Itinéraire d'une pute - ch5 - un futur de putain
Récit érotique écrit par Christian faust emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Itinéraire d'une pute - ch5 - un futur de putain
Je regardais tranquillement la télévision lorsque Simonard…. Non pardons mon maitre est entré dans l’appartement …Je ne portais que mon déshabiller…
Viens suit moi … une fois dans ma chambre il ouvrit la penderie pris un imper Mets ça ! puis il choisit une paire d’escarpins avec des talons aiguilles de 9cm…
- Les clés de ta voiture !!….
Je lui ai donne l’adresse de Mamadou …
Lorsque Mamadou a ouvert la porte j’ai lu la surprise dans ses yeux en voyant mon maitre
Il l’a aussi compris et l’a rassure tout de suite
Je vous amène ma pute elle est à vous jusqu'à dimanche matin .. je reviendrai la cherche vers midi…il me retira mon hymper et reparti avec saluant Mamadou mais pas moi…
- Entre ma pute blanche !
A peine la porte refermée je me suis retrouvée à genoux sur un canapé d’un mauvais skai penchée sur le dossier. Mamadou m a prise comme à son habitude brutalement et Richard a présente son sexe devant ma bouche je savais ce que je devais faire …
Je devais désormais m’habituer à dire Bite.
A peine 10 mn après le départ de mon maitre j’avais déjà bu du sperme et Mamadou avait rempli ma matrice de sa semence et j’allais me faire enculer par Ahmed tout aussi brutalement sans préliminaire sans s’occuper de moi et j aimai être la proie de ces hommes rustres à qui je me suis donnée entièrement…
J’ai crie mes orgasmes j’ai réclamé leur bites j’ai réclamé leur semence en moi et sur moi …
Dans ma folie je leur déclarai rester avec eux vouloir devenir leur femme vivre avec eux tapiner pour eux …Le dimanche midi lorsque mon maitre est arrive
Je finissais de faire le ménage… Mamadou l’a fait entrer car il voulait lui parler …
Mon maitre m’a fait mettre à genoux entre ses jambes …
- Suce moi !
je l’ai débraguette pour sortir sa bitte déjà a demi raide et commencer à le sucer pendant qu’il discutait avec Mamadou
Je devenais vraiment un objet une pute une vide couille et le pire j’aimais cela … Etais je vraiment folle ?
Mamadou a expliqué à mon maitre qu’ il possédait avec moi une vraie pute qu’il faudrait l’ exploiter que cela pourrait leur rapporter à tous le deux beaucoup d’argent
Ce mot exploiter m’a fait frémir de peur d’excitation..
Qu’allais je devenir ??? il ne me vint même pas l’idée de me rebeller…
J’ai pompe mon maitre avec encore plus d’ardeur, il s’est déversé dans ma bouche et disant que l’idée était intéressante même très intéressante et qu’il allait y réfléchir.
Apres s’être échangé leur numéros de téléphoné il m’a repoussée et m’a tendu mon imper…
Il m’a ramenée jusqu'à mon appartement … en fois à l’intérieur … me dit juste qu’il allait venir avec moi demain au bureau qu’il allait parler à mon directeur qu’il passerait me prendre..
Puis il sortit en refermant la porte a clé… Bien-sûr j’avais mon trousseau mais la symbolique était très forte.
Le lendemain matin mon maitre entra chez moi… enfin si l’on pouvait dire, il entra plutôt sur ce qui était devenu son territoire.
Je portais un tailleur jupe ample plissee moulant mon bassin dessous une culotte des bas auto fixant des escarpins un soutien gorge un chemisier et une veste…
- Penche toi en prenant appui sur le dossier du canapé…
- J’en étais sûr ! désormais les culotes te sont interdites sauf lorsque tu es indisposée… Tu ne porteras que des strings ficelles… plus des bas auto fixant que des vrais bas maintenus par des porte jarretelles… suis je clair ?
- Oui maitre …
- je n’ai pas de string ficelle ..
- Tu en achèteras cet après midi. En attendant retire ta culotte puisque tu n’as pas de string tu seras nue sous ta robe… pas de bas pas de porte jarretelle ?
