J'ai failli me faire prendre la bouche pleine.

- Par l'auteur HDS GM34280 -
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Récit libertin : J'ai failli me faire prendre la bouche pleine. Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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J'ai failli me faire prendre la bouche pleine.
Parfois l'interdit est comme un feu qui brûle silencieusement en nous et avant que nous ne nous en rendions compte, il consume tout. Ce soir-là, c'est exactement ce qui m'est arrivé. Pendant que Marc, mon mari, un homme aimant et attentionné, était dans la salle de bain, Daniel et moi étions dans la cuisine, risquant tout. La peur d'être pris était à quelques mètres, une limite aussi dangereuse que captivante. Si Marc était sorti une minute plus tôt, il m’aurai surprise en train de faire une fellation à Daniel et l'histoire aurait été très différente.
Il y a des choses que nous faisons sans réfléchir et même en sachant qu'elles sont mauvaises, nous continuons, comme si résister était impossible. Peut-être était-ce l'ennui de la routine, la curiosité de l'interdit, ou quelque chose qui a toujours été là, attendant le bon moment pour exploser. Je n'ai jamais pensé que je serais capable de trahir mon mari jusqu'à ce soir-là.
C'est au travail que Daniel est apparu. Un consultant nouvellement engagé pour un projet d’'entreprise. Daniel avait ce genre de charisme qui marquait sa présence où qu'il soit. Grand, sûr de lui, avec un humour intelligent et une légèreté que je ne voyait plus chez Marc. Je remarquais quelque chose dans son regard, un intérêt discret mais constant. J’avoue aimer ressentir cela, séduire, j’aimais me sentir désiré.
J’ai de suite vu à son regard, que je ne laissais pas indifférent. Je dois reconnaître qu’il est très charmant, et que célibataire, peut-être, mais seulement peut-être, me serais-je laissé séduire. Plusieurs fois, au cours de réunion, ou de traitement de dossier, il a essayé de s’approcher, mais je suis mariée, et aime mon mari. Un jour, en sortant des toilettes, il m’a collé contre le mur, et m’a embrassé. Une autre fois, alors que j’étais à la photocopieuse, il est arrivé sans bruit derrière moi, m’a pris par la taille, remontant caresser mes seins. Il m’a embrassé dans le cou, mordillé l’oreille, me soufflait des mots coquins qui me faisait sourire. Même si je n’ai pas opposé une farouche résistance, je l’ai repoussé, et lui est dit d’arrêter ses manières, de se tenir à l’écart. Mais petit à petit, cette résistance à faibli. Nos réunions devenaient plus intime, nos baisers plus intense, sans toutefois sauter le pas. C’était clair qu’il voulait me baiser, mais chaque fois, j’ai repoussé ses assauts, mais un certain trouble s’installa en moi.
Lorsque Marc suggéra d’inviter un cadre à venir dîner à la maison pour l'intégrer à l'équipe, j’ai de suite approuvé. Pourquoi ne pas connaître de nouvelles relations, pensais-je.
- Je veux juste renforcer les liens avec le personnel de ton travail, dit-il en souriant, préparant le vin qui serait servi ce soir-là.
Le soir du dîner, Marc me conseilla une nouvelle robe, plus belle, un peu trop courte, et plus audacieuse. Il voulait que je me sente belle. Quelque chose en moi me disait déjà que cette soirée serait différente. Je ne savais juste pas encore jusqu'où tout cela irait.
Au son de la sonnette, Marc alla accueillir nôtre invité avec enthousiasme, lui serrant la main fermement, puis m'a appelé pour que je le salue aussi. Je fus surprise en voyant Daniel, une bouteille dans une main, dans l’autre, un magnifique bouquet de fleurs. Quand nos regards se croisèrent, j'ai ressenti quelque chose de différent dans ses yeux, dans son sourire, comme s'il savait l'effet qu'il avait sur moi. Je souris un peu mal à l’aise, l’invita à entrer.
