J'aime les pêcheurs

- Par l'auteur HDS Mirlaine -
Récit érotique écrit par Mirlaine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : J'aime les pêcheurs Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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J'aime les pêcheurs
Ce matin là j’avais décidé de me rendre à la pêche dans un étang situé à une vingtaine de kilomètres de mon domicile.

J’avais mis mon réveil à 6H00 et comptais arriver pour l’ouverture vers 8H00.
Nous étions en début d’automne, les feuilles avaient déjà désertées les arbres et la température matinale était fraiche.

Je pris mon petit déjeuner puis allai me doucher. Mes affaires de pêche étaient prêtes depuis la veille car je souhaitais arriver à l’heure même si à cette période les pêcheurs devaient se faire rares.

J’enfilai un gros gilet nordique en mohair sur lequel je mis un coupe vent, un jean, des bottes et j’étais paré pour une bonne matinée tranquille au bord d’un étang à taquiner la truite.

J’arrivais à 8H00 pile et commençai à déballer tout mon matériel.
J’avais de la chance. Il ne pleuvait pas en cette fin d’octobre.

Le lieu était désert et je n’eu pas de mal à trouver une place qui me paraissait propice à la prise de belles truites.

Je m’installai tranquillement, tout en préparant mes appâts, et mis mes trois lignes à l’eau.

Vers 8H45 le propriétaire, qui devait avoir une soixantaine d’années, vint à ma rencontre pour que je lui paie ma journée. Il déversa dans l’étang, juste à mes pieds cinq truites de belle taille et trois saumons de fontaine en me souhaitant une bonne pêche.

Il était très jovial et nous avons un peu discuté. Il m’avoua que c’était la saison creuse et que ma venue lui faisait plaisir. Il repartit en me souriant.
Je lui rendis son sourire tout en lui admettant que je croisais les doigts pour que je passe une bonne journée.

- Ne t’en fais pas ici tu passeras toujours une bonne journée! me lança-t-il toujours cordialement.
Puis il disparut.

Mes cannes mises à l’eau j’attendais avec impatience d’avoir une touche mais rien ne se produisait.

Vers 9H30 un autre pêcheur s’approcha de l’étang. Il passa près de moi et me salua puis continua son chemin.

Il s’arrêta à une vingtaine de mètres de mon poste et décida de s’y installer.

Il ne manquait pas d’air pensé-je. Il avait tout l’étang pratiquement pour lui et il se plaçait juste à côté de moi!

Je le laissai faire n’ayant pas mon mot à dire.

C’est alors que j’eus une touche! Je me saisis de ma canne à deux mains mais le poisson ne se débattait pas trop et je remontai une truite de petite taille.
Mon nouveau collègue leva son pouce pour me féliciter.
Je le remerciai d’un sourire mais remis la truite à l’eau.

Je n’avais pas eu le temps de remettre ma ligne à pêcher qu’une autre canne donna des signes de touche.
Cette fois ci ma canne se cambrait un maximum et je dus courir pour en prendre possession le plus vite possible.

Le combat dura une bonne dizaine de minutes et je finis par remonter un saumon de fontaine de plus de deux kilos.
J’étais ravi et un peu épuisé. La chaleur automnale avait fait son apparition et je m’étais décidé à ôter mon coupe vent.

Je rangeai le saumon dans ma besace et remis ma ligne dans l’eau.

Mon nouveau collègue s’approcha pour discuter un peu. C’était un homme d’environ 55 ans. J’en avais 48 mais faisait plus jeune.

- Alors, ça mord ce matin?
- Oui on peut dire ça mais ce n’est pas fabuleux. La première était trop petite mais la seconde de belle taille.
Il faut dire que j’aime les grosses.
- Ah bon, tu aimes les grosses? me demanda t - il en souriant.
Je compris son sous entendu mais jouai le jeu.
- Oui si j’ai le choix je préfère les grosses et la journée commence bien!
- Fais voir?
- Je lui montrai ma prise et il me félicita.
- Belle prise. J’espère que tu en auras d’autres. Si tu aimes les grosses je pourrai t’arranger ça!

