j'ai couché avec ma belle mere

- Par l'auteur HDS Marlowe038 -
Récit érotique écrit par Marlowe038 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : j'ai couché avec ma belle mere Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2025 dans la catégorie Pour la première fois
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j'ai couché avec ma belle mere
Voici mon histoire et je souhaite la même chose à tous ceux qui fantasment sur leur belle-mère et qu'un jour, leur rêve se réalise… Voilà comment cela a commencé et comment j'ai vraiment baisé mon ex-belle-mère et plus encore. Je vais appeler ma belle-mère dans ce récit, comme aussi ma femme ou mon beau-père, pour raconter mon fantasme devenu réalité. Et je souhaite à tous ceux qui fantasment sur leur belle-mère que cela devienne une réalité, car sexuellement, j'ai trouvé un plaisir fou, même encore meilleur qu'avec celui de ma femme. J'avais une trentaine d'années à cette époque. Ma belle-mère avait dépassé la cinquantaine, mais bien conservée, parce qu'elle ne faisait pas du tout son âge, et des formes généreuses, parce qu'elle possédait une poitrine opulente, plus voluptueuse que celle de ma femme, et qui donnait envie de la toucher. Mais c'était surtout son cul assez gros, bien régulier et rebondi, qui m'attirait surtout. Un cul comme on les aime, bien plus imposant encore que celui de sa fille. Mais ma femme commençait, en prenant de l'âge, à avoir des formes particulières que celles de sa mère. Son cul devenait plus gros. J'avais aussi plaisir de jouer avec ses fesses, même s'il n’était pas aussi opulent que celui de sa mère, mais en prenant de l'âge, il commençait à lui ressembler doucement. Celui de ma belle-mère, quant à lui, qui me donnait des idées, notamment quand je le voyais bouger, quand elle se déplaçait devant moi. Le weekend, il m'arrivait de passer chez eux. Je savais qu'elle portait une chemise de nuit transparente sexy en dessous, qu'elle avait ramenée d'un séjour en Espagne. Mais elle portait un peignoir qui ne laissait rien apparaitre. Mais j'avais remarqué que quand son mari n'était pas présent, elle laissait déboutonner et entrouvert son peignoir, laissant apparaitre le haut ses gros nichons. Sa robe de chambre lui moulait le corps, et j'avais le plaisir de la voir marcher, en regardant remuer dans tous les sens ce gros cul, et en m'imaginant de m'y mettre au chaud à l'intérieur. La première fois où j'ai eu la chance de la voir, dans cette chemise de nuit transparente, c'est ce fameux dimanche matin, où j'étais passé chez elle pour emmener quelques affaires, que ma femme se débarrassait. Son mari n'était pas présent, car il avait l'habitude de faire son marché hebdomadaire. J'aurai l'occasion d'en reparler, bien plus tard. J'ai donc sonné à la porte, puis instantanément, elle est venue m'ouvrir tout de suite. Je referme derrière moi la porte d'entrée, en déposant les affaires à l'entrée, dans le vestibule. Puis, elle repart en direction de sa chambre, en me disant " Je reviens, je vais enfiler ma robe de chambre". J'ai une vue magnifique sur son cul qui fait apparaître la raie de ses fesses.

Je la vois déambuler de dos, dans ce couloir qui mène, au fond, à sa chambre et pour ne rien manquer, je m'avance dans le couloir. Je suis existé à la vue de ce cul qui bouge, et j'ai encore envie d'en profiter. Je m'avance donc derrière elle et je lui réponds de rester comme ça, que cela ne me dérange pas du tout, et qu'en plus, sa fille possède, à peu près, la même nuisette qu'elle. Je lui dis que cela lui va très bien, que je sais ce que c'est qu'une chemise de nuit. Du coup, elle ressort de sa chambre et elle fait demi-tour, en me répondant : " Oui, après tout ". Elle se trouve face à moi, et le contre-jour derrière elle fait apparaitre les poils de sa chatte. Je devine aussi les tétons de ses gros nichons. Je la laisse passer devant moi pour la suivre et voir son cul, qui me fait bander. Puis, arrivée dans la cuisine, elle me propose un café. Ce que je ne refuse pas d'ailleurs. Je remercie le contrejour de la cuisine, avec la vue sur ses fesses, en m'asseyant en face d'elle. Elle est de dos, et en mettant le mug de café dans le micro-ondes, elle est à 1 mètre de moi. Je n'aurai qu'une envie, c'est de toucher ce gros cul, en glissant les doigts dans sa raie. Je m'imagine en train d'écarter ses fesses et de rentrer ma bite à l'intérieur, bien au chaud. Puis, elle sort le mug du micro-ondes et elle le pose sur la table. Je n'ai des yeux que sur ses gros seins, en face de moi. Lorsqu'elle se penche pour le poser, sa nuisette s'ouvre, sur la vue naissante de ces gros seins, en l'espace de quelques instants. J'en profite pour regarder, en me demandant si elle s'est, que je reluque sa grosse poitrine, en l'espace de quelques secondes. On discute un peu de tout. Puis tout va être coupé court à notre conversation, car on a entendu le bruit particulier de la voiture de son mari, qui revient des courses, la fenêtre de la cuisine étant ouverte. Du coup, je la vois partir assez vite dans la chambre, en me disant, "Attends, je reviens". " Elle part rapidement en direction de sa chambre, et en quelques secondes, la revoilà dans une robe de chambre. J'avais donc compris qu'elle ne voulait pas que son mari la voie déambulée, devant moi, dans cette chemise de nuit assez sexy, car il avait beaucoup de principes. On entend un bruit de clé dans la serrure, qui permet l'ouverture de la porte. Son mari apparaît avec des paniers remplis de course. Je me lève pour aller vers lui, pour lui dire bonjour et je l'aide à entrer dans ses courses. Puis, on discute de choses et d'autres en finissant mon café, et ensuite, je décide de rentrer chez moi. Sur le chemin du retour, je n'arrêtais pas de penser à elle, à son cul, à sa chatte, à ses gros seins. Tout me passait par la tête, ce qui ne s'avérait plus être un fantasme devenait une réelle envie de la baiser. J'essayais de deviner ses formes, en repensant à sa nuisette transparente, en me disant que son mari avait de la chance d'avoir une femme aussi bandante à son âge. Mais je me disais aussi, étant plus vieux qu'elle et avec ses problèmes de santé, était-il au top, pour la baiser correctement ?

Surtout qu'elle paraissait assez chaude, et on peut même dire "porter sur le sexe ", dans sa manière de s'exprimer et dans ses comportements. On comprenait "qu'elle aimait bien ça ". Elle était toujours bien habillée. On va dire une femme qui s'entretient et assez coquette. Depuis un moment, j'avais remarqué, en effet, qu'elle avait changé de comportement. Elle se collait de plus en plus contre moi au moment des repas quand j'étais assis à côté d'elle. Le côté tactile était beaucoup plus présent, par exemple, elle avait tendance à me toucher avec de petits gestes. Au départ, je n'y prêtais pas attention, mais à force, j'avais l'impression qu'elle cherchait quelque chose. Elle me touchait le bras, où elle venait coller sa cuisse contre la mienne, sous la table, comme si elle se frottait. Et puis un jour, que j'étais passé chez eux, en compagnie de ma femme, elle était en plein ménage, mais habillée avec une autre chemise de nuit, bien moins transparente. Elle était en plein ménage et elle écoutait de la musique en même temps. J'étais assis dans la salle à manger et elle s'est mise à danser légèrement, sur le ton de cette chanson qui passait à la radio. Et de voir ce cul qui bougeait à côté de moi, ce fut plus fort que moi. Je me suis mis à lui mettre la main au panier, mais une main chaleureuse et tendre. Je découvrais un cul doux à toucher et ferme à la fois. Je me suis mis à rire et elle en a fait autant, et en remuant son cul de gauche à droite. Je me suis dit que si elle n'avait rien dit, j'avais certainement une chance d'aller encore plus loin.
Il faudrait alors que j'arrive à la piéger pour pouvoir la baiser. Mais la suite me prouva un peu plus tard que cela allait arriver, sans que je m'y attende aussi vite. En y repensant, la vie m'a appris qu'avec les années, on passe souvent à côté d'une importunité, sans y avoir prêté trop d'attention, et que cette chance ne se représentera jamais ensuite. Il ne faut donc jamais hésiter dès qu'une occasion se présente, car généralement, cela n'arrive qu'une seule fois. Pour la suite, voilà comment, un jour, j'ai pu enfin baiser ma belle-mère et comment j'ai commencé, à cette époque, mes relations sexuelles avec ma belle-mère. C'était à la fin des années 90. Mes ex-beaux-parents possédaient une propriété, comme résidence secondaire, au fin fond de l'Espagne. Une époque où les étés étaient déjà très chauds et torrides, surtout quand les températures dépassaient les 45 ° en plein après-midi. Depuis des années, ils me proposaient d'y aller. Ma femme n'était pas trop chaude pour partir de ce côté-là. Et puis, sa mère lui en a tellement parlé, qu'elle est arrivée à la convaincre. On ne connaissait pas ce pays, car notre habitude était de toujours partir en vacances un peu partout en France, afin de découvrir plein de beaux endroits. Ensuite, l'été arriva avec les vacances et nous avions décidé d'y aller au mois d'aout. C'est vrai que pratiquement, toute la famille connaissait cet endroit, et nous étions pratiquement les seuls à n'y être jamais allés.
