Jade, 19 ans !
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2022 dans la catégorie Plus on est
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Jade, 19 ans !
Jade, 19 ans, en deuxième année de licence à la faculté de droit, beau brin de fille, toutes les apparences d'une vie réussie, mais seulement les apparences.
Du côté sexuel c'était plutôt le calme plat, plus exactement c'était un livre qui n'avait jamais été ouvert. Bien sûr quelques flirts à l'adolescence, mais pas plus loin que quelques bisous.Et puis le lycée où elle s'était isolée dans la compétition pour être la meilleure dans toutes les disciplines.
Et maintenant la fac où elle avait des camarades de promotion, sans plus, pas de vie intime.
Et là l'évènement qui allait tout faire basculer, mais ça, elle ne le savait pas encore.
Sa copine la plus proche, membre du bureau de l'association des étudiantes de la fac de droit venait de l'informer qu'une des doctorantes allait fêter l'enterrement de sa vie de jeune fille à la fin du mois de mai, et que l'association avait décidé de lui offrir une soirée mémorable: ils avaient contacté une troupe de stripteaseurs professionnels qui organisait des spectacles un peu, et même beaucoup osés.
Certes Jade avait déjà vu sur internet ces spectacles où des hommes body- buildés vêtus simplement d'une serviette éponge s'exhibaient devant des femmes un peu hystériques, mais elle ne voyait pas bien de quelle façon elle pouvait être impliquée là-dedans.
Sa copine lui avait démontré que la réussite de ce genre de soirée dépendait beaucoup de l'ambiance créée, et que le nombre de participantes (puisqu'il n'y aurait pas d'éléments masculins, à part les danseurs) était déterminant pour cela.
Jade s'était donc laissée convaincre, d'autant plus qu'elle n'avait pas beaucoup de connections avec les autres étudiantes, et que c'était une occasion de "participer".
L'association des étudiantes avait retenu la prestation la moins onéreuse: six danseurs et deux danseuses (en effet les danseuses professionnelles étaient indispensables pour présenter des scènes de copulations dans des positions acrobatiques invraisemblables).
Puis le quotidien avait repris son cours, le printemps était arrivé, Jade avait prévu, après l'obtention de sa licence, de préparer des concours administratifs, en effet contrairement à beaucoup d'étudiantes la robe d'avocate ne la faisait pas rêver, et elle se voyait plus facilement dans une vie paisible dans un bureau chauffé l'hiver et climatisé l'été.
C'est presque de façon inattendue que la nouvelle arriva: "tu sais que c'est cette semaine!" Le flash fut imminent, la fameuse soirée, elle faillit dire "mais je n'ai rien à me mettre!" mais le côté ridicule de la phrase la retint, d'autant plus que sa camarade enchaina par "tiens je t'ai passé une de mes robes de Catanzaro, comme nous allons être au premier rang, il faut qu'on en jette!"Les groupes de mots heurtaient son cerveau en vagues successives; "robe Catanzaro"; elle avait souvent vu sa camarade, qui fréquentait un club libertin, dans des tenues qu'elle jugeait "limite".
"au premier rang"; les images récupérées sur internet de filles hystériques; "il faut qu'on en jette", à tous les coups elle allait hériter d'une tenue "importable"; puis elle décida que ce ne serait qu'un mauvais moment à passer, comme ces soirées à l'opéra à essayer de ne pas bailler en écoutant de la musique classique.
Elle récupéra le sac en papier que lui tendait sa camarade et alla s'enfermer dans la salle de bain pour l'essayage.
Elle fut rassurée, c'était une robe "dos nu", laquelle donc ne permettait pas le port d'un soutien-gorge mais dont le décolleté de face, bien que très généreux, était "gérable" grâce à la souplesse du tissu. Le fait que la robe soit mini ne la gênait pas, dans ses compétitions de gymnastique elle avait l'habitude d'avoir les jambes exposées.
C'est rassurée qu'elle se présenta devant sa camarade. La robe de cette dernière était du même genre, sauf que le dos-nu descendait tellement bas que le début de la raie des fesses était visible, rendant impossible le port du moindre sous vêtement, du coup Jade, avec sa culotte se sentait un peu "mémé". Puis sa camarade lui tendit un bracelet en plastique bleu fluorescent, lui expliquant que les danseurs étant tous croates ou roumains ne parlaient pas un mot de français et que les bracelets leur permettait de savoir dans quelle "catégorie" la femme se situait.
