J’aime les soldes ! (2) - histoire érotique

Je regarde ma montre il est 7h30 quand j’arrive à l’hôtel de Michel et Corinne. J’appelle sur le portable de Monique et c’est Corinne qui répond, je lui dis que je suis en bas. Quelques minutes après Corinne apparait en me disant : on s’est réveillés il ya une demi-heure et on était en pleine action quand tu as téléphoné. Arrivés dans leur chambre je trouve Monique en pleine action avec Michel, ce dernier l’encule à grands coups. Corinne ôte son peignoir et apparait nue elle me passe la main au paquet en regardant le spectacle et me dit : tu vas enfin pouvoir me faire jouir, bientôt je bande très raide à avoir mal, comme la nuit précédente. Je me mets à poil et Corinne me suce puis s’allongeant à côte de Monique elle écarte les jambes me dit très excitée : viens baises moi ! Demandé aussi gentiment, je m’exécute, je l’enfile et on baisent alors en cadence avec Monique et Michel. Cela dure longtemps et on finit par jouir presque en même temps puis on s’écroule sur le lit en s’embrassant tous les quatre à pleine bouche à tour de rôle en se tripotant. Après un moment à laisser retomber la pression on prend un café et je leur raconte ma soirée et mon rendez vous pour déjeuner. Monique me dit alors : ce matin je retourne faire les boutiques mais avec Corinne, on va vous laisser soyez sages, puis riant elle va prendre une douche avec Corinne. Michel me dit qu’il va me raconter leur nuit et ajoute : ta femme quelle vicieuse ! Je lui dis qu’il n’a pas tout vu. Allongés à poil l’un à côté de l’autre il me raconte la soirée et je sens sa main caresser ma queue, je me tourne et lui roule une pelle en lui attrapant les couilles. Il gémit, je lui dis mets toi en 69 et une fois en place on se suce lentement en se doigtant le cul, Monique et Corinne sortent de la douche et nous aperçoivent, Monique sourit et nous dit de garder des forces. Puis avec Corine elle s’habillent et nous font remarquer qu’elles partent sans culotte ni soutien gorge. Cela nous excitent et on finit par rebander ferme, je m’allonge sur le dos et fais venir Michel sur moi pour l’empaler de face sur ma queue. Il gémit en disant putain quelle bitte et il commence à me chevaucher, je lui branle la queue, il a une queue fine assez longues avec de grosses couilles, en même temps puis je lui tire les tétons, il râle et crie : oh oui ! C’est bon ! Après un long moment il crache son foutre sur moi en gémissant, je lui demande alors de me finir à la bouche. Il enfourne ma queue gluante et me suce à fond, quand je sens enfin le plaisir monter j’attrape sa tête et la maintenant lui lâche tout en bouche. Il avale sans s’étouffer mais garde du foutre en bouche et vient alors me rouler une pelle en se frottant sur moi, étalant ainsi son foutre entre nous deux. On s’écroulent alors et il m’attrape la queue à pleine main pour étaler le foutre qui s’écoule encore de ma pine. On s’endort ainsi, quand je me réveille je sens quelque chose contre mes fesses et une main sur ma queue. Michel me branle doucement et lui déjà raide a sa queue collée contre mon cul, me mettant tête bêche je lui demande de me lécher le cul et moi je commence à le sucer. Bientôt je sens sa langue pénétrer mon cul, qui se détend, puis je sens un doigt me branler l’œillet, je suce Michel à fond et lui demande alors de me prendre. Je me mets à quatre pattes et il pose son gland sur ma rosette et pousse en douceur. Une fois entré totalement il me lime le cul, je creuse les reins pour que sa queue frotte sur ma prostate et bientôt j’ai un orgasme à sec puis un deuxième avec quelques gouttes de foutre. Soudain j’entends Michel qui crie et se colle contre moi, il lâche tout et décule de suite en me disant : suces