J'aime jouir
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2012 dans la catégorie Plus on est
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J'aime jouir
Je n'aime qu'une seule chose dans la vie: jouir. Il faut dire que je
me suis branlée la première fois vers 12 ans et que j'ai connu un
plaisir inconnu, dans mon ventre, à tel point que j'ai remis ma main
sur l'endroit d'où venait cette jouissance. J'ai continué ainsi
plusieurs années, jusqu'à ma rentrée au lycée: j'étais assez bonne
élève. Depuis l'école primaire j'étais pratiquement avec les mêmes
camarades de classe. J'avais une bonne copine avec qui nous
révision souvent ensemble.
Un jour je lui parlais de mes plaisirs solitaires. Sans gêne elle me
disant que de son coté elle aimait aussi se faire du bien. Je lui
expliquais comment je faisais, elle aussi. Mais rien ne vaut les
explications illustrées. C'est sans vouloir aller plus loin que je levais
ma jupe et baissais ma culotte. J'écartais mes jambes et je sortais
de sa abri mon petit bouton. Je commençais à me branler en lui
montrant en détail ce que je faisais. Elle était intéressée et à son
tour voulait me montrer ce qu'elle se faisait.
Sans nous en rendre compte, notre masturbation commune nous
excitait tant qu'à la fin elle a voulu me donner du plaisir: je la
laissais faire et à ce moment là j'avais une révélation, c'était bien
mieux si quelqu'un d'autre me caressait à ma place: je jouissais
comme jamais. Quand je finissais de jouir je lui proposais de la
branler. Avec un peu de répulsion elle acceptais que je lui mette la
main au con. je trouvais presque de suite son bouton et je le
caressais comme si c'était pour moi. Je la faisais jouir. Nous nous
voyons à cette époque deux fois par semaine et à chaque fois
nous recommencions à nous faire jouir, sans plus. Ce n'est qu'en
première que nous avons eu des rapports plus intimes.
Il faut dire qu'entre temps j'allais passer mes vacances dans le midi,
chez ma grand-mère, où comme tous les ans la famille se
réunissait. Il y avait ma cousine qui avait deux ans de plus que moi.
Nous étions très intimes et je lui racontais mes "aventures" avec
ma copine de lycée: elle en riait.
Le soir, nos chambres étant contiguës, elle venait me voir juste
pendant que je me déshabillais pour aller me coucher. J'étais gênée
d'être presque nue devant elle. Elle s'approchait de moi et pour me
tranquillisait elle me donnait un bisou sur la joue. Enfin elle me
mettait directement une main sur la pubis, sans aller au delà.
Pourtant sa bouche déviait de plus en plus vers la mienne et ses
lèvres étaient contre les miennes. C'était un vrai baiser. Je savais
qu'il arrivait aux filles de s'embrasser et même d'aller plus loin, la
preuve avec ma copine, et certainement au delà. Elle finissait de
me déshabiller et de son coté elle était vite nue. Elle me poussait
sur le lit et entamait mon éducation, comme elle disait. Au début ce
n'était pas différent de ce que je connaissais: elle me branlait et je
le lui rendait. La seule différence était que notre baiser continuait
sans fin.
Elle me faisait jouir plusieurs fois. je lui rendais caresses pour
caresses. C'est par la suite qu'elle m'enjambait et faisait un tête à
queue. J'avais tout son sexe sur les yeux, et je sentais son souffle
sur le mien. Je sentais surtout sa langue se posait sur ma fente et
lécher de bas en haut. pour la première fois j'avais une langue sur
mon cul où elle s'y attardait un moment. Cette langue qui en frôlant
mes lèvres venaient lécher mon bouton. Dès ce contact, je sentais
comme une décharge électrique dans mon corps entier. Au début je
me laissais aller à cette nouveauté. Je profitais pleinement de cette
langue qui s'agitait sur mon sexe. Excitée par ce qu'elle me faisait,
ma cousine poussait son sexe sur ma bouche et à mon tour je lui
léchais le clitoris. Je jouissais sans fin. Le plus surprenant pour moi
était de sentir les contraction de jouissance de ma cousine sur ma
langue. Nous restions ainsi un bon moment à nous lécher jusqu'à
épuisement.
