J'ai honte... 6 - histoire érotique

J'écris ce texte le 08/05 à 4h du mat.

Je vais maintenant "sauter" plusieurs jours dans mon récit.
Entre le début et maintenant, j'ai également sauter ma belle sœur dans tous les sens.
Nous nous sommes découvert une véritable passion pour le sexe bien hard, pour le grandiose et le spectaculaire, Lucie et moi.
C'était de plus en plus fatiguant, surtout quand il fallut que je gère une nouvelle chose que je n'attendais clairement pas : ma femme.

La situation était de plus en plus dur pour elle et elle subissait une énorme pression à cause de son travail d'infirmière libéral. Elle est en contact avec d'anciennes collègues du public et me raconte ce qui s'y passe, le soir, au lit.
Cela m'avait remis les pieds sur terre et je me trouvais vraiment monstrueux de la tromper avec sa sœur sous son propre toit. Alors je décidai de tout faire pour lui rendre la vie agréable avec de multiples petites attentions.
Après en avoir parler avec Lucie, entre deux baises, nous avions décidé qu'elle s'effacerait le soir pour nous laisser du temps, ma femme et moi, afin de nous retrouver.
Cela dura quelques jours où nous avons vécu de jolies retrouvailles. Fini la TV et les séries, la routine, etc...
Nous discutions amoureusement comme à nos débuts, jusqu'à nous endormir ensembles enlacés dans nos bras.
Cela dura 2 soirs jusqu'à ce que nous faisions l'amour après une séance de massage avec des huiles essentiels.
J'avais demander à Lucie de me laisser un jour de repos pour consacrer mes forces à sœur. Ce jour là, je m’étais contenté de la regarder se promener toute nue sans la toucher.
J'avais donc une certaines pression à évacuer avec ma femme et elle fut agréablement surprise de retrouver son marie au lit.

J'avais envie de la baiser comme j'aurais baisé Lucie mais j'ai pris mon temps en la massant longuement jusqu'à déraper.
Elle était nue, allongée sur le ventre, faisant l'étoile de mer, me dévoilant sa petite chatte rasée.
Je glissai fatalement dessus en guise de bouquet final. J'écartai ses grosses fesses en les massant pour faire apparaitre son petit trou du cul.
Ma femme a des formes généreuses et j'adore jouer avec son gros cul. Et ce soir là elle me laissait jouer avec, m'invitant à me faire plaisir.
J'écartai donc ses fesses de nouveau pour pouvoir y placer ma tête et commencer à faire tourner ma langue sur son petit trou.
Je lui bouffai le cul et lui doigtant la chatte pendant un petit moment après lui avoir demander de se mettre le cul bien en l'air.
Je la redressai ensuite brusquement pour lui présenter ma queue devant sa bouche.
Ma femme s'empressa de l'avaler pour me faire une fellation dont elle avait le secret, pendant que je me penchai sur son dos pour attraper son cul.
Nous étions tous les deux à genoux sur le lit, ma femme en train de me sucer en essayant de le faire sans subir de gorge profonde qu'elle n'aime pas, et moi qui rentrais mes doigts dans son cul.
Ce n'était clairement pas sensuel du tout mais cela ne semblait pas la gêner.
Je lui avouer d'ailleurs que cela faisait trop longtemps que j'avais envie d'elle et que j'avais envie de la baiser comme une petite chienne.
Je parlai parfois comme ça durant nos ébats mais plutôt rarement, pour ne pas abuser trop souvent d'elle.
Elle acceptait d'être soumise "presque" totalement mais il fallait prendre rendez-vous sans être sur d'avoir une place.
Je ne sais pas si c'était sa façon de se vider la tête mais elle accepta d'être ma salope pour ce soir.
Elle quitta ma queue pour venir m'embrasser à pleine bouche et me demander de la baiser à fond.
Je lui rendis son baiser en la couvrant de compliment et de mots d'amour. Nos langues se sont mélangées quelques secondes dans un baiser entrecoupé de "je t'aime", de "je vais te baiser" et de "oui baise moi".
Je retrouvais enfin ma petite salope.
Je lui demandai alors de venir me chevaucher afin de lui donner l'orgasme qu'elle recherchait. Ma femme aime jouir en bougeant son bassin pour frotter son clito contre mon bas ventre.
Il fallait que je lui "bouffe les seins" en les mordillant légèrement. Tous ces détails réunis elle se mis à jouir en peu de temps en fermant les yeux et en gémissant timidement.
Je la laissai profité de son orgasme en la dévorant des yeux.
Je lui rappelait à quel point je trouvais belle quand elle jouissait pour la sortir de sa bulle.
Me femme comprit tout de suite que je ne pouvais pas attendre plus longtemps et elle me donna à nouveau un baiser plein de langue jusqu'à me dire de faire ce que j'avais envie.
Je lui demandai alors de s'allonger sur le dos en mettant sa tête sur le bord du lit.
Elle comprit de nouveau ce que j'attendais d'elle et pendant que je me levai pour venir me placer devant son visage, elle ouvrit les jambes pour se caresser et se donner en spectacle.
Je marquai une pause et j'hésitai un instant pour prendre mon téléphone et filmer la scène.

