J'ai deux femmes - histoire érotique

J'ai 35 ans et suis en pleine forme. Sexuellement parlant je suis porté sur la baise. Je suis marié à une très belle femme qui aime faire l'amour: nous pratiquons la baise de façon classique, elle aime la sodomie et la masturbation que nous pratiquons en couple et pour elle assez souvent seule: c'est elle qui me le dit avant d'aller nous coucher. Elle le fait vers 17 heures se met nue et devant la glace elle écarte les jambes pour astiquer son abricot. Elle fait des rêves souvent celui d'être violée. C'est parait-il normal.
A cette même heure au bureau j'ai le bas ventre qui me demande de l'amour. Je ne peux le satisfaire et je reste sur ma faim jusqu'au moment d'aller au lit avec ma femme. J'ai une secrétaire très bien faite qui justement vers 17 heures va régulièrement aux toilettes et en ressort toujours avec un peu de rose à ses joues et le regard brillant.
Un jour n'y tenant plus je lui pose la question qui tue! C'était bon aujourd'hui?
Sentant qu'elle était découverte elle rougit et partait dans son bureau. Le lendemain même trafic, elle se dirige vers les toilettes. Je la suis en faisant un peu de bruit. Elle sait que je suis derrière elle. Elle rentre dans les WC et ne ferme pas la porte. Je peux la voir: elle me regarde, soulève sa jupe et enlève son tout petit string qui ne cache pratiquement rien. Elle pose une jambe sur la cuvette et pose une main sur sa moule. Avec l'autre elle écarte bien les lèvres du sexe et fait ressortir le clitoris qu'elle commence à caresser. Je bande maintenant et elle regarde la bosse que ma bite fait à mon pantalon. Elle continue sans arrêt à branler son abricot. Brusquement elle arrête et ne reprend qu'après une petite pose, pour ne pas jouir de suite, sans doute. Je n'y tiens plus: je sors ma bite et commence à me branler aussi. Elle se branle en cadence avec moi, comme si nous faisions réellement l'amour. Soudain je jute. Elle astique plus vite son bouton et elle reverse la tête au moment de son orgasme.
Comme si rien ne s'était passé nous reprenons nos places.
Le lendemain je décide de la baiser: je préfère avoir ma queue dans un con que dans ma main. Vers 16 heures, toujours ponctuelle elle me regarde en souriant et retourne aux toilettes. Je me lève aussitôt et sans attendre je la prends dans mes bras pour l'embrasser et l'invite à venir avec moi dans un petit hôtel que je connais, pas très loin du bureau. Elle hésite un peu et finalement accepte: mon baiser l'a convaincu qu'il était sans doute préférable d'aller dans un lieu neutre.
Je ne connais pas ses capacité de baise et espère qu'elle est au moins aussi sensuelle que ma femme qui, à cette heure doit se masturber. Une fois dans la chambre je l'embrasse à nouveau. Son baiser est plein de promesses. Sa langue lutte avec la mienne et c'est elle qui rentre dans ma bouche la première. En sortant de ma bouche elle me lèche les lèvres annonçant par là qu'elle sait beaucoup de chose sur l'amour. Je suis prêt à satisfaire ses délires amoureux. Je la déshabille. Elle m'aide un peu. Je me désape complètement et rapidement. Cette fois nous pouvons nous voir en entier: sa poitrine pointe avec ses seins en forme de poire, son ventre est plat, son sexe est rasé, et ses fesses rebondies attire la main et sans doute une bonne pine. Elle regarde mon corps dont je n'ai pas honte du tout et surtout ma bite bien raide dressée à l'horizontale qui fait de léger mouvement de bas en haut poussée par le désir. Je l'embrasse à nouveau, ou plutôt c'est elle qui embrasse. Je prends un sein dans ma main: il est dur et agréable à caresser. Mon autre main va à la découverte de son corps, vers le bas, vers son con. Elle abandonne ma bouche pour venir se nicher contre mon cou. Elle me murmure des mots incompréhensibles. Je trouve son con et elle écarte les cuisses pour me permettre d'aller vers son clitoris. Je la branle doucement et lentement. J'ai envie d'avoir ce con dans ma bouche aussi je lui demande de se coucher. Elle le fait, reste les jambes ouvertes. Je pose ma tête sur son con et cherche encore un peu le bouton et quand je le trouve elle frémit et me dit qu'elle aime bien ça. Elle jouit rapidement tellement ma langue lui a fait du bien. A son tour elle me veut dans sa bouche et enfourne ma bite sans mot dire. Elle ne me touche pas avec les mains: seuls sa langue et ses lèvres me caressent la bite. Je grossis, il me semble beaucoup. Je regarde sa tête aller et venir sur mon pieu. Soudain je sens que je vais jouir. Je le lui dit: elle continue sa fellation et reçoit mon sperme. Comme je débande un peu elle s'arrange pour que je sois en pleine forme: elle me caresse le bas ventre et me rentre deux doigts dans le cul. C'est exactement ce que me fait ma femme. Je bande donc à nouveau et cette fois elle me demande de la prendre. Sa position préférée est celle à la missionnaire. Elle est couchée sur le lit, bras et jambes écartées comme offerte en sacrifice à un dieu païen. Je pose mon bas ventre contre le sien et reste les bras tendus pour ne pas être entièrement couché sur elle. Ma bite est à l'entrée de sa grotte et elle l'y met. Avant que je fasse un mouvement elle se fait baiser par un simple coup de reins. La chaleur de son sexe et ses mouvements de vas et viens accélèrent notre cadences: elle jouit autour de ma bite plusieurs fois: je la sens à chaque fois.