Nous avions passé nos vacances à baiser chaque soir, une fois
dans ma chambre, une fois dans la sienne.
Les vacances finies, je retrouvais ma copine de lycée. Elle voulait
reprendre nos masturbations comme avant. Je lui disais que j'avais
été initié à une autre façon de prendre notre pied. Je lui expliquais
comment j'avais baisé avec une autre fille et que d'était très bon.
Un peu surprise elle acceptait d'être à son tour "victime" de mes
attouchements. Ce n'est qu'après un 69, avec un doigt dans le cul
qu'enfin elle était satisfaite. Ce doigt au cul, c'est elle qui le voulait:
je n'avais pas essayé. C'est elle qui m'a donné goût à ce genre de
plaisir. Il n'empêche que au moins une fois par jour je me branlais.
L'année du bac nous étions toujours à nous faire l'amour avec ma
copine deux fois par semaine, le mercredi et le samedi après midi.
pourtant un jour toujours au lycée je faisais la connaissance d'un
nouveau venu dans la classe. Il me semblait beau et séduisant. je
craquais devant ses yeux bleus. Il m'a embrassé entre deux cours
et je lui répondais. Il me donnait rendez-vous pour le dimanche
suivant dans un petit café de quartier, pas loin de chez lui; La veille
j'avais fait l'amour avec ma copine et m'étais déjà branlée le matin
même en pensant à lui.
Je sais comment les couples normaux baisent et j'étais prête à me
faire sauter la capsule par ce garçon. Parait-il que c'est bon de se
faire mettre, alors je suis presque pressée de savoir le plaisir qu'on
peut avoir avec une queue en soi. Nous nous rencontrons et sans
attendre il m'embrasse. Son baiser est plus profond que celui de ma
cousine ou de ma copine. Nous sommes attablés et il commence à
me peloter. Ses mains sont douces sur mes seins à travers le t-shirt.
J'ai envie qu'il me mette une main au panier.
Nous partons chez lui: ses parents sont absents jusqu'au
lendemain. Il en profite pour me faire rentrer dans le salon où trône
un immense téléviseur plasma. Il me fait asseoir et me demande si
j'aime les films pornos. Je ne peux répondre pour la bonne raison
que je n'en ai jamais vu. Il met un DVD en place et le film
commence. Je ne sais quelle histoire sert de trame à un film
entièrement dédié à la baise entre couple ou entre filles. Pour les
filles se sait comment on fait et je n'ai pas honte de le lui dire. Par
contre pour les couple je découvre une foule de détails qui
m'intéresse au plus haut point.
Pendant la projection enfin il me met la main au panier. Il remonte
ma jupe et écarte ma culotte. Il cherche un peu et trouve mon
clitoris, il me branle assez maladroitement, en tout cas moins bien
qu'une fille. Je regarde son pantalon et vois la bosse de sa queue.
J'y mets la main. J'essaye de défaire sa ceinture et n'y arrive pas.
Nous nous levons et chacun de notre coté, pour aller plus vite nous
nous mettons nus. Je regarde sa bite qui me semble assez grosse
par rapport au film. Nous revenons sur le divan reprenons notre
baiser. Il n'a plus sa main sur mon bouton, il me caresse les seins
doucement et calmement, alors que je vois que sa bite se tendre
par à coup. Mais je me laisse faire: il me fait du bien en me
touchant la poitrine. Enfin il descend à nouveau sa main et cette
fois me branle comme j'aime. Je ne tarde pas à jouir dans sa main.
Je voudrait lui rendre la pareille, mais voila je n'ai jamais branlé un
homme. Il prend ma main qui entoure sa queue et me montre
comment bien faire les vas et viens. Je dois trouver la bonne
cadence puisque je vois que son sperme gicler très haut puisqu'une
petite partie tombe sur mes seins.