- Si maitre
- Va te changer et retire ton soutien gorge aussi…
- Mais si je retire ma veste on verra que je n’en porte pas ?
- Et alors ?????
Dépêche toi je n’aime pas attendre…
Quelques minute plus tard je suis revenue encore une fois troublée excitée par cette détermination à me rabaisser, m’humilier cette volonté de me dresser. Oui c’est cela être dressée à devenir une bonne salope soumise…
Je mouillais, j’avais honte car je sentais ma cyprine couler sur mes cuisses mes seins durs tendaient le tissus de mon chemisier, à chaque pas je les sentais balloter s’irriter contre le tissu je n’en pouvais plus d’excitation…. Mon maitre s’en est aperçu…
Il éclata d’un rire méchant satisfait de lui…
Lorsque nous sommes arrives à la compagnie je ne savais plus où me mettre je croyais que tout le monde comprenait savait …
Nous sommes allés dans mon bureau et mon maitre me dit de demander a rencontrer mon patron… qu’allait il encore faire ?
- Il fait chaud retire ta veste !
- non pitié pas çà
- rappelle moi de te punir une fois rentres … OBEIS !
Je l’ai retire mon devinait mes seins moules par le tissu… je n’en pouvais plus de honte d’excitation de perversion…
Je demandais donc si nous pouvions voir Jean à sa secrétaire Maryse…
- Il n’y a plus de jean mais monsieur ni de Maryse mais Madame
- Oui maitre…
Jean accepta de nous recevoir surpris par mon collier puis fixant mes seins qui ballotaient a chacun de mes pas.. mon maitre se présenta..
Et lui expliqua le but de notre visite enfin surtout de sa visite..
- Cher Monsieur je sais que vous apprécie beaucoup le travail d Helene pour sa compétence et ses résultats.. Aujourd’hui certaine choses ont change je suis devenu sont manager ..
Mon souffle s’accélérait..
Je vous propose la chose suivante Helene travaillera pour vous désormais en free lance bien-sûr toujours pour les enquêtes… mais aussi si vous le voulez en aide pour la négociation de contrats importants et délicats où la présence d’une femme peut aider à la décision…
Elle est déjà habituée à ce genre de négociation… le saviez vous ?
Jean semblait aller de surprise en surprise…
Helene raconte lui comment tu as résolu l’affaire des tableaux…
Jean enfin Monsieur me regardait et au fur et à mesure que je progressais dans mon récit je devinais son désir , je le voyais onduler sur son fauteuil..
- Qu’en pensez vous cher Monsieur …
- Je ne sais pas il faut y réfléchir je ne suis pas le seul à décider.. tout ceci est tellement soudain, surprenant
- Voulez vous un échantillon des talents d Helene ?
D’un signe de la tête timide il a approuvé. …n’osant pas imaginer ce qui allait se passer..
-Helene suce le !
Comme une automate sans prononcer le moindre mot .. je me suis levée et je suis passée de l’autre côté du bureau de Monsieur Jean… je me suis agenouillée entre ses cuisses en me glissant sous le bureau… un fois sa bite dégagée déjà raide ..ce cochon j’ai commencer à le lécher sur tout la longueur de sa hampe en le décalottant je me suis attardée sur son frein.. plusieurs fois j’ai recommence cette caresse le regardant dans les yeux puis j’ai déposé un baiser sur son gland je l’entendais soupirer d’aise peut-être de bonheur, j’ai enserre la base de ce gland violace et gorgé de sang avec mes lèvres ma langue s’est enroulée autour dans une douce caresse … puis j’ai commence a l’avaler lentement j’aimais le senti glisser sur ma langue , le moulant avec mes joues creusées.. je l’ai avalé profondément forçant ma gorge m lui offrant ma bouche je l ai suce avec application…je voulais lui donner un plaisir dont il se souviendrait toute sa vie, il s’est aperçu que j’aimais cela que je m’appliquais il a alors posé une main dans mes cheveux comme un remerciement… … Je l’entendais respirer fort et j’imaginais le sourire narquois de mon maitre découvrant son pouvoir
Monsieur Jean s’est libéré dans ma bouche ses deux mains sur ma tète me forçant à le boire …mais je n’avais pas besoin d’être forcée, je l ai bu avec un plaisir non feint ayant conscience que je lui donnait une jouissance qu’il ne devait pas souvent ressentir…
Il m’a regardée me relever plein de gratitude et aller m’assoir à côté de mon maitre… qui m’ordonna
- A genoux à mes pieds!
