J’ai découvert des joies insoupçonnées en faisant du vélo ! - histoire érotique

J’ai découvert des joies insoupçonnées en faisant du vélo !

Je vous assure, c’est vraiment drôle ! Tous les matins, je l’enfourche pour un trajet d’une petite demi-heure, et ça me chauffe tellement que quand j’arrive au boulot, le premier mâle que je croise y passe !

Vous vous demandez comment je fais pour être excitée à ce point par le vélo ? Rassurez-vous, non, je n’enlève pas la selle, trop primaire ! Brrr ... quelle horreur, le métal ! Alors qu’une belle queue chaude et vibrante, hum...

Allez, je vous donne ma petite recette ! Il faut un petit soupçon de coquinerie et de mise en scène !

Tout d’abord, hors de question de le faire en pantalon, avec des baskets ! Non, il faut au mieux une mini, ou une jupe longe moulante et fendue, transparente c’est encore mieux... et avec cela des résilles coquines, et idéalement des bottes ou des talons bien salope ! Ou encore un pantalon bien taille basse qui moule vos formes, à bannir pour celles qui n’auraient pas ma croupe généreuse...

L’avantage du pantalon, c’est que si vos jambes ne sont pas mises en valeur, on ne voit vraiment que votre cul, dans toute sa rondeur mœlleuse ! Le tortiller au fil du pédalage devant les automobilistes est une véritable jouissance. Hum, quel bonheur si le pantalon moulant est clair et que les hommes devinent un minuscule string, ou... rien du tout !!

Pour le petit haut, mieux vaut porter un très bon décolleté, car ne l’oublions pas, en vélo, on se penche toujours à un moment ou à un autre... autant jouer sur tous les tableaux, nous sommes en 3 D, n’est-ce pas ?

Ce matin, je me suis donc livrée à ce petit péché mignon... à mon avis, entre chez moi et mon bureau, soit une demi-heure de trajet avec beaucoup de feux rouges, j’ai du bien faire bander une bonne trentaine de mecs qui du mater mon beau petit cul !

Parce que moi, en vélo, jamais je ne grillerais un feu ! Non, ce serait vraiment gâcher mon plaisir et celui de tous les conducteurs ! A chaque feu, je prends vraiment mon temps ! Je descends langoureusement de vélo, le cul bien tendu en arrière, je n’hésite jamais d’ailleurs à me tortiller la chatte parce que j’aime sentir quand je mouille bien, et je me recoiffe, et je fais bien péter mes gros seins en avant. Ce que je fais aussi, au moins une fois sur le trajet, c’est descendre carrément de vélo et me toucher les fesses langoureusement, pour remettre mon string en place en me tortillant, pour faire genre « ha, il me gêne » ! C’est vraiment drôle de se toucher et de se tortiller comme ça devant tout le monde, tout lentement, pendant toute la durée du feu rouge, avec un air de parfaite ingénue !

Les mecs dans leur voiture sont cramoisis, et ça m’est arrivée d’en voir plus d’un la main dans le slip et les yeux comme des boules de loto... Ils n’ont qu’une envie : toucher leur grosse queue gonflée à bloc en imaginant comment ce serait bon de me prendre la chatte ! Je vous raconte pas comment ça me fait mouiller !

Hum... j’arrive au boulot trempée, au bord de l’orgasme ! Il faut dire que si tu choppes une bonne position sur la selle, c’est facile de se frotter le clito pendant le trajet, et ça fait mouiller encore plus, d’ailleurs je crois que ça a déjà transpercé mon pantalon et certains petits observateurs ont sûrement du le remarquer....

Quand j’arrive sur l’avenue de mon bureau, en principe, comme j’ai la chance d’être bonne et chaude et que je fais tout pour que ça se voit, je n’ai pas beaucoup d’efforts à faire pour trouver un volontaire pour me donner sa belle queue et me l’enfourner dans ma chatte trempée !

Il me suffit d’attacher mon vélo devant la rue principale de mon bureau, c’est un endroit avec beaucoup de passage. Alors j’attache mon antivol : je me penche au maximum avec les fesses bien tendues en l’air, puis je m’accroupis pour accrocher l’antivol, je montre mes beaux seins aux jardiniers, puis je me relève le cul et les seins bien tendus... Quand je suis en mini avec des bas noirs à mi-cuisse, je n’ai pas à attendre plus d’une minute pour être accostée...

J’explique alors au Monsieur qui vient me voir avec le pantalon gonflé, que j’ai tellement fait de vélo que je suis toute trempée, et que je désire plus que tout au monde sucer sa belle queue, et que s’il accepte, il pourra même me mettre au plus profond de ma chatte... et que je le ferais bien jouir et qu’il pourra me baiser encore et encore... parce que je suis chaude et humide et que j’aime l’odeur du sexe et que là, j’ai vraiment besoin de prendre une queue...

Pas besoin d’insister ! En principe au bout de quelques phrases et juste le temps de trouver un petit coin peinard, je suis enfin assouvie, avec une bonne grosse bite au fond de la chatte, qui me fait jouir !