On a donc préparé les valises et nous sommes partis, chacun avec notre voiture, pour un mois. Ce jour-là, on a ainsi pris la route en fin d'après-midi, car vu la chaleur, il fallait rouler de nuit. Puis, nous sommes arrivés en début de matinée. Je sentais la fatigue et c'était tant qu'on arrive. Une fois arrivée devant leur maison, après plus de 14 heures de route et pas mal de pauses, on sort le minimum de nos voitures et on file se coucher, épuisé de ce trajet. Je me lève en fin de matinée, un peu vaseux et ensuqué par la chaleur qui est déjà présente, afin de prendre mon petit déjeuner. Je m'assois dans la salle à manger. Face à moi, ma belle-mère qui était déjà réveillée pour faire le café. Elle me sert un café, comme d'habitude, dans une autre chemise de nuit, moins transparente, mais assez légère. Sa fille était assise à côté d'elle. Pendant ce temps, son mari avait déjà pris son petit déjeuner et il était sorti pour vider le reste des bagages de sa voiture. En face de moi, je regarde la nuisette noire assez sexy de mon ex-belle-mère. Elle était à petits trous assez fins, et on pouvait deviner, à travers, la pointe de ses tétons. Puis, elle se lève pour aller rechercher du café, qui était au chaud dans la cuisine. Et là, le régal commença pour moi, car le contrejour faisait apparaître, de dos, sa culotte du style short, qui en plus, lui rentrait dans la raie du cul. Ça sentait les vacances et la liberté dans l'habillement. Après tout, la décontraction était dans l'air, parce que vu la chaleur, elle ne portait plus de robe de chambre devant son mari. Puis, elle revient et se rassoit en face de moi. Je n'arrête pas de reluquer discrètement ses gros seins, en beurrant mes tartines. Toutes ces choses qui me passent dans la tête et qui commencent à me faire bander, une fois de plus. Je me dis que ces 4 semaines vont être agréables à vivre. Puis, je me dis qu'il va falloir que je monte un plan pour la coincer, afin de la baiser.
Ensuite, le petit déjeuner terminé, c'est le moment de passer à la salle de bain pour la toilette matinale. Le problème dans cette région du sud de l'Espagne, c'est que l'été, la population triple et avec l'eau, ce sont souvent des coupures en fin de journée. En plus, l'eau n'est pas potable dans cette région, et le cumulus électrique étant assez petit, l'eau chaude risque de manquer pour celui qui passera le dernier à la douche. Je me lève pour aller chercher ma trousse de toilette, qui se trouve dans l'une des valises de ma voiture. Je pose la valise sur le lit de notre chambre. Puis, je récupère mes affaires de toilettes ainsi qu'un bermuda de plage et je file dans la salle de bain qui est libre. La douche et la toilette sont terminées, j'enfile un bermuda de plage avant de sortir de la salle de bain. Ces fameux bermudas de plage, qui contiennent un filet au fond. Puis là, au moment de l'enfiler, je m'aperçois que la boucle n'est pas enlevée. J'arrive difficilement à le mettre, car assez serré. Une fois mis, je défais la boucle et je m'aperçois qu'il reste un nœud qui m'empêche de régler la ficelle de mon bermuda. Avec tous mes efforts, je n'y arrive pas. Je sors donc de la salle de bain et je me dirige dans le salon dans lequel ma femme et sa mère discutent autour de leur petit déjeuner. Je m'approche d'eux en expliquant mon problème, et je demande alors à ma femme de m'aider à détacher ce nœud. Mais vu qu'elle a des ongles assez courts, elle me dit qu'elle n'y arrivera pas, elle non plus. Du coup, ma belle-mère me propose d'essayer, à son tour, d'enlever ce nœud, vu qu'elle a des ongles assez longs, et aussi en se servant d'une aiguille à coudre.
C'est à ce moment-là qu'une idée me passe par la tête, pour tester ma belle-mère. Je pense à quelque chose : au moment où elle va défaire le nœud, en tenant sur la corde bermuda. Je me suis dit, je vais l'ouvrir en l'avançant au-dessus de sa vue, pour qu'elle voie ma bite et afin de voir sa réaction. Pendant qu'elle est partie chercher une aiguille dans ses affaires à coudre, je décide d'aller sur la terrasse, dans un coin à l'ombre, pour l'éloigner de tout le monde et où personne ne nous verra. Elle revient, et je fais mine d'essayer d'enlever le nœud. Mon plan marche et elle vient me rejoindre sur la terrasse, loin des autres. Elle me dit de la laisser faire et de lâcher cette ficelle. Elle se met en face de moi et elle commence à prendre la ficelle pour défaire le nœud. Je regarde discrètement autour de moi. Ma femme et mon beau-père sont à l'intérieur, encore à table, en train de discuter. De là où l'on se trouve, ils ne pourront voir ce que je vais faire. Elle commence à mettre l'aiguille dans le nœud, pour m'aider à le défaire. Maintenant, je vais attaquer mon plan pour voir sa réaction.
Pour lui faciliter la tâche, je lui dis que je vais essayer d'écarter mon bermuda. Je mets donc mes deux mains à l'intérieur devant, un peu sur les côtés. Puis je tire sur mon bermuda en avant, comme je l'avais dit, au niveau de sa vue, pour qu'elle voie l'intérieur de mon bermuda et surtout qu'elle puisse apercevoir ma bite. Je la regarde. Elle continue de défaire le nœud lentement avec l'aiguille, et je la vois regarder, à l'intérieur de mon bermuda, pour voir ma queue. Cela me fait bander à ce moment-là. Au bout d'un moment, elle décide de poser l'aiguille sur la petite table de la terrasse. Je relâche mon bermuda et elle revient. Elle recommence à essayer, avec ses ongles, de desserrer le nœud. Je recommence à tirer l'ouverture de mon bermuda. Elle continue à enlever ce nœud, en prenant son temps pour le dénouer, et je vois ses yeux qui sont toujours attirés à regarder l'intérieur de mon bermuda. Ma queue se trouve en semi-érection, tellement que cela m'excite de savoir qu'elle regarde ma queue qui grossit. Je la devine en train de la mettre dans sa bouche. Vu qu'elle ne dit rien, je décide de tirer encore plus en avant sur mon bermuda, pour qu'elle ait une plus grande vue sur ma bite, qui est devenue de plus en plus dure… Maintenant, de là où elle est, elle la voit entièrement. Elle ne dit pas un mot, en continuant de défaire le nœud doucement, en regardant ma queue. Vu qu'elle n'a rien demandé, cela veut dire que le spectacle lui plait, autrement, elle m'aurait fait comprendre d'arrêter de lui faire voir ma bite.
Mais là, aucun commentaire de sa part. J'en déduis que cela lui plait de voir une bite bien enflée et bien plus jeune que celle de son mari. Dans mon esprit, je commence à penser qu'elle doit aimer sucer. Je m'imagine plein de choses à lui faire, comme enfiler ma grosse bite dans sa bouche et cracher au fond de sa gorge. Je la regarde faire, et au bout d'un moment, je joue avec le muscle de ma queue et je donne des à-coups, ce qui la fait bouger et lever en l'air ma queue. J'essaye de lui faire comprendre ce dont j'ai envie d'elle. Ma bite est devenue tellement grosse, qu'elle sort presque du bermuda. Je suis sûr qu'elle doit avoir envie de l'avoir dans sa bouche ou au fond de sa chatte. Je me dis que si ça se trouve, elle doit "mouiller comme une salope ". Ensuite, je sens quelque chose qui se frotte contre mon bermuda. Avec une de ces mains, je sens ses derniers doigts venir frotter mon bermuda, mais surtout venir toucher ma queue, à travers les tissus. Je me sens un peu gênée, de peur que les autres arrivent, mais je me dis que c'est vraiment une belle salope. Elle continue à essayer de toucher ma bite de haut en bas avec ses doigts, comme si elle voulait me branler, et elle me regarde en souriant. Puis, elle arrête de me caresser une fois le nœud défait, ensuite elle refait la boucle. Je relâche mon bermuda doucement, en la remerciant. Je sors de la terrasse et je me dirige rapidement en direction des toilettes pour que personne ne voie mon érection, qui parait évidente à travers mon bermuda. J'ai une envie de me branler au WC, en pensant à elle, mais l'envie redescend assez vite, au moment d'uriner. La journée se passe tranquillement avec un moment à la plage l'après-midi. On décide de ne pas se coucher trop tard, pour rattraper nos heures de sommeil perdues. Et je ne pense qu'à une seule chose : comment piéger ma belle-mère pour pouvoir la baiser.
Le lendemain, on se lève tard en fin de matinée. Le temps étant un peu couvert, même s'il fait très chaud. On passe au petit déjeuner, avec toujours ma belle-mère et sa nuisette noire sexy. On finit de vider nos voitures et ma femme et sa mère font un peu de ménage. On déjeune très tard, vers les 15h00, en prenant le rythme de vivre à l'heure espagnole. On décide de ne pas aller à la plage aujourd'hui. Puis en fin d'après-midi, vers 17h00, on décide d'aller se balader. On part donc tous les quatre avec la voiture de mon beau-père. On visite des villages et après quelques balades et détours, mon beau-père décide de s'arrêter au niveau d'un joli petit port de plaisance, en bord de mer. Il avait dans l'idée d'attraper quelques poissons. Dans son coffre, il a toujours ses cannes et ses accessoires de pêche. On trouve une boutique spécialisée pour acheter des vers et des appâts. Puis, on stationne ensuite au bord de la jetée, sur une place, bien à l'ombre. On voit des pêcheurs déjà installés, et il pense que c'est donc un bon coin. Il me demande si je veux pêcher avec lui, en voulant me prêter une canne à pêche. Je lui réponds qu'il fait trop lourd pour moi. Je décide alors de rester dans la voiture. Je m'installe à l'arrière pour être plus à l'aise, dans cette grande voiture break, tandis qu'ils partent tous les trois, au bord du quai. La voiture est garée en face d'eux à l'ombre, et je peux donc les voir. Me voilà assis, derrière le siège conducteur, côté gauche. Je laisse un peu la portière entrouverte et je prends mes aises, en posant ma main sur le milieu du siège, la tête appuyée en arrière pour me reposer, et en fermant les yeux. Je ne doutais pas de ce qui allait arriver. Au bout d'un quart d'heure, j'entends la voix de ma belle-mère, qui décide de revenir à la voiture pour boire de l'eau. La glacière se trouve dans le coffre. Puis, une fois qu'elle a fini de boire, elle referme le coffre et, sans rien dire, elle rentre, à l'arrière de la voiture, du côté droit. Sans que je m'y attende, et d'un coup, elle décide de s'assoir au milieu, rapidement, sur ma main encore posée sur le siège. Je suis surpris et je n'ai donc pas eu le temps d'enlever celle-ci, et ma main se retrouve entre le siège et sa fesse gauche.