-Et nous, nous sommes dans quelle catégorie?
- Nous, on branle, on embrasse, on suce mais on ne baise qu'avec préservatif!
Les images des vidéos du net lui sautèrent aux yeux avec la violence de coups de pieds au cul!
"on branle, on suce, on baise:"Un instant Jade songea à se casser une jambe en tombant dans les escaliers pour éviter tout cela. Mais elle n'était pas certaine d'obtenir une fracture, ni même que ses réflexes de gymnaste ne lui fasse éviter toute contusion. La phrase suivante acheva de la mettre dans l'incapacité de faire fonctionner son cerveau: "On a choisi le mardi car c'est le soir où la location de la salle est la moins onéreuse", nous étions lundi!
Jade alla se servir un verre de whisky sans glace qu'elle avala d'un trait; ce devait être un cauchemar et elle allait se réveiller.
L'étape suivante, elle était dans le vestiaire à ôter sa veste avec d'autres filles qui parlaient fort et riaient de façon excessive.
Elle reconnaissait des filles de la fac, mais elle était dans un autre monde.
La musique était forte, un podium central était devant elle, assise au premier rang, toute la rangée de chaises était occupée, des deux côtés du podium par des filles habillées de façon sexy. Elles buvaient et poussaient des cris, comme dans les vidéos sur internet. On lui tendit un gobelet en carton empli d'une sorte de cocktail fortement alcoolisé qu'elle avala par petites gorgées.
Un speaker annonça l'entrée de l'héroïne de la soirée, l'étudiante qui fêtait l'enterrement de sa vie de jeune fille.
Elle pénétra dans la pièce, vêtue d'une robe longue de couleur blanche, accompagnée par un mec déguisé en officier de la marine américaine. Celui ci la conduisit jusqu'à une chaise posée au bout du podium sous les hurlements de toutes les filles de l'assistance.
Le nez dans son gobelet Jade regardait cela comme une vidéo sur son ordinateur. La musique augmenta encore en intensité, "l'officier" commença une danse suggestive devant la doctorante, jetant un à un les éléments de son déguisement.
Très rapidement torse nu, il tournait autour de la fille, puis en string, hyper musclé il se faisait caresser la poitrine par la jeune fille qui riait de façon un peu nerveuse.
Puis ce fut le tour du string; ses pas de danse faisait balancer son sexe en demi érection à proximité du visage de la fille.
Celle ci à un moment, saisit le sexe et simula quelques mouvements de masturbation sous les acclamations de toutes les étudiantes présentes.
L'officier (qui avait conservé sa casquette) s'inclina devant elle et l'embrassa sur la bouche. De là où elle était Jade eut l'impression que la fille répondait à ce baiser.
Puis l'homme sauta en bas du podium et s'éclipsa rapidement. Dans le même laps de temps un autre danseur hyper musclé surgit à l'autre extrémité du podium, uniquement vêtu d'une serviette de bain autour des hanches.
Toujours avec des pas de danse évoquant la copulation il s'avança sur le podium. Arrivé à la hauteur de Jade il sauta au bas du podium; ouf! devant sa voisine de droite, il continua à se déhancher tout en écartant de temps en temps les pans de sa serviette éponge, sa verge demi-molle se balançant devant le visage de sa voisine qui riait de façon hystérique.
Elle caressait le corps musclé qui se dandinait devant elle, à un moment elle saisit un poignet de Jade pour que celle-ci l'accompagne dans ses câlineries.
Jade fut surprise par la douceur de ce corps entièrement épilé, elle caressait les abdominaux sans pouvoir détacher son regard de la verge que sa voisine venait de prendre en bouche, mimant une fellation.
Jade avait remonté sa main jusqu'au pectoral de l'homme, celui ci prenant le geste pour une invitation plongea une main dans le décolleté de Jade et se saisit d'un sein qu'il caressa sans trop de précautions.
Jade fut surprise d'éprouver plus d'excitation que de répulsion. Elle était fascinée par la bouche de sa voisine qui allait et venait sur une verge maintenant en parfaite érection.
