Jacqueline 2
Récit érotique écrit par Mirlaine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-08-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Jacqueline 2
Jacqueline, ma tante adorée, était maintenant à côté de moi.
Elle avait pris place sur le canapé et je ne cessais de lui caresser les seins.
Ses seins étaient fermes pour une femme de son âge et ses tétons aussi durs que possible.
Je lui pris la tête tendrement et lui demandai un long baiser qu’elle accepta avec plaisir.
Sa langue avait le goût d’un fruit exotique et me laissait entrevoir une superbe suite.
Mon érection devenait énorme. Je descendis ma main vers son joli puits d’amour et bien qu’elle fut ménopausée depuis bien longtemps j’eu l’agréable surprise qu’elle mouillait comme une gamine.
J’adore les femmes qui mouillent alors je me décidai à lui administrer un cunnilingus magistral pour la faire jouir une première fois et lui montrer de quoi j’étais capable!
Je lui fis mettre ses deux jambes en l’air appuyées sur le fauteuil et ma langue ne tarda pas à s’investir dans son intimité déjà toute humide de sa cyprine.
Son corps réceptif venait vers ma bouche et chaque coup de langue que je lui administrai semblait lui donner du plaisir.
Elle ne tarda pas à jouir et je reçus de longs jets dans ma bouche. Tout d’abord surpris, je fut ensuite très heureux d’avoir affaire à une femme fontaine. C’était un réel plaisir de pouvoir déguster son nectar et je fis en sorte de ne pas en perdre une goutte.
Elle s’excusa mais je lui dit que ce n’était pas la peine et que bien au contraire j’adorais les femmes fontaines et qu’il était malheureusement difficile d’en rencontrer.
Elle était contente et m’avoua qu’elle avait joui comme jamais.
- Ce n’est pas fini ma chérie. Quand je t’aurai enculé comme tu le mérites tu pourras me féliciter.
- Tu comptes m’enculer?
- Oui ma tante. Pourquoi tu as peur?
- Ne me fais pas rire Bébé c’est ce que j’aime le plus!
Je n’en croyais pas mes oreilles, elle m’avait appelé Bébé alors que je lui proposai de l’enculer! Quelle cochonne!
- Mais avant tout je voudrais voir ton sexe me dit-elle
- Tu sais il n’est pas très gros c’est pour ça que je me sers de ma langue.
- Allons ne fais pas le timide, la longueur ne veux rien dire! Déshabilles-toi!
Je m’exécutai et fit glisser mon jean et mon boxer à mes pieds. Mon érection était déjà visible.
J’avais un peu honte.
J’enlevais aussi mon haut et ne tardai pas à me retrouver nu devant ma tante.
- Mmmm c’est plutôt tentant!
- Tu crois? Je ne suis pourtant pas un Appollon et ma bedaine ferait fuir bon nombre de femmes.
- Moi ça me plait énormément et ton sexe m’a l’air bien vigoureux.
- De plus comme tu m’as bien fat jouir avec ta langue, tu mérites une petite compensation.
- Je suis désolé mais j’adore faire jouir les femmes
- Tu es bien tombé chéri, j’adore faire jouir les hommes!
- Oui mais tu sais dès que j’aurai joui je ne serai plais capable de rien!
- C’est ce qu’on va voir mon chéri.
Et elle se tourna vers moi pour me rouler une pelle dont je me souviendrai toujours.
Elle entreprit de me sucer le sexe avec délectation.
Je regardai ma montre et constatai que nous étions ensemble depuis quarante minutes.
Je la regardai et lui demandai abruptement.
- Paul devrait rentrer d’une seconde à l’autre, ne devrions nous pas nous arrêter?
- Ne t’inquiètes pas Paul ne reviendra que quand je le lui dirai il savait que j’avais envie de toi!
- Tu es plutôt libérée.
- Tu en penses ce que tu veux mais j’aime donner de l’amour et en recevoir et mon mari ne l’envisage pas autrement. Il aime que j’éprouve du plaisir et aime aussi l’amour à plusieurs mais est plutôt actif.
- C’est bien d’être aussi libéré. Tu es sure qu’il ne reviendra pas avant que nous ayons terminé?
- Ne t’inquiètes pas mon chéri. Je dois l’appeler car tout est prévu. Je suis sa salope et la tienne aussi.
