J’aime le sexe. J’en ai besoin, tous les jours, c’est ma drogue ! Et plus je suis soumise, plus je p

- Par l'auteur HDS Trixie -
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : J’aime le sexe. J’en ai besoin, tous les jours, c’est ma drogue ! Et plus je suis soumise, plus je p Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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J’aime le sexe. J’en ai besoin, tous les jours, c’est ma drogue ! Et plus je suis soumise, plus je p
Le lundi, il fallait retourner au boulot. Maintenant, j'avais trois hommes à mes pieds et qui sans mauvais jeu de mot pouvaient me faire prendre mon pied. Maxime, Gérald et le dernier en date le grand Jean-Paul Boulier... Il fallait d'ailleurs que j'aille lui demander d'apposer sa signature sur un bordereau de factures à payer. Pourquoi ne pas combiner l'utile à l'agréable me dis-je ! J'ouvrais le tiroir de mon bureau, pour prendre l'agrafeuse pour attacher la liasse, mes yeux furent attirés par une petite boîte. Ah oui, c'était le reste du bois bandé dont je m'étais servie lors de la visite du pharmacien congolais, ça avait marché du tonnerre ! Il en restait un peu, pourquoi ne pas l'utiliser aujourd'hui.
C'était une belle matinée ensoleillée, il ne faisait pas froid. J'allais dans mon vestiaire, personne.
Je quittais mon chemisier, mon soutien-gorge seins-nus, ma jupe, mon string ne gardant que mes bas et mon porte-jarretelles. J'enfilais une blouse bleue, qui nous servait lors de nos déplacements dans les ateliers, elle était assez courte, j'oubliais de boutonner les deux deniers boutons du bas. Lorsque je marchais, elle s'ouvrait presque jusqu'à la naissance de la fente de mon sexe, et les pans s'écartaient dévoilant les lanières de mon porte-jarretelles. Je ne boutonnais pas non plus celui du haut et lorsque je me penchais, on pouvait apercevoir mon sein droit. Il était presque l'heure ou tous les jours avec maxime nous allions prendre le café du matin à l'appareil à boisson, j'y allais. Ce n'était pas Max qui était là, mais Gérald. Il y avait du monde. Je me servis un thé... et fit une bise au grand noir.

« C'est nouveau de venir boire le café en blouse.
- Attends, je vais t'expliquer... mais allons boire dehors sur le banc dans le petit jardin, il y a trop de monde ici... »
Pour sortir, il me tint la porte, mais un courant d'air assez violent écarta les pans de ma blouse.

« Oooohhhh, putain, mais tu es à poil dessous !!
- Chuttttt, pas si fort... viens allons nous asseoir. »
Nous étions seul dans le petit square, il resta debout devant le banc, je m'assis. Je sortis la boite contenant l?aphrodisiaque et le versais dans ma tasse. Tout en buvant mon thé, j'écartais les jambes pour lui montrer qu'effectivement, je ne portais pas de culotte, et discrètement, je déboutonnais le haut de ma blouse, et l'écartais sur mes deux seins.

« Ça te plaît de me voir habillée comme ça ?
- Putain, oui petite Salope, mais on n'a pas d'inventaire !! C'est quoi ce sourire malicieux, tu vas voir Maxime ? Et c'est quoi que tu as versé dans ton verre ?
- Ben non, je vais dans le bureau du Grand...
- Putain, mais il va péter un plomb !
- J'y compte bien...
- Il va te baiser !!
- J'y compte bien aussi...
- Non, arrête de te marrer... tu me fais marcher...
- Tu crois... touche rien de d'y penser ça me fait mouiller... Et puis je viens de prendre du bois bandé...
- Salope, c'est vrai ! Le truc que tu avais donné au vieux noir qui venait du Congo ! Au putain... mon doigt est tout mouillé...
- Alors tu me crois maintenant... allez bye... je te raconterai... »
Je le plantais là, les yeux ébahis. Je me dirigeais vers le bureau du Grand Jean-Paul, le mistral s'engouffrait sous ma blouse, chatouillant mon sexe bien épilé et légèrement moite, le doigt de Gérald y était pour quelque chose. Mes seins libres de toute entrave tressautaient et mes tétons frottaient contre le tissu de la blouse, je sentais qu'ils s'érigeaient.
Il me sembla voir Boulier qui entrait dans le bâtiment ou était son bureau, au moins je n'aurai pas fait ça pour rien... il était là. Mais il était assez fantasque, on ne savait jamais trop à quoi s'attendre avec lui.
Enfin, je verrai bien !
Je toquais à sa porte, il me dit d'entrer. Je m'approchais, passais à côté de lui, lui tendis la liasse dedocuments à signer.
Je me penchais pour la poser sur son bureau, le haut de ma blouse bailla largement, son regard y plongea, il ne pouvait pas rater que je n'avais pas de soutien-gorge. J'avançais une jambe, le bas de la blouse s'ouvrit découvrant le haut de ma cuisse striée par les lanières du porte-jarretelles. Ses yeux s'y portèrent aussitôt. Il me montra le fauteuil devant son bureau.

