J'aime faire plaisir !
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 216 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Alainylon ont reçu un total de 1 920 244 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 689 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
J'aime faire plaisir !
J’étais invité à une soirée anniversaire. Une foule se pressait autour d'un buffet largement garni. Je m'ennuyais, mais pour des obligations professionnelles, je n'avais pas eu le laissé le choix de refuser l'invitation.
Heureusement pour moi en ce mois d’Avril il faisait une bonne température à l’extérieur, alors je pris la décision de m’y m’aventurer. Et je n’étais pas le seul. Des convives était éparpillés un peu partout. Parmi les gens qui s’y trouvaient, une paire de jambes d'un galbe parfait, gainées de nylon noir et brillant attira mon attention. Assise sur le muret de dos. M'approchant avec curiosité, je découvrais une femme d‘un âge certain, brune avec un grand décolletée : - Déçu, mon jeune ami, lança-t-elle une voix chaude et enjôleuse.
N’aspirant qu’à me régaler les yeux. Un plaisir t’esthète ou contentement nébuleux selon où en me classe. Mais, qu’importe, j’assumais mon côté voyeur, du moment qu’il reste complaisant.
Surtout qu’elle berçais lentement ses jambes à droite et à gauche. Peut-être portait-elle des bas ? Une petite prière pour que m’apparaisse une petite dentelle. Ah, un rien m’excitait, parfois ! Mais c’était tellement beau à voir. Merci mesdames… Mais le visage n’était pas à la hauteur de ses jambes. Loin s’en faut !
- Déçu, me fit-elle, de nouveau. Même… - Non… non, madame ! De loin je vous avez prit pour une autre personne… - Vous savez je ne serai pas contre une petite discussion.
- Pourquoi pas.
Un moyen comme un autre de faire passer le temps. Puis on commençâmes à converser aimablement. Bien entendu, je lui proposai de lui offrir un cocktail. Nous prîmes place autour d’un guéridon. La manière de croiser les jambes quasiment en me frôlant la jambe avait le don de m’exciter au plus haut point. Mais pas assez pour passer à l’acte. D’ailleurs je trouvais le prétexte que je devais me rendre à la gare pour récupérer ma femme pour prendre congé.
Mais alors que je me levais-je remarquais assise à une table voisine, une femme brune au beau visage. Elle conversait avec un couple lorsque son regard accrocha le mien. L’homme s’en aperçut, il se retourna et me dévisagea, puis ses yeux revinrent se poser sur le visage de celle qui me fixait. Un léger sourire illuminait son visage et il se leva, entraînant sa compagne sur la piste de danse.
J’aurais pu profiter de l’occasion pour faire connaissance avec la belle inconnue. Mais je n’en fis rien, je continuais mon chemin après lui avoir souris. Pendant tout le long de la cérémonie nous n’avions elle comme moi cessé de nous regarder.
Et comme c’était prévisible, et souhaité, le couple s’en est allée, la laissant seule à la table à son sort. Alors j’en ai profité pour la rejoindre, pour faire plus ample connaissance avec ma chère inconnue.
Une fois dans la voiture, elle se crut obligée de me laisser entendre qu’elle n’était pas une femme facile. Ce n’était pas la première fois que j’entendais ce genre de parole sortir de la bouche d’une nouvelle conquête.
J’en fis ma propre traduction personnelle.
Assis sur le divan de son salon, nous bûmes une, puis deux cocktails. Chaque fois qu’elle riait de mes plaisanteries, Eliane en profitait pour quémander un baiser de ma part, ou alors poser sa main sur ma cuisse.
Incité par son audace je me laissai moi-aussi emporté par la conviction qu’elle désirait la même chose de ma part. Alors je me mis en devoir de lui peloter les seins pour une première approche. Découvrant avec plaisir qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Bien sûr elle se laissa peloter, aussitôt, je glissa la main sous sa jupe. Le bout de mes doigts caressèrent le haut de ses bas puis arrivèrent très vite sur la peau qui était d’une incomparable douceur.
Je profitais de l’occasion, pour les hasarder sous l’ourlet de la lingerie, mais Eliane repoussa ma main mollement, et se leva pour commencer à se déshabiller. Elle me dévoila lentement l’arrière de ses cuisses, puis elle fit descendre lentement sa dentelle de couleur mauve le long de ses jambes, m’exhibant une paire de fesses rebondies.