Elle porta sa deuxième main sur les fesses de l'homme, sa faisant la bretelle de sa robe glissa exhibant totalement sa poitrine.
Poursuivant ses pas de danse l'homme s'éloignait vers d'autres filles assises le long du podium, il n'était resté pas plus de deux minutes devant elles. En moins de deux minutes elle avait vu son premier sexe en érection et elle s'était laissée caresser les seins!
Et au lieu d'en être mortifiée elle en était excitée!
Ce fut un couple qui survint sur le podium. L'homme et la femme se mirent à copuler dans les positions les plus acrobatiques qui soient, mais surtout dans des positions de pénétration les plus visibles possible.
Pendant le même laps de temps, des danseurs entièrement nus se déplaçaient entre le podium et la première rangée de spectatrices.
Jade s'aperçut très vite que celui qui se rapprochait tout en se faisant sucer le sexe par les étudiantes, semblait disposer de la crème sur son sexe à l'aide d'une bombe de pâtissier.
Lorsqu'il arriva à sa voisine de gauche il disposa une noisette de crème sur son gland, que celle ci englouti immédiatement; tout en mimant une copulation dans la bouche de la fille il se pencha vers Jade dont il remit les deux seins à l'air libre, les malaxant avec vigueur, puis il déposa une noisette de crème à l'extrémité de l'un d'eux; puis il se pencha pour sucer ce sein avec avidité, puis remontant vers la bouche l'embrassa de façon passionnelle, Jade n'avait jamais connu de baiser profond!
Elle essayait d'y répondre sans avoir l'air d'être trop cruche.
Elle sentit qu'il lui mettait son sexe en main, c'était le premier sexe d'homme en érection qu'elle touchait, elle se mit à le masturber des deux mains.
Il se pencha et avec une habileté diabolique, introduisit deux doigts dans sa culotte. Jade, au lieu de resserrer ses cuisses, ce qui aurait été son réflexe naturel, les écarta; l'homme introduisit un, puis deux doigts dans son vagin, elle eut le temps de penser "je suis vierge, il va me faire saigner!" Mais le va et vient des deux doigts dans son vagin, loin d'être douloureux comme elle s'y attendait, lui procurait du plaisir, elle avait envie de dire "c'est bon, c'est bon", mais trouvant cela idiot elle se mit à rire nerveusement.
L'homme était déjà passé à l'étudiante suivante, on sentait qu'ils étaient à l'usine, c'était leur boulot et ils essayaient de bien le faire.
La musique était trop forte, les gobelets de cocktails qui circulaient trop alcoolisés.
Le danseur suivant avait fait se mettre debout sa voisine de chaise, il l'embrassait ouvertement, il avait remonté sa robe jusqu'à la taille. Il lui malaxait les fesses, puis tout en mimant sa danse, il descendit le sous vêtement à mi-cuisse, puis passant la main par devant se mit à la masturber ouvertement.
Il fit assoir la fille sur le podium, lui saisissant les deux chevilles, posa les deux talons sur ses propres épaules. Avec une dextérité étonnante il équipa son sexe d'un préservatif.
La fille était sur le dos, les jambes levées à angle droit, c'est elle-même qui guida le sexe de l'homme vers son vagin. Il la pénétra sans ménagement, agitant son bassin d'avant en arrière au rythme de la musique.
Les seins de la fille ballotaient au même rythme. Jade ne put résister à l'envie d'en sucer un. Elle se leva et se jeta pratiquement sur l'un des seins pour en sucer la pointe.
Elle sentit que l'homme lui avait retroussé sa jupe et fait glisser sa culotte à mi-cuisse, mais elle mit plusieurs secondes avant de réaliser qu'il venait de passer d'un vagin à l'autre.
Il coulissait à l'intérieur, elle se mit à crier "oh oui c'est bon, encore!" Mais pas plus qu'à sa voisine, il ne lui consacra que quelques dizaines de secondes à la baiser, déjà il s'éloignait vers la suivante.
Jade était insatisfaite. Sa voisine l'embrassait goulûment, à l'issue du baiser elles se regardèrent et éclatèrent de rire.