Enfin à mon tour je lui remplis le vagin de sperme. Je sors d'elle et à ma surprise je bande encore. C'est ainsi que je lui dis que je veux essayer son cul. Elle ne rechigne pas à la chose et je la vois prendre sa cyprine et en enduire son cul: c'est en plus excitant et pour elle et pour moi. Mais elle me demande de me coucher: c'est elle qui veut être maîtresse de son plaisir anal. Je me couche donc et elle m'enjambe. Elle s'installe bien sur moi et rentre lentement ma bite dans son cul. Je la vois fermer les yeux de plaisir surtout quand elle se branle aussi. Je la sens encore jouir plusieurs fois et elle ne me lâche que quand je jouis.
Nous arrêtons là nos étreintes au moins pour cette fois. En nous quittant elle me demande si demain elle aura droit à un traitement au moins aussi bon. C'est une affaire entendue.
Le soir ma femme de reçoit comme d'habitude en m'embrassant sur la bouche. A mon tour je lèche ses lèvres et elle me demande de le lui faire plus souvent: c'est très excitant. Au lit, le soir j'ai peur de ne pas assurer. Elle me décrit d'abord sa masturbation qu'elle a faite différemment: elle a reçu un godemiché vibrant et l'a essayé. Sa jouissance a été supérieure à celle des autres jours. Elle me montre l'objet et devant moi, comme souvent elle se branle avec le gode: le résultat est celui qu'elle cherchait: me faire bander. Elle est particulièrement en forme ce soir. Elle prend ma bite dans sa bouche et me fait une fellation meilleure que celle de ma secrétaire. Je jouis dans sa bouche. Pour une fois elle garde le sperme dans sa bouche est vient m'embrasser. J'entrouvre les lèvres et je reçois une dose de sperme: j'en suis d'abord écoeuré et ensuite je le déguste comme elle le fait.
Je vais la sucer et comme souvent ma langue va d'abord sur son clitoris avant d'aller dans son vagin à la recherche du point G. Elle a posé ses jambes sur mes épaules et se crispe quand le plaisir arrive. Je la fais jouir plusieurs fois.
Enfin elle m'ordonne de l'enculer: elle en a envie depuis qu'elle s'est branlée avec le gode. Je rentre facilement dans son cul qui a une visite journalière de ma bite. Elle se régale et me dit d'accélérer la cadence. Enfin elle jouit plusieurs fois, comme souvent. Elle est un peu fatiguée. Je n'ose pas lui parler de ma nouvelle liaison: j'ai peur qu'elle se sente trahie. Finalement je lui avoue que j'ai baisé ma secrétaire dans l'après midi. Elle me regarde fixement: je pense qu'elle va faire une scène. Il n'en est rien. Si j'avais envie de baiser avec une belle fille, tant mieux, surtout si j'ai bien jouit. Mais par contre elle voudrait bien la connaitre pour sans doute une baise à trois. J'en suis étonné: jusqu'à présent elle ne m'avait jamais dit qu'elle aimerait faire ça avec une autre. Je promet d'en parler à ma secrétaire et que si elle est d'accord je l'emmènerai à la maison. Rien que d'en parler nous nous sommes excités et ma femme veux absolument que je reproduise avec elle ce que j'ai fais dans l'après-midi. Nous sommes repartis dans une autre baise où son gode ne servait de rien. Nous avons baisé presque jusqu'au matin.
Le lendemain je revois à nouveau ma secrétaire aller aux toilettes. C'est le signal. Nous retournons à l'hôtel et refaisons l'amour au moins aussi bien que le veille. Je lui parle de la proposition de ma femme. Au début elle me dit que rencontrer une femme cocue ne l'enchante guère. Je la rassure puisque j'ai tout dit à mon épouse. Finalement elle accepte et le soir je la fais venir à la maison où nous rentrons ensemble. Ma femme comme d'habitude m'embrasse sur la bouche et à ma surprise embrasse sa rivale aussi. Elles se sont enlacées et ne se quittent plus surtout que maintenant elles se déshabillent et nues se caressent les seins et bientôt le bas ventre. Je bande et le leur dit: réponse oui, mais tout à l'heure, d'abord nous.
Elles forment un couple parfait elles s'accordent sur leurs degré de jouissance: elles se branlent et enfin se sucent. Ce n'est que quand elles font un 69 que je peux enfin rentrer dans un cul: celui de ma secrétaire. Elles poursuivent une bonne partie de la nuit et enfin elles s'occupent de moi. J'en suce une et baise l'autre sans soucis de savoir si c'est ma femme ou l'autre.
La nuit se termine enfin. elles s'embrassent longuement et se disent à demain. elles ont pris goût à leurs caresses de lesbiennes.