J’ai eu une aventure avec son patron lors d'une fête, devant mon mari.
Récit érotique écrit par GM34280 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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J’ai eu une aventure avec son patron lors d'une fête, devant mon mari.
Dans la pénombre de ma chambre, je prends la plume pour écrire une histoire, qui, de prime abord, pourrait ressembler n’être qu’un énième récit d’infidélité conjugale.
Pourtant, ce n’est pas la trahison elle même qui rend mon récit singulier, mais bien la réaction de mon mari, une réaction qui allait ébranler les fondations de nôtre existence.
Je ne cherche nullement à absoudre mes actes, mais plutôt à déverser le flot tumultueux de mes pensées, à vous narrer comment une série de discussions impulsives a fait voler en éclats le fragile édifice de ma vie.
Je me nomme Kelly, une superbe femme de vingt huit ans, dont l’ambition de jouir de la vie me pousse à découvrir toujours plus. C’est lors d’une fête chez des amis, que le destin plaça Marc sur ma route, un homme de trente ans, dont l’insolente beauté me captiva instantanément. Telle une chasseresse, je m’employais à le séduire, plus attirée par son statut et ses titres, que par le tréfonds de son âme. Et c’est ainsi que, par un jeu habile, je parvins à l’emmener jusqu’à l’autel.
Voilà trois ans que nos destins sont liés, sans que le fruit ce nôtre union n’est encore éclos. Tous deux animés par une même soif de réussite, nous avions convenus de consacrer un lustre à nos ambitions professionnelles, avant d’envisager l’aventure de la parentalité. Nos priorités semblaient claires, gravées dans la marbre.
Hélas, la vie se joue bien souvent de nos plans les mieux orchestrés, nous jetant des épreuves qu’il faut surmonté, bon gré, mal gré. C’est ainsi que je perdis mon emploi.
C’est dans ce contexte que mon mari fut convié à un évènement professionnel d’importance. Je décidais de l’accompagner, voyant là l’opportunité providentielle de tisser de nouvelles relations, et qui sait, de dénicher un emploi. Ainsi, telle une araignée tissant sa toile, j’espérais me servir du réseau de mon mari, pour rebondir, et conquérir les sommets que je souhaitais ardemment. J’avais soigneusement préparé mon exposé. L’art subtil du réseautage de Marc, je le maîtrisais comme une danseuse maîtrise ses pas, sachant que chaque mouvement pouvait ouvrir les porte d’un nouvel avenir.
La nuit avançait, et je me mouvais parmi les convives telle une nymphe, glissant d’une conversation à l’autre, avec une aisance feinte. Mon regard d’oiseau de proie, repérait les figures influentes du milieu que je convoitais.
C’est alors que Marc, dans un élan de générosité conjugale qui allait s’avérer fatidique, me présenta à son patron, Karl. Ses yeux, lorsqu’ils se posèrent sur moi, brillèrent d’une lueur que je ne connaissais que trop bien. Une tension électrique, presque palpable, s’installa entre nous, tissant un fil invisible et brûlant, tout au long de la soirée.
L’entretien avec Karl fut une danse périlleuse sur le fils du rasoir. Je m’efforçais de rester professionnelle, de mettre en avant mes compétences et mon expérience, comme une armure contre le désir qui irradiait de ses prunelles. Pourtant, je savait que le poste m’échapperait, comme un mirage dans le désert de mes ambitions. C’est alors que Karl, tel un démon tentateur, me fit une propositions aussi inattendu que troublante.
« Le poste de directeur adjoint, contre des moments d’intimités partagés, un pacte ou nos vies conjugales respectives resteraient intactes ».
Face à cette offre, mon âme se trouva déchirée entre l’ambition et la morale.
D’un côté, le miroitement d’une vie de luxure et de sécurité financière, de l’autre, l’ombre menaçante de la trahison.
Cette nuit là, je pensais fort à Karl, imaginant ses mains parcourir mon sublime corps, caressant mes seins, jouant avec mon clitoris, pénétrant les endroits intimes, dont certains refusés à mon mari. J’étais obligé d’étouffer mes cris en atteignant l’orgasme.