Comme je n’existais pas, elle défit les boutons de son corsage qu’elle retira d’un geste rapide. Certaine de l’effet qu’elle allait produire sur moi, elle se retourna et me présenta sa poitrine. Je lui pris les seins à pleines mains. Leur forme était légèrement allongées.
Je m’attardais dans la contemplation de son corps. Sous son ventre, un rectangle de poils noirs comme je les aime. Éliane fit les quelques pas qui nous séparé, et s’agenouilla entre mes jambes. Sans dire un mot, elle plaqua la paume de sa main sur ma braguette et, relevant la tête, elle m’offrit un sourire de satisfaction.
Je bandais fort dans mon slip, dans une position inconfortable et douloureuse. La coquine remit les choses en ordre. Elle défit mon ceinturon et déboutonna mon pantalon. Ses doigts n’avaient plu qu’à tirer sur l’élastique de mon slip. Elle me griffa les couilles avec ses ongles en la dégageant. Puis elle commença par lécher le filet de mouille qui accusait mon excitation. Ceci fait, elle laissa mon gland faire connaissance avec sa bouche. Les lèvres goulûment resserrées, elle releva la tête en suçant.
En soupesant mes couilles d’une main, elle pressa ma queue de l’autre, et la goba de nouveau avec avidité. Mon gland atteignit son palais et sa chevelure me caressa le ventre. Alors que sa langue léchait l’extérieur de ma verge, elle en saisit la base pour me branler.
Je m’entendais respirer très fort, ce qui parut plaire à ma partenaire d’un soir. Elle me regarda fixement puis elle se mit à onduler des fesses, comme pour frotter son sexe sur un membre fictif. Son corps nu, qui chaloupait entre mes cuisses m’excitait extrêmement.
Alors, je la repoussais par les épaules. Elle dirigea son regard vers moi, lâcha ma verge luisante de salive. Je la fis grimper sur le divan et d’elle-même se mit à quatre pattes, le menton posé sur l’accoudoir.
-j’espère pour toi que tu aimes prendre tes partenaires en levrette ?
-je prends mes partenaires comme elle me le demande, répondis-je en me retirant un après l’autre mes vêtements.
Puis je me plaçais derrière elle. Je lui mis d’abord mon sexe entre ses fesses. Les saisissant à pleines mains, je les resserrai l’une contre l’autre. J’entrepris de me masturber de la sorte, le bout de ma queue écrasé dans sa raie.
Je n’en pouvais plus. Bien campé sur les jambes, j’approchai mon gland de sa vulve. Je le frottai contre sa fente. Elle était trempée et une légère poussée suffit pour que je m’y enfonce. La queue serrée dans son antre étroit, j’annonçai un premier retrait puis, d’un brusque coup de reins, je m’engloutis jusqu’aux couilles.
Sous l’impact, elle redressa le buste et s’agrippa au dossier. Pour mieux supporter les coups de boutoir que je lui infligeais, elle tendait la croupe en arrière et creusait les reins. Mon membre coulissait gracieusement entre ses lèvres de toute sa longueur.
J’eus d’un coup envie de la gratifier d’autres sensations dont j’en avais le secret, mais aussi le désir. Dégageant ma bite de son vagin poisseux, je la lui mis dans l’anus. Elle poussa un cri, puis des gémissements qui durèrent aussi longtemps que je continuais à l’enculer.
Les mains cramponnées à ses hanches, je lui défonçais le derrière. Elle n’arrêtait pas de laisser tomber : -oh ! Que c’est bon… je n’aurais jamais cru que cela allait me plaire tant que ça… Je m’excitais à voir ses fesses buter contre mon ventre faisant de surcroit disparaître ma verge dans ses entrailles. Quand elle se mit à hurler, je laissais mon orgasme s’exclamait. Haletants, plaqués l’un contre l’autre, nous restâmes un long moment immobiles.
La coquine voulut me revoir et pas plus tard que le lendemain. Je ne m’étais pas fait prier pour la rejoindre de nouveau dans son appartement. Elle attendit notre troisième rencontre pour me proposer une aventure avec le couple qui l’accompagné lors de notre première rencontre à la réception.
