Isidore, le jardinier antillais 4. Le dernier jour et le bilan.

- Par l'auteur HDS Plaisir39 -
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Récit libertin : Isidore, le jardinier antillais 4. Le dernier jour et le bilan. Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Isidore, le jardinier antillais 4. Le dernier jour et le bilan.
Le lendemain de notre baise nocturne avec Maximilien et Gérard, puis avec Philippe et un inconnu, je n'ai qu'une envie, c'est Isidore! je veux qu'il m'aime encore et encore.
Il ne va pas tarder, je l'attend avec impatience, j'aimerai que Karim s'absente pour profiter de mon amant antillais.
Le client vient me rendre visite, il me parle de mon patron, il ne lui fait pas confiance pour la suite des travaux, et il a entièrement raison.
Il me félicite pour mon travail et trouve dommage que je sois obligé de partir.
Il me demande des conseils et me demande s'il y aura des problèmes. Je lui révèle tout ce qui cloche au niveau conception, et qui ne sera pas réalisable raisonnablement pour des questions de fonctionnement et de solidité.
"J'ai prévenu le patron qu'il y aurai des soucis, mais il n'a rien voulu entendre! Il ne connait rien au métier, mais c'est lui le patron!".
Il m'offre deux cadeaux, un pour moi et un autre pour ma fille, de la part de sa femme qui m'a pris en affection.
Il me dit que c'est lui et sa femme qui m'emmèneront à l'aéroport, puis il demande à Karim si on a besoin de quelque chose.
"Ben, à part renouveler les courses, je vois pas, mais ça on s'en charge monsieur".
"Cette fois, c'est pour moi, allez! Je vous emmène !".
Karim me regarde, je lui dit:"Vas-y Karim, quand je serai parti, tu seras moins libre!".
Ils quittent la maison, en croisant Isidore dans le jardin, je sais que la supérette se trouve à 10 mn, plus le temps de choisir les courses, j'ai donc environ une heure pour retrouver mon amant.
Je souris intérieurement, je vais dans ma chambre en me déshabillant, Lorsqu'il me rejoint, je suis nu près du lit.
"Fais moi l'amour, Chéri!".
Il m'enlace en m'embrassant fougueusement avec ses grosses lèvres charnues.
Je m'agrippe à son cou, puis je l'entoure de mes cuisses, il m'appuie contre le mur en l'air et baisse son short.
Comme toujours, il ne porte pas de slip, son gros sexe touche mon anus.
Ses mains sous mes fesses écartent mes deux lobes et mon œillet, mon poids m'entraine immanquablement sur lui.
Je râle de bonheur en ressentant sa pénétration profonde.
"Oui, fais-moi l'amour, Isidore, j'en ai envie!".
"Je t'aime mon bébé, mon amour!".
Nous entamons un baiser passionné et vicieux à la fois, je lui mordille les lèvres pendant qu'il coulisse profondément dans mon cul.
"C'est bon Isidore, arhhhhhhhh, je suis bien avec ta queue dans le cul!".
"S'il te plait, dis-moi que tu m'aimes, j'en ai besoin, même si tu ne le penses pas!".
"Oh, oui, je t'aime, profites, je suis à toi, fais moi tout ce que tu veux, on a une heure!".
"Je veux t'entendre jouir!".
Il me pénètre plus puissamment, l'orgasme anal monte lentement au rythme des assauts qui son contrôlés.
"Ca y est, mon amour, tu me fais jouir, arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
Je joui très longuement pendant qu'il ne cesse de bouger en moi.
"Isidore, tu me rend dingue! Tu sais que je vais encore jouir si tu continue!".
Il me décolle du mur pour me poser sur le lit et s'appuie de tout son poids dans mon cul.
Sa bite force fortement contre mon passage, au fond de mon cul, il aime lui aussi ses moments ou il parvenait à y glisser son gland.
Une fois qu'il a atteint cet endroit magique, il m'encule par petites secousses profondes.
"Arhhhhhhhhhh, mon amour, attention, tu vas me faire gicler, je veux pas tacher le lit! Arhhhhhhhhhhhhh!".
Sans s'arrêter, il recule mon corps et je m'inonde le ventre de cyprine masculine, qui coule de chaque coté vers le sol.
"Oui, j'adore quand tu joui comme ça! Je t'aime Patrick!".
Je ne peux pas répondre, je râle sans discontinuer.
"Ahhhhhhhhhhhrrrrrrrrrrrrrrrrr........................".
Il me relève puis, on regarde le sol et les effets de notre baise. je veux nettoyer, mais il m'impose de ne pas bouger, pour le faire lui-même.
