Isidore, Le jardinier antillais.

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Récit libertin : Isidore, Le jardinier antillais. Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Isidore, Le jardinier antillais.
Je bossais dans une entreprise dont le patron avait l'exclusivité d'un produit, Il avait décroché un gros contrat dans une ile (je préfère rester discret) pour un client millionnaire.
Avec un collègue de travail, j'ai du me rendre sur place en tant que chef d'atelier.
La mission devait durer 2 mois (en fait, elle durera plus que ça). Nous dormions sur place, dans la maison, non terminée du client.
Elle était magnifique, et immense, avec de nombreuses pièces. Elle est entourée d'un immense jardin arboré, offrant une vue splendide sur la mer.
Nous notions nos heures afin d'être payé au retour (mais notre escroc de patron ne le fera jamais!).
Tous les matins, très tôt, un jardinier antillais venait entretenir les plantes et les arbustes exotiques.
Au bout de quelques jours, j'ai surpris des regards équivoques à mon égard, et mon cul.
Je me suis étonné de la situation, même à plus de 6000 km, je me fais draguer par un homme? Comment se fait-il qu'il s'intéresse à moi, plutôt qu'à mon copain de travail.
Qu'est-ce qui fait que les prédateurs en quête de proie sexuelle, reconnaissent en moi, une cible possible. C'est vrai que j'étais une proie, de celles qui ne demandent qu'à être attrapée.
Il est vrai que la tenue et la chaleur n'aide pas. Je portais un short collé par la transpiration et un tee-shirt.
J'arrivais de la métropole, j'avais très chaud! Et la chaleur est réputée pour pousser au sexe.
L'homme était très grand, au moins 2 m, mince, plus d'une quarantaine d'années et se prénommait Isidore.
Plus les jours passaient, et plus il devenait insistant avec ses regards.
J'ai du lui envoyer un mauvais signal quand par inadvertance, j'ai reluqué sa bite qui dépassait de son short, trop court, quand il se baissait. Il m'a pris la main dans le sac.
Un jour, il est passé aux gestes provocateurs, il s'est touché la queue en passant sa langue entre ses lèvres.
Je résistais, pour deux raisons, mon collègue de travail, qui était rarement loin, et cela ne faisait que deux semaines que nous étions arrivés, donc le manque de sexe était encore gérable.
Ses provocations devenaient dures à gérer, il en venait à me déballer sa queue, la faisant dépasser de son short, puis carrément, il le baissait pour me montrer son engin énorme.
Un jour, il a uriné contre un arbre, en reculant assez pour que je vois son énorme bite en semi érection déverser un jet impressionnant.
Je commençais à faire des rêves très sexe ou il me baisait avec sa grosse et longue queue, j'avais du mal a chasser l'image de sa bite de ma tête.
Je garde en mémoire le pacte passé avec Lisa, on s'autorise quelques écarts, mais seulement pour assouvir nos besoins sexuels (Elle ne se gênera pas en recevant deux amis de sexe à la maison et en baisant avec un autre de temps en temps, pendant la journée, le type m'avait remercié au téléphone de lui "prêter" Lisa)Au bout de 3 semaines, il se masturbait furtivement devant moi en se léchant la lèvre. Ce salaud avait le truc pour éviter que mon collègue le voit, j'étais pris en otage de son petit jeu et de mon feu intérieur.
Peu de temps après, il me coince dans un cabinet de toilette et me caresse le cul sous mon short, tout en me posant ma main sur sa bite en érection.
"Isidore, non! S'il te plait!".
Avec son accent antillais, il me dit:"Je sais que t'aime la bite, toi! Un jour, je te la mettrai dans le cul! Regardes la bien, tu vas te la prendre là!".
A cette parole, il ajoute le geste du doigt qui appuie sur mon anus, je suis pris de désir et de torpeur en même temps.
Je ne peux pas quitter du regard, sa magnifique queue.
"Patrick, t'es là?".
Ouf, mon pote viens de me sauver d'une situation que je n'aurai pas pu gérer sans son appel.
Fin de semaine, les températures sont toujours aussi chaudes, je suis en manque de sexe, la chaleur ne m'aide pas. Le désir me noue l'estomac.
A chaque moment, j'ai peur de croiser Isidore, j'essaie de l'éviter, j'ai peur de mes réactions.
Heureusement, la proximité de mon collègue m'empêche de succomber.
