J'offre Barbara
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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J'offre Barbara
Echauffé par le visionnage d’un film de cul, Fabrice oriente la conversation sur un sujet qui lui tient à cœur : les femmes.
-Il ya un truc qui me chiffonne, pourquoi est-ce que tu dragues uniquement les vieilles ? Me dit-il.
-Pour avoir l’impression que je leur fais un cadeau en les faisant jouir.
-Tu crois qu’elles sont plus cochonnes que les jeunes filles.
-Il y a pas plus salope qu’une mâture, je te le garantis !
-Si tu le dis !
-Tiens regarde ta tante. Dis-moi, tu la baises au moins?
-Laisse tomber !
-Quoi ? Ne me dis pas que tu ne la baises pas, la Josette ! Crois-moi mec, elle aime ça le plaisir ta tata.
-Et toi avec Barbara ?
-Quoi ?
-Tu la baises toujours ?
-Tu me fais penser que j’aimerais bien lui rendre une petite visite. Tu m’accompagnes ?
-C’est que… nous n’avons pas, elle et moi était présenté.
-Pas la peine, suis-moi.
Alors quand traverse la rue je lui fais part de mon plan. Il acquiesce.
Lorsque je frappe à la porte, d’un geste j’intime à Fabrice de se planquer. J’entends le bruit de pas s’approcher de la porte. Cette dernière s’ouvre et Barbara m’apparait.
-Tu m’as manqué, tu sais ! Me fait-elle. Tu ne peux pas savoir comme le temps est si long sans toi !
-T’as pensé à moi, alors ? Ça t’a fait mouiller ?
Pour toute réponse elle rit, et m’attire à l’intérieur.
-Alors, ça t’a fait mouiller, oui ou non ?
-Oh toi alors, ce que tu peux être cochon ! Eh bien oui, si tu veux savoir !
Elle m’attire jusqu’à son salon.
-J’ai une surprise pour toi ! Je lui fais.
-Une surprise ? Sa voix prend une intonation polissonne. J’adore les surprises ! Montre-la-moi vite.
-Mais, il va falloir être très obéissante.
-Compte sur moi pour ça !
-Je vais pour ça te bander les yeux !
Elle émet une faible protestation.
-C’est ça la surprise ?
-Oui c’est ça la surprise !
Alors que je lui bande les yeux, elle glousse, sans doute ravie de mon initiative. Pour ma part, je suis ravi de m’apercevoir que Fabrice a fait ce que je lui ai dit. Je me penche pour soulever sa robe et la trousse jusqu’à la taille, tirant un petit cri de surprise à Barbara.
-Qu’est-ce que tu fais ? Lâche-t-elle ;
Elle porte un porte-jarretelles de couleur champagne et des bas, pure coquetterie par cette chaleur ? Je continu sur ma lancée et saisis sa culotte, la fait rouler sur les hanches, la baissant au milieu des cuisses. Par réflexe, elle porte les mains à son bas-ventre pour dissimuler son sexe.
-Espèce de gros cochon ! A ton âge !
En gloussant, elle porte les mains à sa taille pour maintenir la robe troussée et s’avance à pas mesurés vers le divan. Son sourire trahisse sa satisfaction de s’exhiber. Elle avance lentement, à cause de ses yeux bandés et de la culotte à demi baissée qui entrave ses mouvements, mais aussi parce que cela laisse à Fabrice le temps de jouir du spectacle. Elle ne se doute pas que le galbe de ses hanches qui contraste avec ses jambes l’arrondi de son ventre sur lequel se détache le buisson brun de son pubis excité, bien davantage.
-Tu sais que tu me fais bander, comme ça ? Allez, fais bien rouler tes miches !
Elle marque une pause. Elle déglutit et rajuste sa robe, haut sur sa taille.
-C’est vrai que je te plais ?
-Oh oui…
Elle rit et poursuit son chemin. Elle vient buter conte le pied du divan et s’immobilise dans l’attente de nouvelles instructions. Je la rejoins.
-Tu sais que t’as un beau cul pour une vieille !
Elle se raidit, blessée et flattée.
-Penche-toi que je le vois mieux !
J’adresse un clin d’œil à Fabrice, avant de pousser sa voisine en avant. Elle se plie en deux sur le bois du divan, étendant sa croupe.
-Ouais, vraiment un beau cul !