Je prends une de mes serviettes pour m'essuyer le ventre, puis m'allonge sur le lit.
Il me rejoint, je commence à lui faire une tendre et longue fellation, il gémit de plaisir tout du long, puis au bout de 15 minutes, il me demande d'arrêter.
"S'il te plait stoppe, je vais gicler et je veux pas, j'ai envie de garder mon jus pour ce soir, à la plage!".
"Mais, on fait comment alors?".
"Je vais t'enculer dès qu'on sera seuls, mon amour, tu jouiras à chaque fois, et on recommencera comme ça toute la journée, jusqu'à ce soir, je te ferai l'amour et tu auras enfin tout mon jus, rien que pour toi!".
"Je sais pas, si tu vas y arriver, mon amour, mais je suis partant! Si tu craques, c'est pas grave! OK?".
"Bien sûr, bébé!".
Sur ce, il se place derrière moi, et glisse son membre dans son fourreau préféré, en bougeant doucement.
Inexorablement le plaisir me submerge, je deviens fou tant il me donne du plaisir, cela prend du temps, mais c'est si bon.
J'en peux plus, j'ai besoin de faire éclater mon orgasme, je nous retourne sur le dos, en m'empalant sur sa grosse bite, plus fort et plus profondément.
"Mon amour, je veux jouir , j'en peux plus! Arhhhhhhhhhhhhh! Arhhhhhhhhhhhhh! Arhhhhhhhhhhhhh!".
Je m'écartèle l'anus sur son gros pieu comme sur un gros dildo, enfin j'atteins le paroxysme de mon plaisir en gueulant sans m'arrêter.
"Chtttttttttttt, mon bébé, on va nous entendre!".
"Je m'en fous, je... je... arhhhhhhhhhhhhh...........".
Mon orgasme retombe, je me soulève de son engin de bonheur anal.
je me tourne vers mon amant.
"Oh putain, qu'est ce que je joui fort avec toi! tu vas me faire virer homo, heureusement que je dois partir!".
"Oh, mon bébé, j'ai bien entendu là? tu penses ce que tu dis?".
"Oui, malheureusement! Je suis bien dans ma peau de Bisexuel, mais ces six semaines de baises entre hommes m'ont rendu heureux, et je dois avouer que mon hétérosexualité ne m'as pas manqué, sauf au début, avant qu'on baise ensemble! Bon, ne comprends pas que je t'aime, ce serait mentir, mais j'ai énormément d'affection pour toi, j'aime ton vice et ta tendresse, et puis tu es tellement gentil! Tu m'apportes tellement de douceur!".
Il m'embrasse, et dit:"Alors, tu m'aimes un peu donc!".
"Oui, idiot!".
Je lui donne un énorme baiser fougueux, puis je lui annonce qu'on doit s'arrêter.
"Pas de souci, viens me voir dans le container dans une heure! Je te ferai jouir encore!".
Je bosse en essayant de rattraper le retard causé par nos ébats, le client a ramené Karim qui range les courses, puis reprend sa tache.
Je vais dans le container, quand Isidore me rejoint en fermant derrière lui, j'ai déjà les fesses tendues.
Il m'encule en me disant:"Je t'adore ma petite salope blanche!".
En moins de cinq minutes, il m'offre un orgasme anal puissant, puis range sa bite en me laissant reprendre mes esprits.
"Dans une heure, dans ma cabane à outils!".
Une heure plus tard, après un nouvel orgasme anal:"Dans une heure, derrière le gros arbre!".
Et ainsi de suite, j'ai un répit, quand il part manger.
Au retour, il profite de la sieste de Karim pour me faire jouir 3 fois dans sa cabane.
On recommence à deux reprises, jusqu'à son départ à 16h30.
Il revient à 18 h, il a pris sa soirée, auprès de sa femme, en lui disant:"De toute manière, on s'ignore, donc, que je sois là ou pas, c'est pareil!".
Je monte dans sa voiture avec lui. Il m'emmène visiter une magnifique cascade, ou il me fait encore jouir contre un arbre.
"Comment tu fais mon amour, moi j'aurais craqué depuis un moment!".
"C'est dur, j'avoue, je suis au bord à chaque fois, mais je veux jouir dans ta bouche avant de te quitter!".
Il m'emmène dans un petit restaurant simple, mais excellent, puis nous retournons sur la plage ou nous avons fait l'amour tendrement pour la première fois.
Il est 22 heures, nous sommes nus l'un près de l'autre. Je monte sur lui sans me pénétrer, je le caresse tendrement, puis je lui tend mes lèvres, il écarte mes fesses, son gros sexe va directement se coller au fond de mon cul.