Nous devions recevoir une partie de notre matériel à poser et monter sur place dans un container.
Le container est arrivé, on sortait ce que nous avions besoin, petit à petit.
Avec mon copain, on en était au faux plafond pour moi, et lui s'occupait d'un placard.
Il me manque de quoi finir, je me rend dans le container, sans prévenir mon pote, dans une pièce à coté.
J'ouvre un peu la grosse caisse de métal, et cherche ce dont j'ai besoin.
Le grincement de la porte métallique, me fait voir Isidore entrer en tirant la porte sans la bloquer.
"Toi, tu vas me sucer la queue! Viens là!".
Il m'a déjà attrapé par la nuque et abaissé de force, il a baissé son short en tenant sa bite énorme qui va droit contre mes lèvres.
"Isid'...mmmmmm, gggggggggghhhhhhhhh".
J'ai sa grosse queue enfoncée dans la gorge, il m'imprime un mouvement forcé avec sa main sur mon crâne.
Je résiste, en ne réagissant pas, je le laisse me baiser la bouche, je ne veux pas l'aider.
Puis, c'en est trop, j'utilise toutes mes forces en me dégageant de sa queue pour lui dire:"Stop!".
Il est saisi par ma détermination, puis j'ajoute:"Laisses-moi faire".
Je pose ma main sur ses couilles en tenant sa bite à la base, et commence à le sucer en mouvements profonds et humides.
"Voilà, c'est comme ça qu'on suce une queue, tu aimes manger le boudin noir toi! C'est ça?".
"Oui!".
Il me laisse faire, je suis excité et enfin libéré de la pression qu'il m'imposait avec ses avances.
Mais, j'ai peur que mon pote nous surprenne.
"Isidore, si Karim arrive?".
"Dépêches toi de me faire gicler, alors! Et faut pas gâcher, hein, il faut tout avaler, tu vas me boire mon jus! Petite salope".
Son accent m'amuse, mais je comprends qu'il veut une fellation énergique, je le pompe avec frénésie.
Au bout de plus de cinq minutes, il éjacule dans ma gorge, j'ai un reflux en recevant sa première grosse giclée.
J'avale, puis avale encore, je renoue avec ce plaisir que j'aime tant, son éjaculation est délicieuse et abondante, elle me surprend aussi.
Je sens que je vais me régaler avec lui.
Je ne peux pas vous restituer ses râles et ses paroles salaces en créoles, je ne les ai pas compris, mais il y avait quelques "salope" "pute" qui s'y trouvaient.
Il se range la queue dans son short (pas de slip), puis sort en me prévenant que la prochaine fois, j'aurai droit à son gros "boudin noir" dans le cul.
En retournant dans ma pièce, mon pote me demande ou j'étais.
"Je suis allé chercher des trucs dans le container!".
"T'as trouvé ce qu'il te fallait?".
"Oh, oui, j'ai trouvé quelque chose de très intéressant!".
Isidore me relançait tous les jours, mais je l'obligeais à patienter pour la sodomie, à cause du temps que cela prendrait, je ne voulais pas d'un coup vite fait.
On s'arrangeai pour se cacher, parfois au fond du jardin, parfois dans le container, quand mon pote était très occupé, pour que je le suce et boive son jus.
Mais Isidore et la patience, ça faisait deux! Un jour, on a voulu se retrouver derrière un énorme arbre, nous cachant de tout, pour que je le suce à nouveau.
Mais Isidore m'a plaqué au tronc, puis baissé mon short en me pointant son gros gland contre l'anus.
"Je peux plus attendre, je veux te baiser, tu vas prendre mon gros boudin, petite salope blanche!".
C'est devenu mon surnom désormais.
"Isidore, non!".
Il m'assène plusieurs à-coups contre l'anus.
"Isidore, mets moi de la salive, tu es trop gros!".
Il crache dans sa main pour s'en couvrir la bite et sur mon cul, puis retourne vers le chemin qu'il désire depuis des semaines.
Sa pénétration est dévastatrice, mais il parvient patiemment a s'enfoncer en moi au trois quarts de sa longue bite, cognant au fond de mon cul.
Le fond de mon cul qui lui sert alors de butée contre lequel, il s'acharne à cogner.
Le plaisir commence à me prendre tout le corps, il me dit que j'ai un bon cul de salope blanche encore.
