J’avais fini

- Par l'auteur HDS Simorgh -
Récit érotique écrit par Simorgh [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : J’avais fini Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2008 dans la catégorie Plus on est
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J’avais fini
<p>J’avais fini par accepter ce qu’auparavant je refusais.
Me faire sauter par deux mecs. Ce n’était pas la première fois que ce que j’aurais trouvé impossible deux mois avant, devenait réalité quelques semaines plus tard. Il fallait le temps que je m’habitue à l’idée, que ça prenne corps ; en même temps ce salaud de JP, qui savait y faire, finissait par me donner envie de réaliser un pas de plus dans ma libération de belle femelle avide de sexe, de baise, de queues...

Nous avions rendez vous dans un hôtel, où il était arrivé avant moi avec son copain Carl, sans m’en avoir avertie. Il ne m’avait pas trop laissée le loisir de réfléchir car, sitôt rentrée, il m’avait enlacée en m’appuyant contre le mur du couloir, pour m’embrasser et me caresser. Ses mains avaient relevé la mini orange que je portais et je ne pouvais que me tortiller car sa bouche fermait la mienne. Prenant ça pour une invite, Carl se mit à genoux entre JP et moi et commença à me caresser les cuisses. Ma peau se hérisse au passage de ses lèvres sur mon ventre. Il atteint bientôt ma motte bien bombée et met sa tête entre mes cuisses. Il lèche ma chatte à grands coups de langue et me fait relever une jambe, offrant totalement mon intimité à sa bouche. Il écarte mes lèvres, sa langue pénètre mon vagin et le fouille. Je suis morte de honte...je ne veux pas et en même temps je sens mon corps devenir tout chose...Un doigt agace mon bouton qui est gorgé de sang, il titille mon clito d’une main et fouille l’intérieur de ma chatte de l’autre, huuuuuuuuuuuummm...je commence à soupirer de plus en plus fort. Ma poitrine se soulève de plus en plus rapidement. Carl devient plus hardi et appuie le bout de sa langue sur mon clito.
Cette situation est terriblement excitante ; me sentir là, dans le couloir, avec ces deux mecs à ma disposition, qui me tripotent partout, m’investissent, me caressent, rentrent leurs doigts dans mon intimité, me pincent les pointes des nibards...je n’en peux plus, j’ai besoin d’être prise. Je tourne la tête vers JP et lui demande d’aller dans la chambre. Il s’avance et sa bouche rencontre la mienne, sa langue me fouille comme rarement elle l’a faite et je sens son approbation. Je dis à Carl de venir aussi pour me prendre, car j’ai envie d’une grosse queue, ma main descend saisir son sexe et je sens un gros membre, aussi gros que celui de JP.

Nous nous jetons sur le lit, où, dans la pénombre de la pièce, je ne vois pas immédiatement qui se glisse entre mes cuisses et commence à frotter une bite de bonne taille contre ma chatte trempée qui s’ouvre avec avidité. J’ai envie de sentir rentrer cette grosse verge.
Mes yeux s’habituant à la pénombre je vois que ce n’est pas JP qui se prépare à me posséder...je suis toute chose, toute gênée et toute excitée à la fois.
Je ne voulais pas...mais là, en sentant cette masse de chair se frotter c’est le physique qui prend le dessus...mon sexe semble indépendant de moi, comme s’il voulait de la baise d’abord, laissant les autres sentiments au vestiaire...Et puis zut, tant pis, j’ai trop envie et il est trop tard, vu ma position !!!

Les yeux fermés je pose la main sur cette queue et la présente à l’entrée de ma chatte qui coule depuis un bon moment...avec mes jambes j’enserre Carl et je l’amène vers moi. Je sens le gland buter contre mes lèvres et les ouvrir doucement. Je commence à me rentrer ce membre qui finalement s’engouffre tout au fond de ma chatte. Je sens toute sa virilité à l’intérieur de moi, il est tout chaud et bien dur, il me remplit bien. Je sens bien qu’il veut commencer à me baiser, je reste ainsi quelques instants la queue de Carl enfouie au fond de moi, sans bouger, profitant bien du moment et regardant JP, à coté de moi sur le lit, qui se branle en me regardant. Puis soudainement, Carl me saisit fermement les hanches et aussitôt je sens sa queue me labourer avec vigueur, pendant que temps JP se met à me caresser et à m’embrasser.
- C'est bon ma belle petite salope ! Bourre-lui bien la chatte Carl, vas y...il faut qu’elle soit bien prise, bien baisée, il faut lui faire plaisir, lui donner de la jouissance!!! Comme ça !!! Ouaiiiiiiis !!! Vas-y continue...Elle mérite tout ce qui lui arrive...
Carl continue son va et vient en moi et il me décrit les sensations qu’il éprouve en me prenant ainsi, il me dit que ma chatte est chaude, humide, douce et glissante, qu’elle lui serre bien la bite...un écrin de velours et de soie...
- Putain qu’elle est bonne...Haaaaaaaa ouiiiiiii ce qu’elle mouille cette femelle...elle aime ça hein...dis que tu aimes ça, petite salope...
- Ouiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiii, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiii, oh ouiiiiiiii, je me fais baiser comme une salope! C'est trop bon ! Je vais jouiiiiiiiiir !
- Alors, tu vois que tu l'aimes sa grosse bite! dit JP...