Monsieur Jean pris la parole
- je dois en parler en conseil d’administration.. mais je pense arriver à les convaincre même si je dois demander à Helene de venir m’aider.
Il comprenait vite..
- Helene venez demain le contrat devrait être prêt .Amenez moi votre démission en même temps.
Je vous brieferai directement pour chaque mission.
Décidément il comprenait vite très vite ..
Nous avons pris congé et mon maitre m’a interdit de remettre ma veste avant que nous ne soyons sortis du bâtiment..
- Tu vois j’organise ta nouvelle vie de pute
- Oui maitre je vois cela …
J ai du m’accrocher à son bras pour ne pas tomber tétanisée par un fulgurant orgasme libérateur d’une tension énorme. Je jouissais même sans aucun contact charnel je n’étais plus qu’un corps qu’un objet avide de jouissances
Nous sommes ensuite allés acheter des strings ficelle des bas des porte-jarretelle .. aucun soutien gorge . il m’a été aussi interdit de porter des robes ou jupes dont la longueur était inferieure à15 cm au dessus des genoux… cela signifiait aussi qu’ à chaque fois que je serai assise on verra les attaches de mon porte-jarretelle et la lisière de mes bas.. Mon maitre ricana tout le monde saura que tu es une salope… humiliation suprême cela m’excitait.
Petit a petit il m’imposait sa loi me dressait à devenir la pute qu’il avait toujours rêvé de posséder.
Nous sommes rentres et mon maitre m’a entrainée chez lui que voulait il encore. j étais épuisée.
- Tu n’oublies rien salope ???
je ne voyais pas de quoi il voulait parler…
- Tu es punie pour t’être rebellée …
- non pitié je ne le ferai plus je serai obéissante vous verrez je serai une bonne esclave une bonne pute ..
Mais rien n’y fit
- A poil la pute ! vaincue j’ai commencée à pleurer a la pensée de ce que j’allais subir je me suis déshabillée sauf mes escarpins et mes bas
Il a menotté mes mains et les a accrochées à un crochet fixe dans le plafond grâce a une chaine puis je vis la cravache
Nue cambrée grâce aux escarpins les bras étires vers le haut il a commencé à me cravacher mes fesses
- Ca t’apprendra à désobéir !!
il a redoublé les coups, je pleurais je n’étais que douleur mais encore une fois j ai senti cette chaleur dans mon ventre c’était fou je devenais une pute maso…je sentais mes fesses brulantes douloureuses surement marquées.
Puis enfin, il s’est arrêté mais c’était pour mieux s’occuper des mes seins qu’ il a cingle avec un sourire sadique à faire peur … il visait alternativement mes areoles puis mes globes. La je voyais des zébrures apparaître les coups me déformer . Je me suis surprise à me cambrer pour encore mieux offrir mes mamelles aux brulures de la cravache.
Lorsqu’il ma libérée sans force je suis tombée à genoux ..
La il m a annonce que comme j’avais du temps de libre il allait finaliser quelques transformation de mon corps. Qu’allait il encore inventer ??
il m’a mise à la porte ainsi nue pour rentrer chez moi mes vêtements dans les bras. Je n’ai même pas eu la force de me dépêcher pour éviter de croiser des voisins
Epuisée, mon corps endolori marqué je me suis allongée et malgré les douleurs et je me suis endormie …
Le lendemain matin je me suis réveillée vers 11Heurs, la douleur sur mes fesses et mes seins me rappelait ma punition… j’avais intérêt à faire attention
De toute façon je me sentais vaincue , incapable de résister, de me rebeller .
En avais je au d’ailleurs envie rien n’est moins sûr.
Je devais bien me l’avouer j’aimais cette situation de n’être qu’un objet d’être humiliée bientôt exploitée… et voilà qu’à ces pensées je sentais mon corps réagir frémir..
