J’AI BIEN FAIT DE NE PAS PRENDRE L’AVION!
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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J’AI BIEN FAIT DE NE PAS PRENDRE L’AVION!
J’ai un bon boulot, 3 enfants et depuis que je suis divorcer, il y a 3 ans, j’ai eu 2 histoires qui n’ont pas dépassées les 6 mois. Je me suis marie très jeune et ma femme a été la seule avec qui j’ai couché les 30 premières années de ma vie. Au bout de 13 ans notre couple à exploser j’ai donc décidé de m’amuser. Depuis j’ai testé le triolisme, l’échangisme, les plan extérieurs, la domination… j’ai même testé l’uro.
Ce week end mon cousin se marie. Je vais donc devoir retourner à Fontainebleau dans la maison familiale. Les relations avec mes parents n’ont jamais été bonnes, c’est pour ça qu’après mon mariage je me suis exilé a Toulouse. Mes parents sont très religieux, ils m’en veulent encore plus depuis que j’ai divorcé. D’après eux ça ne se fait pas, en tout cas pas dans notre famille, le mariage est sacré… Donc pour éviter se genre de réflexions cela fait 3 ans que je n’ai pas vu mes parents, à part quand, une fois pas an je leur dépose mes enfants pour leur semaine annuelle avec leurs grands parent.
Je sens que je ne vais pas passer le meilleur week end de ma vie, surtout que j’ai pris mes billets à la dernière minute et vu les tarifs de l’avion j’ai été obligé de me rabattre sur le train. 4h30 de trajet jusqu’à Paris puis encore une heure de train pour fontainebleau.
Je prends le train de vendredi début d’après midi, comme ça au moins il n’est pas encore plein. Et ça me permettra de flâner dans Paris avant de partir affronter « la famille ». Je m’installe dans le train 10 min avant le départ, je suis seul dans le wagon. Je m’assoies coté couloir. Un couple de retraités s’installe à l’autre bout du wagon, puis une jeune femme à peine plus de 25 ans encore dans sa période rebelle avec ses tatouage, ses piercings, ses cheveux multi couleurs et son casque qui diffuse de la musique pour tout le wagon.
Le train démarre, je sors mon livre, mon iPod et les écouteurs. Je cherche un truc a écouter qui couvrira la musique de miss rebelle mais qui me permettra de lire. Une femme arrive, je pense tout juste la quarantaine, blonde, plutôt mince mais son tailleur jupe, qui s’arrête juste au dessus des genoux, met en valeur un magnifique fessiers rebondi (j’ai qu’un seul tue l’amour s’est les fesses plates). Elle monte sa petite valise dans le porte bagage, ouvre sa veste, lâche ses cheveux qui étaient noués en chignon et s’assoies sur la même ligne que moi. Je n’arrive pas a détourner mon regard. Mais comment l’aborder? N’ayant pas encore la réponse à cette question j’ouvre mon livre et y réfléchis. Le plus dure est de briser la glace, alors je commence comment? Elle a l’air de faire un déplacement professionnel, vu sa tenue. Je vais jouer au touriste.
Je ferme mon livre, enlevé mes écouteurs. Je me lève et m’étire (je ne dirai pas que je suis un beau gosse mais je ne suis pas moche non plus; je fais 1m80 pour 72 kg, je suis châtain clair aux yeux bleu, et une fois nu et au garrot je suis monte de 17cm). Je fais mine de chercher un truc dans ma sacoche pendant un moment avant de dire à mi voix: « Merde! J’ai oublié ma bouteille d’eau ». Je tire mon porte monnaie, me lève et en m’adressant à la belle bonde je dis:
« Excusez moi, madame, bonjour », elle se retourne et sur un ton interrogateur me répond un simple « Bonjour ».
« Est ce que je peux vous demander de surveiller mes affaires pendant que je vais m’acheter à boire? »
Elle sourit enfin « Oui pas de problème »
« Je vous ramène quelque chose? »
En tirant une bouteille d’un soda light de son sac elle me dit « J’ai des munitions mais merci »
« Merci à vous. »
Je vais donc au bar et revient directement, je lui souris et la remercie et j’entame la discussion.
« Vous êtes parisienne?
« Euh… oui. Pourquoi? »
« Vous allez surement pouvoir me renseigner. Je voulais acheter un ticket de métro au bar mais il n’y en a plus. Vous savez ou je peux en trouver autour de la gare? »
Elle sourit et tout en fouillant dans son sac me répond « Vous en trouvez à toutes les stations de métro, dans certains bar… mais tenez » et me tend 1 ticket de métro.