Après cette nuit d’insomnie ou les arguments s’entrechoquaient dans mon esprit tel un combat de titans, je fini par succomber à la tentation. J’acceptais cette proposition diabolique, me persuadant que je pourrais ainsi goûter au fruit défendu, tout en préservant les apparences d’un mariage heureux avec Marc. Ainsi, commença ma descente dans les méandres d’une double vie, ignorant encore les tempêtes qui se profilaient à l’horizon.Un soir, Karl organisa une soirée professionnelle, un piège de velours auquel Marc et moi ne pouvions y échapper.
Dans l’ombre de nos échanges secrets, Karl m’avait fait parvenir une robe, présent empoisonné dont l’audace me fit frémir. Ses intentions étaient claires. Ce vêtement, telle une seconde peau, était une invitation à la transgression, un appel au pêcher, aux étreintes furtives dans les recoins de la fête. L’excitation me consumait à l’idée de cette danse interdite, d’autant plus électrisante, que Marc, ignorant tout, serait présent.
Le yacht luxueux qui nous accueillit ce week-end, n’était qu’un décor de théâtre, masquant nos desseins inavouables sous le prétexte innocente soirée costumée. Un sourire narquois flottait sur mes lèvres, tandis que je glissais dans ma valise des maillots de bains choisis avec soin, mettant en valeur mon sublime corps, arme de séduction pour satisfaire les appétits de Karl.
Déterminée à savourer chaque instant de ce week-end prometteur, je me laissais gagner par une fièvre d’anticipation. Lorsque nous nous dirigeâmes vers la piscine, l’ivresse du moment me fit oublier jusqu’à l’existence de Marc. Sous l’eau cristalline, les caresses audacieuses de Karl se faisaient précises, ses mains caressant mes seins, ses doigts n’hésitant pas à pénétrer mon intimité, faisant frémir tout mon corps, embrassant mes sens. Je tentais faiblement de les repousser, avant de lui intimer l’ordre d’arrêter, lui rappelant la présence de mon mari. Karl, en marionnettiste habille, éloigna Marc, l’entraînant vers le bar dans un tourbillon d’alcool et de distraction.
Au retour, Karl reprit son jeu de séduction avec une ardeur retrouvée. Son murmure brûlant à mes oreilles, louant mon choix de bikini, fit naître en moi un délicieux frisson.
« Ce tissu n’est-il pas gênant » souffla-t-il.
Je ripostais par un geste espiègle, l’éclaboussant pour tenter de maintenir une façade de légèreté, mais son regard intense trahissait une détermination inébranlable. Cependant, nôtre danse sensuelle prit une tournure inattendue. Nos baisers passionnés, nos caresses, aquatiques devinrent un spectacle pour tous les convives. Le statut de Karl, tel un bouclier invisible, semblait le protéger de toute réprobations.
Lentement, il ôta mon maillot, qu’il présenta à l’assistance. Un silence pesant s’abattit quand il me pénétra de son membre tendu, feignant d’ignorer l’évidence de nôtre liaison, tandis qu’il repoussais les limites, quand il me sodomisa devant les invité médusés. Seul le clapotis de l’eau et mes gémissements fendaient le silence de la nuit. L’orgasme fut foudroyant. L’atmosphère se chargea d’une tension palpable quand Karl m’imposa une fellation. Il faisait ainsi planer son pouvoir sur l’assemblée, étouffant toutes velléité de protestation.
Le malaise grandissant ne fit qu’accentuer l’absurdité de la situation, chacun s’efforçant de maintenir un semblant de normalité dans ce théâtre de l’interdit. Sans un mot, Karl me pénétra à nouveau.
Plongé dans l’intense plaisir que Karl me procurait, je ne vis Marc s »approcher, je visage décomposé par l’incrédulité.
Les cris venaient de l’arracher à son refuge alcoolisé, pour assister à un spectacle dont il ne soupçonnait pas l’existence. Son épouse, prise par Karl; son patron.
Le verre qu’il tenait s’écrasa au sol, reflet de son monde qui volait en éclats, reflet de son monde qui volait en éclat. Ses yeux, écaquillés par l'horreur, ne pouvaitent se détacher de la scène qui se jouait devant lui. Sa femme dans une intimité flagrante avec son patron, atteindre un puissant orgasme.
Je sentais la honte et la culpabilité m'envahir, mais il était trop tard pour faire marche arrière.