Courbaturée le seul frottement des draps sur mon corps me tirait des soupirs de douleur…Je vis sur ma table de nuit un tube.. un onguent destiné à atténuer la douleur et a faire disparaître les zébrures qui marquaient mes mamelles et mes fesses…Mon maitre avait du passer lorsque je dormais pour le déposer
Encore en peignoir j’ai écrit ma lettre de démission.. j’attendais l’appel de Monsieur Jean pour savoir quand je pourrai passer la lui remettre et prendre mon nouveau contrat.
Suivant les ordres de mon maitre j’ai mis des bas avec un pj sous une robe assez courte des escarpins avec des talons aiguilles de 9cm un chemisier assez échancré sans soutien gorge et une veste…Je devais me rendre à la compagnie à 15h.
Maryse me fit entrer tout de suite je lui ai fait un merci madame …
- Mais Helene je ne comprends pas pourquoi ce changement d’attitude..
- Un jour je vous expliquerai madame..
A peine entrée dans le bureau du directeur..
que celui ci est venu À ma rencontre m’a enlacée pour m’embrasser je lui ai offert ma bouche sans résistance et nos langues et nos salives se sont melées … il m’a bloquée contre son bureau presque assise dessus il a fouillé sous ma jupe je me suis laissée faire me suis offerte en écartant les jambes lorsqu’il s’est rendu compte que je ne portais pas de culotte il m’a traité de salope a baissé son pantalon et m’a prise … à la va vite il s’est déchainé en moi m’arrachant quelques soupirs j’ai passe mes jambes autour de sa taille et me cambrant je lui déclarais :
- ouiiii baise moi ouiiiii encore je suis à toi vas y…ces mots l’ont rendu fou et il s’est déversé en moi en rallant … je me suis agenouillée devant lui et je l’ai léché pour nettoyer sa bitte ramollie …
Puis devant lui le regardant dans les yeux j’ai récupéré sur mes doigts son sperme qui sortait de mon ventre et je les ai léchés avidement…
- salope …quelle salope tu fais !.. oui je suis une salope oui je suis une pute hummm ces mots m’électrisaient, irradiaient mon ventre souillé..
je me suis assise sur le canapé puis écartelée devant lui, je me suis caressée jusqu'à la jouissance.
J’étais devenue une nymphomane prête à tout pour jouir
Ayant récupères nos esprits nous avons réglé les problèmes de contrat..
Viens suit moi … une fois dans ma chambre il ouvrit la penderie pris un imper Mets ça ! puis il choisit une paire d’escarpins avec des talons aiguilles de 9cm…
- Les clés de ta voiture !!….
Je lui ai donne l’adresse de Mamadou …
Lorsque Mamadou a ouvert la porte j’ai lu la surprise dans ses yeux en voyant mon maitre
Il l’a aussi compris et l’a rassure tout de suite
Je vous amène ma pute elle est à vous jusqu'à dimanche matin .. je reviendrai la cherche vers midi…il me retira mon hymper et reparti avec saluant Mamadou mais pas moi…
- Entre ma pute blanche !
A peine la porte refermée je me suis retrouvée à genoux sur un canapé d’un mauvais skai penchée sur le dossier. Mamadou m a prise comme à son habitude brutalement et Richard a présente son sexe devant ma bouche je savais ce que je devais faire …
Je devais désormais m’habituer à dire Bite.
A peine 10 mn après le départ de mon maitre j’avais déjà bu du sperme et Mamadou avait rempli ma matrice de sa semence et j’allais me faire enculer par Ahmed tout aussi brutalement sans préliminaire sans s’occuper de moi et j aimai être la proie de ces hommes rustres à qui je me suis donnée entièrement…
J’ai crie mes orgasmes j’ai réclamé leur bites j’ai réclamé leur semence en moi et sur moi …
Dans ma folie je leur déclarai rester avec eux vouloir devenir leur femme vivre avec eux tapiner pour eux …Le dimanche midi lorsque mon maitre est arrive
Je finissais de faire le ménage… Mamadou l’a fait entrer car il voulait lui parler …
Mon maitre m’a fait mettre à genoux entre ses jambes …
- Suce moi !
je l’ai débraguette pour sortir sa bitte déjà a demi raide et commencer à le sucer pendant qu’il discutait avec Mamadou
Je devenais vraiment un objet une pute une vide couille et le pire j’aimais cela … Etais je vraiment folle ?
