J'aime rendre des services à qui me le demande.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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J'aime rendre des services à qui me le demande.
-Tu ne sais peut-être pas, me fait Thierry, mais demain c’est l’anniversaire de ma femme.
Je le sens un peu embarrassé en lâchant ça, sans savoir pourquoi.
-Eh bien tu le souhaiteras de ma part.
-Merci pour elle ! Me répond-t-il. Il va falloir que je lui trouve un cadeau.
-Je pense qu’il serait plus sage, oui pour ta pomme !
-C’est que je ne sais pas très bien quoi lui prendre.
-Il y a bien quelque chose qu’elle aime par-dessus tout, et qui est dans ton budget.
-Oui, bien sûr, j’en vois plein même, mais je ne sais pas si cela va lui convenir.
-Ça c’est un problème ! Tu n’as pas prie la peine de la sonder ?
-C’est que…
-Tu manques d’argent ? Ai-je répliqué moqueusement.
-Non c’est seulement qu’elle veut quelque chose dont je ne suis pas dans la possibilité de lui offrir.
-Et il serait indiscret que je l’apprenne ?
-Oui, non ... enfin, je ne sais pas, ne sais plus, pour être honnête avec toi, je n’ai pas le courage de le dire.
-Mais lâche-toi bordel de merde !
-Elle veut passer un moment seule avec toi, voilà c’est dit !
-Eh bien, tout ça pour ça. Elle aime quoi ta bourgeoise… restaurant, cinéma ?
-Je pense que tu ne m’as pas bien compris. Elle veut coucher avec toi.
-On voilà une drôle d’idée !
-C’est bien ce que je lui es dis.
-Et ça lui est venu comment cette pensée ?
-En faisant l’amour.
Sous mon étonnement, il ajoute.
-Tu es un partenaire virtuel pendant nos parties de jambe en l’air. Un moyen comme un autre pour nous faire prendre le pied.
Toujours sous mon silence, il complète :
-J’ai l’air d’un con ? Vas-y dit-le ?
-Je n’ai jamais pensé cela !
-Alors ta réponse ?
-Je ne sais pas !
-Entre, je t’attendais. Je fais à la femme de Thierry.
Et oui, j’ai dit oui ! Nous avons convenu un rendez-vous de baise. Mais ce n’est pas tout, le monsieur voulait que je sois grossier avec elle.
Sitôt la porte fermée je la prends par un bras.
-Depuis le temps que je voulais t’en mettre plein le cul, petite salope !
-Et pourquoi n’avoir rien dit ?
-Ma timidité sans doute.
-Oui c’est ça… je vais te croire !
Tout de suite je lui glisse mes mains sous sa jupe, et lui malaxe les fesses, le ventre, lui ouvre les cuisses, passe sur sa chatte. Jambes écartées immobile, elle subit mes attouchements, malade d’excitation.
-Allez, enlève ce que tu as sous ta jupe !
Elle passe ses mains sous la jupe, remonte, fait glisser sa culotte qui entraine son collant le long de ses cuisses, de ses mollets. Elle lève un pied puis l’autre pour s’en séparer.
-Vire ta jupe aussi salope !
Elle passe les bras derrière sa taille, fait descendre la fermeture Eclair et laisse tomber le vêtement. Je ne sais pas ce qui me retient à lui bondir dessus. Elle reste debout, dénudée à partir de la ceinture.
Je me régale du spectacle qu’elle m’offre. Je tourne autour d’elle pour contempler aussi ses reins, sa croupe rebondie. Je me penche pour apercevoir, en dessous les poils de la chatte. J’exulte par ce que je vois.
-Je n’aurais jamais cru ça de toi !
J’avale péniblement ma salive. D’une bourrade, je la plaque contre la table. Je la pousse, elle se renverse en arrière, le dos appuyé sur le plateau. Je lui saisis les chevilles et lui pose les talons de chaque côté de sa croupe. je lui prends les genoux et lentement les écarte. La fourche s’ouvre, la moule se dévoile.
J’admire la protubérance du mont de Vénus, les petites lèvres pincées les grandes aussi, bordées de poils follets et plus bas la naissance de la raie fessière.
J’ai chaud, même très chaud. Je me penche entre ses genoux. Elle a un frémissement quand elle sent mon souffle chaud sur ses cuisses. Elle ouvre la bouche pour une plainte étouffée. Du bout du doigt j’explore sa toison, puis je le descends, remonte, fait le tour, l’insinue dans la pliure des cuisses, tripote les petites lèvres, appuie sur les pétales roses, suis la fente jusqu’en bas, remonte, redescend, rien qu’un doigt, que je glisse tout à fait en dessous maintenant puis l’enfonce.
-T’aime ça, je suis sûr que ton mari ne fait pas ça.