Toute la journée, il a entretenu l'hypersensibilité de mon anus.
A présent à chaque mouvement, je prend un plaisir énorme.
Il n'a pas besoin de m'enculer à fond pour m'emmener à l'orgasme.
Je fond sous ses caresses fermes et ses assauts lancinants, mais puissants.
Notre danse des corps durent plus de dix minutes, mon corps se tord sous le plaisir qu'il me procure.
"Isidore! je...".
"Oui, je sais, lâches-toi!".
"Arrrrrrrrrrhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
Je joui en me cambrant sur lui avec la tête en arrière.
"Ooooooooooohhhhhhhhhh, isidore, c'est trop bon, tu me fais craquer, pourquoi tu me fais ça!".
"Parce que je t'aime! Mon bébé!".
On se couche sur le coté, puis on se caresse mutuellement, de la tête au sexe, pour moi et au cul pour lui.
Il me laisse récupérer de mon plaisir pendant une bonne demi heure, en faisant aussi redescendre son éjaculation montante.
Puis il me couche sur le ventre, il plonge entre mes fesses et me nettoie du sable qui s'y trouve.
Puis, il me lèche l'anus longuement avec sa grosse langue.
Sa caresse buccale est très agréable. Il remonte son visage près du mien.
"Je t'aimerai toujours mon bébé! Tiens! C'est pour toi!".
Son sexe m'envahit l'anus.
"Arhhhhhhhhhhh, tu me rends fou, mon ...amour!".
Il retrouve ce rythme lent et profond qui me fait encore orgasmer au bout de 15 minutes, interminablement délicieuses.
Il sort de mes entrailles, puis m'attire vers l'océan, on s'embrasse dans l'eau, très très longtemps.
Enfin, il se couche sur le dos, je me place entre ses cuisses en m'empalant la gorge sur son merveilleux engin de plaisir.
Il n'a pas eu besoin de me préciser qu'il était temps que je reçoive sa semence.
Les vagues nous caressent, le moment est magique, il me laisse lui faire l'amour avec mes lèvres, ma gorge et ma langue.
Il me rend dingue avec ses gémissements, je le lèche amoureusement, des testicules jusqu'au gland.
Parfois, je pratique une douce gorge profonde, et reprend ma masturbation buccale humide.
Je veux qu'il jouisse aussi fort que moi, pendant toute cette journée, je prend mon temps, je sens son plaisir monter lentement.
"Oh, mon bébé, mon amour, ça monte là, je vais tout te donner!".
Ma bouche coulisse interminablement sur sa grosse queue qui me déforme la gorge.
Les vagues qui viennent nous lécher ajoutent à notre plaisir.
Enfin, au bout de vingt minutes, il m'annonce:"Oh, chéri, mon amour, arhhhhhhhhhhhh, Patrick, je ......arhhhhhhhhhhhhhhhhhh".
Les effluves sont très abondantes, probablement à cause de toutes ses éjaculations retenues.
Je sais que ce plaisir m'a été réservé, je fais mon possible pour ne rien gâcher.
J'avale comme je peux, en ressentant une érection.
"Ggrlllppppppp, grlllppppppp, grlllppppppp, grlllppppppp,...".
"Arhhh, oui, c'est pour toi mon bébé, avales tout! arhhhhhhhhh!".
"Ggrlllppppppp, grlllppppppp, grlllppppppp, grlllppppppp,...".
"Oh, putain, tiens, y en a encore! arhhhhhhh".
"Ggrlllppppppp, grlllppppppp, grlllppppppp, grlllppppppp,...".
Il se relâche, ses jambes se ramollissent.
"C'était fantastique, mon amour! j'ai, ahhh,... bien ... joui... ouffffffffffffff!".
Je reste planté sur son sexe, en lui prodiguant quelques dernières caresses buccales.
Puis, je grimpe sur lui en m'empalant l'anus.
je m'encule frénétiquement.
"Mon amour, tu es dingue! arhhh" me dit-il.
"C'est ta faute, tu me rend fou!".
Je me déchire l'anus comme une salope sur son énorme queue, en prenant deux orgasmes successifs, puis il gueule:"Oui mon bébé, oui, oui, arhhhhhhhhh, arhhhhhhhhhh!".
Je m'arrête de me pénétrer que lorsque je vois qu'il est repu de plaisir.
"Ohhhhhhhhhhhh, là, là, j'ai jamais aussi bien joui, tu m'as vidé! J'ai plus d'énergie!".
Je l'embrasse longuement, puis je lui dis:"Merci mon amour, comme ça, j'en ai aussi un peu dans mon cul!".
"T'es dingue!".
"Comme toi! ca va! T'es pas déçu de notre dernière journée?".
