Itinéraire d'une pute - chp 1 - la genèse
Récit érotique écrit par Christian faust emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Itinéraire d'une pute - chp 1 - la genèse
Je m’appelle Helene , je suis une femme de 32 ans célibataire ,châtain claire, mes cheveux légèrement ondulés tombent sur mes épaules, j’ai des yeux bleus et une grande bouche avec des lèvres lippues. Je suis plutôt pulpeuse je mesure 1M68 pour 67 kg je fais un 90D. Des fesses plutôt rondes, étant très sportive je suis assez musclée avec un ventre bien plat et des jambes fuselées.
J’ai donc des formes.
Je suis cadre supérieure dans une grande compagnie d’assurance au service des enquêtes sur des gros dossiers.
Situation très intéressante car très variée, la base étant de déjouer les tentatives l’escroquerie à l’assurance, cela va de l’incendie aux vols déguises ce qui nous amènent parfois à démanteler des réseaux bien organises et ainsi éviter d’autres vols d’envergures.
Mon service est dirige par Jean Duchemin qui porte bien la cinquantaine, très distingué, très vieille France un peu hautain. S’il sait se faire respecter au sein du service, c’est un homme assez à l’écoute et surement doux et sensible voir même timide surtout avec les femmes. A certains regards que j’ai pu surprendre, je suis sure que je lui plais mais il a toujours gardé ses distances.
Ma vie amoureuse est assez monotone. Les quelques amants qui ont traverse ma vie étaient bien élevés sans grande originalité, ils ne m’ont jamais faite vibrer encore moins rêver. Peut être est ce cela la vie amoureuse.
Je ne suis pas très sensuelle et le sexe ne m’intéresse pas beaucoup car je ne ressens pas grand chose.
Ma vie a basculé un vendredi soir de juillet, au moment de quitter mon bureau vers 19H impossible de mettre ma voiture en route. Trop fatiguée pour attendre un dépanneur je décide de prendre le métro. Bien-sûr il est bondé à cette heure nous sommes entasses les uns contre le autres j’ai horreur de la promiscuité des odeurs de sueur de ses corps qui sont colles les uns aux autres et surtout au mien.
Je portais une robe légère assez courte et une veste, lorsque j’ai senti quelqu’un se frotter contre moi dans mon dos et surtout contre mes fesses, je ne pouvais que subir sans pouvoir me retourner pour le repousser vertement… malgré les arrêts je n’ai pas pu me dégager et il a recommence … quand j’ai commence à sentir une chaleur dans mon ventre je sentais contre mes reins une raideur à ne pas douter un sexe.. mes seins aussi étaient durs à me faire mal mon souffle s’accélérait…j’avais chaud très chaud je me suis même surprise à me cambrer, à chercher cette raideur anonyme.
J’étais excitée comme jamais, folle de désir je coulais. Je l’ai senti se raidir, trembler, il jouissait quelle horreur quelle excitation, je devenais folle je n’en pouvais plus il me fallait un sexe ! disons plutôt une bite ! un male !
Un nouvel arrêt je réussi à me retourner c’était un grand noir filiforme avec son uniforme vert et ses bandes jaunes… dans un souffle je lui dit « suit moi »… je ne savais plus ce que je faisais en fait mon corps mon ventre décidait pour moi…
Dehors en bas de l’avenue de la grande Armée j’avisais un sanisette, tremblante, énervée j’ai mis du temps à trouver la pièce de 2 euros libératrice pour ouvrir la porte .. une fois à l’interieur je me suis assise sur la cuvette lui face à moi debout je me suis jetée sur sa braguette et j’ai sorti sa « bite » à demie bandée elle sentait l’urine et était souillée de sperme, je ne me contrôlais plus et j’ai commencer par le lécher, avide, gourmande, pour la première fois de ma vie je me délectais de sperme, enivrée par son odeur forte.
