J'aime la faire jouir
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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J'aime la faire jouir
Enfin elle est revenue de son voyage interminable pour moi. C’est qu’elle me manquait terriblement depuis longtemps, même si j’avais essayé avec une autre et encore une autre. Ses mains sur moi, ses façons de caresser mon corps chaud, sa bouche sur la mienne, tout était absent. Une autre amie essayait bien de me satisfaire. Ses doigts s’agitaient sur ma chatte sans que je sois trop émue. C’était gentil de sa part, inutile pour me faire jouir complètement. Elle n’arrivait à me faire partir quand mettant longuement des doigts là où il ne faut pas.
Notre première nuit à nouveau a été pleine de plaisir. J’aime me faire branler par elle, comme j’aime le lui faire. Elle ajoute en plus la bouche à nos étreintes. Ses lèvres savent pincer le clitoris, le lécher ensuite, pour enfin passer sur le vagin et aller s’abreuver sur l’anus. Que j’aime ses façons de faire. Je crois bien qu’elle seule sait.
Une fois, alors qu’elle était absente, j’étais chez une voisine, dans sa chambre. Elle avait laissé sur son lit des godes. Je les ai sentis. Il me semblait qu’un au moins avait servi pour son cul : l’odeur sans doute. Je la voyais couchée, se mettre le gode dans l’anus. J’en mouillais. Je n’ai pas pu m’empêcher de me le mettre. C’était un piège, elle revenait me voir en plein orgasme. J’étais ouverte pour elle, pour qu’elle vienne me lécher la chatte. Je me suis laissé faire, elle pilonnait mon cul. Je lui ai demandé de la lécher aussi. J’aime trop les minettes. Elle s’est mise sur moi en 69. J’avais enfin le goût d’un con, de son con sur ma bouche. Je sentais sa cyprine dégouliner sur mes lèvres. Tout aurait été parfait si….Si son mari n’était pas venu me partager avec son épouse. Elle acceptait une bite, pas moi, même si je ne faisais que la voir s’enfoncer dans le cul de mon amante.
C’est un principe chez moi, pas de sexe d’homme sinon dans la main pour le branler. Le jus des hommes : beurk…Je n’aime pas du tout depuis qu’un m’a obligé à le prendre dans ma bouche un fois il y a longtemps. Mais là, il voulait et sa femme, ce qui est finalement normal et moi, pauvre fille. Elle dirigeait la queue vers mon trou réservé uniquement aux filles. Même si je disais non, ils pensaient que oui, que je le voulais. Il est entré dans mon corps, je me suis débattue. Il a jouit sur moi, sur mes fesses quand je me suis retirée. C’est mon amante qui a léché le sperme, toute la semence. Je n’ai plus pu jouir avec elle.
Maintenant je me donne en entier à cette fille que j’aime par-dessus tout. J’aime quand elle me prend dans ses bras, qu’elle m’enserre à me faire étouffer de plaisir.
Souvent elle est derrière moi, ses seins contre mon dos, ses mains sur mon ventre. Je sens les poils de son bas ventre sur mes fesses. Elle glisse une jambe entre les miennes. Je la sens venir contre moi. Je m’écarte en signe d’accord. Elle glisse sa main vers ma chatte. Je sais que je mouille, je me donne en entier, pourvu qu’elle me fasse tout. Elle ne me fouille plus, elle connait parfaitement le chemin de mon intimité. Elle glisse deux doigts dans ma fente, s’arrête longuement sur le bouton. J’adore ses légers va-et-vient. J’adore quand elle me masturbe. Je tends mes lèvres qu’elle prend en se penchant vers moi. Je pars vers l’infini des plaisirs des filles. Je ne me lasse jamais d’elle, de ses façons de faire l’amour. Il lui arrive souvent de me caresser la chatte en s’égarant aussi vers l’anus. J’aime sentir ses doigts venir fouiller mon cul. Pour mieux me faire sentir de qu’elle fait, elle me donne ses doigts dans la bouche. J’aime aussi le goût de mon cul.
