j'ai cuillie une rose

- Par l'auteur HDS Polichinel -
Récit érotique écrit par Polichinel [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : j'ai cuillie une rose Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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j'ai cuillie une rose
Montréal, Québec, Canada

Bonjour à tous, voici je vous réécris une histoire après une longue absence. ( la vie étant ce qu’elle est, je n’avais pas le temps de vous écrire)

Parfois la patience est gage de réussite…

Depuis un bon moment je la courtisais. En fait, cela faisait plus de deux mois que je rêvais de lui faire l’amour. Chaque fois qu’elle passait devant moi, je m’enivrais de son parfum. Dieu qu’elle est sexy ! Une poitrine volumineuse et bien ferme qu’elle met en valeur par des décolletés profonds. Ses haches forment cette courbe parfaite avec sa taille. Vous devriez voir ce joli cul sur une piste danse. Mais en plus de ces attributs physiques qui font bander la moitié des gars, son visage est radieux et dégage une joie de vivre. Elle est vraiment désirable. Elle occupait mes fantasmes jour et nuit.

Je voulais entendre ses soupirs, la voir frémir et jouir.

À la moindre tentative de sa part, je me serais donné à elle sans hésitation. J’avais succombé à son charme, c’était donc à moi de la séduire.

Sur le grand échiquier de la séduction, je jouais mes pions un par un. Jour après jour, je mettais en place des situations propices pour la courtiser. Je m’assoyais toujours à ses côtés, je l’invitais à sortir dans les clubs, nous faisions de plus en plus d’activité en commun.

Pas à pas, je me rapprochais d’elle. Puis les contacts tactiles ont commencé. Innocemment (du moins en apparence), je la touchais de plus en plus. Lorsque je lui parlais, je glissais ma main dans son dos. Je m’appuyais contre elle. Lorsque je lui donnais un objet (des clés, un verre, un crayon, n’importe de quoi) je gardais sa main une ou deux seconde de plus qu’il n’en fallait. Puis naturellement, lorsqu’elle s’est plainte de raideurs au cou je l’ai massée.

Tout ce temps, elle ne m’opposait aucune résistance. Même dans certains moments je crois qu’elle m’encourageait. Tranquillement, je sentais que je gagnais du terrain. Bientôt elle s’offrira à moi.

Soutenu par des regards enflammés, sous la table, je lui faisais du genou discrètement. Je me servais souvent de la musique comme excuse, feintant de battre la mesure, je frottais ma jambe contre la sienne. Parfois elle répondait à cet appel silencieux et laissait onduler sa jambe à son tour. (Mais peut-être qu’elle suivait le rythme pour vrai?). Allant la conduire chez elle, j’ai rêvé qu’elle me donne sa bouche avant de quitter. Mais non, ça sera pour une prochaine fois…

Je commençais à être sur de mon coup, j’étais en train de réussir à l’envoûter. Un soir chez elle, elle s’est couchée sur le dos, à même le sol, et est venue poser sa tête entre mes jambes. J’étais assis sur le plancher les jambes en forme de triangle, donc elle ne me touchait pas dans la position que nous étions. Ainsi placés, elle me demandait de lui masser le cou. Il faut croire que le premier massage lui avait plus.

Je commençais à la masser le plus professionnellement que je le pouvais. Mais dans cette position j’avais une vue imprenable sur ses seins. J’essayais de détourner les yeux, mais mon regard restait accroché à cette poitrine merveilleuse qui se soulevait au rythme de sa respiration. Je pouvais distinguer une fine dentelle sur une mamelle rose foncé. Elle fermait les yeux et s’abandonnait à mes mains. Il m’aurait été si facile de les glisser sur sa gorge jusqu’à ses seins qui se découvraient à chaque respiration. Je commençais à fantasmer sur la suite des événements, je sentais le désir prendre forme.

Mais, refoulant mon instinct, je me concentrais de plus belle pour chasser ses idées. Bien que je rêvais d’elle, je devais attendre. Je ne voulais gâcher tous les efforts que j’ai mis pour arriver à ce niveau d’intimité, je devais attendre. Attendre qu’elle se donne, on ne cueille pas une rose qui n’est pas prête à ouvrir.