Il s’approcha de moi. C’était un rustre mais avec beaucoup de charme. Il me dit que j’avais bien fait d’enlever mon coupe vent car il commençait à faire un peu chaud pour peu que l’on ne bouge.
Pendant que je lui montrais mon poisson tout fraichement pêché sa main avait glissé sur mon pull et me caressait le dos très légèrement. Visiblement il ne voulait pas être trop direct mais appréciait la douceur du mohair.

Je me laissai faire et avait bien vu son manège. Je me reculai un peu pour mieux sentir sa main.
Il fut un peu surpris et recula d’un pas.

Je lui souris.

Il retourna voir où en étaient ses lignes et me souhaita bonne chance.
J’en fis de même et lui dis que je le trouvai sympathique.

La matinée passa assez rapidement et nous attrapions chacun de petites pièces.
Soudainement il eut une touche franche synonyme d’un gros poisson.

Je le regardais attentivement et il se débrouillait plutôt bien mais la truite ne voulait pas se laisser faire et cela lui pris du temps à la maitriser.

Après une bonne dizaine de minutes il se saisit de son épuisette pour essayer de l’amener sur la terre ferme.
Seulement, tout seul, il avait bien des difficultés à gérer sa canne et la truite conjointement!

Je me portai à sa rescousse et lui apportai mon aide.
Je me saisis de l’épuisette et en quelques minutes le poisson se retrouva au sec.
C’était une très belle prise.

- Merci l’ami, je crois bien que je ne m’en serais pas sorti seul!
- De rien, si l’on ne peut pas s’aider entre pêcheurs alors où va t on?

Il me remercia à nouveau et comme il était déjà midi me demanda si j’avais prévu quelque chose pour déjeuner. A part un sandwich et un coca je n’avais rien de plus.

- Il y a un barbecue et une table, ça te dirait de manger ce beau poisson?
- Si tu m’y invites alors pas de souci. Je lui fis un clin d’oeil.

Il prépara le barbecue et me demanda de couper des filets de poisson.
- Tu t’y prends bien, tu as des doigts de fée! Il riait. Ma femme ne ferait pas mieux.

Il se posta derrière moi et caressa mon pull. Je ne pus m’empêcher d’avoir une érection.
Son corps se colla contre mes fesses et je pouvais maintenant sentir sa queue durcie par l’excitation.
J’aurai dû m’en aller mais ses caresses me faisaient un bien fou.

Je me retournai et lui sourit.
Sa bouche vint se coller à la mienne et il m’embrassa tendrement tout en continuant à me caresser au travers du pull.

- Depuis que je t’ai vu ce matin, tu m’excites Chéri m’avoua-t-il.
- Toi aussi, tu embrasses très bien et je sens à travers ton jean que je te fais de l’effet.
Mais nous ne pouvons rien faire ici car même si nous sommes les uniques pêcheurs aujourd’hui, le propriétaire pourrait survenir n’importe quand.
- Ne t’inquiètes pas Chéri le proprio est mon ami et tout comme moi il est bi. Nous nous amusons souvent ensemble. Moi c’est César et toi?
- Bruno.

Il me demanda de me déshabiller et de ne garder que mon pull pour que je n’attrape pas froid.
Après s’être dirigé vers le barbecue sur lequel il avait disposé les files de poisson il revint vers moi.

- Alors comme ça tu aimes les grosses pièces?
- Oui les très grosses mais elles se font rares ces temps ci.

- Ouvre ma braguette et tu auras ce que tu souhaites.
Je m’empressai de déboutonner son jean. Il portait un boxer serré et je pouvais entrevoir son sexe déjà imposant. Il enleva son pantalon et pris ma tête à deux mains pour la coller à son slip.

Je sentais une légère odeur d’urine mais ce n’était pas désagréable.
Je léchais son slip et son sexe ne cessait de grossir.

Je me décidai finalement à le déculotter totalement pour faire jaillir ce membre qui me faisait tant envie. Il était énorme. Jamais je n’avais sucé de sexe d’un telle taille.

Je le pris en main pour jouer un peu avec mais mon compagnon voulait vraiment que je le suce.
Il me força à le prendre en bouche et s’activait tout en me traitant de grosse pute et de petit pédé.
De mon côté je m’appliquai à lui prodiguer les meilleures caresses linguales possibles.