J’empoigne à pleines mains la chair tendre des fesses et les écarte sans ménagement, en me tenant de côté pour que mon camarade puisse profiter de la vue. Les globes étirés laissent voir la raie, le sillon à peine marqué d’une ligne rosâtre dans laquelle saillie l’anus d’un rose plus vif. Plus bas, les grandes lèvres s’entrouvrent sur mes nymphes, qui pendent.
Je passe une main dans la raie, palpant le bourrelet de l’anus.
-Dire que ton mari ne t’a jamais enculée.
Je pousse, faisant pénétrer le bout de mon index ans l’orifice. Elle se raidit, une grimace fugitive sur le visage.
-Oh Alain, tu ne va pas !
-Pourquoi ? T’aime pas ça ?
-Si, si…
Je fais signe à Fabrice de s’approcher, une lueur lubrique dans le regard. Celui-ci glisse sur le parquet sans un bruit, luttant pour garder son sang-froid. Il y pose la main à son tour, éprouvant le grain de la peau, l’élasticité des chairs. Emporté par son envie, ne se souciant plus de qui se tenait en fasse de lui. Il se penche et pose ses lèvres sur un globe lisse et couvre de baisers la croupe.
-Oui, c’est ça, mon chéri, embrasse-moi !
Comme si ces paroles me sont adressées ! Fabrice s’enhardie, ses baisers deviennent des coups de langue. Il lèche la raie sur toute la longueur, bavant sur le petit trou qu’il ne force pas, préférant descendre pour repousser les nymphes pendantes, les écarter, atteindre l’entrée du vagin et goûter la mouille acidulée.
-Oui Alain ! Oui c’est bon !
La bouche de Fabrice passe d’un orifice à l’autre, tirant des frissons à Barbara penchée sur le pied du lit. Elle gémit chaque fois que sa langue s’enfonce dans son sexe, ou vient agacer les replis de son anus.
-Tu aimes ? Lui dis-je tout près de son visage.
Elle se raidit, le visage crispé.
-Alain, il y a quelqu’un d’autre, n’est-ce pas ?
Elle n’attend pas la réponse pour se redresser et porter les mains sur son bandeau. Je lui saisis les poignets et laisse tomber :
-Tu m’as promis ! Tu le gardes ou je me casse et tu ne me vois plus ! Oui ajouté-je, un copain à moi. Tu vas voir deux queues c’est mieux !
Je la soulève de terre et la jette à plat ventre sur le canapé. Elle se contorsionne. Je dégage ses gros seins à la large aréole.
Je pince un téton. Fabrice hésite avant de se décider d’en faire autant. Il fait rouler la culotte qui entrave encore les jambes de Barbara et lui ôte. Il repousse ses genoux pour voir son con exposé à la lumière du jour.
La toison ne dissimule rien de la vulve renflée. Les nymphes dépassent mouillées par la salive de Fabrice. Il recommence à la lécher, excité par l’odeur aigre-douce de sa touffe et aspire le bouton pointu entre ses lèvres. Elle laisse échapper un râle.
-Tu aimes ce qu’il fait mon copain !
Je continu à lui peloter les seins, tout en lui parlant d’une manière apaisante jusqu’à ce qu’elle se détende.
-Il te suce bien ?
-Je reconnais qu’il fait a bien !
-Maintenant il va te baiser !
-Pourquoi pas !
Fabrice se pli à mes volontés. Sans gêne ni culpabilité, il se relève, essuie son menton et libère sa queue. Il monte sur le divan, prêt à la prendre, mais je l’arrête.
-Mets-toi plus tôt sur le dos !
Il obéit et tient sa queue dressée à la verticale, pendant que je soulève Barbara pour l’aider à le chevaucher.
Elle ne bronche pas. Excitée par mon jeu pervers. La tête rejetée en arrière, maintenue aux épaules, elle gémit quand le copain qui tâtonnant trouve l’entrée de sa chatte. Son pénis glisse lentement à l’intérieur du vagin.
-Elle est bonne la queue ?
-Oui, oui !
Je la lâche brusquement, et privée de mes mains, elle ne peut maintenir son équilibre. Elle retombe sur le copain, écrasant ses seins contre le torse du jeunot. Celui-ci empoigne ses fesses et commence à la baiser à long coups de reins, forçant le vagin à chaque va-et-vient.
Je me recule pour mieux apprécier le tableau. Je sors ma queue et me branle en regardant Barbara prosternée sur son jeune voisin qui lui pelote les fesses, l’écoutant gémir chaque fois que la queue s’enfonce en elle. Elle halète, toute proche du plaisir. Elle accompagne les coups de reins de Fabrice, frottant sa vulve sur le pubis du jeune homme. Il est temps pour moi de prendre du plaisir aussi.