Je ne sais combien de temps je l’ai massé combattant un désir ardent de me pencher pour l’embrasser. Après que j’aie massé sa nuque, ses épaules et sa tête, elle a ouvert les yeux. Elle m’a ’offert de changer les rôles. Je m’allonge donc à mon tour sur le tapis du salon. Mais je prends soins de garder les genoux fléchis et les pieds à plat sur le sol. Cette précaution est nécessaire pour camoufler un désir soudain (on se comprend…)

Ses mains sont chaudes sur mon cou. Elle me masse lentement en appuyant profondément entre mes muscles. Elle me dit :
« Ferme les yeux, tu va voir s’est mieux. » je ris, et je réponds :
« Comment veux-tu que je vois si je ferme les yeux ? »
« T’es con, qu’elle me rétorque, aller ferme les yeux ». Sa voix était douce et faible presque un murmure. Lorsqu’elle a parlé la dernière fois il y avait un léger tremblement de nervosité dans sa voix, ça sonnait comme une demande ou une prière.

Les yeux fermés, je profitais du massage. Je sentais ses mains danser dans mon cou. Une est passée sous ma tête et l’a soulevé, l’autre labourait mes vertèbres de la base du crâne à l’épaule, à droite puis à gauche. Puis elle m’a reposé, mais pas contre le sol. Ma tête reposait maintenant sur sa cuisse. Ses mains faisaient des cercles dans mes cheveux, massant chaque pouce carré de mon crâne. Puis ses doigts ont commencé à venir tournoyer sur mon front. À descendre sur mes joues. Elle me massait le visage.

Elle laissait glisser ses doigts beaucoup plus délicatement sur mon visage que sur mon crâne. Alors qu’elle massait énergiquement mon cuir chevelu, ses doigts flottaient le long de mes traits. Comme une aveugle découvrant mon visage avec ses mains, elle longeait l’os de ma mâchoire, l’arrête de mon nez, la bosse de mes pommettes. Puis délicatement, elle a fait le tour de mes lèvres avec un seul doigt. Toujours avec ce doigt solitaire, elle suivait mon menton, descend sur ma gorge. Elle caresse maintenant mes clavicules et frôle la pointe que forme mon col de chemise.

Je gardais les yeux fermés pour être certain qu’il ne s’agissait pas d’un fantasme un peu trop réel. Mais le premier bouton de ma chemise vient de sauter, ça j’en étais sûr. Puis le second et le troisième. À chaque fois qu’un bouton s’ouvrait, son doigt explorait la région de mon torse ainsi libérée.

Comme un coussin de satin, ses lèvres sont venues se poser sur le ma bouche. Je n’ai pas réagi immédiatement, la laissant dans le doute de son geste quelques instants. Ses cheveux relativement cours couvraient nos visages. Nous sommes restés deux ou trois secondes, comme ca, elle penchée au-dessus de ma tête, nos lèvres se frôlant à peine. Ses lèvres étaient pleines et chaudes. Elle les collait avec plus d’insistance contre mes lèvres. J’ai alors entrouvert la bouche pour l’embrasser. Ma langue est allée à la rencontre de la sienne. Ce fut l’un de ces baisers qui appellent la passion. Instantanément, tout le désir refoulé remontait à la surface en une grande bouffée de chaleur.

Me redressant, je m’assoie face à elle et, continue à l’embrasser. D’une main, j’ai plongé dans son décolleté et me suis saisi d’un de ses seins merveilleux. Elle finissait de déboutonner ma chemise, en même temps nous nous sommes relevés. Debout, nos corps collés, nous nous sommes découverts. Mes mains s’introduisaient sous sa blouse et remontaient le long de son corps. Je pétrissais ses seins au travers de la dentelle que j’avais remarqué au paravent. Blottie conter moi, ses mains aussi parcourraient mon torse et mon dos. Passant par-dessus sa tête, je lui ai retiré sa blouse. Dieu Qu’elle était belle. J’ai pris quelque pas de recul pour l’admirer. La tenant d’une main, je la faisais tournoyer pour la contempler sur tous les angles. Un soutien gorge noir en dentelle remontait ses seins fermes dont les mamelons pointaient. Ses jeans taille basse mettaient en valeur cette courbe qui me faisait craquer depuis long temps. Lorsqu’elle me fit dos, je pu reluquer son joli petit cul à ma guise. Je l’ai tiré vers moi et lui ai donné une petite tape sur ce joli cul.

