J'ai fait la pute
Récit érotique écrit par Généreux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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J'ai fait la pute
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Il y a presque 2 ans, alors que je lisais des petites annonces sur un site qui sert également à faire des rencontres de tous genre, je me suis mise à m'imaginer en faire une monnayée. Je précise que je ne l'ai fait qu'une seule fois, juste pour le fun. Ne lisant rien qui me convenait, j'ai décidé de poster la mienne.
Vous ne pouvez imaginer le nombre de réponses reçues, plus d'une vingtaine ! Certaines ne correspondaient pas du tout à ma proposition, soit ils ne savaient pas recevoir, soit ils étaient trop jeunes. Seules 4 pouvaient faire l'affaire. J'ai contacté ces messieurs par mail en expliquant bien ce que j'acceptais et refusais, ainsi que ma "demande de l'heure". Je n'en ai eu qu'un qui a été intéressé, mais il souhaitait une photo. J'ai refusé car je n'envoie pas de photo, tout en lui expliquant que lorsqu'il me verrait il aurait toujours la possibilité de changer d'avis et que cela ne lui couterait rien. Bref, rdv fut pris.
Ne pouvant justifier à mon homme une tenue sexy pour me rendre à une soi-disant réunion, j'ai dû discrètement mettre le tout dans le coffre de la voiture et me changer ensuite sur un parking.
Lorsque je suis arrivée chez le bonhomme j'ai été fort surprise, alors qu'il m'avait dit avoir 58 ans il en paraissait presque 70 (j'ai su plus tard dans la soirée qu'il en avait exactement 74). Sur le seuil il m'a détaillée des pieds à la tête, ma tenue composée de hauts talons noirs, d'une jupe ras le minou et d'un caraco dentelle fort échancré, l'incita directement à m'inviter à entrer. La première question qu'il me posa fut de savoir si j'étais bien majeure, il ne voulait pas d'ennuis spécifia-t-il.
Ses premières phrases, idiotes, me concernèrent quand à savoir si je faisais ce "métier" depuis longtemps, si j'avais une nombreuse clientèle, etc etc...
Ensuite il me conduisit à la chambre et voulu directement commencer. Je lui ai demandé de bien vouloir aller se laver le sexe, que j'exigeais qu'il soit propre même si le préservatif était obligatoire pour toutes pénétrations excepté la buccale. Il s'exécuta puis me rejoignit et me fit asseoir sur le lit où il commença à me peloter. Il avait déjà la main entre mes cuisses quand je lui ai demandé mon petit cadeau (comme on dit dans les livres, hi hi). Il se leva et, dans la poche arrière de son pantalon posé sur une chaise, prit son portefeuilles et en sortit 200 € qu'il me tendit. Je les ai glissé dans mon sac et ai voulu savoir ce qu'il désirait exactement. "Rien d'extraordinaire" dit-il, "te prendre par devant et derrière, te fesser et te mettre des pinces aux seins". Effectivement, j'avais bien vu des pinces sur la table de nuit, mais c'était des simples pinces à linge. "J'aurais bien voulu t'attacher, mais tu m'as écrit que tu ne voulais pas" continua-t-il. Même si je n'y avais pas pensé, ma réponse a fusé: "Je veux bien, mais pour m'attacher c'est 50 € de plus". Il accepta en exigeant qu'il puisse également me bander les yeux.
J'ai commencé par me déshabiller lentement et il ne me restait plus que mes bas nylon quand il m'a demandé de les garder. Lorsque je fus nue il me banda les yeux à l'aide d'un foulard puis m'attacha les mains sur le devant.