« Assied-toi pendant que je signe, et puis il faut que je te parle. »
Je posais mes fesses au fond du siège et croisais mes jambes, le regardant signer les papiers, il me jetait des coups d??il par-dessus ses lunettes, il voyait mon porte-jarretelles. J'attendis qu'il eût fini ses signatures décroisait mes jambes et les laissais écartées.

« Oooooohhhhh petite Salope, tu n'as pas de culotte non plus... des bas et un porte-jarretelles, j'adore. C'est pour moi ou pour Gérald avec qui je t'ai vu discuter dans le petit square que tu t'es habillée ainsi.
- Non, c'est bien pour vous... dis-je en rougissant un peu. La dernière fois que vous m'avez fait l'amour... j'ai... j'ai bien apprécié...
- En voilà une Trixie qu'elle est belle, splendide et gentille... »
Il se leva et donna un tour de clé à la porte. Il avait changé de bureau et celui-ci était au premier étage, personne ne pouvait nous voir. Il revint vers moi, se mit derrière le fauteuil, ses grandes mains commencèrent à déboutonner les trois dernier boutons de la blouse, il l'écarta sur les accoudoirs. Ses mains englobèrent mes seins, il les soupesait, les caressait doucement, le bois bandé devait commencer à agir... ils réagissaient à chaque attouchement...

« Tu as vraiment des seins admirables, ils ne sont ni trop gros ni trop petits, ils sont faits pour une main d'homme. Et ce qui est remarquable chez toi, ce sont tes tétons, je n'ai jamais vu des mamelons aussi érectiles que ça, regarde, je les tire, les griffe, les fait rouler entre mes doigts, attends, je me penche pour les mordre... Regarde, regarde, ils ont triplé de volume, c'est vraiment bandant.»
Sous ses caresses, je gémissais, geignais, me tortillais dans tous les sens sur le dossier du fauteuil.

« Ouuiiiiii, ouuuuuiiiii mord les, mord les encore, encore juste la pointe des tétons....j'aime ça... ça me fait mouiller, ma chatte est trempée.... ouiiiiiii...
- Attends que je vérifie si c'est vrai..."
Il se mit à genoux devant le fauteuil, je m'y étirais dessus, ses mains glissèrent sous mon porte-jarretelles, et il me caressa le ventre. Sa bouche se posa sur mon petit triangle de poils au-dessus de ma chatte et sa langue glissa le long de ma fente, puis elle remonta lentement, le bout faisant une incursion dans mon conduit vaginal, et continua son ascension pour venir titiller mon clitoris, mon petit bouton rose durci ses lèvres se mirent à le butiner, un flot de foutre s'échappait de mon vagin. Sa bouche descendit sur mon méat urinal, il téta littéralement mon liquide séminal.

« Un vrai nectar, que je suis en train de boire... Tu me rends fou... »
Il me releva, ôta ma blouse.

« Putain que tu es belle ainsi, nue avec tes bas et ton porte-jarretelles, tu incarnes vraiment la femme de mes fantasmes. Regarde comme tu me fais bander. »
Je ne sais pas comment il avait fait, mais il avait quitté son pantalon, et sa queue assez fine, mais très longue se dressait fièrement vers le plafond. Il quitta chemise et cravate, il m'attira à lui pourme donner un baiser fougueux que je lui rendis avec passion, je sentais sa bite raide se presser sur mon ventre, je frottais les bouts de mes mamelons raidis par le désir contre sa poitrine.
Ma bouche glissa le long de son ventre, ma langue le léchait tout le long du parcours, elle passa la touffe de ses poils blancs, je soulevais sa bite et lui léchais les testicules. Elle remonta ensuite le long de la hampe raide et j'enfournais son gland dans ma bouche, je commençais une fellation.