Je décide de ne pas retirer ma main, car à mon avis, elle a dû le faire exprès. Parce qu'en entrant dans la voiture, elle a bien dû voir ma main qui était posée sur le siège. Puis, il me vient une idée : et si j'essayais de mettre mes doigts, entre sa raie, pour titiller sa chatte et son cul ? Ensuite, elle appelle sa fille et elle lui demande de venir la rejoindre, afin de continuer la conversation. Elle décide donc de se rapprocher de moi en restant assise, ce qui fait que ma main se trouve, cette fois, au niveau de la raie de son cul. Ma femme arrive et s'assoit ainsi à côté de sa mère, en laissant la porte ouverte pour faire un peu plus d'air. D'où elle se trouve, elle ne peut voir ce qui se passe. Puis ma belle-mère décide d'allonger son bras en longueur, en l'appuyant sur le haut de la banquette arrière, derrière du côté de sa fille. Dans ce mouvement, elle s'incline côté droit en s'appuyant sur sa fesse droite, prétextant d'avoir un peu mal au dos et que cette position la repose mieux. Du coup, voilà donc que son autre fesse gauche se retrouve relevée et ma main qui était coincée, que ma main qui se trouvait écrasée, se retrouve libérée. En plus, cela me donne accès pour toucher son cul. Rien ne doute cette fois, avec sa manière de faire. Elle cherche vraiment à ce que je la touche. Quelle belle salope. Je me dis que c'est le moment d'essayer et de voir sa réaction, car j'ai trop hâte de mettre mes doigts de partout. Si elle dit quelque chose, je ferai semblant de m'être assoupi, en pensant à autre chose.
Il ne faut donc pas perdre une seule minute. Je tourne ma tête vers la droite, en laissant les yeux un peu fermés pour voir ce que je dois faire. Je décide de retourner doucement ma main de l'autre côté, pour que mes doigts soient au niveau de sa raie et d'essayer de la doigter. J'appuie un peu sur le siège pour pouvoir retourner lentement ma main, sans que cela la gêne, mais comme sa fesse fauche est bien relevée, je ne rencontre aucune difficulté à retourner ma main. Elle continue de parler avec sa fille, sans aucune réaction de sa part, car elle doit sentir les mouvements. Ma main est complètement retournée et, vu sa position, les doigts de ma main se retrouvent à la hauteur de son gros cul. Je sens bien que je vais pouvoir tout caresser, à travers sa robe légère d'été. Rien que d'y penser, je commence à bander. Je regarde comment est ma main. Puis, je pense à quelque chose. Vu comme elle était assise et que sa robe, en bas, est bien remontée côté gauche et presque en haut de ses fesses, je décide donc d'enlever doucement ma main droite et de tirer doucement dessus. J'attrape le bas de sa robe vers le haut de sa cuisse et je commence à la remonter, encore plus haut. Je commence à tirer lentement, en prenant des poses. Elle ne dit rien. Sa cuisse côté gauche est découverte et laisse apparaitre son shorty large et assez ouvert. Je laisse pendre sa robe sur le côté du siège et je glisse ma main dessous. Elle continue de parler avec sa fille, comme si rien n'était, ce qui prouve qu'elle se laisse faire. Je commence donc à remonter maintenant son shorty, pour le glisser à l'intérieur de la raie de ses fesses, et j'arrive à le glisser entre la raie de son cul, malgré une petite résistance. Elle ne dit toujours rien. Je vois enfin le côté gauche de son cul et sa raie. Ensuite, je descends ma main sous sa fesse gauche, à la hauteur jusqu’à l'ouverture de sa raie, sa direction, sa chatte. Je glisse mon index à l'intérieur de ses fesses. Elle se laisse faire, toujours sans rien dire. Mon doigt cherche sa chatte. Elle est complètement trempée de sa mouille, tellement qu'elle est excitée. Je bande comme un fou. Elle continue à parler comme si de rien n'était. J'aimerais tant la prendre comme ça, en mettant ma queue dans sa chatte humide, pour ensuite l'enculer. J'arrive à rentrer mon index entre ses lèvres et je rentre dans sa chatte, en commençant à faire des allers-retours, comme si je la baisais. Mon doigt est trempé de sa cyprine. Ensuite, j'enlève doucement mon doigt et j'ai envie de remonter, pour enculer son petit trou avec mon index. Je remonte mon doigt dans sa raie, jusqu’à trouver sa rondelle. Puis, je sens une contraction de son anus. Ensuite, je commence à titiller sa rondelle, avec mon doigt rempli de sa mouille, et je reste un bon moment comme ça, à titiller l'entrée de son cul, en faisant des petits ronds autour de son petit trou. Ensuite, lentement, je rentre le bout de mon index, en titillant l'intérieur de son petit trou bien serré. Elle continue de répondre à sa fille, mais sa voix change certainement par l'excitation. Je pense qu'elle a compris ce que j'attendais d'elle avec ma bite.
Ensuite, j'enfonce doucement, un peu plus, mon index, en branlant doucement son petit trou, qui est bien serré. Et là, avec sa main gauche, elle me bloque en me faisant comprendre de ne pas aller plus loin. Alors, je continue à branler son anus, mais d'un seul coup, j'entends la voix de son mari et elle se met à lui répondre, car il décide de plier ses cannes à pêche. J'enlève ma main lentement, mais d'un geste assez rapide, avant qu'il arrive vers la voiture, et je remets son slip en place et en descendant discrètement sa robe par-dessous, en enlevant ma main. Avec sa main gauche, elle tire sur sa robe pour l'arranger. Et je fais mine de rien, en relevant la tête, et je mets mon bras droit derrière elle, en hauteur le long du siège arrière. Puis, on doit reprendre la route. Je sors de la voiture et je m'installe à l'avant de la voiture, côté passager, et nous partons direction la maison… Tout le long de la route, on parle de tout et de rien. Mais dans ma tête, je me pose plein de questions, en me disant qu'il faut à tout prix que je la baise avant la fin des vacances, car ça risque de passer trop vite. Et il va falloir donc que je trouve vraiment un plan pour la sauter, mais la suite prouvera que je ne m'attendais pas à ce que cela arrive aussi vite. Le long de la route, je n'arrête pas de sentir mon doigt qui sent la mouille de sa chatte, mélangée à l'odeur de son anus. On rentre à la maison. Je prends une douche tellement j'ai chaud et on décide d'aller au restaurant dans la soirée. La soirée se passe tranquillement, mais nos regards se croisent discrètement en me faisant comprendre plein de choses.
Et puis, on fait une balade en bord de plage, en dégustant une glace et on rentre pour aller se coucher. Le soir, au lit, je suis tant excité de cette journée que j'ai une énorme envie de baiser ma femme, en pensant plutôt à ma belle-mère. Je me retourne vers mon ex-femme, qui dort toujours en chien de fusil, sur le côté droit. Je l'embrasse et lui touche ses seins fermes, mais qui ne sont pas aussi gros que ceux de sa mère. Je lui parle doucement à l'oreille, pour qu'on ne m'entende pas, et je lui dis que j'ai envie de la prendre comme ça, puis je descends ma main dans son string. Je trouve son clitoris et je la masturbe, elle adore ça. Elle se met à gémir, puis elle se met sur le dos et je continue à la branler. Elle gémit encore plus de plaisir. La chambre de mes beaux-parents étant éloignée, ils ne peuvent pas l'entendre. Ensuite, j'enfile mon index dans sa chatte déjà mouillée de sa cyprine. Elle comprend vite que j'ai envie de la baiser. Elle se remet en position de la petite cuillère. Je baisse son string jusqu'en bas de ses fesses et je baisse mon boxer. Je me colle contre elle et je recommence à branler son clito. Elle prend ma bite avec sa main et elle me branle pour qu'elle soit bien dure. Ensuite, elle la présente en face, du trou de sa chatte, complètement trempée, et je rentre ma grosse queue, à l'intérieur, sans difficulté. Je pousse ma bite bien dure, à l'intérieur de sa chatte toute trempée. J'écarte en même temps sa fesse gauche, en enfonçant un doigt dans son cul et en branlant son petit trou. Elle gémit, en essayant de repousser mon doigt, remplie de sa cyprine, car elle n'aime pas trop se faire tripoter l'anus. Je commence à la baiser, puis j'enlève mon doigt de son gros cul, pour la baiser plus profondément, comme une salope. En même temps, je suis en train de penser à sa mère, et tellement que je suis existé, ma queue devient encore plus grosse. Je m'approche de son oreille et je lui dis : " Ta chatte m'excite et je voudrais t'entendre chuchoter " Encule-moi", sans arrêter de la dire ", même si tu n'aimes pas ces mots, pour m'exister encore plus, car tu es vraiment trop bonne." Elle ne dit rien, pour me faire comprendre, qu'elle n'aime pas trop dire ça...