Je décline sont offre en lui expliquant que je vais en acheter parce que j’aurai besoin de plusieurs tickets mais que je la remercie pour sa proposition. Nous continuons a discuter. J’apprends qu’elle travaille pour une compagnie aérienne en région parisienne, elle descend environ toutes les 6 semaines à Toulouse pour le travail. Elle est divorcé depuis bientôt 10 ans. Elle a un fils de 22 ans (donc elle a au moins quarante ans) qui est depuis un an aux Etats Unis pour ses études… Je lui parle aussi de moi. Notre conversation est interrompu par son téléphone. Elle se lève pour répondre. Je remet ma musique et m’assoupie rapidement.
Je ne sais combien de temps après je commence a émergé, j’entrouvre un oeil. Ma voisine est revenue, elle a une jambe sur la banquette et l’autre pied a terre, elle s’est couverte de sa veste et a les yeux fermés. Mais elle remue légèrement la tête. J’examine tout son corps quand je remarque des mouvements sous sa veste. J’observe son visage, s’est bien ça, elle ne dort mais elle prend son pieds, La salope! Je tourne un peu la tête pour mieux l’observer et ouvre un peu plus les yeux. Je profite du spectacle que moi seul est compris depuis déjà 5 bonnes minutes quand un mouvement trop fort de sa main ou je ne sais quoi, fait tomber au sol sa veste. Elle avait relever jusqu’à la taille sa jupe et m’offre une vue, légèrement cachée par sa main gauche, sur moule entièrement épilée. Malheureusement le spectacle ne dure que le temps de ramasser une veste mais la situation et la vue a bien réveillé ma bite (ça fait 1 semaine que je n’ai pas baisé et je ne suis pas branlé non plus!).
Je relève mes yeux vers son visage qui est devenu écarlate. Je m’assoies coté couloir, elle fait de même après avoir réajuster sa jupe mais se pose coté fenêtre. Je tente le tout pour le tout, je me lève pour m’assoir à coté d’elle quand je la vois fixer mon entrejambe, je porte un jean un peu moulant et je bande toujours. Quand je m’assois, elle explose d’un fou rire et une fois calmer me demande pardon en me disant que les vibrations du train on toujours cet effet sur elle.
« Il n’y a pas à s’excuser, d’abord c’est un besoin naturel et en plus comme tu as pu le remarquer le spectacle m’a plu », je suis passé directement au tutoiement mais ça ne l’a pas dérangé puisqu’elle m’a répondu: « Oui j’ai bien vu ça même si j’ai pas pu autant admirer que toi! »
En posant une main sur sa cuisse mais sous sa veste je lui dis à l’oreille en me penchant vers elle: « C’est rien ça, on peut y remédier » et je dépose un bisou dans son cou, puis un autre tout en remontant un peu plus ma main vers sa chatte. Une fois mon but atteint, je déplace mes lèvres sur les siennes en même temps que mes doigts caresse ses lèvres vaginales complètement trempées. Elle répond à mon baiser en aspirant ma langue. Je dépose un deuxième doigt contre son intimité, puis un troisième. Elle se remet à couler de plus belle. Alors que je commence à rentrer mes doigts en elle, elle attraper ma main au niveau du poignet, écarté un peu plus les jambes et enfonce elle même mes 3 doigts en elle, ça rentre comme dans du beurre. Elle fait faire à mes doigts quelques allers retours et les fait sortir et me dit: « Pas ici, viens avec moi ».
Nous nous levons après nous être réajuster, avec mes mains je cache mon érection qui se voit toujours autant et je la suis. Je pensais qu’elle m’emmener dans un chiottes mais non, nous rentrons dans une pièce aussi petites que les toilettes d’un train mais avec seulement un lavabo, un miroir et une table à langer. Par contre il n’y a pas de verrous mais il suffit de bloquer la porte avec nos corps et le fait d’être peut être surpris rajoute de l’excitation.
