, c'est encore une nouvelle sensation. J'aime, car à chaque fois les sensations sont nouvelles. Il me fait l'amour lentement et au bout de plusieurs minutes, je sens la remontée de mon orgasme interrompu parcourir mon corps, puis c'est comme une explosion au creux de mes reins. Mon orgasme éclate aussi sans aucune pudeur, je crie ma jouissance.
Mon amant ne s'arrête pas pour autant, il continue ses vas-et-viens tandis que mon corps est secoué de spasmes délicieux. Il finit par s'arrêter, il attrape ma main. Je prends de nouveau son sexe entre mes doigts, je le branle énergiquement au dessus de mon ventre. Le premier jet de sperme s'écrase sur mes seins puis plusieurs autres coulent sur mon ventre.
Je l'entends à peine gémir, simplement sa respiration s'accélère. Il se retire du lit, je le vois quitter la pièce. Dans l'embrasure de la porte, tandis que la lumière du couloir m'éblouit, je ne reconnais pas la silhouette de Moussa. J'ai l'impression de voir quelqu'un d'autre, quelqu'un de plus costaud.
Je reprends peu à peu mes esprits, je cherche de quoi m'essuyer, du sperme coule sur ma peau. Alors que la porte s'ouvre de nouveau. Moussa apparaît à contre jour.
- Alors ma belle ? Toujours d'attaque ? Me demanda-t-il.
- OUFF ! J'avoue que tu ne me laisses pas beaucoup de répit.
Il se rapproche de moi et m'embrasse sur la bouche.
- Tu apprécies ta soirée ?
- OH ! Oui, tu es incroyablement résistant, tu m'as fait jouir plusieurs fois ce soir !
Que je lui réponds amoureusement...
- Tu as joui plusieurs fois, mais pas que grâce à moi.
- Comment ça ? Pourquoi tu dis : Pas que grâce à moi ? Je ne comprends pas !
- Tu promets de pas te fâcher ?
Je ne vois pas pourquoi je me fâcherai donc je lui promets.
- Bon ? Après notre premier câlin, tu as aimé les suivants.
- OH ! Oui. C'était très bon !
- Alors, sache que les suivants, ce n'était pas moi !
- Hein ? Quoi tu dis ?
Prise de panique, je me redresse. Les effets de l'alcool se sont estompé d'un coup. Je me rends donc compte que j'ai été dupée, Moussa m'a attiré ici pour que ses copains profitent de moi. Je comprends ainsi l'horreur de la situation. J'ai été abusée par trois autres garçons ce soir. Tandis que j'avais refusé à mon ex un plan à trois.
Moussa tente bien de me calmer, cependant je me mets à le taper de toutes mes forces, je lui crie que c'est un salaud ! Qu'il a profité que je tombais amoureuse de lui, pour me livrer sournoisement à ses copains. Je tente de retrouver mes vêtements, je n'ai plus qu'une idée, fuir ce lieu.
Dans la semi pénombre, je ne retrouve que mon haut et ma jupe, tant pis pour mes sous vêtements.
Il me rattrape avant que je ne sorte de la pièce.
- Ne t'énerves pas isabelle, ce n'est pas comme ci tu n'avais pas aimé ! Tu as pris tellement ton pied plusieurs fois, que tout le monde t'a entendu !
- T'es qu'un salaud ! Vous êtes tous des salauds !
- Ouais ! Bien toi aussi tu es une sacré salope ! Tu as aimé jouir avec nos queues et maintenant tu joues les saintes ni touches !
- Tu m'as trompé, tu as profité de ma faiblesse amoureuse pour abuser de moi !
- Ouais ! Et alors ? Ne me dis pas que ça ne t'a pas plu ! Tu as adoré te faire sauter comme une chienne !
Ce salaud a raison, ce soir, j'ai découvert des plaisirs incroyables que je n'avais connu avec mon ex. C'est la première fois que j'ai joui autant plusieurs fois de suite, cependant ce n'est pas une raison, il n'avait pas le droit de me faire ça !
Moussa me serre dans ses bras. Il est derrière moi, je sens que ce salaud bande contre mes fesses !
- Allez calmes toi ? Tu as bien pris ton pied, nous avons aussi pris le nôtre. Avoues que c'était bon et que tu as aimé ça !