C'était étrange, mais il m'expliqua que c'était afin que je puisse le caresser et le branler. Je ne voyais quasi plus rien, juste un peu par le bas. Il me mit les pinces et força pour que je ressente la douleur. Ensuite il me coucha sur ses genoux et entama la fessée tout en me parlant comme à une étudiante qui aurait fait de vilaines choses. "Tu as très mal travaillé cette année, je sais que tu passes plus de temps dans les toilettes du lycée avec les garçons qu'à étudier ! Et ta maman m'a dit que tu n'arrête pas de t'exhiber en lingerie quand ton grand-père vous rend visite, je suis sûr que tu te fais tripoter par lui, réponds !". "Oui, je suce des garçons au lycée et quand papy vient je le laisse jouer dans ma petite culotte avant qu'il me donne son sexe à sucer". "Et tu avales le jus de tes copains et de ton papy ?". "Oui, la première fois j'ai recraché celui de papy mais il a été fâché. En plus, c'est vraiment bon même si tous n'ont pas le même goût". Plus nous parlions et plus il s'excitait, il parlait comme si il était essoufflé et la fessée devenait extrêmement violente, au point que j'ai dû lui demander de faire un peu plus doucement et de me masser les fesses de temps en temps. Il m'a relevée et m'a écartée les jambes pour m'introduire avec un doigt, comme il avait difficile j'ai posé un pied sur le lit afin de l'aider. Il m'a masturbée, léchée, jusqu'au moment où il m'a introduit quelque chose d'assez gros dans ma chatte. Ce n'est que lorsque nous eûmes terminé que j'ai su qu'il s'agissait d'un énorme concombre pelé qu'il m'indiqua vouloir manger le lendemain en repensant à moi.
Le concombre allait et venait en moi, j'avoue que j'y prenais du plaisir, quand il se plaqua contre moi et me pria de le branler. Sa queue était moyennement raide, j'espérais qu'elle allait avoir de la vigueur quand il me pénétrerait. Mais elle était bien grosse et longue, les femmes ont dû l'apprécier dans sa jeunesse ! Il reprit la parole et ne se gêna pas pour proférer un chapelet de grossièretés, je m'en souviens très bien: "Alors la petite putain, tu aimes la queue de ton grand-père ? Tu es une belle salope pour ton âge, je vais te bourrer le cul à te faire crier. Et si tu es sage je te donnerai ma jute à boire". Jouant le jeu (je suppose que c'est ce qu'il voulait) j'ai répondu que: "Oh oui grand-père, donne-moi du plaisir et encule-moi". Il m'a couchée sur le lit, a glissé des coussins sous moi et m'a soulevé et écarté les jambes avant de me mettre un doigt bien humide entre les fesses. Pour tout vous avouer et afin que vous me connaissiez mieux, j'adore la sodomie, presque plus que la pénétration dite "normale". Parfois il sortait le doigt de mon antre pour aller l'humidifier dans ma chatte et revenir entre mes fesses. Ensuite il a tenté de me sodomiser, mais son sexe n'était pas assez raide pour ça, alors il a essayé avec le concombre qui lui fut trop gros. De rage il me fessa violemment en me traitant de "sale garce avec un petit trou du cul". Il avait payé et moi j'avais envie, alors je lui ai dit de me laisser le sucer pour bien gonfler son sexe. Il m'a détachée et s'est allongé à côté de moi, ce ne fut pas inutile. Moins de 2 minutes plus tard c'était une véritable matraque que j'avais en bouche. Il s'est retiré et m'a demandé de reprendre ma position pendant qu'il se mettait un nouveau préservatif. Cette fois il y arriva, peut-être même trop rapidement car il me pénétra d'un seul coup de toute sa longueur. Le premier moment (douloureux) passé, il s'activa et j'ai joui rapidement. Tout en m'enculant il continuait sa litanie de vulgarités (ça ne me dérange pas mais ne m'excite pas non plus). Tout à coup je l'ai senti se crisper, il éjaculait. Ses mouvements se sont ralentis puis il s'est dégagé. "Désolé, je n'ai pas pu me retenir" a-t-il dit.
Il a encore voulu me lécher entre les fesses et le minou, je n'ai pas pu lui refuser.
Ai-je apprécié de jouer à la pute ? Oui et non, j'étais fort excitée lors de mon arrivée chez lui et au début de la relation, mais très vite ce fut "banal". Je n'ai jamais été tentée de recommencer et ne le ferai plus, ce n'est de toutes façons pas l'argent qui m'intéresse.