Mamadou a expliqué à mon maitre qu’ il possédait avec moi une vraie pute qu’il faudrait l’ exploiter que cela pourrait leur rapporter à tous le deux beaucoup d’argent
Ce mot exploiter m’a fait frémir de peur d’excitation..
Qu’allais je devenir ??? il ne me vint même pas l’idée de me rebeller…
J’ai pompe mon maitre avec encore plus d’ardeur, il s’est déversé dans ma bouche et disant que l’idée était intéressante même très intéressante et qu’il allait y réfléchir.
Apres s’être échangé leur numéros de téléphoné il m’a repoussée et m’a tendu mon imper…
Il m’a ramenée jusqu'à mon appartement … en fois à l’intérieur … me dit juste qu’il allait venir avec moi demain au bureau qu’il allait parler à mon directeur qu’il passerait me prendre..
Puis il sortit en refermant la porte a clé… Bien-sûr j’avais mon trousseau mais la symbolique était très forte.
Le lendemain matin mon maitre entra chez moi… enfin si l’on pouvait dire, il entra plutôt sur ce qui était devenu son territoire.
Je portais un tailleur jupe ample plissee moulant mon bassin dessous une culotte des bas auto fixant des escarpins un soutien gorge un chemisier et une veste…
- Penche toi en prenant appui sur le dossier du canapé…
- J’en étais sûr ! désormais les culotes te sont interdites sauf lorsque tu es indisposée… Tu ne porteras que des strings ficelles… plus des bas auto fixant que des vrais bas maintenus par des porte jarretelles… suis je clair ?
- Oui maitre …
- je n’ai pas de string ficelle ..
- Tu en achèteras cet après midi. En attendant retire ta culotte puisque tu n’as pas de string tu seras nue sous ta robe… pas de bas pas de porte jarretelle ?
- Si maitre
- Va te changer et retire ton soutien gorge aussi…
- Mais si je retire ma veste on verra que je n’en porte pas ?
- Et alors ?????
Dépêche toi je n’aime pas attendre…
Quelques minute plus tard je suis revenue encore une fois troublée excitée par cette détermination à me rabaisser, m’humilier cette volonté de me dresser. Oui c’est cela être dressée à devenir une bonne salope soumise…
Je mouillais, j’avais honte car je sentais ma cyprine couler sur mes cuisses mes seins durs tendaient le tissus de mon chemisier, à chaque pas je les sentais balloter s’irriter contre le tissu je n’en pouvais plus d’excitation…. Mon maitre s’en est aperçu…
Il éclata d’un rire méchant satisfait de lui…
Lorsque nous sommes arrives à la compagnie je ne savais plus où me mettre je croyais que tout le monde comprenait savait …
Nous sommes allés dans mon bureau et mon maitre me dit de demander a rencontrer mon patron… qu’allait il encore faire ?
- Il fait chaud retire ta veste !
- non pitié pas çà
- rappelle moi de te punir une fois rentres … OBEIS !
Je l’ai retire mon devinait mes seins moules par le tissu… je n’en pouvais plus de honte d’excitation de perversion…
Je demandais donc si nous pouvions voir Jean à sa secrétaire Maryse…
- Il n’y a plus de jean mais monsieur ni de Maryse mais Madame
- Oui maitre…
Jean accepta de nous recevoir surpris par mon collier puis fixant mes seins qui ballotaient a chacun de mes pas.. mon maitre se présenta..
Et lui expliqua le but de notre visite enfin surtout de sa visite..
- Cher Monsieur je sais que vous apprécie beaucoup le travail d Helene pour sa compétence et ses résultats.. Aujourd’hui certaine choses ont change je suis devenu sont manager ..
Mon souffle s’accélérait..
Je vous propose la chose suivante Helene travaillera pour vous désormais en free lance bien-sûr toujours pour les enquêtes… mais aussi si vous le voulez en aide pour la négociation de contrats importants et délicats où la présence d’une femme peut aider à la décision…
Elle est déjà habituée à ce genre de négociation… le saviez vous ?