Je me positionne derrière elle de façon à pointer mon sexe au niveau de ses fesses. Lentement, je descendis mon sexe vers elles. Je tressaillis quand mon gland entre au contact de sa peau douce. Je le place délicatement sur la raie et entame un lent branle entre ses fesses. Au bout de quelques instants, j’accentue la pression et c’est sans effort que mon gland pénètre l’anus soyeux. Je sens la queue de Fabrice, seulement séparé par la fine cloison de chair.
Je continue ma progression et bientôt, je me retrouve enfoncé jusqu’à la garde entre les fesses de Barbara. Cette dernière se lance dans des mouvements de rotation, elle danse carrément sur la verge de Fabrice. Je l’accule au maximum. J’essaye de placer de grands coups de reins pour la pousser dans ses derniers retranchements. Barbara grogne des mots incompréhensibles.
Je suis sur le point de jouir. Mais je veux profiter d’elle encore quelques instants. Alors je ralentis le rythme. Retenant mon éjaculation. Légèrement fléchi sur mes genoux, mes mains posées sur ses hanches, je reste en elle posément jusqu’à la garde.
Elle apprécie notre double pénétration. Elle se balance d’avant en arrière. Le résultat ne se fait pas attendre, elle pousse un cri d’extase, couvert aussitôt par un grognement assourdissant. Je sens Fabrice vibrer grâce aux ondes violentes du plaisir de sa voisine. J’y ajoute alors le mien, quelque chose de considérable, je crois que je n’ai jamais joui aussi fort de ma vie. Je n’en finis plus de me déverser dans le cul de ma partenaire en transe.
J’ai attendu que Fabrice quitte l’appartement pour retirer le bandeau des yeux de Barbara. Elle a mit un certain temps pour pouvoir retrouver parfaitement la vue.
-Je devine que tu ne vas pas me dire qui était avec toi !
-Tu devines bien !
-Et bien dis-lui de ma part qu’il a une bonne queue !
-Meilleure que la mienne ?
-Je pense, oui !
-Il ya un truc qui me chiffonne, pourquoi est-ce que tu dragues uniquement les vieilles ? Me dit-il.
-Pour avoir l’impression que je leur fais un cadeau en les faisant jouir.
-Tu crois qu’elles sont plus cochonnes que les jeunes filles.
-Il y a pas plus salope qu’une mâture, je te le garantis !
-Si tu le dis !
-Tiens regarde ta tante. Dis-moi, tu la baises au moins?
-Laisse tomber !
-Quoi ? Ne me dis pas que tu ne la baises pas, la Josette ! Crois-moi mec, elle aime ça le plaisir ta tata.
-Et toi avec Barbara ?
-Quoi ?
-Tu la baises toujours ?
-Tu me fais penser que j’aimerais bien lui rendre une petite visite. Tu m’accompagnes ?
-C’est que… nous n’avons pas, elle et moi était présenté.
-Pas la peine, suis-moi.
Alors quand traverse la rue je lui fais part de mon plan. Il acquiesce.
Lorsque je frappe à la porte, d’un geste j’intime à Fabrice de se planquer. J’entends le bruit de pas s’approcher de la porte. Cette dernière s’ouvre et Barbara m’apparait.
-Tu m’as manqué, tu sais ! Me fait-elle. Tu ne peux pas savoir comme le temps est si long sans toi !
-T’as pensé à moi, alors ? Ça t’a fait mouiller ?
Pour toute réponse elle rit, et m’attire à l’intérieur.
-Alors, ça t’a fait mouiller, oui ou non ?
-Oh toi alors, ce que tu peux être cochon ! Eh bien oui, si tu veux savoir !
Elle m’attire jusqu’à son salon.
-J’ai une surprise pour toi ! Je lui fais.
-Une surprise ? Sa voix prend une intonation polissonne. J’adore les surprises ! Montre-la-moi vite.
-Mais, il va falloir être très obéissante.
-Compte sur moi pour ça !
-Je vais pour ça te bander les yeux !
Elle émet une faible protestation.
-C’est ça la surprise ?
-Oui c’est ça la surprise !