Je me demande s'il va bander à nouveau. il est jeune et me veux. Il
m'explique que s'il a voulu que je le branle s'est pour mieux faire
durer la suite. Je ne demande pas qu'elle est la suite: je l'ai vue sur
le téléviseur. Il me donne encore un long baiser et me branle
encore une fois. Je suis trempée de cyprine. Je jouis encore et il me
couche sur le divan. J'écarte beaucoup les jambes. Il se glisse
entre elles et pose sa pine sur mon con. Je ne le guide même pas:
je ne suis pas sa première fille: il rentre un peu de bite dans ma
vulve en feu. Je n'ai pas mal. Mais arrive le moment où il touche
mon hymen. Il me demande si réellement je veux qu'il me fasse
femme. Bien sur, alors d'un coup de rein bien vigoureux, il me
pénètre. je pousse un cri de douleur vite dépassée par un nouveau
plaisir, celui d'avoir une queue dans le con. il va et vient de plus en
plus vite: à la fin j'accompagne ses mouvements. Et a sa surprise je
jouis bien avant lui. Il se retire et me demande si je ne veux pas
essayer la sodomie. je n'hésite pas: j'ai une queue à ma disposition
je veux en profiter jusqu'au bout.
Je vais jusqu'à me mettre le cyprine de mon con sur l'entrée de mon
anus et cette fois, c'est moi qui le guide. J'ai sa queue en main, je
la sens frémir, je tâte les veines autour de cet engin et enfin j'ouvre
le plus large possible mes fesses. Je pose la pine sur l'anus et je
suis prête à l'avoir dans le cul. Il y rentre très lentement pour que je
sois détendue. Je sens bien que son gland est en moi. Il s'enfonce
dans mes entrailles à fond, puisque je sens ses couilles battre
contre mes fesses. Je suis gênée au début. Mon cul s'habitue à la
présence de cette pine. Et enfin je sens un bien être envahir
encore mon bas ventre: Je jouis. Mon orgasme est différent de
l'autre. Enfin je sens qu'il décharge son sperme dans mon ventre. Il
se retire.
Je pense que c'est fini: je me trompe, il me veux encore. Cette fois
il veut me sucer. Je suis bien sur d'accord. Je craignais d'avoir à
choisir entre le plaisir qu'il allait me donner et ceux que mon
données les deux filles.
Il me suce presque comme elles, avec peut être un peu moins de
tendresse. Pourtant sa langues est très curieuse: elle se glisse
dans tous les recoin de mon con. Je dirige sa tête vers mon clitoris.
Et enfin je jouis dans la bouche d'un homme.
Il m'emmène dans la salle de bain pour que je lui lave la queue. Je
la lui prend et avec le savon je la lave lentement: il bande trop et je
ne voudrais pas qu'il jouisse comme ça dans le lavabo.
Nous allons a nouveau dans le salon et là il me dit que puisque je
lui ai lavé la bite, je peux le sucer. Je me penche et met le bout de
sa bite dans la bouche. C'est l'instinct qui dicte mes gestes: je
lèche d'abord le haut de son sexe et avec mes lèvres je fais
descendre son prépuce. Je trouve au passage son méat que
j'agace un moment et son gland où je m'attarde longtemps. Je serre
les lèvres pour engamer le plus possible sa pine. J'arrive presqu’île
ma luette. Je ne vais pas plus loin de peur de vomir. Je remonte
lentement et recommence. Il m'arrête pour que nous fassions un
69. je me retrouve avec sa bouche sur le con et sa bite dans la
bouche. Je suis dessus et me sens maîtresse de la situation: je suis
libre de faire durer nos plaisirs autant de temps qu'il me plaira. J'en
profite bien sur, puisqu'il me fait toujours jouir. Enfin je décide de sa
jouissance: j'accélère mes mouvements de langue et je reçois pour
la première fois son sperme dans la bouche. Je ne sais que faire,
aller le cracher dans le lavabo ? Ou alors le garder et le partager
avec lui. C'est ce que je fais, je suis suffisamment salope pour le
faire. Il a un moment de rejet quand je pose ma bouche pleine sur la
sienne. Il faut qu'il partage. Avec un moment de rejet, finalement il
accepte de partager sa liqueur.