Elle me demande de lui rendre tout ce qu’elle me fait. Je lui mets aussi ma main sur la chatte, je le branle, je l’encule aussi quand elle le veut, et elle le veut souvent. Elle a acheté un double gode, un de ceux , longs qui permettent soit de se baiser et s’enculer seule soit de le faire à deux. Elle m’a montré comment elle aimait le faire seule en le mettant d’abord dans son abricot et ensuite, un court moment après dans l’anus. J’ai bien regardé comment faisait son cul en s’ouvrant, c’était admirable de le voir s’écarter en grand pensant qu’elle l’entrait. Elle a voulu me le faire. J’ai bien accepté quand elle m’a baisé, par contre, j’ai moins aimé quand elle a mis l’autre bout dans le cul. Je n’aime pas les doubles pénétrations, c’est plus fort que moi. J’ai bien apprécié quand nous étions en levrette nos fesses presque l’une contre l’autre. Elle entrait le gode dans sa chatte avant de le mettre dans la mienne. Seuls nos mouvements des fesses permettaient de bouger le faut sexe. Là j’appréciais. Je me souviens vaguement m’être assoupie contre elle, pleine d’orgasmes. Elle m’a réveillé le lendemain trop tôt en m’embrassant profondément sur la bouche. Nos langues ont repris les jeux. J’en mouillais encore. Ses lèvres sont venues sur mes seins. Elle m’a mangé depuis les épaules jusqu’aux pieds. J’avais envie de lui en faire autant, ce que j’ai réussi à faire. J’ai encore en bouche le goût de sa cyprine du matin. J’étais allongée sur elle, mes jambes écartées sur son visage, son joli visage, ma bouche sur elle, directement sur le sexe. Mon nez passait sur son bouton, puis sur son vagin ouvert et enfin sur son petit trou, si mignon. Je n’ai pas réussi à le faire entrer, mais ma langue a pu entrer un peu. C’était sale et bon. Mes mains écartaient les fesses, j’arrivais à bien ouvrir son rectum. Je pouvais y mettre des doigts, juste comme ça, facilement. Elle gémissait son bonheur d’être dans mes bras et sa jouissance. J’adore la faire jouir.
Notre première nuit à nouveau a été pleine de plaisir. J’aime me faire branler par elle, comme j’aime le lui faire. Elle ajoute en plus la bouche à nos étreintes. Ses lèvres savent pincer le clitoris, le lécher ensuite, pour enfin passer sur le vagin et aller s’abreuver sur l’anus. Que j’aime ses façons de faire. Je crois bien qu’elle seule sait.
Une fois, alors qu’elle était absente, j’étais chez une voisine, dans sa chambre. Elle avait laissé sur son lit des godes. Je les ai sentis. Il me semblait qu’un au moins avait servi pour son cul : l’odeur sans doute. Je la voyais couchée, se mettre le gode dans l’anus. J’en mouillais. Je n’ai pas pu m’empêcher de me le mettre. C’était un piège, elle revenait me voir en plein orgasme. J’étais ouverte pour elle, pour qu’elle vienne me lécher la chatte. Je me suis laissé faire, elle pilonnait mon cul. Je lui ai demandé de la lécher aussi. J’aime trop les minettes. Elle s’est mise sur moi en 69. J’avais enfin le goût d’un con, de son con sur ma bouche. Je sentais sa cyprine dégouliner sur mes lèvres. Tout aurait été parfait si….Si son mari n’était pas venu me partager avec son épouse. Elle acceptait une bite, pas moi, même si je ne faisais que la voir s’enfoncer dans le cul de mon amante.