- Ah oui ! Il me remplit bien...ah, mon salaud... je me fais mettre devant toi et j'adore ça ! Tu le vois, tu le vois, avec sa grosse queue qui me défonce ???? Hein, tu vois ta petite Géraldine qui se fait prendre dans un hôtel, comme toutes ces petites baiseuses...ces petites putes en mal de bites. Ca t’excite hein....sââââââlaud...de me voir en train de me faire tirer par un gros chiiiiiiiibre qui n’est pas le tien..?
- Profites-en bien ! Laisse toi aller et prends ton pied !
- Ouiiiii...je viens...je jouiiiiiiiiiiiis...ââââââââââh...c'est bon...regarde moi JP, je vais jouiiiiiiiiiiiiiiiir avec cette grosse queue!
Je sens monter en moi un orgasme et puis j’explose, je jouis, je jouis, je jouis, je suis sur une autre planète, mes muscles vaginaux se contractent sur la queue de Carl, j’ai de la difficulté à respirer, je m’entends gémir mon plaisir. C’est alors que Carl éclate lui aussi...d’un coup je sens les pulsions de sa queue au moment où le sperme jaillit en moi en me tapissant les muqueuses. Il se retire finalement avec regret et va s’asseoir sur un fauteuil, moi je redescend de ma jouissance, mes muscles se relâchent doucement, je reprends mon souffle et mes esprits.
- Aâââh ma belle salope, comme tu me fais bander...j’adore que tu sois salope, dit JP.
En effet sa queue ressemble à un véritable manche de pioche. Cela l’excite terriblement de m’avoir vue me donner si généreusement à un autre. Quel salaud ce type, m’avoir transformé de la sorte en infernale baiseuse, suceuse, tringleuse...et en plus il me dit qu’il en pas finit avec moi...jusqu’où va-t-il me mener sur les chemins de la fourette salace et crapuleuse.
- Viens ma belle salope, donne moi ton petit cul me dit-il.
Juste à l’idée d’avoir sa bite dans le cul et voilà que je recommence à mouiller comme une fontaine. Je me mets à quatre pattes, les cuisses assez écartées. Je pose un coussin et appuie ma tête dessus, glisse une de mes mains entre mes cuisses et commence à me masturber en répandant partout le jus de ma chatte et le sperme de Carl. Derrière moi JP se régale du spectacle. Il approche sa queue de ce sanctuaire, il écarte un peu mes fesses et force l’entrée. C’est maintenant que les choses sérieuses vont commencer me dit-il. Je suis tellement mouillée que la tête de son sexe entre assez rapidement. Il pousse alors sa queue un peu plus dans mon cul. Je pousse le plus haut possible afin de bien le sentir et lui permettre de me l’enfoncer le plus loin possible. Je tourne la tête, regarde en arrière et lui dit de me défoncer comme la salope que je suis. Il me prend alors par les hanches et enfonce d’un seul trait sa bite...je hurle à n’en plus finir...en plus le cochon m’écarte les deux globes pour tenter de rentrer encore un ou deux centimètres. Ma main gauche active de plus en plus vite mon clito. Il ressort presque entièrement de mon cul et entre à nouveau à fond dans ce conduit. Sa queue profondément enfoncée dans mon cul m’arrache les spasmes d’un orgasme. Il me baise comme un forcené et me traite de petite pute...de jolie cochonne...de belle salope...Je crie de plus belle.
- Tu aimes ça ma petite salope...t’aimes te faire défoncer le cul hein...prend ça, tu vas gueuler que c’est bon la queue de JP ...
- Baise-moi bien ! Lui dis-je...! Vas y, prends moi, encuuuules moi à fond salaud....Prends-moi bien fort ! Vas-y bien à fond ! N'arrête jamais ça ! Lime bien mon cul de petite salope avec ta grosse trique ! Oui, vas-y ! Encore ! Encore ! Je suis à toi ! Dilate-le bien mon p'tit trou de salope !!! Possède-moi ! Baise-moi plus loin ! Plus fort ! Oh JP...ouiiiiii ...ouiiiiiiiii ...ouiiiiiiiiiiii ....
Il continu à me prendre sans ménagements. Il regarde son membre entrer et sortir de mes fesses et cela l’excite encore plus. Je demande à JP de me laisser me retourner, pour qu’il me prenne de face, car je veux le voir pendant qu’il me sodomise. En deux secondes c’est fait et je regarde ce salaud, qui a fait de moi une baiseuse, pointer sa queue sous ma chatte, face à mon cul, en la tenant avec deux doigts, tout en me massant la motte avec son autre main.
Je deviens dingue en sentant cette caresse qui me fait gonfler le clitoris et mouiller comme jamais...je tremble des jambes et commence à pousser des soupirs en mordant le traversin...je veux être prise, possédée, enfilée, mise à fond.
Puis, m’attrapant par les hanches, il donne de longs coups reins qui me font remonter sur le lit tout en me ramenant vers lui pour m’enfiler de nouveau. Je plane en matant ce spectacle de fornication, en fantasmant sur tout ce qui m’arrive en matière de sexe depuis pas un an...je suis devenue une petite salope, une grande baiseuse, j’ai pris du galon et je rattrape mon retard.