« Arrête, Ouuuuaaahhh, Arrête, ça fait trois minutes que tu me suces... et ouuuaaaahhhh je crois que si tu continues je vais éjaculer, et ce n'est pas là que je veux le faire... je veux mettre mon sperme ans ta chatte.... »
Il me souleva et me porta jusqu'au bureau, d'un revers de main il fit place nette, envoyant sur le sol les documents, le courrier, les stylos, les classeurs. Il me coucha dessus les fesses au ras du bord, les jambes pendantes.

« Je n'y tenais plus, prend-moi, prend-moi....criais-je- Chhuuuuttttt pas si fort... »
Mais je hurlais presque lorsque d'un seul coup il entra la moitié de sa bite dans ma chatte trempée,
« OOOOOOOuuuuuuiiiiii, putain c'est bon, c'est bon, continue.... enfonce... met moi là toute... Ouuuiiii...
- Chhhhhuuuuuttttttt, on va t'entendre !! Voilà, voilà.... comme ça... régale toi....
- Ouiiii, ouiiii c'est bon, plus vite, plus vite.... »
Pendant dix minutes ce fut que soupirs, grognements gémissements des deux côtés... puis je sentis qu'il accélérait la cadence de ses pénétrations, il n'allait pas tarder à éjaculer. J'enroulais mes jambes autour de ses reins.

« Ouiii éjacule dans ma chatte, je veux sentir ton sperme... attend moi, attend moi, je vais jouuuiiiiir... ouuuiiiii... vas-y.
- Ouuuuiiiii tu le sens là, je jouiiiiiii moi aussi putain que c'est bon, je sens bien les contractions de ta chatte atour de ma bite... Je t'adore.... »
Il s'écroula sur moi. On mit un petit moment à récupérer. Il se rhabilla, je remis ma blouse, me recoiffais. Il remit de l'ordre sur le bureau et s'assit a sa place.

« Assied-toi encore un peu, je voulais te dire un truc... mais d'abord putain que c'était bon...
Ah oui, voilà... tu sais lorsque nous nous sommes quittés après la soirée avec Ndoumba, j'ai là aussi énormément apprécié de te baiser avec le pharmacien noir... J'ai vraiment adoré voir son immense bite noire pourfendre ta jolie chatte blanche. Je t'avais demandé si tu étais d'accord, car j'aimerai bien faire la même chose avec ton copain Gérald... Je sais que tu baises aussi avec lui...
Il ne te reste plus qu'a le convaincre... je me fous de savoir à quel moment, dans quel endroit... Mais je compte sur toi. »
Et d'un seul coup il sembla se désintéresser de moi.

« Et puis, pendant que j'y pense, j'ai une commande pour du matériel, il faudrait la transmettre à Gérald, tu peux t'en charger...
- Oui, il faut la lui porter maintenant ?
- Oui, pourquoi ? Il est encore loin de l'heure de la pause déjeuner...
- Dans cette tenue, après avoir fait l'amour ?
- Oui, ça te dérange... et puis tu pourras essayer de négocier... - Non... mais je...
-Vas-y, j'ai du boulot maintenant !! »
Il avait repris son air hautain, son air de petit chef qui ne me plaisait pas du tout. Je sortais en faisant claquer la porte. Je me dirigeais vers le magasin et le bureau de Gérald. Du sperme coulait à l'intérieur de ma cuisse. Pourquoi ne pas rendre le grand noir jaloux comme je l'avais fait pour Maxime... Il fallait bien passer ma colère sur quelqu'un.
J'entrais dans son bureau, sans frapper, comme j'étais entrée dans le Bureau du Grand, la blouse ouverte jusqu'à la chatte, le bouton du haut déboutonné. Mince, il était avec quelqu'un. Trop tard pour me réajuster, tant pis...

« Je viens de la part de Monsieur Boulier t'apporter une commande.
- Oui, merci... Je te présente André, un intérim qui va me seconder... pendant quelques mois. »
Le jeune homme me tendit la main, je fus obligée de faire quelques pas en avant pour la serrer, les pans de la blouse s'écartèrent sur mes cuisses dévoilant les lanières noires de mon porte-jarretelles et le début de ma chatte. Je vis ses yeux s'écarquiller, sa bouche s'arrondir, je me sentis rougir.
Gérald n'avait rien perdu de la scène lui aussi, il vint à mon secours.

