J’explore mon homosexualité à 17 ans

- Par l'auteur HDS Mdlr -
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Récit libertin : J’explore mon homosexualité à 17 ans Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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J’explore mon homosexualité à 17 ans
Depuis le début de mon adolescence, j’ai toujours regardé les garçons avec envie. Je tombais régulièrement amoureux des acteurs de mon âge ou un peu plus vieux. Évidement, Leonardo di Caprio dans Roméo et Juliette. J’ai commencé à me faire pousser les cheveux au collège. J’ai des traits assez féminins et ma longue tignasse blonde, mon côté androgyne bien que très grand me valait régulièrement des “mademoiselle” qui ne me dérangeait pas. Pourtant je me suis toujours habillé en mec, un peu metalleux, un peu gothique, parfois en treillis militaire. J’ai eu quelques copine au début du lycée. Je ne m’imaginais pas pouvoir intéresser les filles mais elles venaient à moi malgré moi. Cela continuera d’ailleurs jusqu’à ce que je me marie. Mais au lycée, il ne s’agissait encore que de se tenir la main et se rouler des galoches. Je n’aimais d’ailleurs pas trop embrasser les filles mais elles adoraient toute le faire avec moi. Il faut dire que j’ai des lèvres très charnues.

Un été, j’avais 17 ans. Je passais mon temps sur un chat à discuter avec des homos. J’avais vraiment envie de découvrir ce que c’était que d’être la femelle d’un homme. Mais je n’avais jamais réussi à trouver un copain de classe avec qui essayer. Je tombais sur beaucoup de vieux pervers qui voulaient se taper un minot. C’était hors de question. J’avais réussi à rencontrer un petit arabe, mais il était vraiment petit et beaucoup plus jeune que moi. Ça ne l’avait pas fait. Puis à force de recherche, j’avais trouvé un gars de mon âge qui habitait dans un village proche de ma ville. Nous nous étions donné rendez-vous dans un champs près de chez lui vers 22h. Je sortais donc rencontrer mon Jules qui s’appelait Julien en prétextant auprès de mes parents aller chez un pote jouer aux jeux vidéos. J’enfourchais mon vélo et me dirigeais vers mon destin.

J’étais à l’heure et Julien m’attendais bien dans le champs. Il était costaud, un peu plus petit que moi, blond aux cheveux courts. C’était vraiment le type de garçon sur lequel je pouvais craquer. Un petit nez rond légèrement en trompette, des yeux bleus pétillants, un peu de rouge aux pommettes, des bras musclés, des pectoraux saillants bien mis en valeur pas un débardeur moulant, des mains larges. Bref un vrai Apollon. Je crois qu’il n’était pas mécontent de son côté de découvrir un grand type androgyne et plus fin que lui.

Lors de nos discussions il m’avait confié avoir déjà un peu d’expérience avec les hommes. Il était clairement gay et assumé. De mon côté, je n’en savais rien. “Le mieux c’est d’essayer, comme cela tu seras fixé” m’avait-il dit.

Il avait une petite couverture qu’il installait sur l’herbe. La Lune était presque pleine. Le ciel parfaitement dégagé nous permettait de nous voir très distinctement. La nature qui s’était exposée au soleil d’été toute la journée soufflait un peu, l’herbe venait d’être coupée laissant cet odeur si douce du foin en train de sécher, les grillons s’exprimaient, invisibles au milieu de l’herbe éparse. Bref, c’était une soirée idéale.

Nous étions donc assis sous la Lune et commencions à discuter de tout et de rien, de notre lycée, des garçons, du fait que j’étais un peu mal à l’aise avec les filles. Lorsque j’ai commencé à parler de ma difficulté à les embrasser il a posé une main sur ma cuisse. J’ai alors saisi sa main, une main de garçon, bien plus épaisse et un peu peu plus rude que les petites mains douces de mes copines. C’était étrange, déroutant, deux mains qui ne sont pas faites par la nature pour se saisir tendrement mais plutôt pour se serrer virilement dans une poignée ou peut-être meme se battre. Il s’est alors dirigé entièrement vers moi. J’embrassais pour la première fois un garçon. Pour la première fois, sa langue touchait la mienne. Et c’était électrique. Les lèvres beaucoup plus directives que toutes les lèvres féminines que j’avais connues donnaient le mouvement. J’aimais enfin embrasser. Je sentais un début d’excitation dans mon caleçon. J’étais à ma place, celle de mes copines.

“Qu’est-ce que tu aimerais faire ?” me demande mon copain d’un soir. “En fait, j’aimerais te sucer”. “Ah directement ? Tu perds pas de temps toi. Tes lèvres sont vraiment douces, avec plaisir.” Il déboutonnait son jean, le faisait glisser sur ses jambes et dirigeait immédiatement ma tête vers son boxer. J’aimais ce geste dominateur que je n’osais pas appliquer avec les filles. Je me trouvais le nez collé à son boxer bien marqué par une bosse qui laissait imaginer un membre de bonne taille. Je caressais sa tige par dessus son sous vêtement et ne tardait pas à la libérer. Elle était de bonne taille, un peu plus longue que la mienne, de la même largeur, droite et surmontée d’un beau gland pas encore décalotté entièrement.

J’avais enfin la bite d’un autre dans la main. C’était à la fois ferme et tendre, vivant sous mes caresses. Je n’hésitais pas une seconde et plantait son sceptre dans le fond de ma gorge commençant des mouvements de va et viens à la fois avec mes lèvres et ma main droite. Avec la gauche je caressais ses bourses douces, pleines à raz-bord et finement poilues. Il avait un geste de la tête qui partait en arrière. Il commençait à râler de plaisir.
- Dès que je t’ai vu j’ai su que tu étais une bonne suceuse.
- C’est vrai ? C’est ma première fois, je fais de mon mieux.
- Crois-moi, je n’ai jamais été sucé aussi bien et avec autant d’envIe.