Jade remonta sa culotte, rangea ses seins à l'intérieur de la robe et tout en se dandinant au rythme de la sono se jura en elle-même "maintenant que je suis une salope, je veux jouir!"
Du côté sexuel c'était plutôt le calme plat, plus exactement c'était un livre qui n'avait jamais été ouvert. Bien sûr quelques flirts à l'adolescence, mais pas plus loin que quelques bisous.Et puis le lycée où elle s'était isolée dans la compétition pour être la meilleure dans toutes les disciplines.
Et maintenant la fac où elle avait des camarades de promotion, sans plus, pas de vie intime.
Et là l'évènement qui allait tout faire basculer, mais ça, elle ne le savait pas encore.
Sa copine la plus proche, membre du bureau de l'association des étudiantes de la fac de droit venait de l'informer qu'une des doctorantes allait fêter l'enterrement de sa vie de jeune fille à la fin du mois de mai, et que l'association avait décidé de lui offrir une soirée mémorable: ils avaient contacté une troupe de stripteaseurs professionnels qui organisait des spectacles un peu, et même beaucoup osés.
Certes Jade avait déjà vu sur internet ces spectacles où des hommes body- buildés vêtus simplement d'une serviette éponge s'exhibaient devant des femmes un peu hystériques, mais elle ne voyait pas bien de quelle façon elle pouvait être impliquée là-dedans.
Sa copine lui avait démontré que la réussite de ce genre de soirée dépendait beaucoup de l'ambiance créée, et que le nombre de participantes (puisqu'il n'y aurait pas d'éléments masculins, à part les danseurs) était déterminant pour cela.
Jade s'était donc laissée convaincre, d'autant plus qu'elle n'avait pas beaucoup de connections avec les autres étudiantes, et que c'était une occasion de "participer".
L'association des étudiantes avait retenu la prestation la moins onéreuse: six danseurs et deux danseuses (en effet les danseuses professionnelles étaient indispensables pour présenter des scènes de copulations dans des positions acrobatiques invraisemblables).
Puis le quotidien avait repris son cours, le printemps était arrivé, Jade avait prévu, après l'obtention de sa licence, de préparer des concours administratifs, en effet contrairement à beaucoup d'étudiantes la robe d'avocate ne la faisait pas rêver, et elle se voyait plus facilement dans une vie paisible dans un bureau chauffé l'hiver et climatisé l'été.
C'est presque de façon inattendue que la nouvelle arriva: "tu sais que c'est cette semaine!" Le flash fut imminent, la fameuse soirée, elle faillit dire "mais je n'ai rien à me mettre!" mais le côté ridicule de la phrase la retint, d'autant plus que sa camarade enchaina par "tiens je t'ai passé une de mes robes de Catanzaro, comme nous allons être au premier rang, il faut qu'on en jette!"Les groupes de mots heurtaient son cerveau en vagues successives; "robe Catanzaro"; elle avait souvent vu sa camarade, qui fréquentait un club libertin, dans des tenues qu'elle jugeait "limite".
"au premier rang"; les images récupérées sur internet de filles hystériques; "il faut qu'on en jette", à tous les coups elle allait hériter d'une tenue "importable"; puis elle décida que ce ne serait qu'un mauvais moment à passer, comme ces soirées à l'opéra à essayer de ne pas bailler en écoutant de la musique classique.
Elle récupéra le sac en papier que lui tendait sa camarade et alla s'enfermer dans la salle de bain pour l'essayage.
Elle fut rassurée, c'était une robe "dos nu", laquelle donc ne permettait pas le port d'un soutien-gorge mais dont le décolleté de face, bien que très généreux, était "gérable" grâce à la souplesse du tissu. Le fait que la robe soit mini ne la gênait pas, dans ses compétitions de gymnastique elle avait l'habitude d'avoir les jambes exposées.
C'est rassurée qu'elle se présenta devant sa camarade. La robe de cette dernière était du même genre, sauf que le dos-nu descendait tellement bas que le début de la raie des fesses était visible, rendant impossible le port du moindre sous vêtement, du coup Jade, avec sa culotte se sentait un peu "mémé". Puis sa camarade lui tendit un bracelet en plastique bleu fluorescent, lui expliquant que les danseurs étant tous croates ou roumains ne parlaient pas un mot de français et que les bracelets leur permettait de savoir dans quelle "catégorie" la femme se situait.