moi, suces moi ! Je le suce alors jusqu’à ce que sa queue soit totalement ramollie. Il s’écroule en me disant j’ai mal aux couilles, j’en peux plus ! Je lui dis qu’il faut faire un break et qu’on doit retrouver nos salopes. Après une douche et un peu de repos on s’habillent, je demande à Michel de ne rien mettre sous son pantalon, il sourit et le fait puis on part retrouver Monique et Corinne, mais avant je passe à nôtre hôtel pour me changer. Je mets un string ficelle en résille sous l’œil intéressé de Michel, puis un t-shirt en résille et par-dessus un sweat-shirt, mon pantalon ample de la veille et quand je suis prêt je dis à Michel qu’on emmène toujours quelques babioles avec Monique quand on part plusieurs jours. Il sourit et nous partons, nous mettons un peu de temps pour trouver Monique et Corinne qui croulent sous les paquets. On va les déposer dans les voitures avant d’aller prendre un café, là Michel raconte, à la demande de Corinne, ce que l’on a fait. Monique et Corinne sourit en disant qu’elles ont une surprise pour Michel, mais ne veulent rien dire de plus. On part ensuite comme la veille pour poursuivre les courses, vers 11h30 on va déposer nos paquets dans les voitures puis j’appelle Monique pour lui dire que je vais au rendez vous chez Micheline, Monique ajoute que la petite vendeuse a appelé elle a fixé rendez vous à Corinne ce soir à 20h. Je file chez Micheline en me demandant si je vais pouvoir encore assurer, je suis vidé, si j’ose dire. Je pense encore à cela en me garant devant chez Micheline, je sonne et Micheline me dit, dans l’interphone : entre ! Comme j’arrive à la porte elle est là on s’embrassent et elle me fait passer au salon où je retrouve Jacqueline et un homme qui doit être son mari. Je m’avance et sans hésiter j’embrasse Jacqueline sur les deux joues et tends la main à l’homme que Micheline me présente : Roger, le mari de Jacqueline, il a 72ans. Il n’a pas l’air surpris que j’ai embrassé sa femme, Micheline nous dit alors : mettons nous à l’aise ! Puis elle me dit doucement : déshabilles toi ! Je regarde autour de moi et aperçoit Roger déjà presque nu, 1m75, le corps totalement lisse avec des tétons comme une femelle, bedonnant, grassouillet il ne porte plus qu’un string ficelle en cuir. Je murmure à Micheline : et le déjeuner ? Elle sourit et me dit plus tard ! Je vois alors Jacqueline qui apparait en bas porte-jarretelles sur talons hauts et un soutien gorge ouvert laissant ses seins à l’air, 1m60 forte avec de gros seins tombants, du bide et un cul rebondi sur des jambes bien galbées. Micheline est nue avec juste des talons hauts et une paire de bas et tout le monde me regarde avec mon string ficelle et mon t-shirt en résille noire. Je m’avance vers jacqueline et l’embrasse à pleine bouche, elle me malaxe le paquet en même temps quand je sens des mains effleurer mon cul : c’est Roger ! Je ne dis rien alors il me caresse franchement le cul, je tends une main pour lui malaxer le paquet, il gémit et Micheline dit alors en riant : doucement je vais vous le prêter mais il est à moi! Je lui murmure que je suis un peu fatigué elle rit et dit t’inquiète la pilule d’hier fait toujours effet tu vas voir puis elle demande à Roger : expliques donc à André-pierre ce que font tes pilules miracle ! Roger sourit en me disant c’est un générique du cxxxxs, l’effet dure 24 à 36 heures et peut même provoquer des priapismes plus ou moins sévères. Je souris Roger bande et a sorti son dard, il a une queue assez courte, fine avec un gland plus large et de petites couilles. Quant à Jacqueline elle s’embrasse avec Micheline, Roger s’agenouille et sortant ma queue du filet en résille il entreprend de me sucer. Je ferme les yeux et je sens des mains