-Ça pour sûr, non !
Le menu cratère anal apparaît lui aussi, avec son rebord mauve, froncé. Je tourne mon doigt autour ; le pose dessus, titille juste au milieu, le tortille sans appuyer.
-Ton Thierry s’occupe de ton cul ?
-Il trouve ça dégueulasse, ses mots !
J’y mets toute la main. Je lui ouvre bien les fesses. Mes doigts en éventail partent de l’orifice étoilé, remontent le long de la raie, passent sur les grandes lèvres, les petites, redescendent et recommencent. Tantôt lentement, en effleurant à peine ses chairs offertes, tantôt plus vite ou plus fort.
A chaque parcours, elle s’enflamme. Ses cuisses relevées tremblent. Je me mets à genoux, le visage face à la chair secrète de la femme. Je mets les deux mains. D’abord l’index se loge au centre de l’anus, entre les deux globes de chair. J’appuie pousse et pénètre, l’enfonce tout entier.
-T’aime ça ma salope ?
-Oh… oh, oooooouuuuiiiiiii !
Avec mon autre main, je comprime la petite corolle, tourne dessus, empaume toute la vulve, écarte les grandes commissures, dégage l’ouverture du calice rose, bordé de mauve. Je la pénètre d’un doigt, puis deux, je les fais bouger, les font aller et venir dedans. Pendant ce tems l’autre dans son cul, s’agite à l’unisson et mon pouce, devant, agace la corolle.
Elle a les deux trous emplis, asticotés. Elle aspire un peu d’air, rejette la tête en arrière, se mord la lèvre inférieure. Je la dévore du regard, m’excite davantage de la profaner.
-Tu es une bonne salope, ton mari le sait ?
-Non ! Lâche-t-elle en faisant bouger son ventre.
Elle se mord les lèvres, serre les poings. Je la masturbe avec patience. je guette la rougeur qui descend sur ses joues, sur son cou.
-Tu mouilles bien, cochonne ! T’aime la branlette !
Et je la pistonne plus fort.
-Salope, tu mouilles même du cul !
Je sors les doigts de ses deux ouvertures. Elle lâche un gémissement de regret. Elle reste là, toute la vulve écarquillée. Je ne la touche plus. Je me régale de la vue de cette chatte et de son cul dont j’ai une énorme envie.
Alors j’avance ma bouche vers son antre, et applique le bout de ma langue sur le clitoris dressé. Elle halète, bouche ouverte, tendue vers le plaisir. Je sens autour de mon doigt le trou du cul vibrer, l’aspirer. Contre ma main les lèvres intimes s’ouvrent sous la poussée irrésistible de la chair interne. Elle halète de plus belle. J’asticote les petites lèvres et le bourgeon d’une langue agile, habile, tantôt effleurant, tantôt appuyant, large, insistante. Je déguste à mon aise cette chatte humide et chaude. Je fais partir ma langue vers le bas, recouvre toute la largeur en remontant tout le long, jusqu’au clitoris avide et dur.
Elle gémit sans retenue. Sa poitrine se soulève et s’abaisse, son cul se tend vicieusement vers ma bouche qui la travaille. Elle pousse sa chatte contre mon visage. Je prends le sexe tout entier dans ma bouche, le gobe, le suce, le malaxe. Je pénètre ma langue dans le passage brûlant et inondé du vagin. Je la ressort, écarte encore plus les replis. Je mâche toute la vulve en faisant des gargouillis obscènes.
Elle se tortille. Ses joues, ses seins, son sexe, son anus sont en feu. Je me redresse et je prends dans une main toute la chair molle et chaud, la fouille, la malaxe fort. Tout se dilate, même le cul. Elle crie. Elle jouit à grandes saccades, son plaisir jaillit jusqu’à ma main.
-Putain ! Quel pied ! Lâche-t-elle.
-Ça te suffit ? On s’arrête-là !
-Tu veux plaisanter là ! Réplique-t-elle, en s’attaquant à ma braguette pour mettre à l’air ma queue.
Puis elle m’attire à elle et guide mon bout rond et dur entre les lèvres de sa cicatrice, et se l’enfonce. Elle s’ouvre encore, se tend. Ma verge glisse jusqu’au fond. Je me mets à bouger, allant et venant dans son fourreau de velours. Elle gémit, secoue la tête.
Je me penche sur elle, nos deux bas ventres, collés s’agitent ensemble. Elle s’embrase, se liquéfie. Elle a un orgasme prodigieux qui lubrifie un peu plus ma queue. A la contraction de son vagin, je ne peux plus me retenir et, avec un long râle, j’explose. Mélangeant mon sperme à sa mouille.