Lorque la réalité nous frappa enfin, je pris conscience des regard accusateurs qui nous entourait. Karl, dans un geste de fausse pudeir, s'extirpa de la piscine, la queue en érection, comme si rien ne s'était passé.
Je sentais le regard brûlant de Marc sur ma peau mouillée, sa colère palpable dans la lourdeur de l’air.pebat. Rassemblant les lambeaux de ma dignité, je sortis de l’eau, remettant mon maillot d’un geste maladroit, avant de me diriger vers nôtre chambre. Dans ma tête, résonnait déjà l’écho de la confrontation à venir, et je commençais à échafauder des excuses, sachant pertinemment leur futilité.
Face à l’inévitable, mon esprit s’emballait, cherchant désespérément une échappatoire à cette situation que j’avais moi-même crée. L’idée de rejeter la faute sur Karl, de prétendre au chantage, traversa mon esprit. C’était une excuse facile, presque plausible, sachant la réputation de mon amant. Pourtant, au plus profond de moi, je savais que ce mensonge ne ferait qu’aggraver les choses.
Alors que Marc semblait croire à cette version des faits, connaissant les manœuvres dont son patron était capable, une lueur de vérité perça à travers le brouillard de mes mensonges. Je réalisais soudain que la seule façon de sauver ce qui pouvait l’être, était d’être honnête, aussi douloureux que cela puisse être. Je devais assumer mon rôle dans cette trahison, reconnaître que mes actes étaient le fruit de mes propres choix, aussi égoïste fussent-ils. Cette décision, bien que terrifiante, était le seul moyen de peut-être un jour, reconstruire la confiance que j’avais impitoyablement brisée avec Marc.
Les semaines s’écoulèrent, et la vie repris son cours, telle une rivière après la tempête. Marc et moi avions retrouve une apparence de normalité, tandis que je m’efforçais de dissimuler ma liaison avec Karl sous un voile de prudence. Mes rencontres avec ce dernier étaient devenus des ballet furtifs chorégraphiés avec précision pour échapper au regard scrutateur de Marc.
Pourtant, malgré le poids de la culpabilité qui alourdissait mon cœur, je ne pouvais m’empê-cher de savourer l’ivresse de cette passion. L’opulence que m’offrait Karl était un nectar enivrant, dont je ne parvenais à me sevrer. Mais au tréfonds de mon âme, une voix insistante me murmurait que ce château de cartes finirait pas s’effondrer, emportant avec lui les illusions et les mensonges.
Ma vie était devenue un exercice d’équilibriste, oscillant entre la façade de mon mariage avec Marc, et les abysses de ma liaison avec Karl. Dans cette danse macabre, je fus surprise de voir Karl confier à Marc des taches cruciales, éprouvant sa loyauté. Marc, tel un Phénix renaissant de se cendres, relevait le défi avec brio, nous berçant dans l’illusion qu’il avait retrouvé son essence d’antan.
L’évènement que Marc orchestrait pour Karl, était l’apothéose de cette mascarade. Un accord colossal était en jeu, sur lequel Karl avait misé jusqu’à son âme. L’empire qu’il avait bâti vacillait sur ses fondations, suspendu au succès de cette soirée. Je me doutais que derrière cette apparente dévotion, se cachait un dessein de prédateur bien plus sombre.
Je me doutais que c’était la dernière nuit que nous passions ensemble, Karl et moi. C’est pourquoi je m’offris sans retenue, le suçant, lui laissant choisir mes orifices. Je lui fis la fellation de sa vie, la quantité de semence que j’avalais était très dense.
Le jour fatidique arriva, drapée dans une atmosphère électrique. Les titans de l’industrie convergeaiient vers nouss, leur présence pesant comme une sentence divine. Karl, d’habitude si assuré, laissait transparaître une nervosité inhabituelle, conscient que son destin se jouait certainement ce soir.
La tension atteint son paroxysme lorsque Marc, dans un geste théâtral, invita Karl à le rejoin-dre sur la scène pour dévoiler l’affiche de son projet pharaonique.
Mais lorsque le voile tomba, ce ne fut pas l’émerveillement qui saisit l’assistance, mais une stupeur horrifiée. L’affiche, telle une fenêtre ouverte, exposait Karl et moi dans des étreintes scandaleuses, nos corps à peine voilésL. Là, une fellation, là, une prise en levrette, là, une sodomie. Je le supplie de me baiser encore, il me demande de le sucer, de tout avaler.
