J'ai chienisé un ancienne collègue arrogante

Récit érotique écrit par la bûche [→ Accès à sa fiche auteur]
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J'ai chienisé un ancienne collègue arrogante
Le train traverse la campagne dans un grondement sourd, les vitres sales tremblant sous les secousses. Une odeur de métal et de cuir usé flotte dans l’air tiède. Je m’étale sur le siège, les vibrations des rails remontant dans mes cuisses, une pulsation qui fait écho à cette énergie qui me porte. À 49 ans, je suis massif – 1m80, près de 100 kg, des épaules larges et des biceps solides, hérités d’un père paysan bâti pour la terre. Mais j’ai la douceur de ma mère, cachée sous ma stature. Mes mains, grandes et calleuses, parlent d’une vie simple. Mon crâne rasé luit sous la lumière pâle, ma barbe courte encadre un visage rond, rieur – un « nounours » quand je souris, paraît-il. Pourtant, mes yeux verts, perçants, trahissent une assurance, une envie de croquer la vie. Appelez-moi Stéphane – un nom d’emprunt pour ce récit, une part de moi que je livre sans détour. Ce dimanche de juin, je file vers Lyon pour une formation. Officiellement, c’est pour le travail ; en vrai, c’est une parenthèse. Quitter ma petite ville d’Auvergne-Rhône-Alpes, ses champs tranquilles, pour une grande ville où je peux m’évader, séduire, profiter.
Il y a dix ans, j’ai démarré chez France Travail comme conseiller. Puis ma femme a été mutée à des centaines de kilomètres. Je l’ai suivie, laissant mes racines pour atterrir dans une agence plus modeste, en CDI, au cœur d’une bourgade rurale. Notre mariage s’est éteint il y a cinq ans, me laissant avec Léo, mon fils de 12 ans, ma fierté, mon ancre. Depuis, je savoure ma liberté. Cette formation m’intéresse, oui, mais c’est surtout une excuse pour respirer ailleurs, pour chasser des rencontres. Ma vie sexuelle, c’est une flamme qui brûle haut désormais. J’aime les plaisirs simples : une bière fraîche, une rando avec Léo, et ces moments où je séduis, où je prends. Une relation sérieuse ? Pas pour moi, pas avec mon gamin à élever, pas avec cette soif d’indépendance qui me tient.
Pourtant, ça n’a pas toujours été ainsi. Ado, j’étais un grand dadais mal dans sa peau, intimidant par ma taille mais timide, incapable de parler aux filles. Je les observais de loin, le cœur cognant, rêvant en secret dans ma chambre, sans jamais oser. Le sexe, je l’ai découvert tard, passé la vingtaine, avec ma femme. Première fois, première révélation : j’ai exploré son corps, le mien, et j’ai senti cette force en moi. J’étais doué – attentif, instinctif –, et j’ai aimé la voir frémir sous mes mains, ma langue, ma queue. Avec elle, j’ai compris que j’avais ce truc en moi : une envie de dominer, de mener la danse. Quand on s’est séparés, j’ai eu besoin de rattraper le temps perdu. J’ai enchaîné les expériences, peaufiné ma confiance, laissé mes désirs s’exprimer. Transformer une femme posée en une amante déchaînée, soumise à mes envies, c’est un défi qui me fait vibrer. Ce n’est pas toujours simple de trouver des partenaires ouvertes à ça, mais quel pied quand ça arrive – voir leurs barrières tomber, les guider dans ce jeu où je prends les rênes.
Le paysage défile : champs dorés sous un ciel rougeoyant, forêts sombres qui se perdent dans l’ombre. Mes mains reposent sur mes cuisses, calmes, mais mes pensées s’égarent vers des images de peau tiède, de soupirs profonds, de corps qui plient sous moi. À France Travail, mon job m’ouvre des portes : un sourire échangé avec une collègue, une main qui s’attarde avec une cliente, et parfois, ça dérape. Je ne cherche pas des gravures de mode. Je suis un mec brut, massif, pas un Apollon ciselé. Alors j’attire des femmes comme moi : vraies, rondes, sans chichi, qui savent ce qu’elles veulent et qui goûtent ce que je donne. Plus qu’un plan rapide, j’aime une partenaire qui joue avec moi, qui se laisse emporter sous mes doigts, sous ma « bûche » – 18 cm, large comme un gobelet de café, veinée, un gland imposant qui marque les esprits. Le train ralentit dans un crissement strident. Je descends à Lyon, sac sur l’épaule, l’air lourd de la ville m’enveloppant comme une caresse. Mes bottes cognent le sol, la foule bourdonne autour de moi, et je file vers le tram, décidé, prêt à saisir ce que cette virée m’offrira.
Le tram démarre dans un grincement métallique, mais mon regard s’échappe, attiré par une silhouette qui se découpe dans la lumière douce de cette fin d'après midi. Une femme avance, pantalon beige en lin épousant un cul rond, charnu, qui ondule à chaque pas. Sa cambrure dessine son dos, ses hanches balancent, une fine bande de peau dorée brille entre son haut et sa ceinture. Un parfum de jasmin flotte jusqu’à moi, réveillant mes sens. Je la suis, mes bottes résonnant sur le bitume, captivé par ce cul qui tend le tissu, ces hanches assurées. Une mèche brune tombe sur son visage : Nadia. Nadia, après dix ans, une ancienne collègue qui portait cette assurance froide dans chaque geste, cette prestance qui claquait. Elle l’a encore, intacte, son corps un défi vivant qui remplit l’air. Une belle femme, hors de ma portée, mais avec une faille que je devine – ces silences qu’elle traînait parfois à l’agence, les yeux perdus vers la fenêtre, comme si elle portait un poids invisible.
Dix ans en arrière, elle hantait déjà mes nuits. J’avais 39 ans, un CDD maladroit dans ma première agence France Travail, encore hésitant, cherchant ma place entre les demandeurs d’emploi et les regards fuyants des collègues. Nadia, à 25 ans, était d’une beauté renversante, une présence qui imposait le silence. D’origine algérienne, elle avait une peau dorée, des yeux en amande marron profond lançant des éclairs froids, un corps aux courbes voluptueuses qui tendait ses tailleurs impeccables. Chaque pas était une danse assurée, son parfum subtil traînant derrière elle. Elle savait qu’elle était belle, ça crevait les yeux – cette assurance froide, cette façon de vous regarder comme si vous n’étiez qu’un détail dans son décor. À l’agence, elle était en CDI, ancrée, sûre d’elle malgré sa jeunesse, pendant que moi, le petit contrat court, je trébuchais sur mes acronymes et la complexité des dispositifs. Elle me voyait à peine, me saluait d’un signe sec, me répondait par des phrases courtes, polies mais glaciales, comme si chaque mot était pesé pour tenir à distance. Un jour, elle m’a cloué devant un demandeur d’emploi – j’avais foiré un conseil, et sa voix, nette, implacable, a tranché : « Si tu ne sais pas, Stéphane, demande, au lieu de sortir des infos fausses. » L’humiliation m’a brûlé la gorge, les joues en feu, mais ses yeux perçants, son port altier, ce corps qui semblait défier la pièce entière m’ont retourné. Je l’ai détestée sur le coup, et pourtant, ce soir-là, seul chez moi, je me suis branlé en pensant à elle – à ses hanches, à ce cul insolent, à l’idée de la faire plier, de casser cette froideur avec mes mains, ma queue, de la voir céder sous moi. Elle était devenue mon fantasme récurrent, une obsession, nourrie par son mépris et son allure inaccessible.
Elle gardait tout le monde à distance, un mur de glace autour d’elle, un regard qui disait : « T’approche pas, t’es pas à la hauteur. » Pourtant, vers la fin de mon année là-bas, nos gamins à la même crèche ont fissuré un peu sa façade. On a échangé des banalités – couches, biberons, nuits courtes –, des sourires rapides, presque complices, mais elle restait intouchable, une reine qui daignait à peine entrouvrir la porte. Quand mon contrat s’est fini, j’ai récupéré ma carte de départ : son nom n’y était pas, pas une trace de sa signature. Ça m’a piqué, un dernier rappel que, pour elle, je n’avais jamais compté, juste un gars de passage, un rien face à sa grandeur. Elle était hors de portée, et ça rendait chaque fantasme plus vif – je l’imaginais à ma merci, ses yeux froids s’adoucissant, ses lèvres s’ouvrant sous mes ordres, son corps somptueux se pliant à moi. Une chimère, un rêve brûlant que je savais irréel, mais qui m’a marqué, profond, pendant cette année où elle régnait sur l’agence et sur mes pensées.
Aujourd’hui, elle est là, son parfum de jasmin et bois précieux flottant dans l’air tiède du tram, un souvenir vivant. Ses vêtements moulent ses formes – poitrine pleine, hanches épaisses, cul provocant –, une élégance sophistiquée dans chaque geste, une démarche assurée. Elle est la même Nadia d’il y a dix ans, mais plus mûre, une reine intouchable.
« Nadia ? » lancé-je, la gorge un peu sèche, un réflexe qui trahit l’écho de l’agence d’autrefois. Elle se retourne, ses yeux en amande, sombres et perçants, me balaient d’un coup, un froncement de sourcils plissant son front lisse – une hésitation, un instant où je me sens à nouveau le CDD pataud face à sa grandeur. « C’est Stéphane, on a travaillé ensemble à l’agence, » dis-je, ma voix sortant rauque, presque étouffée par le brouhaha du tram. Un sourire poli étire ses lèvres pleines, un rictus maîtrisé, mais ce mur est toujours là, cette froideur qui me toise depuis dix ans. « Stéphane, oui, je me souviens, » répond-elle, sa voix veloutée glissant comme une lame douce, teintée d’une politesse qui creuse la distance. « Qu’est-ce que tu fais ici ? » demande-t-elle, le ton professionnel, comme si j’étais un dossier à classer. Je lui parle de ma formation qui m’amène à Lyon quelques jours, un poste de conseiller en CDI qui m’a traîné près des montagnes après avoir suivi mon ex. Elle hoche la tête, lâche qu’elle est là pour trois jours, un module de formation différent, et par un hasard brut, on loge au même hôtel.
Le trajet se poursuit, épaule contre épaule dans le tram bondé, nos mots banals – la pluie d’hier, les collègues d’avant – tombant comme des cailloux dans un silence tendu. Il y a un fil invisible qui se tire entre nous, une chaleur sourde qui grimpe sous ma peau, pas parce que je veux quelque chose, mais parce qu’elle est là, si proche, toujours cette femme qui m’a cloué au mur d’un regard il y a dix ans. On descend, traverse les rues, et arrive à l’hôtel – un bâtiment standard, propre, aux murs beiges, à deux rues du centre de formation France Travail, avec un hall lumineux, des fauteuils en tissu gris, un comptoir en bois verni, une odeur légère de propre qui flotte dans l’air. Au check-in, les clés en main, on découvre que nos chambres sont presque voisines, cette proximité, si banale pourtant, me fait tiquer, un frisson qui monte dans ma nuque. Avant de nous séparer, je lâche, presque sans réfléchir, une proposition qui brûle mes lèvres : « On dîne ensemble ce soir ? L’hôtel sert rien le dimanche. » « Pourquoi pas ? » répond-elle, un éclat furtif dans ses yeux, un sourire qui vacille entre réserve et curiosité, et je regagne ma chambre, mes pas lourds sur le sol usé, mon cœur cognant, imaginant l’eau ruisselant sur sa peau à deux portes de là – une peau chaude, dorée, un cul bombé qui tend la vapeur, des courbes pleines qui luisent sous les gouttes.
Je sors mon téléphone, les doigts un peu maladroits, pour ouvrir une appli d’escortes. Nadia, elle, n’est pas à ma portée – dans ma tête, elle est intouchable, un fantasme gravé, trop loin, trop parfaite pour que je m’y frotte un jour. Mais son image me colle – ce cul bombé dans son pantalon beige, ses hanches épaisses, sa peau dorée –, et je cherche une autre pour canaliser ça, une Maghrébine qui reprenne ses lignes – des seins pleins, un cul charnu, une peau brune pour évacuer ce feu qui me tient depuis le tram. Je fais défiler les profils, les yeux rivés sur l’écran, traquant une fille qui puisse faire glisser ce mirage de Nadia, ma queue pressée contre ma cuisse, insistante.
