J'ai rendez-vous chez le kinésithérapeute
Récit érotique écrit par Ajax [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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J'ai rendez-vous chez le kinésithérapeute
J'ai rendez-vous chez le kinésithérapeute. Oui, c'est un bel homme. Oui il me souris drôlement. Peut-être plus, qu'à d'autre patiente.
Pourtant je ne lui ai pas fais d'avance, aucun charme. C'est une douleur dans une cheville qui m'a conduit chez lui.
Vous conviendrez que je ne peux pas empêcher les hommes de me regarder. Généralement ils me dévisagent, me contemple, souvent ils disent m'admirer, ils s'entichent ou cherchent à séduire et j'avoue que c'est flatteur.
C'est vrai, j'attire les hommes sans les provoquer, sans les aborder. Ils disent que mon regard les pénètre, ils parlent de grâce, de sex-appeal, qu'ils sont fascinés, attirées, éblouis... Enfin vous avez compris, ils me draguent.
Certains sont un peu collants, ennuyeux ou insignifiants, mais le plus souvent je les trouve drôles, galants, comment dire, bienveillants, affables. Et comment toujours dédaigner un homme gentils? Ce serait méprisable, non? Alors je souris aussi en essayant de dissiper tout malentendu. Disons que c'est un jeu de séduction perpétuel, intemporel. Alors jouons!
Je vous confie que mon mari est l'instigateur, le révélateur de cet exercice fascinant, qui consiste à nous réjouir, à nous épanouir en s'aventurant sur le chemin excitant du glamour. C'est lui qui nous a fait découvrir pas à pas mon attirance pour l'érotisme, mon goût pour l'exhibition, la sensualité.
Nous dépassons souvent les limites des convenances lors de récréations polissonnes dans lesquelles je suis la proie, le jouet, l'objet de luxure et de dépravation. Une débauche qui m'exalte, qui fait de moi le centre. Je suis adulée, convoitée, bousculée, léchée et toujours comblée!
Mon chéri me met dans des situations qu'il aura imaginé, organisé pour me surprendre, me provoquer, de déstabiliser, me pousser à m'offrir, à jouir. Je suis l'outil de mes propres fantasmes refoulés qu'il aura mis en scène...
Mais là, j'ai mal a la cheville et j'espère que ce bellâtre de kiné va faire des miracles.
- Entrez! Je vous prie. C'est votre cheville? Retirez vos bottines et allongez-vous sur la table d'osculation.
- Docteur, merci de me recevoir si rapidement. Quand je vous ai téléphoné tout à l'heure je n'imaginais pas que vous puissiez m'accueillir ce matin.
- Je suppose que vous auriez choisi une toilette mois sexy et s'eut éte bien regrettable. Grâce à vous, cette journée commence superbement.
Le coquin, c'est vrai que si j'avais pu prévoir, je n'aurais pas choisi cette robe portefeuille assez courte néanmoins sage, quand les pans ne s'ouvrent pas inopinément comme c'est le cas maintenant.
- Restez allongée et laisser cette robe! Vous savez des culottes, j'en vois tous les jours. Ceci-étant, j'avoue que votre string en dentelle et tulle est très attirant.
- Concentrez-vous sur ma jambe, Monsieur le Don Juan bourreau!
- Vous avez raison. Retirez vos bas! Je vais masser vos chevilles avec un onguent réparateur.
Bien obligé de m'exécuter sous ses yeux et son sourire enjôleur. Je pense à mon chéri qui, s'il était ici, me dirait de prendre parti de la situation, agir, prendre l'ascendant sur le galant voyeur. Alors sans le quitter des yeux, je m'applique à faire rouler, un à un, la guipure de mes bas assez lenement, crânement.
Mon voisin accuse le coup, s'assoit sur le haut tabouret au bout de la table et s'applique à m'enduire la jambe de son huile chauffante tout en matant mes jambes. Je m'amuse à imaginer mon chéri qui me dirait de remonter le zip de ma robe jusqu'à l'ouvrir entière, pour donner à contempler non seulement mon string mais aussi mon ventre plat et ma poitrine sertie dans ce bustier pigeonnant. Pendant que ma main joue avec la commande du zip, celles de mon masseur s'appliquent haut sur mes jambes et m'irradient.
- Vous devez ressentir une chaleur dans vos membres inférieurs et je vais vous manipuler pour détendre vos muscles. Repliez une jambe et faite attention à ne pas tacher votre robe!
- Je n'ai pas d'autre choix que de l'ôter, j'avoue.