J’avais souvenir du visage de l’homme, mais pas de celui de la femme qui l’accompagnée. Du genre aventurier j’ai tout de suite accepté. Cela donnera peut-être naissance à une nouvelle histoire, allez savoir ! Enfin si mon orthographe ne vous gêne pas !
Heureusement pour moi en ce mois d’Avril il faisait une bonne température à l’extérieur, alors je pris la décision de m’y m’aventurer. Et je n’étais pas le seul. Des convives était éparpillés un peu partout. Parmi les gens qui s’y trouvaient, une paire de jambes d'un galbe parfait, gainées de nylon noir et brillant attira mon attention. Assise sur le muret de dos. M'approchant avec curiosité, je découvrais une femme d‘un âge certain, brune avec un grand décolletée : - Déçu, mon jeune ami, lança-t-elle une voix chaude et enjôleuse.
N’aspirant qu’à me régaler les yeux. Un plaisir t’esthète ou contentement nébuleux selon où en me classe. Mais, qu’importe, j’assumais mon côté voyeur, du moment qu’il reste complaisant.
Surtout qu’elle berçais lentement ses jambes à droite et à gauche. Peut-être portait-elle des bas ? Une petite prière pour que m’apparaisse une petite dentelle. Ah, un rien m’excitait, parfois ! Mais c’était tellement beau à voir. Merci mesdames… Mais le visage n’était pas à la hauteur de ses jambes. Loin s’en faut !
- Déçu, me fit-elle, de nouveau. Même… - Non… non, madame ! De loin je vous avez prit pour une autre personne… - Vous savez je ne serai pas contre une petite discussion.
- Pourquoi pas.
Un moyen comme un autre de faire passer le temps. Puis on commençâmes à converser aimablement. Bien entendu, je lui proposai de lui offrir un cocktail. Nous prîmes place autour d’un guéridon. La manière de croiser les jambes quasiment en me frôlant la jambe avait le don de m’exciter au plus haut point. Mais pas assez pour passer à l’acte. D’ailleurs je trouvais le prétexte que je devais me rendre à la gare pour récupérer ma femme pour prendre congé.
Mais alors que je me levais-je remarquais assise à une table voisine, une femme brune au beau visage. Elle conversait avec un couple lorsque son regard accrocha le mien. L’homme s’en aperçut, il se retourna et me dévisagea, puis ses yeux revinrent se poser sur le visage de celle qui me fixait. Un léger sourire illuminait son visage et il se leva, entraînant sa compagne sur la piste de danse.
J’aurais pu profiter de l’occasion pour faire connaissance avec la belle inconnue. Mais je n’en fis rien, je continuais mon chemin après lui avoir souris. Pendant tout le long de la cérémonie nous n’avions elle comme moi cessé de nous regarder.
Et comme c’était prévisible, et souhaité, le couple s’en est allée, la laissant seule à la table à son sort. Alors j’en ai profité pour la rejoindre, pour faire plus ample connaissance avec ma chère inconnue.
Une fois dans la voiture, elle se crut obligée de me laisser entendre qu’elle n’était pas une femme facile. Ce n’était pas la première fois que j’entendais ce genre de parole sortir de la bouche d’une nouvelle conquête.
J’en fis ma propre traduction personnelle.
Assis sur le divan de son salon, nous bûmes une, puis deux cocktails. Chaque fois qu’elle riait de mes plaisanteries, Eliane en profitait pour quémander un baiser de ma part, ou alors poser sa main sur ma cuisse.
Incité par son audace je me laissai moi-aussi emporté par la conviction qu’elle désirait la même chose de ma part. Alors je me mis en devoir de lui peloter les seins pour une première approche. Découvrant avec plaisir qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Bien sûr elle se laissa peloter, aussitôt, je glissa la main sous sa jupe. Le bout de mes doigts caressèrent le haut de ses bas puis arrivèrent très vite sur la peau qui était d’une incomparable douceur.
Je profitais de l’occasion, pour les hasarder sous l’ourlet de la lingerie, mais Eliane repoussa ma main mollement, et se leva pour commencer à se déshabiller. Elle me dévoila lentement l’arrière de ses cuisses, puis elle fit descendre lentement sa dentelle de couleur mauve le long de ses jambes, m’exhibant une paire de fesses rebondies.