Mon torse contre son dos, j’ai passé mes bras autour d’elle. Puis j’ai pris ses deux seins, un dans chaque main. Je posais des baiser dans son cou et sur ses épaules dénudées. Avec les dents, j’ai fais glisser les bretelles de son soutient gorge. Sans le détacher, je l’ai fais tomber sur son ventre. Je pétrissais sa poitrine avec désir. Elle m’attirait vers sa chambre. Je l’y suivais sans aucune hésitation. Toujours enlacés, nous nous sommes laissés tomber sur le lit.

La tirant contre moi, je caressais la chute de ses reins. La chaleur de son corps me couvrait. Chauds comme des braises, ses seins s’écrasaient sur mon torse. Nos langues tournaient l’une sur l’autre nous laissant à peine le temps de respirer. Le désir montait en moi comme une fièvre. Je me suis défais d’un même mouvement de son jeans et de ses sous-vêtements. Il ne lui restait que sa brassière qui flottait sur ses hanche comme une ceinture de dentelle. Cet accessoire improvisé mettait une fois de plus sa taille en valeur. Je la trouvais si belle. Beccotant son cou, j’ai savouré son odeur légèrement sucrée qui depuis le début me hantait sans relâche. J’ai continué à poser des baiser sur son corps. Partant du cou, je me suis dirigé vers ses seins. Je me suis longuement attarder à la découvrir avec ma bouche. Tantôt avec les lèvres, tantôt avec la langue, tantôt en bouche.

Je voyais des frissons de plaisir la parcourir. Quittant sa poitrine, ma langue se dirigeait maintenat sur son ventre. Passant le nombril, je découvrais une fine toison en forme de triangle. J’ai posé un baiser sur ce sexe lisse et doux. Son goût était âcre, légèrement sucré. J’ai commencé à la manger avec gourmandise. De rapides coups de langue s’engouffraient en elle. Je suçais son clito avec plaisir. Pour mon plus grand ravissement elle ruisselait d’excitation. je la mangeais donc de plus belle et j’y ajouter un ou deux doigt. Je me suis allongé sur le lit pour mieux la caresser. Je tournais mon pouce sur son clito tandis que mes doigts et ma langue entraient et sortaient en elle. Je la sentais onduler de plaisir. Rapidement elle a jouie une première fois. Ses cuisses se sont refermées sur ma main comme un étau. Cessant de bouger complètement, je n’ai que maintenu une pression constante contre son point G la poussant vers le septième ciel. Lorsque ses entrailles m’ont relâché, j’ai retiré ma main, et j’ai positionné mon sexe à l’entrée du sien.

Je ne l’ai pas pénétré immédiatement. Ça faisait longtemps que j’attendais ce moment que je voulais en profiter. En position du missionnaire, la plus classique possible, je l’ai contemplée. J’ai ramené ses mains derrière sa tête. Le dos cabré, les mains clouées derrière la nuque, les jambes écartées, elle m’appartenait. Donnant de tout petit coups de rein, je faisais glisser mon gland contre son clito gorgé de désir. Je savourais les premiers soupirs qu’elle poussait doucement. Son sexe humide s’ouvrait pour me laisser entrer. Je continuais à l’agacer du bout du gland, sans vraiment la prendre, je parcourais l’ouverture de son sexe. son souffle rauque me dit qu’elle n’en pouvait plus d’attendre, moi non plus d’ailleurs.

Un cou sec, j’étais en elle. Ma verge enfoncée jusqu’à la garde je l’emplissais. Je crois qu’elle a eu un orgasme instantané : elle a libéré ses mains, cabré le dos violemment et ses jambes se sont enroulées sur mes reins pour me maintenir en elle. Puis tout son corps c’est mi à onduler. Je la prenais avec le rythme qu’elle voulait. Le tout était très sensuel, sans me brusqué, je donnais de longs et puissants coups de reins. Nos corps tremblaient de plaisir À chaque passage, je me rapprochais de l’extase.

Elle a soulevé son bassin et accéléré le rythme. Ni elle ni moi étaient alors capable de respirer. J’ai exploser en elle dans un spasme de plaisir incontrôlable. Au même moment, j’ai ressenti l’étau une nouvelle. Savourant cette déflagration de chaleur qui nous traversait, nous sommes restés accrochés l’un à autre, reprenant péniblement notre souffle.

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