Je le pompais, le suçais avec un plaisir infini…caresse que j’avais toujours refuse par le passé ce soir là j’en avais envie. Lui me traitait de salope, de pute blanche je sentais ses mains sur ma tête.. j’aimais cette sensation de soumission.. Lorsqu’il a repris forme je me suis levée et retournée face à la cloison de cet endroit sordide, cambrée jambes écartées, j’ai retrousse ma jupe et je lui ai dit « baise moi je suis à toi » je ne sais pas d’où me venait ces mots…
Il m’a prise brutalement, j’ai senti une barre de feu me prendre me remplir j’ai aussitôt découvert ce que c’était que de jouir , j’ai eu un orgasme fabuleux, je feulais, mon souffle court mon cœur battait si vite. Femelle je l’encourageais à me prendre toujours plus fort toujours plus loin.
- Ne jouit pas en moi préviens moi quand tu vas venir….
Au moment opportun je me suis dégagée et à nouveau assise je me suis précipitée pour le prendre dans ma bouche et recevoir son sperme sur ma langue, l’avaler, le boire le déguster… pour la première fois de ma vie et j’ai adoré
« Avale mon foutre sale pute de blanche » et en plus j’aimais qu’il m’insulte
La tension retombée j’ai remis de l’ordre dans ma tenue, épuisée, repue dehors j’ai surpris des regards sur nous, d’hommes et de femmes reprobateurs. Je ne savais plus quoi faire, quelle attitude prendre.. heureusement à Paris nous ne sommes que des anonymes..
Mon amant de quelques minutes voulait me revoir je lui ai expliqué que non j’étais désolée et j’écourtais la conversation.
Je voulais être seule et j’ai pris un taxi…
Dans le calme de la voiture j’ai fermé les yeux j’ai repense à ce qui venait de se passer au plaisir que j’ai ressenti.. aux orgasmes si forts qui m’ont saisie … A nouveau mon ventre redevenait chaud mes seins durs hummm j’avais envie de me caresser , alors que jamais je ne l’avais fait…
Une fois rentrée chez moi je me suis douchee pour essayer de me calmer rien n’y a fait j’ai heureusement trouvé un concombre sur lequel je me suis empalée comme une furie repensant à cet homme à qui je me suis donnée comme la dernière des salopes, à ses insultes méritées, j’ai encore joui comme une dingue tétanisée par plusieurs orgasmes.
Ma nuit a été peuplée de rêves érotiques dès mon réveil je me suis précipitée sur mon concombre, je ne comprenais pas ce qu’il m’arrivait…
En milieu de matinée la sonnette retentie.. c’était surement Simonard, le concierge il me montai mon courrier, une manière de me remercier de lui avoir trouvé cette place dans mon immeuble..
En temps normal lorsqu’il passait j’etais déjà habillée, souvent en jogging, là j’étais nue j’ai passé un déshabiller en satin qui m’arrivait à mie cuisse pour lui ouvrir D’habitude je ne faisais pas attention à lui plutôt insignifiant petit bedonnant mal rasé un regard malicieux parfois désagréable.
De plus assez mal habiller lorsqu’il m’a vue ainsi son regard de désir m’a troublée n’ayont pas peur des mots excitée encore une fois …
J’ai rompu vite la conversation pour m’isoler à nouveau et me protéger…
Mon dieu que m’arrivait il.. étais je devenue une nymphomane prête à se donner à n’importe qui et plus ils étaient frustres, plus il étaient vulgaires plus il etaient machos et plus ils etaient pervers »…plus ils m’excitaient
Je devais assumer cette découverte de ma cérébralité et de mon corps …
Le lendemain je me suis achetée une perruque puis je suis allée trainer dans les quartiers chauds, je déambulais entre les sexshop, les peepshows, troublée excitée j’étais comme une automate…
Sans réfléchir je suis entrée dans un sexshop
Les quelques clients présents se sont tournés vers moi… j’étais rouge de honte mais je continuais j’allais vers les sextoys … j’en choisi deux qui éjaculaient… puis je fus attirée par les colliers je ne sais pourquoi j’ai acheté un collier d’esclave en cuir rouge large de 3cm avec un anneau sur le devant .Aucune raison rationnelle c’était un besoin un désir une nécessité. Inconsciemment j’avais envie de ce collier … les hommes commençaient à se rapprocher de moi …
Je me promenais dans la boutique regardant les accessoires les revues je découvrais un monde que je n’imaginais même pas exister.