Carl s’est remit à bander et viens se placer à la tête du canapé, face à moi, les jambes écartées. Son gros sexe luisant est face à moi, à quelques centimètres de ma bouche. Il se masturbe tranquillement, jouissant du spectacle. Son membre sous mon nez, je ne peux m’empêcher d’y mettre la main et ouvrant grandes les lèvres avale ce somptueux manche. Aussitôt sa queue dans ma bouche Carl se met à grogner. Il n’espérait que cela, sans oser le demander et ferme les yeux de bonheur. Je prends appui sur mes coudes, me relève partiellement et entreprend de le sucer encore plus gloutonnement en aspirant comme si je tétais. JP profite de cette position pour appuyer son gland sur mon cul et s’enfonce doucement, puissamment jusqu’à la racine de sa grosse queue, me saisissant les seins à pleines mains pendant que je sens ses couilles qui tapent contre mes fesses. Je sens que je ne vais pas tarder à venir...la queue de Carl ne cesse de grossir dans ma bouche. Il bascule sa tête en arrière et ferme les yeux. Je sens le plaisir monter en moi et soupire de plus belle.
Je suis morte de honte et d’excitation...moi, la petite coincée d’il y à 8 mois, celle qui ne se masturbait même pas, qui refusait de s’entendre dire qu’elle était une salope, une baiseuse, une mangeuse de queue...je suis dans une chambre d’hôtel avec deux mecs, qui me tirent comme une vraie salope que je suis devenue, qui me font subir les derniers « outrages » auxquels je prends un plaisir fou, qui me liment le cul et la chatte, me font les sucer...et ça me plait. J’aime ça, de voir leurs yeux exorbités, leurs fronts transpirants, leurs torses velus, leurs mains fouisseuses, leurs chibres à ma disposition pour me faire jouir...
JP n’en peut plus : « t’aimes ça hein... ça te plait de nous faire jouir hein salope, tu aimes sa grosse queue dans ta bouche. Tu aimes te faire enculer maintenant... oôôôôôhhhhhh ouiiiiiiiiii que tu es bonne, très bonne, très bonne et très salope...et même petite pute ! »
Je n’ai pas la force de répondre, d’un coup je me mets à crier ma jouissance, j’émet des grognement, je me sens partir. Je me laisse aller à mon plaisir, je gémis, je me raidis et hurle mon plaisir... JP se libère à son tour et envoie tout son sperme gicler au fond de mon cul. La situation a énormément excité Carl qui me regarde crier mon bonheur de belle femelle comblée et remplie de foutre...
- Aââââââ putain que c’est bon, moi aussi je veux t’enculer salope...Dis moi oui...dis moi que tu veux ma bite dans ton cul, aaaaaaaahhhhhhh salope!!
JP se retire doucement de mon cul et vient doucement m’embrasser. Il me regarde et dit... - Mais si, elle veut...n’est ce pas ma petite cochonne, demande lui de t’enculer...allez, vas y ma belle...
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii Carl, viiiiiiiiiiiiiiiiiens, prends-moi...enfonce moi ton gros membre dans le cuuuuul...j’en veux encore...je veux que tu me défonce le cul devant JP...
- Hein...mon salaud crapuleux, tu veux voir...tu veux voir sa grosse queue rentrer dans le cul de la petite Géraldine...
- Tu es un vrai salaud, regarde comme je suis, vous m’avez remplie de sperme et j’en veux encore...je me sens salope et je n’ai même pas honte...Carl va me prendre comme toi et je vais jouir comme avec toi, en te regardant, pendant que sa grosse bite s’enfonce en moi. Tu m’as rendue indépendante, femme, femelle, baiseuse, suceuse, jouisseuse.


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