Les Maghrébines, elles ont ce truc qui me happe – une beauté qui s’imprime, naturelle, dans leurs courbes qui vivent, leur peau mate qui attrape la lumière, cette façon d’être à la fois sages et pleines de sous-entendus. En public, elles ont cette retenue qui vous garde à distance, mais en privé, ça se déchaîne, une intensité qui vous accroche sans prévenir. J’en ai connu trois, chacune à sa manière, chacune avec un feu qui m’a laissé des traces. La première, une Marocaine de 28 ans, chopée sur une appli il y a deux ans, petite mais charnue, des seins ronds qui tendaient son haut, un cul qui vibrait sous mes mains. Dans un appart loué, lumière tamisée, elle m’a laissé la prendre contre le mur, sa voix rauque gémissant en arabe, une nuit rapide, directe, qui m’a vidé le souffle. La deuxième, une Algérienne de 35 ans, une mère célibataire au physique rondouillard, une ancienne demandeuse d’emploi croisée à France Travail. Après un rendez-vous qui a dérapé, on s’est retrouvés dans un motel, ses seins lourds pesant dans mes paumes, son cul épais claquant contre moi sous une lampe faiblarde. Elle est restée, devenue une sex-friend, et avec le temps, on a glissé dans des jeux plus sombres – des cordes douces autour de ses poignets, son souffle qui s’accélère quand je la penche sur le lit, un bandeau sur ses yeux pour qu’elle lâche tout. J’ai vu ses barrières tomber, une femme qui cachait ça sous sa peau, et je l’ai guidée, patiemment, pour qu’elle goûte sa vraie nature, cette soumise qui vibre sous mes mains, son accent roulant des « oui » tremblants quand je la pousse là où elle n’osait pas aller seule. Et la troisième, une Tunisienne de 20 ans, en service civique à l’agence, encore jeune, un physique massif, des yeux noirs qui me regardaient avec une lueur d’admiration. Elle n’avait connu que des gars de son âge, des coups moyens, ternes, mais chez moi, sur mon canapé usé, je l’ai guidée – sa chatte serrée frémissant sous ma langue, puis des soupirs profonds quand je l’ai prise en levrette, lui ouvrant un plaisir plus fort, plus vrai, qu’elle n’avait jamais touché. Elle m’a vu comme une sorte de mentor sexuel, et j’en suis fier, putain – l’avoir amenée là, l’avoir vue s’épanouir sous mes mains, c’est un truc qui reste. Ces trois-là, avec leurs étincelles – la fougue brute, la soumission qu’on a creusée, l’éveil que j’ai porté –, elles m’ont marqué, et c’est ce goût que je traque maintenant, une escorte pour faire passer Nadia, ce rêve qui me tend sans jamais s’offrir.
Je file sous la douche, l’eau chaude coule sur moi, chasse la sueur du trajet, mes mains glissent sur ma peau, frôlent ma bite encore tendue, et je l'imagine à deux portes de là. À 19h, je descends dans le hall, un nœud au ventre, mes yeux guettant chaque mouvement jusqu’à ce qu’elle arrive, changée comme moi. Elle est là, rayonnante, un pantalon blanc moulant son cul bombé, un T-shirt cintré dessinant ses seins lourds, pleins.
On marche vers un resto italien à deux pas de l’hôtel, ses hanches roulant sous son pantalon blanc, une ondulation discrète mais hypnotique qui m’aimante. Je traîne un peu derrière, juste assez pour que sa silhouette tende une chaleur dans ma gorge. Les passants la reluquent, des regards furtifs qui glissent sur elle, et je sens une pointe de satisfaction me gonfler, pas une fierté de chasseur, juste le plaisir brut d’être là, à côté d’elle, dans son sillage. On s’installe dans le patio, un coin retiré, lumières tamisées jetant des ombres douces sur les plantes grimpantes, l’air moite chargé d’odeurs – basilic frais, vin blanc, un soupçon d’huile d’olive. Elle commande un verre de vin, un choix qui me prend de court, fissurant l’image sage que je lui avais collée, et je prends un cocktail, nos verres s’entrechoquant dans un tintement clair qui résonne dans la nuit. La conversation démarre, légère, ponctuée de rires rauques, ses doigts fins effleurant le bord de son verre – un geste banal qui me crispe, mes yeux accrochés à ses ongles, imaginant leur pression sur ma peau. « T’as l’air plus sûr de toi qu’à l’agence, » glisse-t-elle, un sourire furtif dans les yeux, sa voix douce comme une caresse. « Et toi, toujours aussi dure à cerner ? » réponds-je, laissant mon genou frôler le sien sous la table, un contact léger qui fait monter la chaleur. Elle ne recule pas, ses lèvres s’étirent un peu plus. Elle parle des collègues d’avant, une nostalgie qui traîne dans sa voix, et je lâche des bribes sur mes randos, des phrases simples pour masquer ce qui bouillonne en moi. L’alcool délie les langues, et ça glisse vers nos vies – mon déménagement pour mon ex, le divorce qui a suivi, et elle, ses doutes sur son mari, un entrepreneur turc a succés, des messages lus en douce sur son téléphone, une confrontation qu’elle repousse encore. « Il a laissé une montre sur la table une fois, pas la sienne, » murmure-t-elle, les yeux fixant son vin, un détail qui trahit une douleur qu’elle cache sous son assurance. Je pose ma main sur la sienne, sa peau chaude sous mes doigts calleux, son pouls battant vite, et elle lève les yeux, un éclat de gratitude dans ses prunelles sombres, teinté de cette force qui ne la quitte jamais. « Et toi, t’as déjà trompé ta femme ? » demande-t-elle d’un coup, sa voix douce mais directe, me coinçant un instant. « Non, » dis-je, la gorge un peu serrée, même si en moi, je sais bien que les quelques fois où ça a dérapé, c’était avec des escortes, des nuits payées, rien qui compte vraiment. Elle baisse les yeux, les relève avec un éclat dur : « Je pense que mon mari me trompe. Des messages, des trucs… mais je l’ai pas encore pris de front. » Je serre sa main, un geste qui la fait tressaillir, et je murmure : « Je suis désolé, Nadia, ça doit être dur. » Elle hausse les épaules, un sourire en coin : « Je me laisse pas couler. » La bouteille se vide, verre après verre, une complicité s’installe, un courant électrique dans l’air – ma bite pulse doucement sous la table, et là, ça me frappe : elle me regarde autrement, un éclat dans ses yeux qui vacille, et je me dis, putain, pour une fois, j’ai peut-être une chance avec elle, moi, le gars quelconque face à sa grandeur, j’en reviens pas. Et si elle m’utilisait ? Si ce dîner, ces regards, c’était sa façon de se venger, de balancer un coup à ce mari, cet entrepreneur turc plein aux as qui la trahit dans l’ombre ? Cette idée me traverse, me noue un peu l’estomac – elle pourrait me tirer là-dedans, un pion pour rayer son ardoise, une revanche contre ses costards impeccables et ses messages volés, et moi, je plonge, à moitié sonné par cette fissure qu’elle entrouvre.
« Tu sais, t’as pas toujours été tendre avec moi à l’agence, » lancé-je, un sourire en biais, testant l’eau, et elle arque un sourcil, amusée : « Peut-être que t’avais pas les clés pour me gérer. » Sa réplique claque, légère mais piquante, et je ris, un son bas, son assurance me chauffant plus qu’elle ne l’éteint. Elle penche la tête, ses doigts frôlant ses cheveux, et je me tais, les yeux sur ses lèvres pleines, un instant suspendu où je sens qu’elle joue, qu’elle me laisse approcher – moi, vraiment ? Et cette pensée revient, plus nette : elle me tend une corde, mais pour quoi ? Pour me tester, ou pour frapper son mari là où ça fait mal ? « J’avoue, je m’attendais pas à une soirée aussi bonne, » dit-elle, son sourire s’adoucissant, et je lève mon verre : « Qui sait ce que cette semaine nous réserve ? » Nos regards se croisent, lourds, un éclat dans ses yeux – défi ou calcul ? – qui me fait serrer le verre plus fort, une tension qui grimpe, cette impression qu’elle me veut dans son jeu, une revanche masquée sous son vin et ses rires, et moi, je me rends pas encore compte si je suis dupe ou chanceux.
Le dîner s’achève, assiettes vides, bouteille presque sèche, et elle propose une balade, une idée qui me happe direct – pas question de couper là. On sort, l’air frais glisse sur ma peau, les pavés résonnent sous mes bottes, et je marche à ses côtés, nos bras se frôlant par instants, chaque contact comme une braise qui s’allume. Je lui indique une ruelle sombre, un prétexte bidon, l’odeur de pierre humide flottant autour de nous, et on s’arrête près d’une fontaine, l’eau murmurant dans le silence. « Tu sais, Nadia, t’as un truc ce soir, les regards te suivent, » dis-je à voix basse, presque contre son oreille, et elle rougit légèrement, son bras effleurant le mien – volontaire ou pas ? –, un frisson me traversant. « Flatteur, » souffle-t-elle, ses yeux brillant d’un jeu subtil, et je me fige un quart de seconde, cette idée qui cogne encore : elle me laisse une chance, putain, moi, avec elle ? Ou c’est lui qu’elle vise à travers moi, un coup dans l’ombre ? On repart vers l’hôtel, plus lentement, le silence pesant, chargé, son parfum me frôlant, me tirant vers elle, et je n’en reviens toujours pas, cette petite fenêtre qu’elle entrouvre, vraie ou piégée par sa rancune.
Nous arrivons, le hall vide, et dans l’ascenseur, elle est là, trop près pour que je reste calme. Son reflet montre des lèvres entrouvertes, son souffle court trahissant un trouble. Nos corps se frôlent, sa chaleur passant à travers le tissu, ses yeux en amande glissant vers moi, curieux, intenses. Le silence pèse, épais, mes nerfs à fleur de peau, ma queue déjà à moitié dure sous mon pantalon alors que les chiffres rouges défilent, trop lents, sur l’écran lumineux. La porte s’ouvre, et on sort dans le couloir, étroit, nos pas étouffés sur la moquette anthracite, chaque bruit amplifiant cette proximité qui me cogne dans les tempes. Devant sa chambre, ses doigts fins hésitent, la carte tombe dans un cliquetis – elle la ramasse, un tremblement léger dans ses gestes. « Bonne nuit, » murmure-t-elle, sa voix basse, fragile, mais elle reste là, son regard fuyant puis revenant, expectant. Mon pouls s’emballe, un battement sourd dans ma poitrine – c’est là, maintenant, ou ça file –, et je m’approche, ma main effleurant son menton, mes doigts sur sa peau chaude, douce, avant de l’embrasser – léger, un test, juste pour sentir. Ses lèvres s’ouvrent un peu, répondent, hésitantes, un souffle tiède se mêle au mien, et un frisson la traverse, un signe qui me retourne.
Je recule à peine, nos souffles encore entremêlés, et dans ses yeux, je vois une lueur – surprise, envie, un mélange qui fait pulser mon sang plus vite. Ma main glisse de son menton à sa nuque, mes doigts s’enfonçant doucement dans ses cheveux bouclés, leur texture soyeuse sous ma paume. « Tu crois que je vais te céder? » dit-elle, un sourire en coin, moitié défi, moitié jeu, ses mains posées sur mon torse, une pression légère qui ne repousse pas vraiment. Ses yeux brillent, sombres, et ça me chauffe, cette façon qu’elle a de tenir le fil tout en laissant une brèche. « Je sens que t’en as envie autant que moi, » réponds-je, la voix rauque, un peu plus grave qu’à l’ordinaire, et je me penche, mes lèvres frôlant son cou, là où sa peau palpite, chaude, son pouls rapide sous mon souffle. Je la goûte à peine, un effleurement de langue, un avant-goût qui fait monter une vague dans mon bas-ventre. « Viens dans ma chambre, » murmuré-je contre son oreille, direct mais bas, ma main prenant la sienne – un léger tremblement dans ses doigts –, et je l’entraîne dans le couloir, nos pas pressés, mes nerfs à vif, le sang qui cogne dans mes tempes. Dans ma tête, ça tourne à plein régime – Nadia, putain, Nadia, l’objet de mes fantasmes les plus fous depuis l’agence, cette reine intouchable que j’ai ramenée là, dans ma chambre, moi, un gars comme moi, ça me dépasse, une excitation qui me serre la gorge et fait trembler mes mains. J’ouvre ma porte, les doigts maladroits sur la poignée, la tire à l’intérieur, et la porte claque derrière nous – un bruit sec, net, qui résonne dans la pièce sombre, comme une barrière qui tombe.