C’est un principe chez moi, pas de sexe d’homme sinon dans la main pour le branler. Le jus des hommes : beurk…Je n’aime pas du tout depuis qu’un m’a obligé à le prendre dans ma bouche un fois il y a longtemps. Mais là, il voulait et sa femme, ce qui est finalement normal et moi, pauvre fille. Elle dirigeait la queue vers mon trou réservé uniquement aux filles. Même si je disais non, ils pensaient que oui, que je le voulais. Il est entré dans mon corps, je me suis débattue. Il a jouit sur moi, sur mes fesses quand je me suis retirée. C’est mon amante qui a léché le sperme, toute la semence. Je n’ai plus pu jouir avec elle.
Maintenant je me donne en entier à cette fille que j’aime par-dessus tout. J’aime quand elle me prend dans ses bras, qu’elle m’enserre à me faire étouffer de plaisir.
Souvent elle est derrière moi, ses seins contre mon dos, ses mains sur mon ventre. Je sens les poils de son bas ventre sur mes fesses. Elle glisse une jambe entre les miennes. Je la sens venir contre moi. Je m’écarte en signe d’accord. Elle glisse sa main vers ma chatte. Je sais que je mouille, je me donne en entier, pourvu qu’elle me fasse tout. Elle ne me fouille plus, elle connait parfaitement le chemin de mon intimité. Elle glisse deux doigts dans ma fente, s’arrête longuement sur le bouton. J’adore ses légers va-et-vient. J’adore quand elle me masturbe. Je tends mes lèvres qu’elle prend en se penchant vers moi. Je pars vers l’infini des plaisirs des filles. Je ne me lasse jamais d’elle, de ses façons de faire l’amour. Il lui arrive souvent de me caresser la chatte en s’égarant aussi vers l’anus. J’aime sentir ses doigts venir fouiller mon cul. Pour mieux me faire sentir de qu’elle fait, elle me donne ses doigts dans la bouche. J’aime aussi le goût de mon cul.
Elle me demande de lui rendre tout ce qu’elle me fait. Je lui mets aussi ma main sur la chatte, je le branle, je l’encule aussi quand elle le veut, et elle le veut souvent. Elle a acheté un double gode, un de ceux , longs qui permettent soit de se baiser et s’enculer seule soit de le faire à deux. Elle m’a montré comment elle aimait le faire seule en le mettant d’abord dans son abricot et ensuite, un court moment après dans l’anus. J’ai bien regardé comment faisait son cul en s’ouvrant, c’était admirable de le voir s’écarter en grand pensant qu’elle l’entrait. Elle a voulu me le faire. J’ai bien accepté quand elle m’a baisé, par contre, j’ai moins aimé quand elle a mis l’autre bout dans le cul. Je n’aime pas les doubles pénétrations, c’est plus fort que moi. J’ai bien apprécié quand nous étions en levrette nos fesses presque l’une contre l’autre. Elle entrait le gode dans sa chatte avant de le mettre dans la mienne. Seuls nos mouvements des fesses permettaient de bouger le faut sexe. Là j’appréciais. Je me souviens vaguement m’être assoupie contre elle, pleine d’orgasmes. Elle m’a réveillé le lendemain trop tôt en m’embrassant profondément sur la bouche. Nos langues ont repris les jeux. J’en mouillais encore. Ses lèvres sont venues sur mes seins. Elle m’a mangé depuis les épaules jusqu’aux pieds. J’avais envie de lui en faire autant, ce que j’ai réussi à faire. J’ai encore en bouche le goût de sa cyprine du matin. J’étais allongée sur elle, mes jambes écartées sur son visage, son joli visage, ma bouche sur elle, directement sur le sexe. Mon nez passait sur son bouton, puis sur son vagin ouvert et enfin sur son petit trou, si mignon. Je n’ai pas réussi à le faire entrer, mais ma langue a pu entrer un peu. C’était sale et bon. Mes mains écartaient les fesses, j’arrivais à bien ouvrir son rectum. Je pouvais y mettre des doigts, juste comme ça, facilement. Elle gémissait son bonheur d’être dans mes bras et sa jouissance. J’adore la faire jouir.
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