Une fois la porte fermée, elle m’embrasse à nouveau à pleine bouche, me caresse le torse et moi je plotte ses fesses. Puis je relâche l’étreinte et mes lèvres, je déboutonne son chemisier et défait son soutien gorge, elle m’enlève mon t-shirt. J’embrasse ses seins, ses tétons. Elle m’attrape les cheveux pour bien m’appuyer contre elle. Je lui mordille les tétons maintenant tout en lui caressant la moule qui arrête pas de couler. Au bout de 3 minutes de ce traitement, elle me décolle de sa poitrine et tout en ouvrant ma ceinture et mon jean, elle me dit: « Maintenant à toi! ». Elle fait tomber mon jean et mon boxer sur mes chevilles et me demande de m’assoir sur la table à langer, ce que je fais après m’être entièrement déshabiller. Elle commence par me caresser les couilles et lèche ma tige mais sans toucher à mon gland ni même à mon frein. Puis elle échange, me gobe une couille et me caresse la bite. Mais cette fois elle monte de plus en plus haut avec ses mains. Je suis tellement excite que j’ai du liquide qui coule du méat (je coule pas mal), quand mon liquide touche ses doigts, elle rattrape tout ce qu’elle peut avec ses doigts pour faire encore mieux glisser ses doigts le long de ma queue tout en gobant. C’est excellent! Avec mon pied (J’ai bien fait d’enlever mes chaussures et chaussettes!), je caresse sa moule. Je la sens aussi très excitée. Elle remonte sa bouche sur ma bite puis mon frein, sur lequel elle s’attarde un moment avant d’atteindre mon gland. Elle le lèche, le suce, le mordille, l’aspire… Je n’en peux plus, j’ai envie de sentir toute ma queue dans sa bouche humide, sentir sa langue se balader le long de ma tige, sentir ses lèvres se serrer autour de mon vit puis pourquoi pas sentir ses dents contre ma peau. Alors je décide de prendre les choses en main ou plutôt ça tête entre mes mains et je commence à faire des petits vas et viens dans sa bouche. Je donne le mouvement mais elle ne reste pas inactive et en plus elle utilise ses lèvres et ses dents pour donner quelques coups de pression rapide mais efficace. Mon pied ne ralentis pas pour autant et lui caresse toujours ses lèvres et son clito qui sont inondés. Avec mes mains j’agrandis les allers retours sur mon sexe jusqu’a taper sa glotte. Je la laisse reprendre sa respiration et recommence sans jamais délaisser un seul instant sa chatte.
Ce traitement dure pas loin de 10 min quand je fais ressortir ma bite de sa bouche, sa salive coule de sa bouche, de mon sexe…
Sans dire un mot je la fait se lever et je descend de la table à langer. Je l’embrasse à pleine bouche. Je la fais se retourner, se pencher, écarter les jambes. Avec ma main droite j’attrape ma bite, me place entre ses jambes. Je prends un peu de recule et je lui donne une première biffle, je fais taper ma bite contre sa chatte. Je ne sais pas si c’est mon imagination, mon désir ou la réalité mais quand mon sexe à taper ses lèvres et son clito, j’ai eu l’impression de taper une flaque d’eau. Elle gémit alors je recommence cette opération 5 ou 6 fois. Puis je vais pour me frotter contre son sexe mais elle est tellement trempée que ma bite est littéralement aspirée en elle. Je m’enfonce donc complètement en elle puis reste immobile. Je sens sa main venir malaxer mes couilles. Je commence à faire des tous petits allers retours pour continuer à profiter de ses caresses sur mes couilles. Mais rapidement j’accélère le rythme de mes mouvements et sa main abandonne mes couilles pour son clito. Autant que possible je fais les mouvements les plus grands. J’adore voir mon bas ventre venir taper contre ses fesses et les voir s’aplatir. Je continue comme ça pendant quelques minutes puis me retire entièrement et lui dit a voix basse: « Tu en veux encore? »
« Oui, en plus je vais jouir », elle me répond tout en continuant à se caresser le clito.
Je lui donne une fessée et je lui dit: « Alors demande mieux que ça! »
« Remets moi ta grosse bite dans ma chatte en feu, fais moi jouir ».
Je lui fesse l’autre globe pour ne pas qu’il y ait de jaloux et je rentre en elle sans ménagement en reprenant mais violent allers retours. Elle ne m’avait pas menti, au bout de même pas 2 minutes je sens son vagin se contracter autour de ma bite, je n’arrête pas pour autant mes allers retours mais les contractions de son vagin ont raison de moi alors je préfère sortir et je frotte ma bite contre la raie son cul et lâche 7 énormes giclées sur son dos et ses fesses.
Je reste comme ça, mon sexe poser sur sa raie nageant dans mon sperme pendant quelques instants. Puis sans dire un mot nous nous essuyons, nous rhabillons et regagnons nos places.