Mes lèvres trouvent les siennes, un baiser dur, affamé, mais pas précipité – je prends mon temps, savoure leur douceur, leur chaleur humide qui s’ouvre sous moi. Mes mains glissent sur ses hanches, descendent, attrapent son cul – ce cul bombé, charnu, que j’ai maté tout la soiréee, ferme sous mes paumes, une chair chaude qui cède juste assez sous mes doigts à travers le tissu blanc. Je la pousse contre la porte, pas brutal, juste assez pour sentir son corps contre le mien, ses seins pleins pressés sur mon torse, leur poids lourd et souple à travers son T-shirt, une tension qui fait durcir ma queue dans mon pantalon, une barre qui appuie contre elle. Ses lèvres s’écartent plus, un goût de vin blanc et de quelque chose de brut qui me monte à la tête, et ma langue plonge, explore, un gémissement discret s’échappe d’elle – un son rauque, presque involontaire, qui vibre dans ma poitrine. « Tu le veux autant que moi, » grondé-je, mes lèvres glissant sur son cou, sa peau dorée frémissant sous mon souffle, l’air tiède de la pièce saturé de sa présence. Elle ne répond pas, ses yeux sombres brillent, un mélange de défi et de trouble, et je relâche ses hanches, mes mains remontant lentement sur ses flancs, effleurant ses seins – leur courbe pleine sous mes doigts –, avant de la guider vers le lit, un mouvement ferme mais mesuré, laissant flotter cette tension qui me tient, qui nous tient.
« Je vais me rafraîchir, » murmure-t-elle, sa voix basse, un léger tremblement dedans, et elle glisse vers la salle de bain, la porte se fermant avec un clic discret qui résonne dans le silence. Je reste là, planté, le cœur cognant dans ma poitrine comme un marteau, ma bite pulsant, une pression qui me serre les tripes. Dans ma tête, ça tourbillonne – Nadia, putain, Nadia, ce fantasme qui me hante depuis si longtemps, cette femme que j’ai imaginée cent fois, là, à deux pas, dans ma chambre, et moi qui l’ai ramenée ici, ça me coupe le souffle, une excitation qui me noue la gorge et fait trembler mes doigts. Je fouille ma valise, les mains nerveuses, presque fébriles, et sors ma « sacoche de baise » – des capotes XL pour ma queue épaise, du lubrifiant pour que ça glisse juste comme il faut, et un demi-Cialis (ramené d’un voyage en Thailande) , parce qu’à 49 ans, avec elle, je prends pas de risque, pas question de flancher devant ce rêve qui prend forme. Je l’avale d’un coup, l’eau tiède du robinet coule dans ma gorge avec un goût fade, métallique, et je me laisse tomber sur le lit défait, les draps froissés râpant contre ma peau, encore chauds du trajet. L’attente me ronge, chaque tic-tac de la pendule au mur amplifie le bourdonnement dans mes tempes, ma bite pulsant, une bête qui cogne, impatiente, alors que j’imagine encore – elle, là-dedans, l’eau sur sa peau dorée, ce cul bombé que je viens de toucher, et moi, ici, à deux doigts de l’avoir, putain, j’en tremble presque.
La porte grince, Nadia revient, une vision qui me fige – son pantalon blanc moulant son cul bombé, son haut cintré tendu sur ses seins pleins, une promesse qui me serre la gorge. Ses yeux croisent les miens, un éclat de doute, peut-être de défi, ses doigts jouant nerveusement avec son haut. Dans ma tête, ça pulse – Nadia, ce fantasme qui m’a rongé depuis l’agence, là, devant moi, dans cette chambre, et moi qui l’ai fait venir ici, ça me dépasse, une excitation brute qui me fait trembler sous la peau. Je me lève, lent, mesuré, m’approche jusqu’à ce que mon souffle frôle son oreille, et je murmure : « Ce qui se passe ici reste ici, » ma voix rauque, basse, un pacte tacite dans l’air tiède. Mes mains glissent sur sa taille, effleurent ses seins, leur poids lourd sous mes doigts me coupant presque le souffle, et je la guide vers le lit, la fais basculer doucement – elle s’étale sous moi, son corps souple, ses lèvres s’entrouvrant sur un souffle rapide qui fait vibrer la pièce.
Je tire sur son haut, pas un arrachement brusque, juste assez pour le faire passer par-dessus sa tête, révélant un soutif en dentelle noire qui peine à tenir ses seins – je le dégage d’un geste sûr, libérant leur masse pleine, lourde, leurs aréoles sombres se durcissant sous la lumière tamisée. Mes mains les saisissent, les pressent, leur douceur chaude me tirant un grognement sourd, et je baisse la tête, prenant un téton dans ma bouche – je le suce, une faim contenue, le mordille juste assez pour sentir son corps tressaillir, un petit cri aigu s’échappant de sa gorge. « Stéphane… » souffle-t-elle, un murmure fragile, presque perdu, mais je passe outre, mes doigts descendant sur son pantalon, le faisant glisser avec sa culotte en dentelle – pas une déchirure, un mouvement pressé mais contrôlé, exposant sa chatte bordée d’une toison fine, luisante dans la pénombre, une chaleur qui me cogne dans le ventre.
Je vire mes vêtements d’un geste vif, ma chemise s’arrache dans un froissement rêche, les boutons claquant au sol, mon pantalon glissant dans un bruit sourd de tissu frotté, la boucle de ma ceinture tintant contre le parquet usé. Ma queue jaillit, épaisse comme un avant-bras, veinée, dressée, la peau tendue à craquer sur sa longueur, une goutte luisante perlant au bout, et je déroule une capote, mes doigts calleux glissant sur le latex, l’étirant sur cette barre rigide avec une tension palpable dans l’air tiède. Je glisse entre ses cuisses, missionnaire, son corps s’ouvrant sous moi – sa peau dorée luit doucement sous la lampe pâle, ses hanches pleines s’écartent, sa chatte bordée d’une toison fine scintillant d’humidité. Je m’approche lentement, mon gland large effleure son entrée, ses chairs chaudes et serrées frémissent sous la pression. « Attends… » souffle-t-elle, un murmure fragile, ses doigts crispant les draps – je ralentis, mes lèvres frôlent son cou, goûtant sa peau salée pendant que son souffle s’apaise. « J’ai jamais trompé mon mari, » murmure-t-elle, un éclat de douleur dans la voix, une revelation qui fissure son assurance et me fige une seconde. Puis, d’un mouvement mesuré, je la pénètre, un grognement sourd m’échappe alors qu’elle m’enveloppe, étroite, brûlante. Elle gémit, bas, ses mains glissent sur mes bras. Je bouge doucement d’abord, chaque va-et-vient un frottement délicat, laissant la chaleur monter entre nous. Puis mes hanches s’emballent, le plaisir trop fort – ses parois me serrent, ses gémissements rauques emplissent l’air, et ma queue tressaille, jouissant trop vite dans un râle profond, une vague brûlante qui me vide, me laisse pantelant. Une honte acide me pique la peau, et elle me fixe, un sourcil arqué, un sourire en coin – « C’est tout ? » lâche-t-elle, sa voix douce mais tranchante, un coup qui me cingle, rallumant une braise sous ma peau alors que ses yeux sombres brillent encore, marqués par cet instant où je l’ai étirée, impressionnée sans qu’elle l’admette.
« Attends, je vais te montrer, » grondé-je, ma voix rauque, glissant entre ses cuisses juste après avoir ôté la capote pleine – un geste discret, mes doigts la pinçant pour la jeter sous le lit, un léger frottement de latex contre le parquet usé. Mes mains écartent ses jambes avec une fermeté possessive, bien décidé à effacer cette honte qui me brûle encore et à la faire plier sous ma langue. Sa peau est chaude, luisante de sueur, un éclat salé sous mes paumes, ses cuisses charnues frémissant à mon contact. Je baisse la tête, mes lèvres frôlent l’intérieur, une douceur veloutée qui contraste avec la texture soyeuse de sa toison fine. Je grogne, un son bas qui vibre dans ma gorge, ma langue traçant un chemin lent, humide, jusqu’à sa chatte – trempée, luisante, ses lèvres roses gonflées sous mes doigts qui les écartent, dévoilant une chair tendre, palpitante, un nectar brut qui me fait saliver. Je plonge doucement, ma langue s’enfonce dans ses replis, savoure son goût salé, épais, qui me frappe comme une décharge. « La dernière fois qu’il est rentré tard, il puait un parfum de fleur bon marché, » murmure-t-elle, sa voix tremblante laissant échapper une blessure qu’elle masque d’habitude, et ça m’attise encore plus, cette faille qu’elle me livre. Ma queue nue pulse à nouveau, dure, lourde contre ma cuisse, l’air tiède de la pièce caressant sa peau tendue. Je lèche avec une précision affamée, traçant des cercles lents autour de son clito, le titillant avec la pointe de ma langue, puis le suçant doucement, mes lèvres scellées sur ce petit bouton qui durcit. Chaque coup arrache un gémissement bas, profond, qui résonne dans mes tripes. Je veux la rendre folle, la pousser à bout – je varie, des coups rapides suivis de succions lentes, mes mains agrippant ses hanches pleines, mes doigts s’enfonçant dans sa chair tendre alors qu’elle se cambre, ses seins lourds montant et descendant au rythme de son souffle haché, leurs aréoles sombres tendues comme des appels muets.
« Oh… putain… » gémit-elle, ses doigts glissant sur mon crâne rasé, pressant fort contre ma peau nue, une prise qui me chauffe la tête, et je sens son corps s’abandonner, ses cuisses s’écartant plus grand, ouvertes à ma merci – mais soudain, elle resserre les jambes, ses muscles roulant sous ma poigne, et ses mains me guident, pas suppliantes, mais fermes, reprenant les rênes. « Continue… fais-moi jouir, » ordonne-t-elle, sa voix rauque, tranchante, plus un défi qu’une prière, et ses yeux sombres s’ouvrent, mi-clos, brillant d’une autorité qui me fige une seconde – Nadia, cette reine, ce fantasme qui me hante, me donnant des ordres, putain, ça me retourne, une vague d’excitation qui me serre les reins alors qu’elle me domine là, sous ses airs de trouble. Je ralentis, juste avant qu’elle bascule, mes lèvres s’écartant pour souffler un air chaud sur sa chatte trempée, la laissant frémissante, au bord, frustrée, et elle grogne, un son de protestation brut, ses hanches se soulevant pour me chercher, imposant son rythme. « Pas encore, » murmuré-je contre sa peau, ma voix basse, ferme, jouant le jeu, mais elle plaque ses mains sur mes épaules, ses ongles s’enfonçant dans ma chair, ses cuisses se refermant autour de ma tête – un étau doux, brûlant –, et je sens sa prise, son contrôle qui s’affirme, son souffle rapide disant qu’elle ne lâchera pas.
Je me redresse, un sourire sombre aux lèvres, ma queue rebande, dure, insistante, la peau tendue sur sa longueur épaisse, prête à reprendre le dessus – mais elle, elle me tient encore, ses yeux brûlants, son corps dictant la suite. Je déroule une nouvelle capote, mes doigts glissant sur le latex, et je la regarde, captivé, excité, par cette femme qui me défie même là, dans ma chambre, ce fantasme vivant qui me pousse à bout.
Je me positionne à nouveau en missionnaire, ses cuisses écartées sous moi, sa chatte humide, plus ouverte après le travail de ma langue, luisante dans la pénombre, un appel brûlant qui m’attire. Je la pénètre doucement, cette fois – mon gland épais glisse dans ses chairs chaudes, trempées, un écrin serré mais accueillant qui m’arrache un grognement sourd. Je m’arrête un instant, laissant nos souffles se mêler, mes doigts effleurant ses hanches pour la faire attendre, puis j’imprime des va-et-vient légers, progressifs, chaque mouvement un frottement soyeux contre ses parois, ses lèvres roses s’étirant autour de ma queue, un rythme qui la fait soupirer, ses yeux sombres mi-clos, brillant d’un éclat trouble. Dans ma tête, ça cogne – Nadia, ce fantasme ultime, là, sous moi, offerte, et moi qui la prends, putain, cette idée me consume, une excitation qui me pousse à vouloir plus, à la dominer complètement, à graver mon ascendant dans sa peau. Je décide de prendre le dessus, de m’imposer pour de bon, et mes mains agrippent ses hanches larges, mes doigts s’enfonçant dans sa chair tendre, chaude, luisante de sueur – je la tire d’un coup sec vers le bord du matelas, mes hanches suivant le mouvement, ma queue la pénétrant profondément en une seule poussée brutal, un choc qui la remplit entière, lui arrachant un cri aigu, tranchant, un mélange de surprise et de me sentir tout au fond, ses yeux s’écarquillant sous l’impact, ses fesses charnues débordant à peine du bord, ses parois chaudes se contractant autour de moi. Je me redresse, mes pieds plantés au sol pour un appui ferme, le parquet grinçant sous mon poids, et je coince ses chevilles sous mes aisselles, ses jambes relevées, ses fesses s’arquant vers moi, ouvertes, exposées – un angle parfait, profond, son corps prêt à céder sous ma domination.