Un silence de cathédrale s’abattit dans la salle, uniquement troublé par le brut sourd de nos illusions qui s’effondraient. Le visage de Karl se décomposa, la réalisation de la trahison de Marc le frappa de plein fouet, tel un coup de poignard dans le cœur.
Dans cet instant suspendu, je compris que le château de cartes de ma double vie venait de s’écrouler, m’ensevelissant sous les décombres de mes mensonges et de ma trahison.
La femme de Karl monta sur l'estrade, le gifla, puis se dirigea vers moin, arranchant ma robe que Karl m'avait offerte, me laissant à moitié, l'assistance.me retirant de ses mains.
Des images et les vidéos s'enchaînaient, nous montrant Karl et moi, ridiculisant ouvertement nos conjoints, les dupant par nôtre infidélité manifeste.
Cette soirée avait tourné au désastre, et la situation devenait insuportable. Honteuse, je me retirais dans ma chambre, ou m'attendais Marc. Il savais tout depuis longtemps, et souhaitait ma sincérité. J'avouais tout, le suppliant de me pardonner.
Marc se dirigea vers la porte, me disant qu'il allait entamer une procédure de divorce.
Je savais que Marc ne reviendrait pas sur sa décision, et cette certitude était peut-être la plus cruelle de ma punition.
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Pourtant, ce n’est pas la trahison elle même qui rend mon récit singulier, mais bien la réaction de mon mari, une réaction qui allait ébranler les fondations de nôtre existence.
Je ne cherche nullement à absoudre mes actes, mais plutôt à déverser le flot tumultueux de mes pensées, à vous narrer comment une série de discussions impulsives a fait voler en éclats le fragile édifice de ma vie.
Je me nomme Kelly, une superbe femme de vingt huit ans, dont l’ambition de jouir de la vie me pousse à découvrir toujours plus. C’est lors d’une fête chez des amis, que le destin plaça Marc sur ma route, un homme de trente ans, dont l’insolente beauté me captiva instantanément. Telle une chasseresse, je m’employais à le séduire, plus attirée par son statut et ses titres, que par le tréfonds de son âme. Et c’est ainsi que, par un jeu habile, je parvins à l’emmener jusqu’à l’autel.
Voilà trois ans que nos destins sont liés, sans que le fruit ce nôtre union n’est encore éclos. Tous deux animés par une même soif de réussite, nous avions convenus de consacrer un lustre à nos ambitions professionnelles, avant d’envisager l’aventure de la parentalité. Nos priorités semblaient claires, gravées dans la marbre.
Hélas, la vie se joue bien souvent de nos plans les mieux orchestrés, nous jetant des épreuves qu’il faut surmonté, bon gré, mal gré. C’est ainsi que je perdis mon emploi.
C’est dans ce contexte que mon mari fut convié à un évènement professionnel d’importance. Je décidais de l’accompagner, voyant là l’opportunité providentielle de tisser de nouvelles relations, et qui sait, de dénicher un emploi. Ainsi, telle une araignée tissant sa toile, j’espérais me servir du réseau de mon mari, pour rebondir, et conquérir les sommets que je souhaitais ardemment. J’avais soigneusement préparé mon exposé. L’art subtil du réseautage de Marc, je le maîtrisais comme une danseuse maîtrise ses pas, sachant que chaque mouvement pouvait ouvrir les porte d’un nouvel avenir.
La nuit avançait, et je me mouvais parmi les convives telle une nymphe, glissant d’une conversation à l’autre, avec une aisance feinte. Mon regard d’oiseau de proie, repérait les figures influentes du milieu que je convoitais.
C’est alors que Marc, dans un élan de générosité conjugale qui allait s’avérer fatidique, me présenta à son patron, Karl. Ses yeux, lorsqu’ils se posèrent sur moi, brillèrent d’une lueur que je ne connaissais que trop bien. Une tension électrique, presque palpable, s’installa entre nous, tissant un fil invisible et brûlant, tout au long de la soirée.
L’entretien avec Karl fut une danse périlleuse sur le fils du rasoir. Je m’efforçais de rester professionnelle, de mettre en avant mes compétences et mon expérience, comme une armure contre le désir qui irradiait de ses prunelles. Pourtant, je savait que le poste m’échapperait, comme un mirage dans le désert de mes ambitions. C’est alors que Karl, tel un démon tentateur, me fit une propositions aussi inattendu que troublante.