Je continue de la baiser de plus en plus fort, en m'enfonçant de plus en plus profond en elle. Elle ne dit toujours rien. Alors, je lui chuchote à son oreille, "Allez, dis-le-moi, sans arrêt, la phrase que je t'ai demandé de dire, tout à l'heure", car ta chatte est vraiment bonne, qu'elle aussi me fait bander, et j'ai envie de m'enfoncer à fond dedans ". Et là, d'un coup, elle se met à répéter doucement, sans s'arrêter : " Oui, vas-y, encule-moi, encule-moi, encule-moi ", ce qui m'excite encore plus, même si je suis dans sa chatte. Je continue à pousser pour défoncer sa chatte à fond et j'accélère de plus en plus. Je lui demande de continuer à le dire. Et elle continue de dire sans arrêt " encule-moi, encule-moi, encule-moi ». Elle me fait bander comme un fou. Et je pousse extrêmement fort, jusqu'au fond de sa chatte, et elle se met à gémir !!!! Je suis si excité que je sens partir une forte dose, de mon jus, au fond de sa chatte, en continuant de pousser à fond. Puis je m'arrête. Elle me dit que ça faisait longtemps, que je ne l'avais pas baisé aussi fort que ça, en me pensant, que sa salope de mère m'a bien excité, encore plus que ma femme. Ensuite, elle me demande que ma bite, pourtant devenue moins grosse, reste comme ça, dans sa chatte. Elle commence à s'endormir et je retire doucement ma queue redevenue toute molle, et en la touchant, je chuchote au fond de moi-même qu'elle sera bientôt le gros cul, de ma salope de belle-mère. La suite prouva complètement que cela allait arriver, plus tôt que je ne pensais.
Le lendemain matin, pendant le petit déjeuner, je sentais ma belle-mère, un peu existé, en sortant de sa chambre, toujours avec sa nuisette qui faisait apparaitre ses formes et ses seins qui bandaient avec ses tétons durs. Je sais que son mari ne s'occupait plus vraiment d'elle. J'avais surpris une conversation avec sa fille, en lui disant qu'il lui faisait l'amour, mais plus comme avant, parfois une fois par semaine et encore. Apparemment, la bite, ça lui manquait, car elle devait être une grosse demandeuse. A table, ma femme s'assoyait toujours à côté de moi, comme d'habitude, et elle était déjà en train de prendre son petit déjeuner. Sa mère arrive en face de nous, pour venir nous dire bonjour et s'asseoir. Le contre-jour faisait apparaître toujours ses gros nichons, et le frottement de sa chemise de nuit faisait bander ses seins et on devinait ses gros tétons. Elle devait savoir que je la matais, sa poitrine, mais aussi son shorty à dentelle et les poils de sa chatte, assez touffue. Elle vient m'embrasser en frôlant ma bouche, puis elle s'assoit en face de moi pour prendre son petit déjeuner. Ses gros seins durs, qui me font bander, en pensant à tant de choses. Après mon petit déjeuner, je prends mes affaires et je file à la douche. Ensuite, en sortant de la salle de bain, mon beau-père voulait changer le matelas du lit de la chambre. Il était bien usé, et il en avait acheté un nouveau. Il me demande de lui donner un coup de main pour le plier, afin d'installer le nouveau matelas à la place. Tout le monde se retrouve donc dans leur chambre. Mon beau-père décide d'enrouler, d'abord, l'ancien matelas sur lui-même, et ensuite de l'attacher, avec de la ficelle, sur trois points. Il me demande donc de l'aider pour l'enrouler sur le lit. Ma femme se met à la droite du matelas. Lui, il se met au milieu, et moi à gauche. Pendant ce temps-là, la belle-mère reste derrière nous, avec le rouleau de ficelle, et elle s'occupe de couper de grandes longueurs qui serviront à l'attacher. Ensemble, on se met à l'enrouler sur le lit. Il ne reste plus qu'à l'attacher. Une fois qu'il est enroulé, ma femme reste à droite du matelas pour le tenir enroulé et moi, je reste du côté gauche.
Mon beau-père demande à sa femme de lui passer un morceau de ficelle pour commencer à attacher, de mon côté, le matelas. Il se lève pour récupérer un morceau de ficelle et se met en face de moi et commence à attacher de mon côté. Il fait donc plusieurs tours en finissant par une boucle bien serrée. Puis, il me demande de venir au milieu, pour attacher, cette fois, le côté gauche où se trouve ma femme. Elle continue de tenir, le côté gauche, jusqu'au moment où il attache le matelas. Sa femme lui passe un bout de ficelle pour attacher le côté gauche. Il commence à l'attacher et le serre correctement, pendant que moi, je suis positionné au milieu, pour tenir fermement le matelas. Pour bien tenir le matelas, j'ai passé ma main gauche en dessous et ma main droite au-dessus à plat, pendant qu'il est bien enroulé et pendant que mon beau-père passe du côté droit pour attacher le matelas où se trouve ma femme. Et là, je ne m'attendais pas à ce qui allait arriver avec ma belle-mère. D'un coup, sans que je sois prêt à m'y attendre, ma belle-mère arrive vers moi et saute rapidement au milieu du matelas, en s'allongeant dessus, et juste à l'endroit où j'avais posé ma main au-dessus. Je n'ai pas eu le temps de réagir, et donc d'enlever ma main gauche, vu la vitesse de son placage et son effet de surprise. Voilà donc ma main gauche qui se retrouve coincée en dessous d'elle, comme par hasard, à la hauteur de son sein gauche. Je me dis, cette fois, qu'on ne peut pas dire que ce ne sont pas des appels pour me faire comprendre, qu'elle a envie que je m'occupe d'elle. Non seulement de se faire tripoter, mais certainement aussi de se faire sauter, entre aujourd'hui et ce qui s'est passé, hier, dans la voiture. !!!! Comme elle porte sa nuisette de nuit à trou, au bout de deux minutes, je sens son téton se frotter sur le dos de ma main. Puis, son téton commence à devenir dur. Je me trouve gêné par cette scène, car il y a du monde autour de moi. Je fais semblant de rien et avec un de mes doigts, je commence à titiller son téton lentement, sans que personne s'en aperçoive. Il est devenu très dur et je décide donc de jouer avec celui-ci.
Et voilà que je bande. Je pense encore à sa chatte, qui doit être bien mouillée. Je ne la savais pas vraiment aussi salope que ça, bien que je sache qu'elle était un peu chaude au niveau du cul. J'aurais bien aimé que ma femme soit aussi salope que sa mère, mais ce n'était pas le cas. Encore une fois, elle a prémédité son coup, pour se faire tripoter son nichon. Donc, je continue à titiller le bout de son gros nichon. Elle, de son côté, reste naturelle. J'aimerais prendre ce nichon en pleine main, car elle possède une paire de seins très gros et très fermes. Puis, cela dure le temps que mon beau-père attache le matelas. Ensuite, elle se relève et on le range dans le cagibi. Ensuite, son mari va à la douche. Ma femme part faire le ménage dans notre chambre au fond. Ensuite, mon beau-père sort de la douche et regarde sa montre. L'heure tourne et il va falloir aller chercher le pain et quelques courses, en ce jour de marché. Il me demande si je veux venir avec lui. Je trouve comme excuse que j'aimerais finir de vider le coffre de ma voiture. Car j'ai envie de rester pour essayer, et plutôt, de trouver un plan B pour pouvoir sauter ma belle-mère. Le voilà donc parti seul, j'entends la voiture démarrer et s'éloigner de la maison. Je reste donc dans la chambre avec ma belle-mère, qui veut faire son lit. Ma femme continue de faire notre chambre et de faire le ménage, en passant l'aspirateur dans la salle à manger. Maintenant, il va falloir s'organiser, car je vais me retrouver seule avec elle, dans cette chambre. Il ne faut donc pas perdre de temps, eh bien réfléchir. Elle me demande de l'aider à faire son lit. Je passe en face et là, j'ai une sacrée vue sur l'ouverture de sa nuisette et de ses gros nichons. Son mari n'étant plus là, elle a dégrafé les boutons en haut de sa nuisette. Cette vue sur ces gros seins se fait comprendre. Dans ma tête, je commence à calculer : il faut une demi-heure pour aller en voiture avec mon beau-père et une demi-heure pour le retour, en plus du délai pour faire ses courses. J'ai au moins une bonne heure devant moi pour la baiser. Il faut en profiter et vite trouver l'instant. Ma femme est au fond, on entend l'aspirateur et il ne fait pas trainer, et le lit est fini d'être fait. Ma belle-mère décide de faire la poussière dans sa chambre. Je fais le tour du lit.