J’accélère, mes coups puissants la secouent, chaque pénétration un choc qui résonne dans la pièce, ses seins lourds dansent sous mes yeux – pleins, hypnotiques, rebondissant avec une lourdeur qui me fait bander plus fort, ma queue tendue à bloc dans le latex. Sa peau dorée luit, perlée de sueur, ses hanches larges frémissent sous mes assauts, ses cuisses tremblant à chaque impact, et ses gémissements rauques montent, graves, presque sauvages, vibrant dans l’espace saturé d’une odeur de sexe et de chaleur. Je me retire une seconde, juste assez pour sentir son corps frémir, en manque, un vide qu’elle accuse avec un grognement bas, ses doigts crispés sur les draps froissés – puis je reprends le contrôle, décidé à la plier à mon rythme. Mes mains relâchent ses chevilles, glissent sous ses fesses pour la soulever légèrement, toujours dos au lit, et je la fais pivoter sur le côté, une jambe relevée sur mon épaule, l’autre coincée sous moi – je m’enfonce à nouveau, un angle plus étroit, sa chatte serrée m’enserrant comme un étau, chaque va-et-vient un frottement brûlant qui lui coupe le souffle, ses seins s’écrasant contre le matelas, lourds, débordant sous la pression. Je change encore, la basculant sur le ventre, ses fesses bombées offertes, mes mains empoignant ses hanches pour la tirer vers moi – je la pénètre d’un coup ferme, profond, son cul claquant contre mes cuisses, un son mat qui résonne, ses gémissements étouffés dans les draps, son corps tremblant sous mes assauts, chaque position marquant mon ascendant, ma volonté de la dominer totalement, cette garce qui m’a hanté si longtemps.
« À quatre pattes, maintenant, » ordonné-je, ma voix claque dans l’air saturé, un ton sec qui ne tolère aucun recul, et elle hésite une fraction de seconde, un éclat de défi dans ses yeux sombres avant d’obéir – ses mains s’enfoncent dans le matelas grinçant, ses genoux creusent des sillons dans les draps froissés, son cul s’élevant, rond, charnu, une offrande exposée que je vais marquer de ma main, de ma queue. « Plus cambrée, » grogné-je, un grondement sourd qui roule dans ma gorge, et elle ajuste à moitié, ses reins se creusant timidement – ma main s’abat sur sa fesse gauche, une claque nette, cinglante, qui résonne comme un fouet dans la pièce, sa peau dorée rougissant sous l’impact, et elle sursaute, un « Aïe ! » étouffé s’échappant de ses lèvres entrouvertes, son corps réagissant d’instinct, creusant les reins plus fort, ses fesses s’écartant pour révéler sa chatte luisante, trempée, palpitante, une vision qui me coupe le souffle.
Je prends une seconde pour admirer – ce cul, ces globes fermes, pleins, luisants de sueur, cette cambrure qui hurle le sexe brut, et mes mains s’y posent, le malaxent, mes doigts s’enfonçant dans sa chair tendre, chaude, écartant ses fesses pour voir ses lèvres humides s’ouvrir, roses, gonflées, prêtes à m’avaler entier, un éclat de mouille traçant une ligne fine sur sa cuisse. « J’ai attendu des années pour ça, » dis-je, ma voix rauque, presque cassée, et dans ma tête, ça hurle – Nadia, ce fantasme qui m’a rongé, cette reine intouchable que je tiens là, à ma merci, putain, cette idée me déchire, une excitation qui me fait trembler les reins. Je caresse sa chatte, mes doigts glissant sur ses replis trempés, titillant son clito enflé, dur comme un petit noyau sous ma pulpe, la faisant gémir – un son bas, guttural, qui fait pulser ma queue, dressée, épaisse, veinée, prête à la remplir. « Tu la veux, ma bite ? » demandé-je, un sourire mauvais aux lèvres, une provocation qui la teste, et elle murmure, sa voix brisée par l’envie, un filet fragile : « Oui… » Je m’enfonce en elle d’un coup précis mais lent, ma bite épaisse écartant sa chair serrée, la pénétrant jusqu’à la garde, lui arrachant un cri rauque, profond, qui déchire l’air, ses yeux s’écarquillant une seconde sous l’impact. Je bouge doucement d’abord, chaque coup profond mais mesuré, mes hanches claquant contre son cul avec un bruit mat, charnu, puis j’accélère, mes mains agrippant ses hanches, mes doigts marquant sa peau dorée de traces rouges, son corps tremblant sous moi, ses seins pendants oscillant à chaque poussée, lourds, leurs pointes sombres frôlant les draps.
« T’aimes ça, hein ? » grogné-je, ma voix basse, insistante, et elle halète : « Oui… putain, oui… » sa voix rauque, presque un sanglot, un aveu qui me galvanise, et je pousse plus fort, mes reins brûlant sous l’effort, chaque coup un choc qui la secoue, ses fesses rebondissant contre mes cuisses, un claquement humide qui résonne dans la pièce saturée de sueur et de sexe. Ma jouissance menace, une chaleur qui monte dans mes couilles, mais je lutte, serrant les dents, refusant de céder – je veux la faire jouir d’abord, la briser sous mon contrôle. Elle craque avant moi – son corps se tend comme un arc, ses hanches se crispent, et elle jouit, un orgasme violent qui explose dans un cri aigu, sauvage, déchirant l’air, ses jambes tremblant sous l’onde, son cul s’arquant encore plus, sa chatte pulsant autour de ma queue, chaude, insatiable, un étau humide qui manque de me faire basculer. Je grogne, un son guttural qui gronde dans ma poitrine, mes mains serrant ses hanches jusqu’à laisser des marques violacées, savourant son abandon, ma domination s’intensifiant alors qu’elle s’effondre à moitié sur le lit, pantelante, ses cuisses frémissant encore, vaincue sous ma prise, mais pas encore totalement mienne – pas tant que je n’ai pas décidé.
Je me lève, ma queue encore dure, luisante sous le latex, et je lui tapote le visage avec, un geste lent, provocant – son souffle chaud frôle ma peau tendue alors que je la force à l’avaler, ses lèvres s’écartant, humides, serrées autour de moi, un éclat de défi dans ses yeux sombres qui me fait bander plus fort. J’amuse mes hanches à quelques va-et-vient, sa langue glissant sous mon gland, un contact brûlant qui me tire un grognement bas, mais je ne m’attarde pas – je la relève, mes doigts toujours dans ses cheveux bouclés, une prise ferme sur ses mèches humides, collantes de sueur, et je la pousse vers le bureau, mes pas lourds faisant craquer le parquet usé, mon souffle court, rauque, saturant l’air. « Debout, mains sur le bureau, face au miroir, » ordonné-je, ma voix dure, tranchante comme une lame, mon désir de la dominer à son apogée, une pulsion brute qui me dévore les reins. Elle vacille, ses jambes flageolantes après son orgasme, mais elle obéit, ses paumes claquant sur le bois massif, un son sec qui résonne, son reflet dans le miroir offrant un tableau cru – ses joues rougies, ses yeux brillants de larmes retenues, ses lèvres entrouvertes laissant échapper un souffle haché, ses seins lourds pendants, leurs tétons sombres frôlant presque la surface, ses cheveux noirs collés par la sueur tombant en désordre sur ses épaules. Sa peau dorée luit, son cul bombé tremble sous l’effort, et cette vision – cette femme fière, brisée sous ma volonté – fait pulser ma queue avec une rage sauvage, une excitation qui me consume.
Je me place derrière elle, mes mains glissent sur ses reins, chauds, lisses, empoignent ses hanches avec une force possessive, mes doigts s’enfonçant dans sa chair tendre, et je la pénètre d’un coup ferme mais contrôlé – ma bite s’enfonce jusqu’à la garde, écartant ses chairs humides, un choc profond qui lui arrache un gémissement guttural, presque un sanglot, le bureau grinçant sous la poussée. Je ralentis un instant, laissant la tension monter, mes doigts frôlant ses flancs, puis je la pilonne, chaque coup un assaut brutal, un claquement de peau contre peau qui remplit la pièce, ses seins s’agitant dansant dans le reflet, ses yeux croisant les miens dans le miroir – un mélange de défi et d’abandon qui brûle encore, me défiant de la faire plier. « Regarde-toi, » grondé-je, ma voix basse, venimeuse, « regarde ce que je fais de toi, Nadia – une petite pute maghrébine qui se fait baiser pendant que ton mari, cet entrepreneur turc plein aux as, reste là, incapable de te toucher comme ça. » Elle se crispe, une lueur de feu dans ses yeux : « T’as pas à parler comme ça, » crache-t-elle, ses mains poussant contre le bois, un sursaut de révolte, mais ma main s’abat sur sa fesse gauche, une claque sonore, cuisante, qui rougit sa peau, et je tire ses cheveux, mes doigts serrant ses mèches trempées, son cou s’arquant sous la tension, un gémissement étouffé lui échappant.
« Tais-toi et prends, » rugis-je, la plaquant contre le bureau, mon torse pesant une seconde sur son dos avant de me redresser, ma queue continuant à la marteler, chaque impact faisant trembler ses seins, ses hanches claquant contre le bois, son corps entièrement à ma merci. Elle gémit, ses ongles griffant la surface, laissant des marques fines dans le vernis, sa chatte se resserrant autour de moi, chaude, trempée, et je sens qu’elle adore ça, qu’elle cède sous ma domination. « Dis-moi que t’aimes ma queue, que t’es ma chienne algérienne, » ordonné-je, tirant ses cheveux pour forcer son regard dans le miroir, ses yeux sombres croisant les miens, brillants de honte et de plaisir mêlés. « Oui… j’aime… ta queue… je suis… ta chienne… » halète-t-elle, un aveu arraché, ses joues s’empourprant sous l’humiliation, sa voix brisée par l’intensité. Je souris, un rictus sombre, victorieux, et j’accélère, mes mains malaxant ses seins, pinçant ses tétons entre mes doigts jusqu’à lui tirer un cri aigu, perçant, mes coups de reins devenant une rafale, un rythme sauvage qui secoue le bureau.
« Supplie-moi de te faire jouir encore, » grondé-je, ralentissant juste assez pour la frustrer, ma bite immobile au fond d’elle, ses chairs palpitant autour de moi, et elle gémit, ses doigts crispés sur le bois : « S’il te plaît… fais-moi jouir… » sa voix brisée, un abandon total qui me fait jubiler, une vague de puissance brute me traversant. Je reprends doucement, chaque coup une montée progressive, ma main claquant ses fesses en alternance, laissant des marques rouges symétriques, puis j’accélère d’un coup, tirant ses cheveux pour maintenir son visage face au miroir, ses yeux mi-clos, perdus dans le plaisir. « Jouis pour moi ma chienne algerienne » ordonné-je, et avec un dernier coup profond, précis, elle bascule – un orgasme violent, son corps convulsant sous moi, un cri rauque, déchirant, éclatant dans l’air, ses jambes cédant complètement, retenues par mes mains sur ses hanches, sa chatte serrant ma queue comme un étau brûlant. Je grogne, ma jouissance monte, irrépressible – ma bite tressaille, mon foutre explose dans la capote, un râle profond, guttural m’échappant, mes mains serrant ses hanches jusqu’à marquer sa peau de traces violacées, mes cuisses tremblant sous l’effort.
Je me retire doucement, admire mon œuvre – cette femme, autrefois intouchable, réduite à cet état brut, pantelante, marquée par ma queue, mes mains, ma volonté, son reflet dans le miroir montrant ses joues rougies, ses yeux humides croisant les miens, un mélange de honte, de plaisir et d’abandon. Je me tiens là, essoufflé, victorieux, une puissance brute courant dans mes veines – j’ai pris ce que je voulais, Nadia, ce fantasme ultime, et elle le sait, son corps ployé sous mon ascendant. Mais la nuit est loin d’être finie, et cette reine, brisée mais pas encore totalement mienne, apprendra encore à se plier à moi avant que l’aube ne nous sépare.
Il y a dix ans, j’ai démarré chez France Travail comme conseiller. Puis ma femme a été mutée à des centaines de kilomètres. Je l’ai suivie, laissant mes racines pour atterrir dans une agence plus modeste, en CDI, au cœur d’une bourgade rurale. Notre mariage s’est éteint il y a cinq ans, me laissant avec Léo, mon fils de 12 ans, ma fierté, mon ancre. Depuis, je savoure ma liberté. Cette formation m’intéresse, oui, mais c’est surtout une excuse pour respirer ailleurs, pour chasser des rencontres. Ma vie sexuelle, c’est une flamme qui brûle haut désormais. J’aime les plaisirs simples : une bière fraîche, une rando avec Léo, et ces moments où je séduis, où je prends. Une relation sérieuse ? Pas pour moi, pas avec mon gamin à élever, pas avec cette soif d’indépendance qui me tient.