Ces mots, dans la bouche de ma tante, ne firent qu’un tour dans la tête. Elle était réellement la salope que j’espérais.
- Alors si tu es ma salope tu vas aimer ça!
Tu sais ma Chérie, j’adore que tu portes des gilets doux et rien ne me fait bander plus que cela.
Alors tu vas enlever ta jupe et ne garder que tes bas et porte jarretelles et ton gilet et tu vas me sucer comme une belle salope.
Et je veux jouir dans ta bouche!
Elle enleva sa mini robe, déboutonna son gilet et commença à me caresser.
Sa langue sur mes boules et mon sexe ne furent pas longs à me faire jouir.
Alors qu’elle sentait que j’allais jouir elle ouvrit grandement la bouche pour que je lui déverse tout mon sperme.
Elle avala tout comme une grande et me remercia pour cette offrande.
Elle était toute mouillée. Et avait encore joui abondamment.
Je décidai qu’il était temps de prendre une pause.
Elle alla à la salle de bains et réapparu vêtue seulement d’un gilet en angora couleur léopard.
Elle ne le savait pas mais c’était ma couleur préférée.
Je regardais la télé et elle vint se blottir dans mes bras. Je lui caressai les seins et le minou et m’attardai sur son cardigan en léopard.
Au bout de quelques instants elle me dit que son mari ne devrait pas tarder à rentrer et qu’elle devait l’appeler.
Je l’a pris par les hanches et lui dit:
- Es tu sure qu’il doit rentrer maintenant?
- Ça dépend de toi.
-Ton gilet léopard me fait très envie et j’adorerai te sodomiser.
- Alors qu’attends tu, Chéri, nous n’avons plus beaucoup de temps!
C’est alors que je me suis dit qu’il fallait que je me dépêche.
Je lui ai défait les boutons petit à petit et ai malaxé ses gros seins de salope.
Puis j’ai inséré ma langue dans son cul jusqu’a ce qu ‘elle jouisse abondamment en de long jets.
Ensuite je l’ai enculé comme une grosse pute et elle a joui du cul.
Puis nous nous sommes rhabillés et Paul est arrivé à la maison.
il a félicité sa femme sur sa tenue et m’a invité à dîner.
L’après midi a été tout aussi torride!
La suite bientôt.
Elle avait pris place sur le canapé et je ne cessais de lui caresser les seins.
Ses seins étaient fermes pour une femme de son âge et ses tétons aussi durs que possible.
Je lui pris la tête tendrement et lui demandai un long baiser qu’elle accepta avec plaisir.
Sa langue avait le goût d’un fruit exotique et me laissait entrevoir une superbe suite.
Mon érection devenait énorme. Je descendis ma main vers son joli puits d’amour et bien qu’elle fut ménopausée depuis bien longtemps j’eu l’agréable surprise qu’elle mouillait comme une gamine.
J’adore les femmes qui mouillent alors je me décidai à lui administrer un cunnilingus magistral pour la faire jouir une première fois et lui montrer de quoi j’étais capable!
Je lui fis mettre ses deux jambes en l’air appuyées sur le fauteuil et ma langue ne tarda pas à s’investir dans son intimité déjà toute humide de sa cyprine.
Son corps réceptif venait vers ma bouche et chaque coup de langue que je lui administrai semblait lui donner du plaisir.
Elle ne tarda pas à jouir et je reçus de longs jets dans ma bouche. Tout d’abord surpris, je fut ensuite très heureux d’avoir affaire à une femme fontaine. C’était un réel plaisir de pouvoir déguster son nectar et je fis en sorte de ne pas en perdre une goutte.
Elle s’excusa mais je lui dit que ce n’était pas la peine et que bien au contraire j’adorais les femmes fontaines et qu’il était malheureusement difficile d’en rencontrer.
Elle était contente et m’avoua qu’elle avait joui comme jamais.
- Ce n’est pas fini ma chérie. Quand je t’aurai enculé comme tu le mérites tu pourras me féliciter.
- Tu comptes m’enculer?
- Oui ma tante. Pourquoi tu as peur?
- Ne me fais pas rire Bébé c’est ce que j’aime le plus!
Je n’en croyais pas mes oreilles, elle m’avait appelé Bébé alors que je lui proposai de l’enculer! Quelle cochonne!