Alors que je me retire, elle lâche :
Voilà ce que je désirais depuis toujours. Une bonne baise et je l’es eu, grand merci à toi !
-Bon anniversaire !
Je le sens un peu embarrassé en lâchant ça, sans savoir pourquoi.
-Eh bien tu le souhaiteras de ma part.
-Merci pour elle ! Me répond-t-il. Il va falloir que je lui trouve un cadeau.
-Je pense qu’il serait plus sage, oui pour ta pomme !
-C’est que je ne sais pas très bien quoi lui prendre.
-Il y a bien quelque chose qu’elle aime par-dessus tout, et qui est dans ton budget.
-Oui, bien sûr, j’en vois plein même, mais je ne sais pas si cela va lui convenir.
-Ça c’est un problème ! Tu n’as pas prie la peine de la sonder ?
-C’est que…
-Tu manques d’argent ? Ai-je répliqué moqueusement.
-Non c’est seulement qu’elle veut quelque chose dont je ne suis pas dans la possibilité de lui offrir.
-Et il serait indiscret que je l’apprenne ?
-Oui, non ... enfin, je ne sais pas, ne sais plus, pour être honnête avec toi, je n’ai pas le courage de le dire.
-Mais lâche-toi bordel de merde !
-Elle veut passer un moment seule avec toi, voilà c’est dit !
-Eh bien, tout ça pour ça. Elle aime quoi ta bourgeoise… restaurant, cinéma ?
-Je pense que tu ne m’as pas bien compris. Elle veut coucher avec toi.
-On voilà une drôle d’idée !
-C’est bien ce que je lui es dis.
-Et ça lui est venu comment cette pensée ?
-En faisant l’amour.
Sous mon étonnement, il ajoute.
-Tu es un partenaire virtuel pendant nos parties de jambe en l’air. Un moyen comme un autre pour nous faire prendre le pied.
Toujours sous mon silence, il complète :
-J’ai l’air d’un con ? Vas-y dit-le ?
-Je n’ai jamais pensé cela !
-Alors ta réponse ?
-Je ne sais pas !
-Entre, je t’attendais. Je fais à la femme de Thierry.
Et oui, j’ai dit oui ! Nous avons convenu un rendez-vous de baise. Mais ce n’est pas tout, le monsieur voulait que je sois grossier avec elle.
Sitôt la porte fermée je la prends par un bras.
-Depuis le temps que je voulais t’en mettre plein le cul, petite salope !
-Et pourquoi n’avoir rien dit ?
-Ma timidité sans doute.
-Oui c’est ça… je vais te croire !
Tout de suite je lui glisse mes mains sous sa jupe, et lui malaxe les fesses, le ventre, lui ouvre les cuisses, passe sur sa chatte. Jambes écartées immobile, elle subit mes attouchements, malade d’excitation.
-Allez, enlève ce que tu as sous ta jupe !
Elle passe ses mains sous la jupe, remonte, fait glisser sa culotte qui entraine son collant le long de ses cuisses, de ses mollets. Elle lève un pied puis l’autre pour s’en séparer.
-Vire ta jupe aussi salope !
Elle passe les bras derrière sa taille, fait descendre la fermeture Eclair et laisse tomber le vêtement. Je ne sais pas ce qui me retient à lui bondir dessus. Elle reste debout, dénudée à partir de la ceinture.
Je me régale du spectacle qu’elle m’offre. Je tourne autour d’elle pour contempler aussi ses reins, sa croupe rebondie. Je me penche pour apercevoir, en dessous les poils de la chatte. J’exulte par ce que je vois.
-Je n’aurais jamais cru ça de toi !
J’avale péniblement ma salive. D’une bourrade, je la plaque contre la table. Je la pousse, elle se renverse en arrière, le dos appuyé sur le plateau. Je lui saisis les chevilles et lui pose les talons de chaque côté de sa croupe. je lui prends les genoux et lentement les écarte. La fourche s’ouvre, la moule se dévoile.
J’admire la protubérance du mont de Vénus, les petites lèvres pincées les grandes aussi, bordées de poils follets et plus bas la naissance de la raie fessière.
J’ai chaud, même très chaud. Je me penche entre ses genoux. Elle a un frémissement quand elle sent mon souffle chaud sur ses cuisses. Elle ouvre la bouche pour une plainte étouffée. Du bout du doigt j’explore sa toison, puis je le descends, remonte, fait le tour, l’insinue dans la pliure des cuisses, tripote les petites lèvres, appuie sur les pétales roses, suis la fente jusqu’en bas, remonte, redescend, rien qu’un doigt, que je glisse tout à fait en dessous maintenant puis l’enfonce.
-T’aime ça, je suis sûr que ton mari ne fait pas ça.
-Ça pour sûr, non !