Enfin nous finissons de baiser. J'ai encore envie de me branler et
là, sans rien dire, devant ce film qui après s'être rembobiné reprend
les baise en série, je ma masturbe devant lui qui n'en peut plus.
Nous devons nous retrouver la semaine prochaine.
J'ai le temps de mettre en place une ruse pour la semaine
prochaine. Nous devons nous retrouver chez lui: je ne viendrai pas
seule. je convaincs ma copine de venir se faire mettre par ce
garçon plein de talent. Quand je lui explique les orgasmes que j'ai
eu et que je lui dis qu'en plus nous pourrons baisser toutes les deux
devant lui, elle est aussitôt excitée et je doit vite la sucer pour la
calmer un peu. Elle me le rend bien.
Le dimanche nous arrivons chez mon jeune amant et il est surpris
de nous voir à deux. Quand je lui dit qu'elle est mon amante, il
l'accepte aussitôt. Ils échangent même des impressions sur mes
façons de baiser. Ils sont aussi salauds que moi.
Cette fois, je sais qu'il va moins me baisser, pour se consacrer un
peu à ma copine. C'est logique. J'ai porté avec mon un godemiché
que j'ai acheté cette semaine, après l'avoir essayer ce matin
même. Sans attendre, nous sommes nus: après tout nous sommes
pour baiser, pas pour nous faire des mamours. Au début nous nous
embrassons avec ma copine rien que pour le voir bander. Ensuite
nous nous branlons et lui est obligé de commencer à se toucher la
queue qui se porte toujours aussi grosse. Nous n'avons plus besoin
de film porno: c'est nous le film.
Ma copine l'embrasse sur la bouche et moi je me penche pour lui
prendre la queue dans la bouche et le sucer comme la semaine
dernière. Je sens qu'il grossit dans ma bouche et je n'attends pas
longtemps son sperme. Il déverse sa semence dans la bouche.
Cette fois je ne vais pas partager avec lui: je prend le bouche de
mon amante et y déverse le trop plein de sperme. Elle apprécie
puisqu'elle avale. Comme notre amant commun est pour le moment
inapte à tout, nous allons faire un 69 avec ma copine. Bien sur je lui
mets les doigts au cul, comme elle aime. De son coté elle me rentre
presque la main dans mon anus: j'en jouis
Nous voir baiser entre fille excite enfin notre copain: il bande
fortement. J'offre la virginité de mon amante. Il se couche sur elle et
commence à la lui mettre dans le vagin. Elle ne dit rien qu'en il est
totalement en elle. Et comme moi, elle jouit avant lui. Je demande
sa place et me retrouve avec sa queue dans le con. Dès le départs
de nos vas et viens je commence à jouir et n'arrête plus jusqu'à sa
propre jouissance. Mon amante se branle en nous voyant baiser.
Notre amant est encore hors jeu. Je prend le godemiché et pour le
réveiller je demande à mon amante de lui sucer la pine et lui
caresser les couilles pendant que je vais l'enculer. Il rechigne de se
faire mettre par une femme et finalement il bande encore. Mon
amante profite de cette bite dans la bouche pour le sucer. Je
continues jusqu'à ce qu'il demande grâce, juste avant de lâcher son
sperme dans la bouche de ma copine. Je lui remet dans le cul le
gode: au début il ne veut pas, mais devant deux femmes en furie
qui le veulent il est bien obligé de se laisser enculer. Il est sur le
dos: je pose mon con sur sa bouche et prend celui de ma copine
qui le suce encore et toujours. Cette fois nous jouissons ensemble.
je retire le gode et le plonge dans le cul de ma copine qui pour elle
l'accepte très bien, alors que c'est la première fois qu'elle se fait
mettre là.