« Le poste de directeur adjoint, contre des moments d’intimités partagés, un pacte ou nos vies conjugales respectives resteraient intactes ».
Face à cette offre, mon âme se trouva déchirée entre l’ambition et la morale.
D’un côté, le miroitement d’une vie de luxure et de sécurité financière, de l’autre, l’ombre menaçante de la trahison.
Cette nuit là, je pensais fort à Karl, imaginant ses mains parcourir mon sublime corps, caressant mes seins, jouant avec mon clitoris, pénétrant les endroits intimes, dont certains refusés à mon mari. J’étais obligé d’étouffer mes cris en atteignant l’orgasme.
Après cette nuit d’insomnie ou les arguments s’entrechoquaient dans mon esprit tel un combat de titans, je fini par succomber à la tentation. J’acceptais cette proposition diabolique, me persuadant que je pourrais ainsi goûter au fruit défendu, tout en préservant les apparences d’un mariage heureux avec Marc. Ainsi, commença ma descente dans les méandres d’une double vie, ignorant encore les tempêtes qui se profilaient à l’horizon.Un soir, Karl organisa une soirée professionnelle, un piège de velours auquel Marc et moi ne pouvions y échapper.
Dans l’ombre de nos échanges secrets, Karl m’avait fait parvenir une robe, présent empoisonné dont l’audace me fit frémir. Ses intentions étaient claires. Ce vêtement, telle une seconde peau, était une invitation à la transgression, un appel au pêcher, aux étreintes furtives dans les recoins de la fête. L’excitation me consumait à l’idée de cette danse interdite, d’autant plus électrisante, que Marc, ignorant tout, serait présent.
Le yacht luxueux qui nous accueillit ce week-end, n’était qu’un décor de théâtre, masquant nos desseins inavouables sous le prétexte innocente soirée costumée. Un sourire narquois flottait sur mes lèvres, tandis que je glissais dans ma valise des maillots de bains choisis avec soin, mettant en valeur mon sublime corps, arme de séduction pour satisfaire les appétits de Karl.
Déterminée à savourer chaque instant de ce week-end prometteur, je me laissais gagner par une fièvre d’anticipation. Lorsque nous nous dirigeâmes vers la piscine, l’ivresse du moment me fit oublier jusqu’à l’existence de Marc. Sous l’eau cristalline, les caresses audacieuses de Karl se faisaient précises, ses mains caressant mes seins, ses doigts n’hésitant pas à pénétrer mon intimité, faisant frémir tout mon corps, embrassant mes sens. Je tentais faiblement de les repousser, avant de lui intimer l’ordre d’arrêter, lui rappelant la présence de mon mari. Karl, en marionnettiste habille, éloigna Marc, l’entraînant vers le bar dans un tourbillon d’alcool et de distraction.
Au retour, Karl reprit son jeu de séduction avec une ardeur retrouvée. Son murmure brûlant à mes oreilles, louant mon choix de bikini, fit naître en moi un délicieux frisson.
« Ce tissu n’est-il pas gênant » souffla-t-il.
Je ripostais par un geste espiègle, l’éclaboussant pour tenter de maintenir une façade de légèreté, mais son regard intense trahissait une détermination inébranlable. Cependant, nôtre danse sensuelle prit une tournure inattendue. Nos baisers passionnés, nos caresses, aquatiques devinrent un spectacle pour tous les convives. Le statut de Karl, tel un bouclier invisible, semblait le protéger de toute réprobations.
Lentement, il ôta mon maillot, qu’il présenta à l’assistance. Un silence pesant s’abattit quand il me pénétra de son membre tendu, feignant d’ignorer l’évidence de nôtre liaison, tandis qu’il repoussais les limites, quand il me sodomisa devant les invité médusés. Seul le clapotis de l’eau et mes gémissements fendaient le silence de la nuit. L’orgasme fut foudroyant. L’atmosphère se chargea d’une tension palpable quand Karl m’imposa une fellation. Il faisait ainsi planer son pouvoir sur l’assemblée, étouffant toutes velléité de protestation.