« André, ne pourrais-tu pas aller dans l'atelier de fabrication des ampoules, chercher les plans de la machine qui est en révision. »
Sans quitter mes jambes de yeux, le jeunot acquiesça et sortit en reculons. Je m'approchais de Gérald qui était debout à côté de son bureau.

«Ouf, tu m'as sauvé la vie, lui dis-je en souriant...
- Tu es gonflée quand même de te balader ainsi.
- Oui, mais je suis follement excitée, regarde, je déboutonnais le quatrième bouton du bas de ma blouse et l'écartais, regarde... tu veux toucher ma chatte ? »
Le bois bandé faisait encore effet.

« Il y a des coulées blanches sur tes bas... Oh Salope mon doigt est trempé, c'est du sperme de Boulier, Il t'a baisée ce vieux grigou ?
- Oui et je me suis éclatée... et j'en ai encore envie... C'est le bois bandé... c'est ce que j'ai mis dans mon thé...»
Rapidement, je défaisais les deux derniers boutons de ma blouse, la quittait et nue en porte-jarretelles, me blottissait dans ses bras. Ma main parti vers sa braguette, je savais qu'il ne portait pas de slip, je défis le zip et sortis son immense bite noire. Je ne sais pas si c'est le fait que lui je lui aie avoué de mettre fait prendre par le Grand, mais il bandait déjà assez fermement. Je dégrafais les boutons de sa chemise.

« Oui... oui... je suis une salope, mais maintenant j'ai envie de toi, j'ai envie de ta grosse queue noire. Prends-moi, prends-moi sur ton bureau... »
Je le poussais en riant sur le bureau en verre, il s'y étala de dos, les mollets pendants, j?ôtais son pantalon, et grimpais sur le bureau. Je me mettais a la verticale de son énorme bite qui se dressait vers le plafond, les genoux de chaque côté de ses hanches. Je saisissais la base d'une main et m'empalais dessus lentement, lentement... en gémissant de contentement.

« Putain, mais tu es insatiable, une vraie petite salope, cela ne te tu suffis pas que Boulier vienne juste de te baiser...
- C'est... c'est le bois bandé... mais ta bite est bonne... je l'aime... »
Je remontais aussi lentement que j'étais descendu le long de la hampe noire, la porte s'ouvritdoucement, le jeune André entra. J'étais en train de me pencher sur Gérald pour frotter mes tétons sur son torse glabre, lui me caressait l'anus avec ses doigts, je sentis son majeur s'y enfoncer doucement.

« OOOOOhhhhhh putain !!!!!! Excusez-moi, j'avais oublié mon badge pour entrer dans les ateliers... mais.... Oooooohhhhh putain, je n'ai jamais vu une queue aussi grosse et aussi longue que la tienne... et je n'ai jamais vu une fille aussi belle que mademoiselle Trixie... et ce n'est pas... pas possible... que tu puisses entrer un tel engin complètement dans... dans sa chatte...
- Merde... on a oublié de fermer la porte pesta Gérald... merde de merde... »
Mais il ne débandait pas, je sentais toujours son énorme grosseur me remplir le sexe. Il avait même des petits mouvements de hanches, qui le faisait glisser plus profond. Il me regarda, m?interrogeant du regard.

« Que fait-on ? »
J'avais mis les mains sur sa poitrine, et faisais tournoyer mon bassin autour de sa bite monumentale, en regardant le jeunot avec des yeux gourmands. Gérald sembla déchiffrer mon regard, il s'adressa à l'intérim.

« Écoute André, tu vas fermer la porte à clé, tu fermes aussi ta gueule sur ce qui va se passer, tu te déshabilles et tu joins à nous si le c?ur t'en dit... mais tu me promets d'être muet comme une tombe.
- OOOOOhhhhhh putain oui, ouiiiiii.... je ne dirai rien, je le jure... oh oui, oh oui je veux bien baiser mademoiselle Trixie, mais regardez, ma bite est bien moins longue et moins grosse que celle de Gérald.... »
Je le regardais se déshabiller, une fois nu sa queue dans un garde-à-vous parfait le long de son ventre était d'une grosseur et d'une longueur respectable. Il restait planté derrière regardant la bite noire entrer et sortir à nouveau de mon vagin.