Je le sens trop excité, et j'ai raison, puisqu'il éjacule en moi, juste avant que je parvienne à l'orgasme anal.
"Oh, la la, c'était bon, tu vas prendre mon boudin tous les jours toi!".
Je remonte mon slip et mon short et retourne bosser avec son foutre dans le cul, j'ai besoin d'intimité pour m'en débarrasser.
J'attendrai la douche du soir pour le faire, comme sa sodomie n'a pas duré, il a moins sollicité mon sphincter.
Le lendemain matin, je devrai le sucer, puis j'ai droit à ma sodomie journalière, l'après midi, à nouveau dans le container, et enfin, il me fait jouir en m'enculant plus longtemps.
Le surlendemain, il jouit très rapidement dans ma bouche aux toilettes, puis m'encule tout aussi rapidement contre l'arbre, mais ce qui a changé, c'est que c'est moi qui réclamait en le coinçant dés que je pouvais.
Il respecte ma demande de ne pratiquer la sodomie que l'après midi. A partir de là, je trouvais les Week End ennuyeux quand on restait dans la villa, Isidore ne travaillait pas et restait chez lui.
Chaque matin, je le suçais avec envie, parfois il aime me dire "Tu viens boire ton lait! salope?".
Puis le troisième jour d'après notre première sodomie, le client arrive et propose à l'un de nous (Karim et moi) de l'accompagner au magasin de bricolage, à plus d'une heure de route.
Je dit à mon pote:"Vas y toi, cette fois, j'y suis allé la dernière fois! Tu sais ce qu'il faut acheter!".
Dès qu'ils démarrent avec la voiture, Isidore arrive dans le salon:"Toi, tu vas avoir encore ma grosse queue dans ton petit cul de salope blanche! Viens la! Viens me sucer!".
Je me met à ses pieds et lui pompe amoureusement la bite, malgré que j'ai déjà eu ma dose matinale de foutre.
"Mais, attends, j'ai une idée! Je vais appeler mon ami"Pendant que je le suce, il recule vers le téléphone fixe, il compose un numéro, j'ai toujours sa grosse queue dans la bouche, j'en suis déjà accroc.
"Allo, Maximilien, c'est Isidore là, Tu sais, le petit blanc que je t'ai parlé l'autre jour, tu peux venir le baiser toi aussi, mais tu fais vite, s'il te plait!".
"Isidore t'es fou!".
"Ne t'inquiètes pas, on aura le temps, il habite à coté et le patron en a pour plus que trois heures! Suces moi encore en attendant mon ami".
On joue à la gorge profonde, au pompage frénétique, au léchage de couilles.
Puis, il m'emmène dans une pièce plus discrète ou se trouve une table en bois épais.
Il me fait mettre complètement nu, et me demande lui lécher la bite en s'appuyant contre la table.
"Isidore?".
"Maximilien, on est là! Viens mon frère!".
L'homme nous trouve, il est lui aussi très grand, mais plus imposant qu'Isidore.
"Allez, viens te faire sucer frérot, tu verras, il suces bien, c'est une bonne salope blanche".
Maximilien se fout à poil, et me dévoile une bite aussi longue qu'Isidore mais plus large encore.
Il rejoint son ami devant ma bouche, mais à part passer ma langue sur leurs deux glands en même temps, je ne peux pas les avoir ensemble dans la bouche.
Ils me baisent tour à tour, la gorge, ils entrent dans une compétition de gorge profonde.
Puis Isidore passe derrière moi et me crache sur l'anus.
Il commence à connaitre mon trou par coeur et sait comment me pénétrer.
Patiemment, il écartèle mon cul en me faisant râler de bonheur.
Maximilien lance:"Il encaisse bien le bâton antillais, ta salope blanche!".
"Tous les jours, je le baise! Il adore la bite antillaise, il boit mon jus tous les jours, je le nourri avec mon lait! Pas vrai salope?".
"Oui, c'est vrai".
"Maximilien, il va t'enculer comme moi, et tu va boire son jus à lui aussi, d'accord salope!".
"Oui".
Il m'écrase contre la queue de Maximilien en m'enculant sans retenue, puis en se calmant pour prendre son temps.
"A ton tour, mon ami!".