Nous continuons longuement. je crois bien que les couilles de notre
amant sont vides. Alors nous finissons avec mon amante par un
magnifique 69. Je sais se que je pourrais dire à ma cousine la
prochaine fois: elle n'a sans doute jamais fait autant que ce que je
fais.
me suis branlée la première fois vers 12 ans et que j'ai connu un
plaisir inconnu, dans mon ventre, à tel point que j'ai remis ma main
sur l'endroit d'où venait cette jouissance. J'ai continué ainsi
plusieurs années, jusqu'à ma rentrée au lycée: j'étais assez bonne
élève. Depuis l'école primaire j'étais pratiquement avec les mêmes
camarades de classe. J'avais une bonne copine avec qui nous
révision souvent ensemble.
Un jour je lui parlais de mes plaisirs solitaires. Sans gêne elle me
disant que de son coté elle aimait aussi se faire du bien. Je lui
expliquais comment je faisais, elle aussi. Mais rien ne vaut les
explications illustrées. C'est sans vouloir aller plus loin que je levais
ma jupe et baissais ma culotte. J'écartais mes jambes et je sortais
de sa abri mon petit bouton. Je commençais à me branler en lui
montrant en détail ce que je faisais. Elle était intéressée et à son
tour voulait me montrer ce qu'elle se faisait.
Sans nous en rendre compte, notre masturbation commune nous
excitait tant qu'à la fin elle a voulu me donner du plaisir: je la
laissais faire et à ce moment là j'avais une révélation, c'était bien
mieux si quelqu'un d'autre me caressait à ma place: je jouissais
comme jamais. Quand je finissais de jouir je lui proposais de la
branler. Avec un peu de répulsion elle acceptais que je lui mette la
main au con. je trouvais presque de suite son bouton et je le
caressais comme si c'était pour moi. Je la faisais jouir. Nous nous
voyons à cette époque deux fois par semaine et à chaque fois
nous recommencions à nous faire jouir, sans plus. Ce n'est qu'en
première que nous avons eu des rapports plus intimes.
Il faut dire qu'entre temps j'allais passer mes vacances dans le midi,
chez ma grand-mère, où comme tous les ans la famille se
réunissait. Il y avait ma cousine qui avait deux ans de plus que moi.
Nous étions très intimes et je lui racontais mes "aventures" avec
ma copine de lycée: elle en riait.
Le soir, nos chambres étant contiguës, elle venait me voir juste
pendant que je me déshabillais pour aller me coucher. J'étais gênée
d'être presque nue devant elle. Elle s'approchait de moi et pour me
tranquillisait elle me donnait un bisou sur la joue. Enfin elle me
mettait directement une main sur la pubis, sans aller au delà.
Pourtant sa bouche déviait de plus en plus vers la mienne et ses
lèvres étaient contre les miennes. C'était un vrai baiser. Je savais
qu'il arrivait aux filles de s'embrasser et même d'aller plus loin, la
preuve avec ma copine, et certainement au delà. Elle finissait de
me déshabiller et de son coté elle était vite nue. Elle me poussait
sur le lit et entamait mon éducation, comme elle disait. Au début ce
n'était pas différent de ce que je connaissais: elle me branlait et je
le lui rendait. La seule différence était que notre baiser continuait
sans fin.
Elle me faisait jouir plusieurs fois. je lui rendais caresses pour
caresses. C'est par la suite qu'elle m'enjambait et faisait un tête à
queue. J'avais tout son sexe sur les yeux, et je sentais son souffle
sur le mien. Je sentais surtout sa langue se posait sur ma fente et
lécher de bas en haut. pour la première fois j'avais une langue sur
mon cul où elle s'y attardait un moment. Cette langue qui en frôlant
mes lèvres venaient lécher mon bouton. Dès ce contact, je sentais
comme une décharge électrique dans mon corps entier. Au début je
me laissais aller à cette nouveauté. Je profitais pleinement de cette
langue qui s'agitait sur mon sexe. Excitée par ce qu'elle me faisait,
ma cousine poussait son sexe sur ma bouche et à mon tour je lui
léchais le clitoris. Je jouissais sans fin. Le plus surprenant pour moi
était de sentir les contraction de jouissance de ma cousine sur ma
langue. Nous restions ainsi un bon moment à nous lécher jusqu'à
épuisement.