J'éprouvais un plaisir secret à me dévêtir devant cet homme. Il m'avais donné un prétexte pour m'exhiber. De nouveau debout pour retirer ma robe, je l'observe, je m'affiche devant lui toujours assis. Je tourne sur moi même pour me montrer sous tous les angles, il m'encourage silencieux. Je m'approche très près de lui en lui tournant le dos. Je sens ses mains qui m'effleurent qui s'emploient à détacher les agrafes. La dentelle s'échappe de mes seins. Celle sur mes hanches est contrainte à glisser au sol.
Je suis nue, enfin. Libérée des carcans, en pleine lumière, impudique, incorrecte, prétentieuse. Il s'est relevé, il me fait face, tout près. Je pense à mon mari serait-il admiratif ou méprisant car c'est sa prérogative d'ordinaire de décider.
Mais il n'est pas là et c'est moi qui accepte le contact des lèvres de cet homme sur ma bouche. Sa langue qui fouille la mienne. Ses mains douces qui se posent sur mes bras, les caressent, se posent sur mon ventre, évoluent, se faufilent, s'infiltrent, s'engagent et se dissimulent dans mon sexe offert. Il sait les endroits érogène.
- Allongez-vous là, belle dame. Je vais vous donner ce que vous êtes venu chercher.
Je ferme les yeux et m'abandonne à ce profiteur que je tolère. J'ai d'abord la sensation qu'il persiste dans sa pratique de technicien thérapeute, tant ces gestes sont brefs et rigoureux. Ses doigts en moi, me touchent avec une précision, une régularité, une pression continue et qui pourrait manquer de douceur. Mais rapidement je suis prise de convulsions, des spasmes me contractent me tendent, mes membres sont secoués, je réalise seulement que je suis traversé par un orgasme d'une amplitude que je n'ai jamais éprouvé.
- Vous libérez une quantité de syprine impressionnante ma chère. Cette faculté doit vous encourager dans vos rapports sexuels. Elle est le témoin de votre aptitude à jouir et à faire jouir votre partenaire.
- Vous voulez dire, "mes partenaires"?
Aussitôt dit, aussitôt regretté.
- Ne rougissez pas! J'ai rencontré peu de femme comme vous qui assument leur féminité avec autant d'éclat. Vous êtes fascinante, j'ai très envie de vous. Vous me subjuguez.
- Taisez-vous beau parleur et baissez votre jean que je vois vos attribut.
Aussitôt dit, aussitôt fait.
Je suis toujours allongé et l'homme qui ne porte plus que sa blouse blanche, m'impose de placer mes pieds très écartés, sur les appuis métalliques prévus à cet effet. Je me complais dans cette position parfaitement obscène, je suis prête à le recevoir.
- J'ai aussi très envie de vous et je vois, à la taille de votre membre, que je ne vous suis pas indifférente.
- Je m'interdis d'ordinaire de forniquer avec mes patientes, mais pour vous je suis prêt à parjurer le serment d'Hippocrate.
- Venez mon ami! Venez me sauter, me saillir! De grâce, taisez-vous et baisez-moi!
L'homme me couvre de son corps fin sur cette couche étroite et me pénètre rapidement, je sens sa verge coulisser parfaitement dans de longs mouvements lents depuis les plis de mes grandes lèvres pour s'engouffrer profondément dans mon vagin, conduisant mon plaisir croissant.
Je suis surprise de le voir se détacher de moi et me conduire vers son bureau. D'un geste ample du coude il dégage les dossiers devants moi et me contraind à me plier en deux pour lui offrir une vue détaillée de mon séant.
Je jubile encore à l'idée du spectacle de la vraie dévergondée que j'incarne. Les deux mains appliquées sur mes fesses, je les écarte pour que mon amant distingue mieux encore mon intimité. Ses doigts enduits de lubrifiants, il s'insinue dans mon cul et le force à se détendre par des mouvements circulaires.
- Prends-moi à la hussarde! Saute la putain que je peux être!
- Je vais te casser le cul ma jolie catin.
- Ouiiiii défonce-moi, défouraille, sodomise-moi, joli coeur!
- Ma belle enculée, tu vas prendre. Je vais te profaner, te souiller si c'est ton souhait.
- Ouiiii, j'aime me soumettre je suis une dépravée qui se découvre, donne-moi ta semence, décharge ton foutre au fond de moi. Ahhhhh! C'est chaud, comme c'est bon!
Après avoir repris nos esprits et nous être réajustés, je me suis éclipsée non sans qu'il m'ai fait promettre de nous revoir rapidement.