Comme je n’existais pas, elle défit les boutons de son corsage qu’elle retira d’un geste rapide. Certaine de l’effet qu’elle allait produire sur moi, elle se retourna et me présenta sa poitrine. Je lui pris les seins à pleines mains. Leur forme était légèrement allongées.
Je m’attardais dans la contemplation de son corps. Sous son ventre, un rectangle de poils noirs comme je les aime. Éliane fit les quelques pas qui nous séparé, et s’agenouilla entre mes jambes. Sans dire un mot, elle plaqua la paume de sa main sur ma braguette et, relevant la tête, elle m’offrit un sourire de satisfaction.
Je bandais fort dans mon slip, dans une position inconfortable et douloureuse. La coquine remit les choses en ordre. Elle défit mon ceinturon et déboutonna mon pantalon. Ses doigts n’avaient plu qu’à tirer sur l’élastique de mon slip. Elle me griffa les couilles avec ses ongles en la dégageant. Puis elle commença par lécher le filet de mouille qui accusait mon excitation. Ceci fait, elle laissa mon gland faire connaissance avec sa bouche. Les lèvres goulûment resserrées, elle releva la tête en suçant.
En soupesant mes couilles d’une main, elle pressa ma queue de l’autre, et la goba de nouveau avec avidité. Mon gland atteignit son palais et sa chevelure me caressa le ventre. Alors que sa langue léchait l’extérieur de ma verge, elle en saisit la base pour me branler.
Je m’entendais respirer très fort, ce qui parut plaire à ma partenaire d’un soir. Elle me regarda fixement puis elle se mit à onduler des fesses, comme pour frotter son sexe sur un membre fictif. Son corps nu, qui chaloupait entre mes cuisses m’excitait extrêmement.
Alors, je la repoussais par les épaules. Elle dirigea son regard vers moi, lâcha ma verge luisante de salive. Je la fis grimper sur le divan et d’elle-même se mit à quatre pattes, le menton posé sur l’accoudoir.
-j’espère pour toi que tu aimes prendre tes partenaires en levrette ?
-je prends mes partenaires comme elle me le demande, répondis-je en me retirant un après l’autre mes vêtements.
Puis je me plaçais derrière elle. Je lui mis d’abord mon sexe entre ses fesses. Les saisissant à pleines mains, je les resserrai l’une contre l’autre. J’entrepris de me masturber de la sorte, le bout de ma queue écrasé dans sa raie.
Je n’en pouvais plus. Bien campé sur les jambes, j’approchai mon gland de sa vulve. Je le frottai contre sa fente. Elle était trempée et une légère poussée suffit pour que je m’y enfonce. La queue serrée dans son antre étroit, j’annonçai un premier retrait puis, d’un brusque coup de reins, je m’engloutis jusqu’aux couilles.
Sous l’impact, elle redressa le buste et s’agrippa au dossier. Pour mieux supporter les coups de boutoir que je lui infligeais, elle tendait la croupe en arrière et creusait les reins. Mon membre coulissait gracieusement entre ses lèvres de toute sa longueur.
J’eus d’un coup envie de la gratifier d’autres sensations dont j’en avais le secret, mais aussi le désir. Dégageant ma bite de son vagin poisseux, je la lui mis dans l’anus. Elle poussa un cri, puis des gémissements qui durèrent aussi longtemps que je continuais à l’enculer.
Les mains cramponnées à ses hanches, je lui défonçais le derrière. Elle n’arrêtait pas de laisser tomber : -oh ! Que c’est bon… je n’aurais jamais cru que cela allait me plaire tant que ça… Je m’excitais à voir ses fesses buter contre mon ventre faisant de surcroit disparaître ma verge dans ses entrailles. Quand elle se mit à hurler, je laissais mon orgasme s’exclamait. Haletants, plaqués l’un contre l’autre, nous restâmes un long moment immobiles.
La coquine voulut me revoir et pas plus tard que le lendemain. Je ne m’étais pas fait prier pour la rejoindre de nouveau dans son appartement. Elle attendit notre troisième rencontre pour me proposer une aventure avec le couple qui l’accompagné lors de notre première rencontre à la réception.
J’avais souvenir du visage de l’homme, mais pas de celui de la femme qui l’accompagnée. Du genre aventurier j’ai tout de suite accepté. Cela donnera peut-être naissance à une nouvelle histoire, allez savoir ! Enfin si mon orthographe ne vous gêne pas !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Alainylon
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...