- Aimes-tu les vins français Daniel, a demandé Marc, tenant la bouteille.
Daniel a hoché la tête, jetant un coup d'œil furtif vers moi.
- Ce vin Français et très bien. Il a un certain charme qui correspond parfaitement à l'ambiance de ce soir, a-t-il répondu en esquissant un petit sourire.
Je ne savais pas vraiment s'il parlait du dîner, ou de quelque chose de plus. Quand nous nous sommes assis, Marc a rempli les verres de vin. Le dîner a commencé de manière décontractée. Daniel parlait du travail, des réunions fatigantes et Marc s'assurait de poser des questions sur les détails du projet sur lequel il travaillait. Je restais silencieuse un instant, observant simplement, mais à chaque question posée par Marc, à chaque réponse de Daniel, ses yeux cherchaient invariablement les miens.
- Et toi Clara, demanda-t-il soudain, posant une main sur ma cuisse, tu sembles si attentive à tout au travail. Je suis sûr que tu es indispensable à l'équipe.
Marc rit, pensant probablement que Daniel était simplement poli.
- Elle est bonne dans tout ce qu'elle fait, tu peux le croire, parfois elle me surprend, dit-il.
Je forçais un sourire, tandis que la main frôlait la lisière de mon string. Daniel prenait un risque considérable. Je ne pouvais réagir de peur d’éveiller les soupçons face à Marc. A l'intérieur, je ressentais un mélange de gêne, comme si j'étais analysé sous une loupe invisible. Avec le temps, l'ambiance devint plus décontractée, plus chargée. Je percevais l'intensité de Daniel dans chacun de ses gestes. Quand il inclinait la tête pour écouter, ses yeux restaient fixés sur les miens. Quand j'étendais la main pour saisir quelque chose sur la table, je sentais son regard me suivre comme s'il savait ce que ces mouvements me causaient.
Après quelques verres de vin, Marc commença à montrer des signes d'inconfort. Il passa la main sur son ventre et soupira.
- Je pense que j'ai mangé trop vite, dit-il en se levant avec difficulté, je dois aller au toilette. Je reviens tout de suite.
C'est à ce moment-là que l'ambiance dans la pièce changea. L'absence de Marc semblait ouvrir
l'espace, le doigt lissa ma fente, tenta de s’insérer en moi.. J'essayais de garder mon calme, mais Daniel semblait percevoir mon agitation lorsqu’il atteignit mon clitoris. Décontracté, il tenait son verre, le faisant tourner comme s'il attendait le bon moment.
- Tout va bien Clara, demanda-t-il avec un sourire tranquille.
- Oui, bien sûr, répondis-je en soupirant.
Mais ma voix faillit légèrement. Daniel se pencha en avant, appuyant son bras sur la table. Ses doigts jouaient avec le pied du verre, tandis qu'il m'observait.
- Tu sembles un peu tendue.
- Arrêtes, répliquai-je essayant de sourire, retires-toi
La vérité est qu'il avait raison, j’étais tendue, mon cœur battait plus vite que je ne voudrais l'admettre. Le silence entre nous était presque assourdissant, alors que ma respiration s’accélérait. De l'autre côté du couloir on pouvait entendre le bruit de l'eau du lavabo. Marc était assez proche pour être une présence menaçante, mais assez loin pour que Daniel puisse poursuivre ses investigations. Jugeant qu’il m’avait assez excitél se leva de sa chaise de manière désinvolte, marchant jusqu'à la fenêtre.
- La vue d'ici est incroyable, commenta-t-il en regardant dehors, vous avez de la chance de vivre dans un endroit si beau.Tous les beaux endroits ne suffisent pas, n'est-ce pas ?
Je sentis mes joues brûler. Il y avait quelque chose dans ce commentaire qui semblait être une provocation, une ouverture, une invitation. Mon instinct me disait de mettre fin à tout ça, de me lever, d'aller au toilette voir si mon mari allait bien, mais ne parvins pas à bouger, com comme si le poids de cette conversation m'avait cloué sur place. Daniel se rassit, toujours souriant.