- J'te filme ? lui demandais-je en me branlant devant elle.
- Vas-y, répondit-elle après m'avoir fixé droit dans les yeux.

Je ne savais pas si elle était en colère mais je m'en foutais. Je commençai à immortaliser la scène sans avoir à lui demander de faire quoi que ce soit. Ma femme savait ce que j'aimais et elle écarta sa chatte au maximum pour que je la filme en gros plan.
Je fini par faire le tour du lit pour lui présenter ma queue luisante de sa mouille encore fraiche et ma femme commença sa pipe avec sa tête à l'envers. Elle y mettait tout son cœur et fini par me parler pour m’exciter encore plus.

- Aller vas-y mon chérie, vide toi dans ma bouche ! s'exclama t-elle de manière sincère.

Elle finit par gémir en soupirant des "vas-y" jusqu'à ce que j'éjacule sur son visage en beuglant sans avoir peur que Lucie nous entende.
Ma femme semblait avoir oublié aussi sa sœur puisqu'elle m'accompagna avec un drôle de bruit, la bouche ouverte et la langue dépliée pour recevoir mon sperme.
Je finis par la redresser et lui enfourner une fois de plus ma queue dans la bouche pour la voir à l'endroit, recouverte de sperme et en train d'en recevoir dans la bouche devant mon objectif.
Je laissai ensuite ma femme s'allonger à sa place, prenant soin de la nettoyer correctement avec des lingettes prévues à cet effet.
Je sorti ensuite de la chambre entièrement nu pour aller lui chercher un verre et une bouteille de coca zéro, sans me soucier de Lucie.
Cela l'a fit rire de voir à quel point je prenais des risques.
Nous nous sommes ensuite endormi tout nu après avoir discuter dans les bras de l'un et de l'autre.


Après cette soirée de retrouvailles magiques avec ma femme, les autres se sont enchainées de la même façon. Ma femme prenait du plaisir à faire l'amour pour oublier la situation merdique qu'elle vivait mais aussi pour prendre du plaisir.
J'avais l'impression qu'elle avait changé, comme si elle se lâchait parce qu'il fallait être con pour s’empêcher de vivre pendant le confinement.
Cela l'amusait que savoir que sa sœur nous entendait baiser comme des bêtes et je sentis comme une pointe de méchanceté dans son comportement.
J'avais parfois l'impression qu'elle savait que je baisais sa sœur pendant qu'elle bossait et qu'elle prenait sa revanche sur elle, comme si elles étaient en concurrence.
Après quelques jours de sexe sauvage, de préliminaires coquins et de sperme avalé avec gourmandise (et oui, elle me confia avec humour qu'en vieillissant les gouts changent!), ma femme voulu reprendre nos bonnes habitudes.
Elle commençait à avoir des remords de laisser sa sœur toute seule en soirée et voulu qu'on mate une série ensemble.
J'acceptai volontiers pour lui faire plaisir, même si j'aurai préféré continuer de la baiser comme une petite chienne.
Je pris du plaisir à le raconter à sa sœur pendant qu'elle me suçait juste après que ma femme soit montée dans sa voiture pour partir bosser.
J'avais trouvé mon rythme et je constatai que ces séances de sport intensif avaient eu de l'effet sur mon corps. J'avais perdu du poids !