Lorsque je sentis une main sur mes fesses je n’ai pas réagi je l’ai laissée épouser mes formes descendre, remonter lentement ma jupe hummm je ne pouvais cacher mon trouble. Ils avaient compris que j’étais une proie facile puis une main a appuyé sur mon épaule je me suis laissée tomber à genoux des bites se sont aussitôt présentées devant mon visage Soumise et comme si c’était naturel , j’ai ouvert la bouche encore une fois avec envie. La première s’est enfoncée jusqu'au fond de ma gorge j’ai failli vomir, des larmes coulaient le long de mes joues, j’étouffais puis le male a commencé à aller et venir à baiser ma bouche comme a dit un des client du sex shop, puis il a crache sa semence et il s’est retiré et il a été tout de suite remplacé par une autre … oui j’étais devenue une salope ,une pute, une vide couille et j’aimais cela j’en avais envie, envie de sperme ….
Etais je devenue folle ?
Un des hommes m’a relevée et allongée sur une sorte de divan, il a retroussé ma jupe. Muette, Inerte, objet , je l’ai laisse faire sans aucune résistance , il a écarté mes jambes et m’a prise sans se soucier de moi sans se soucier de mon plaisir …… en une seule fois, fort brutalement, profondément et comme la veille je fus tétanisée par un orgasme aussi soudain que fort je jouissais en cascades je les entendais parler de moi « « « « quelle salope cette fille, quelle pute » » »
Il m’ont tous prise les uns après les autres. Je suis restée dans la boutique plus d’une heure.. Ils étaient six.
J’ai paye mes achats et le gérant m’a dit que je pouvais revenir quand je voulais.
Je suis rentrée chez moi épuisée honteuse mais encore troublée excitée, et heureuse enjouée gaie. Il fallait que je comprenne.
J’ai encore croise Simonard …et je suis rentrée chez moi et je me suis endormie le cerveau vide
Je suis restée enfermée tout le dimanche, j’ai mis mon collier, je l’aime tant ce collier.
J’ai connu avec mes sextoys ma première sodomie, quelle jouissance !, quel plaisir de se donner ainsi ! aussi mes première doubles pénétrations où j’ai compris ce que voulait dire être pleine remplie
Je n’avais pas fait cela par curiosité Non cela m’est venu naturellement tout simplement et j’ai adore.
J’ai compris en jouant avec mes accessoires que bientôt je connaitrai tout cela avec des males Rencontrés au hasard ….
J’ai donc des formes.
Je suis cadre supérieure dans une grande compagnie d’assurance au service des enquêtes sur des gros dossiers.
Situation très intéressante car très variée, la base étant de déjouer les tentatives l’escroquerie à l’assurance, cela va de l’incendie aux vols déguises ce qui nous amènent parfois à démanteler des réseaux bien organises et ainsi éviter d’autres vols d’envergures.
Mon service est dirige par Jean Duchemin qui porte bien la cinquantaine, très distingué, très vieille France un peu hautain. S’il sait se faire respecter au sein du service, c’est un homme assez à l’écoute et surement doux et sensible voir même timide surtout avec les femmes. A certains regards que j’ai pu surprendre, je suis sure que je lui plais mais il a toujours gardé ses distances.
Ma vie amoureuse est assez monotone. Les quelques amants qui ont traverse ma vie étaient bien élevés sans grande originalité, ils ne m’ont jamais faite vibrer encore moins rêver. Peut être est ce cela la vie amoureuse.
Je ne suis pas très sensuelle et le sexe ne m’intéresse pas beaucoup car je ne ressens pas grand chose.
Ma vie a basculé un vendredi soir de juillet, au moment de quitter mon bureau vers 19H impossible de mettre ma voiture en route. Trop fatiguée pour attendre un dépanneur je décide de prendre le métro. Bien-sûr il est bondé à cette heure nous sommes entasses les uns contre le autres j’ai horreur de la promiscuité des odeurs de sueur de ses corps qui sont colles les uns aux autres et surtout au mien.