Le malaise grandissant ne fit qu’accentuer l’absurdité de la situation, chacun s’efforçant de maintenir un semblant de normalité dans ce théâtre de l’interdit. Sans un mot, Karl me pénétra à nouveau.
Plongé dans l’intense plaisir que Karl me procurait, je ne vis Marc s »approcher, je visage décomposé par l’incrédulité.
Les cris venaient de l’arracher à son refuge alcoolisé, pour assister à un spectacle dont il ne soupçonnait pas l’existence. Son épouse, prise par Karl; son patron.
Le verre qu’il tenait s’écrasa au sol, reflet de son monde qui volait en éclats, reflet de son monde qui volait en éclat. Ses yeux, écaquillés par l'horreur, ne pouvaitent se détacher de la scène qui se jouait devant lui. Sa femme dans une intimité flagrante avec son patron, atteindre un puissant orgasme.
Je sentais la honte et la culpabilité m'envahir, mais il était trop tard pour faire marche arrière.
Lorque la réalité nous frappa enfin, je pris conscience des regard accusateurs qui nous entourait. Karl, dans un geste de fausse pudeir, s'extirpa de la piscine, la queue en érection, comme si rien ne s'était passé.
Je sentais le regard brûlant de Marc sur ma peau mouillée, sa colère palpable dans la lourdeur de l’air.pebat. Rassemblant les lambeaux de ma dignité, je sortis de l’eau, remettant mon maillot d’un geste maladroit, avant de me diriger vers nôtre chambre. Dans ma tête, résonnait déjà l’écho de la confrontation à venir, et je commençais à échafauder des excuses, sachant pertinemment leur futilité.
Face à l’inévitable, mon esprit s’emballait, cherchant désespérément une échappatoire à cette situation que j’avais moi-même crée. L’idée de rejeter la faute sur Karl, de prétendre au chantage, traversa mon esprit. C’était une excuse facile, presque plausible, sachant la réputation de mon amant. Pourtant, au plus profond de moi, je savais que ce mensonge ne ferait qu’aggraver les choses.
Alors que Marc semblait croire à cette version des faits, connaissant les manœuvres dont son patron était capable, une lueur de vérité perça à travers le brouillard de mes mensonges. Je réalisais soudain que la seule façon de sauver ce qui pouvait l’être, était d’être honnête, aussi douloureux que cela puisse être. Je devais assumer mon rôle dans cette trahison, reconnaître que mes actes étaient le fruit de mes propres choix, aussi égoïste fussent-ils. Cette décision, bien que terrifiante, était le seul moyen de peut-être un jour, reconstruire la confiance que j’avais impitoyablement brisée avec Marc.
Les semaines s’écoulèrent, et la vie repris son cours, telle une rivière après la tempête. Marc et moi avions retrouve une apparence de normalité, tandis que je m’efforçais de dissimuler ma liaison avec Karl sous un voile de prudence. Mes rencontres avec ce dernier étaient devenus des ballet furtifs chorégraphiés avec précision pour échapper au regard scrutateur de Marc.
Pourtant, malgré le poids de la culpabilité qui alourdissait mon cœur, je ne pouvais m’empê-cher de savourer l’ivresse de cette passion. L’opulence que m’offrait Karl était un nectar enivrant, dont je ne parvenais à me sevrer. Mais au tréfonds de mon âme, une voix insistante me murmurait que ce château de cartes finirait pas s’effondrer, emportant avec lui les illusions et les mensonges.
Ma vie était devenue un exercice d’équilibriste, oscillant entre la façade de mon mariage avec Marc, et les abysses de ma liaison avec Karl. Dans cette danse macabre, je fus surprise de voir Karl confier à Marc des taches cruciales, éprouvant sa loyauté. Marc, tel un Phénix renaissant de se cendres, relevait le défi avec brio, nous berçant dans l’illusion qu’il avait retrouvé son essence d’antan.
L’évènement que Marc orchestrait pour Karl, était l’apothéose de cette mascarade. Un accord colossal était en jeu, sur lequel Karl avait misé jusqu’à son âme. L’empire qu’il avait bâti vacillait sur ses fondations, suspendu au succès de cette soirée. Je me doutais que derrière cette apparente dévotion, se cachait un dessein de prédateur bien plus sombre.