Les soirées qui suivirent furent moins mouvementées. Nous avons commencé la dernière saison de walking dead.
Après s'être endormis tous les trois dans des positions improbables lors de la première soirée TV, ma femme décida de déplier le canapé en mode lit pour qu'on puisse allonger nos jambes confortablement.
Elle sortit son plaid géant et nous nous sommes retrouvés dans un cocon douillet, recouvert de la tête au pied.
Pour une raison très étrange, je me retrouvai au milieu de ces deux femmes. Ma femmes garda sa place habituelle, contre l’accoudoir, et sa sœur contre l'autre.
Moi je m'affalai sur ma femme en plaçant un petit cousin sur son épaule.
Pour être couverte, Lucie du se rapprocher de moi mais elle garda un espace entre nous quand même.
C'était bizarre comme situation...
Surtout quand ma femme commença par m’attraper le "zizi" en passant sa main derrière sa cuisse, à l’abri du regard de Lucie, sous le plaid.
Elle était redevenue coquine comme j'aimais tant.
Je la laissai faire pendant deux ou trois jours, en la baisant comme il faut une fois au lit.
Je lui demandai ce qu'elle recherchait comme sensation pour oser faire ça en présence de sa sœur.
Elle ne savait pas me répondre et s'étonnait elle-même de faire une chose pareil.
Mais elle garda à l'esprit que j'aimais ses initiatives et su me le faire remarquer.
Je lui demandai alors de mettre une nuisette sans petite culotte pour la soirée suivante.
Elle me laissa dans le flou en me répondant "on verra"...

Le lendemain, j’expliquai tout à Lucie et je lui avouai que j'adorerai qu'elle fasse la même chose !
Elle n'était pas très chaude pour le faire, trouvant le truc vraiment trop risqué.
Mais j’insistai en lui confiant que j'avais peut être décelé quelque chose chez ma femme. Je ne savais pas comment l'expliquer mais j'avais vraiment l'impression qu'elle se doutait de quelque chose.
Lucie me demanda alors pourquoi je voulais tenter le diable !
Elle était vraiment inquiète à l'idée de détruire notre couple et de perdre sa sœur. Il était peut être temps pour s'en préoccuper...
Je lui expliquai alors que j'allais tout déballer, qu'elle soit d'accord ou non, qu'il fallait que ça cesse.
Et je finis par lui dire que si sa sœur et elle étaient capables de venir se frotter à moi avec la chatte à l'air, c'est qu'elles étaient deux belles salopes et que je leur prouverai.
Lucie passa une très mauvaise journée, affolée par ce que je voulais faire.
Elle ne cessa pas de venir me demander de changer d'avis.
Je lui dis que ce n'était plus la peine de jouer à cache cache. J'allais les mettre au pied du mur et j’endentai bien les baiser toutes les deux, ensemble !!

Le soir venu, je déballai tout !
Ma femme était venu comme convenu, en nuisette sans rien dessous, et sa sœur se senti obligée de faire pareil juste avant que ma femme sorte de la salle de bain.
C'est moi même qui lui retirai sa petite culotte en lui faisant une petite léchouille au passage.
C'est quand on se retrouva tous les trois sous le plaide que je décidai de me relever brusquement pour surprendre les deux petites salopes qui m'entouraient.