Nous avions passé nos vacances à baiser chaque soir, une fois
dans ma chambre, une fois dans la sienne.
Les vacances finies, je retrouvais ma copine de lycée. Elle voulait
reprendre nos masturbations comme avant. Je lui disais que j'avais
été initié à une autre façon de prendre notre pied. Je lui expliquais
comment j'avais baisé avec une autre fille et que d'était très bon.
Un peu surprise elle acceptait d'être à son tour "victime" de mes
attouchements. Ce n'est qu'après un 69, avec un doigt dans le cul
qu'enfin elle était satisfaite. Ce doigt au cul, c'est elle qui le voulait:
je n'avais pas essayé. C'est elle qui m'a donné goût à ce genre de
plaisir. Il n'empêche que au moins une fois par jour je me branlais.
L'année du bac nous étions toujours à nous faire l'amour avec ma
copine deux fois par semaine, le mercredi et le samedi après midi.
pourtant un jour toujours au lycée je faisais la connaissance d'un
nouveau venu dans la classe. Il me semblait beau et séduisant. je
craquais devant ses yeux bleus. Il m'a embrassé entre deux cours
et je lui répondais. Il me donnait rendez-vous pour le dimanche
suivant dans un petit café de quartier, pas loin de chez lui; La veille
j'avais fait l'amour avec ma copine et m'étais déjà branlée le matin
même en pensant à lui.
Je sais comment les couples normaux baisent et j'étais prête à me
faire sauter la capsule par ce garçon. Parait-il que c'est bon de se
faire mettre, alors je suis presque pressée de savoir le plaisir qu'on
peut avoir avec une queue en soi. Nous nous rencontrons et sans
attendre il m'embrasse. Son baiser est plus profond que celui de ma
cousine ou de ma copine. Nous sommes attablés et il commence à
me peloter. Ses mains sont douces sur mes seins à travers le t-shirt.
J'ai envie qu'il me mette une main au panier.
Nous partons chez lui: ses parents sont absents jusqu'au
lendemain. Il en profite pour me faire rentrer dans le salon où trône
un immense téléviseur plasma. Il me fait asseoir et me demande si
j'aime les films pornos. Je ne peux répondre pour la bonne raison
que je n'en ai jamais vu. Il met un DVD en place et le film
commence. Je ne sais quelle histoire sert de trame à un film
entièrement dédié à la baise entre couple ou entre filles. Pour les
filles se sait comment on fait et je n'ai pas honte de le lui dire. Par
contre pour les couple je découvre une foule de détails qui
m'intéresse au plus haut point.
Pendant la projection enfin il me met la main au panier. Il remonte
ma jupe et écarte ma culotte. Il cherche un peu et trouve mon
clitoris, il me branle assez maladroitement, en tout cas moins bien
qu'une fille. Je regarde son pantalon et vois la bosse de sa queue.
J'y mets la main. J'essaye de défaire sa ceinture et n'y arrive pas.
Nous nous levons et chacun de notre coté, pour aller plus vite nous
nous mettons nus. Je regarde sa bite qui me semble assez grosse
par rapport au film. Nous revenons sur le divan reprenons notre
baiser. Il n'a plus sa main sur mon bouton, il me caresse les seins
doucement et calmement, alors que je vois que sa bite se tendre
par à coup. Mais je me laisse faire: il me fait du bien en me
touchant la poitrine. Enfin il descend à nouveau sa main et cette
fois me branle comme j'aime. Je ne tarde pas à jouir dans sa main.
Je voudrait lui rendre la pareille, mais voila je n'ai jamais branlé un
homme. Il prend ma main qui entoure sa queue et me montre
comment bien faire les vas et viens. Je dois trouver la bonne
cadence puisque je vois que son sperme gicler très haut puisqu'une
petite partie tombe sur mes seins.
