Ivresses d'un retour de vacances .... - histoire érotique

Nous rentrons chez nous après avoir passé quinze jours en république Dominicaine, Alice est pressée de raconter sa première incartade a Amélie, sa confidente,elle est aussi la femme de mon pote Alain, une brève aventure avec un jeune black, employé a la piscine de notre hôtel, un matin, dans le local des pompes
Ils sont venus ce soir boire un pot et regarder quelques photos, Alice a mis une robe dos nus qui montre qu’elle a bronzé topless, Alain la taquine en lui demandant de lui montrer, évidement elle refuse, nous ne somme pas assez intimes

Une musique douce m’a donné envie de danser, j’ai donc invité Amélie, l’autre couple s’est formé automatiquement, est-ce sa robe en tissu très fin, sous lequel je devine ses formes ? Toujours est-il que je me suis mis à bander, voyant qu’elle ne se dérobait pas j’ai insisté, mon membre plié en deux appuie sur sa motte, je perçois nettement le bombé de ses lèvres intimes, ses doigts se sont crispés sur mes épaules, sa respiration est devenue profonde et lente, je n’hésite plus a lui faire sentir mon désir, elle écarte subtilement les jambes afin de mieux me recevoir dans sa fourche, je la plaque fortement sur mon ventre, je sens ma mouille suinter a mon gland, mon slip va être taché ! Et le sien ?? Je me retiens pour ne pas vérifier en passant ma main sous sa robe courte !
Je jette un coup d’œil a coté, ils sont joue contre joue, ma femme rie, sans doute Alain lui parle-t-il a l’oreille lui fait-il sentir son érection ? Hélas la fin du cd met un terme a notre ivresse non préméditée, j’essaie de cacher la bosse proéminente, un silence gênant se fait avant que je ne lance une conversation anodine qui ne porte pas

- Je crois que nous allons aller nous coucher, merci pour cet agréable moment vos photos sont magnifiques ! Ha, j’allais oublier, Franck ? Peux-tu passer à la maison demain soir ? Je veux démonter une armoire ancienne mais seul je ne peux pas
- Pas de soucis, je m’arrêterais en débauchant vers dix huit heures
- Impec merci !

En partant il dépose un baiser très prés de lèvres de mon épouse, par contre Amélie ne rate pas sa bouche... que se passe-t-il ce soir ? …..j’ai fait part de mon étonnement a Alice qui m’a répondu que j’avais dût rêver …
Le lendemain je m’arrête chez nos amis, Amélie m’ouvre, toujours aussi attirante, elle porte la même petite robe qui m’a fait sortir de ma réserve

- Entre Franck
- Alain est déjà embauché à démonter son armoire ?
- Alain n’est pas là …je vais t’expliquer …hier, chez vous, il s’est passé un truc, ne nie pas j’ai bien senti que tu avais la trique !
- Excuse-moi, c’était un instant d’égarement
- Je suis aussi fautive que toi et d’ailleurs il s’est passé la même chose entre nos conjoints
- Aaah, je n’en doutais, j’ai remarqué les baisers furtifs
- Entre ta femme et moi c’était spontané, elle m’attire énormément
- Holà ! que dois-je comprendre ?
- Il n’y a rien à comprendre ? ça ne va peut être pas aller plus loin… mais entre toi et moi…..
- Quoi entre toi et moi ???
- Si nous reprenions là ou nous avons arrêtés hier ? fait moi danser Franck …
- Et si Alain arrive ?
- Il n’arrivera pas tout de suite …je te dirais pourquoi après
- Après quoi ? …
- Fait moi danser je te dis !

J’enlace la copine, je bande déjà, ça lui arrache un petit rire nerveux, ses bras me font un collier, son bassin se presse sur le mien, je pose mes mains sur ses reins, elle est collée à moi comme une sangsue, ses jambes ouvertes sont une invitation à y introduire l’une des miennes qu’elle resserre comme un étau et frotte sa cuisse sur mon membre érigé

- Tu bande ….
- Tu m’excite Amélie…
- Touche comme j’ai envie...