Isidore revient dans ma bouche en m'apportant le gout de mes sécrétions anales (propres par chance, dès nos premières sodomies, j'ai pratiqué des lavements matinaux pendant ma douche), puis je me sens écartelé par la bite épaisse de Maximilien.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhrrrrrrrrrrr, c'est gros! Arhhhrrrrrrrr".
"Tu le veux mon gros bâton?""Oui, continues, défonces moi!".
Ses deux mains claquent de chaque coté de mes fesses pour s'accrocher et il regarde coulisser son énorme membre dans mon petit cul blanc. Après quelques minutes, il entre dans une défonce anale intense.
Je gueule comme une chienne, il me provoque un orgasme anal énorme.
C'est quand il voit que j'arrête de crier qu'il comprends que mon plaisir retombe et il sort de mon cul pour laisser la place à Isidore.
Les deux hommes sont extrêmement endurants et comptent profiter de tout le temps qu'ils ont pour me casser le cul, tour à tour.
Par moment, ils me baisent la bouchent l'un après l'autre, puis recommencent à me détruire le cul de la même manière.
Je ne pensais pas que ces antillais seraient aussi longs à jouir, ils parviennent étonnamment bien à se contrôler, malheureusement pour mon cul.
Les orgasmes s'enchainent, à chaque changement, je vois leurs bites couvertes de sécrétions blanchâtres à leur base.
"Putain, les mecs, vous êtes entrain de me détruire le cul, arhhhhhr, c'est bon, ahhhhrrrrrrrrrrr!".
Je ne suis pas croyant, mais mon dieu que c'est bon, cela faisait longtemps, qu'on ne m'avait pas démonté comme ça, je ne regrette plus d'avoir cédé aux avances d'Isidore.
Isidore, qui décide de se laisser aller en premier, en disant:"On recommencera tout à l'heure! Je vais gicler là".
Il éjacule dans le fond de ma gorge:"Ahhh, oui, avales mon lait salope! Arrrrrrrrrrrrrrhhhhhh".
Comme toujours avec lui, je déglutine plusieurs fois pour avaler tout son sperme.
Maximilien en profite pour me détruire l'anus comme un dingue, puis 15 minutes plus tard, il sort de mon cul pour venir me remplir lui aussi la gorge.
Je me régale à nouveau de boire son sperme brulant, aussi abondant que celui d'Isidore.
On parle ensuite pendant plus d'une demi heure, cela fait quasiment deux heures qu'ils ont commencé à m'enculer.
Isidore me soulève et me pose sur la table avec les jambes écartées.
"Suces Maximilien! Salope!"Je me retrouve encore avec l'énorme sexe de son ami dans la bouche, pendant qu'il recommence à m'enculer avec sa bite redevenue dure.
Son gros sexe, me pénètre sans mal, a présent, il cogne au fond de mon cul sans relâche. Je jouis encore en gueulant que j'aime sa queue.
Leur manège reprend, c'est maintenant Maximilien qui me déchires le cul, pendant qu'Isidore me flagelle le visage avec sa longue bite, puis m'oblige à lui gober les couilles.
Les orgasmes et les manifestations sonores de mon plaisir, s'accumulent, me vidant de toute mon énergie.
C'est encore Isidore qui atteint le premier son orgasme, cette fois dans mon cul.
"ahrrrrrrrrrrrrrrr, prends ça salope! je vais tout mettre dans ton petit trou du cul de salope, ahhhhhhhhhhh".
Je ne me reconnais plus en lui disant:"Oui, remplis moi le cul, je suis ta petite salope blanche, ouiiiiiiiiiiiiiiii!".
Il sort après une longue manifestation et éjaculation, de mon anus.
"A ton tour, Maximilien! Mets lui aussi ton jus!".
Puis, il s'approche de ma bouche.
"Toi, tu vas me laver mon bâton! et tu vas faire ça comme il faut!".
Je le nettoie en le pompant, il me déforme la bouche, malgré son éjaculation.
Maximilien m'éclate l'anus encore, me faisant toujours hurler.
Isidore a depuis longtemps rangé son outil de destruction anale, il disparait, en me laissant, me faire démonter par son ami.
Maximilien est bougrement endurant, ses assauts dureront encore presque vingt minutes.
Au cours desquelles, Isidore revient avec un appareil photo numérique.
Il immortalise ma défonce anale à plusieurs reprises, puis s'amuse a remettre son gros membre dans ma bouche pour quelques photos.