-Et nous, nous sommes dans quelle catégorie?
- Nous, on branle, on embrasse, on suce mais on ne baise qu'avec préservatif!
Les images des vidéos du net lui sautèrent aux yeux avec la violence de coups de pieds au cul!
"on branle, on suce, on baise:"Un instant Jade songea à se casser une jambe en tombant dans les escaliers pour éviter tout cela. Mais elle n'était pas certaine d'obtenir une fracture, ni même que ses réflexes de gymnaste ne lui fasse éviter toute contusion. La phrase suivante acheva de la mettre dans l'incapacité de faire fonctionner son cerveau: "On a choisi le mardi car c'est le soir où la location de la salle est la moins onéreuse", nous étions lundi!
Jade alla se servir un verre de whisky sans glace qu'elle avala d'un trait; ce devait être un cauchemar et elle allait se réveiller.
L'étape suivante, elle était dans le vestiaire à ôter sa veste avec d'autres filles qui parlaient fort et riaient de façon excessive.
Elle reconnaissait des filles de la fac, mais elle était dans un autre monde.
La musique était forte, un podium central était devant elle, assise au premier rang, toute la rangée de chaises était occupée, des deux côtés du podium par des filles habillées de façon sexy. Elles buvaient et poussaient des cris, comme dans les vidéos sur internet. On lui tendit un gobelet en carton empli d'une sorte de cocktail fortement alcoolisé qu'elle avala par petites gorgées.
Un speaker annonça l'entrée de l'héroïne de la soirée, l'étudiante qui fêtait l'enterrement de sa vie de jeune fille.
Elle pénétra dans la pièce, vêtue d'une robe longue de couleur blanche, accompagnée par un mec déguisé en officier de la marine américaine. Celui ci la conduisit jusqu'à une chaise posée au bout du podium sous les hurlements de toutes les filles de l'assistance.
Le nez dans son gobelet Jade regardait cela comme une vidéo sur son ordinateur. La musique augmenta encore en intensité, "l'officier" commença une danse suggestive devant la doctorante, jetant un à un les éléments de son déguisement.
Très rapidement torse nu, il tournait autour de la fille, puis en string, hyper musclé il se faisait caresser la poitrine par la jeune fille qui riait de façon un peu nerveuse.
Puis ce fut le tour du string; ses pas de danse faisait balancer son sexe en demi érection à proximité du visage de la fille.
Celle ci à un moment, saisit le sexe et simula quelques mouvements de masturbation sous les acclamations de toutes les étudiantes présentes.
L'officier (qui avait conservé sa casquette) s'inclina devant elle et l'embrassa sur la bouche. De là où elle était Jade eut l'impression que la fille répondait à ce baiser.
Puis l'homme sauta en bas du podium et s'éclipsa rapidement. Dans le même laps de temps un autre danseur hyper musclé surgit à l'autre extrémité du podium, uniquement vêtu d'une serviette de bain autour des hanches.
Toujours avec des pas de danse évoquant la copulation il s'avança sur le podium. Arrivé à la hauteur de Jade il sauta au bas du podium; ouf! devant sa voisine de droite, il continua à se déhancher tout en écartant de temps en temps les pans de sa serviette éponge, sa verge demi-molle se balançant devant le visage de sa voisine qui riait de façon hystérique.
Elle caressait le corps musclé qui se dandinait devant elle, à un moment elle saisit un poignet de Jade pour que celle-ci l'accompagne dans ses câlineries.
Jade fut surprise par la douceur de ce corps entièrement épilé, elle caressait les abdominaux sans pouvoir détacher son regard de la verge que sa voisine venait de prendre en bouche, mimant une fellation.
Jade avait remonté sa main jusqu'au pectoral de l'homme, celui ci prenant le geste pour une invitation plongea une main dans le décolleté de Jade et se saisit d'un sein qu'il caressa sans trop de précautions.
Jade fut surprise d'éprouver plus d'excitation que de répulsion. Elle était fascinée par la bouche de sa voisine qui allait et venait sur une verge maintenant en parfaite érection.
Elle porta sa deuxième main sur les fesses de l'homme, sa faisant la bretelle de sa robe glissa exhibant totalement sa poitrine.