Je suis impatiente de raconter tout cela à mon amoureux. Quel sera sa réaction? Méprisant? Admiratif? Qui sait?
Pourtant je ne lui ai pas fais d'avance, aucun charme. C'est une douleur dans une cheville qui m'a conduit chez lui.
Vous conviendrez que je ne peux pas empêcher les hommes de me regarder. Généralement ils me dévisagent, me contemple, souvent ils disent m'admirer, ils s'entichent ou cherchent à séduire et j'avoue que c'est flatteur.
C'est vrai, j'attire les hommes sans les provoquer, sans les aborder. Ils disent que mon regard les pénètre, ils parlent de grâce, de sex-appeal, qu'ils sont fascinés, attirées, éblouis... Enfin vous avez compris, ils me draguent.
Certains sont un peu collants, ennuyeux ou insignifiants, mais le plus souvent je les trouve drôles, galants, comment dire, bienveillants, affables. Et comment toujours dédaigner un homme gentils? Ce serait méprisable, non? Alors je souris aussi en essayant de dissiper tout malentendu. Disons que c'est un jeu de séduction perpétuel, intemporel. Alors jouons!
Je vous confie que mon mari est l'instigateur, le révélateur de cet exercice fascinant, qui consiste à nous réjouir, à nous épanouir en s'aventurant sur le chemin excitant du glamour. C'est lui qui nous a fait découvrir pas à pas mon attirance pour l'érotisme, mon goût pour l'exhibition, la sensualité.
Nous dépassons souvent les limites des convenances lors de récréations polissonnes dans lesquelles je suis la proie, le jouet, l'objet de luxure et de dépravation. Une débauche qui m'exalte, qui fait de moi le centre. Je suis adulée, convoitée, bousculée, léchée et toujours comblée!
Mon chéri me met dans des situations qu'il aura imaginé, organisé pour me surprendre, me provoquer, de déstabiliser, me pousser à m'offrir, à jouir. Je suis l'outil de mes propres fantasmes refoulés qu'il aura mis en scène...
Mais là, j'ai mal a la cheville et j'espère que ce bellâtre de kiné va faire des miracles.
- Entrez! Je vous prie. C'est votre cheville? Retirez vos bottines et allongez-vous sur la table d'osculation.
- Docteur, merci de me recevoir si rapidement. Quand je vous ai téléphoné tout à l'heure je n'imaginais pas que vous puissiez m'accueillir ce matin.
- Je suppose que vous auriez choisi une toilette mois sexy et s'eut éte bien regrettable. Grâce à vous, cette journée commence superbement.
Le coquin, c'est vrai que si j'avais pu prévoir, je n'aurais pas choisi cette robe portefeuille assez courte néanmoins sage, quand les pans ne s'ouvrent pas inopinément comme c'est le cas maintenant.
- Restez allongée et laisser cette robe! Vous savez des culottes, j'en vois tous les jours. Ceci-étant, j'avoue que votre string en dentelle et tulle est très attirant.
- Concentrez-vous sur ma jambe, Monsieur le Don Juan bourreau!
- Vous avez raison. Retirez vos bas! Je vais masser vos chevilles avec un onguent réparateur.
Bien obligé de m'exécuter sous ses yeux et son sourire enjôleur. Je pense à mon chéri qui, s'il était ici, me dirait de prendre parti de la situation, agir, prendre l'ascendant sur le galant voyeur. Alors sans le quitter des yeux, je m'applique à faire rouler, un à un, la guipure de mes bas assez lenement, crânement.
Mon voisin accuse le coup, s'assoit sur le haut tabouret au bout de la table et s'applique à m'enduire la jambe de son huile chauffante tout en matant mes jambes. Je m'amuse à imaginer mon chéri qui me dirait de remonter le zip de ma robe jusqu'à l'ouvrir entière, pour donner à contempler non seulement mon string mais aussi mon ventre plat et ma poitrine sertie dans ce bustier pigeonnant. Pendant que ma main joue avec la commande du zip, celles de mon masseur s'appliquent haut sur mes jambes et m'irradient.
- Vous devez ressentir une chaleur dans vos membres inférieurs et je vais vous manipuler pour détendre vos muscles. Repliez une jambe et faite attention à ne pas tacher votre robe!
- Je n'ai pas d'autre choix que de l'ôter, j'avoue.