Nous avons continué à parler jusqu’à notre arrivée à Paris. Du coup nous avons non seulement échanger nos numéros de téléphone mais j’ai aussi passé la nuit chez elle, ce qui m’a, en plus, permis d’arriver chez mes parents que le samedi matin. Nous nous sommes également revu pendant ses voyages à Toulouse. Mais cela je vous le raconterai peut être une autre fois.
Ce week end mon cousin se marie. Je vais donc devoir retourner à Fontainebleau dans la maison familiale. Les relations avec mes parents n’ont jamais été bonnes, c’est pour ça qu’après mon mariage je me suis exilé a Toulouse. Mes parents sont très religieux, ils m’en veulent encore plus depuis que j’ai divorcé. D’après eux ça ne se fait pas, en tout cas pas dans notre famille, le mariage est sacré… Donc pour éviter se genre de réflexions cela fait 3 ans que je n’ai pas vu mes parents, à part quand, une fois pas an je leur dépose mes enfants pour leur semaine annuelle avec leurs grands parent.
Je sens que je ne vais pas passer le meilleur week end de ma vie, surtout que j’ai pris mes billets à la dernière minute et vu les tarifs de l’avion j’ai été obligé de me rabattre sur le train. 4h30 de trajet jusqu’à Paris puis encore une heure de train pour fontainebleau.
Je prends le train de vendredi début d’après midi, comme ça au moins il n’est pas encore plein. Et ça me permettra de flâner dans Paris avant de partir affronter « la famille ». Je m’installe dans le train 10 min avant le départ, je suis seul dans le wagon. Je m’assoies coté couloir. Un couple de retraités s’installe à l’autre bout du wagon, puis une jeune femme à peine plus de 25 ans encore dans sa période rebelle avec ses tatouage, ses piercings, ses cheveux multi couleurs et son casque qui diffuse de la musique pour tout le wagon.
Le train démarre, je sors mon livre, mon iPod et les écouteurs. Je cherche un truc a écouter qui couvrira la musique de miss rebelle mais qui me permettra de lire. Une femme arrive, je pense tout juste la quarantaine, blonde, plutôt mince mais son tailleur jupe, qui s’arrête juste au dessus des genoux, met en valeur un magnifique fessiers rebondi (j’ai qu’un seul tue l’amour s’est les fesses plates). Elle monte sa petite valise dans le porte bagage, ouvre sa veste, lâche ses cheveux qui étaient noués en chignon et s’assoies sur la même ligne que moi. Je n’arrive pas a détourner mon regard. Mais comment l’aborder? N’ayant pas encore la réponse à cette question j’ouvre mon livre et y réfléchis. Le plus dure est de briser la glace, alors je commence comment? Elle a l’air de faire un déplacement professionnel, vu sa tenue. Je vais jouer au touriste.
Je ferme mon livre, enlevé mes écouteurs. Je me lève et m’étire (je ne dirai pas que je suis un beau gosse mais je ne suis pas moche non plus; je fais 1m80 pour 72 kg, je suis châtain clair aux yeux bleu, et une fois nu et au garrot je suis monte de 17cm). Je fais mine de chercher un truc dans ma sacoche pendant un moment avant de dire à mi voix: « Merde! J’ai oublié ma bouteille d’eau ». Je tire mon porte monnaie, me lève et en m’adressant à la belle bonde je dis:
« Excusez moi, madame, bonjour », elle se retourne et sur un ton interrogateur me répond un simple « Bonjour ».
« Est ce que je peux vous demander de surveiller mes affaires pendant que je vais m’acheter à boire? »
Elle sourit enfin « Oui pas de problème »
« Je vous ramène quelque chose? »
En tirant une bouteille d’un soda light de son sac elle me dit « J’ai des munitions mais merci »
« Merci à vous. »
Je vais donc au bar et revient directement, je lui souris et la remercie et j’entame la discussion.
« Vous êtes parisienne?
« Euh… oui. Pourquoi? »
« Vous allez surement pouvoir me renseigner. Je voulais acheter un ticket de métro au bar mais il n’y en a plus. Vous savez ou je peux en trouver autour de la gare? »
Elle sourit et tout en fouillant dans son sac me répond « Vous en trouvez à toutes les stations de métro, dans certains bar… mais tenez » et me tend 1 ticket de métro.
Je décline sont offre en lui expliquant que je vais en acheter parce que j’aurai besoin de plusieurs tickets mais que je la remercie pour sa proposition. Nous continuons a discuter. J’apprends qu’elle travaille pour une compagnie aérienne en région parisienne, elle descend environ toutes les 6 semaines à Toulouse pour le travail. Elle est divorcé depuis bientôt 10 ans. Elle a un fils de 22 ans (donc elle a au moins quarante ans) qui est depuis un an aux Etats Unis pour ses études… Je lui parle aussi de moi. Notre conversation est interrompu par son téléphone. Elle se lève pour répondre. Je remet ma musique et m’assoupie rapidement.