Il est vrai que j’aimais vraiment tout dans cette fellation, sa bite, son odeur légèrement forte, la sensation d’être à lui, de lui faire plaisir. J’aimais ce corps masculin tout entier, ses belles convulsions et ses beaux râles de mâle.

Il m’embrassait quelques fois certainement pour goûter au parfum de sa queue. Chaque fois que nos langues se mêlaient, je sentais sa queue frémir, gonfler encore plus. Je caressait ses cheveux ras, moi qui n’avait touché que des chevelures longues. Quelle sensation nouvelle. De même il était nouveau s’enlacer un corps avec un parfum très masculin, celui dont on se recouvrait après le sport !

- Tu veux que je te suce ?
- Pas vraiment.
- Tu voudrais faire quoi alors.
- J’aimerais perdre ma virginité avec toi. J’aimerais me sentir comme une fille prise par toi.
- Donc tu es passif, ça tombe bien je préfère être actif.

Cela peut paraître étrange mais à 17 ans, je n’avais jamais pensé à cette différence. A vrai dire, je n’imaginais pas une relation avec une homme autrement qu’en ayant le rôle de la femme. Sinon pourquoi être avec un mec ? Mais en effet, si je souhaitais être passif, il fallait bien qu’il y ait des actifs. J’avais de la chance d’être tombé sur Julien pour ma première fois.

- Laisse-moi faire, j’ai un peu d’expérience. Mets-toi sur le dos et enlève ton jean.

Je m’exécutais et me retrouvais bientôt nu devant lui, dans cette nature bruissante et calme, sous ce ciel illuminé.

- Tu es très beau
- Toi aussi

Il venait d’enlever son tee-shirt révélant un torse musclé et imberbe avec des abdos marqués. J’aimais beaucoup ses jambes recouvertes de poils blonds. J’ai toujours adoré regarder les jambes de mes copains en shorts avec ces poils récemment arrivés à l’adolescence. Je préférais cela aux jambes lisses et épilées de mes copines.

Il enfilait habilement un préservatif sorti de je n’en sais où et s’enduisait le membre de lubrifiant tout aussi magiquement apparu. Il avait tout prévu.

- Remonte tes jambes

Il me plaçait les jambes sur ses deux épaules et, accroupi, rapprochait son pieux de mon petit trou.

-Détends-toi

Je posais ma tête au sol tout en le regardant, ce bel éphèbe qui aurait pu poser comme modèle pour une statue grecque. Je sentais le membre forcer l’entrée et me relaxait totalement pour aider sa pénétration. Il s’enfonçait en moi sans problème. Qu’est-ce que cela était bon ! J’avais déjà insérer des objets dans mon cul mais cela était différent, chaud, vivant, excitant.

- Ca va ?
- Oh que oui. J’aime te sentir en moi. C’est trop bon.
- Alors je peux y aller ?
- Prends-moi, je suis à toi

Il commençait à donner des petits coups de reins. A chaque aller, je sentais la pression sur ma prostate. Cette sensation, tellement agréable, réduisait pourtant mon érection. Comme si, à chaque coup de butoir, j’étais un peu moins homme et un peu plus femme.

Je ne pouvais m’empêcher de gémir. Et je m’étonnais que ces gémissements soient aigus. Mais c’était plus fort que moi, j’étais sa meuf. Lui soupirait virilement, régulièrement il venait m’embrasser. A ce moment, la connexion était parfaite. Je m’agrippais à lui, réussissait parfois à lui caresser ses fesses puissantes. J’étais entièrement offert.

- Je vais venir.
- vas-y jouis en moi.

Il collait à nouveau ses lèvres contre les miennes, fouillait ma bouche de sa langue tout en criant de plaisir. Je sentais alors les à-coups de foutre que mon puit accueillait. Un homme jouissait en moi. J’avais fait jouir mon amant.

Il s’écroulait sur moi. J’enserrais sa taille avec mes jambes et me cramponnait à lui. Il me caressait la tignasse, et m’embrassait beaucoup plus tendrement qu’avant.

- Ça t’as plu ?
- Vraiment et toi ?
- J’ai eu beaucoup de plaisir. Mais ce n’est pas juste. Tu n’as pas joui.
- Pas besoin. J’ai adoré être ton objet de plaisir. Cela me suffit.

Il s’est allongé et je suis venu me lover contre lui. J’avais ma tête sur son torse, j’étais heureux, j’étais moi-même. Nous restâmes ainsi encore quelques minutes.

- Il faut que je rentre, lui dis-je.
- Moi aussi. J’espère que personne ne nous a entendu.

Nous nous rhabillâmes. Il déposa un dernier baiser sur mes lèvres. J’enfourchais mon vélo. Sur le trajet du retour j’avais le cœur léger et je me disais : “je suis vraiment fait pour ça. Je suis pédé et ça me plaît de l’être”. Tout en pédalant, je sentais encore une sorte de douce douleur à l’arrière, comme si sa queue était toujours en moi.

Les avis des lecteurs

Vivement la suite. Tendre, bien écrit. Merci.

Tendre, du respect, un peu d'attention inattendue de la part du garçon pour le narrateur, et le fait qu'il n'ait pas joui, ou en tout cas pas éjaculé, mais la stimulation prostatique est plus discrète, et le plaisir peut être plus 'cérébral', juste dans celui d'avoir fait jouir l'autre. Très mignon.

Histoire Erotique
Très sensuelle, merci pour cette histoire


Cyrille



Texte coquin : J’explore mon homosexualité à 17 ans
Histoire sexe : Une rose rouge
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