En face de moi se trouve un renfoncement dans le mur, où il y a des rayons cachés par un rideau, et qui leur sert d'armoire à linge. Ce sont des rayons bricolés et faits maison par le beau-père. Elle tire donc le rideau. Elle me demande de m'asseoir pour discuter avec elle. Je m'assois sur le lit, et je la regarde faire. Et j'ai compris pourquoi, elle m'a demandé de m'assoir, derrière elle. Elle se retrouve donc dos à moi, en train de faire la poussière, avec un plumeau, et me voilà assis à la hauteur de son cul. On discute de tout et de rien. Elle commence à nettoyer les rayons par le haut, et petit à petit, elle descend, en se plaignant de cette tonne de poussière. Étant assis sur le lit, mes yeux sont fixés sur son gros cul. En regardant bien son cul, je m'aperçois, avec le contre-jour, que son shorty est entré dans la raie de ses fesses. C'est comme si elle portait un string ficelle, et cela commence à m'exciter, car elle bouge, son gros cul, en faisant la poussière avec son plumeau, sa nuisette rentre dans la raie de son gros cul. Je suis sûr qu'elle sait que je regarde ses fesses. Puis, elle commence à descendre, petit à petit, jusqu’à arriver en bas. Mais au lieu de s'accroupir pour nettoyer les coins de ce renfoncement, elle décide de se pencher en avant, en faisant le dos rond. Ensuite, elle va chercher avec son plumeau la poussière qui se trouve dans les coins par terre, tout en bas. Là, je me dis, nul doute, car elle sait très bien que le fait de se pencher comme ça, et vu comme je suis assis, elle sait que dans un moment, je verrai en dessous de sa nuisette. Il arrive au moment où elle penche tellement, que sa nuisette remonte et que je vois apparaitre son shorty assez large.J'ai une vue sur ses fesses ouvertes, sur l'ouverture de sa chatte bien poilue et sur les lèvres qui débordent. Au fond, je vois apparaitre de temps en temps un peu le trou de son cul. Elle continue à parler, comme si rien n'était. Je lui réponds, mais ma voix change, excitée par cette vue sublime. Le fait de voir ça commence à me faire bander, en m'imaginant plein de choses. Du coup, je me dis, il faut que je passe à l'acte sans perdre de temps, et j'ai envie de prendre son gros cul à pleine main et d'entrer ma grosse queue dans son petit trou. Et c'est à ce moment-là que je pense que je n'ai pas de lubrifiant sur moi et qu'il me faut un lubrifiant pour pouvoir l'enculer. Heureusement, dans ma trousse de toilette, j'ai un tube de vaseline, que j'emmène tout le temps avec moi, quand je veux essayer d'enculer ma femme. J'en parlerai plus tard au sujet de ma femme. Il me reste donc à récupérer ce tube, car ma trousse de toilette se trouve dans la salle de bain. Je décide d'aller aux toilettes en disant à ma belle-mère que j'ai une envie pressante et que je reviens ensuite. Une fois ma vessie vide, je récupère le tube de son emballage et je le glisse dans la poche droite, de mon bermuda. Je jette un œil au passage : ma femme continue de passer l'aspirateur dans la chambre du fond. Et le bruit de l'aspirateur, empêche de nous entendre parler. Surtout, je discute avec ma belle-mère, pour lui dire que j'ai envie de la baiser. Je reviens dans la chambre et je m'assieds sur le lit en face de ma belle-mère. Elle continue toujours à faire la poussière dans les rayons. Elle est descendue , du côté droit, et de plus en plus, sa nuisette se relève, qu'elle se pense de plus en plus en avant. Je décide de faire quelque chose pour voir son comportement. Il faut que je sois sûr qu'elle veut bien que je la baise, et je décide de tenter quelque chose. Alors, je décide de me lever et de m'approcher d'elle. Je m'avance derrière elle, pour voir sa réaction. Je vais essayer de me coller contre elle, mais pas trop près, pour essayer de me frotter contre son gros cul doucement, petit à petit, en profitant du mouvement de son cul.
Je m'approche à 10 cm environ d'elle. Je sens qu'elle a deviné, que je me trouve derrière elle, et je continue de lui parler. Je la vois tourner la tête légèrement à droite en me parlant, pour voir ce qui se passe. Mais elle ne dit rien et me laisse faire. Puis, en continuant de tordre son gros cul en continuant de faire son ménage, elle vient en reculant lentement contre moi cette fois, comme pour essayer de se coller contre moi. Je m'aperçois qu'elle ne change plus d'endroit pour enlever la poussière et qu'elle insiste toujours, du même côté, pour enlever la poussière. Le fait de s'être pratiquement collé contre moi, en bougeant ses fesses, commence à me faire bander encore plus, et j'ai donc compris qu'elle a vraiment envie de recevoir, en elle, ma grosse queue. Je suis en bermuda de plage assez fin, donc sans rien dessous. Je me positionne face à la raie de ses fesses. Je bande comme un fou. Elle continue de se frotter contre moi, et elle doit surement sentir ma bite, devenue bien dure. Je sens une ouverture entre ses fesses, et maintenant ma bite se frotte entre l'ouverture de son gros cul. Je suis complément excité, je voudrais bien la prendre comme ça, mais il y a mon ex-femme de l'autre côté de la pièce et cela me bloque, surtout si elle me surprend en train de baiser sa mère. Alors, je m'approche de l'oreille gauche, de ma belle-mère, et je lui chuchote doucement que ce serait bien que sa fille aille à la douche, pour avoir "un petit moment de tranquillité tous les deux ", et de trouver cette excuse pour l'éloigner de nous.
J'attends sa réponse et d'un coup, elle se retourne, en me chuchotant de rester là. Elle sort de la chambre pour aller à l'autre bout de la salle à manger, où se trouve mon ex en train de passer l'aspirateur. Je m'assois de nouveau sur le lit. Je l'entends parler à mon ex, en lui disant d'aller à la douche pendant qu'elle est libre et d'en profiter, car elle voudrait y aller ensuite. Elle insiste en prétextant qu'il n'y a pas beaucoup d'eau chaude, vu que presque tout le monde s'est lavé, et qu'elle ferait mieux d'y aller. Mon ex lui répond qu'elle finit rapidement ce qu'elle fait et qu'ensuite, elle ira à la douche. Puis, elle revient, avec son plumeau en main, et reprend sa place au fond de ce renfoncement, qui sert d'armoire à linge. Et de nouveau, elle se penche en avant, dans les étagères. À ce moment-là, je me relève du lit et je me recolle derrière elle, en me repositionnant, entre la raie de ses fesses. Il reste juste à attendre que ma femme file à la douche et qu'il ne faudra pas perdre de temps. Je sais, en plus, que mon ex-femme prend toujours le temps de se laver et de se maquiller légèrement, même pendant les vacances. Ce qui me donne une bonne demi-heure pour m'occuper de la chatte et du cul de ma belle-mère, sans oublier le retour des courses du beau-père. On continue à parler, comme si rien n'était, pour que ma femme entende ce qu'on se dit, même si le bruit de l'aspirateur couvre nos voix. Et puis d'un coup, l'aspirateur s'arrête et j'entends les pas de ma femme, qui se dirige vers nous. Je retourne m'asseoir sur le lit. Ma belle-mère continue à faire le ménage, mais elle se remet droite, pour ne pas faire voir à sa fille que j'avais la vue sur son cul…
Ma femme dit à sa mère " Je vais à la douche ". Puis, elle s'engouffre dans la salle de bain et j'entends le verrou de la porte se fermer. Les murs de la salle de bain juxtaposent ceux de cette chambre et donc, on arrive à entendre les bruits. Ma belle-mère se penche en avant pour me faire voir son cul et je recommence à revenir me coller contre le cul, qui recommence à se frotter contre mon bermuda et ma grosse bite. Puis, j'entends le bruit et l'eau de la douche, qui commence à couler… Je ne dois plus perdre de temps. D'un coup, je recule et je baisse mon bermuda à la hauteur de mes cuisses, pour faire apparaitre , ma queue devenue énorme. Ma bite est bien raide. Sans plus attendre, je relève la nuisette de mon ex-belle-mère sur son dos, ce qui laisse apparaitre son gros cul trop excitant. Je caresse ses fesses, en écartant son cul avec mon autre main, et je touche sa chatte déjà toute mouillée de l'autre. Je bande comme un fou. Elle se laisse faire sans rien dire et reste penchée en avant. Ma respiration s'accélère tellement je suis excité. Je mets ma bite entre les lèvres de sa chatte remplie de cyprine et je me frotte en avant et en arrière, entre ses lèvres. Je la sens excitée. Elle gémit de plaisir. Je passe mes deux mains, sous le devant de sa nuisette et je caresse ses gros seins. Ses gros tétons sont devenus très durs.
Je lui chuchote au creux de son oreille que j'avais envie d'elle depuis longtemps, qu'elle est très bandante. Elle se laisse faire, et je continue à lui dire que je vais la prendre en levrette, comme elle est là. Elle aussi respire vite. Je présente ma grosse bite mouillée de son jus à l'entrée du trou de sa chatte. J'ai mes jambes qui tremblent d'excitation, ma respiration s'accélère. Je retouche sa chatte : elle mouille comme une salope. Je cherche son clitoris et je commence à le branler. Elle se met à gémir et elle me dit "Oh, oui, c'est bon ça ". Il est trempé de sa mouille et de l'autre main, je retouche ses gros seins. Puis je pousse ma bite d'un coup dans sa chatte : elle mouille tellement que ça rentre comme dans du beurre sans forcer, ensuite j'arrête de lui caresser le clitoris et je m'accroche à son gros cul avec mes deux mains, comme avec des poignées. Et je pousse bien fort sans difficulté pour rentrer au fond de sa chatte, en accélérant doucement les mouvements, et je pousse fort au fond de ces entrailles. Elle commence à gémir encore plus fort, et je lui dis à l'oreille de ne pas gémir trop fort, même si le bruit de l'eau cache le bruit de ses gémissements. J'ai une folle envie de cracher au fond de sa chatte. A chaque coup, je me colle contre son cul, pour que ma bite aille au fond de ses entrailles. Je l'embrasse dans le cou, je continue à tripoter encore ses gros nichons qui bandent avec ses tétons devenus très gros et vraiment très durs. Elle continue de gémir doucement de plaisir en poussant son cul contre moi, à chaque fois que je la baise… Je lui dis à l'oreille : "T'aime ça, hein ? " et me réponds "oui" dans un gémissement de plaisir !!!! J'accélère de plus en plus fort, puis d'un coup, je réfléchis en ralentissant la cadence, car je n'ai pas envie de cracher dans sa chatte, tellement que je suis excité. J'ai une autre envie : celle de son gros cul, envie de l'enculer à fond en espérant qu'elle se laissera faire. C'est mon rêve de rentrer dans son petit trou et de giclé au fond de son cul… Son cul bien serré autour de ma bite, qui doit être certainement tout neuf, car je me souviens de quelque chose :
Un samedi soir où mes beaux-parents étaient venus manger à la maison, nous étions passées au salon et vers minuit. Abonné à Canal+, il y avait le film porno du mois dont raffolait son mari. Nous étions donc installées devant ce film et a un moment, mon ex-beau-père sommeillait dans le fauteuil et commençait à s'endormir. Puis, on voit une scène de sexe dans le film, où une femme se fait enculer par une grosse bite. L'homme était assis sur un fauteuil, et la fille s'empale sur sa grosse bite et disparaissait au fond de son anus. Et à ce moment-là, ma belle-mère se met à dire que de se faire prendre "par-derrière", ce n'était pas son truc. Ce qui voulait dire, à mon avis, que son mari avait dû essayer de l'enculer, et qu'elle n'avait pas apprécié, et que ce n'était pas le top pour elle. Je me dis donc, il s'y est peut-être mal pris, et c'est donc pour moi, le moment d'essayer de l'enculer. En plus, j'ai trop envie de ce beau cul qui aurait même fait bander un mort !!!!