Enfin, Maximilien annonce qu'il va me "remplir mon cul de salope blanche".
Il me redresse contre son torse, empalé sur son énorme et longue queue, puis éjacule son abondante quantité de "lait" chaud dans mon anus éclaté par ses assauts.
Quand il a terminé de se vider les couilles, il me lâche enfin.
Je m'affale sur la table, vidé, attendant qu'il quitte mon anus.
Il se retire, viens se faire "laver le boudin" avec ma bouche et passe sous la douche ensuite.
Quand, il ressort, je suis toujours en train de récupérer sur la table, je dois bouger pour effacer leurs méfaits, les trois heures sont presque écoulées.
Maximilien est parti depuis longtemps, Isidore siffle dans le jardin.
J'ai l'anus qui me rappelle qu'il a été sollicité trop longtemps, les manifestations de spasmes anaux s'enchainent continuellement, m'obligeant à me rendre aux WC très souvent.
Par chance, le client et Karim, ne reviennent que 5 heures après leur départ.
Cela m'a laissé le temps d'avancer un peu dans mon travail, Karim précisera qu'ils en ont profité pour aller boire une bière sur la plage.
"Et toi, tu t'es pas trop cassé le cul?".
Je pense au double sens de sa phrase, qui me trouble.
"Euh, non, c'était pas simple, mais j'ai réussi à m'en sortir! J'ai l'habitude".
Je me tais, en réalisant que, même ma réponse peut porter à confusion.
Karim s'étonnera de mes aller retours aux toilettes qui s'espacent peu à peu, je lui réponds:"Je sais pas, j'ai l'estomac noué, j'ai du attraper quelque chose, c'est pas grave, ça va passer!".
Le lendemain, Isidore m'a encore défoncé en me parlant de la veille, et qu'il s'était branlé chez lui en regardant mes photos, à l'insu de sa femme.
Depuis, il a agrandi sa collection en me photographiant pendant que je le suçait, puis couvert de son foutre sur tout le visage.
Les photos se sont accumulées, mon anus rempli de sperme, puis mes fesses recouvertes, à nouveau, mon visage avec mes lèvres laissant couler du sperme à chaque commissure, un plan large de nuit me montrant le visage dégoulinant de foutre en tenant deux queues noires à la main, de nombreuses pénétrations anales et j'en oublie sûrement beaucoup.
Le client reviendra, ce sera mon tour de l'accompagner, puis Karim l'aidera lui aussi encore.
Bien sûr, Isidore a de nouveau profité de l'occasion:"Maximilien, arrives là! On va encore baiser ma salope blanche! Fait vite s'il te plais".
Ils m'ont encore démonté pendant deux heures trente sans discontinuer, sous les clics de l'appareil d'Isidore.
Puis, j'ai du écourter la durée de ma mission, je ne supportais plus les pleurs de ma fille au téléphone qui me disait:"Papa, tu me manques!".
Finalement, je ne regrettes pas cette période, j'ai vu des paysages magnifiques (des filles aussi, sur les plages), j'ai pris ça comme des vacances gratuites, même si je me suis fait exploité par mon boss.
Cela a commencé par un manque de sexe, puis a fini en surdose de sodomies et avalanches de sperme.
Isidore a versé une petite larme quand il a su que je rentrais en France, deux semaines plus tard.
Je ne comprenais pas sa réaction.
"Mais, Isidore, entre nous, c'était que du sexe! Non? Sinon, tu n'aurais pas appelé Maximilien!".
"Je sais, mais je préfère te baiser toi, que ma femme! Tu es ma petite salope blanche à moi! Et je suis content de te prêter à mon ami, il me dit que j'ai de la chance".
Malgré le coté vulgaire de sa phrase, je le trouve touchant.
Dès lors, il a profité des derniers jours de ma présence, pour abuser de mon cul et ma bouche, dès qu'il en ressentait le besoin.
Comme nous avions aussi noué une complicité amicale, Karim ne fut pas étonné que je sois invité en soirée chez lui(pour un anniversaire officieusement).
En fait, il a fait venir Maximilien, et nous sommes allés dans un endroit chaud de l'ile.
J'ai connu le plaisir d'être livré à plusieurs antillais, encore sous les clics des photos d'Isidore.
Ils sont à l'origine d'un plaisir énorme, celui de baiser sur la plage, au bruit des vagues et à la lueur de lune.