Poursuivant ses pas de danse l'homme s'éloignait vers d'autres filles assises le long du podium, il n'était resté pas plus de deux minutes devant elles. En moins de deux minutes elle avait vu son premier sexe en érection et elle s'était laissée caresser les seins!
Et au lieu d'en être mortifiée elle en était excitée!
Ce fut un couple qui survint sur le podium. L'homme et la femme se mirent à copuler dans les positions les plus acrobatiques qui soient, mais surtout dans des positions de pénétration les plus visibles possible.
Pendant le même laps de temps, des danseurs entièrement nus se déplaçaient entre le podium et la première rangée de spectatrices.
Jade s'aperçut très vite que celui qui se rapprochait tout en se faisant sucer le sexe par les étudiantes, semblait disposer de la crème sur son sexe à l'aide d'une bombe de pâtissier.
Lorsqu'il arriva à sa voisine de gauche il disposa une noisette de crème sur son gland, que celle ci englouti immédiatement; tout en mimant une copulation dans la bouche de la fille il se pencha vers Jade dont il remit les deux seins à l'air libre, les malaxant avec vigueur, puis il déposa une noisette de crème à l'extrémité de l'un d'eux; puis il se pencha pour sucer ce sein avec avidité, puis remontant vers la bouche l'embrassa de façon passionnelle, Jade n'avait jamais connu de baiser profond!
Elle essayait d'y répondre sans avoir l'air d'être trop cruche.
Elle sentit qu'il lui mettait son sexe en main, c'était le premier sexe d'homme en érection qu'elle touchait, elle se mit à le masturber des deux mains.
Il se pencha et avec une habileté diabolique, introduisit deux doigts dans sa culotte. Jade, au lieu de resserrer ses cuisses, ce qui aurait été son réflexe naturel, les écarta; l'homme introduisit un, puis deux doigts dans son vagin, elle eut le temps de penser "je suis vierge, il va me faire saigner!" Mais le va et vient des deux doigts dans son vagin, loin d'être douloureux comme elle s'y attendait, lui procurait du plaisir, elle avait envie de dire "c'est bon, c'est bon", mais trouvant cela idiot elle se mit à rire nerveusement.
L'homme était déjà passé à l'étudiante suivante, on sentait qu'ils étaient à l'usine, c'était leur boulot et ils essayaient de bien le faire.
La musique était trop forte, les gobelets de cocktails qui circulaient trop alcoolisés.
Le danseur suivant avait fait se mettre debout sa voisine de chaise, il l'embrassait ouvertement, il avait remonté sa robe jusqu'à la taille. Il lui malaxait les fesses, puis tout en mimant sa danse, il descendit le sous vêtement à mi-cuisse, puis passant la main par devant se mit à la masturber ouvertement.
Il fit assoir la fille sur le podium, lui saisissant les deux chevilles, posa les deux talons sur ses propres épaules. Avec une dextérité étonnante il équipa son sexe d'un préservatif.
La fille était sur le dos, les jambes levées à angle droit, c'est elle-même qui guida le sexe de l'homme vers son vagin. Il la pénétra sans ménagement, agitant son bassin d'avant en arrière au rythme de la musique.
Les seins de la fille ballotaient au même rythme. Jade ne put résister à l'envie d'en sucer un. Elle se leva et se jeta pratiquement sur l'un des seins pour en sucer la pointe.
Elle sentit que l'homme lui avait retroussé sa jupe et fait glisser sa culotte à mi-cuisse, mais elle mit plusieurs secondes avant de réaliser qu'il venait de passer d'un vagin à l'autre.
Il coulissait à l'intérieur, elle se mit à crier "oh oui c'est bon, encore!" Mais pas plus qu'à sa voisine, il ne lui consacra que quelques dizaines de secondes à la baiser, déjà il s'éloignait vers la suivante.
Jade était insatisfaite. Sa voisine l'embrassait goulûment, à l'issue du baiser elles se regardèrent et éclatèrent de rire.
Jade remonta sa culotte, rangea ses seins à l'intérieur de la robe et tout en se dandinant au rythme de la sono se jura en elle-même "maintenant que je suis une salope, je veux jouir!"
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