Pourtant, ça n’a pas toujours été ainsi. Ado, j’étais un grand dadais mal dans sa peau, intimidant par ma taille mais timide, incapable de parler aux filles. Je les observais de loin, le cœur cognant, rêvant en secret dans ma chambre, sans jamais oser. Le sexe, je l’ai découvert tard, passé la vingtaine, avec ma femme. Première fois, première révélation : j’ai exploré son corps, le mien, et j’ai senti cette force en moi. J’étais doué – attentif, instinctif –, et j’ai aimé la voir frémir sous mes mains, ma langue, ma queue. Avec elle, j’ai compris que j’avais ce truc en moi : une envie de dominer, de mener la danse. Quand on s’est séparés, j’ai eu besoin de rattraper le temps perdu. J’ai enchaîné les expériences, peaufiné ma confiance, laissé mes désirs s’exprimer. Transformer une femme posée en une amante déchaînée, soumise à mes envies, c’est un défi qui me fait vibrer. Ce n’est pas toujours simple de trouver des partenaires ouvertes à ça, mais quel pied quand ça arrive – voir leurs barrières tomber, les guider dans ce jeu où je prends les rênes.
Le paysage défile : champs dorés sous un ciel rougeoyant, forêts sombres qui se perdent dans l’ombre. Mes mains reposent sur mes cuisses, calmes, mais mes pensées s’égarent vers des images de peau tiède, de soupirs profonds, de corps qui plient sous moi. À France Travail, mon job m’ouvre des portes : un sourire échangé avec une collègue, une main qui s’attarde avec une cliente, et parfois, ça dérape. Je ne cherche pas des gravures de mode. Je suis un mec brut, massif, pas un Apollon ciselé. Alors j’attire des femmes comme moi : vraies, rondes, sans chichi, qui savent ce qu’elles veulent et qui goûtent ce que je donne. Plus qu’un plan rapide, j’aime une partenaire qui joue avec moi, qui se laisse emporter sous mes doigts, sous ma « bûche » – 18 cm, large comme un gobelet de café, veinée, un gland imposant qui marque les esprits. Le train ralentit dans un crissement strident. Je descends à Lyon, sac sur l’épaule, l’air lourd de la ville m’enveloppant comme une caresse. Mes bottes cognent le sol, la foule bourdonne autour de moi, et je file vers le tram, décidé, prêt à saisir ce que cette virée m’offrira.
Le tram démarre dans un grincement métallique, mais mon regard s’échappe, attiré par une silhouette qui se découpe dans la lumière douce de cette fin d'après midi. Une femme avance, pantalon beige en lin épousant un cul rond, charnu, qui ondule à chaque pas. Sa cambrure dessine son dos, ses hanches balancent, une fine bande de peau dorée brille entre son haut et sa ceinture. Un parfum de jasmin flotte jusqu’à moi, réveillant mes sens. Je la suis, mes bottes résonnant sur le bitume, captivé par ce cul qui tend le tissu, ces hanches assurées. Une mèche brune tombe sur son visage : Nadia. Nadia, après dix ans, une ancienne collègue qui portait cette assurance froide dans chaque geste, cette prestance qui claquait. Elle l’a encore, intacte, son corps un défi vivant qui remplit l’air. Une belle femme, hors de ma portée, mais avec une faille que je devine – ces silences qu’elle traînait parfois à l’agence, les yeux perdus vers la fenêtre, comme si elle portait un poids invisible.
Dix ans en arrière, elle hantait déjà mes nuits. J’avais 39 ans, un CDD maladroit dans ma première agence France Travail, encore hésitant, cherchant ma place entre les demandeurs d’emploi et les regards fuyants des collègues. Nadia, à 25 ans, était d’une beauté renversante, une présence qui imposait le silence. D’origine algérienne, elle avait une peau dorée, des yeux en amande marron profond lançant des éclairs froids, un corps aux courbes voluptueuses qui tendait ses tailleurs impeccables. Chaque pas était une danse assurée, son parfum subtil traînant derrière elle. Elle savait qu’elle était belle, ça crevait les yeux – cette assurance froide, cette façon de vous regarder comme si vous n’étiez qu’un détail dans son décor. À l’agence, elle était en CDI, ancrée, sûre d’elle malgré sa jeunesse, pendant que moi, le petit contrat court, je trébuchais sur mes acronymes et la complexité des dispositifs. Elle me voyait à peine, me saluait d’un signe sec, me répondait par des phrases courtes, polies mais glaciales, comme si chaque mot était pesé pour tenir à distance. Un jour, elle m’a cloué devant un demandeur d’emploi – j’avais foiré un conseil, et sa voix, nette, implacable, a tranché : « Si tu ne sais pas, Stéphane, demande, au lieu de sortir des infos fausses. » L’humiliation m’a brûlé la gorge, les joues en feu, mais ses yeux perçants, son port altier, ce corps qui semblait défier la pièce entière m’ont retourné. Je l’ai détestée sur le coup, et pourtant, ce soir-là, seul chez moi, je me suis branlé en pensant à elle – à ses hanches, à ce cul insolent, à l’idée de la faire plier, de casser cette froideur avec mes mains, ma queue, de la voir céder sous moi. Elle était devenue mon fantasme récurrent, une obsession, nourrie par son mépris et son allure inaccessible.
Elle gardait tout le monde à distance, un mur de glace autour d’elle, un regard qui disait : « T’approche pas, t’es pas à la hauteur. » Pourtant, vers la fin de mon année là-bas, nos gamins à la même crèche ont fissuré un peu sa façade. On a échangé des banalités – couches, biberons, nuits courtes –, des sourires rapides, presque complices, mais elle restait intouchable, une reine qui daignait à peine entrouvrir la porte. Quand mon contrat s’est fini, j’ai récupéré ma carte de départ : son nom n’y était pas, pas une trace de sa signature. Ça m’a piqué, un dernier rappel que, pour elle, je n’avais jamais compté, juste un gars de passage, un rien face à sa grandeur. Elle était hors de portée, et ça rendait chaque fantasme plus vif – je l’imaginais à ma merci, ses yeux froids s’adoucissant, ses lèvres s’ouvrant sous mes ordres, son corps somptueux se pliant à moi. Une chimère, un rêve brûlant que je savais irréel, mais qui m’a marqué, profond, pendant cette année où elle régnait sur l’agence et sur mes pensées.
Aujourd’hui, elle est là, son parfum de jasmin et bois précieux flottant dans l’air tiède du tram, un souvenir vivant. Ses vêtements moulent ses formes – poitrine pleine, hanches épaisses, cul provocant –, une élégance sophistiquée dans chaque geste, une démarche assurée. Elle est la même Nadia d’il y a dix ans, mais plus mûre, une reine intouchable.
« Nadia ? » lancé-je, la gorge un peu sèche, un réflexe qui trahit l’écho de l’agence d’autrefois. Elle se retourne, ses yeux en amande, sombres et perçants, me balaient d’un coup, un froncement de sourcils plissant son front lisse – une hésitation, un instant où je me sens à nouveau le CDD pataud face à sa grandeur. « C’est Stéphane, on a travaillé ensemble à l’agence, » dis-je, ma voix sortant rauque, presque étouffée par le brouhaha du tram. Un sourire poli étire ses lèvres pleines, un rictus maîtrisé, mais ce mur est toujours là, cette froideur qui me toise depuis dix ans. « Stéphane, oui, je me souviens, » répond-elle, sa voix veloutée glissant comme une lame douce, teintée d’une politesse qui creuse la distance. « Qu’est-ce que tu fais ici ? » demande-t-elle, le ton professionnel, comme si j’étais un dossier à classer. Je lui parle de ma formation qui m’amène à Lyon quelques jours, un poste de conseiller en CDI qui m’a traîné près des montagnes après avoir suivi mon ex. Elle hoche la tête, lâche qu’elle est là pour trois jours, un module de formation différent, et par un hasard brut, on loge au même hôtel.
Le trajet se poursuit, épaule contre épaule dans le tram bondé, nos mots banals – la pluie d’hier, les collègues d’avant – tombant comme des cailloux dans un silence tendu. Il y a un fil invisible qui se tire entre nous, une chaleur sourde qui grimpe sous ma peau, pas parce que je veux quelque chose, mais parce qu’elle est là, si proche, toujours cette femme qui m’a cloué au mur d’un regard il y a dix ans. On descend, traverse les rues, et arrive à l’hôtel – un bâtiment standard, propre, aux murs beiges, à deux rues du centre de formation France Travail, avec un hall lumineux, des fauteuils en tissu gris, un comptoir en bois verni, une odeur légère de propre qui flotte dans l’air. Au check-in, les clés en main, on découvre que nos chambres sont presque voisines, cette proximité, si banale pourtant, me fait tiquer, un frisson qui monte dans ma nuque. Avant de nous séparer, je lâche, presque sans réfléchir, une proposition qui brûle mes lèvres : « On dîne ensemble ce soir ? L’hôtel sert rien le dimanche. » « Pourquoi pas ? » répond-elle, un éclat furtif dans ses yeux, un sourire qui vacille entre réserve et curiosité, et je regagne ma chambre, mes pas lourds sur le sol usé, mon cœur cognant, imaginant l’eau ruisselant sur sa peau à deux portes de là – une peau chaude, dorée, un cul bombé qui tend la vapeur, des courbes pleines qui luisent sous les gouttes.
Je sors mon téléphone, les doigts un peu maladroits, pour ouvrir une appli d’escortes. Nadia, elle, n’est pas à ma portée – dans ma tête, elle est intouchable, un fantasme gravé, trop loin, trop parfaite pour que je m’y frotte un jour. Mais son image me colle – ce cul bombé dans son pantalon beige, ses hanches épaisses, sa peau dorée –, et je cherche une autre pour canaliser ça, une Maghrébine qui reprenne ses lignes – des seins pleins, un cul charnu, une peau brune pour évacuer ce feu qui me tient depuis le tram. Je fais défiler les profils, les yeux rivés sur l’écran, traquant une fille qui puisse faire glisser ce mirage de Nadia, ma queue pressée contre ma cuisse, insistante.
Les Maghrébines, elles ont ce truc qui me happe – une beauté qui s’imprime, naturelle, dans leurs courbes qui vivent, leur peau mate qui attrape la lumière, cette façon d’être à la fois sages et pleines de sous-entendus. En public, elles ont cette retenue qui vous garde à distance, mais en privé, ça se déchaîne, une intensité qui vous accroche sans prévenir. J’en ai connu trois, chacune à sa manière, chacune avec un feu qui m’a laissé des traces. La première, une Marocaine de 28 ans, chopée sur une appli il y a deux ans, petite mais charnue, des seins ronds qui tendaient son haut, un cul qui vibrait sous mes mains. Dans un appart loué, lumière tamisée, elle m’a laissé la prendre contre le mur, sa voix rauque gémissant en arabe, une nuit rapide, directe, qui m’a vidé le souffle. La deuxième, une Algérienne de 35 ans, une mère célibataire au physique rondouillard, une ancienne demandeuse d’emploi croisée à France Travail. Après un rendez-vous qui a dérapé, on s’est retrouvés dans un motel, ses seins lourds pesant dans mes paumes, son cul épais claquant contre moi sous une lampe faiblarde. Elle est restée, devenue une sex-friend, et avec le temps, on a glissé dans des jeux plus sombres – des cordes douces autour de ses poignets, son souffle qui s’accélère quand je la penche sur le lit, un bandeau sur ses yeux pour qu’elle lâche tout. J’ai vu ses barrières tomber, une femme qui cachait ça sous sa peau, et je l’ai guidée, patiemment, pour qu’elle goûte sa vraie nature, cette soumise qui vibre sous mes mains, son accent roulant des « oui » tremblants quand je la pousse là où elle n’osait pas aller seule. Et la troisième, une Tunisienne de 20 ans, en service civique à l’agence, encore jeune, un physique massif, des yeux noirs qui me regardaient avec une lueur d’admiration. Elle n’avait connu que des gars de son âge, des coups moyens, ternes, mais chez moi, sur mon canapé usé, je l’ai guidée – sa chatte serrée frémissant sous ma langue, puis des soupirs profonds quand je l’ai prise en levrette, lui ouvrant un plaisir plus fort, plus vrai, qu’elle n’avait jamais touché. Elle m’a vu comme une sorte de mentor sexuel, et j’en suis fier, putain – l’avoir amenée là, l’avoir vue s’épanouir sous mes mains, c’est un truc qui reste. Ces trois-là, avec leurs étincelles – la fougue brute, la soumission qu’on a creusée, l’éveil que j’ai porté –, elles m’ont marqué, et c’est ce goût que je traque maintenant, une escorte pour faire passer Nadia, ce rêve qui me tend sans jamais s’offrir.