Je décide donc de sortir doucement ma bite de sa chatte, car je sentais la pression de mon jus qui montait de plus en plus dans ma bite et je voulais à tout prix cracher dans son cul. De toute manière, je me suis dit qu'elle est en train de faire baiser par moi, et que sa fille était dans la salle de bain. Et vu comme elle était coincée au fond de ce renfoncement entre moi et les rayons, elle ne pouvait plus sortir et qu'elle était obligée d'accepter ma grosse bite, au fond de son cul.
Et encore moins, criée qu'elle ne veut pas se faire prendre par-derrière, car j'étais déjà, en train de la baiser, et je me dis qu'elle sera donc obligée de se laisser prendre par le cul… J'ai donc ralenti en continuant de me frotter, encore dans sa chatte. Pendant ce temps, avec ma main droite, j'attrape lentement le tube de vaseline qui se trouve dans ma poche droite et elle tourne la tête, pour me demander ce que j'allais lui faire. Je lui chuchote à l'oreille que j'ai envie de la prendre par-derrière et que je vais lubrifier ma bite, pour que cela rentre mieux. Elle secoue la tête et elle me dit "Non, par-derrière, tu vas me faire mal." Je lui demande si elle a déjà essayé. Elle me répond "Oui, avec son mari, et ça, c'est mal passé. " Je lui explique qu'il n'a pas dû se prendre correctement, car quand on le fait correctement, on y prend du plaisir. Pendant ce temps, j'ouvre le tube, je sors ma bite de sa chatte et je commence à bien lubrifier ma queue. Puis je lui demande au moins une fois d'essayer, avec moi, et si ça lui fait mal, que j'arrête tout de suite de le faire. Mais je lui demande au moins d'essayer et d'avoir confiance en moi. Elle secoue la tête pour faire comprendre qu'elle ne veut pas. J'en profite pour écarter son cul et pour mettre une grosse noisette autour de sa rosette et sur mon index. Je la sens réticente. Je l'embrasse dans son cou et je lui dis à l'oreille qu'elle est formidable, qu'elle a vraiment un beau cul qui me donne envie d'elle, et que promis, tout allait bien se passer. Ensuite, je remets sur l'étagère le tube de vaseline, en le laissant ouvert. Puis je lui dis que j'allais préparer son anus , pour que ça rentre bien. Je commence à titiller avec mon index sa rondelle pour lubrifier son anus, en faisant le tour de l'entrée de son cul. Je commence à coller ma bite devant son petit trou. Je sens un petit sursaut et elle me chuchote : "Arrête, je te dis, tu vas me faire mal". Avec sa main, elle prend ma queue en direction de sa chatte, pour me faire comprendre de la remettre dedans. Je lui chuchote à l'oreille que je veux juste rentrer un peu le bout de ma queue. C'est-à-dire le gland de ma queue, dans son cul, en commençant simplement à me frotter contre son petit trou, pour simplement essayer de rentrer dedans.
Elle secoue la tête de droite à gauche, toujours pour me faire comprendre avec un petit "Non". Je continue à lui parler à l'oreille, en lui faisant toujours des compliments, et que je suis fier d'elle. Je lui dis ensuite que j'irai doucement, en lui promettant, que si elle avait mal, je me retirai doucement de son cul, et que j'arrêterai de le faire, mais je lui demande d'essayer, vraiment au moins une fois, avec moi. Elle secoue la tête de droite à gauche, encore une fois pour me dire toujours non. Ma bite bien lubrifiée, et elle est restée collée, à l'entrée de son cul, prêt à l'enculer et donc en attente. Je lui dis qu'il faut qu'elle prenne confiance en moi et que j'ai trop envie de ces fesses trop belles et existantes, et qu'elle va y prendre du plaisir… Le temps passe, et j'entends toujours l'eau de la douche coulée, dans la salle de bain, et il faut que je termine ce que j'ai envie de faire avec elle, avant que ce soit trop tard, et que je n'aurai peut-être plus cette occasion, si ça se trouve, de pouvoir l'enculer une autre fois. Il faut donc que je la rassure. Je prends sa main, en lui disant "regarde" et je lui fais toucher la tête de ma bite bien lubrifiée, en lui demandant de faire entrer seulement cette partie-là, dans son cul, soit environ 4 à 5 cm, et que je m'arrêterai, si elle a vraiment mal et si elle n'a plus envie ensuite. Je lui dis tout simplement de me faire confiance et je lui dis encore une fois, d'essayer au moins une fois avec moi, et que je le ferai en douceur. Puis je lui dis qu'ensuite, qu'elle va aimer ce que je vais lui faire, que c'est un plaisir différent et qu'elle va découvrir, une excitation qui n'a rien à voir, avec la façon de faire l'amour "par-devant". Quelques secondes d'hésitation et elle se met à secouer la tête une nouvelle fois, mais cette de haut en bas, puis j'entends un petit "oui, mais va doucement, car j'ai peur d'avoir mal. Ensuite, elle me chuchote, "Mais tu arrêtes quand je te le dis, si j'ai mal, ou si tu veux continuer à l'enfoncer plus loin, même si j'ai mal, tu me promets ? ". Je lui réponds " Oui, en lui disant, une fois de plus, qu'il ne fallait pas qu'elle s'inquiète. Je ne perds pas de temps. Je l'embrasse dans le cou et je lui demande de se détendre. J'écarte une de ses fesses avec une main et je recule pour voir si son petit trou est bien lubrifié. Je décide quand même de prendre la vaseline et d'en mettre sur mon index. Je lui dis à l'oreille que je vais mettre mon doigt à l'intérieur de son cul, pour bien lubrifier, encore mieux, son petit trou. Je commence par titiller le tour de sa rosette avec mon index avec la vaseline qu'il reste sur mon doigt et j'introduis la 1ʳᵉ phalange de mon index, à l'intérieur de son anus. Et je fais des allers-retours sur la longueur de cette 1ʳᵉ phalange. Cette fois, je sens, qu'il commence à rentrer sans difficulté et sans aucune résistance, ce qui me fait comprendre que son petit trou se dilate doucement, grâce à ce lubrifiant, et que son petit trou commence à bien se dilater, sur mon doigt. Puis, je présente, cette fois, le gland de ma bite contre sa rosette. Je fais le tour de la rosette pour bien lubrifier encore le tour de son petit trou et la tête de ma bite. Puis, avec ma main droite, j'écarte lentement sa fesse droite, et je présente mon gland au niveau de l'entrée de son anus.
Puis je lui demande, de caresser son clitoris, en même temps que je rentre dans son cul. Elle commence à branler son clito, en gémissant, et à ce moment-là, je commence à pousser mon gland devenu énorme, progressivement dans son cul , en tenant ma bite bien droite, pour bien la diriger. Je rentre la moitié de mon gland, elle gémit un peu en continuant de se masturber, puis je recule et j'enlève mon gland de son cul. Je lui demande si ça va, et elle me dit "oui pour l'instant". Je lui explique à l'oreille que je vais aller doucement, pour ne pas lui faire mal, et qu'elle continue branler son clito, et que je vais entrer mon gland petit à petit dans son cul. Elle me dit " Oui" avec un souffle haletant. Je représente ma bite en face de son petit trou en appuyant contre, et avec mes deux mains, j'écarte bien sa fesse droite, pour mieux que ça rentre. Je remets ma bite devant son petit trou une nouvelle fois, que je dirige avec ma main gauche, pour bien guider ma queue. Je commence à rentrer mon gland, toujours en écartant sa fesse droite, puis je ressors et je pousse lentement plus profondément ma bite, et je vois mon gros gland, qui se fait comme aspirer, par son petit trou. Je marque un temps d'arrêt, en laissant mon gland dedans sans bouger. Je lui demande si ça va, elle me répond "oui, pour l'instant". Maintenant que mon gros gland se retrouve à l'intérieur, cette fois, j'écarte ses deux fesses afin d'élargir la base de l'entrée de son cul. Puis je pousse doucement ma bite à l'intérieur encore plus. Puis je ressors, petit à petit, ma bite et je lubrifie le gland. Je remets mon gland doucement, dans son petit trou, qui commence à prendre l'habitude, et je l'enfonce doucement encore plus loin, en y allant doucement, sans forcer fortement, et je m'arrête en restant à l'intérieur. A ce moment-là, je m'arrête de bouger et je lui demande, de pousser doucement son cul en arrière, en faisant des allers-retours, pour que ce soit-elle, qui décide les mouvements, à sa cadence, et de faire entrer ma bite, petit à petit, dans son cul, tout en continuant de se caresser son clito, car elle connaît son corps plus que moi. Elle prend donc ma relève et continuant de se branler, comme une folle. Puis je lui demande si tout va bien. Elle répond "qu'elle ressent une petite douleur supportable" et je lui dis que cela allait disparaitre avec l'excitation de son clitoris. Elle continue de pousser doucement ma bite, et je sens que ça commence à bien glisser à l'intérieur, grâce au lubrifiant, la vaseline ayant un avantage de bien lubrifier et de rester plus longtemps qu'un gel lubrifiant. Son petit trou s'ouvre doucement et s'habitue à ma queue. Ma bite est pratiquement entrée à moitié dans son cul et je l'entends jouir en continuant à se masturber.