- Le vin est excellent, dit-il, mais je pense sincèrement que ce soir, il y a quelque chose de plus spécial que la boisson, tu ne pense pas Clara ?
Je voulais répondre, mais la porte des toilettes grinça, me ramenant à la réalité. Marc n'était pas encore sorti, mais le bruit de l’eau suffisait à me faire respirer profondément et mettre fin au sujet,
Daniel se leva à nouveau, plus confiant maintenant, sans se soucier de dissimuler ses mouvements. Il se dirigea vers le comptoir où le vin reposait, examinant la bouteille. La pièce semblait être trop petite, comme si l'espace était incapable de contenir ce qui allait se passer.
- Veux-tu un autre verre Clara, demanda-t-il de manière décontractée.
Mais ce n'était pas une invitation innocente. il savait ce qu'il faisait, savait que je n'avais pas le contrôle total de la situation.
- Non merci, répondis-je, essayant de paraître ferme.
Mais ma voix ne convainquit pas..Daniel s'approcha lentement de la table, comme un prédateur qui savait déjà que sa proie n'avait nulle part à fuir. Il s'arrêta à mes côtés et inclina légèrement son corps, posant une des mains sur la mienne. Ses doigts s’entre mêlèrent légèrement aux miens, c'était un contact presque imperceptible, mais je ressentis un frisson me parcourir l’échine.
- Tu vas bien, demanda-t-il à nouveau.
Mais cette fois il y avait quelque chose dans sa voix qui n'était pas de l'inquiétude, c'était quelque chose de plus profond, comme s'il testait jusqu'où il pouvait aller.
- Je vais très bien, mentis-je, retirant ma main d’un geste nerveux
Je me levais et marchais vers la cuisine précipitamment, fuyant cette énergie suffocante, mais à peine étais-je arrivé à l'évier, que j'entendis les pas de Daniel derrière moi. Quand je me suis retournés pour lui demandais ce qu'il faisait, il était déjà trop près, assez pour que son parfum me frappe de plein fouet. Daniel saisit le bord du plan de travail avec ses deux mains, bloquant toute tentative de fuite.
- Clara, commença-t-il d'une voix basse et contrôlée.
Il n'y avait aucun doute dans sa voix, aucune hésitation, juste du désir.
- Daniel, non, Marc est ici, il peut revenir à tout moment.
- Je sais, c'est ce qui rend tout plus excitant, non ?
Il sourit comme s'il savait exactement quoi dire pour désarmer toute résistance. Il leva une main et saisit mon visage de manière ferme, mais délicate. Mon cœur semblait prêt à exploser dans ma poitrine. Je savais que je devrais l'éloigner, mais je n'y parvins pas. Au fond de moi, une partie le voulait, voulait ressentir quelque chose que je n'avais pas ressenti depuis des années. Quand ses lèvres touchèrent les miennes, c'était comme si le monde s'était arrêté un instant. C'était mal, je le savais, mais c'était aussi inévitable. Je passais mes bras autour de son cou. Puis sa main glissa sous ma robe, un doigt se faufila entre le string et ma peau, voulant finir ce qu’il avait commencé à table. Il y avait quelque chose dans ce geste qui brûlait, me faisant complètement oublier que Marc était dans la salle de bain, à quelques mètres. Le bruit de quelque chose tombant dans l'évier me ramena à la réalité. Pendant une seconde, j'ouvris les yeux, et poussa légèrement Daniel, regardait la porte de la cuisine, m'attendant à ce que Marc apparaisse à tout moment.
- Daniel, arrête, je chuchotais.
Mais il souris simplement, son doigt me pénétrant avec douceur.
- Tu penses vraiment qu'il va remarquer quelque chose, il a confiance en toi, dit-il avec ironie.