Je file sous la douche, l’eau chaude coule sur moi, chasse la sueur du trajet, mes mains glissent sur ma peau, frôlent ma bite encore tendue, et je l'imagine à deux portes de là. À 19h, je descends dans le hall, un nœud au ventre, mes yeux guettant chaque mouvement jusqu’à ce qu’elle arrive, changée comme moi. Elle est là, rayonnante, un pantalon blanc moulant son cul bombé, un T-shirt cintré dessinant ses seins lourds, pleins.
On marche vers un resto italien à deux pas de l’hôtel, ses hanches roulant sous son pantalon blanc, une ondulation discrète mais hypnotique qui m’aimante. Je traîne un peu derrière, juste assez pour que sa silhouette tende une chaleur dans ma gorge. Les passants la reluquent, des regards furtifs qui glissent sur elle, et je sens une pointe de satisfaction me gonfler, pas une fierté de chasseur, juste le plaisir brut d’être là, à côté d’elle, dans son sillage. On s’installe dans le patio, un coin retiré, lumières tamisées jetant des ombres douces sur les plantes grimpantes, l’air moite chargé d’odeurs – basilic frais, vin blanc, un soupçon d’huile d’olive. Elle commande un verre de vin, un choix qui me prend de court, fissurant l’image sage que je lui avais collée, et je prends un cocktail, nos verres s’entrechoquant dans un tintement clair qui résonne dans la nuit. La conversation démarre, légère, ponctuée de rires rauques, ses doigts fins effleurant le bord de son verre – un geste banal qui me crispe, mes yeux accrochés à ses ongles, imaginant leur pression sur ma peau. « T’as l’air plus sûr de toi qu’à l’agence, » glisse-t-elle, un sourire furtif dans les yeux, sa voix douce comme une caresse. « Et toi, toujours aussi dure à cerner ? » réponds-je, laissant mon genou frôler le sien sous la table, un contact léger qui fait monter la chaleur. Elle ne recule pas, ses lèvres s’étirent un peu plus. Elle parle des collègues d’avant, une nostalgie qui traîne dans sa voix, et je lâche des bribes sur mes randos, des phrases simples pour masquer ce qui bouillonne en moi. L’alcool délie les langues, et ça glisse vers nos vies – mon déménagement pour mon ex, le divorce qui a suivi, et elle, ses doutes sur son mari, un entrepreneur turc a succés, des messages lus en douce sur son téléphone, une confrontation qu’elle repousse encore. « Il a laissé une montre sur la table une fois, pas la sienne, » murmure-t-elle, les yeux fixant son vin, un détail qui trahit une douleur qu’elle cache sous son assurance. Je pose ma main sur la sienne, sa peau chaude sous mes doigts calleux, son pouls battant vite, et elle lève les yeux, un éclat de gratitude dans ses prunelles sombres, teinté de cette force qui ne la quitte jamais. « Et toi, t’as déjà trompé ta femme ? » demande-t-elle d’un coup, sa voix douce mais directe, me coinçant un instant. « Non, » dis-je, la gorge un peu serrée, même si en moi, je sais bien que les quelques fois où ça a dérapé, c’était avec des escortes, des nuits payées, rien qui compte vraiment. Elle baisse les yeux, les relève avec un éclat dur : « Je pense que mon mari me trompe. Des messages, des trucs… mais je l’ai pas encore pris de front. » Je serre sa main, un geste qui la fait tressaillir, et je murmure : « Je suis désolé, Nadia, ça doit être dur. » Elle hausse les épaules, un sourire en coin : « Je me laisse pas couler. » La bouteille se vide, verre après verre, une complicité s’installe, un courant électrique dans l’air – ma bite pulse doucement sous la table, et là, ça me frappe : elle me regarde autrement, un éclat dans ses yeux qui vacille, et je me dis, putain, pour une fois, j’ai peut-être une chance avec elle, moi, le gars quelconque face à sa grandeur, j’en reviens pas. Et si elle m’utilisait ? Si ce dîner, ces regards, c’était sa façon de se venger, de balancer un coup à ce mari, cet entrepreneur turc plein aux as qui la trahit dans l’ombre ? Cette idée me traverse, me noue un peu l’estomac – elle pourrait me tirer là-dedans, un pion pour rayer son ardoise, une revanche contre ses costards impeccables et ses messages volés, et moi, je plonge, à moitié sonné par cette fissure qu’elle entrouvre.
« Tu sais, t’as pas toujours été tendre avec moi à l’agence, » lancé-je, un sourire en biais, testant l’eau, et elle arque un sourcil, amusée : « Peut-être que t’avais pas les clés pour me gérer. » Sa réplique claque, légère mais piquante, et je ris, un son bas, son assurance me chauffant plus qu’elle ne l’éteint. Elle penche la tête, ses doigts frôlant ses cheveux, et je me tais, les yeux sur ses lèvres pleines, un instant suspendu où je sens qu’elle joue, qu’elle me laisse approcher – moi, vraiment ? Et cette pensée revient, plus nette : elle me tend une corde, mais pour quoi ? Pour me tester, ou pour frapper son mari là où ça fait mal ? « J’avoue, je m’attendais pas à une soirée aussi bonne, » dit-elle, son sourire s’adoucissant, et je lève mon verre : « Qui sait ce que cette semaine nous réserve ? » Nos regards se croisent, lourds, un éclat dans ses yeux – défi ou calcul ? – qui me fait serrer le verre plus fort, une tension qui grimpe, cette impression qu’elle me veut dans son jeu, une revanche masquée sous son vin et ses rires, et moi, je me rends pas encore compte si je suis dupe ou chanceux.
Le dîner s’achève, assiettes vides, bouteille presque sèche, et elle propose une balade, une idée qui me happe direct – pas question de couper là. On sort, l’air frais glisse sur ma peau, les pavés résonnent sous mes bottes, et je marche à ses côtés, nos bras se frôlant par instants, chaque contact comme une braise qui s’allume. Je lui indique une ruelle sombre, un prétexte bidon, l’odeur de pierre humide flottant autour de nous, et on s’arrête près d’une fontaine, l’eau murmurant dans le silence. « Tu sais, Nadia, t’as un truc ce soir, les regards te suivent, » dis-je à voix basse, presque contre son oreille, et elle rougit légèrement, son bras effleurant le mien – volontaire ou pas ? –, un frisson me traversant. « Flatteur, » souffle-t-elle, ses yeux brillant d’un jeu subtil, et je me fige un quart de seconde, cette idée qui cogne encore : elle me laisse une chance, putain, moi, avec elle ? Ou c’est lui qu’elle vise à travers moi, un coup dans l’ombre ? On repart vers l’hôtel, plus lentement, le silence pesant, chargé, son parfum me frôlant, me tirant vers elle, et je n’en reviens toujours pas, cette petite fenêtre qu’elle entrouvre, vraie ou piégée par sa rancune.
Nous arrivons, le hall vide, et dans l’ascenseur, elle est là, trop près pour que je reste calme. Son reflet montre des lèvres entrouvertes, son souffle court trahissant un trouble. Nos corps se frôlent, sa chaleur passant à travers le tissu, ses yeux en amande glissant vers moi, curieux, intenses. Le silence pèse, épais, mes nerfs à fleur de peau, ma queue déjà à moitié dure sous mon pantalon alors que les chiffres rouges défilent, trop lents, sur l’écran lumineux. La porte s’ouvre, et on sort dans le couloir, étroit, nos pas étouffés sur la moquette anthracite, chaque bruit amplifiant cette proximité qui me cogne dans les tempes. Devant sa chambre, ses doigts fins hésitent, la carte tombe dans un cliquetis – elle la ramasse, un tremblement léger dans ses gestes. « Bonne nuit, » murmure-t-elle, sa voix basse, fragile, mais elle reste là, son regard fuyant puis revenant, expectant. Mon pouls s’emballe, un battement sourd dans ma poitrine – c’est là, maintenant, ou ça file –, et je m’approche, ma main effleurant son menton, mes doigts sur sa peau chaude, douce, avant de l’embrasser – léger, un test, juste pour sentir. Ses lèvres s’ouvrent un peu, répondent, hésitantes, un souffle tiède se mêle au mien, et un frisson la traverse, un signe qui me retourne.
Je recule à peine, nos souffles encore entremêlés, et dans ses yeux, je vois une lueur – surprise, envie, un mélange qui fait pulser mon sang plus vite. Ma main glisse de son menton à sa nuque, mes doigts s’enfonçant doucement dans ses cheveux bouclés, leur texture soyeuse sous ma paume. « Tu crois que je vais te céder? » dit-elle, un sourire en coin, moitié défi, moitié jeu, ses mains posées sur mon torse, une pression légère qui ne repousse pas vraiment. Ses yeux brillent, sombres, et ça me chauffe, cette façon qu’elle a de tenir le fil tout en laissant une brèche. « Je sens que t’en as envie autant que moi, » réponds-je, la voix rauque, un peu plus grave qu’à l’ordinaire, et je me penche, mes lèvres frôlant son cou, là où sa peau palpite, chaude, son pouls rapide sous mon souffle. Je la goûte à peine, un effleurement de langue, un avant-goût qui fait monter une vague dans mon bas-ventre. « Viens dans ma chambre, » murmuré-je contre son oreille, direct mais bas, ma main prenant la sienne – un léger tremblement dans ses doigts –, et je l’entraîne dans le couloir, nos pas pressés, mes nerfs à vif, le sang qui cogne dans mes tempes. Dans ma tête, ça tourne à plein régime – Nadia, putain, Nadia, l’objet de mes fantasmes les plus fous depuis l’agence, cette reine intouchable que j’ai ramenée là, dans ma chambre, moi, un gars comme moi, ça me dépasse, une excitation qui me serre la gorge et fait trembler mes mains. J’ouvre ma porte, les doigts maladroits sur la poignée, la tire à l’intérieur, et la porte claque derrière nous – un bruit sec, net, qui résonne dans la pièce sombre, comme une barrière qui tombe.
Mes lèvres trouvent les siennes, un baiser dur, affamé, mais pas précipité – je prends mon temps, savoure leur douceur, leur chaleur humide qui s’ouvre sous moi. Mes mains glissent sur ses hanches, descendent, attrapent son cul – ce cul bombé, charnu, que j’ai maté tout la soiréee, ferme sous mes paumes, une chair chaude qui cède juste assez sous mes doigts à travers le tissu blanc. Je la pousse contre la porte, pas brutal, juste assez pour sentir son corps contre le mien, ses seins pleins pressés sur mon torse, leur poids lourd et souple à travers son T-shirt, une tension qui fait durcir ma queue dans mon pantalon, une barre qui appuie contre elle. Ses lèvres s’écartent plus, un goût de vin blanc et de quelque chose de brut qui me monte à la tête, et ma langue plonge, explore, un gémissement discret s’échappe d’elle – un son rauque, presque involontaire, qui vibre dans ma poitrine. « Tu le veux autant que moi, » grondé-je, mes lèvres glissant sur son cou, sa peau dorée frémissant sous mon souffle, l’air tiède de la pièce saturé de sa présence. Elle ne répond pas, ses yeux sombres brillent, un mélange de défi et de trouble, et je relâche ses hanches, mes mains remontant lentement sur ses flancs, effleurant ses seins – leur courbe pleine sous mes doigts –, avant de la guider vers le lit, un mouvement ferme mais mesuré, laissant flotter cette tension qui me tient, qui nous tient.
« Je vais me rafraîchir, » murmure-t-elle, sa voix basse, un léger tremblement dedans, et elle glisse vers la salle de bain, la porte se fermant avec un clic discret qui résonne dans le silence. Je reste là, planté, le cœur cognant dans ma poitrine comme un marteau, ma bite pulsant, une pression qui me serre les tripes. Dans ma tête, ça tourbillonne – Nadia, putain, Nadia, ce fantasme qui me hante depuis si longtemps, cette femme que j’ai imaginée cent fois, là, à deux pas, dans ma chambre, et moi qui l’ai ramenée ici, ça me coupe le souffle, une excitation qui me noue la gorge et fait trembler mes doigts. Je fouille ma valise, les mains nerveuses, presque fébriles, et sors ma « sacoche de baise » – des capotes XL pour ma queue épaise, du lubrifiant pour que ça glisse juste comme il faut, et un demi-Cialis (ramené d’un voyage en Thailande) , parce qu’à 49 ans, avec elle, je prends pas de risque, pas question de flancher devant ce rêve qui prend forme. Je l’avale d’un coup, l’eau tiède du robinet coule dans ma gorge avec un goût fade, métallique, et je me laisse tomber sur le lit défait, les draps froissés râpant contre ma peau, encore chauds du trajet. L’attente me ronge, chaque tic-tac de la pendule au mur amplifie le bourdonnement dans mes tempes, ma bite pulsant, une bête qui cogne, impatiente, alors que j’imagine encore – elle, là-dedans, l’eau sur sa peau dorée, ce cul bombé que je viens de toucher, et moi, ici, à deux doigts de l’avoir, putain, j’en tremble presque.