Je ne sais combien de temps après je commence a émergé, j’entrouvre un oeil. Ma voisine est revenue, elle a une jambe sur la banquette et l’autre pied a terre, elle s’est couverte de sa veste et a les yeux fermés. Mais elle remue légèrement la tête. J’examine tout son corps quand je remarque des mouvements sous sa veste. J’observe son visage, s’est bien ça, elle ne dort mais elle prend son pieds, La salope! Je tourne un peu la tête pour mieux l’observer et ouvre un peu plus les yeux. Je profite du spectacle que moi seul est compris depuis déjà 5 bonnes minutes quand un mouvement trop fort de sa main ou je ne sais quoi, fait tomber au sol sa veste. Elle avait relever jusqu’à la taille sa jupe et m’offre une vue, légèrement cachée par sa main gauche, sur moule entièrement épilée. Malheureusement le spectacle ne dure que le temps de ramasser une veste mais la situation et la vue a bien réveillé ma bite (ça fait 1 semaine que je n’ai pas baisé et je ne suis pas branlé non plus!).
Je relève mes yeux vers son visage qui est devenu écarlate. Je m’assoies coté couloir, elle fait de même après avoir réajuster sa jupe mais se pose coté fenêtre. Je tente le tout pour le tout, je me lève pour m’assoir à coté d’elle quand je la vois fixer mon entrejambe, je porte un jean un peu moulant et je bande toujours. Quand je m’assois, elle explose d’un fou rire et une fois calmer me demande pardon en me disant que les vibrations du train on toujours cet effet sur elle.
« Il n’y a pas à s’excuser, d’abord c’est un besoin naturel et en plus comme tu as pu le remarquer le spectacle m’a plu », je suis passé directement au tutoiement mais ça ne l’a pas dérangé puisqu’elle m’a répondu: « Oui j’ai bien vu ça même si j’ai pas pu autant admirer que toi! »
En posant une main sur sa cuisse mais sous sa veste je lui dis à l’oreille en me penchant vers elle: « C’est rien ça, on peut y remédier » et je dépose un bisou dans son cou, puis un autre tout en remontant un peu plus ma main vers sa chatte. Une fois mon but atteint, je déplace mes lèvres sur les siennes en même temps que mes doigts caresse ses lèvres vaginales complètement trempées. Elle répond à mon baiser en aspirant ma langue. Je dépose un deuxième doigt contre son intimité, puis un troisième. Elle se remet à couler de plus belle. Alors que je commence à rentrer mes doigts en elle, elle attraper ma main au niveau du poignet, écarté un peu plus les jambes et enfonce elle même mes 3 doigts en elle, ça rentre comme dans du beurre. Elle fait faire à mes doigts quelques allers retours et les fait sortir et me dit: « Pas ici, viens avec moi ».
Nous nous levons après nous être réajuster, avec mes mains je cache mon érection qui se voit toujours autant et je la suis. Je pensais qu’elle m’emmener dans un chiottes mais non, nous rentrons dans une pièce aussi petites que les toilettes d’un train mais avec seulement un lavabo, un miroir et une table à langer. Par contre il n’y a pas de verrous mais il suffit de bloquer la porte avec nos corps et le fait d’être peut être surpris rajoute de l’excitation.