Jean semblait aller de surprise en surprise…
Helene raconte lui comment tu as résolu l’affaire des tableaux…
Jean enfin Monsieur me regardait et au fur et à mesure que je progressais dans mon récit je devinais son désir , je le voyais onduler sur son fauteuil..
- Qu’en pensez vous cher Monsieur …
- Je ne sais pas il faut y réfléchir je ne suis pas le seul à décider.. tout ceci est tellement soudain, surprenant
- Voulez vous un échantillon des talents d Helene ?
D’un signe de la tête timide il a approuvé. …n’osant pas imaginer ce qui allait se passer..
-Helene suce le !
Comme une automate sans prononcer le moindre mot .. je me suis levée et je suis passée de l’autre côté du bureau de Monsieur Jean… je me suis agenouillée entre ses cuisses en me glissant sous le bureau… un fois sa bite dégagée déjà raide ..ce cochon j’ai commencer à le lécher sur tout la longueur de sa hampe en le décalottant je me suis attardée sur son frein.. plusieurs fois j’ai recommence cette caresse le regardant dans les yeux puis j’ai déposé un baiser sur son gland je l’entendais soupirer d’aise peut-être de bonheur, j’ai enserre la base de ce gland violace et gorgé de sang avec mes lèvres ma langue s’est enroulée autour dans une douce caresse … puis j’ai commence a l’avaler lentement j’aimais le senti glisser sur ma langue , le moulant avec mes joues creusées.. je l’ai avalé profondément forçant ma gorge m lui offrant ma bouche je l ai suce avec application…je voulais lui donner un plaisir dont il se souviendrait toute sa vie, il s’est aperçu que j’aimais cela que je m’appliquais il a alors posé une main dans mes cheveux comme un remerciement… … Je l’entendais respirer fort et j’imaginais le sourire narquois de mon maitre découvrant son pouvoir
Monsieur Jean s’est libéré dans ma bouche ses deux mains sur ma tète me forçant à le boire …mais je n’avais pas besoin d’être forcée, je l ai bu avec un plaisir non feint ayant conscience que je lui donnait une jouissance qu’il ne devait pas souvent ressentir…
Il m’a regardée me relever plein de gratitude et aller m’assoir à côté de mon maitre… qui m’ordonna
- A genoux à mes pieds!
Monsieur Jean pris la parole
- je dois en parler en conseil d’administration.. mais je pense arriver à les convaincre même si je dois demander à Helene de venir m’aider.
Il comprenait vite..
- Helene venez demain le contrat devrait être prêt .Amenez moi votre démission en même temps.
Je vous brieferai directement pour chaque mission.
Décidément il comprenait vite très vite ..
Nous avons pris congé et mon maitre m’a interdit de remettre ma veste avant que nous ne soyons sortis du bâtiment..
- Tu vois j’organise ta nouvelle vie de pute
- Oui maitre je vois cela …
J ai du m’accrocher à son bras pour ne pas tomber tétanisée par un fulgurant orgasme libérateur d’une tension énorme. Je jouissais même sans aucun contact charnel je n’étais plus qu’un corps qu’un objet avide de jouissances
Nous sommes ensuite allés acheter des strings ficelle des bas des porte-jarretelle .. aucun soutien gorge . il m’a été aussi interdit de porter des robes ou jupes dont la longueur était inferieure à15 cm au dessus des genoux… cela signifiait aussi qu’ à chaque fois que je serai assise on verra les attaches de mon porte-jarretelle et la lisière de mes bas.. Mon maitre ricana tout le monde saura que tu es une salope… humiliation suprême cela m’excitait.
Petit a petit il m’imposait sa loi me dressait à devenir la pute qu’il avait toujours rêvé de posséder.
Nous sommes rentres et mon maitre m’a entrainée chez lui que voulait il encore. j étais épuisée.
- Tu n’oublies rien salope ???
je ne voyais pas de quoi il voulait parler…
- Tu es punie pour t’être rebellée …
- non pitié je ne le ferai plus je serai obéissante vous verrez je serai une bonne esclave une bonne pute ..