Elle se sépare un peu de moi afin que ma main accède a son entre jambes, j’y trouve un slip étroit et trempé, je glisse deux doigts dans l’entrejambe, la chatte entrouverte aux lèvres gonflées est liquéfiée, mon inde et mon majeur fouillent l’antre brulant

- Je suis comme ça depuis hier soir, Alain m’a fait l’amour dés que nous somment arrivés, mais ça ne m’a pas calmée, c’est ta queue que je veux
- Holà !doucement ! je suis fidèle à Alice
- Et si je te dis qu’ils avaient rendez-vous pour que ta femme lui montre son bronzage ? en ce moment même elle baise peut être avec Alain ?
- Tu plaisante ?
- Prend le téléphone …
- Je ne veux pas passer pour un rabat joie
- Alors baise-moi ! je suis ta chose

A moitié convaincu, j’entreprends de faire glisser la fermeture éclair dans le dos de la robe, ensuite, de faire sauter le clip du soutient gorge avec deux doigts comme je me suis entrainé à faire sur ma femme

- Ouuaaaah ! Chapeau ! Monsieur est un pro du déshabillage coquin ! Je vais t’aider à faire glisser ma robe

Après un déhanchement voluptueux, le frêle vêtement tombe sur le carrelage, rejoint par le soutient gorge, je me penche pour prendre en bouche un téton dressé, j’aspire comme pour en extraire du lait
En même temps, par le slip écarté, je continue le doigtage de la vulve, la femme les genoux pliés s’offre totalement

- Aaaaaaaaaahhhhhhhhh ! arrête ! tu vas me faire pisser partout !
- Ça coule jusqu'à mon poignet
- A moi de te foutre a poil ! voyons ce que tu cache dans ce pantalon
- De quoi te faire grimper aux rideaux
- Wooouuuh quel engin, donne le moi à sucer
- Invite-moi sur ton lit pour un soixante neuf mémorable

A cheval sur moi je guide sa chatte dégoulinante sur ma bouche, agrippée a mon manche elle lèche délicatement mon gland décalotté avant d’avaler une bonne portion de queue raidie a me faire mal, déglutitions, sucions, soupirs, pour finir en deux orgasmes quasiment simultanés, elle avale mon foutre et je m’abreuve de ses sécrétions, loin d’être rassasiée elle s’allonge sur le dos, les deux mains sous ses genoux elle s’écartèle au maximum faisant bailler outrageusement sa moule , ni un homme courtois ni une queue aussi fidèle qu'elle soit, ne peut résister a l’appel du loup
Je me jette sur elle, la bite pointée en avant, ou je rate le trou ou je me casse la queue ! Elle accuse le coup dans un râle de bonheur, en appuis sur les mains je la pilonne comme un malade, elle vient au devant de mes assauts, ma sueur goutte sur elle, ses seins sont ruisselants

- Tu baise bien salaud, ta queue ravage mon con
- Ton mari est bien monté ?
- Ne t’inquiète pas, Alice doit jouir en ce moment

C’est vrai, j’avais oublié ce détail, ainsi, quelques jour après que j’ai donné mon feu vert pour qu’elle baise avec un black elle se croit tout permis ? Quelle salope ! Maintenant j’ai hâte d’en finir, je dois rejoindre ma chienne, j’aimerais bien leur tomber dessus et jouer a l’outragé
Je cogne comme un damné dans ce corps consentant, Amélie se raidie, ses cuisses tremblent, sa bouche s’ouvre mais aucun son n’en sort, tout s’évacue par le bas, sa chatte ruisselle sur mes couilles

- Vient … vient …… VIIIIEEEENNNNNNNNT MAINTENANT !!!!!!!! AAAAAAAAAAAHHHHH ! JE JOOOOOOUUUUUUUIIIIIIIIIS
- PREND ÇA DANS LA CHOUNE, GROSSE TRUIE !!

Je ne contrôle plus mon langage, mais elle ne s’en offusque pas ! Je m’épanche à gros bouillons dans son ventre, sitôt la dernière contraction passée je retire ma queue encore rigide du trou visqueux

- Déjà ? Mais tu bande toujours ?
- Je regrette mais je dois aller faire l’amour avec Alice
- Ça ne presse pas, laissent leur le temps d’assouvir leurs envies ! Nous pourrions peut être nous réunir tous les quatre un de ces jours non ?
- Bonne idée, allez, salut et merci !

J’ai démarré sur les chapeaux de roues, cent mètre plus loin j’ai croisé Alain qui roule aussi vite que moi ! Je me suis garé en catastrophe et j’ai foncé dans la maison, j’ai appelé ma femme …..

- Alice ? ALICE !!
- Je suis là chéri, sur le lit

Elle m’attend patiemment, nue, écartelée, encore chaude de son amant, elle porte les traces de leurs ébats qui ont dut être torride si j’en crois les stigmates sur son corps et dans les draps

- Vient mon amour …. Je veux sentir l’odeur de ma copine sur ta verge
- Et moi la saveur de son foutre dans ta moule
- C’était bien ?
- Formidable, et pour toi ?
- Un dingue de la queue !
- Ne me dit pas combien de fois, à te voir, je me doute qu’il s’est surpassé….
- Mélange ta purée à la sienne …. Ah, nous nous voyons tous les quatre samedi, chez eux …..
- T’es devenue une vraie chienne en quelques jours !
- J’en rêvais depuis longtemps …je veux surtout faire l’amour a Amélie