J'éprouvais un plaisir secret à me dévêtir devant cet homme. Il m'avais donné un prétexte pour m'exhiber. De nouveau debout pour retirer ma robe, je l'observe, je m'affiche devant lui toujours assis. Je tourne sur moi même pour me montrer sous tous les angles, il m'encourage silencieux. Je m'approche très près de lui en lui tournant le dos. Je sens ses mains qui m'effleurent qui s'emploient à détacher les agrafes. La dentelle s'échappe de mes seins. Celle sur mes hanches est contrainte à glisser au sol.
Je suis nue, enfin. Libérée des carcans, en pleine lumière, impudique, incorrecte, prétentieuse. Il s'est relevé, il me fait face, tout près. Je pense à mon mari serait-il admiratif ou méprisant car c'est sa prérogative d'ordinaire de décider.
Mais il n'est pas là et c'est moi qui accepte le contact des lèvres de cet homme sur ma bouche. Sa langue qui fouille la mienne. Ses mains douces qui se posent sur mes bras, les caressent, se posent sur mon ventre, évoluent, se faufilent, s'infiltrent, s'engagent et se dissimulent dans mon sexe offert. Il sait les endroits érogène.
- Allongez-vous là, belle dame. Je vais vous donner ce que vous êtes venu chercher.
Je ferme les yeux et m'abandonne à ce profiteur que je tolère. J'ai d'abord la sensation qu'il persiste dans sa pratique de technicien thérapeute, tant ces gestes sont brefs et rigoureux. Ses doigts en moi, me touchent avec une précision, une régularité, une pression continue et qui pourrait manquer de douceur. Mais rapidement je suis prise de convulsions, des spasmes me contractent me tendent, mes membres sont secoués, je réalise seulement que je suis traversé par un orgasme d'une amplitude que je n'ai jamais éprouvé.
- Vous libérez une quantité de syprine impressionnante ma chère. Cette faculté doit vous encourager dans vos rapports sexuels. Elle est le témoin de votre aptitude à jouir et à faire jouir votre partenaire.
- Vous voulez dire, "mes partenaires"?
Aussitôt dit, aussitôt regretté.
- Ne rougissez pas! J'ai rencontré peu de femme comme vous qui assument leur féminité avec autant d'éclat. Vous êtes fascinante, j'ai très envie de vous. Vous me subjuguez.
- Taisez-vous beau parleur et baissez votre jean que je vois vos attribut.
Aussitôt dit, aussitôt fait.
Je suis toujours allongé et l'homme qui ne porte plus que sa blouse blanche, m'impose de placer mes pieds très écartés, sur les appuis métalliques prévus à cet effet. Je me complais dans cette position parfaitement obscène, je suis prête à le recevoir.
- J'ai aussi très envie de vous et je vois, à la taille de votre membre, que je ne vous suis pas indifférente.
- Je m'interdis d'ordinaire de forniquer avec mes patientes, mais pour vous je suis prêt à parjurer le serment d'Hippocrate.
- Venez mon ami! Venez me sauter, me saillir! De grâce, taisez-vous et baisez-moi!
L'homme me couvre de son corps fin sur cette couche étroite et me pénètre rapidement, je sens sa verge coulisser parfaitement dans de longs mouvements lents depuis les plis de mes grandes lèvres pour s'engouffrer profondément dans mon vagin, conduisant mon plaisir croissant.
Je suis surprise de le voir se détacher de moi et me conduire vers son bureau. D'un geste ample du coude il dégage les dossiers devants moi et me contraind à me plier en deux pour lui offrir une vue détaillée de mon séant.
Je jubile encore à l'idée du spectacle de la vraie dévergondée que j'incarne. Les deux mains appliquées sur mes fesses, je les écarte pour que mon amant distingue mieux encore mon intimité. Ses doigts enduits de lubrifiants, il s'insinue dans mon cul et le force à se détendre par des mouvements circulaires.
- Prends-moi à la hussarde! Saute la putain que je peux être!
- Je vais te casser le cul ma jolie catin.
- Ouiiiii défonce-moi, défouraille, sodomise-moi, joli coeur!
- Ma belle enculée, tu vas prendre. Je vais te profaner, te souiller si c'est ton souhait.
- Ouiiii, j'aime me soumettre je suis une dépravée qui se découvre, donne-moi ta semence, décharge ton foutre au fond de moi. Ahhhhh! C'est chaud, comme c'est bon!
Après avoir repris nos esprits et nous être réajustés, je me suis éclipsée non sans qu'il m'ai fait promettre de nous revoir rapidement.
Je suis impatiente de raconter tout cela à mon amoureux. Quel sera sa réaction? Méprisant? Admiratif? Qui sait?
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