J'étais à l'armée

- Par l'auteur HDS Auteur anonyme -
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Récit libertin : J'étais à l'armée Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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J'étais à l'armée
J'étais à l'armée dans le sud de la France pour faire mon service militaire. J'avais une lourde correspondance avec ma famille et mes amis, car je m'ennuyais d'eux et le leur signifiais. Un copain, que j'avais un peu perdu de vue, avait trouvé mon adresse chez mes parents, m'avait écrit pour me dire qu'il allait dans la ville de garnison où je me trouvais et qu'il serait content de me voir. Je lui donnais mes coordonnées, et il me fit demander le week-end suivant au poste de garde.
Il m'invita au restaurant pour la soirée et me rappelant les péripéties de nos bêtises quand nous étions gamins. Comme il était tard, il me proposa de venir dormir avec lui à l'hôtel où il avait réservé une chambre. J'acceptais, content de dormir dans un vrai lit en dehors de la caserne.
Nous nous couchâmes, j'avais gardé mon slip et m'aperçus que lui, avait glissé entre les draps entièrement nu. A la vue de ce corps musclé et bien fait, j'avais été excité et fis le maximum pour ne pas le laisser apercevoir. J'avais pris l'extrémité du lit pour lui signifier que je n'étais pas pédé et que j'avais accepté ce partage de lit que pour ne pas rester seul dans mon casernement. Nous discutâmes un bon moment et épuisé je commençais à sombrer dans le sommeil.
J'allais m'éteindre, quand je sentis une main sur mon ventre. Une main douce et caressante qui s'allongeait pour remonter vers ma poitrine. Je feignais de dormir et me laissais faire, la main lentement se déplaçait allant d'un mamelon à l'autre puis avec délicatesse elle descendit vers ma toison pubienne à la limite de l'élastique de mon slip. Je respirais plus fort, pour faire semblant que je dormais, et espérais qu'il ne s'arrête pas... Le bout de ses doigts fins glissèrent derrière l'élastique et caressèrent la toison courte et frisée. Je faisais des efforts désespérés pour ne pas bander mais ma queue enflait malgré tout lentement. Je sentais à peine ses doigts qui m'effleuraient à peine et ça m’excitait encore davantage. Avec son index il descendit le long de ma verge pour aller taquiner mon prépuce à moitié dilaté par le gland. On aurait dit qu'il faisait le maximum pour ne pas me réveiller... Ma queue qui enflait de plus en plus se redressa d'un coup et se plaqua sur mon ventre. Il interrompit sa caresse un cours instant, puis prit mon sexe à pleine main et tira légèrement dessus pour finir de me décalotter. Son autre main vint l'aider et baissa l'élastique de mon slip pour laisser sortir mon sexe tendu. Avec son pouce il caressa le méat et étala la substance séminale qui perlait sur le gland. Au bout d'une minute, je l'entendis se déplacer et je sentis sa bouche chaude englober mon gland. Une bouche pleine de salive qui prenait possession de ma tige. Tous ses gestes étaient doux, délicats et ô combien bandants. Sa langue suçait et léchait le bout de ma tige comme un enfant qui déguste un bonbon. Puis, il s'arrêta.
Ma jouissance commença à diminuer, alors j'allongeais ma main pour l'appuyer sur l'arrière de sa tête et lui dis :"vas-y, continue, c'est trop bon".
A ce moment, il reprit ma tige et l'avala jusqu'à la garde jusqu'aux boules... Je gémissais de plaisir et cru que j'allais éjaculer d'un coup... Ses doigts caressèrent mes boules et il aspirait mon gland tendu. Ces doigts tripoteurs descendirent sur mon périnée, j'étais aux anges... ils atteignirent mon oeillet sensible et le caressèrent doucement. Sous cette caresse je sentis mon anus se dilater peu à peu et un doigt enduit de salive pénétra lentement puis ressortit pour s'"enfoncer de plus belle. Au bout d'un moment je sentis un deuxième doigt qui essayait de se frayer un chemin joint à l'autre, j'eus un peu mal mais ma bague anales céda peu à peu et se laissa enfoncer. Un léger va-et-vient lubrifia mon trou. Pendant cette caresse, il continuait à me sucer.
Il arrêta ses caresses et vint s'allonger su moi et il me roula une pelle d'enfer. J'avais les jambes écartées et je sentais son bassin onduler contre le mien. Ses mains libres remontèrent mes genoux et je sentis son sexe raide caresser ma raie trempée.
A tâtons son gland pointu cherchait l'ouverture, puis la trouva. Une légère pression et le bout commença sa pénétration, j'étais à sa merci et me laissais aller. Son gland avait franchi la bague anale, il stoppa un court instant puis reprit son périple lentement.
Sa langue fouillait ma bouche et je le lui rendais avec gourmandise ce qui décuplait mon plaisir. Il s'était enfoncé maintenant à fond et entamait un bon aller-retour. J'étais sa femelle et il me défonçait. Je sentais ses testicules frapper mes fesses à chaque mouvement et il me limait allègrement en essayant d'aller au plus profond. Mon cul en feu se calma et la jouissance prit la suite, je mouillais comme une fille. Il se retirait presque complètement pour mieux s'enfoncer encore. Je caressais son dos et ses fesses rondes imberbes et musclés. Puis d'un coup, il se mit à hurler, son corps se mit à se raidir et se figea en cherchant le plus profond de mon ventre. Il resta comme ça immobile un bon moment, et je sentis sa queue diminuer de volume petit à petit.
J'aurais aimé qu'il reste comme ça plus longtemps mais il décrocha complètement. Il avait l'air épuisé et roula sur le côté tout près de moi. Je laissais retomber mes jambes, épuisé aussi, par tant de jouissances inattendues et méconnues.
Mon sexe qui avait perdu de son intensité pendant cette soumission reprit sa forme maximum. Il s'en aperçu et le reprit en main. Le caressa, le branla puis se pencha pour le reprendre en bouche. Il continua son branle en même temps et aspirait légèrement. Une fois le résultat obtenu, il me chevaucha et vint s'empaler en écartant les lobes de ses fesses. Ma tige s'enfonça lentement mais sans obstacle dans son ventre chaud voire bouillant. Il maîtrisait le va et vient de sa défonce et à chaque redescente sa queue ramollie tapait mon pubis. Je l'avertis que j'allais jouir mais il continuait son mouvement jusqu'à ce que j'éclate et vide mes bourses. Il sentit ma décharge et resta immobile à son tour, mon membre tout entier enfoncé.
Il se roula contre moi, se pelotonnant comme un enfant. Nous restâmes comme çà jusqu'à ce que notre sommeil nous rattrape. Avant de m'endormir, je sentis un liquide gluant couler de mon anus...

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