Mais rien n’y fit
- A poil la pute ! vaincue j’ai commencée à pleurer a la pensée de ce que j’allais subir je me suis déshabillée sauf mes escarpins et mes bas
Il a menotté mes mains et les a accrochées à un crochet fixe dans le plafond grâce a une chaine puis je vis la cravache
Nue cambrée grâce aux escarpins les bras étires vers le haut il a commencé à me cravacher mes fesses
- Ca t’apprendra à désobéir !!
il a redoublé les coups, je pleurais je n’étais que douleur mais encore une fois j ai senti cette chaleur dans mon ventre c’était fou je devenais une pute maso…je sentais mes fesses brulantes douloureuses surement marquées.
Puis enfin, il s’est arrêté mais c’était pour mieux s’occuper des mes seins qu’ il a cingle avec un sourire sadique à faire peur … il visait alternativement mes areoles puis mes globes. La je voyais des zébrures apparaître les coups me déformer . Je me suis surprise à me cambrer pour encore mieux offrir mes mamelles aux brulures de la cravache.
Lorsqu’il ma libérée sans force je suis tombée à genoux ..
La il m a annonce que comme j’avais du temps de libre il allait finaliser quelques transformation de mon corps. Qu’allait il encore inventer ??
il m’a mise à la porte ainsi nue pour rentrer chez moi mes vêtements dans les bras. Je n’ai même pas eu la force de me dépêcher pour éviter de croiser des voisins
Epuisée, mon corps endolori marqué je me suis allongée et malgré les douleurs et je me suis endormie …
Le lendemain matin je me suis réveillée vers 11Heurs, la douleur sur mes fesses et mes seins me rappelait ma punition… j’avais intérêt à faire attention
De toute façon je me sentais vaincue , incapable de résister, de me rebeller .
En avais je au d’ailleurs envie rien n’est moins sûr.
Je devais bien me l’avouer j’aimais cette situation de n’être qu’un objet d’être humiliée bientôt exploitée… et voilà qu’à ces pensées je sentais mon corps réagir frémir..
Courbaturée le seul frottement des draps sur mon corps me tirait des soupirs de douleur…Je vis sur ma table de nuit un tube.. un onguent destiné à atténuer la douleur et a faire disparaître les zébrures qui marquaient mes mamelles et mes fesses…Mon maitre avait du passer lorsque je dormais pour le déposer
Encore en peignoir j’ai écrit ma lettre de démission.. j’attendais l’appel de Monsieur Jean pour savoir quand je pourrai passer la lui remettre et prendre mon nouveau contrat.
Suivant les ordres de mon maitre j’ai mis des bas avec un pj sous une robe assez courte des escarpins avec des talons aiguilles de 9cm un chemisier assez échancré sans soutien gorge et une veste…Je devais me rendre à la compagnie à 15h.
Maryse me fit entrer tout de suite je lui ai fait un merci madame …
- Mais Helene je ne comprends pas pourquoi ce changement d’attitude..
- Un jour je vous expliquerai madame..
A peine entrée dans le bureau du directeur..
que celui ci est venu À ma rencontre m’a enlacée pour m’embrasser je lui ai offert ma bouche sans résistance et nos langues et nos salives se sont melées … il m’a bloquée contre son bureau presque assise dessus il a fouillé sous ma jupe je me suis laissée faire me suis offerte en écartant les jambes lorsqu’il s’est rendu compte que je ne portais pas de culotte il m’a traité de salope a baissé son pantalon et m’a prise … à la va vite il s’est déchainé en moi m’arrachant quelques soupirs j’ai passe mes jambes autour de sa taille et me cambrant je lui déclarais :
- ouiiii baise moi ouiiiii encore je suis à toi vas y…ces mots l’ont rendu fou et il s’est déversé en moi en rallant … je me suis agenouillée devant lui et je l’ai léché pour nettoyer sa bitte ramollie …
Puis devant lui le regardant dans les yeux j’ai récupéré sur mes doigts son sperme qui sortait de mon ventre et je les ai léchés avidement…
- salope …quelle salope tu fais !.. oui je suis une salope oui je suis une pute hummm ces mots m’électrisaient, irradiaient mon ventre souillé..
je me suis assise sur le canapé puis écartelée devant lui, je me suis caressée jusqu'à la jouissance.
J’étais devenue une nymphomane prête à tout pour jouir
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