qui caressent mon cul et une bouche qui me suce et mordilles les tétons. J’ouvre les yeux c’est Jacqueline qui s’occupe de mes tétons et Micheline de mes fesses pendant que Roger me suce. Bientôt je me mets à bander tellement raide que j’en ai la queue qui me fait mal, Roger apprécie et Jacqueline me dit : prends le devant nous ! Roger se met à quatre pattes et écarte ses fesses et là devant Micheline et Jacqueline qui se tripotent et s’embrassent j’enfile Roger. Je le lime et il gémit j’attrape ses tétons et tire dessus en cadence avec l’enculade. Il crie et râle comme une femelle. Cela s’agite dans mon dos puis je sens d’un coup des mains qui écartent mes fesses et une langue qui fouille mon cul, excité je laisse faire et je sens alors un doigt qui remplace la langue et me fouille le cul. Je ne dis rien et continuer à limer Roger, soudain je sens quelque chose se poser sur ma rosette et me retournant je vois Jacqueline qui s’est harnachée avec un gode ceinture. Elle a posé l’extrémité de son gode sur mon œillet et pousse doucement jusqu’à entrer complètement. Elle commence alors à aller et venir pendant que je continue de limer Roger, je trique à en avoir mal et bientôt Roger gémit et son cul se serre : il jouit ! Je reste planté sans bouger dans son cul pendant que Jacqueline me défonce le cul, soudain je décharge en jouissant terriblement mais Jacqueline continue à me limer le cul et bientôt je jouis à nouveau et m’écroule sur Roger. Jacqueline se retire et je décule, là comme cette nuit et se matin ma queue est encore gonflée et à moitié raide. Roger me sourit et dit : c’est la pilule ! Micheline m’attrape et me dit fébrile : à moi j’en ai marre de me caresser seule ! Elle me suce et bientôt j’ai la queue raide les veines très saillantes, cela fait presque mal, quand elle sent que je suis en condition elle écarte les cuisses et crument me hurle : baises moi, bourres moi ! Je m’exécute devant Jacqueline qui mate en se faisant lécher par Roger, elle dit alors : ensuite c’est mon tour ! Je prends Micheline à grands coups et en même temps elle crie qu’elle est une salope qui aime la bitte et se met à jouir comme une folle, sa chatte me broie la queue comme hier et elle retombe, sa chatte se relâche un peu. Elle me dit alors : prends Jacqueline maintenant ! Roger fait mettre Jacqueline à quatre pattes tête bêche au dessus de lui et me dit : vas y, encules la pendant qu’on fait 69. Je m’exécute et enfile le cul de Jacqueline qui gémit pendant l’enculade, son cul me moule la queue comme un doigt de gant, je commence alors à aller et venir. J’entends des bruits derrière moi je me retourne pour apercevoir Micheline qui vient de se harnacher avec le gode ceinture et se met à genoux derrière moi en me souriant. Elle m’enfile tout de go et on lime en cadence. Jacqueline finit par jouir plusieurs fois sous la langue de Roger et mon enculade pendant que moi-même je jouis deux fois à sec, orgasme prostatique, avant de lâcher des longs jets de foutre. Roger éjacule à son tour et Jacqueline avale goulument. On s’écroule sur les tapis et on reste immobiles, sans un mot, pendant un long moment, Micheline parle alors : et si on déjeunait maintenant ? On se lève et Jacqueline m’embrasse en caressant ma queue puis Roger et Micheline me roule une pelle pendant qu’on passe à table. Avec Roger on est restés nus et jacqueline a ôté son soutien gorge pour se retrouver en bas et talons hauts comme Micheline qui a cependant gardé le gode ceinture. Avec Jacqueline elles font le service et Micheline souvent tend le gode à Roger, à Jacqueline ou à moi en disant : suces ma bitte ! On s’exécute en riant, on raconte des cochonneries tout en déjeunant et l’excitation nous gagne progressivement. A