- Le problème n'est pas là. Moi ! Je passe pour quoi maintenant ?
- Pour ma petite pute blanche ! Tu es faite pour le sexe. Je l'ai vu dès que tu es monté dans la voiture.
- Non mais oh ! Ça va pas ! Je suis pas une pute !
- Bien sûr que tu n'es pas une pute ! Mais ? Une fille qui se fait jouir sur le levier de vitesse de la voiture d'un inconnu, a sa première rencontre ! Tu appelle ça comment ? C'est ma voiture, alors ? Tu es ma pute !
Ce salaud a abusé de moi à mon insu ? Il me considère désormais comme sa pute et celle de ses copains.
Je le repousse, mais il continue de me tenir fermement, son sexe ne cesse de grossir contre mes fesses. Il me plaque ainsi contre le mur, avec ses pieds, il écarte mes jambes. Son sexe trouve directement le mien, il me pénètre d'un coup. Une nouvelle vague de chaleur me submerge. Je tente mollement de le repousser, il se met donc à me baiser avec force m'arrachant des râles de plaisir. Malgré moi, la situation m'excite au plus profond de mon être, cette soirée qui m'a transformé de petite ingénue à salope, restera gravé à jamais dans ma mémoire.
Moussa se met à me pilonner avec la régularité d'un métronome. Je le supplie de continuer. Je ne contrôle plus mes sens. Il m'attire sur le lit ou il s'allonge. Je le chevauche de moi même, j'enfonce sa queue au fond de mon puits d'amour. Il plaque ses mains sur mes seins, je retire mon haut. Ainsi il me les triture sans ménagement, agaçant mes tétons durcis.
- Tu veux être ma pute ? Dis moi que tu es ma pute Isabelle ?
Je sens une nouvelle fois un orgasme monter en moi, c'est comme une délivrance lorsqu'il éclate au creux de mes reins.
- OUI ! Je suis ta pute ! Je suis tout ce que tu veux !
Je me rends alors compte que cette fois, il n'a pas mis de préservatifs, donc avant qu'il ne jouisse à son tour, je me retire, je me précipite sur son sexe tendu. A quatre pattes sur le lit, je me mets à le sucer, attendant avec impatience qu'il me crache sa semence.
Dans l'excitation, je n'ai pas vu que la porte de la chambre s'est ouverte. Les copains de Moussa sont là à contempler le spectacle. Je sens alors les mains d'un des hommes se poser sur mes hanches et l'instant d'après son sexe me pénètre. Je me laisse baiser sans me retourner pour voir la tête de mon baiseur. La scène excite encore davantage Moussa qui se met à jouir dans ma bouche en plusieurs jets épais que j'avale amoureusement.
Je suis toujours agenouillé pour gober la première bite que se présente, on continue à me lécher, alors que cette fois, c'est mon anus, qui est le centre des attentions. Je subis aussi les assauts répétés de doigts dans ma chatte, ça y est, je ne suis plus moi même, je suis plus celle que je cache en société, je suis la salope de Moussa. Je suce la bite de quelqu'un que je ne connais pas, cependant je le fais avec passion et vigueur. Il me la met au fond de la gorge tout en branlant deux mecs qui sont chauds bouillants, il faut que je les suce aussi, égalité oblige.
Le second a une bite tout à fait différente, plus petit et plus large, elle n'a pas le même goût, tout comme son sperme, néanmoins cela ne m'empêche pas de la bouffer. Le troisième est un bavard, il me dit que je suis une pute, que j'aime la bite tout en m'assénant des petites claques humiliantes, je mouille encore plus et je me soumets. Après quelques minutes de ce traitement, je suis bouleversé par un puissant orgasme, ne peux retenir un cri de jouissance quasi bestial.
J'entends Moussa crier qu'il faut me mettre sur la table. Je suis transportée comme un objet sexuel sur la longue table du salon. On me met sur le dos, on me tend les bras pour que je saisisse deux bites, on m'écarte les cuisses puis on m'enfonce des doigts, une autre bite vient s'inviter dans ma bouche, il est à genoux sur moi. Mon corps ne m'appartient plus, je suis un objet sexuel, je m'offre totalement. Je ne pense même pas à Moussa qui filme sa nouvelle pute au milieu de sept mâles qui ne se sentent plus. Je me sens incomplète, je ressens une sensation de manque, il faut que je les sente en moi.