Je me demande s'il va bander à nouveau. il est jeune et me veux. Il
m'explique que s'il a voulu que je le branle s'est pour mieux faire
durer la suite. Je ne demande pas qu'elle est la suite: je l'ai vue sur
le téléviseur. Il me donne encore un long baiser et me branle
encore une fois. Je suis trempée de cyprine. Je jouis encore et il me
couche sur le divan. J'écarte beaucoup les jambes. Il se glisse
entre elles et pose sa pine sur mon con. Je ne le guide même pas:
je ne suis pas sa première fille: il rentre un peu de bite dans ma
vulve en feu. Je n'ai pas mal. Mais arrive le moment où il touche
mon hymen. Il me demande si réellement je veux qu'il me fasse
femme. Bien sur, alors d'un coup de rein bien vigoureux, il me
pénètre. je pousse un cri de douleur vite dépassée par un nouveau
plaisir, celui d'avoir une queue dans le con. il va et vient de plus en
plus vite: à la fin j'accompagne ses mouvements. Et a sa surprise je
jouis bien avant lui. Il se retire et me demande si je ne veux pas
essayer la sodomie. je n'hésite pas: j'ai une queue à ma disposition
je veux en profiter jusqu'au bout.
Je vais jusqu'à me mettre le cyprine de mon con sur l'entrée de mon
anus et cette fois, c'est moi qui le guide. J'ai sa queue en main, je
la sens frémir, je tâte les veines autour de cet engin et enfin j'ouvre
le plus large possible mes fesses. Je pose la pine sur l'anus et je
suis prête à l'avoir dans le cul. Il y rentre très lentement pour que je
sois détendue. Je sens bien que son gland est en moi. Il s'enfonce
dans mes entrailles à fond, puisque je sens ses couilles battre
contre mes fesses. Je suis gênée au début. Mon cul s'habitue à la
présence de cette pine. Et enfin je sens un bien être envahir
encore mon bas ventre: Je jouis. Mon orgasme est différent de
l'autre. Enfin je sens qu'il décharge son sperme dans mon ventre. Il
se retire.
Je pense que c'est fini: je me trompe, il me veux encore. Cette fois
il veut me sucer. Je suis bien sur d'accord. Je craignais d'avoir à
choisir entre le plaisir qu'il allait me donner et ceux que mon
données les deux filles.
Il me suce presque comme elles, avec peut être un peu moins de
tendresse. Pourtant sa langues est très curieuse: elle se glisse
dans tous les recoin de mon con. Je dirige sa tête vers mon clitoris.
Et enfin je jouis dans la bouche d'un homme.
Il m'emmène dans la salle de bain pour que je lui lave la queue. Je
la lui prend et avec le savon je la lave lentement: il bande trop et je
ne voudrais pas qu'il jouisse comme ça dans le lavabo.
Nous allons a nouveau dans le salon et là il me dit que puisque je
lui ai lavé la bite, je peux le sucer. Je me penche et met le bout de
sa bite dans la bouche. C'est l'instinct qui dicte mes gestes: je
lèche d'abord le haut de son sexe et avec mes lèvres je fais
descendre son prépuce. Je trouve au passage son méat que
j'agace un moment et son gland où je m'attarde longtemps. Je serre
les lèvres pour engamer le plus possible sa pine. J'arrive presqu’île
ma luette. Je ne vais pas plus loin de peur de vomir. Je remonte
lentement et recommence. Il m'arrête pour que nous fassions un
69. je me retrouve avec sa bouche sur le con et sa bite dans la
bouche. Je suis dessus et me sens maîtresse de la situation: je suis
libre de faire durer nos plaisirs autant de temps qu'il me plaira. J'en
profite bien sur, puisqu'il me fait toujours jouir. Enfin je décide de sa
jouissance: j'accélère mes mouvements de langue et je reçois pour
la première fois son sperme dans la bouche. Je ne sais que faire,
aller le cracher dans le lavabo ? Ou alors le garder et le partager
avec lui. C'est ce que je fais, je suis suffisamment salope pour le
faire. Il a un moment de rejet quand je pose ma bouche pleine sur la
sienne. Il faut qu'il partage. Avec un moment de rejet, finalement il
accepte de partager sa liqueur.