Alors, je reprends la cadence, et je recommence à pousser ma bite dans son cul, en accélérant, mais avec cette fois des petits va et vient plus rapide, sur quelques centimètres. Elle ne se plaint pas d'avoir mal. Elle me dit simplement " j'ai la tête qui tourne, quand tu t'enfonces encore plus en moi ". Je lui réponds que c'est une nouvelle sensation pour elle et que ça va disparaitre au bout d'un moment. Et que ça allait passer. Je sens que son trou commence à s'ouvrir encore plus sur ma bite, à force de faire doucement des allers et retours de plus en plus profonds dans son cul. Ma queue est au 3/4 dans son cul maintenant et rentre de plus en plus profondément. Elle gémit à peine, je lui parle à l'oreille pour la rassurer encore, que ça commence à bien rentrer, qu'elle est formidable et qu'elle sait bien faire l'amour, que je suis presque rentré, sans qu'elle ait eu mal et que je vais continuer de tout rentrer, qu'elle est vraiment bonne et que je suis fier d'elle. Puis je lui dis " Et si on jouissait en même temps tous les deux et je lui demande de me dire quand elle sent qu'elle allait jouir avec son clito, et qu'à ce moment-là, j'allais cracher en même temps au fond de son cul. Je la sens tout excitée de se branler, elle ferme ses yeux, et elle sort sa langue en mouillant ses lèvres, avec de petits gémissements de plaisir. Puis, elle me répond " Oh oui ", ça va être trop bon de jouir tous les deux en même temps". Avec l'excitation de son clitoris et sa jouissance qui continue, je commence de plus en plus à pousser fort, mais cette fois, en ralentissant la cadence, car j'attends qu'elle se mette à jouir. Et là d'un coup, elle me dit " ça va bientôt venir, je sens que ça va venir ". Je ralentis encore la cadence pour éviter de cracher avant qu'elle jouisse, parce que ma bite est complètement rentrée dans son cul, puis je recule un peu, pour pousser à fond, quand elle va jouir et je m'arrête. Ma bite reste immobile dans son cul. Puis d'un coup, elle me chuchote " ça va venir, ça y est, je sens que ça vient… Oh oui, vas-y , crache au fond de moi". A ce moment-là, je reprends mon accélération en poussant fort au fond de son cul et je l'entends jouir de plaisir .Je lui bouche la bouche, pour ne que sa fille, ne l'entende gémir de plaisir et j'entends un "humm mm". Et je pousse au fond de son cul, pour envoyer de grosses gicler de mon jus au fond de son cul, et on jouit, tous les deux en même temps. Puis, elle se retourne et m'embrasse sur la bouche, et elle me dit qu'elle n'avait jamais autant jouie de cette manière, et que je lui avais bien défoncé son cul, en rigolant. Je la sens heureuse d'avoir eu ce moment de plaisir… On s'arrête là… On se rhabille assez vite. Je récupère le tube de vaseline et je le remets dans ma poche. Puis je me rassois, sur le lit. Puis, elle continue son ménage, dans les étagères, en continuant de parler, comme si rien n'était.
Au bout d'un moment, mon ex-femme sort de la salle de bain et mon ex-belle-mère, part à douche. Ensuite, je sors sur la terrasse et un peu plus d'une demi-heure plus tard, mon ex-beau-père revient des courses. Puis pendant ces quatre semaines de vacances, je n'ai jamais pu avoir l'occasion de la baiser une autre fois, car ensuite, on a eu de la famille à dormir, puis des amis, et on n'a pas pris le risque de le faire, mais je savais qu'elle en avait envie. La seule chose, quand j'étais à la plage, discrètement, quand personne ne regardait, elle me faisait voir un de ses seins, car je lui avais dit que j'adorais ses gros seins, ou elle écartait le bas de son maillot, pour me faire voir une des lèvres de sa chatte. Je lui répondais discrètement, en m'assoyant en face d'elle et je sortais ma bite bien grosse, sur le côté, entre mes cuisses et mon bermuda de plage… Quand on allait dans la mer, se baigner, et qu'on se retrouvait assez loin de la plage, tous les deux, je m'approchais, comme pour jouer, avec elle et mes mains sous l'eau, touchait sa chatte en la doigtant et parfois, je me mettais derrière elle et je touchais son petit trou, tandis qu'elle me touchait ma grosse bite , qu'elle existait en me branlant dans l'eau. Elle me disait souvent qu'elle avait envie de la sucer. Je lui ai promis de trouver un moment, en rentrant de vacances, pour la baiser. Et c'est comme ça qu'elle est devenue ma maitresse.
Mon beau-père allait faire son marché tous les dimanches matin. Ma belle-mère téléphonait donc à sa fille, en trouvant un prétexte, et qu'elle avait besoin de moi pour quelque chose, quand son mari venait de partir. Comme j'habitais environ à 15 ou 20 min de chez eux, j'y allais rapidement. Elle me voyait arriver en voiture sur le parking , car elle habitait au 1er étage d'un immeuble , dont un côté, donnait sur le parking. Elle ouvrait sa porte, en chemise de nuit transparente, sans rien dessous. Je voyais sa chatte poilue à travers sa nuisette et quand elle se retournait avec le contre-jour, je voyais la raie de son cul. Elle refermait la porte à clé en laissant les clefs derrière, empêchant son mari, de rentrer au cas où il revenait à l'improviste. Je me touchais le pantalon au niveau de ma bite en me disant que j'allais une fois de plus la baiser et lui éclater son cul de salope, car elle y avait pris gout. Je la suivais jusqu'au salon où nous attendait le canapé. Je la suivais et touchais son cul, et je passais mon doigt entre ses fesses à travers sa chemise de nuit, en touchant la rondelle de son cul, pour lui faire comprendre ce que j'allais lui faire, et elle se mettait à rire. Je n'ai jamais eu une bite aussi grosse, quand je pensais que j'allais l'enculer. Même mon ex ne me faisait pas avoir une bite aussi dure et aussi grosse, c'était incroyable. Donc tous les dimanches matin, je la baisais par le cul, sur le canapé du salon. J'étais assis, elle commençait par sucer ma bite, car elle adorait sucer et avaler. Elle m'avait expliqué qu'elle avait commencé à sucer son mari plus jeune, quand elle avait ses règles, et qu'il n'avait jamais réussi à l'enculer aux moments de ces règles, parce qu'il lui faisait mal.
On avait passé un marché tous les deux : elle adorait sucer et moi, j'adorais l'enculer. Je la regardais enfoncer, petit à petit, ma bite à moitié dans sa bouche, et me branlait l'autre moitié avec sa main, en continuant de me sucer, comme une salope. Elle fermait les yeux ,en gémissant. Je comprenais qu'elle adorait sucer. S'il arrivait que je sois trop existé et que je crachais dans la bouche, elle savait être patiente. J'adorais gicler au fond de sa gorge et de la voir avaler mon jus. Puis, elle attendait que je rebande, pour pouvoir l'enculer ensuite.

Alors , je lui disais doucement dès que j'avais craché dans sa bouche , de me refaire bander et je lui disais de me branler un peu et de me sucer doucement le bout de mon gland, pour me faire grossir ma bite. Elle mouillait de sa salive mon gland , en l'aspirant doucement dans sa bouche chaude et j'adorais ça. Puis, quand ma bite devenait très grosse et très dure, je me levais. Elle se mettait à quatre pattes, en en mettant les deux mains dessus le canapé. Elle avait acheté un tube de vaseline, en disant à son mari que c'était pour les gerçures de ses mains. J'en mettais sur ma queue, une bonne noisette épaisse que j'étalais tout le long et sur mon majeur. Puis je caressais sa rosette , en tournant autour, et je doigtais son petit trou, pour bien le préparer, en faisant des allers-retours. Je sentais, à force que son cul , se dilatait bien mieux avec une impression, qui était plus neuf, qu' début, mais il se resserrait bien sur ma bite. Ensuite, je me mettais derrière elle, et avec ma main droite , je présentais ma bite en face de son petit trou .Pendant ce temps , elle passait sa main droite , entre ses cuisses et elle commençait à branler son clitoris. Une fois que ma bite , était bien en face de son petit trou , je commençais à l'enculer bien profond, pendant qu'elle branlait toujours son clito. Je l'entendais gémir de plaisir et je poussais fort dans son cul, en accélérant, pour commencer à l'enculer à fond. Elle adorait maintenant se faire enculer, et en même temps jouir, en se masturbant !!! En plus, vu que j'avais craché dans sa bouche, mon jus mettait plus de temps à venir et je prenais donc un plaisir fou à l'enculer, pendant un bon moment, avant de cracher au fond de son trou. J'adorais aussi, m'assoir sur le canapé et elle me tournait le dos en s'assoyant sur ma bite. Une belle position pour entrer à fond, ma bite dans son cul, pendant qu'elle se masturbait et que je lui caressais ses gros seins. Son cou, en caressant ses gros seins de salope. Elle adorait quand je la traitais de salope, de pute, en lui disant aussi qu'elle adorait que je l'encule à fond. Je lui disais qu'elle était ma pute et elle adorait m'entendre lui dire ça. En se masturbant, elle me demandait, comme d'habitude, de me retenir et de cracher au fond de son cul, au moment où elle allait jouir, en continuant de se branler !!! Et quand elle me disait " ça va venir, Oh oui ça vient…Va y pousse à fond " je crachais bien fort au fond de son trou. Cette fois, elle jouissait de plaisir en hurlant sans retenue". On jouissait comme des fous. Je me rappelle une fois où elle m'a même dit " tu me rends folle ", en poussant ma bite dans son cul et en se branlant son clito, en même temps. Je n'aurai jamais imaginé ,enculer ma belle-mère , et devenir, une vraie salope. Un jour , en me suçant la bite , elle m'avait même dit " A mon âge, me voilà devenu, une belle salope".