Oui, je dis sept, car d'autre sont venus pendant que l'ont été dans la chambre. J'aimerais demander à celui qui me doigte de me la mettre une bonne fois pour toute ? Hors, on baise ma bouche et le sperme m'empêche presque de respirer ce qui ne me dérange pas du tout en réalité.
L'inconnu du dessus laisse place à quelqu'un d'autre, j'ai le temps d'avaler, le second est plus doux, il choisit de me tourner la tête pour qu'il se serve de moi debout à côté de la table. Je branle toujours deux mecs qui ne sont pas à chaque fois les mêmes.
Ah, c'est bon, il me la met enfin, je mouille comme pas possible, je me dilate sous les coups violents de celui-ci. Je tressaille à chaque pénétration, bringuebalée, je suis une salope. Ils passent tous à la suite dans ma chatte, tous différents. Certains réclament une sodomie, ce mot résonne dans ma tête, je veux enfin me sentir complète et totalement remplie. Il me transporte par terre, Moussa, hurle pour se faire entendre, qu'il faut se mettre sur le canapé.
Tout le monde obéit au cameraman, moi, toute seule sur le carrelage froid, je les vois tous m'attendre, je marche à quatre pattes d'une manière féline jusqu'à eux. Je les regarde droit dans les yeux, je m'agenouille sur le canapé, quatre s'assoient sur le dossier, je les suce à la suite pendant qu'on me doigte le cul violemment alors qu'on me met un objet froid dans la moule, je ne sais pas ce que c'est et je m'en fous. J'aperçois mon Moussa tourner autour du canapé, immortalisant cette autre soirée de déchéance sexuelle.
Un d'eux interrompt tout le monde pour se mettre sous moi et me mettre sa bite dans ma grotte. Je change de bite, je suce désormais Moussa qui me fixe et à qui je retourne le regard. Il me traite de chienne. Une fessée vient s'abattre sur ma fesse droite, puis un bruit de crachat dont je ne remarque même pas les particules humides sur mon cul, je sais que c'est le signal de départ. Il me l'enfonce dans le cul doucement jusqu'à passer la barrière.
Il la ressort, il réitère l'opération quelques fois avant de me bourrer littéralement le cul, ça y est, je suis complète, ou presque, il me manque toujours quelque chose, je ne suis pas encore rassasiée, mais ça je n'y pense pas, car je ne suis pas vraiment capable de penser en ce moment. Tous passent par mon cul, seule condition, s'ils veulent passer du cul à la chatte, je les nettoie avec la langue.
C'est alors le défilé de bites dans ma bouche ainsi que dans ma moule trempée. Les sept hommes me baisent une bonne partie de la nuit, ils se relayent pour me faire jouir. Je ne suis plus qu'un objet sexuel dans leurs mains, je deviens en l'espace de quelques heures la petite pute blanche de Moussa comme ils aiment me le dire.
Je suis là, nue, jambes écartées et encore l'esprit embué par un orgasme.
Je décide alors de me rhabiller rapidement et de fausser compagnie à ses baiseurs. Qui sait s'ils n'allaient pas la faire sauter par d'autres copains.
- Mais où sont mes sous vêtements ?
- Ah, on les garde. Si tu veux les récupérer, il faudra qu'on se revoie. Tiens, je rentre mon 06 dans ton portable. Et comme photo de contact, je mets ma bite ! S'esclaffe Moussa, tout en prenant une photo de son engin avec mon portable.
Je remets ma jupe et mon haut, je récupère mon portable et quitte mes amants d'un soir.
En se hâtant vers chez moi, je n'en reviens pas de rentrer nue sous ma jupe et surtout pleine du sperme de types que je ne connaissais pas il y a encore trois heures !
Heureusement pour moi, mes parents dorment à mon arrivée. Je me précipite à la salle de bains pour prendre une douche et se débarrasser de l'odeur de sperme et de stupre qui se dégage de moi. Vraiment, je ne pensais pas être comme ça.
Mais qu'est ce que c'était bon!
Moussa sait maintenant qu’il a à sa disposition une petite pute docile et soumise, prête à tout pour le satisfaire et satisfaire ses moindres désirs.
Dire que mon ex m'a laissé tomber parce qu'il trouvait que j'étais trop prude, pas assez dévergondé à son goût.
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