La porte grince, Nadia revient, une vision qui me fige – son pantalon blanc moulant son cul bombé, son haut cintré tendu sur ses seins pleins, une promesse qui me serre la gorge. Ses yeux croisent les miens, un éclat de doute, peut-être de défi, ses doigts jouant nerveusement avec son haut. Dans ma tête, ça pulse – Nadia, ce fantasme qui m’a rongé depuis l’agence, là, devant moi, dans cette chambre, et moi qui l’ai fait venir ici, ça me dépasse, une excitation brute qui me fait trembler sous la peau. Je me lève, lent, mesuré, m’approche jusqu’à ce que mon souffle frôle son oreille, et je murmure : « Ce qui se passe ici reste ici, » ma voix rauque, basse, un pacte tacite dans l’air tiède. Mes mains glissent sur sa taille, effleurent ses seins, leur poids lourd sous mes doigts me coupant presque le souffle, et je la guide vers le lit, la fais basculer doucement – elle s’étale sous moi, son corps souple, ses lèvres s’entrouvrant sur un souffle rapide qui fait vibrer la pièce.
Je tire sur son haut, pas un arrachement brusque, juste assez pour le faire passer par-dessus sa tête, révélant un soutif en dentelle noire qui peine à tenir ses seins – je le dégage d’un geste sûr, libérant leur masse pleine, lourde, leurs aréoles sombres se durcissant sous la lumière tamisée. Mes mains les saisissent, les pressent, leur douceur chaude me tirant un grognement sourd, et je baisse la tête, prenant un téton dans ma bouche – je le suce, une faim contenue, le mordille juste assez pour sentir son corps tressaillir, un petit cri aigu s’échappant de sa gorge. « Stéphane… » souffle-t-elle, un murmure fragile, presque perdu, mais je passe outre, mes doigts descendant sur son pantalon, le faisant glisser avec sa culotte en dentelle – pas une déchirure, un mouvement pressé mais contrôlé, exposant sa chatte bordée d’une toison fine, luisante dans la pénombre, une chaleur qui me cogne dans le ventre.
Je vire mes vêtements d’un geste vif, ma chemise s’arrache dans un froissement rêche, les boutons claquant au sol, mon pantalon glissant dans un bruit sourd de tissu frotté, la boucle de ma ceinture tintant contre le parquet usé. Ma queue jaillit, épaisse comme un avant-bras, veinée, dressée, la peau tendue à craquer sur sa longueur, une goutte luisante perlant au bout, et je déroule une capote, mes doigts calleux glissant sur le latex, l’étirant sur cette barre rigide avec une tension palpable dans l’air tiède. Je glisse entre ses cuisses, missionnaire, son corps s’ouvrant sous moi – sa peau dorée luit doucement sous la lampe pâle, ses hanches pleines s’écartent, sa chatte bordée d’une toison fine scintillant d’humidité. Je m’approche lentement, mon gland large effleure son entrée, ses chairs chaudes et serrées frémissent sous la pression. « Attends… » souffle-t-elle, un murmure fragile, ses doigts crispant les draps – je ralentis, mes lèvres frôlent son cou, goûtant sa peau salée pendant que son souffle s’apaise. « J’ai jamais trompé mon mari, » murmure-t-elle, un éclat de douleur dans la voix, une revelation qui fissure son assurance et me fige une seconde. Puis, d’un mouvement mesuré, je la pénètre, un grognement sourd m’échappe alors qu’elle m’enveloppe, étroite, brûlante. Elle gémit, bas, ses mains glissent sur mes bras. Je bouge doucement d’abord, chaque va-et-vient un frottement délicat, laissant la chaleur monter entre nous. Puis mes hanches s’emballent, le plaisir trop fort – ses parois me serrent, ses gémissements rauques emplissent l’air, et ma queue tressaille, jouissant trop vite dans un râle profond, une vague brûlante qui me vide, me laisse pantelant. Une honte acide me pique la peau, et elle me fixe, un sourcil arqué, un sourire en coin – « C’est tout ? » lâche-t-elle, sa voix douce mais tranchante, un coup qui me cingle, rallumant une braise sous ma peau alors que ses yeux sombres brillent encore, marqués par cet instant où je l’ai étirée, impressionnée sans qu’elle l’admette.
« Attends, je vais te montrer, » grondé-je, ma voix rauque, glissant entre ses cuisses juste après avoir ôté la capote pleine – un geste discret, mes doigts la pinçant pour la jeter sous le lit, un léger frottement de latex contre le parquet usé. Mes mains écartent ses jambes avec une fermeté possessive, bien décidé à effacer cette honte qui me brûle encore et à la faire plier sous ma langue. Sa peau est chaude, luisante de sueur, un éclat salé sous mes paumes, ses cuisses charnues frémissant à mon contact. Je baisse la tête, mes lèvres frôlent l’intérieur, une douceur veloutée qui contraste avec la texture soyeuse de sa toison fine. Je grogne, un son bas qui vibre dans ma gorge, ma langue traçant un chemin lent, humide, jusqu’à sa chatte – trempée, luisante, ses lèvres roses gonflées sous mes doigts qui les écartent, dévoilant une chair tendre, palpitante, un nectar brut qui me fait saliver. Je plonge doucement, ma langue s’enfonce dans ses replis, savoure son goût salé, épais, qui me frappe comme une décharge. « La dernière fois qu’il est rentré tard, il puait un parfum de fleur bon marché, » murmure-t-elle, sa voix tremblante laissant échapper une blessure qu’elle masque d’habitude, et ça m’attise encore plus, cette faille qu’elle me livre. Ma queue nue pulse à nouveau, dure, lourde contre ma cuisse, l’air tiède de la pièce caressant sa peau tendue. Je lèche avec une précision affamée, traçant des cercles lents autour de son clito, le titillant avec la pointe de ma langue, puis le suçant doucement, mes lèvres scellées sur ce petit bouton qui durcit. Chaque coup arrache un gémissement bas, profond, qui résonne dans mes tripes. Je veux la rendre folle, la pousser à bout – je varie, des coups rapides suivis de succions lentes, mes mains agrippant ses hanches pleines, mes doigts s’enfonçant dans sa chair tendre alors qu’elle se cambre, ses seins lourds montant et descendant au rythme de son souffle haché, leurs aréoles sombres tendues comme des appels muets.
« Oh… putain… » gémit-elle, ses doigts glissant sur mon crâne rasé, pressant fort contre ma peau nue, une prise qui me chauffe la tête, et je sens son corps s’abandonner, ses cuisses s’écartant plus grand, ouvertes à ma merci – mais soudain, elle resserre les jambes, ses muscles roulant sous ma poigne, et ses mains me guident, pas suppliantes, mais fermes, reprenant les rênes. « Continue… fais-moi jouir, » ordonne-t-elle, sa voix rauque, tranchante, plus un défi qu’une prière, et ses yeux sombres s’ouvrent, mi-clos, brillant d’une autorité qui me fige une seconde – Nadia, cette reine, ce fantasme qui me hante, me donnant des ordres, putain, ça me retourne, une vague d’excitation qui me serre les reins alors qu’elle me domine là, sous ses airs de trouble. Je ralentis, juste avant qu’elle bascule, mes lèvres s’écartant pour souffler un air chaud sur sa chatte trempée, la laissant frémissante, au bord, frustrée, et elle grogne, un son de protestation brut, ses hanches se soulevant pour me chercher, imposant son rythme. « Pas encore, » murmuré-je contre sa peau, ma voix basse, ferme, jouant le jeu, mais elle plaque ses mains sur mes épaules, ses ongles s’enfonçant dans ma chair, ses cuisses se refermant autour de ma tête – un étau doux, brûlant –, et je sens sa prise, son contrôle qui s’affirme, son souffle rapide disant qu’elle ne lâchera pas.
Je me redresse, un sourire sombre aux lèvres, ma queue rebande, dure, insistante, la peau tendue sur sa longueur épaisse, prête à reprendre le dessus – mais elle, elle me tient encore, ses yeux brûlants, son corps dictant la suite. Je déroule une nouvelle capote, mes doigts glissant sur le latex, et je la regarde, captivé, excité, par cette femme qui me défie même là, dans ma chambre, ce fantasme vivant qui me pousse à bout.
Je me positionne à nouveau en missionnaire, ses cuisses écartées sous moi, sa chatte humide, plus ouverte après le travail de ma langue, luisante dans la pénombre, un appel brûlant qui m’attire. Je la pénètre doucement, cette fois – mon gland épais glisse dans ses chairs chaudes, trempées, un écrin serré mais accueillant qui m’arrache un grognement sourd. Je m’arrête un instant, laissant nos souffles se mêler, mes doigts effleurant ses hanches pour la faire attendre, puis j’imprime des va-et-vient légers, progressifs, chaque mouvement un frottement soyeux contre ses parois, ses lèvres roses s’étirant autour de ma queue, un rythme qui la fait soupirer, ses yeux sombres mi-clos, brillant d’un éclat trouble. Dans ma tête, ça cogne – Nadia, ce fantasme ultime, là, sous moi, offerte, et moi qui la prends, putain, cette idée me consume, une excitation qui me pousse à vouloir plus, à la dominer complètement, à graver mon ascendant dans sa peau. Je décide de prendre le dessus, de m’imposer pour de bon, et mes mains agrippent ses hanches larges, mes doigts s’enfonçant dans sa chair tendre, chaude, luisante de sueur – je la tire d’un coup sec vers le bord du matelas, mes hanches suivant le mouvement, ma queue la pénétrant profondément en une seule poussée brutal, un choc qui la remplit entière, lui arrachant un cri aigu, tranchant, un mélange de surprise et de me sentir tout au fond, ses yeux s’écarquillant sous l’impact, ses fesses charnues débordant à peine du bord, ses parois chaudes se contractant autour de moi. Je me redresse, mes pieds plantés au sol pour un appui ferme, le parquet grinçant sous mon poids, et je coince ses chevilles sous mes aisselles, ses jambes relevées, ses fesses s’arquant vers moi, ouvertes, exposées – un angle parfait, profond, son corps prêt à céder sous ma domination.
J’accélère, mes coups puissants la secouent, chaque pénétration un choc qui résonne dans la pièce, ses seins lourds dansent sous mes yeux – pleins, hypnotiques, rebondissant avec une lourdeur qui me fait bander plus fort, ma queue tendue à bloc dans le latex. Sa peau dorée luit, perlée de sueur, ses hanches larges frémissent sous mes assauts, ses cuisses tremblant à chaque impact, et ses gémissements rauques montent, graves, presque sauvages, vibrant dans l’espace saturé d’une odeur de sexe et de chaleur. Je me retire une seconde, juste assez pour sentir son corps frémir, en manque, un vide qu’elle accuse avec un grognement bas, ses doigts crispés sur les draps froissés – puis je reprends le contrôle, décidé à la plier à mon rythme. Mes mains relâchent ses chevilles, glissent sous ses fesses pour la soulever légèrement, toujours dos au lit, et je la fais pivoter sur le côté, une jambe relevée sur mon épaule, l’autre coincée sous moi – je m’enfonce à nouveau, un angle plus étroit, sa chatte serrée m’enserrant comme un étau, chaque va-et-vient un frottement brûlant qui lui coupe le souffle, ses seins s’écrasant contre le matelas, lourds, débordant sous la pression. Je change encore, la basculant sur le ventre, ses fesses bombées offertes, mes mains empoignant ses hanches pour la tirer vers moi – je la pénètre d’un coup ferme, profond, son cul claquant contre mes cuisses, un son mat qui résonne, ses gémissements étouffés dans les draps, son corps tremblant sous mes assauts, chaque position marquant mon ascendant, ma volonté de la dominer totalement, cette garce qui m’a hanté si longtemps.