Je pensais qu’il allait jouir dans ma bouche mais il me fit mettre à quatre pattes sur l’herbe.
Il déboutonna mon pull puis vint se placer juste derrière moi.

Pour cette séance de pêche, inutile de vous dire que je n’avais pas prévu de préservatif.
Je lui en fis la remarque mais il m’affirma qu’il était sain et j’avais tellement envie de sa queue qu’à cet instant je m’en moquais.

Il se plaça derrière moi et cracha sur mon anus serré. Ses doigts ne mirent que quelques minutes à me préparer puis il s’introduisit d’un seul coup entre mes reins.
La douleur fût extrême mais le bougre savait y faire. Il stoppa sa progression mais tout en continuant de me traiter de salope et de trou à bites.
Ces mots crus m’excitaient et j’étais maintenant prêt à le recevoir au plus profond de moi.

Il sentit mon anus se dilater et m’enfila d’un seul coup magistral.
Un sentiment de douleur mêlé au plaisir se fit sentir rapidement. Il me besognait avec sa grosse bite et j’étais aux anges. Ce salaud me limait et ne semblait pas vouloir s’arrêter.

Puis alors que je sentais qu’il allait éjaculer il se retira et me mis son sexe dans la bouche.
Il se branlait activement tant et si bien que de longs jets chauds se répandirent dans ma gorge et que j’avalai tout.

Il me demanda de nettoyer sa queue ce dont je me fis un plaisir.

Il se rajusta et me dit qu’il était enfin temps de déjeuner.

Cet interlude n’avait duré qu’une quinzaine de minutes tant nous étions excités.

César se dirigea vers le barbecue et nous prépara notre repas.
Nous mangions paisiblement et cet homme me plaisait.

A la fin du repas il prépara le café. Nous avions remis nos lignes à l’eau mais nous étions rapprochés.
Désormais nous pêchions ensemble. J’avais très envie de son corps d’homme mûr et surtout de ses baisers tendres.

La partie de pêche n’était pas finie et nous n’arrêtions pas de nous tripoter et de nous embrasser.
Cesar n’avait payé que pour une demie journée et vers 13H00 le proprio se pointât pour encaisser son dû.

Cesar lui tendit les 15 euros habituels mais Marcel, le proprio, les refusa.

- Ce sera gratuit pour toi aujourd’hui si tu me fais partager ta petite pute!
- Ok pas de souci, je te remercie. C’est vrai qu’elle est bonne!
- Et pour moi ce n’est pas gratuit demandai-je?
- Je suis de bonne humeur alors comme c’est ta première fois parmi nous je vais te rendre ton argent si tu nous satisfait tous les deux.
Il s’approcha de moi et me demanda de me déshabiller. J’étais totalement nu.

- Mets ton gilet petite cochonne!
Je m’exécutai rapidement.

Ensuite j’eus droit aux assauts de ces deux messieurs qui me prirent par tous les trous à plusieurs reprises.
Je ne sentais plus mon cul et ils n’arrêtaient pas de me traiter de pute et de trou à bite.
Je n’ai pas compté le nombre de fois où ils m’ont éjaculé dans la bouche et le cul mais j’étais rassasié.

Au moment de partir ils me remercièrent et me dirent à demain.

Inutile de vous dire que le lendemain j’étais au rendez vous!

A suivre….

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Une très belle histoire qui me rappelle mes deux amis murs qui aiment me combler profondément comme je l'aime.

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Une histoire qui me rappelle celle que j'ai vécue quand j'étais très jeune . Il avait 47 ans j'en avais 33 de moins, j'ai tout découvert et tout apprécié !

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J'ai adoré cette histoire. J'espère vivre qqchose de similaire un jour... merci !

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Genial,je suis prêt a me mètre a la peche.
une suite?

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Génial j'adore les histoires avec des hommes mûrs ... Bravo vivement la suite !

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humm j'adore j'ai 2 amis murs qui savent bien me combler comme j'aime l'etre

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Salop, j'aurais aimé être à ta place et me prendre aussi cette grosse bite !

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Bravo pour ton histoire tu m'a fait bien bande j ai bien jouis merci à toi petite cochonne



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