Je devrais l'arrêter là, à ce moment, mais quand il commença à embrasser mon cou, toute logique fut engloutie par l'adrénaline. Le risque d'être pris rendait tout encore plus intense. Mes doigts s'accrochèrent au plan de travail, tandis que mon corps luttait pour ne pas jouir.
Je ne sais pas si c'était le vin ou le désir, j'étais déjà hors de moi, et étouffais l’orgasme sur sa poitrine. Je l’embrassais, descendais jusqu'à atteindre quelque chose de dur, volumineux.
Ma bouche était pleine de salive. Je me pencha, ouvris la braguette de son pantalon. Et là, Je découvris un sexe énorme, que je ne pus m’empêcher de prendre en bouche.. C'est alors que nous entendîmes le bruit de la chasse d'eau venant des toilettes, bruit qui déchira la tension comme une alarme, interrompant hélas trop tard ma fellation.Tout était avalé.
Daniel recula d'un pas, ajustant son pantalon avec le calme de quelqu'un qui semblait avoir tout le contrôle. Quant à moi, je restais immobile, essayant de reprendre mon souffle.
Le bruit de Marc ouvrant la porte des toilettes me fit courir vers l'évier, essuyant mes lèvres souillées de sperme. Quand il apparut à la porte de la cuisine, nos regard se croisèrent.
- Tout va bien, Clara, demanda-t-il d'un ton doux.
- Oui, bien sûr mon amour, répondis-je, avec un faux sourire que j'espérais convaincant.
Mais pour moi tout avait changé. Quand je retournais dans la pièce, Daniel était déjà assis à nouveau sur le canapé, détendu comme si de rien n'était. Son verre de vin était à la main, et faisait tourner le liquide lentement, observant le reflet de la lumière à la surface du verre.
Je n'arrivais pas à prêter attention, mon esprit était en plein chaos. Je pouvais encore sentir le doigt de Daniel dans ma chatte, le goût de sa queue et de son sperme dans la bouche.
La culpabilité rongeait mes entrailles. En même temps, il y avait quelque chose d’autre. Une partie de moi qui ne voulait pas que ça s’arrête là.
Marc revint de la cuisine avec un autre pichet, s’approcha à nouveau de moi, cherchant mes lèvres. Je me détournais, sachant le plaisir qu’elles avaient donnés. Daniel le remarqua, regrettant que je n’ai voulu les lui offrir.
- Tout va bien Clara, demanda Marc avec un regard inquiet.
- Oui, bien sûr, je pense que j’ai juste bu un peu plus que je ne devrais.
Marc sourit, acceptant mon explication sans questionner. Il me faisait confiance, mais Daniel continuer à m’observer. Ses yeux brillaient d’un mélange de curiosité et de satisfaction. Il savait ce qu’il me faisait, et cela m’irritait autant que cela m’attirait. Marc s’absenta un instant, me laissant seule avec Daniel à nouveau. Mon cœur s’emballa, il n,e perdit pas de temps.
- Tu es nerveuse, murmura-t-il assez bas pour que Marc n’entende pas. C’était incroyable, et personne ne le saura.
Je lui soufflais que ça ne pouvais pas continuer, qu’il fallait arrêter,.mais mes mots semblaient si fragile, que même moi doutais de ma propre détermination.
- Ne peut pas, ou ne doit pas, dit-il d’un air provocateur, il y a une différence.
Avant que je ne puisse répondre, Marc revint, souriant, inconscient de la tension qui se déroulait autour de lui. Daniel leva son verre, le pointa vers Marc.
- Excellent dîner Marc, tu sais vraiment recevoir.
Marc rit, heureux du compliment, et se rassit. Moi, en revanche, je voulais sortir d’ici. L’atmosphère semblait étouffante. La pièce, qui était autrefois mon refuge, était maintenant une scène ou mon mari et Daniel partageaient l’espace, sans savoir le rôle que chacun jouait dans cette histoire.