« À quatre pattes, maintenant, » ordonné-je, ma voix claque dans l’air saturé, un ton sec qui ne tolère aucun recul, et elle hésite une fraction de seconde, un éclat de défi dans ses yeux sombres avant d’obéir – ses mains s’enfoncent dans le matelas grinçant, ses genoux creusent des sillons dans les draps froissés, son cul s’élevant, rond, charnu, une offrande exposée que je vais marquer de ma main, de ma queue. « Plus cambrée, » grogné-je, un grondement sourd qui roule dans ma gorge, et elle ajuste à moitié, ses reins se creusant timidement – ma main s’abat sur sa fesse gauche, une claque nette, cinglante, qui résonne comme un fouet dans la pièce, sa peau dorée rougissant sous l’impact, et elle sursaute, un « Aïe ! » étouffé s’échappant de ses lèvres entrouvertes, son corps réagissant d’instinct, creusant les reins plus fort, ses fesses s’écartant pour révéler sa chatte luisante, trempée, palpitante, une vision qui me coupe le souffle.
Je prends une seconde pour admirer – ce cul, ces globes fermes, pleins, luisants de sueur, cette cambrure qui hurle le sexe brut, et mes mains s’y posent, le malaxent, mes doigts s’enfonçant dans sa chair tendre, chaude, écartant ses fesses pour voir ses lèvres humides s’ouvrir, roses, gonflées, prêtes à m’avaler entier, un éclat de mouille traçant une ligne fine sur sa cuisse. « J’ai attendu des années pour ça, » dis-je, ma voix rauque, presque cassée, et dans ma tête, ça hurle – Nadia, ce fantasme qui m’a rongé, cette reine intouchable que je tiens là, à ma merci, putain, cette idée me déchire, une excitation qui me fait trembler les reins. Je caresse sa chatte, mes doigts glissant sur ses replis trempés, titillant son clito enflé, dur comme un petit noyau sous ma pulpe, la faisant gémir – un son bas, guttural, qui fait pulser ma queue, dressée, épaisse, veinée, prête à la remplir. « Tu la veux, ma bite ? » demandé-je, un sourire mauvais aux lèvres, une provocation qui la teste, et elle murmure, sa voix brisée par l’envie, un filet fragile : « Oui… » Je m’enfonce en elle d’un coup précis mais lent, ma bite épaisse écartant sa chair serrée, la pénétrant jusqu’à la garde, lui arrachant un cri rauque, profond, qui déchire l’air, ses yeux s’écarquillant une seconde sous l’impact. Je bouge doucement d’abord, chaque coup profond mais mesuré, mes hanches claquant contre son cul avec un bruit mat, charnu, puis j’accélère, mes mains agrippant ses hanches, mes doigts marquant sa peau dorée de traces rouges, son corps tremblant sous moi, ses seins pendants oscillant à chaque poussée, lourds, leurs pointes sombres frôlant les draps.
« T’aimes ça, hein ? » grogné-je, ma voix basse, insistante, et elle halète : « Oui… putain, oui… » sa voix rauque, presque un sanglot, un aveu qui me galvanise, et je pousse plus fort, mes reins brûlant sous l’effort, chaque coup un choc qui la secoue, ses fesses rebondissant contre mes cuisses, un claquement humide qui résonne dans la pièce saturée de sueur et de sexe. Ma jouissance menace, une chaleur qui monte dans mes couilles, mais je lutte, serrant les dents, refusant de céder – je veux la faire jouir d’abord, la briser sous mon contrôle. Elle craque avant moi – son corps se tend comme un arc, ses hanches se crispent, et elle jouit, un orgasme violent qui explose dans un cri aigu, sauvage, déchirant l’air, ses jambes tremblant sous l’onde, son cul s’arquant encore plus, sa chatte pulsant autour de ma queue, chaude, insatiable, un étau humide qui manque de me faire basculer. Je grogne, un son guttural qui gronde dans ma poitrine, mes mains serrant ses hanches jusqu’à laisser des marques violacées, savourant son abandon, ma domination s’intensifiant alors qu’elle s’effondre à moitié sur le lit, pantelante, ses cuisses frémissant encore, vaincue sous ma prise, mais pas encore totalement mienne – pas tant que je n’ai pas décidé.
Je me lève, ma queue encore dure, luisante sous le latex, et je lui tapote le visage avec, un geste lent, provocant – son souffle chaud frôle ma peau tendue alors que je la force à l’avaler, ses lèvres s’écartant, humides, serrées autour de moi, un éclat de défi dans ses yeux sombres qui me fait bander plus fort. J’amuse mes hanches à quelques va-et-vient, sa langue glissant sous mon gland, un contact brûlant qui me tire un grognement bas, mais je ne m’attarde pas – je la relève, mes doigts toujours dans ses cheveux bouclés, une prise ferme sur ses mèches humides, collantes de sueur, et je la pousse vers le bureau, mes pas lourds faisant craquer le parquet usé, mon souffle court, rauque, saturant l’air. « Debout, mains sur le bureau, face au miroir, » ordonné-je, ma voix dure, tranchante comme une lame, mon désir de la dominer à son apogée, une pulsion brute qui me dévore les reins. Elle vacille, ses jambes flageolantes après son orgasme, mais elle obéit, ses paumes claquant sur le bois massif, un son sec qui résonne, son reflet dans le miroir offrant un tableau cru – ses joues rougies, ses yeux brillants de larmes retenues, ses lèvres entrouvertes laissant échapper un souffle haché, ses seins lourds pendants, leurs tétons sombres frôlant presque la surface, ses cheveux noirs collés par la sueur tombant en désordre sur ses épaules. Sa peau dorée luit, son cul bombé tremble sous l’effort, et cette vision – cette femme fière, brisée sous ma volonté – fait pulser ma queue avec une rage sauvage, une excitation qui me consume.
Je me place derrière elle, mes mains glissent sur ses reins, chauds, lisses, empoignent ses hanches avec une force possessive, mes doigts s’enfonçant dans sa chair tendre, et je la pénètre d’un coup ferme mais contrôlé – ma bite s’enfonce jusqu’à la garde, écartant ses chairs humides, un choc profond qui lui arrache un gémissement guttural, presque un sanglot, le bureau grinçant sous la poussée. Je ralentis un instant, laissant la tension monter, mes doigts frôlant ses flancs, puis je la pilonne, chaque coup un assaut brutal, un claquement de peau contre peau qui remplit la pièce, ses seins s’agitant dansant dans le reflet, ses yeux croisant les miens dans le miroir – un mélange de défi et d’abandon qui brûle encore, me défiant de la faire plier. « Regarde-toi, » grondé-je, ma voix basse, venimeuse, « regarde ce que je fais de toi, Nadia – une petite pute maghrébine qui se fait baiser pendant que ton mari, cet entrepreneur turc plein aux as, reste là, incapable de te toucher comme ça. » Elle se crispe, une lueur de feu dans ses yeux : « T’as pas à parler comme ça, » crache-t-elle, ses mains poussant contre le bois, un sursaut de révolte, mais ma main s’abat sur sa fesse gauche, une claque sonore, cuisante, qui rougit sa peau, et je tire ses cheveux, mes doigts serrant ses mèches trempées, son cou s’arquant sous la tension, un gémissement étouffé lui échappant.
« Tais-toi et prends, » rugis-je, la plaquant contre le bureau, mon torse pesant une seconde sur son dos avant de me redresser, ma queue continuant à la marteler, chaque impact faisant trembler ses seins, ses hanches claquant contre le bois, son corps entièrement à ma merci. Elle gémit, ses ongles griffant la surface, laissant des marques fines dans le vernis, sa chatte se resserrant autour de moi, chaude, trempée, et je sens qu’elle adore ça, qu’elle cède sous ma domination. « Dis-moi que t’aimes ma queue, que t’es ma chienne algérienne, » ordonné-je, tirant ses cheveux pour forcer son regard dans le miroir, ses yeux sombres croisant les miens, brillants de honte et de plaisir mêlés. « Oui… j’aime… ta queue… je suis… ta chienne… » halète-t-elle, un aveu arraché, ses joues s’empourprant sous l’humiliation, sa voix brisée par l’intensité. Je souris, un rictus sombre, victorieux, et j’accélère, mes mains malaxant ses seins, pinçant ses tétons entre mes doigts jusqu’à lui tirer un cri aigu, perçant, mes coups de reins devenant une rafale, un rythme sauvage qui secoue le bureau.
« Supplie-moi de te faire jouir encore, » grondé-je, ralentissant juste assez pour la frustrer, ma bite immobile au fond d’elle, ses chairs palpitant autour de moi, et elle gémit, ses doigts crispés sur le bois : « S’il te plaît… fais-moi jouir… » sa voix brisée, un abandon total qui me fait jubiler, une vague de puissance brute me traversant. Je reprends doucement, chaque coup une montée progressive, ma main claquant ses fesses en alternance, laissant des marques rouges symétriques, puis j’accélère d’un coup, tirant ses cheveux pour maintenir son visage face au miroir, ses yeux mi-clos, perdus dans le plaisir. « Jouis pour moi ma chienne algerienne » ordonné-je, et avec un dernier coup profond, précis, elle bascule – un orgasme violent, son corps convulsant sous moi, un cri rauque, déchirant, éclatant dans l’air, ses jambes cédant complètement, retenues par mes mains sur ses hanches, sa chatte serrant ma queue comme un étau brûlant. Je grogne, ma jouissance monte, irrépressible – ma bite tressaille, mon foutre explose dans la capote, un râle profond, guttural m’échappant, mes mains serrant ses hanches jusqu’à marquer sa peau de traces violacées, mes cuisses tremblant sous l’effort.
Je me retire doucement, admire mon œuvre – cette femme, autrefois intouchable, réduite à cet état brut, pantelante, marquée par ma queue, mes mains, ma volonté, son reflet dans le miroir montrant ses joues rougies, ses yeux humides croisant les miens, un mélange de honte, de plaisir et d’abandon. Je me tiens là, essoufflé, victorieux, une puissance brute courant dans mes veines – j’ai pris ce que je voulais, Nadia, ce fantasme ultime, et elle le sait, son corps ployé sous mon ascendant. Mais la nuit est loin d’être finie, et cette reine, brisée mais pas encore totalement mienne, apprendra encore à se plier à moi avant que l’aube ne nous sépare.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour vos retours,
l'histoire est vrai à 90% ;)
Une suite est prévu
Pardon si vous sentez des relents de racisme dans mon histoire, ce qui n'est pas mon cas bien au contraire. Derrière l'anonymat d'internet, je vous l'avouerais si tel était le cas mais je vous garanti que non. Vous en serais plus sur mes motivations et la nature de mon comportement dans mon deuxième acte.
Je me rends compte que j'ai raté mon copier coller avec mon texte donc que l'introduction n'est pas présente, la voici:
Chère lectrice, cher lecteur,
Depuis toujours, les récits érotiques glanés sur divers sites m’ont captivé, leurs mots allumant en moi une curiosité brûlante. Aujourd’hui, je franchis le pas : je vous livre mes propres expériences, des fragments de ma vie teintés de désir et d’intimité. J’ai quelques histoires à raconter, des moments volés, des rencontres qui m’ont marqué – mais celle-ci, celle que je vous offre maintenant, est la plus intense, la plus profonde, celle qui reste gravée dans ma chair et mes pensées comme aucune autre. J’espère que ces lignes sauront vous toucher, vous intriguer, peut-être même vous emporter comme ces histoires m’ont emporté moi-même.
l'histoire est vrai à 90% ;)
Une suite est prévu
Pardon si vous sentez des relents de racisme dans mon histoire, ce qui n'est pas mon cas bien au contraire. Derrière l'anonymat d'internet, je vous l'avouerais si tel était le cas mais je vous garanti que non. Vous en serais plus sur mes motivations et la nature de mon comportement dans mon deuxième acte.
Je me rends compte que j'ai raté mon copier coller avec mon texte donc que l'introduction n'est pas présente, la voici:
Chère lectrice, cher lecteur,
Depuis toujours, les récits érotiques glanés sur divers sites m’ont captivé, leurs mots allumant en moi une curiosité brûlante. Aujourd’hui, je franchis le pas : je vous livre mes propres expériences, des fragments de ma vie teintés de désir et d’intimité. J’ai quelques histoires à raconter, des moments volés, des rencontres qui m’ont marqué – mais celle-ci, celle que je vous offre maintenant, est la plus intense, la plus profonde, celle qui reste gravée dans ma chair et mes pensées comme aucune autre. J’espère que ces lignes sauront vous toucher, vous intriguer, peut-être même vous emporter comme ces histoires m’ont emporté moi-même.
Merci pour ce récit très bien écrit, sauf quelques traces de racisme, qui m'a excité ! Didier
La suite
Longue histoire relativement croustillante avec de nombreux détails j’ai moins aimé le moment où tu lui rappelle de manière grossière son origine maghrébine et l’insulte qui s’ensuit on peut dominer sans humilier à l’excès. Daniel
Très bon récit, est ce une histoire vraie? Y aura-t-il une suite?
C'est vraiment bien raconté et excitant. Bravo!
Incroyable histoire. Superbe