Il y a presque 2 ans, alors que je lisais des petites annonces sur un site qui sert également à faire des rencontres de tous genre, je me suis mise à m'imaginer en faire une monnayée. Je précise que je ne l'ai fait qu'une seule fois, juste pour le fun. Ne lisant rien qui me convenait, j'ai décidé de poster la mienne.
Vous ne pouvez imaginer le nombre de réponses reçues, plus d'une vingtaine ! Certaines ne correspondaient pas du tout à ma proposition, soit ils ne savaient pas recevoir, soit ils étaient trop jeunes. Seules 4 pouvaient faire l'affaire. J'ai contacté ces messieurs par mail en expliquant bien ce que j'acceptais et refusais, ainsi que ma "demande de l'heure". Je n'en ai eu qu'un qui a été intéressé, mais il souhaitait une photo. J'ai refusé car je n'envoie pas de photo, tout en lui expliquant que lorsqu'il me verrait il aurait toujours la possibilité de changer d'avis et que cela ne lui couterait rien. Bref, rdv fut pris.
Ne pouvant justifier à mon homme une tenue sexy pour me rendre à une soi-disant réunion, j'ai dû discrètement mettre le tout dans le coffre de la voiture et me changer ensuite sur un parking.
Lorsque je suis arrivée chez le bonhomme j'ai été fort surprise, alors qu'il m'avait dit avoir 58 ans il en paraissait presque 70 (j'ai su plus tard dans la soirée qu'il en avait exactement 74). Sur le seuil il m'a détaillée des pieds à la tête, ma tenue composée de hauts talons noirs, d'une jupe ras le minou et d'un caraco dentelle fort échancré, l'incita directement à m'inviter à entrer. La première question qu'il me posa fut de savoir si j'étais bien majeure, il ne voulait pas d'ennuis spécifia-t-il.
Ses premières phrases, idiotes, me concernèrent quand à savoir si je faisais ce "métier" depuis longtemps, si j'avais une nombreuse clientèle, etc etc...
Ensuite il me conduisit à la chambre et voulu directement commencer. Je lui ai demandé de bien vouloir aller se laver le sexe, que j'exigeais qu'il soit propre même si le préservatif était obligatoire pour toutes pénétrations excepté la buccale. Il s'exécuta puis me rejoignit et me fit asseoir sur le lit où il commença à me peloter. Il avait déjà la main entre mes cuisses quand je lui ai demandé mon petit cadeau (comme on dit dans les livres, hi hi). Il se leva et, dans la poche arrière de son pantalon posé sur une chaise, prit son portefeuilles et en sortit 200 € qu'il me tendit. Je les ai glissé dans mon sac et ai voulu savoir ce qu'il désirait exactement. "Rien d'extraordinaire" dit-il, "te prendre par devant et derrière, te fesser et te mettre des pinces aux seins". Effectivement, j'avais bien vu des pinces sur la table de nuit, mais c'était des simples pinces à linge. "J'aurais bien voulu t'attacher, mais tu m'as écrit que tu ne voulais pas" continua-t-il. Même si je n'y avais pas pensé, ma réponse a fusé: "Je veux bien, mais pour m'attacher c'est 50 € de plus". Il accepta en exigeant qu'il puisse également me bander les yeux.
J'ai commencé par me déshabiller lentement et il ne me restait plus que mes bas nylon quand il m'a demandé de les garder. Lorsque je fus nue il me banda les yeux à l'aide d'un foulard puis m'attacha les mains sur le devant.