- Mais avant tout je voudrais voir ton sexe me dit-elle
- Tu sais il n’est pas très gros c’est pour ça que je me sers de ma langue.
- Allons ne fais pas le timide, la longueur ne veux rien dire! Déshabilles-toi!
Je m’exécutai et fit glisser mon jean et mon boxer à mes pieds. Mon érection était déjà visible.
J’avais un peu honte.
J’enlevais aussi mon haut et ne tardai pas à me retrouver nu devant ma tante.
- Mmmm c’est plutôt tentant!
- Tu crois? Je ne suis pourtant pas un Appollon et ma bedaine ferait fuir bon nombre de femmes.
- Moi ça me plait énormément et ton sexe m’a l’air bien vigoureux.
- De plus comme tu m’as bien fat jouir avec ta langue, tu mérites une petite compensation.
- Je suis désolé mais j’adore faire jouir les femmes
- Tu es bien tombé chéri, j’adore faire jouir les hommes!
- Oui mais tu sais dès que j’aurai joui je ne serai plais capable de rien!
- C’est ce qu’on va voir mon chéri.
Et elle se tourna vers moi pour me rouler une pelle dont je me souviendrai toujours.
Elle entreprit de me sucer le sexe avec délectation.
Je regardai ma montre et constatai que nous étions ensemble depuis quarante minutes.
Je la regardai et lui demandai abruptement.
- Paul devrait rentrer d’une seconde à l’autre, ne devrions nous pas nous arrêter?
- Ne t’inquiètes pas Paul ne reviendra que quand je le lui dirai il savait que j’avais envie de toi!
- Tu es plutôt libérée.
- Tu en penses ce que tu veux mais j’aime donner de l’amour et en recevoir et mon mari ne l’envisage pas autrement. Il aime que j’éprouve du plaisir et aime aussi l’amour à plusieurs mais est plutôt actif.
- C’est bien d’être aussi libéré. Tu es sure qu’il ne reviendra pas avant que nous ayons terminé?
- Ne t’inquiètes pas mon chéri. Je dois l’appeler car tout est prévu. Je suis sa salope et la tienne aussi.
Ces mots, dans la bouche de ma tante, ne firent qu’un tour dans la tête. Elle était réellement la salope que j’espérais.
- Alors si tu es ma salope tu vas aimer ça!
Tu sais ma Chérie, j’adore que tu portes des gilets doux et rien ne me fait bander plus que cela.
Alors tu vas enlever ta jupe et ne garder que tes bas et porte jarretelles et ton gilet et tu vas me sucer comme une belle salope.
Et je veux jouir dans ta bouche!
Elle enleva sa mini robe, déboutonna son gilet et commença à me caresser.
Sa langue sur mes boules et mon sexe ne furent pas longs à me faire jouir.
Alors qu’elle sentait que j’allais jouir elle ouvrit grandement la bouche pour que je lui déverse tout mon sperme.
Elle avala tout comme une grande et me remercia pour cette offrande.
Elle était toute mouillée. Et avait encore joui abondamment.
Je décidai qu’il était temps de prendre une pause.
Elle alla à la salle de bains et réapparu vêtue seulement d’un gilet en angora couleur léopard.
Elle ne le savait pas mais c’était ma couleur préférée.
Je regardais la télé et elle vint se blottir dans mes bras. Je lui caressai les seins et le minou et m’attardai sur son cardigan en léopard.
Au bout de quelques instants elle me dit que son mari ne devrait pas tarder à rentrer et qu’elle devait l’appeler.
Je l’a pris par les hanches et lui dit:
- Es tu sure qu’il doit rentrer maintenant?
- Ça dépend de toi.
-Ton gilet léopard me fait très envie et j’adorerai te sodomiser.
- Alors qu’attends tu, Chéri, nous n’avons plus beaucoup de temps!
C’est alors que je me suis dit qu’il fallait que je me dépêche.
Je lui ai défait les boutons petit à petit et ai malaxé ses gros seins de salope.
Puis j’ai inséré ma langue dans son cul jusqu’a ce qu ‘elle jouisse abondamment en de long jets.
Ensuite je l’ai enculé comme une grosse pute et elle a joui du cul.
Puis nous nous sommes rhabillés et Paul est arrivé à la maison.
il a félicité sa femme sur sa tenue et m’a invité à dîner.
L’après midi a été tout aussi torride!
La suite bientôt.
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