Le menu cratère anal apparaît lui aussi, avec son rebord mauve, froncé. Je tourne mon doigt autour ; le pose dessus, titille juste au milieu, le tortille sans appuyer.
-Ton Thierry s’occupe de ton cul ?
-Il trouve ça dégueulasse, ses mots !
J’y mets toute la main. Je lui ouvre bien les fesses. Mes doigts en éventail partent de l’orifice étoilé, remontent le long de la raie, passent sur les grandes lèvres, les petites, redescendent et recommencent. Tantôt lentement, en effleurant à peine ses chairs offertes, tantôt plus vite ou plus fort.
A chaque parcours, elle s’enflamme. Ses cuisses relevées tremblent. Je me mets à genoux, le visage face à la chair secrète de la femme. Je mets les deux mains. D’abord l’index se loge au centre de l’anus, entre les deux globes de chair. J’appuie pousse et pénètre, l’enfonce tout entier.
-T’aime ça ma salope ?
-Oh… oh, oooooouuuuiiiiiii !
Avec mon autre main, je comprime la petite corolle, tourne dessus, empaume toute la vulve, écarte les grandes commissures, dégage l’ouverture du calice rose, bordé de mauve. Je la pénètre d’un doigt, puis deux, je les fais bouger, les font aller et venir dedans. Pendant ce tems l’autre dans son cul, s’agite à l’unisson et mon pouce, devant, agace la corolle.
Elle a les deux trous emplis, asticotés. Elle aspire un peu d’air, rejette la tête en arrière, se mord la lèvre inférieure. Je la dévore du regard, m’excite davantage de la profaner.
-Tu es une bonne salope, ton mari le sait ?
-Non ! Lâche-t-elle en faisant bouger son ventre.
Elle se mord les lèvres, serre les poings. Je la masturbe avec patience. je guette la rougeur qui descend sur ses joues, sur son cou.
-Tu mouilles bien, cochonne ! T’aime la branlette !
Et je la pistonne plus fort.
-Salope, tu mouilles même du cul !
Je sors les doigts de ses deux ouvertures. Elle lâche un gémissement de regret. Elle reste là, toute la vulve écarquillée. Je ne la touche plus. Je me régale de la vue de cette chatte et de son cul dont j’ai une énorme envie.
Alors j’avance ma bouche vers son antre, et applique le bout de ma langue sur le clitoris dressé. Elle halète, bouche ouverte, tendue vers le plaisir. Je sens autour de mon doigt le trou du cul vibrer, l’aspirer. Contre ma main les lèvres intimes s’ouvrent sous la poussée irrésistible de la chair interne. Elle halète de plus belle. J’asticote les petites lèvres et le bourgeon d’une langue agile, habile, tantôt effleurant, tantôt appuyant, large, insistante. Je déguste à mon aise cette chatte humide et chaude. Je fais partir ma langue vers le bas, recouvre toute la largeur en remontant tout le long, jusqu’au clitoris avide et dur.
Elle gémit sans retenue. Sa poitrine se soulève et s’abaisse, son cul se tend vicieusement vers ma bouche qui la travaille. Elle pousse sa chatte contre mon visage. Je prends le sexe tout entier dans ma bouche, le gobe, le suce, le malaxe. Je pénètre ma langue dans le passage brûlant et inondé du vagin. Je la ressort, écarte encore plus les replis. Je mâche toute la vulve en faisant des gargouillis obscènes.
Elle se tortille. Ses joues, ses seins, son sexe, son anus sont en feu. Je me redresse et je prends dans une main toute la chair molle et chaud, la fouille, la malaxe fort. Tout se dilate, même le cul. Elle crie. Elle jouit à grandes saccades, son plaisir jaillit jusqu’à ma main.
-Putain ! Quel pied ! Lâche-t-elle.
-Ça te suffit ? On s’arrête-là !
-Tu veux plaisanter là ! Réplique-t-elle, en s’attaquant à ma braguette pour mettre à l’air ma queue.
Puis elle m’attire à elle et guide mon bout rond et dur entre les lèvres de sa cicatrice, et se l’enfonce. Elle s’ouvre encore, se tend. Ma verge glisse jusqu’au fond. Je me mets à bouger, allant et venant dans son fourreau de velours. Elle gémit, secoue la tête.
Je me penche sur elle, nos deux bas ventres, collés s’agitent ensemble. Elle s’embrase, se liquéfie. Elle a un orgasme prodigieux qui lubrifie un peu plus ma queue. A la contraction de son vagin, je ne peux plus me retenir et, avec un long râle, j’explose. Mélangeant mon sperme à sa mouille.
Alors que je me retire, elle lâche :
Voilà ce que je désirais depuis toujours. Une bonne baise et je l’es eu, grand merci à toi !
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