Le "lait" a coulé à flots, et les orgasmes m'ont fait gueuler sans me retenir cette fois.
Isidore et Maximilien m'ont ramené, Maximilien est rentré chez lui en premier.
Puis nous avons discuté avec Isidore dans sa voiture à l'abri des regards, il m'a confié ses soucis de sexe avec sa femme, qu'il ne désirait plus(prise de poids et plus envie non plus).
Immanquablement, notre conversation se termine en une longue fellation.
Il répond à son portable (les premiers!), en me caressant les cheveux pendant que le suce.
"Oui, Gerard! Qu'est-ce que tu veux mon frère? Ouh là là, Hummm, non c'est pas à toi que je parle, Alors? ... Ok,... oui, il est là, Il me mange encore la bite, ... non, il doit partir Samedi, c'est pas possible, ... écoutes! On verra si on peut faire quelque chose, à bientôt, hummm, je vais pas tarder à lui donner mon jus là! et fait la bise a Marguerite!".
Il raccroche et me laisse le pomper frénétiquement jusqu'à ce qu'il m'offre une de mes dernières doses de lait antillais.
Après ça, je lui pose des questions:"C'était qui?".
"C'était mon ami Gérard, il voulait encore te baiser, mais tu t'en vas Samedi, tu te souviens celui qui te tapait sur le cul, c'est lui!".
"Ok, mais c'est pas possible, je vois pas comment on peut faire?".
"Ecoutes, on va dire Jeudi à Karim qu'on va se promener sur la plage, le soir, et Gérard pourra encore te baiser! Oui, C'est bien comme ça!"Karim s'est rendu compte que je passe de plus en plus de temps avec Isidore, et me dit qu'il le trouve "Bizarre".
"Je l'aime pas ce mec, il m'énerve et je trouve qu'il te regarde bizarrement! il serait pas pédé?".
"Non, il est marié! Moi, il me fait rire (en pensant: il me fait jouir!) en tout cas, je l'aime bien!".
Le Jeudi soir, comme convenu, nous avons quitté la maison pour nous garer en bord de mer, Gérard et Isidore m'ont défoncé encore et encore sur le capot et dans la voiture. On a fini en apothéose par une triple éjaculation buccale et faciale (photographiée) avec Maximilien qui nous a rejoint dès qu'il a pu.
Isidore était heureux comme un paon, fier de sa salope blanche qu'il allait perdre, ironiquement, je lui ai dis de brancher Karim.
Il a ri en répondant:"Non, je préfère les salopes blanches, aux "zarabs"!".
En rentrant, en France je suis entré en conflit avec mon patron, on a convenu qu'il me licencie, puis j'ai appris qu'il avait disparu sans prévenir, sans avoir réglé plusieurs mois de salaires aux autres employés.
Lorsque j'ai poussé la porte de notre appartement, Lisa m'attendait, elle ne m'a pas laissé poser mes affaires, j'ai du la baiser sur le sol, c'était instinctif et bestial.
Nous n'avons même pas dépassé les 2 m plus loin, que la porte d'entrée.
Puis, on a abordé le sujet de nos écarts.
"T'as baisé une autre fille?".
"Non, j'en ai pas eu l'occasion, et toi, les mecs?".
"Oui, avec Dimitri et son copain en soirée, et Fred plusieurs fois en journée, qui t'a parlé au téléphone. Tu m'en veux pas, j'en avais besoin, t'étais pas là! Je m'en veux du coup, toi, t'as rien eu!".
"T'inquiètes pas, c'est normal, je me suis amusé, moi aussi!".
"Ah bon?".
"Oui, Le jardinier m'a branché pendant presqu'un mois et j'ai craqué".
"C'était un Français?".
"Blanc, tu veux dire! Oui, il était français, mais black! Bref un antillais quoi!".
"Vous baisiez souvent?".
"Tous les jours, sauf le Week End!".
"Ah, d'accord!" (Avec étonnement).
Ma "Dose de lait" matinale m'a manquée, pendant longtemps, les baises anales aussi, mais c'est la vie, on doit attraper le plaisir quand il passe.
Avec le recul, je suis content d'avoir vécu cette relation hyper épanouissante analement et pleine de soumission.
Mais je pense aussi à toutes ces photos qui existent quelque part sur cette ile paradisiaque, prouvant que je ne suis qu'une vulgaire petite salope blanche.

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