Enfin nous finissons de baiser. J'ai encore envie de me branler et
là, sans rien dire, devant ce film qui après s'être rembobiné reprend
les baise en série, je ma masturbe devant lui qui n'en peut plus.
Nous devons nous retrouver la semaine prochaine.
J'ai le temps de mettre en place une ruse pour la semaine
prochaine. Nous devons nous retrouver chez lui: je ne viendrai pas
seule. je convaincs ma copine de venir se faire mettre par ce
garçon plein de talent. Quand je lui explique les orgasmes que j'ai
eu et que je lui dis qu'en plus nous pourrons baisser toutes les deux
devant lui, elle est aussitôt excitée et je doit vite la sucer pour la
calmer un peu. Elle me le rend bien.
Le dimanche nous arrivons chez mon jeune amant et il est surpris
de nous voir à deux. Quand je lui dit qu'elle est mon amante, il
l'accepte aussitôt. Ils échangent même des impressions sur mes
façons de baiser. Ils sont aussi salauds que moi.
Cette fois, je sais qu'il va moins me baisser, pour se consacrer un
peu à ma copine. C'est logique. J'ai porté avec mon un godemiché
que j'ai acheté cette semaine, après l'avoir essayer ce matin
même. Sans attendre, nous sommes nus: après tout nous sommes
pour baiser, pas pour nous faire des mamours. Au début nous nous
embrassons avec ma copine rien que pour le voir bander. Ensuite
nous nous branlons et lui est obligé de commencer à se toucher la
queue qui se porte toujours aussi grosse. Nous n'avons plus besoin
de film porno: c'est nous le film.
Ma copine l'embrasse sur la bouche et moi je me penche pour lui
prendre la queue dans la bouche et le sucer comme la semaine
dernière. Je sens qu'il grossit dans ma bouche et je n'attends pas
longtemps son sperme. Il déverse sa semence dans la bouche.
Cette fois je ne vais pas partager avec lui: je prend le bouche de
mon amante et y déverse le trop plein de sperme. Elle apprécie
puisqu'elle avale. Comme notre amant commun est pour le moment
inapte à tout, nous allons faire un 69 avec ma copine. Bien sur je lui
mets les doigts au cul, comme elle aime. De son coté elle me rentre
presque la main dans mon anus: j'en jouis
Nous voir baiser entre fille excite enfin notre copain: il bande
fortement. J'offre la virginité de mon amante. Il se couche sur elle et
commence à la lui mettre dans le vagin. Elle ne dit rien qu'en il est
totalement en elle. Et comme moi, elle jouit avant lui. Je demande
sa place et me retrouve avec sa queue dans le con. Dès le départs
de nos vas et viens je commence à jouir et n'arrête plus jusqu'à sa
propre jouissance. Mon amante se branle en nous voyant baiser.
Notre amant est encore hors jeu. Je prend le godemiché et pour le
réveiller je demande à mon amante de lui sucer la pine et lui
caresser les couilles pendant que je vais l'enculer. Il rechigne de se
faire mettre par une femme et finalement il bande encore. Mon
amante profite de cette bite dans la bouche pour le sucer. Je
continues jusqu'à ce qu'il demande grâce, juste avant de lâcher son
sperme dans la bouche de ma copine. Je lui remet dans le cul le
gode: au début il ne veut pas, mais devant deux femmes en furie
qui le veulent il est bien obligé de se laisser enculer. Il est sur le
dos: je pose mon con sur sa bouche et prend celui de ma copine
qui le suce encore et toujours. Cette fois nous jouissons ensemble.
je retire le gode et le plonge dans le cul de ma copine qui pour elle
l'accepte très bien, alors que c'est la première fois qu'elle se fait
mettre là.
Nous continuons longuement. je crois bien que les couilles de notre
amant sont vides. Alors nous finissons avec mon amante par un
magnifique 69. Je sais se que je pourrais dire à ma cousine la
prochaine fois: elle n'a sans doute jamais fait autant que ce que je
fais.
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