« Putain, j'en reviens pas qu'on puisse avoir une bite aussi grosse que la tienne, et puis elle a l'air d'aimer ça, son foutre coule le long de ta queue...
- Allez viens me caresser les seins...
- Je... je peux vraiment ! »
Il s'enhardit, et je sentis ses mains envelopper mes globes qui tressautaient sous les coups de reins de Gérald, délicatement il commença à me triturer les mamelons, sa bouche se posa dans mon cou, il se mit a me donner de petits baisers, puis il me mordilla le lobe de l'oreille. Je me penchais sur le torse de Gérald et lui chuchotais à l'oreille de reculer un peu sur la table, pour qu'il puisse y monter. Le petit jeune avait ainsi une vue imprenable sur mes fesses et mon anus qui palpitait.
Ce que j'espérais arriva, il grimpa sur le bureau, m'attrapa aux hanches, sous mon porte-jarretelles. Je sentis sa salive qui coulait dans la raie de mes fesses jusqu'à mon petit trou. Son gland se posa sur l'entrée qui s'ouvrait et se fermait au rythme des pénétrations de Gérald. Il poussa d'abord doucement, puis d'un coup sec, mon ampoule rectale céda et sa queue glissa à l'intérieur.

« Ouaaiiii, ouaiiiii... je n'avais jamais sodomisé une nana... »
Il accorda sa cadence de pénétration à celle de Gérald...

« Putain que c'est bon, putain que c'est bon... Tu aimes ça Trixie... tu aimes ma bite... »
Il me malaxait à nouveau les seins avec force, me tirant maintenant sans ménagement les tétons, me les pinçant, les griffant avec ses ongles, il était vraiment déchaîné.
Gérald s'était aperçu de l'excitation croissante de André ;
«Tu voudrais peut-être prendre ma place et lui baiser la chatte...
- Ooooohhhhh ouiiiiiii, ooouuiiiiiii c'est vrai, c'est vrai...
- Mais oui mon grand, je te la laisse pour toi tout seul... »
Gérald se dégagea, je me couchais sur le verre froid, j?eus tout juste le temps d'écarter les jambes et la jeune bite força l'entée baveuse de ma chatte. Il me saisit le porte-jarretelles sur le ventre et se mit à me pénétrer à toute allure, il enfilait et sortait son appendice sexuel à une vitesse phénoménale. Il haletait comme un jeune chiot, grognait des mots intelligibles... Amusée, et parce que je commençais à prendre mon pied, je l'encourageais, mais je ne pus pas longtemps, car Gérald envahit ma bouche avec son énorme phallus noir...

« Suce moi... Il va te défoncer le jeunot... Ça te plaît, hein petite Salope..
-Mmmmmmmm.....ouiimmmmmm.... »
Je sentais que le plaisir montait, montait... l'aphrodisiaque me procurait des poussées intenses de désir charnel que le jeune était en train de satisfaire. Il me semblait qu'il s?essoufflait un peu, cela faisait presque dix minutes qu'il me pilonnait, il transpirait, grimaçait à force de retenir son éjaculation... il allait jouir... et moi, j'étais arrivée au sommet de l'extase, j'allais basculer dans le nirvana de la jouissance...
Dans un spasme de jouissance, mes muscles vaginaux se contractèrent autour du phallus qui me pénétrait, tandis que mon c?ur faisait d'énormes bonds dans ma poitrine, je criais mon bonheur d'avoir joui ainsi. Au même instant André éjacula, bien calé au fond de moi sa semence tiède, il s'écroula sur moi, ses lèvres cherchèrent les miennes et il m'embrassa, fouillant ma bouche de sa langue d'une force inouïe, il n'avait jamais dû ressentir cela avec une fille.

« Oh putain... Oh putain... ce que j'ai joui... c'est pas possible... c'est pas possible... je rêve... je n'aurai jamais cru pouvoir faire l'amour avec une blonde aussi que vous mademoiselle Trixie... je peux encore embrasser vos seins... Dites... je suis là encore un mois... on pourra recommencer ??
- Ben dis donc tu t'es éclaté... Et tu as juré, rien ne dois transpirer de ce qui c'est passé ici... on est bien d'accord ?
- Ben oui... je n'est pas intérêt à dire quoi que ce soit... Si je veux baiser Trixie encore au moins une fois...
- Hé Trixie, regarde ma bite, elle est énorme, tu ne vas pas me laisser dans cet état, tu veux bien continuer à me sucer.
- Je... je peux rester pour regarder ?. ?

Avec Gérald, on éclata de rire...

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