Je portais une robe légère assez courte et une veste, lorsque j’ai senti quelqu’un se frotter contre moi dans mon dos et surtout contre mes fesses, je ne pouvais que subir sans pouvoir me retourner pour le repousser vertement… malgré les arrêts je n’ai pas pu me dégager et il a recommence … quand j’ai commence à sentir une chaleur dans mon ventre je sentais contre mes reins une raideur à ne pas douter un sexe.. mes seins aussi étaient durs à me faire mal mon souffle s’accélérait…j’avais chaud très chaud je me suis même surprise à me cambrer, à chercher cette raideur anonyme.
J’étais excitée comme jamais, folle de désir je coulais. Je l’ai senti se raidir, trembler, il jouissait quelle horreur quelle excitation, je devenais folle je n’en pouvais plus il me fallait un sexe ! disons plutôt une bite ! un male !
Un nouvel arrêt je réussi à me retourner c’était un grand noir filiforme avec son uniforme vert et ses bandes jaunes… dans un souffle je lui dit « suit moi »… je ne savais plus ce que je faisais en fait mon corps mon ventre décidait pour moi…
Dehors en bas de l’avenue de la grande Armée j’avisais un sanisette, tremblante, énervée j’ai mis du temps à trouver la pièce de 2 euros libératrice pour ouvrir la porte .. une fois à l’interieur je me suis assise sur la cuvette lui face à moi debout je me suis jetée sur sa braguette et j’ai sorti sa « bite » à demie bandée elle sentait l’urine et était souillée de sperme, je ne me contrôlais plus et j’ai commencer par le lécher, avide, gourmande, pour la première fois de ma vie je me délectais de sperme, enivrée par son odeur forte.
Je le pompais, le suçais avec un plaisir infini…caresse que j’avais toujours refuse par le passé ce soir là j’en avais envie. Lui me traitait de salope, de pute blanche je sentais ses mains sur ma tête.. j’aimais cette sensation de soumission.. Lorsqu’il a repris forme je me suis levée et retournée face à la cloison de cet endroit sordide, cambrée jambes écartées, j’ai retrousse ma jupe et je lui ai dit « baise moi je suis à toi » je ne sais pas d’où me venait ces mots…
Il m’a prise brutalement, j’ai senti une barre de feu me prendre me remplir j’ai aussitôt découvert ce que c’était que de jouir , j’ai eu un orgasme fabuleux, je feulais, mon souffle court mon cœur battait si vite. Femelle je l’encourageais à me prendre toujours plus fort toujours plus loin.
- Ne jouit pas en moi préviens moi quand tu vas venir….
Au moment opportun je me suis dégagée et à nouveau assise je me suis précipitée pour le prendre dans ma bouche et recevoir son sperme sur ma langue, l’avaler, le boire le déguster… pour la première fois de ma vie et j’ai adoré
« Avale mon foutre sale pute de blanche » et en plus j’aimais qu’il m’insulte
La tension retombée j’ai remis de l’ordre dans ma tenue, épuisée, repue dehors j’ai surpris des regards sur nous, d’hommes et de femmes reprobateurs. Je ne savais plus quoi faire, quelle attitude prendre.. heureusement à Paris nous ne sommes que des anonymes..
Mon amant de quelques minutes voulait me revoir je lui ai expliqué que non j’étais désolée et j’écourtais la conversation.
Je voulais être seule et j’ai pris un taxi…
Dans le calme de la voiture j’ai fermé les yeux j’ai repense à ce qui venait de se passer au plaisir que j’ai ressenti.. aux orgasmes si forts qui m’ont saisie … A nouveau mon ventre redevenait chaud mes seins durs hummm j’avais envie de me caresser , alors que jamais je ne l’avais fait…
Une fois rentrée chez moi je me suis douchee pour essayer de me calmer rien n’y a fait j’ai heureusement trouvé un concombre sur lequel je me suis empalée comme une furie repensant à cet homme à qui je me suis donnée comme la dernière des salopes, à ses insultes méritées, j’ai encore joui comme une dingue tétanisée par plusieurs orgasmes.
Ma nuit a été peuplée de rêves érotiques dès mon réveil je me suis précipitée sur mon concombre, je ne comprenais pas ce qu’il m’arrivait…
En milieu de matinée la sonnette retentie.. c’était surement Simonard, le concierge il me montai mon courrier, une manière de me remercier de lui avoir trouvé cette place dans mon immeuble..