Je me doutais que c’était la dernière nuit que nous passions ensemble, Karl et moi. C’est pourquoi je m’offris sans retenue, le suçant, lui laissant choisir mes orifices. Je lui fis la fellation de sa vie, la quantité de semence que j’avalais était très dense.
Le jour fatidique arriva, drapée dans une atmosphère électrique. Les titans de l’industrie convergeaiient vers nouss, leur présence pesant comme une sentence divine. Karl, d’habitude si assuré, laissait transparaître une nervosité inhabituelle, conscient que son destin se jouait certainement ce soir.
La tension atteint son paroxysme lorsque Marc, dans un geste théâtral, invita Karl à le rejoin-dre sur la scène pour dévoiler l’affiche de son projet pharaonique.
Mais lorsque le voile tomba, ce ne fut pas l’émerveillement qui saisit l’assistance, mais une stupeur horrifiée. L’affiche, telle une fenêtre ouverte, exposait Karl et moi dans des étreintes scandaleuses, nos corps à peine voilésL. Là, une fellation, là, une prise en levrette, là, une sodomie. Je le supplie de me baiser encore, il me demande de le sucer, de tout avaler.
Un silence de cathédrale s’abattit dans la salle, uniquement troublé par le brut sourd de nos illusions qui s’effondraient. Le visage de Karl se décomposa, la réalisation de la trahison de Marc le frappa de plein fouet, tel un coup de poignard dans le cœur.
Dans cet instant suspendu, je compris que le château de cartes de ma double vie venait de s’écrouler, m’ensevelissant sous les décombres de mes mensonges et de ma trahison.
La femme de Karl monta sur l'estrade, le gifla, puis se dirigea vers moin, arranchant ma robe que Karl m'avait offerte, me laissant à moitié, l'assistance.me retirant de ses mains.
Des images et les vidéos s'enchaînaient, nous montrant Karl et moi, ridiculisant ouvertement nos conjoints, les dupant par nôtre infidélité manifeste.
Cette soirée avait tourné au désastre, et la situation devenait insuportable. Honteuse, je me retirais dans ma chambre, ou m'attendais Marc. Il savais tout depuis longtemps, et souhaitait ma sincérité. J'avouais tout, le suppliant de me pardonner.
Marc se dirigea vers la porte, me disant qu'il allait entamer une procédure de divorce.
Je savais que Marc ne reviendrait pas sur sa décision, et cette certitude était peut-être la plus cruelle de ma punition.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour,
Je suis tombé par hasard sur ce récit et franchement quelle plaisir d'avoir pu le lire. C'est très écrit, raconté, excitant et la fin sublime. Car j'avais arrêté de lire ce thème dans les récits, car c'est toujours les mêmes fins, mari cocu, soumis et perdant tout ! Alors Bravoooo l'auteur pour une rare fois ou l'homme à des couilles pour ne pas être le cocu de service.
Merci pour ce récit
Je suis tombé par hasard sur ce récit et franchement quelle plaisir d'avoir pu le lire. C'est très écrit, raconté, excitant et la fin sublime. Car j'avais arrêté de lire ce thème dans les récits, car c'est toujours les mêmes fins, mari cocu, soumis et perdant tout ! Alors Bravoooo l'auteur pour une rare fois ou l'homme à des couilles pour ne pas être le cocu de service.
Merci pour ce récit
Une terrible vengeance!
Très belle histoire avec un superbe finish ou pour une fois le cocu se défend et pourfend le prédateur et divorce
Magnifique histoire enfin une histoire de cocu mécontent
Un récit très bien écrit qui nous fait vivre cette fois-ci les réalité de la vie. Elle n’y voyait que son plaisir et ses avantages. Elle à fermé les yeux sur son conjoins.
Marc a seldom moi, très bien réagis ce qui a fait que Kelly et Karl on eu a subir les conséquences de leurs actes.
J’espère que Karl étant l’investigateur de ces trahisons a tout perdu.
J’espère aussi que Marc a pu remonter la pente et trouver enfin l’amour de sa vie.
Marc a seldom moi, très bien réagis ce qui a fait que Kelly et Karl on eu a subir les conséquences de leurs actes.
J’espère que Karl étant l’investigateur de ces trahisons a tout perdu.
J’espère aussi que Marc a pu remonter la pente et trouver enfin l’amour de sa vie.
Pour 1 fois le mec a des couilles, il vous ait tombé 1 oeil !!!