un moment Roger se lève la queue raide et venant vers moi me demande de le sucer, je m’exécute et j’aperçois Micheline qui attrape Jacqueline pour la faire allongée sur la table et l’enfiler avec le gode ceinture. Je bande à nouveau et Micheline se retirant me dit : viens, baises là maintenant ! Je laisse Roger et m’approche pour enfiler Jacqueline d’un coup, elle a un hoquet et me sourit. Je commence à aller et venir, déjà chauffée par Micheline elle a rapidement un premier orgasme. Comme je continue à la prendre je sens mes fesses être écartées et tournant la tête je vois Roger qui pose son gland sur mon œillet et m’enfile avec un han de bucheron. Micheline approche et avec un grand sourire enfile Roger et on se met alors à baiser en cadence. Cela dure longtemps quand je sens Roger inonder mon cul dans un dernier coup de reins en râlant et gémissant, moi-même je décharge pendant que Jacqueline a un dernier orgasme. Micheline sortant du cul de Roger nous dit alors : et moi ? On se met alors tous les trois à s’occuper d’elle avec mains et langues jusqu’à ce qu’elle est tellement jouit que cela en soit douloureux. On s’embrasse ensuite les uns les autres à fond, goulument, amoureusement. Micheline dit alors : On prend le café maintenant ? Vautrés dans les fauteuils et canapé du salon on prend notre café tranquillement et je demande à Roger s’il peut m’avoir quelques unes de ses petites pilules, il sourit et me dit sans problèmes ! On discute de nos vies pour faire maintenant plus ample connaissance. J’apprends que Micheline est veuve depuis 15ans et a deux grandes filles, une de 46ans mariée et qui habite dans en dessous de Toulouse, l’autre 43ans divorcée habite à Troyes. Quant à Roger et Jacqueline ils n’ont qu’une fille de 48ans divorcée et habitant Bordeaux. Je leur demande s’ils ont toujours été aussi vicieux, Micheline la première me répond qu’elle était mère au foyer, mariée jeune et qu’elle est devenue ainsi après la mort de son mari et à cause de celle-ci il ya 15ans. Intrigué je demande à en savoir plus, là c’est Jacqueline qui m’explique, Pierre, le mari de Micheline, travaillait avec elle et ils sont devenus amis et amants puis il est devenu l’amant de Roger et ils faisaient des parties à trois et des partouzes avec des amis à eux. Roger me dit que Jacqueline et lui ont commencé la pluralité et l’échangisme il y presque trente ans par l’intermédiaire d’une revue échangiste. Je souris et Roger ajoute c’est au cours des contacts ainsi noués qu’ils ont découvert la bisexualité tous les deux. A la mort de Pierre Micheline a trouvé, en triant et rangeant des papiers, des lettres et des photos et en a parlé à Jacqueline qui comme collègue et amie venait souvent chez eux pour le boulot, là Jacqueline a tout révélé à Micheline qui est tombée de haut. Cependant, explique t elle alors, après un bon coup de colère je me suis dis que c’était l’occasion de me rattraper de ma sage vie et routinière, j’ai alors plongé dans le vice avec eux et avec délice. Tout en discutant on se caressait et le temps a tourné, je dis alors à Micheline qu’il fallait que je me sauve, elle me dit tiens mon numéro appelles moi pour qu’on se voit rapidement. Je me rhabille sentant le foutre à plein nez, j’embrasse tout le monde à pleine bouche et m’apprête à partir quand Jacqueline me dit tiens nôtre numéro appelles nous ! Micheline a déjà ouvert la porte quand Roger me dit : attends et s’avançant vers moi me donne une petite pilule en me disant je n’en ai plus que deux sur moi, appelles moi, surtout dans ton cas pas plus d’une par 24 à 36 heures à cause des risques de priapisme. J’embrasse langoureusement Micheline en lui murmurant que je l’appellerai, qu’il faudra que je lui parle.