Un jour, je lui suis demandé si son mari avait essayé de l'enculer à nouveau. Elle m'avait dit qu'elle refusait, car elle craignait, qu'il s'aperçoive que je lui avais agrandi "son petit trou". Ce qui m'a fait rire…De toute façon, je lui avais dit "maintenant , c'est moi qui m'occupe de ton petit trou."
En plus, avec ses problèmes de santé, son mari la baisait de moins en moins. Il lui faisait l'amour "par-devant" environ tous les 15 jours à 3 semaines… Souvent, je repense à cette histoire qui a duré bien plus de 3 ans, jusqu’à ce que je change de vie, à cause de mon divorce et mon départ dans une autre région.
Pour parler de mon ex-femme, il a fallu des années de mariage avant qu'elle accepte, déjà de me sucer la bite, comme si elle trouvait ça sale. Alors qu'elle aimait se faire bouffer la chatte et le clito. Et quand, un jour , elle à accepter après bien des années de me sucer la bite, elle n'est jamais allée jusqu'au bout en me suçant qu'à moitié, en disant qu'elle avait mal à la mâchoire , ce qui me faisait bien rire. Quand , elle suçait ma queue, elle me regardait de temps en temps et d'un coup , elle s'arrêtait de le faire en , me disant " Oh, je te connais-toi, je te vois venir "comme si elle craignait, que je lui crache dans sa bouche, alors que je ne l'avais jamais fait. Cette façon de me dire ça, je pense qu'un jour avant de me connaitre, elle a dû surement sucer, une de ces fréquentations, et certainement, il a dû lui cracher dans la bouche. Car cette histoire ne pas avoir confiance en moi , m'a toujours laissé en émeut, et pour moi, c'était certainement , ce qui avait dû se passer , mais je ne lui ai jamais poser la question. A ce propos , je lui disais que si elle craignait cela, simplement, de ne pas avaler et d'aller cracher dans la salle de bain, puis de se rincer la bouche, ou alors , j'aurai pu mettre une serviette en dessous de ma bite et au moment où cela arrivait , elle se serait retirée et j'aurai craché dessus , mais elle n'a jamais voulu. Dès qu'elle m'avait à peine sucé, elle retirait sa bouche de ma bite, et elle me demandait de la mettre dans sa chatte. Drôle de femme que j'ai aimé , mais après réflexion, un peu personnel quand même. En parlant de la sodomie, ou comme elle disait " par derrière" , c'était autre chose. Et oui , quand on se retrouvais au lit ,elle me disait " pas par derrière". Bien qu'au fil des années, elle a bien voulu le faire, et j'ai quand même réussi, à lui faire accepter d'essayer. Mais hélas, ça a été comme la fellation, jamais en entier. En fait, au début, quand j'ai commencé à vouloir l'enculer, on baisait une fois environ, tous les 3 jours, et c'était un coup dans la chatte ou un coup dans le cul, pour qu'elle prenne l'habitude, avec une moitié de fellation ,pendant les préliminaires, et je lui léchais la chatte. Mais quand je l'enculais, elle avait toujours un peu mal, malgré ma patience, ma douceur et tous les lubrifiants testés et utilisés, ainsi que toutes les positions possibles, même en lui caressant le clito. On avait même essayé au départ , la position de la petite cuillère adoptée par les femmes enceintes, pour avoir une pénétration moins forte dans son cul, et en y allant doucement. Un jour , j'ai retiré ma bite pour regarder l'entrée de son cul et son trou était vraiment bien dilaté, et vraiment bien ouvert , on aurait pu y mettre plus d'un doigt. Et donc, on aurait pu y entrer sans forcer .C'est pour cela, que j'y suis arrivé en prenant le temps de l'enculer doucement et à enfin rentrer dans son cul, et en essayant de m'y reprendre, en plusieurs fois.
Mais je n'ai jamais pu l'enculer à fond. Elle avait décidé que je ne l'encule, "qu'à moitié," .Je me souviens encore de ces paroles " tu m'as rentré à moitié, ça suffit maintenant", et disait que ça suffisait et que je devais retirer ma bite. Mais j'arrivais à cracher à l'intérieur, comme une fois ou elle m'a demandé de me retirer , que cela suffisait. Et je lui ai demandé, de rester encore 1 min et sans bouger en prétextant de vouloir la retirer doucement ma bite, de son cul, pour pas lui faire mal. Son cul était tellement serré contre ma bite, je me suis mis à cracher par a coup dans son cul, en jouissant à l'intérieur sans remuer, et je sentais le jet de mon jus partir loin en saccade, au fond de son cul. Je me suis ensuite retiré .Et elle ne m'a jamais dit qu'elle avait senti , que je lui avais craché au fond de son cul et je n'ai jamais osé lui demander. Pourtant à mon avis , cela devait se sentir .Une chose est certaine, elle n'aurait jamais voulu que je lui crache à l'intérieur de son cul , car elle trouvait , ça sale. As-t'elle fait simplement semblant de ne pas le sentir, que je crachais à l'intérieur de son cul. ? En plus , au moment de cracher, elle devait sentir les a coups des jets , quand le jus sort surtout dans un cul bien serré. J'ai toujours trouvé ça bizarre, mais je ne lui suis jamais dit que j'avais crachais dans son cul, de peur qu'elle refuse de se faire enculer , une autre fois.
Il m'est arrivé aussi de le faire , quand elle s'était endormie.
J'avais déjà essayé, mais elle se réveillais à chaque fois. Je l'ai fait plusieurs fois, et un soir que j'étais rester tard devant la télé , je me suis ensuite couché .Elle dormait du côté droit en chien de fusil . Sa chemise de nuit était relevé et avec une petite lampe, j'avais accès à son cul et ce soir-là, j'étais très excité.je me suis dit , tant pis si elle se réveille …Je me suis mis sous les draps , et j'ai essayé doucement d'écarter son string. Elle portait des strings ficelle , car c'étaient les seules , qu'elle supportait .Je suis arrivé à descendre un peu son string et une fois détendu , à mettre la ficelle doucement , sur le côté de sa fesse , ce qui me donnait accès à son cul. Ce que j'ai trouvé bizarre, c'est qu'elle avait la chair de poule, comme si elle était réveillée. J'ai donc lubrifié ma bite avec de la vaseline , et j'ai présenté ma queue en face de son petit trou. J'ai donc poussé doucement , Mon gland est entré doucement , j'ai poussé ma bite dans son cul ,sans faire des allers-retours, mais juste en poussant doucement petit à petit dans son anus. J'ai été étonné que ma grosse queue , soit entré presque en entier dans son cul, sans la réveiller. Une fois entré, je me suis mis à éjaculer fort, tellement j'étais excisté. Je sentais comme d'habitude la pression des jets de mon jus , partir au fond de son cul, sans la réveiller, vu comme son cul était bien serré autour de ma bite. Je me suis ensuite retiré tout doucement et j'ai remis son string. J'ai recommencé plusieurs fois à le faire , en y allant doucement ,et j'y suis arriver sans qu'elle le sache , ou peut-être , qu'elle fasse semblant. Là aussi , je ne serai jamais , si elle a fait exprès de se laisser enculer et éjaculer à fond, ou si alors, elle n'a vraiment , rien senti dans son cul, certainement bien dilaté.
Le lendemain , au petit déjeuné , je la regardais et j'attendais qu'elle m'en parle. J'ai eu l'impression, quelle n'avait même pas senti , que j'étais entrer à fond dans son cul. Et c'est là que je me suis dit , qu'elle pouvait se faire sodomiser , mais qu'elle n'en avait pas envie, que ça rentre en entier.
Je me suis même dit, comme elle disait que ça lui faisait mal , j'ai trouvé bizarre que le matin, elle ne m'en est pas parlé , en disant qu'elle avait mal au cul.
C'est comme l'histoire du sperme, qu'elle avait peur , que je lui crache dans sa bouche, quand elle me suçait. Comme elle n'aimait pas que je crache dans sa bouche et qu'elle avait un dégoût pour le sperme, je ne connaissais pas sa réaction. Je ne serai jamais non plus, si la sodomie, pour elle, c'était un rejet, ou un blocage de quelque chose, peut-être une impression d'humiliation, comme si elle se sentait soumise ou sale en faisant ça. Plusieurs fois, je passais ma main entre ses deux fesses dans sa raie et je sentais ses fesses bien écartées et son cul assez ouvert au niveau de sa rondelle, en voyant qu'il avait bien servie à force de l'enculer. Le fait de porter des strings ficelles et on pouvait deviner que son cul n'était pas serré, à travers son pantalon. Quand je lui disais ça, elle me répondait que c'était moi qui lui avais élargi le passage entre ses deux fesses, chose très drôle. Alors, à cette époque donc, j'avais la chatte de mon ex-femme en semaine, et la bouche et le cul en entier de sa mère le dimanche matin, et quelques fois, la moitié du cul de mon ex-femme !!! Quand je repense à tout ça, je me dis que j'ai quand même bien profité du cul de mon ex-belle-mère pendant pas mal de temps et celui de mon ex-femme !!!!
Je vous souhaite la même expérience avec votre belle-mère et que votre fantasme devienne réalité, si vous en avez envie. C'est une belle expérience formidable et parfois plus excitante qu'avec sa propre femme. Si vous avez l'occasion ou que vous sentez une occasion qui se présente, et que votre belle-mère vous fasse comprendre certaines envies, n'hésitez pas et foncez. Car la vie passe trop vite, et après, vous risquez de le regretter. Comme me disait un ami, quand on rate une occasion, après, c'est foutu et elle ne se représente jamais une seconde fois.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
bonjour tres joli texte.
je suis Alnicabe, il m'est arrivé presque la même chose, j'ai couché avec la mère de ma copine. vous pouvez lire cette histoire dans mon profil: Françoise la mère de ma copine.

Histoire Erotique
Excellente histoire



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