Il y eu des cris, des pleures et des noms d'oiseaux.
Je vous passe les détails qui ne vous intéresseront pas pour passer directement au moment et je réussis à convaincre ma femme de se laisser aller.
J'étais terriblement confiant dans mon discours et je lui avouai sans gène comment j'avais baisé sa sœur. Je lui avouai que j'adorais avoir une salope comme ça pour s'occuper de moi mais que j'adorerais encore plus le fait qu'elle, ma petite femme adorée, puisse faire la même chose !
J'étais dans un état second et je me fichais de se qu'elle pouvait me rétorquer. Je la retenait de force dans mes bras pour lui dire à quel point je l'aimais et que je voulais qu'elle continu son petit jeu de salope mais avec sa sœur.
Sur le moment, je ne pensais plus du tout à Lucie et je me permettais de dire devant elle qu'elle n'était qu'une trainée et que je n'avais pas de sentiment pour elle.
Je forçai le passage pour embrasser ma femme en l'a couvrant de compliment pendant que sa sœur pleurait en s'excusant auprès d'elle. Elle s'était levée pour nous rejoindre et se mettre à genoux devant sa sœur.
La scène était vraiment bruyante d'engueulade.
Ma femme pleurait de rage mais je l'a fit taire en saisissant son visage assez brusquement. Je demandai violemment aux filles de fermer leur gueule.
Ma femme se mit à pleurer d'une autre manière comme si elle abandonnait le combat et je profitai de cet instant pour lui annoncer que j'allais la baiser devant sa sœur, que j'allais tout lui donner, pour lui montrer à quel point je la désirais.
Je l'accompagnai jusqu'au canapé et la forçai gentillement à s'allonger dessus.
J'étais trop excité pour faire autre chose que de la prendre direct sous les yeux de Lucie restée à genoux sur le sol.
Je dus forcer un peu le passage pour rentrer dans la chatte de ma femme car la situation ne l'avait pas fait mouiller. Je me mis à la baiser lentement mais en forçant pour aller bien au fond d'elle.
Je continuai à la complimenter et lui dire tout l'amour que j'avais pour elle. Je voulais qu'elle vive l'extase avec moi, qu'elle se laisse aller au plaisir sans complexe.
Ce qui fini de la convaincre c'est quand je terminai mon exposé en la rassurant sur le fait que tout ce que se passera entre nous trois restera entre nous trois.
Cette crainte levée, ma femme lâcha prise en pleurant une dernière fois. Elle se laissa faire sans résister et j’eus vraiment l'impression d'avoir réussi à soumettre ma victime de se laisser "violer".
Elle n'eut pas d'orgasme ce soir là. Elle se contenta d'être passive et de me regarder devenir un autre homme.
Satisfait de ma réussite, j'appelai Lucie et je lui demandai d'approcher sa tête du ventre de sa sœur.
Elle était comme hypnotisée et obéit sans rien dire.
Je me retirai alors rapidement de la chatte de ma femme et je présentai ma queue à Lucie qui se dépêcha de l'avaler alors que j'avais commencé à éjaculé.
Je beuglai comme acteur porno en félicitant mes deux partenaires.
Je réalisai mon plus grand fantasme grâce à ces deux petite cochonnes de sœur et je leur annonçai que j'avais de grands projets pour elles.
Je fini par m'allonger aux cotés de ma femme pour venir l'embrasser tendrement pendant que Lucie continuait de nettoyer ma queue.
Nous l'avons regardé faire un moment jusqu'à ce que je lui demande de nous rejoindre.
Lucie voulu prendre sa sœur dans ses bras et se remit à pleurer en s'excusant.
C'était magnifique de voir ces deux femmes nues s’enlacer...
Je vint les entourer de mes bras pour les câliner et les réconforter.
Nous sommes restés blottis ensemble, nues sous le plaide, dans le silence.
Lucie avait sa tête calée contre l'épaule de ma femme et ne semblait plus vouloir la lâcher. Elle finit par rompre le silence.

- Merci Bérangère. (et oui c'est le prénom de ma femme ^^) soupira t-elle à sa sœur pour la remercier de me "partager"- La prochaine fois tu demandes. répondit ma femme avec un sourire encore un peu forcé.

Et c'est comme ça que c'est déroulé notre première soirée de débauche.