"Oh, non! Je m'en souviendrai toute ma vie! De tout le reste aussi!".
"Et tu as les photos!".
"Oui!".
On se rince dans l'océan, puis on reprend le chemin du retour, il est plus de minuit.
On reste longtemps à discuter, puis il craque en pensant à mon départ, il pleure dans mes bras, j'arrive à le consoler en lui disant que même si j'avais été amoureux de lui, je serai quand même parti, notre séparation est inévitable.
On sort de la voiture pour se séparer, on se caresse en s'embrassant, je sens son érection contre mon ventre.
On se fixe du regard, il me retourne doucement, me découvre les fesses, puis reprend le chemin de mon anus.
"Arhhh, putain, Isidore, c'est trop!".
On fait l'amour comme des fous contre la voiture, une dernière fois.
J'ai une larme en jouissant pendant son éjaculation dans mon anus. je m'étais juré de ne plus jamais revivre ce que j'ai vécu avec Fabrice, mais voilà que je lui fais du mal à lui aussi.
Il m'inonde de mots d'amour en jouissant, je retiens mes larmes, j'ai pas le droit de craquer devant lui.
Il est quatre heures du matin, je dois me lever tôt, mais je dormirai dans l'avion, c'est pas grave.
En repensant à tout ça, j'en retire pour moi que du positif, même s'il a failli m'avoir au niveau des sentiments.
Mais pour lui, je sais pas, si cela ne lui a pas fait plus de mal que de bien, les photos de mes poses pornographiques n'ont pas du l'aider à m'oublier.
J'espère qu'il a rencontré un autre homme, avec qui il a assumé son homosexualité, même si c'est pas simple là-bas.
J'ai retrouvé ma vie d'hétéro à 80 % et 20% homo en rentrant en France, presque sans problème.
Lisa a remarqué un changement de comportement chez moi, elle savait pour Isidore et moi, mais elle ignorait ses sentiments et la fréquence de nos rapports.
sa réaction a été sans équivoque.
"Ah, ouais, six semaines, plusieurs fois par jours! T'as été un vrai pédé donc, une femelle, je dirai même! Une femme baise pas comme ça! En plus il t'aimait, t'as pas craqué?".
"C'est justement parce qu'il m'aimait, qu'il avait toujours envie, moi je me sentais protégé parce que je savais que je partirai, mais il était trop gentil et tendre avec moi, je t'avoue que ça me manque!".
"Et baiser une femme, t'en avais plus envie?".
"Non, je comprends pas pourquoi, peut-être parce qu' il me baisait tellement souvent et fort que j'étais vidé tous les jours, j'ai même eu un manque pendant les week-ends, au début, après il revenait en soirée, Karim pensait qu'on était très amis, donc on pouvait partir ensemble".
"Il s'est douté de rien?".
"Je pense pas, il ne l'aimait pas, c'est sûr!".
J'ajoute:"Je vais pas rentrer tout de suite après le travail, mon amour, j'ai besoin de me faire enculer plus souvent, j'irai au Sex-Shop en rentrant, de temps en temps".
"Je t'aime, j'ai besoin de te retrouver comme avant, prends le temps dont tu as besoin, et tu sais que moi aussi, je peux te baiser!".
"Oui, je sais, mais je ressens pas le même plaisir avec un gode!".
Il m'a fallu quelques semaines pour arrêter d'imaginer que lorsqu'on me défonçait, c'était Isidore qui me prenait, c'était souvent décevant.
Puis j'ai revu l'autre Karim, mon amant du Sex-Shop (histoire: Les mots crus et les mots tabous entre hommes, La mise en scène de Karim, et les suites) qui deviendra un complice de jeu, plus fréquent et pervers.
J'ai donc enfoui cette histoire avec mes secrets intimes, à coté de Marie, mon amour transgenre.
J'ai repensé à la phrase de Lisa, une femelle, elle n'avait pas tort.
D'habitude, je suis en position de protecteur et de male dominant.
Mais avec Isidore, j'étais le protégé dominé, entouré de tendresse et de perversité.
J'était tellement bien dans ce rôle que je n'ai pas réalisé qu'il a faillit devenir un besoin.
Je ne comprenais jamais les filles qui tombaient amoureuses d'hommes qui les aimaient, mais qui ne leur convenait pas, elle me disaient toujours:"Il me disait qu'il m'aimait, alors à la longue, je suis tombée amoureuse!".
Aujourd'hui, je suis réaliste et je suis sûr que si j'étais testé deux semaines de plus, Isidore aurait gagné, j'aurai été fou amoureux de lui. Mes barrières commençaient à s'écrouler.

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