Quant le dîner se termina enfin, Marc suggéra que je raccompagne Daniel à la porte, pendant qu’il débarrassait les assiettes. Je faillis, mais je savais que cela semblerait suspect.
Dans le couloir, Daniel s’approcha de moi, me cloua contre le mur, ignorant complètement la possibilité que Marc apparaisse. Il se pencha, cherchant ma bouche Je le repoussais, m’éloignant légèrement.
- C’est pas encore fini, Clara, tu le sais.
- Cela suffit Daniel, je ne veux plus qu’on se voit, laisse moi maintenant, vas-t-en.
Il rit doucement, comme s’il ne prenait pas mes mots au sérieux. Il me regarda droit dans les yeux, comme s’il analysait ma réaction. Il me donna un tendre baiser avant de se retourner et partir, me laissant seule dans le couloir. Je m’appuyais contre le mur, imaginant sa queue coulisser dans ma bouche, sentant sa semence se déposer sur ma langue. Quand je suis revenu dans le salon, Marc finissait de nettoyer la table. Il s’est approché et a posé ses mains sur mes épaules, serrant légèrement.
- Tu as l’air différente, quelque chose s’est passé au travail ? Tu es stressée par un projet ?
- Ce n’est rien Marc, je pense que je suis juste fatiguée, le vin aussi m’a un peu étourdie.
Il a semblé accepter l’explication, mais son regard est resté sur mois quelques secondes de plus que d’habitude, et à cet instant, un frisson a parcouru ma colonne vertébrale.

Je passais une nuit blanche, Marc dormait profondément à mes côtés, mais chaque fois que je fermais les yeux, le visage de Daniel envahissait mes pensées. Je revivais cette soirée dans mon esprit, Ses mots, son touché, le risque que nous avions pris, cette scène se répétait en boucle, comme un film.. La culpabilité me pesait, mais le plaisir que je ressentais me troublait. Je savais que bientôt, ce ne serait qu’un mauvais souvenir, Daniel ayant terminé sa mission.
A trois heures du matin, je me levais, marchais jusqu'au salon et m'assis sur le canapé, fixant l'obscurité. La maison était silencieuse et le poids de mon secret semblait encore plus lourd.
C'est alors que mon téléphone vibra. Mon cœur s'emballa. Il était trois heures et demi du matin. Qui pouvait m'envoyer un message à cette heure-ci. Je pris le téléphone, les mains tremblantes. Quand je vis le nom de Daniel sur l'écran, je ressentis un mélange de peur et d'anticipation.
« Je ne peux pas m'empêcher de penser à toi, à nous. »
Mon esprit s'effondra. Je devrais ignorer, effacer le message, faire comme s’il n'était jamais arrivé, mais au lieu de cela, mes doigts hésitant commencèrent à taper une réponse, quelque chose de court qui pourrait sembler indifférent.
« Daniel, c'était une erreur, ne me cherche plus. »
J'envoyais le message, jetais le téléphone sur le canapé, comme si le simple acte de répondre était déjà une nouvelle trahison. Je passa mes mains sur mon visage, essayant de me calmer, mais moins d'une minute plus tard, le téléphone vibra à nouveau.
« Tu ne peux dire ça Clara, tu sais très bien que tu ne veux pas que ça se termine. Passais un moment inoubliable ensemble, sans mentir, ne serait-il pas l’apogée de nôtre désir ? »
Je fermais les yeux, sentant une chaleur monter sur mon visage. Avait-il raison ?
« Je connais un charmant petit hôtel...à nôtre pause demain » fut son dernier message.
Je retournais au lit, mais ne dormis pas. Je m’imaginais dans une chambre d’hôtel, enchevêtrée dans les draps, me faisant prendre par Daniel dans les positions les plus odieuses. J’imaginais l’amant se surpasser pour asseoir sa suprématie. Je me sentais soumise, m’offrant sans retenu, lui faisant bénéficier des faveurs que j’avais toujours refusées à Marc, mon mari
Le lendemain matin, après une nuit d’insomnie, je me forçais à agir comme si rien ne s'était passé. Au travail, tout semblait conspirer contre moi. Daniel était là bien sûr, et il s'assura de me lancer des regards furtifs toute la matinée.