J'ai ensuite décidé qu'on dormirai tous les trois dans le même lit et que nous partagerons toutes nos impressions, nos ressentis.
J'étais clairement le dominant dans ce trio mais je voulais que "mes femmes" puissent s'épanouir à leur rythme.
Je l'ai baisai ainsi toutes les deux chaque soirs en les forçant plus ou moins à réaliser les trucs les plus hards qu'on pouvait faire à trois.
Avec de la patience, je réussis à leur faire oublier qu'elles étaient sœur à partir du moment où on commençait à prendre du plaisir.
Nous avons eu de longues conversations sur la moralité de nos actes et sur la déviance que je pouvais avoir à leur demander de se brouter la chatte pendant que je les observais.
Lucie avait déjà de la pratique dans ce domaine et elle initia sa sœur avec honte, à me demande.
Bérangère m'avoua qu'elle serait ravi de tenter l'aventure avec une autre femme après le confinement, mais en attendant, je l'obligeai à s'exercer sur sa sœur.
C'est ainsi que nous avons eu les baises les plus hards de nos vies !
Tout le monde finit par y trouver son compte et à prendre un plaisir extrême, interdit...
L'interdit décuplait finalement les sensations des deux sœurs.
Elles réussirent à se comporter comme si de rien n'était en dehors de nos ébats, mais une fois au lit je réussis à les transformer en professionnelles du sexe.
Je pus faire tout ce que j'avais fantasmé dans ma vie.
Je les ai baisé en les mettant en 69 pour finir par jouir dans la bouche de chacune, à tour de rôle.
J'éjaculai dans la chatte de l'une pour faire venir l'autre récupérer mon sperme.
Je les fis s'embrasser avec mon sperme dans leur bouche.
Je me laissai même tenter en les rejoignant, à leur demande. Il n'y avait pas de raison après tout.
Je leur demandais des trucs dégueulasses tout le temps alors elles pouvaient bien se venger.
J'y pris gout, d'ailleurs.

Bref... nous avons tout fait, je pense. Sans rentrer dans le trop crade.

Le summum de la jouissance pour Bérangère fut quand Lucie lui goda le cul pendant que je m'occupais de sa chatte.
La double pénétration eu un effet dévastateur sur elle. Elle hurla de plaisir et je pense que c'est à cette instant qu'elle comprit réellement ce que je voulais lui faire vivre.
C'est devenu son péché mignon.

Pour Lucie, c'était différent. Elle trouva son orgasme le plus puissant en se faisant fister la chatte par sa sœur. Elle refusa à chaque fois mon poignet car elle le trouvait trop gros.
A chaque fois les deux sœurs me trouvaient de plus en plus hard mais elles finissaient pas faire ce que je leur demandais.

Pour moi, mes moments préférés c'est quand je finissais par prendre une des filles en levrette en demandant à l'autre de lui écarter le cul. Elle devait glisser sa langue dans le petit trou, y glisser des doigts, sortir ma queue pour la sucer et se faire gicler au visage ou dans la bouche.
Me femme eu du mal à devenir la petite salope que j'attendais mais après sa premier double pénétration, elle prit du plaisir à le faire.

Il n'y avait presque plus de limites. Nous faisions "l'amour" de cette façon après avoir pris soin de bien nous laver.
L'hygiène était une des conditions non négociable pour tout le monde.
Même moi je dus me rincer le cul bien comme il faut. Je l'ai aussi rasé comme un acteur porno^^.
Les filles furent ravi d'apprendre que je n'aimais pas me faire lécher le fion, trop chatouilleux !

Et voilà maintenant comment nous occupons nos soirées.

Nous sommes lucides sur nos pratiques et sur ce que nous somme devenus.
Je ne suis plus le seul à avoir honte, maintenant.
Mais nous aimons trop ça pour nous en priver.

Lucie compte nous laisser vivre notre sexualité tranquillement, après le confinement.
Elle compte trouver son propre trio et nous aider à trouver une nouvelle partenaire.
Ma femme m'a autorisé à continuer de baiser sa sœur la journée à condition d'avoir des soirées à nous, sans elle.
Lucie trouva l'idée bien venue tant elle était fatiguée de subir mes assauts jour et nuit.

Avec tout ça, je trouve encore le temps et l'énergie de venir écrire mon histoire en me branlant alors que ça fait mal !
J'ai hâte de trouver une autre partenaire et de voir ma femme plus à l'aise.
J'espère que notre couple n'éclatera pas à cause d'une éventuelle prise de conscience collective !

Je viendrai vous raconter mes nouvelles aventure s'il y en a !

Merci de m'avoir lu.