Alors que je lui bande les yeux, elle glousse, sans doute ravie de mon initiative. Pour ma part, je suis ravi de m’apercevoir que Fabrice a fait ce que je lui ai dit. Je me penche pour soulever sa robe et la trousse jusqu’à la taille, tirant un petit cri de surprise à Barbara.
-Qu’est-ce que tu fais ? Lâche-t-elle ;
Elle porte un porte-jarretelles de couleur champagne et des bas, pure coquetterie par cette chaleur ? Je continu sur ma lancée et saisis sa culotte, la fait rouler sur les hanches, la baissant au milieu des cuisses. Par réflexe, elle porte les mains à son bas-ventre pour dissimuler son sexe.
-Espèce de gros cochon ! A ton âge !
En gloussant, elle porte les mains à sa taille pour maintenir la robe troussée et s’avance à pas mesurés vers le divan. Son sourire trahisse sa satisfaction de s’exhiber. Elle avance lentement, à cause de ses yeux bandés et de la culotte à demi baissée qui entrave ses mouvements, mais aussi parce que cela laisse à Fabrice le temps de jouir du spectacle. Elle ne se doute pas que le galbe de ses hanches qui contraste avec ses jambes l’arrondi de son ventre sur lequel se détache le buisson brun de son pubis excité, bien davantage.
-Tu sais que tu me fais bander, comme ça ? Allez, fais bien rouler tes miches !
Elle marque une pause. Elle déglutit et rajuste sa robe, haut sur sa taille.
-C’est vrai que je te plais ?
-Oh oui…
Elle rit et poursuit son chemin. Elle vient buter conte le pied du divan et s’immobilise dans l’attente de nouvelles instructions. Je la rejoins.
-Tu sais que t’as un beau cul pour une vieille !
Elle se raidit, blessée et flattée.
-Penche-toi que je le vois mieux !
J’adresse un clin d’œil à Fabrice, avant de pousser sa voisine en avant. Elle se plie en deux sur le bois du divan, étendant sa croupe.
-Ouais, vraiment un beau cul !
J’empoigne à pleines mains la chair tendre des fesses et les écarte sans ménagement, en me tenant de côté pour que mon camarade puisse profiter de la vue. Les globes étirés laissent voir la raie, le sillon à peine marqué d’une ligne rosâtre dans laquelle saillie l’anus d’un rose plus vif. Plus bas, les grandes lèvres s’entrouvrent sur mes nymphes, qui pendent.
Je passe une main dans la raie, palpant le bourrelet de l’anus.
-Dire que ton mari ne t’a jamais enculée.
Je pousse, faisant pénétrer le bout de mon index ans l’orifice. Elle se raidit, une grimace fugitive sur le visage.
-Oh Alain, tu ne va pas !
-Pourquoi ? T’aime pas ça ?
-Si, si…
Je fais signe à Fabrice de s’approcher, une lueur lubrique dans le regard. Celui-ci glisse sur le parquet sans un bruit, luttant pour garder son sang-froid. Il y pose la main à son tour, éprouvant le grain de la peau, l’élasticité des chairs. Emporté par son envie, ne se souciant plus de qui se tenait en fasse de lui. Il se penche et pose ses lèvres sur un globe lisse et couvre de baisers la croupe.
-Oui, c’est ça, mon chéri, embrasse-moi !
Comme si ces paroles me sont adressées ! Fabrice s’enhardie, ses baisers deviennent des coups de langue. Il lèche la raie sur toute la longueur, bavant sur le petit trou qu’il ne force pas, préférant descendre pour repousser les nymphes pendantes, les écarter, atteindre l’entrée du vagin et goûter la mouille acidulée.
-Oui Alain ! Oui c’est bon !
La bouche de Fabrice passe d’un orifice à l’autre, tirant des frissons à Barbara penchée sur le pied du lit. Elle gémit chaque fois que sa langue s’enfonce dans son sexe, ou vient agacer les replis de son anus.
-Tu aimes ? Lui dis-je tout près de son visage.
Elle se raidit, le visage crispé.
-Alain, il y a quelqu’un d’autre, n’est-ce pas ?
Elle n’attend pas la réponse pour se redresser et porter les mains sur son bandeau. Je lui saisis les poignets et laisse tomber :
-Tu m’as promis ! Tu le gardes ou je me casse et tu ne me vois plus ! Oui ajouté-je, un copain à moi. Tu vas voir deux queues c’est mieux !
Je la soulève de terre et la jette à plat ventre sur le canapé. Elle se contorsionne. Je dégage ses gros seins à la large aréole.