Le reste de la journée au travail a été un véritable enfer. Chaque fois que je croisais Daniel,
je sentais tout mon corps se contracter. Il ne disait rien, il n'en avait pas besoin. Ses regards chargés d'un mélange de provocation et de confiance étaient plus que suffisant pour me maintenir au bord de l'effondrement. En fin d'après-midi, j'ai décidé que je devais régler cela une bonne fois pour toutes. J'ai envoyé un message.
- Pouvons-nous parler, juste nous deux.
Il a répondu presque immédiatement.
- Dans la salle de conférence quatre, dans dix minutes.
La salle de conférence était située à un étage plus isolé. Elle était suffisamment discrète, mais chaque pas que je faisais jusque là semblait une erreur. Quand je suis entrée, Daniel était déjà là assis tranquillement à la table, comme si c'était un jour normal. Il s'est levé en me voyant, fermant la porte derrière moi.
- Je pensais que tu allais m'éviter pour toujours.
- C'est exactement ce que je veux faire Daniel, ai-je répliqué, ma voix un peu plus ferme que je ne l'aurais espéré, ça doit s'arrêter, nous ne pouvons plus continuer, c'était une erreur.
Daniel a croisé les bras, m'observant avec un sourire qui frôlait l'arrogance.
- Une erreur dit-il, faisant un pas vers moi, parce que faire une fellation est une erreur ? Pour moi ça n’y ressemblait pas. En fait, ça semblait quelque chose que tu voulais autant que moi.
- Tu ne comprends pas, ai-je continué, ma voix commençant déjà à trembler. Je suis mariée, j'aime mon mari, et ne veux pas le perdre.
- Tu aimes Marc, il a répété, comme s'il savourait les mots. Mais dis-moi, Clara quand as-tu ressenti la dernière fois que tu étais vivante avec lui, quand as-tu ressenti cela..
Il a fait un pas de plus, et avant que je puisse réagir, sa main a glissé doucement le long de mon bras. J'ai reculé, m'éloignant, essayant de reprendre le contrôle.
- Tu dois arrêter ça Daniel, il n'y a pas de place pour toi dans ma vie.
Il a rit, mais cette fois son ton avait une pointe de défi.
- Clara, tu as ouvert cette porte, je ne t'ai pas forcé, et maintenant tu veux faire semblant que
rien ne s'est passé. Dis-moi une chose, tu regrettes vraiment, ou as-tu peur qu'il découvre tout.
L'air semblait plus lourd, il avait raison, c'était la peur qui me paralysait, peur de Marc.
- Daniel, nous devons aller de l'avant, répondis-je avec une fermeté.
Il secoua lentement la tête comme s'il évaluait ma détermination.
- Si c'est ce que tu veux Clara, poursuit-il en s'éloignant, je pensais pouvoir entretenir une relation avec toi. Au fond, tu le voulais autant que moi, et je pense que tu le veux encore. Il reste dix minutes avant la pause...à toi de décider...
Il quitta la salle, me laissant seule avec mes larmes et mes regrets. C’est vrai que je le voulais autant que lui, mais il m’était impossible de tromper mon mari, considérant déjà une fellation comme une trahison.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
C’est toujours pareil le couple s’emmerde et la femme au lieu de Communiquer avec son mari elle préfère le tromper.
Il faut arrêter de se trouver des excuses et prendre les gens pour des cons.
En plus si elle a avalé elle pourra ré fourguer 1 merde à son mari.
Quand à l’amant il mérite des gifles.

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Belle histoire et enfin quelqu’un de respectueux à l’égard du mar

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Un superbe texte qui nous présente un prédateur et les alternoiement d’une épouse fidèle mais delaissee. Daniel

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Une suite svp avec ke mati qui sait ????



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