Une fois la porte fermée, elle m’embrasse à nouveau à pleine bouche, me caresse le torse et moi je plotte ses fesses. Puis je relâche l’étreinte et mes lèvres, je déboutonne son chemisier et défait son soutien gorge, elle m’enlève mon t-shirt. J’embrasse ses seins, ses tétons. Elle m’attrape les cheveux pour bien m’appuyer contre elle. Je lui mordille les tétons maintenant tout en lui caressant la moule qui arrête pas de couler. Au bout de 3 minutes de ce traitement, elle me décolle de sa poitrine et tout en ouvrant ma ceinture et mon jean, elle me dit: « Maintenant à toi! ». Elle fait tomber mon jean et mon boxer sur mes chevilles et me demande de m’assoir sur la table à langer, ce que je fais après m’être entièrement déshabiller. Elle commence par me caresser les couilles et lèche ma tige mais sans toucher à mon gland ni même à mon frein. Puis elle échange, me gobe une couille et me caresse la bite. Mais cette fois elle monte de plus en plus haut avec ses mains. Je suis tellement excite que j’ai du liquide qui coule du méat (je coule pas mal), quand mon liquide touche ses doigts, elle rattrape tout ce qu’elle peut avec ses doigts pour faire encore mieux glisser ses doigts le long de ma queue tout en gobant. C’est excellent! Avec mon pied (J’ai bien fait d’enlever mes chaussures et chaussettes!), je caresse sa moule. Je la sens aussi très excitée. Elle remonte sa bouche sur ma bite puis mon frein, sur lequel elle s’attarde un moment avant d’atteindre mon gland. Elle le lèche, le suce, le mordille, l’aspire… Je n’en peux plus, j’ai envie de sentir toute ma queue dans sa bouche humide, sentir sa langue se balader le long de ma tige, sentir ses lèvres se serrer autour de mon vit puis pourquoi pas sentir ses dents contre ma peau. Alors je décide de prendre les choses en main ou plutôt ça tête entre mes mains et je commence à faire des petits vas et viens dans sa bouche. Je donne le mouvement mais elle ne reste pas inactive et en plus elle utilise ses lèvres et ses dents pour donner quelques coups de pression rapide mais efficace. Mon pied ne ralentis pas pour autant et lui caresse toujours ses lèvres et son clito qui sont inondés. Avec mes mains j’agrandis les allers retours sur mon sexe jusqu’a taper sa glotte. Je la laisse reprendre sa respiration et recommence sans jamais délaisser un seul instant sa chatte.
Ce traitement dure pas loin de 10 min quand je fais ressortir ma bite de sa bouche, sa salive coule de sa bouche, de mon sexe…
Sans dire un mot je la fait se lever et je descend de la table à langer. Je l’embrasse à pleine bouche. Je la fais se retourner, se pencher, écarter les jambes. Avec ma main droite j’attrape ma bite, me place entre ses jambes. Je prends un peu de recule et je lui donne une première biffle, je fais taper ma bite contre sa chatte. Je ne sais pas si c’est mon imagination, mon désir ou la réalité mais quand mon sexe à taper ses lèvres et son clito, j’ai eu l’impression de taper une flaque d’eau. Elle gémit alors je recommence cette opération 5 ou 6 fois. Puis je vais pour me frotter contre son sexe mais elle est tellement trempée que ma bite est littéralement aspirée en elle. Je m’enfonce donc complètement en elle puis reste immobile. Je sens sa main venir malaxer mes couilles. Je commence à faire des tous petits allers retours pour continuer à profiter de ses caresses sur mes couilles. Mais rapidement j’accélère le rythme de mes mouvements et sa main abandonne mes couilles pour son clito. Autant que possible je fais les mouvements les plus grands. J’adore voir mon bas ventre venir taper contre ses fesses et les voir s’aplatir. Je continue comme ça pendant quelques minutes puis me retire entièrement et lui dit a voix basse: « Tu en veux encore? »
« Oui, en plus je vais jouir », elle me répond tout en continuant à se caresser le clito.
Je lui donne une fessée et je lui dit: « Alors demande mieux que ça! »
« Remets moi ta grosse bite dans ma chatte en feu, fais moi jouir ».
Je lui fesse l’autre globe pour ne pas qu’il y ait de jaloux et je rentre en elle sans ménagement en reprenant mais violent allers retours. Elle ne m’avait pas menti, au bout de même pas 2 minutes je sens son vagin se contracter autour de ma bite, je n’arrête pas pour autant mes allers retours mais les contractions de son vagin ont raison de moi alors je préfère sortir et je frotte ma bite contre la raie son cul et lâche 7 énormes giclées sur son dos et ses fesses.
Je reste comme ça, mon sexe poser sur sa raie nageant dans mon sperme pendant quelques instants. Puis sans dire un mot nous nous essuyons, nous rhabillons et regagnons nos places.
Nous avons continué à parler jusqu’à notre arrivée à Paris. Du coup nous avons non seulement échanger nos numéros de téléphone mais j’ai aussi passé la nuit chez elle, ce qui m’a, en plus, permis d’arriver chez mes parents que le samedi matin. Nous nous sommes également revu pendant ses voyages à Toulouse. Mais cela je vous le raconterai peut être une autre fois.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quel massacre de la langue française !
BRAVO ! Belle histoire bien racontée... MAIS attention aux fautes nombreuse qui gâchent un peu le plaisir de la lecture ! à quand la suite ???