Je pince un téton. Fabrice hésite avant de se décider d’en faire autant. Il fait rouler la culotte qui entrave encore les jambes de Barbara et lui ôte. Il repousse ses genoux pour voir son con exposé à la lumière du jour.
La toison ne dissimule rien de la vulve renflée. Les nymphes dépassent mouillées par la salive de Fabrice. Il recommence à la lécher, excité par l’odeur aigre-douce de sa touffe et aspire le bouton pointu entre ses lèvres. Elle laisse échapper un râle.
-Tu aimes ce qu’il fait mon copain !
Je continu à lui peloter les seins, tout en lui parlant d’une manière apaisante jusqu’à ce qu’elle se détende.
-Il te suce bien ?
-Je reconnais qu’il fait a bien !
-Maintenant il va te baiser !
-Pourquoi pas !
Fabrice se pli à mes volontés. Sans gêne ni culpabilité, il se relève, essuie son menton et libère sa queue. Il monte sur le divan, prêt à la prendre, mais je l’arrête.
-Mets-toi plus tôt sur le dos !
Il obéit et tient sa queue dressée à la verticale, pendant que je soulève Barbara pour l’aider à le chevaucher.
Elle ne bronche pas. Excitée par mon jeu pervers. La tête rejetée en arrière, maintenue aux épaules, elle gémit quand le copain qui tâtonnant trouve l’entrée de sa chatte. Son pénis glisse lentement à l’intérieur du vagin.
-Elle est bonne la queue ?
-Oui, oui !
Je la lâche brusquement, et privée de mes mains, elle ne peut maintenir son équilibre. Elle retombe sur le copain, écrasant ses seins contre le torse du jeunot. Celui-ci empoigne ses fesses et commence à la baiser à long coups de reins, forçant le vagin à chaque va-et-vient.
Je me recule pour mieux apprécier le tableau. Je sors ma queue et me branle en regardant Barbara prosternée sur son jeune voisin qui lui pelote les fesses, l’écoutant gémir chaque fois que la queue s’enfonce en elle. Elle halète, toute proche du plaisir. Elle accompagne les coups de reins de Fabrice, frottant sa vulve sur le pubis du jeune homme. Il est temps pour moi de prendre du plaisir aussi.
Je me positionne derrière elle de façon à pointer mon sexe au niveau de ses fesses. Lentement, je descendis mon sexe vers elles. Je tressaillis quand mon gland entre au contact de sa peau douce. Je le place délicatement sur la raie et entame un lent branle entre ses fesses. Au bout de quelques instants, j’accentue la pression et c’est sans effort que mon gland pénètre l’anus soyeux. Je sens la queue de Fabrice, seulement séparé par la fine cloison de chair.
Je continue ma progression et bientôt, je me retrouve enfoncé jusqu’à la garde entre les fesses de Barbara. Cette dernière se lance dans des mouvements de rotation, elle danse carrément sur la verge de Fabrice. Je l’accule au maximum. J’essaye de placer de grands coups de reins pour la pousser dans ses derniers retranchements. Barbara grogne des mots incompréhensibles.
Je suis sur le point de jouir. Mais je veux profiter d’elle encore quelques instants. Alors je ralentis le rythme. Retenant mon éjaculation. Légèrement fléchi sur mes genoux, mes mains posées sur ses hanches, je reste en elle posément jusqu’à la garde.
Elle apprécie notre double pénétration. Elle se balance d’avant en arrière. Le résultat ne se fait pas attendre, elle pousse un cri d’extase, couvert aussitôt par un grognement assourdissant. Je sens Fabrice vibrer grâce aux ondes violentes du plaisir de sa voisine. J’y ajoute alors le mien, quelque chose de considérable, je crois que je n’ai jamais joui aussi fort de ma vie. Je n’en finis plus de me déverser dans le cul de ma partenaire en transe.
J’ai attendu que Fabrice quitte l’appartement pour retirer le bandeau des yeux de Barbara. Elle a mit un certain temps pour pouvoir retrouver parfaitement la vue.
-Je devine que tu ne vas pas me dire qui était avec toi !
-Tu devines bien !
-Et bien dis-lui de ma part qu’il a une bonne queue !
-Meilleure que la mienne ?
-Je pense, oui !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle histoire, ça me fait revivre une expérience avec une "jeune "femme de 74 ans... une belle aventure.
Histoire vécu ou simple fantasme ??
Rudy
Histoire vécu ou simple fantasme ??
Rudy