C'était étrange, mais il m'expliqua que c'était afin que je puisse le caresser et le branler. Je ne voyais quasi plus rien, juste un peu par le bas. Il me mit les pinces et força pour que je ressente la douleur. Ensuite il me coucha sur ses genoux et entama la fessée tout en me parlant comme à une étudiante qui aurait fait de vilaines choses. "Tu as très mal travaillé cette année, je sais que tu passes plus de temps dans les toilettes du lycée avec les garçons qu'à étudier ! Et ta maman m'a dit que tu n'arrête pas de t'exhiber en lingerie quand ton grand-père vous rend visite, je suis sûr que tu te fais tripoter par lui, réponds !". "Oui, je suce des garçons au lycée et quand papy vient je le laisse jouer dans ma petite culotte avant qu'il me donne son sexe à sucer". "Et tu avales le jus de tes copains et de ton papy ?". "Oui, la première fois j'ai recraché celui de papy mais il a été fâché. En plus, c'est vraiment bon même si tous n'ont pas le même goût". Plus nous parlions et plus il s'excitait, il parlait comme si il était essoufflé et la fessée devenait extrêmement violente, au point que j'ai dû lui demander de faire un peu plus doucement et de me masser les fesses de temps en temps. Il m'a relevée et m'a écartée les jambes pour m'introduire avec un doigt, comme il avait difficile j'ai posé un pied sur le lit afin de l'aider. Il m'a masturbée, léchée, jusqu'au moment où il m'a introduit quelque chose d'assez gros dans ma chatte. Ce n'est que lorsque nous eûmes terminé que j'ai su qu'il s'agissait d'un énorme concombre pelé qu'il m'indiqua vouloir manger le lendemain en repensant à moi.
Le concombre allait et venait en moi, j'avoue que j'y prenais du plaisir, quand il se plaqua contre moi et me pria de le branler. Sa queue était moyennement raide, j'espérais qu'elle allait avoir de la vigueur quand il me pénétrerait. Mais elle était bien grosse et longue, les femmes ont dû l'apprécier dans sa jeunesse ! Il reprit la parole et ne se gêna pas pour proférer un chapelet de grossièretés, je m'en souviens très bien: "Alors la petite putain, tu aimes la queue de ton grand-père ? Tu es une belle salope pour ton âge, je vais te bourrer le cul à te faire crier. Et si tu es sage je te donnerai ma jute à boire". Jouant le jeu (je suppose que c'est ce qu'il voulait) j'ai répondu que: "Oh oui grand-père, donne-moi du plaisir et encule-moi". Il m'a couchée sur le lit, a glissé des coussins sous moi et m'a soulevé et écarté les jambes avant de me mettre un doigt bien humide entre les fesses. Pour tout vous avouer et afin que vous me connaissiez mieux, j'adore la sodomie, presque plus que la pénétration dite "normale". Parfois il sortait le doigt de mon antre pour aller l'humidifier dans ma chatte et revenir entre mes fesses. Ensuite il a tenté de me sodomiser, mais son sexe n'était pas assez raide pour ça, alors il a essayé avec le concombre qui lui fut trop gros. De rage il me fessa violemment en me traitant de "sale garce avec un petit trou du cul". Il avait payé et moi j'avais envie, alors je lui ai dit de me laisser le sucer pour bien gonfler son sexe. Il m'a détachée et s'est allongé à côté de moi, ce ne fut pas inutile. Moins de 2 minutes plus tard c'était une véritable matraque que j'avais en bouche. Il s'est retiré et m'a demandé de reprendre ma position pendant qu'il se mettait un nouveau préservatif. Cette fois il y arriva, peut-être même trop rapidement car il me pénétra d'un seul coup de toute sa longueur. Le premier moment (douloureux) passé, il s'activa et j'ai joui rapidement. Tout en m'enculant il continuait sa litanie de vulgarités (ça ne me dérange pas mais ne m'excite pas non plus). Tout à coup je l'ai senti se crisper, il éjaculait. Ses mouvements se sont ralentis puis il s'est dégagé. "Désolé, je n'ai pas pu me retenir" a-t-il dit.
Il a encore voulu me lécher entre les fesses et le minou, je n'ai pas pu lui refuser.
Ai-je apprécié de jouer à la pute ? Oui et non, j'étais fort excitée lors de mon arrivée chez lui et au début de la relation, mais très vite ce fut "banal". Je n'ai jamais été tentée de recommencer et ne le ferai plus, ce n'est de toutes façons pas l'argent qui m'intéresse.
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