En temps normal lorsqu’il passait j’etais déjà habillée, souvent en jogging, là j’étais nue j’ai passé un déshabiller en satin qui m’arrivait à mie cuisse pour lui ouvrir D’habitude je ne faisais pas attention à lui plutôt insignifiant petit bedonnant mal rasé un regard malicieux parfois désagréable.
De plus assez mal habiller lorsqu’il m’a vue ainsi son regard de désir m’a troublée n’ayont pas peur des mots excitée encore une fois …
J’ai rompu vite la conversation pour m’isoler à nouveau et me protéger…
Mon dieu que m’arrivait il.. étais je devenue une nymphomane prête à se donner à n’importe qui et plus ils étaient frustres, plus il étaient vulgaires plus il etaient machos et plus ils etaient pervers »…plus ils m’excitaient
Je devais assumer cette découverte de ma cérébralité et de mon corps …
Le lendemain je me suis achetée une perruque puis je suis allée trainer dans les quartiers chauds, je déambulais entre les sexshop, les peepshows, troublée excitée j’étais comme une automate…
Sans réfléchir je suis entrée dans un sexshop
Les quelques clients présents se sont tournés vers moi… j’étais rouge de honte mais je continuais j’allais vers les sextoys … j’en choisi deux qui éjaculaient… puis je fus attirée par les colliers je ne sais pourquoi j’ai acheté un collier d’esclave en cuir rouge large de 3cm avec un anneau sur le devant .Aucune raison rationnelle c’était un besoin un désir une nécessité. Inconsciemment j’avais envie de ce collier … les hommes commençaient à se rapprocher de moi …
Je me promenais dans la boutique regardant les accessoires les revues je découvrais un monde que je n’imaginais même pas exister.
Lorsque je sentis une main sur mes fesses je n’ai pas réagi je l’ai laissée épouser mes formes descendre, remonter lentement ma jupe hummm je ne pouvais cacher mon trouble. Ils avaient compris que j’étais une proie facile puis une main a appuyé sur mon épaule je me suis laissée tomber à genoux des bites se sont aussitôt présentées devant mon visage Soumise et comme si c’était naturel , j’ai ouvert la bouche encore une fois avec envie. La première s’est enfoncée jusqu'au fond de ma gorge j’ai failli vomir, des larmes coulaient le long de mes joues, j’étouffais puis le male a commencé à aller et venir à baiser ma bouche comme a dit un des client du sex shop, puis il a crache sa semence et il s’est retiré et il a été tout de suite remplacé par une autre … oui j’étais devenue une salope ,une pute, une vide couille et j’aimais cela j’en avais envie, envie de sperme ….
Etais je devenue folle ?
Un des hommes m’a relevée et allongée sur une sorte de divan, il a retroussé ma jupe. Muette, Inerte, objet , je l’ai laisse faire sans aucune résistance , il a écarté mes jambes et m’a prise sans se soucier de moi sans se soucier de mon plaisir …… en une seule fois, fort brutalement, profondément et comme la veille je fus tétanisée par un orgasme aussi soudain que fort je jouissais en cascades je les entendais parler de moi « « « « quelle salope cette fille, quelle pute » » »
Il m’ont tous prise les uns après les autres. Je suis restée dans la boutique plus d’une heure.. Ils étaient six.
J’ai paye mes achats et le gérant m’a dit que je pouvais revenir quand je voulais.
Je suis rentrée chez moi épuisée honteuse mais encore troublée excitée, et heureuse enjouée gaie. Il fallait que je comprenne.
J’ai encore croise Simonard …et je suis rentrée chez moi et je me suis endormie le cerveau vide
Je suis restée enfermée tout le dimanche, j’ai mis mon collier, je l’aime tant ce collier.
J’ai connu avec mes sextoys ma première sodomie, quelle jouissance !, quel plaisir de se donner ainsi ! aussi mes première doubles pénétrations où j’ai compris ce que voulait dire être pleine remplie
Je n’avais pas fait cela par curiosité Non cela m’est venu naturellement tout simplement et j’ai adore.
J’ai compris en jouant avec mes accessoires que bientôt je connaitrai tout cela avec des males Rencontrés au hasard ….
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